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A day at Pleasant Bay.

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FEAT. SUMMER | « Ah non mais les pancakes bonhommes, c’est une institution, c’est sacré…Si tu les ratais par ma faute, j’irais me confesser chez le premier curé que je trouverai » s’exclama-t-il. Il aimait bien trop ces petits déjeuners à attendre qu’elle termine ses petites œuvres d’art pour mieux les dévorer avec du Nutella ou du sirop d’érable voire avec de la compote. Paris aimait varier les plaisirs. C’était idiot, il était un homme foutrement grand mais il retombait en enfance tous les dimanches matin. Sa mère n’avait jamais été très douée en cuisine malgré tous les efforts qu’elle avait fait dans ce domaine. Quelques instants plus tard, la magie des dimanches matin fut rapidement remplacée par une image des plus salaces qui lui coupa toute envie. « Non mais c’est toi qui joue sur mes mots et me parle d’Amanda et Bonaventure. Après tu n’étonnes pas si je m’imagine des trucs… La dernière chose que je souhaite, c’est bien de mettre junior dans n’importe qu’elle bouche surtout si elle est masculine !! » lâcha-t-il en secouant la tête à nouveau. Ouais, il y avait des choses que même sous l’excuse de l’humour, qu’il ne pouvait pas concevoir. Paris n’était pas homophobe, loin de là mais clairement, il ne voulait rien faire de sexuel avec un mec de toute sa vie…

« Hein ! Mais non, je te taquinais… je dis pas que tu me prends pour une chupa chups dès que tu veux quelque chose mais tu sais clairement m’arrêter de jouer à Call of Duty de cette manière » haussa-t-il les épaules avant de se pencher en avant pour l’embrasser tendrement. « Ne va pas croire que je te prends pour une salope qui à la langue trop pendante bébé, c’est loin d’être le cas » mit-il les choses au clair afin de ne pas partir dans une dispute sans fin tout simplement parce qu’il se serait à nouveau mal exprimé. Hors de question que de gâcher ce moment ou même leur journée. Au final, le couple retourna auprès de Bonaventure qui ne put s’empêcher de râler et comment vous dire… Paris bombe fièrement le torse quand Summer le tacla. « Laisse béton bébé, il a pas l’habitude de durer plus de cinq minutes » le charia-t-il à son tour tandis que le Weasley lui faisait un doigt d’honneur. « Hey pas de ça devant ma fille… tu vas la traumatiser » rigola-t-il en posant sa large main sur les yeux de la petite. « Avec des parents comme vous ?! Elle l’est déjà assurément » répliqua-t-il avant de les laisser reprendre leur petite journée et lui la sienne.

Summer termina par lui tendre la photographie et Paris scotcha une bonne longue minute avant de partir dans un grand éclat de rire qui fit tourner bien des têtes dans leur direction. « J’y crois pas… » dit-il tandis que sa fille lui tapotait le ventre comme si elle craignait qu’il perde son souffle à trop rigoler. « Si je te dis que toi et moi, on s’est déjà connu bibliquement avant le rendez-vous à l’hopital pour le suivi d’Ashlynn ? »

 



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FEAT. PARIS | Cette remarque de Paris sur le fait d’utiliser ma bouche avec Junior pour mon intérêt personnel avait eu de quoi me rendre perplexe. Lorsque Paris m’expliquait enfin en me donnait un exemple avec Call of Duty, là je me mis à sourire en coin avec malice et lui répondais simplement : « Hey Chacun sa façon de jouer d’accord ?! T’as ton joystick…et moi j’ai le mien » lançais en point discrètement de l’index l’entrejambe de Paris avant que ce dernier ne vienne me certifier qu’il ne me comparait pas à une salope pour ce genre de chose. Et là, c’était à mon tour de le rassurer, en secouant la tête, un ton bien moins tendu que tout à l’heure, ce qui d’ailleurs n’avait pas été souhaité un peu plus tôt. Loin de moi l’idée de chercher la dispute, mais bel et bien de comprendre. « Ah mais non, non, t’inquiète je n’ai pas cru que tu pensais ça, mais c’est juste que…l’espace d’un instant, je te donnais l’impression de me SERVIR de ça pour arriver à mes fins, alors que ce n’est pas le cas. Avant tout, si je le fais, c’est que j’en ai envie quoi ! »

