Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityAre you hiding from me, yeah?
-38%
Le deal à ne pas rater :
Ecran PC gaming 23,8″ – ACER KG241Y P3bip à 99,99€
99.99 € 159.99 €
Voir le deal


Are you hiding from me, yeah?

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Cela faisait déjà trois bonnes heures qu’il massacrait des êtres humains à ce jeu de guerre à la salle d’arcade et son humeur ne semblait pas s’éclaircir pour autant. Simple, Bonaventure était à prendre avec des pincettes et la plupart de ses amis avaient fini par arrêter d’essayer de lui parler car il n’arrêtait pas de répondre par monosyllabe. Qu’est-ce qu’ils n’avaient pas compris dans : je suis pas d’humeur ?! Mince, lui aussi avait le droit de ne pas être souriant, de ne pas être sociable juste pour quelques heures ?! Bon, son problème risquait de mettre plus de temps à se résoudre mais il n’avait pas non plus envie de se plomber davantage son moral. Qu’est-ce qui avait bien pu se passer pour le mettre dans un état pareil ? Lui qui d’ordinaire camouflait à merveille ses sentiments, ses colères ? Mira. La veille, pour Halloween, il avait opté pour une petite tradition bien de chez lui à savoir errer dans un cimetière, une bande de potes avec lui, pour s’amuser à se faire peur, à se raconter des histoires à s’en faire dresser le poil sur les bras. Tout était parfait jusqu’à ce qu’il la voie en compagnie de ce Winthrop, celui-là même avec qui, elle avait passé la nuit à la Winthrop ou plutôt dans la chambre de ce Jay de malheur. Pour Bonaventure cela commençait à faire beaucoup. Il n’avait jamais été d’un ordinaire jaloux, cela ne faisait pas vraiment partie de ses vices mais depuis Mira, il se découvrait de nouveaux défauts. En grognant, il remit un jeton dans la machine, bien décidé à passer encore des heures et des heures à tuer des soldats nazis. Les mauvaises langues vous diraient qu’il aurait été beaucoup mieux à jouer chez lui mais il n’avait pas envie de répondre aux questions de sa colocataire, qui devait déjà ses propres problèmes. Non, il ne voulait parler à personne mais il avait besoin de se sentir entouré pour ne pas péter un câble. C’était con, cela se trouve, il se faisait des films et c’était certainement le cas mais par Allah, il était jaloux comme un malade.

A quel point étaient-ils proches ? Avaient-ils été seulement amis ? Que faisaient-ils ensemble ? Toutes ces questions le rendaient dingue et l’énervaient au possible. Voilà pourquoi il passait ses nerfs sur un jeu vidéo au lieu de demander à la principale intéressée ce qu’il en était réellement. Peut-être craignait-il les réponses. Après tout, ils avaient des points communs : d’après ce qu’il savait de ce Jay, il était président d’une confrérie et Mira vice-présidente. Ils passaient beaucoup de temps ensemble au point qu’elle passe la nuit dans sa chambre… Et puis, il était valide ce type. Il n’avait pas besoin de canne pour marcher, il pouvait courir, faire des activités librement avec elle. Lui, il était obligé de s’arrêter pour reposer son dos, se déplaçait pas très vite.. Bon sang, elle était fidèle, elle n’irait jamais le tromper mais la tentation était toujours présente pour autant. Et si elle le préférait à lui mais n’osait pas se l’avouer ?! Game Over. Même le jeu s’y mettait pour l’énerver ! Foutue journée. Foutue vie.


