Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityA day at Pleasant Bay. - Page 3
Le deal à ne pas rater :
SSD interne Crucial BX500 2,5″ SATA – 500 Go à 29,99€
29.99 €
Voir le deal


A day at Pleasant Bay.

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
FEAT. SUMMER | « Bébé, le jour où tu seras sage, ça sera dans ta tombe parce que tu n’auras plus les moyens de réclamer certaines caresses qui te font perdre la tête à coups sûrs » dit-il avec un sourire moqueur. Il la taquinait gentiment mais il savait qu’il était sûrement pire qu’elle car lui, n’hésitait pas à la caresser sensuellement pour la sortir de ses bouquins quitte à passer sous la table. D’ailleurs, c’est bien pour cette raison qu’il adorait quand elle portait des jupes car c’était d’autant plus aisé pour lui d’arracher sa petite culotte et de s’adonner à cet attouchement sulfureux qui avait le don de l’envoyer très facilement au septième ciel. Paris usait et abusait de la carte sexuelle car c’était sa façon à lui de montrer son affection, son amour. A la base, le jeune homme n’était pas très tactile ou câlin. Il avait même tendance à détester ce genre d’intimité car il avait l’impression qu’on envahissait son espace vital. Or, auprès de Summer, il avait commencé à développer un certain attrait pour ce genre de moment tendre, allant même jusqu’à les provoquer ou répondre à ses moues boudeuses rapidement. Elle lui avait appris tellement de choses mais à aimer était très certainement la première. Paris était tout de même heureux d’une chose : il n’avait pas à supplier pour qu’elle veuille s’adonner aux plaisirs de la chair et ça, c’était un détail qui avait son importance. Franchement, avec son besoin perpétuel de calmer ses nerfs, le fait d’avoir une femme qui répondait toujours présente, c’était limite une bénédiction. Néanmoins, gare à celui ou celle qui résumerait leur histoire d’amour à une banale frénésie sexuelle car ce n’était pas le cas, loin de là. Summer était son roc mais aussi la personne qu’il aimait protéger.

Ashlynn était donc à ses yeux, la parfaite incarnation de leur amour. Certes, ils ne l’avaient pas conçu ensemble mais cela faisait cinq mois qu’ils l’élevaient ensemble et aux yeux de Paris, cela revenait à la même chose. Cet enfant était le fruit de leur amour et pour rien au monde, il ne voulait que ça chance -même si elle avait tendance à être aussi cogneuse que son père. D’ailleurs, ni Summer ni Paris n’avaient encore songé à l’inscrire dans une crèche pour la rentrée prochaine. Nul doute que cela allait être une véritable course contre la montre mais pour l’heure, le couple était bien ancré dans leur naïveté parentale. Paris était même beaucoup plus préoccupé -façon de parler ; de l’addiction au jeu des Sims de sa belle. Summer pouvait passer des soirées entières devant ce jeu et malgré lui, il avait été piqué par la curiosité de savoir ce que leurs doubles virtuels devenaient. « Je t’avais dit de tricher pour lui faire obtenir des promotions ou me faire rajeunir ! Quoique… je suis certain que Paris sims adore les courbes fermes de sa femme » rigola-t-il en venant prendre en coupe très brièvement l’un de ses seins pour appuyer ses propos. Summer en alla même de sa petite menace et son compagnon la regarda avec un sourire amusé. « Fais ça et ton stock de petites culottes risque de diminuer à nouveau à vue d’œil… Tu sais très bien comment je capte ton attention dans ces moment-là… D’ailleurs, c’est quand que je peux admirer ton bikini ? »




©TOWNTROTTER.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
FEAT. PARIS | Je secouais la tête fortement quand Paris me rappelait qu’il m’avait conseillé de tricher dans le jeu pour obtenir des promotions « Ou serait le challenge dans tout ça ?! Tricher, c’est marrant qu’un temps ! Là au moins y’a du défi tu comprends ? » Pas sûre qu’il comprenne, ou tout du moins qu’il comprenne pour engouement pour ce jeu, bien qu’il s’en amusait beaucoup. Pas étonnant que je le menace alors de jouer si jamais il continue de m’en parler ; sous-entendu de me charrier à ce sujet. Sa remarque sur mes petites culottes me fit cependant bien rire, je le reconnais. Tout en plaquant ma main sur le haut de son crâne, écrasant ses cheveux au passage, je bloquais ma main en place et lui répondait « Qui sait ? Ça se trouve je fais exprès de jouer pour que tu captes mon attention comme tu sais si bien le faire ! » Je lui fis un clin d’œil en souriant, mais perdais bien vite mon sourire quand le Dunster évoqua mon bikini. Nerveusement, je me mordis le côté de la lèvre tout en relevant la tête pour observer autour de nous, avant de répondre avec hésitation « Hmmm…Je pense que je vais rester comme ça. » puis je prétextais un peu convaincant « Et puis je suis bien là, je n’ai pas chaud ni rien. J’ai que ce short et ce T-shirt par-dessus, donc c’est bon ! » Me mettre en petite tenue devant Paris, je ne me posais que rarement la question…Mais me mettre en petite tenue dans un lieu publique, ou des personnes pouvaient me voir, me juger, cela me rappelait à de bien mauvais souvenir de collège et lycée, ainsi qu’à ce moment bien terne de ma vie d’ado un tout petit peu moins fine que les autres et qui avait fini anorexique…