C’est avec cette clarification que Parsi et moi avions regagné la plage et notre emplacement. Bonaventure nous quitta bien vite – sans doute dégoûtée à l’idée d’être battu par Paris en « sport » - et comme convenu, je prenais contact avec mon père pour lui demander la fameuse photo. Le temps qu’il s’en occupe, on s’était intéressé à Ashlynn et on se marrait à la voir se dépatouiller avec sa pelle, quand mon téléphone bipa, signe que mon père m’avait sans doute répondu. Je pris le téléphone, le déverrouilla pour le tendre à Paris sans regarder au préalable. Sur le coup, je ne pris pas vraiment conscience du temps qu’il fallut à Paris pour réagir, mais quand il le fit, je bondissais soudain sur place, en le regardant s’esclaffer au point que tout le monde nous regardait : « Euh, ça va là ? Tu te fous bien de moi sur cette photo ? » Rétorquais-je plus que mal à l’aise à l’idée qu’il se marre comme ça, en regardant ma tête de l’époque. J’en étais presque vexée…et quand je dis presque, il faut comprendre un « presque, à la Summer », soit en réalité « SUPER » vexée ! J’allais lui reprendre l’appareil des mains complètement blasée quand la remarque de Paris me coupa net. « Bibliquement ?! Nan, je ne crois pas, nan…je m’en serais souvenu. Un mec comme toi, ça passe pas inaperçu déjà, et deuxièmement : jusqu’à preuve du contraire, je me souviens de TOUS les mecs avec qui j’ai couché…Et femmes aussi, mais ça tu t’en fous. » Nan, je ne sais vraiment pas ce que Paris sous-entend par-là, mais on n’avait pas pu coucher ensemble avant qu’on ne se connaisse lui et moi. J’en étais persuadée…à moins que….


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FEAT. SUMMER | « Tu es la seule à me sortir des choses pareilles amour de ma vie ! Tu es encore plus allumée que moi sur la question et tu sais quoi ?! J’adore ça ma tigresse » lui répondit-il avec un sourire autant ravi qu’amusé. Summer était tout ce qu’il recherchait chez une femme : elle était douce, aimante, pleine d’humour et un brin perverse. Il ne pouvait pas non plus la réduire à ces quelques qualités car ce ne serait pas rendre justice à la femme extraordinaire qu’elle était mais voilà, il l’aimait beaucoup pour cela. Elle était la femme de sa vie, point final. Allez ailleurs ? Impossible et surtout impensable. Paris l’aimait trop, il ne voyait qu’elle. Bien sûr, il restait un mec et cela lui arrivait encore de se retourner sur une femme mais c’était un vieux réflexe, il n’était pas attiré concrètement. C’était comme si vous agitiez un bon beefsteak sous ses yeux mais Summer, elle, c’était son Big Mac ! L’image n’était pas la plus glamour mais quand on connaissait son amour du Big Mac, cela prenait tout son sens. En tout cas, loin de lui, l’idée de la cantonner dans le rôle de la nana qui passe le plus clair de son temps à l’appâter avec du sexe pour obtenir tout ce qu’elle souhaite de lui -un sourire était déjà son arme la plus redoutable. « Non, tu me fais aucune impression de ce genre bébé… j’espère bien que tu le fais parce que tu en as envie sinon…bordel, tu serais une sacrée bonne actrice dans ces moments-là alors » lui dit-il en prenant le bout de son nez entre son pouce et son index pour lui faire comprendre que le sujet était clos. Ils s’étaient compris, c’était le principal.

Bonaventure avait finalement opté pour un retrait stratégique non sans marmonner quelque chose dans sa barbe de deux jours. Paris lui, avait eu un grand sourire du début jusqu’à la fin. « Tonton Bonaventure s’est fait moucher par maman, note bien la technique, c’est comme ça que tu devras parler aux hommes sauf à papa ma chérie » commenta-t-il en chatouillant le ventre de sa fille avant de s’asseoir sur sa serviette, la petite assise à ses côtés. Summer entre temps avait enfin reçu la photo et la lui tendit. Son premier réflexe avait été d’éclater de rire mais quelque chose de bien. Ce n’était pas méchamment ni même dans le but de se moquer car entendons-nous bien, elle était foutrement canon sur la photographie. « Ouais ben mec ou nana, c’est le même combat !! J’ai pas envie d’en savoir plus mais je t’assure… je fais partie du lot » rigola-t-il avant de secouer la tête. « C’était en 2009, Floride… Une boîte de nuit appelée The Duke. J’y avais passé deux jours à cette époque pour aller chercher ma grand-mère. Tu dois pas t’en rappeler car à l’époque, j’étais pas franchement un dieu grec… j’étais même plutôt du genre gros roux »