©TOWNTROTTER.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Si seulement je m'y connaissais un peu en hachage, tout serait plus simple. Je passe une nouvelle fois la main dans mes cheveux, posant mon coude sur le comptoir, laissant filer mon doigt sur l'écran tactile de mon téléphone, vérifiant pour la énième fois que je n'ai pas de SMS, ou d'appel manquée provenant de Bonaventure. Ce silence m'inquiète, n'est pas habituel, ne lui ressemble tout simplement pas. Je me mordille la lèvre, levant les yeux vers l'horloge dans le fond du bar devant terminer mon service dans quelques minutes, mais l'attente est interminable. J'attrape mon téléphone, m'éloignant en direction de la réserve tandis que je compose une nouvelle fois le numéro de Bonaventure. Je porte mon téléphone à mon oreille, pour entendre une nouvelle fois sa messagerie pour la énième fois. Je raccroche, me mordillant la lèvre . Incapable de le joindre, incapable de demander à ses amis où il est sans éveiller les soupçons, et bloquer au boulot… Je soupire, faisant de nouveau demi-tour pour récupérer mes affaires. Il n'y a pas grand monde de toute façon , mes collègues pourront s'en sortir 5 minutes avant que mon remplaçant arrive. Je sors rapidement dans le froid de ce début de novembre, passant une nouvelle fois une main dans mes cheveux. Bon comment trouver mon Quincy. J'avance dans la rue, terminant d’enfiler mon manteau tout en téléphonant à Summer, lui demandant si le jeune homme est à la Quincy House. Mauvaise pioche ! Je grimace, continuant de chercher lui, envoyant des messages aux personnes susceptiblesde me renseigner . Plus les limites passent, plus l'angoisse se fait ressentir dans mes veines. Pourquoi ne m'a-t-il pas rejoint hier ? L'occasion de se voir reste rare, alors pourquoi n'est-il pas venu ? S'il a eu un empêchement, il m'aurait prévenu . Je souffle un coup, m'arrêtant quelques secondes, pour lever les yeux vers un ciel menaçant, qui ne tardera pas à cracher des voluptés d'eau.Je baisse de nouveau les yeux vers mon téléphone portable...Après une heure de recherches, toujours rien, ayant fouillé un grand nombre de cafés, ainsi que le cinéma … ou encore le salon de tatouages, ayant eu le courage de rentrer à l'intérieur pour voir s'il n'y était pas. Je réfléchis notamment à un magasin de BD, s'il y en a un dans le coin, le cherchant rapidement sur mon téléphone, lorsque la première goutte d'eau tombe sur mon écran, m'obligeant à accélérer le pas, jusqu'à cette dernière… toujours rien . Bordel j'ai fait une connerie c'est pas possible ? Je souffle un coup, essayant une larme qui s'apprête à couler sur ma joue, et me décidant à aller me réfugier dans la salle d'arcade en face, avant d'être trempé jusqu'aux os. J'pose mon regard autour de moi, tout en essorant mes cheveux trempés, regardant ce que j'aurai tendance à appeler «  des geeks » derrière les machines ; avant que mon regard retombe sur un très beau jeune homme, debout seul dans son coin, les cheveux bruns coiffés en bataille, les muscles saillant e ses bras ressortissant dans son t-shirt noir . Je m'approche lentement de lui. «  tu sais que tu n'es pas facile à trouver. » dis-je dans un murmure m'arrêtant à quelques centimètres de lui, laissant mon regard se relever vers le sien, ce regard profond que j'aime tant, et dans lequel j'essaie de comprendre ce qui se passe.



(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Prendre de la distance, se faire oublier quelques heures était peut-être la meilleure des choses à faire. Bonaventure n’aimait pas les conflits, il avait tendance à les fuir comme sa propre vie mais là, il savait qu’il ne pourrait pas fuir Mira éternellement. Pourtant, ce serait peut-être la meilleure des décisions car il craignait que ses mots dépassent ses pensées et qu’il ne la blesse sous le coup de la colère. Il se connaissait suffisamment pour savoir qu’il n’était jamais d’une très bonne compagnie quand il était en colère. Il était même imbuvable songea-t-il en voyant un nouveau Game Over s’afficher sur l’écran. Foutu jeu ! D’ordinaire, il y arrivait presque les yeux fermés mais tellement tourmenté par ses pensées, il n’arrivait pas à se concentrer suffisamment pour tuer tous ses ennemis. Le jeune Weasley pourtant, ressentait une certaine satisfaction à tirer dans le tas, imaginant sans nul doute le visage de ce rival qu’il s’imaginait avoir dans sa vie. Qu’est-ce qu’il pouvait détester ce type ! Il était rare qu’il prenne en grippe une personne mais là, c’était presque naturel de ressentir autant de ressentiment vis-à-vis du président de la Winthrop House. L’envie de lui nuire, de hacker son ordinateur, son portable, de le faire disparaitre numériquement le taraudait mais il se refreina. Il n’était pas comme ça ! Il refusait de faire du mal à une autre personne, pas besoin de se rajouter davantage de culpabilité sur ses épaules.