Je tentais de faire diversion en m’intéressant alors à Ashlynn et lançait la discussion en sa direction : « Ta fille a besoin que tu lui montre comment on se sert de cette pelle et ce seau…si tu ne veux pas qu’elle te tape à nouveau avec, il faudrait lui expliquer deux trois choses ! », déclarais tout en me grattant nerveusement le haut de la tête, un peu mal à l’aise.

©TOWNTROTTER.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
FEAT. SUMMER | « Je comprends surtout que tu es totalement mordue de ce jeu ! » répliqua son fiancé avec un sourire en coin. Il ne pouvait pas vraiment lui en vouloir, lui-même était complétement timbré de son jeu call of Duty. Il lui arrivait même de passer des jours devant la console simplement pour péter des records. Toutefois, en dehors du jeu, le pire était sans doute les matchs de hockey. Là, Summer était assurée qu’il les passait avec Matthew en mode supporter passionnés. Néanmoins, Paris aimait lui rappeler justement que ses petites culottes étaient les premières victimes de ses parties endiablées sur le jeu. Allez savoir, il y avait très certainement un fond d’égoïsme chez Maconahey car il aimait bien avoir Summer pour lui tout seul quand il le voulait. Il se rassurait en se disant qu’elle-même, savait réclamer son attention quand il était occupé. Dans le fond, l’égoïsme avait du bon avec la personne aimée. « Je sais que tu le fais exprès… mais pour ton budget fringue, par moment, tu devrais oublier d’en mettre » rigole-t-il de sa connerie. Paris serait le premier à l’enfermer à l’appartement s’il apprenait qu’elle sortait sans petite culotte. Il préférait tout de même qu’elle lui réserve ce genre de surprise. En parlant de mode, il lui tardait de voir à l’air libre, les courbes délicieuses de sa fiancée mais celle-ci changea brusquement de sujet. « Qu’est-ce qui t’arrive ? » lui demanda-t-il avec son tact légendaire. Il sentait bien que Summer ne voulait pas se dévoiler et il ne comprenait pas trop. « Notre fille peut attendre deux secondes alors n’essaie pas de te reposer sur elle pour changer de sujet et me distraire… pas vrai Ashlynn ?! » demanda-t-il à sa fille avant de faire avec elle un petit high five totalement débile. Paris se redressa alors en position assise pour pouvoir l’observer de ton son saoul. « Qu’est-ce qui se passe dans ta petite tête bébé ? » reprit-il en lui faisant comprendre d’un regard qu’il ne lâcherait pas l’affaire. Attendez, il voulait le voir ce fichu bikini dont elle lui avait vanté les mérites durant des jours et qu’il n’avait pas eu le droit de voir depuis lors.