 



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FEAT. PARIS | J’avais eu envie de rire aux éclats quand Paris m’avait signalé qu’on s’était connu bibliquement…non pas que l’idée d’avoir couché avec Paris bien avant que je le pense ne me déplaise, hein ! Non c’est juste que…je m’en souviendrais nan ? Un mec pareil, sérieusement, ça ne s’oublie pas. Je me montrais donc sceptique, voire catégorique, surtout lorsque Paris évoqua l’année 2009 : j’étais prête à le couper pour lui dire que c’était impossible et assurer que « nan en 2009 j’avais tout juste 16 ans et à cette période, je ne fréquentais pas grand monde… », mais je n’ai pas pu. En réalité, dès que Paris avait articulé les mots « boite de nuit » et « The Duke », mon cerveau s’était mis en marche pour me remettre en image cette soirée d’anniversaire chez une amie, qui s’était terminé dans cette boite précise, parce que la sœur aînée de cette dite amie avait voulu conclure sur une note plus festive, nous emmenant bien que l’on soit mineur et donc légalement pas autorisé à pénétrer dans la boite de nuit.

Et cette à cette fameuse soirée que j’avais rencontré cet inconnu. Ce jeune homme tout à fait adorable, bien que complètement en dehors des stéréotypes. De quel stéréotype je parle ? Celui plus que véhiculé par l’adolescence : le mec super beau, tonne de gel dans les cheveux, dégaine de rebelle ou encore de footballeur populaire du lycée. Nan vraiment, ce jeune homme n’était rien de tout ça, et c’est justement ce qui m’avait plu chez lui. C’est idiot, et je sais déjà qu’on va me dire que toutes les filles tiennent ce discours, mais : je ne me suis jamais intéressé à l’apparence des gens. Tout simplement parce que j’avais déjà bien à faire avec mon jugement sur ma propre apparence pour oser critiquer celle des autres. Alors quand Paris ici présent, se désignait comme un gros roux, pour ma part, je ne l’aurais jamais qualifié ainsi à l’époque ni même aujourd’hui. Le souvenir qu’il me restait moi, c’était celui d’un garçon qui avait tout fait pour etre tendre et délicat malgré le lieux de nos ébats : il avait été le deuxième homme avec qui j’avais couché et autant dire que le faire dans une voiture aurait du être inconfortable et gênant pour moi, voire peut-etre dégradant. Et pourtant, ce jeune roux aux yeux bleus acier, ce garçon un peu nerveux, avait réussi à rendre cette nuit impérissable, et la plus agréable que j’ai pu vivre…avant Paris. Et aujourd’hui, apprendre en réalité que le Dunster et lui n’était qu’un seul et unique garçon ?! Il y avait de quoi être surprise. « J’y crois pas… » finissais-je par dire encore sous le choc de la révelation. « Mon ptit roux choupi, c’était toi ?! » Je fixais Paris avec des yeux ronds et la bouche à moitié ouverte, avant que cette dernière ne se transforme en un brillant sourire. « Tu sais que…c’est dingue mais, c’est grâce à toi que j’ai finalement apprécier de faire l’amour à sa juste valeur ? Sérieusement : Le mec avant toi, qui m’a dépucelé, m’avait laissé un sale souvenir crois-moi. Et je me suis toujours dit « heureusement qu’il y’a eu mon inconnu roux…grâce à lui, je me suis à nouveau accepté sexuellement parlant. » J’en reviens pas que…enfin, avoue que c’est juste hallucinant quoi ! »