Alors il continuait de jouer et de jouer, sans faire attention à son portable qui vibrait sur la tablette du jeu. Il n’avait envie de parler avec personne et encore moins entendre les questions débiles comme quoi Mira était impliquée dans ces incendies. Il connaissait suffisamment sa petite-amie pour savoir qu’elle n’était pas responsable, que c’était que des conneries. Bien sûr, il ne s’expliquait pas sa présence dans la chambre de ce type, ni même leur manie à toujours être fourrés ensemble mais il savait qu’elle ne mettrait jamais des dizaines et des dizaines de personnes en danger pour des idioties sans fin. Sa voix résonna subitement à sa droite et il manqua sa cible pour mieux tourner son visage vers elle. « Je n’avais peut-être pas envie d’être trouvé » soupira-t-il conscient qu’il lui devait des explications quant à son comportement puéril mais Bonaventure ne semblait pas prêt à admettre qu’il était jaloux parce qu’il était tout simplement fou amoureux d’elle. L’amour, il l’avait longtemps cherché, il l’avait même réclamé mais maintenant que cela lui tombait dessus, il ne savait plus quoi faire ni même ce comment se comporter. « Tu…C’est moi où tu as les cheveux roses ? » fronça-t-il les sourcils, surpris malgré toute sa colère.



©TOWNTROTTER.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

J'avance telle une âme en peine, au milieu de la rue, laissant mon regard dérivé de gauche à droite, regarder à travers les vitres, pour mieux repartir à la quête de mon petit ami . Je commence même à courir lorsque la pluie bat mes tempes, le regard totalement perdue, comme une droguée en manque, qui n'aurait pas eu sa dose ... en manque de mon Bonaventure. J'ai besoin de lui, d'avoir de ses nouvelles, de savoir simplement où il est, qu'il aille bien, savoir pourquoi il n'est pas venu hier, pourquoi il ignore mes appels. Je viens à me demander ce que j'ai fait de mal . Si j'ai fait quelque chose de travers, dis un mot que je n'aurai pas dû . Je me remets en question à chaque pas, paniquant un peu plus à chaque seconde, et mes larmes finissent par se confondre avec les gouttes de pluie sur mes joues. Je souffle un coup avant de rentrer à l'intérieur de la salle d'arcade. Je ne sais pas si je trouverai Bon' ici, ne sachant pas si c'est un passionné de jeux vidéo, comme c'est un passionné de BD. Mais dans tous les cas, c'est l'endroit idéal, pour rester à l'abri de la pluie, de reprendre un peu mes esprits et de réfléchi à ce que j'ai fait ou n'ai pas fait. Finalement mon regard tombe sur lui, celui que je ne pensais plus trouvé, celui qui illumine mes jours comme mes nuits depuis plusieurs mois à présent. J'inspire un coup, relâchant mes cheveux qui retombent sur mes épaules, tandis que j'avance vers lui, m'arrêtant à quelques centimètres de lui. J'ai envie irrésistible de poser ma main sur son épaule, de laisser cette dernière dériver jusqu'à son cou, et se perdre dans ses cheveux avant de redescendre lentement sur son dos. Mais quelque chose me dit que ce n'est pas le moment, surtout le ton qu'il emploie en se tournant vers moi, me faisant me mordre la lèvre..« oui mais j'avais besoin de te trouver... » dis-je en continuant de me mordiller légèrement la lèvre. Ce n'est peut-être pas un argument en béton, mais je n'en ai pas d'autre. J'ai besoin de l'avoir près de moi , de voir au moins une fois dans la journée son sourire, de sentir ses lèvres contre les miennes, et de pouvoir respirer à pleins poumons son odeur. Oui j'en suis devenue au point de ne plus pouvoir me passer de lui une seule journée . Je vais pour reprendre la parole, pour lui demander ce qui se passe, pour avoir le coeur net, lorsqu'il me questionne sur mes cheveux. Je pose mon regard sur mes pointes qui gouttent encore. « La pluie a dû me décolorer ... » dis-je en reportant mon regard sur lui avec un petit sourire aux lèvres, essayant de faire un peu d'humour. « tu ne voulais pas me voir avec les cheveux roses ? t'était une surprise que je voulais te faire hier mais… tu n'es pas venue... » dis-je en reprenant ma lèvre entre mes dents. « Pourquoi… Qu'est-ce que j'ai fait ? » dis-je en essayant de ne pas faire trembler ma voix. J'ai peur, peur qu'il m'abandonne comme il l'a fait hier soir, qu'il en ait marre de moi, ou … je ne sais pas, je suis perdue. Bonaventure ne sait pas à quel point je suis dépendante de lui, à quel point il a ce pouvoir sur moi de tout bouleversé .



(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Mira se tenait à ses côtés et la première réaction de Bonaventure avait été de se détourner d’elle sous peine de craquer et de la prendre dans ses bras. La frustration de ne pas être libre de l’aimer commençait à lui faire perdre les pédales. Il souhaitait tellement pouvoir être plus qu’un ami, pouvoir prendre sa main dans la sienne, l’embrasser, la faire sienne tout simplement pour qu’on arrête de voir autre chose en elle qu’une sublime blonde célibataire. Il n’était d’ailleurs pas insensible à ses paroles. Elle avait eu besoin de le retrouver. Dans le fond, c’était plaisir à se dire qu’elle était tout aussi dépendant que lui mais il ne pouvait arrêter le venin de la jalousie. « C’est rare quand une pluie te teint les cheveux… je vais pas me risquer dehors, je ne suis pas certain que tu apprécies de me voir les cheveux roses » hausse-t-il les épaules avant de soupirer. Mira se mordillait la lèvre inconsciemment ou non ? Elle savait pourtant combien cette manie lui donnait envie d’écraser ses lèvres sur les siennes tant il la trouvait craquante. « Si… Tu es magnifique les cheveux roses mais j’avoue avoir un faible pour quand tu es tout simplement ma petite blonde » dit-il assez bas pour n’être entendu que d’elle. Il se sentait mal de la voir aussi perdue mais il ignorait quoi lui répondre. A la place, il glissa un énième jeton dans la machine pour débuter une nouvelle partie. « J’avais besoin de m’éloigner car… bon sang, j’ai pas supporté de te voir avec ce type, une nouvelle fois » soupira-t-il en tuant le premier ennemi qui se présentait à lui. « Je sais pas ce qui se passe entre vous et ça me rend dingue. La nuit des incendies, t’étais dans sa chambre et là.. je te retrouve avec lui dans un cimetière alors que je sais que ce genre d’endroit, c’est pas ta tasse de thé » débita-t-il tout cela sans oser la regarder dans les yeux car cela serait admettre à haute voix qu’il était amoureux d’elle. Ils n’avaient pas vraiment parlé de sentiments tous les deux. Ils étaient bien ensemble, désiraient faire un bout de chemin ensemble mais il craignait de la voir prendre ses jambes à son cou si jamais il osait lui avouer qu’il était amoureux d’elle. Pourtant, il crevait d’envie de le lui dire. « Qu’est-ce que tu veux m’entendre dire ? Que je suis jaloux de lui ? Eh bien c’est le cas et ça m’énerve d’être dans cet état. J’ai jamais été jaloux de ma vie et j’aime pas ça » regrettait-il l’envers de la médaille. Bonaventure avait envie de hurler et en même temps d’aller se planquer sous sa couette pour attendre que cela se passe. Il ne se reconnaissait plus du tout.