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FEAT. SUMMER | En 2009… Bordel que Paris aurait aimé oublier toute cette période. En réalité, il aurait préféré oublier toute la période entre ses dix-huit et ses vingt ans tant il se détestait. Il y avait de quoi : il était trop grand gros, trop roux et surtout trop gros à cause du régime protéiné qu’il avait cru utile de faire pour perdre cette foutue image du gamin mal nourri, trop maigre. Résultat, il avait morflé sévèrement sur la balance, allant jusqu’à ne plus oser se regarder la glace. C’était un peu à se demander comment Summer avait accepté de coucher avec lui. A l’époque, il n’était pas l’armoire à glace qu’elle connaissait actuellement. Il n’avait aucun succès auprès des femmes pour la simple et unique raison que le physique jouait beaucoup pour la gente féminine. Gauche, intimidé, il draguait aussi bien qu’un aveugle lisait sans braille. Non, ce n’était pas une époque glorieuse de sa vie et en quelque sorte, il aurait aimé que Summer n’en fasse pas partie mais voilà que le destin en avait décidé autrement. Oh pour sûr qu’il rigolait en la voyant rousse car dans le fond, c’était marrant. « Ton ptit roux choupi ? C’est bon, le peu d’amour propre qu’il me restait de cette époque vient de décéder » rigola-t-il en secouant la tête. Il n’y avait qu’elle pour lui sortir des choses pareilles. Son petit roux choupi…

Summer lui expliqua alors qu’elle avait connu une première fois désastreuse et qu’il lui avait rendu toute sa confiance sexuelle grâce à leur étreinte sur le siège passager de sa voiture. « Il n’avait franchement pas assuré pour que tu gardes un sourire positif de l’ancienne voiture de ma grand-mère » dit-il en secouant la tête. « Comme tu dis, c’est hallucinant ! Bon, j’aurais aimé que tu ne connaisses rien d’autre que ce corps de rêve mais bon… au moins maintenant tu comprends pourquoi je te dis qu’il faut vraiment pas prendre en compte l’avis des gens surtout que dans mes souvenirs, t’étais une foutue bonasse en rouquine. Je me rappelle qu’avant de t’aborder, j’ai dû prendre mon courage à deux mains. Je me disais que tu étais trop belle pour un type comme moi, que t’allais simplement m’envoyer chier » lui avoua-t-il en haussant les épaules. « Mais attends… t’étais mineure !! » s’écria-t-il en se redressant pour plonger son regard dans le sien. « Qu’est-ce que tu foutais dans une boite de nuit ?! »

 



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FEAT. PARIS | Je rêvassais à notre souvenir commun, me rappelant comme le Paris jeune avait été nerveux dans ces premières paroles, et comment il avait pourtant réussis à faire bondir le cœur dans ma poitrine parce qu’il était venu m’aborder. A l’époque, paroles qui m’étaient destinées n’avaient bien souvient rien d’agréable, et bien que fraîchement revenu de ma cure contre l’anorexie j’avais fait serment de ne plus me soucier des méchancetés lancé par les autres, à chaque fois qu’on venait me parler, j’appréhendais le moment. Et ce soir-là, Paris avait apparemment pris son courage à deux mains pour venir me voir, et moi, j’avais simplement apprécié ses compliments de l’époque, sa nervosité était adorable, son physique en rien reboutant pour moi, et ses yeux…ses yeux sincères. J’avais été séduite par sa personnalité (de l’instant, sans doute) et avait très vite succombé à ses avances, à ce slow qu’il m’avait accordé, à ses bras qui m’avaient entouré, et sa tendresse particulière. Repensant à tout ça, je regardais Paris avec amour et répondait malheureusement maintenant à ses questionnements de l’époque en lui expliquant déjà pour le garçon qui lui avait précédé. Et j’ajoutais également ceci : « Mon cœur. Que tu le veuille ou non, tu étais mon ptit roux choupi. Le seule regret que j’ai eu de ce soir-là, c’était de ne pas avoir demandé ton nom ni même si on pouvait se revoir. Tout était allé vite, et je pensais que c’était justement le côté éphémère du moment qui t’avais séduit. Du coup, je suis resté sur ce simple acquis. J’ai bien souvent pensé à toi, tout au long de ces années : à me demander si je t’avais laissé un souvenir aussi important que celui que tu m’avais laissé. On avait certes couché dans une voiture, mais…comment dire…je retiens juste ta tendresse, ta façon de m’avoir traité avec délicatesse. Tu n’as pas juste tiré ton coup et point ! Tu as fait en sorte que ce soit un bon moment. NOTRE bon moment tu vois ? » Je posais alors ma main sur sa joue et la caressais du bout du pouce en souriant avant de lui dire en réponse à son appréciation « Et puis je n’étais pas trop belle pour toi. Moi je te trouvais beau…t’étais plus enrobé que maintenant, certes mais…ton regard, ta bouche, ta présence rassurante…ça se faisait de toi quelqu’un plus qu’intéressant à mes yeux. » Et là, alors que j’allais m’approcher de Paris pour l’embrasser, voilà que le Dunster se mit à hurler. Oui j’étais mineure…et c’est un détail que j’avais bien oublié de préciser à l’époque. Je me pinçais les lèvres et haussais à mon tour les épaules « Oups…c’est vrai, t’étais pas au courant ». Je me reculais pour reprendre ma position initiale et tout en observant Ashlynn, je répondais à sa question « C’était une soirée d’anniversaire : la sœur de mon amie, elle plus que majeure, a voulu nous emmener passer la soirée en boite et comme elle connaissait le videur, on est un peu passé illégalement. Du coup une fois à l’intérieur, tu te doutes bien qu’on n’allait pas crier sur tous les toits qu’on avait que 16ans… » Il y eu un léger moment de silence avant que je ne finisse par un dernier commentaire « Et dire qu’à quelques semaines près, tu aurais pu être mon premier mec. Ça aurait peut-être été bien mieux pour moi d’ailleurs. »