©TOWNTROTTER.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Le sentiment de joie que j’espérais ressentir en retrouvant mon petit ami, reste malgré tout présent. Un sentiment de soulagement m'a envie lorsque mon regard s'est posé sur lui, le reconnaissant de suite de dos, certaine que je pourrai reconnaître ses fesses entre milles, et aussi cette coupe de cheveux qui le caractérise tant . Une coupe de cheveux qui en dit beaucoup sur lui, sur cette façon qu'il a de passer sa main dans ses cheveux, de les décoiffer dès le matin. Mais le regard qu'il tourne rapidement vers moi, un regard qui n'est pas froid, mais qui semble distant, me met mal à l'aise, me faisant tout de suite penser qu'il m'en veut, que j'ai fait une bêtise et que, comme d’habitude, je vais le regretter d'une façon ou d'une autre. Cette ambiance que je ressens est lourde, alors, pour une raison que j'ignore j'essaie de faire un peu d'humour, pensant que cela détendrait un peu Bonaventure, qui m'adresserait un sourire ce sourire que j'aime tant, mais… rien de cela n'apparaît sur son visage, renforçant un peu plus une culpabilité que je ne comprends pas. « bruns, blond ou cheveux roses, tu restes toujours aussi beau… et les vêtements mouillés en plus, je te dis pas le résultat. » dis-je en souriant doucement, toujours un peu timide, ne sachant toujours pas vraiment son humour, face à son soupire . Je passe une nouvelle fois la main dans mes cheveux, remettant derrière mon oreille une mèche, qui entraîne une goutte d'eau dans mon cou , tandis que je rougis légèrement ace à ses dires, même s'il ne me regarde pas en disant cela, restant le regard fixé sur sa foutue machine. « Ce n'est pas une teinture qui dure longtemps de toute façon. .blondie sera bientôt de retour… et ton sourire aussi j'espère. » dis-je tandis que moi, je ne le quitte pas du regard. Je sais qu'on ne peut pas être libre, même ici au milieu de ces geeks, que cette envie folle de venir me lover contre ses bras, d'attraper son visage en coupe entre mes mains pour l'obliger à me regarder en face, pour finalement comprendre ce qui se passe.Je suis totalement perdue face à cette situation, face à son silence, qui me fait douter de moi, douter des faits et gestes que j'ai pu faire dernièrement, qui aurait pu être mal interprété de sa part. Ou alors une indiscrétion de notre part… je ne sais pas du tout, et ça me tue d'être dans l'ignorance. Finalement je me décale, changeant de place, pour pouvoir me retrouver plus ou moins face à Bonaventure, pour pouvoir capter son regard, voir son visage, son expression tandis qu'il finit par m'avouer ce qui semble le tracasser. Je fonce les sourcils, ne comprenant pas au départ de qui il parle, avant de doucement comprendre, mon visage se détend légèrement, avant de détourner légèrement le regard, relâchant ma lèvre inférieure pour me mordiller plutôt la joue. « il n'y a rien entre Jay et moi, Bona… tu s le seul qui compte pour moi. » dis-je en retenant une fois de plus , ma voix de trembler. Pas sûr que je réussis à la retenir jusqu'au bout. « C'est un ami, juste un ami, à qui j'ai voulu parler le soir de l'incendie, car son frère se trouvait à l'hôpital, que je voulais de ces nouvelles. Et pareil pour le cimetière, j'ai juste voulu lui faire peur et ai discuté ensuite. » dis-je en secouant doucement la tête. « je ne voulais pas regarder un film d'horreur sans toi… Mais a priori toi tu étais dans le cimetière et tu n'es même pas venue me voir... » dis-je en soupirant, recommençant à me mordiller l'intérieur de la joue, sentant rapidement le sang couler dans ma gorge. « T'as aucune raison d'être jaloux de lui Bonaventure bordel ! Jay est juste un ami, et il a un copain qu'il aime plus que tout ! tout comme moi avec toi ! » dis-je en passant une nouvelle fois ma main dans mes cheveux, très mal à l'aise par rapport à cette situation. « je suis désolé… » dis-je simplement, désolé de faire de lui quelque chose qu'il n'aime pas... je laisse une larme couler sur ma joue, tandis que je détourne le regard, m'en voulant de faire de lui quelque chose qu'il n'aime pas..C n'est pas mon but, je ne veux pas ça merde!



(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Il sentait bien que Mira cherchait à mettre un peu de légèreté dans cette ambiance lourde qu’il avait contribué à créer à cause de sa mauvaise humeur. Bonaventure aurait tant aimé pouvoir lui sourire comme si de rien n’était, de pouvoir faire comme à son habitude : ravaler ses problèmes et afficher un sourire à toute épreuve à la face du monde ; Seulement, il n’y arrivait pas. Mira le touchait de trop près pour qu’il puisse se cacher éternellement d’elle. Les mots voulaient franchir la barrière de sa bouche mais il les retenait à grande peine, préférant parler de sa teinture de cheveux. « Je croyais que tu n’aimais pas les blonds ? » dit-il distraitement en songeant avec une certaine amertume que le type qu’elle fréquentait était plus blond que brun. Bon sang, elle ne fréquentait personne d’autre que lui, il le savait mais le peu de manque de confiance en lui le poussait à voir tous les bons côtés du président Winthrop : il était président d’une confrérie, il avait ses deux jambes, il devait très certainement être sportif et en plus, il était loin d’être laid. Génial ! Il n’aurait pas pu trouver meilleur rival que cet homme songea-t-il avec un certain désespoir. « T’es bien en rose aussi hein » dit-il pour qu’elle comprenne que même s’il la préférait en blonde, il l’adorait également avec cette couleur inhabituelle. Cela sortait de l’ordinaire et dieu seul savait combien il aimait ce genre d’excentricité.

Bonaventure a beau essayer de repartir dans sa partie, il ne la quitte pas du regard, voyant bien qu’elle se décale d’un pas pour pouvoir lui faire face. Puis, sans trop savoir pourquoi ou même comment, il craque et déverse toute sa frustration et sa jalousie aux pieds de sa petite-amie. Finalement, il avait besoin de lui dire, de libérer son cœur de ses tourments. Le Quincy n’avait jamais été jaloux avant Mira, il ne sait pas comment agir ni même quoi faire de ses sentiments aussi négatifs. Il connaissait la culpabilité, la colère, la haine, le désespoir, la peur mais jamais la jalousie, le doute ultime de soi, de l’autre. « Je savais que si je venais te voir, j’aurais été blessant et je ne le voulais pas, pas avec toi » soupira-t-il en baissant la tête, se sentant le plus idiot de la terre mais quand il retrouve le courage de lui faire face, c’est pour voir cette larme glisser le long de sa joue. Aussitôt, il lâche son arme en plastique pour l’attirer dans ses bras. « Non c’est moi qui suis désolé, j’ai été idiot. Je sais que tu ne me trahiras pas mais j’étais jaloux comme ce n’est pas permis de l’être » dit-il en la serrant davantage contre lui. Il se fichait bien d’être en public, il en avait marre de se cacher. De tout de manière, le juge avait pris sa décision puisqu’il avait reçu une lettre du tribunal mais il n’avait pas eu le courage de la lire et encore moins de répondre aux nombreux appels de ses parents. La seule chose ou plutôt la seule personne dont il avait besoin à l’heure actuelle se trouvait dans ses bras. « Tu m’as demandé la dernière fois ce que j’avais voulu te dire… Mira, je suis amoureux de toi » avoua-t-il enfin non sans ressentir un certain sentiment de libération suite à cette confession -ça et le fait aussi d’apprendre que son rival était gay mais passons cette info sous silence le temps de ce moment romantique.



©TOWNTROTTER.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Ayant parcouru la ville de fond en comble pour le retrouver, là où je n'aurai pas pensé. Je l'ai cherché avec angoisse,, de ne pas avoir de ses nouvelles, d'avoir fait une énorme bêtise avec lui , que j'aurai ignoré. J'ai toujours la peur qu'il reparte dans son pays, qu'il soit expulsé, que quelqu'un nous est aperçu à Boston..Je souffle doucement lorsque je le retrouve , près d'une arcade, essayant certainement de battre un record , pour passer ses nerfs. «  arrête de jouer sur les mots, tu sais très bien ce que je veux dire par là. » dis-je en levant les yeux au ciel . Je suis nulle pour faire des compliments, mais il ne m'aide absolument pas non plus il faut dire. «  de n'importe quel couleur seront tes cheveux, je te trouverai toujours aussi beau … car il n'y a que toi, je ne vois que toi Bonaventure. » dis-je avec un tendre sourire aux lèvres. J'ai besoin qu'il comprenne ça, qu'il arrête de s'inquiéter d'un autre homme me parle, car pour moi… ceux là n'ont aucune importance, il disparaissent , deviennent totalement flou dès que je pense à lui .J'attrape une mèche de mes cheveux entre mon index et mon pouce, posant mon regard sur cette dernière, un léger sourire aux lèvres. «  j'ai toujours aimé le rose… ça me rappelle la barbe à papa. » dis-je en relevant mon regard vers lui , relachant ma mèche , et laissant retomber ma main sur mon flan, baissant légèrement les yeux au sol.
Je finis par me décaler pour lui faire face, ne plus avoir affaire à son profil, mais pouvoir le regarder dans les yeux et qu'il en fasse autant. J'ai besoin de comprendre ce qui s'est passé, pourquoi il est en colère, pourquoi il semble s'en vouloir autant que moi, je m'en veux . Et finalement le couperet tombe. Je baisse les yeux au sol lorsqu'il me parle de Jay, et de sa jalousie envers lui. Jay est un problème qui revient souvent, déjà présent lors de ma dernière relation avec Wolf, le student étant également jaloux du président Winthrop… mais pourtant le Quincy n'a rien à lui envier. Avec Bon' les sentiments sont présents, tellement présent que cela en devient maladif d'être loin de lui pour moi ! Je relève finalement mon regard clair, qui lui n'a pas changé, vers mon petit ami. « C'était mieux de me laisser attendre comme une conne dans la chambre ?" dis-je en haussant les épaules, après tout c'est pas grave, il vaut mieux enterrer un corps dans les bois plutôt que de se dénoncer à la police? r « j'ai besoin que tu me parles Bon'… si on ne communique pas, ça peut pas marcher. » dis-je en secouant doucement la tête. Il aurait peut-être été cru dans ses paroles, mais cela aurait peut-être été préférable… en fait je ne sais pas, mais j'ai horreur de son silence, tout comme lorsque je l'entends dire qu'il n'aime pas être jaloux…qu'il n'aime pas ce qu'il devient avec moi, selon moi. Je relève de nouveau mon regard vers lui, laissant une larme couler sur ma joue, que je ne prends même pas la peine d'essuyer.. Il est jaloux à cause de moi, je ne supporte pas ça, m'excusant de lui avoir causé du tort de l'avoir fait souffrir involontairement en parlant à Jaysaël. Finalement ses bras viennent m'encercler, sans que j'aie le temps de réagir, posant mes mains dans son dos et ma tête contre sa poitrine, respirant cette odeur que j'attendais depuis hier soir, ses bras dans lequel je voulais me réfugier pendant tout ce temps. « Mais tu n'as pas de raison d'être jaloux. C'est toi qui est présent dans ma tête, et dans chacune de mes pensés » . dis-je en relevant mon visage vers le sien, passant rapidement ma main sur mes joues, pour chasser les traces humides, avant de lui adresser un léger sourire. « J'avoue que l'humeur bourrue ce n'est pas génial » dis-je en riant doucement, restant malgré tout touché par sa jalousie, me prouvant qu'il tient réellement à moi. « Tu... t'es amoureux de moi ? » répétai-je en le regardant, fronçant légèrement les sourcils, me répétant cette phrase dans ma tête pour qu'elle rentre et s'imprime.