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FEAT. SUMMER | La vie pouvait se montrer assez marrante dans son for intérieur. Qui aurait pu penser que Summer et lui s’étaient connus au moment les plus délicats de leur existence ?! Elle sortant de sa cure contre l’anorexie, lui, luttant avec ses kilos en trop à cause de son envie de ne plus être maigre. Au final, sans même le savoir, ils avaient ouvert le premier chapitre du livre de leur vie : Pammer Jr. Chaque mot qu’elle prononçait ne faisait que le rendre d’autant plus amoureux d’elle. Il n’y avait bien que son bébé pour penser ainsi, c’était juste incroyable comme son moi plus jeune, avait eu le même coup de foudre. Des années plus tard, ils s’étaient à nouveau reconnus, aimé. « Je n’étais que de passage à l’époque, je ne savais même pas ton prénom non plus. Dans ma tête, tu étais ma rousse, ma petite rouquine aux yeux bleus. Bordel, si j’avais su que je te faisais craquer à l’époque, crois-moi, je t’aurais épousé sur le champ. Une nana qui craque pour un roux enrobé, ce n’est pas tous les jours hein. Je ne sais pas pourquoi, personne n’aime les roux… mais là, je cumulais deux handicaps » grimaça-t-il. Il était touché par ses mots et comme d’habitude, il sortait une grosse connerie pour le lui dire. « Ce qui me rassure, c’est que des années plus tard, en blonde, j’ai eu le même coup de foudre » dit-il prêt à l’embrasser également quand un détail frappa son esprit tel un uppercut bien placé. Elle était mineure au moment des faits. Il s’était tapé une mineure. « Ouais je me doute bien mais il me semble bien t’avoir demandé si tu étais bien majeur avant de te faire faire un tour dans le Paris Express » la taquina-t-il avant d’être coupé dans son élan par la dernière phrase de sa belle. « Bébé, crois-moi, limite, c’est mieux que je n’ai pas été ton premier amant. Au moins, je partais avec un bonus à l’époque » plaida-t-il sa cause avant de l’embrasser. « Même si.. l’idée d’être le seul et l’unique de toute une vie aurait eu son charme mais déjà, n’être plus que le seul pour toi… C’est déjà très bien » susurra-t-il contre ses lèvres avant de l’embrasser à nouveau. « N’empêche, qu’est-ce que tu étais bonne en rousse ! »
 



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FEAT. PARIS | Finalement, le destin nous avait à nouveau réuni et c’était le principal en somme, mais j’avoue qu’en entendant Paris dire que lui aussi avait été marqué par notre première rencontre et que s’il avait su ce que j’avais éprouvé pour lui, il aurait tout fait pour me garder à ses côtés, cela avait de quoi donner l’impression que toutes ces années avaient été du gâchis. Je soupirais en pensant à tout ça, en ricanant à la remarque de Paris sur le fait que même en blonde je lui avais finalement fait de l’effet. « HA.HA. gros malin…Je pourrais dire la même chose tu sais : T’as de la chance que j’ai eu le coup de foudre pour ton côté armoire à glace ! » déclarais-je tout en passant une main dans ses cheveux pour les ébouriffer et finalement agripper quelques mèches entre mes doigts et attirer la tête de Paris vers moi pour un baiser. « Ce qui prouve que : peu importe comment tu es, je t’aime tout pareil ! » confirmais-je avec une petite voix enfantine.