Spoiler:
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Il jouait sur les mots pour ne pas avoir à avouer l’impensable : lui Bonaventure Weasley qui ne s’engageait généralement jamais dans un couple était jaloux. Amoureux et jaloux. Mira avait réussi l’exploit de voler son cœur et il ne le regrettait absolument pas. Il était heureux à ses côtés, il éprouvait enfin ce qu’il avait toujours recherché en vain à savoir l’amour. Malheureusement, le revers de la médaille voulait qu’il soit jaloux. A en crever. « J’aime quand tu me dis ça » avoua-t-il maladroitement. Il aimait qu’elle lui dise qu’il était le seul, qu’elle ne voyait que lui. Cela avait tendance à calmer sa jalousie même si pour être honnête, le spectre de ce type continuait de planer au-dessus de ses épaules lui rappelant tout ce qu’il n’était pas ou plus à savoir un sportif, un homme capable de faire le con avec sa petite-amie. Cette vie lui manquait, le basket surtout. Il avait tellement envie de retrouver sa vie d’avant mais repasser à nouveau sur le billard, subir une rééducation, une énième, cela le fatiguait par avance. Pourtant, quand il plongeait son regard dans celui de son petit bonbon rose, il avait envie d’y croire et de se lancer pour lui offrir tout ce qu’elle était en droit de mériter. « Barbe à papa ? C’est ce que j’adore manger dans les fêtes foraines » répliqua-t-il inconsciemment. Il la dévorerait bien pour le coup mais pas aujourd’hui.

Il était bien trop pris dans ses pensées négatives pour simplement apprécier le moment entre eux. « Non ce n’était pas mieux mais je n’avais pas envie de me montrer sous un mauvais jour » soupira-t-il. Il ne voulait pas qu’elle le voit tourmenté, qu’elle comprenne que derrière ses sourires, sa bonne humeur, c’était juste un homme brisé qui se cachait. « Parler… C’est pas mon fort Mira, loin de là » soupira-t-il à nouveau mais la faire souffrir n’était pas non plus dans ses envies. Bonaventure était lâche mais ce n’était pas un méchant bougre. Cette larme lui confirmait une chose : il l’aimait et ne supportait pas de la voir triste tout comme il ne supportait pas l’idée qu’on puisse l’accuser d’avoir mis le feu aux confréries. C’était stupide. Mira n’était pas une pyromane, elle était la personne la plus gentille qu’il connaissait. Bien sûr, elle n’était pas un bisounours pour autant mais cela ne faisait pas d’elle une psychopathe. Elle avait simplement son caractère point final. Il l’attira alors dans ses bras, une de ses mains se glissant sur sa joue pour mieux se perdre dans sa chevelure encore humide. « Je sais bien, j’ai confiance en toi petit cœur. Crois-moi, ça me rend dingue de ne pas contrôler ça mais quand je t’ai vu avec lui… ça a été plus fort que moi » avoua-t-il penaud. « Ouais ça me va pas au teint d’être de cette humeur n’est-ce pas ? » rigole-t-il légèrement avant de déposer un baiser sur son front pour mieux lui avouer ce qu’il lui cachait depuis quelques temps. « Oui… » confirme-t-il en plongeant son regard dans le sien. Il se sentait pour le coup, pas mal intimidé.