Et c’est le débat sur mon jeune âge qui fit son apparition, Paris se plaignant sur le fait que je ne lui avais pas avoué que j’étais mineure à l’époque. Je riais nerveusement à son propos, me rappelant bien qu’il avait insisté en me demandant ce soir-là si j’étais bien majeure et consentante : « Tu te fous de moi ?! Si je t’avais dit que j’étais mineure, tu aurais détalé à la seconde où je l’aurais avoué. Et moi, j’avais envie de cette soirée, de ce moment avec toi. Je suis sûre que si on avait inversé les rôles : que ce soit moi la majeure qui viennent t’interpeller et te propose d’aller plus loin, et toi le mineur…tu aurais fait quoi ? Tu aurais avoué pour ton âge ? »

Puis finalement, après réflexion sur le sujet, Paris admettais que les choses s’étaient finalement déroulées comme il le fallait : Peut-être que nous n’aurions pas évolué pareils si on avait pu faire perdurer cette relation. Ou pire encore : peut-être que si, on aurait évolué exactement pareil : moi complètement perdue et incertaine (ouais enfin pour ça, je n’ai pas trop changé) et Paris, Casanova, enchaînant les coups d’un soir. Ça n’aurait clairement pas fonctionné….j’haussais les épaules, acceptant fatalement la remarque, bien que dans le fond, mon petit côté romantique préférait croire que Paris aurait été ma force de l’époque, et moi la sienne, et qu’au final, on aurait eu une relation heureuse et longue…comme celle que l’on s’apprêtait à vivre maintenant. Paris m’embrassa pour conclure ses dires, et je lui souriais bien vite après. Un petit silence s’installa jusqu’à ce que Paris, égale à lui-même, y ajoute un dernier commentaire. Je me redressais un peu et prenant un air décidé, déclarais : « Bon, c’est décidé : dès qu’on rentre, je me teins en rousse ! »

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FEAT. SUMMER | C’était tout de même déconcertant d’apprendre qu’il avait été intime avec Summer bien avant leur toute première rencontre. Cela rendait les choses encore plus concrètes, encore plus « destinabilisées ». Bon ce mot n’existait clairement pas dans le dictionnaire mais c’était pour dire combien tout cela avait été écrit. Paris n’était pourtant pas un homme très romantique -pour preuve, il avait besoin d’un magasine pour l’être ; mais il savait reconnaitre par moment, les signes du destin. Même un scientifique habitué à se référer aux faits et rien qu’aux faits, ne pouvait prendre cette nouvelle information comme si ce n’était pas important. Cela l’était, pour elle, pour lui, pour eux. Un autre chapitre de leur histoire, un prologue plutôt. « Pourquoi tu aimes que les roux potelés ?! Non parce que je me disais que le Paris 2.0 était tout de même beaucoup plus sexy que le premier » répondit-il même si quelques instants plus tard, il s’insurgeait contre le fait qu’elle lui ait menti. « Hey retourne pas la chose contre moi. C’est moi qui râle dans cette histoire, me pique pas mon rôle » s’exclama-t-il même s’il n’était pas contre un autre baiser. « Mais bon, si tu m’embrasses à nouveau, je veux bien te pardonner » susurra-t-il, ses mots faisant échos à ses pensées.

Oui, la vie était déconcertante mais elle faisait toujours les choses dans le bon sens. Chaque chose arrivait pour une bonne raison lui rappelait souvent sa grand-mère et elle n’avait pas tort. Summer et lui étaient faits pour se trouver, pour s’aimer. « Je ne dirais pas non à retrouver ma petite rouquine mais au moins, si je pense à elle, je n’aurais pas l’impression de te tromper » rigola-t-il avant de l’embrasser à nouveau. Ses lèvres, dieu qui les aimait. Ashlynn, elle, elle voyait surtout le fait que personne ne s’occupait d’elle et commença à chouiner. « Tiens, c’est bien une fille, toujours à couiner » rigola-t-il avant de regarder sa montre. « Qu’est-ce qu’on fait ?! On se sèche et on se rhabille pour aller faire du shopping comme convenu ? J’aimerai bien trouver un souvenir pour Ash’. C’est son premier summer camp, faut marquer le coup »

 



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