Spoiler:




©TOWNTROTTER.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Je souffle doucement, passant de nouveau une main dans mes cheveux, relevant mon regard vers Bonaventure en l'entendant, un léger sourire s'affichant sur mes lèvres tandis que je lève de nouveau les yeux au ciel, la tension s'étant un peu apaisé entre nous deux . J'aime l'air qu'il affiche, ce petit air qui fait apparaître un sourire un peu amusé sur mes lèvres. Un mélange de timidité et peut-être un peu de mal a l'aise, qui le rend encore plus craquant et séduisant. « dans ce cas pourquoi j'ai pas le droit à ton sourire ? Il faut que je le dise des milliers de fois peut-être ? » dis-je un sourire amusé aux lèvres Je ne veux pas que Bonaventure doute de lui, loin de moi cette idée. Il est vraiment tout pour moi, je n'ai pas besoin de quelqu'un d'autre que lui, et personne ne peut prendre sa place. Je finis par me laisser aller à mes rêveries, lui expliquant que le rose est ma couleur préférée, c'est un peu con, mais … peut-être que si je me dévoile un peu plus à lui, lui confiant quelque chose, il sera capable d'en faire de même, même quelque chose d'inutile, je m'en fiche, je veux apprendre chaque détail de lui simplement. « je suis plutôt pomme d'amour… » dis-je, en haussant les épaules, un petit sourire aux lèvres en imaginant cette pomme, et son coulis caramel rouge qui la recouvre. « Peut-être que tu pourrais faire cette couleur non ? » dis-je en secouant doucement la tête en imaginant le résultat.

Et pourtant je ne peux m'empêcher de faire cette remarque, rappelant la nuit passée, où je suis resté seule dans cette chambre à la Quincy House, sa chambre, à l'attendre indéfiniment. Je me suis finalement assise sur le lit, laissant mon regard passé de la porte close à mon téléphone portable resté silencieux toute la soirée. Je me suis inquiété, ignorant ce qui se passait et me sentant simplement… abandonnée ; Abandonnée une fois de plus par une personne que j'aime, pour qui je pensais compter… Tout comme ce fut le cas avec ma mère. C'est différent, mais le sentiment reste le même dans le fond. « Mais Bona', je m'en fiche de ça, tu comprends . Que tu sois souriant, de mauvaise humeur, malade ou je ne sais quoi c'est pas une raison pour me fuir ! » dis-je en me mordillant la lèvre. Au contraire même, je veux connaître chacune de ses facettes, qu'elle soit belle ou non. De mon côté ça ne changera rien aux sentiments que j'ai pour lui. « Je sais mais… j'ai besoin de savoir quand quelque chose ne va pas… Au pire tu envoies un message... » dis-je en levant les yeux au ciel . Me prévenir, me dire qu'il ne venait pas m'expliquer, s'exprimer sur ses sentiments, ce qu'il ressent simplement, par écrit… c'est peut-être plus simple je sais pas.
Je souffle doucement en venant me réfugier dans ses bras, oubliant que je lui en veux, profitant simplement de lui et de sa force pour me laisser aller, soulagé de retrouver mon panda, amateur de câlin et de mettre à plan cette histoire de jalousie. Ça me bouffe de le voir se morfondre à cause du Winthrop, mais surtout à cause de la relation qu e j'entretiens avec lui . Mais Jay reste mon ami, je veux juste que Bona' comprend qu'il ne se passe plus rien avec, qu'il est le seul à faire battre mon coeur... « dis-toi que Jay est contre l'infidélité également, alors il ne risque pas de le tromper, si ça peut un peu plus te rassurer. » dis-je avec un petit sourire, passant tout de même sous silence notre passé sexuel « disons que je préfère ton sourire autant que toi tu préfères mes cheveux blonds. » dis-je en haussant les épaules, heureuse de retrouver mon petit ami, ainsi que ce petit surnom qu'il me donne. Son aveu sur ses sentiments, me coupe le souffle pour ainsi dire, ayant du mal à réaliser qu'il me dévoile enfin ses sentiments . Et sur le coup, je ne sais que dire, répétant ce qu'il a dit, laissant cette phrase s'imprimer dans mon esprit. Je relève mon regard vers lui, plongeant dans le sien. « Moi je n'ai jamais aimé quelqu'un autant que toi. » dis-je dans un murmure, lui adressant un sourire, avant de déposer mes lèvres sur sa joue . L'envie de l'embrasser, de poser mes lèvres sur les miennes est trop importante alors je me décale de lui, un pincement au coeur, mais je ne veux pas risquer son expulsion. « tu me montres comment on joue ? » comme d'habitude je change de conversation, lorsque la conversation me met mal à l'aie, même si pour le coup… c'est plus par ausement





(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)