©TOWNTROTTER.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
FEAT. PARIS | Mordue de ce jeu, oui je veux bien l’admettre ! Surtout quand on part sur un challenge comme celui que je m’étais fixé, il était dur de ne pas être à fond dedans. Mais si Paris pouvait comprendre cela, c’est parce que question jeu, il n’est pas mal non plus : moi-même j’avais dû user de subterfuge pour réussir à le faire décrocher de sa console certains soirs, et le dernier en date – celui qui marchait haut la main – c’était le « Strip-Call Of’ ». Chaque partie perdue de Call of Duty devait se conclure par un vêtement enlevé ! Autant dire que moi et les jeux de tir à la première personne, ça fait deux et que, de toute façon, le but finale était de motiver Paris à me déshabiller ! Alors oui, il gagnait à chaque fois, et oui, j’étais la seule à me retrouver nue. Mais c’était le but !! Paris ne finissait toujours pas éteindre la console avant la fin de striptease, et cela mettait plus d’amusement et de folie à nos ébats. Bien que pour cela, on n’est pas besoin de grand-chose pour nous booster.
C’est en pensant à tout cela, que j’écoutais Paris me parler de mon budget lingerie qui avait grimpé en flèche, et le Dunster et moi engagions une conversation légère jusqu’au moment où il me demandait de me mettre en bikini. Là, mon comportement changeait complètement : finie l’humour et la détente, place à la nervosité et à la diversion. Paris n’est pas idiot cependant, il me connait par cœur maintenant, il sait faire la différence entre une Summer tout à fait naturelle, et une Summer pas à l’aise du tout. Le fait qu’il me fasse remarquer que ma petite diversion ne m’aiderait pas me fit croiser les bras contre ma poitrine, comme pour me protéger d’une quelconque attaque qui viendrait de l’extérieur. Je ne dis pas que je me protège de Paris, non…ce n’est pas lui qui me dérangeait. C’était les autres personnes présentes sur cette plage ; des touristes au surfeur, en passant par les retraités et les familles en sortie…ou encore aux jeunes venues squatter l’endroit. J’avais soudain peur de leur regard, de leur appréciation. C’est bête pourtant…j’ai grandi, et mon adolescence est bien loin derrière moi. Pourquoi ai-je soudain cette pensée en tête maintenant ? « Rien, c’est juste que j’ai pas trop envie de me mettre en bikini pour le moment… » tentais-je comme excuse, en regardant un instant ailleurs pour éviter le regard de Paris. Mais je ne réussissais pas bien longtemps : il me fallut un seul coup d’œil pour voir que mon fiancé ne gobait rien de ce que je lui disais à cet instant. A nouveau je me renfermais dans mon ptit cocon que je formais avec mes bras, croisant ceux-ci devant moi tout en remontant mes mains pour frotter mes bras jusqu’aux épaules, puis je capitulais sous le regard insistant de Paris qui attendait une vérité : « J’…j’…j’aime pas trop..etre..enfin, tu sais… à découvert, devant les gens. Y’a trop de monde là et j’ai peur qu’… » j’haussais les épaules et laissais tomber mes bras sur mes cuisses avant de regarder au loin et demander innocemment « On peut attendre d’être…un peu plus seuls ? »

©TOWNTROTTER.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
FEAT. SUMMER | Summer semblait être mal à l’aise à l’idée de se mettre en bikini et Paris ne comprenait pas vraiment pourquoi. Sa fiancée avait toujours fait preuve d’une impudeur totale entre ses bras, voire même un sacré tempérament d’exhibitionniste si on prend en compte tous les stripteases qu’elle lui avait servi ces dernières semaines. L’incompréhension le gagnait complétement et il sentait qu’il allait devoir y aller avec des pincettes. Un exploit quand on considérait son manque total de tact au quotidien. « Tu as peur qu’on te juge sur ton physique ? T’es au courant que le premier crétin qui te manquera de respect, se prendra mon poing dans la gueule et que si c’est une nana, elle aura le droit à un cassage dans les règles de l’art ? » lui demanda-t-il en fronçant les sourcils. Pourquoi craignait-elle tant que cela ?! Summer lui avait toujours paru très à l’aise avec son corps ainsi que sa féminité. « Puis tu sais, à la plage, tout le monde s’en fout du physique des autres : y a des petits, des grands, des gros, des maigres etc. On serait à la piscine, je te dirais ouais pourquoi pas mais là… personne s’occupe de son voisin » tenta-t-il de la convaincre car il allait falloir qu’elle vienne se baigner avec leur fille et lui. Ashlynn adorait l’eau et la priver de baignade, c’était comme le priver de sexe : impensable. « Bébé, t’es super bien gaulée, tu as franchement aucun complexe à avoir et puis dis-toi, qu’on va plus me reluquer moi que toi… » tenta-t-il cette fois-ci la carte de l’humour pour la dérider. Paris nageait toujours en eau trouble et en bon scientifique, il n’allait pas se contenter de cette pauvre explication. Il avait besoin de comprendre pourquoi elle pensait ainsi et si elle craignait qu’il ne comprenne pas… Dieu qu’elle se tromperait sur toute la ligne car s’il y avait bien quelqu’un qui avait eu honte de son corps un jour ou l’autre, c’était bien Paris mais c’était une toute autre histoire. « Summer, bébé, qu’est-ce qui se passe réellement dans ta petite tête ? Dis moi… » fit le jeune homme en venant s’asseoir à ses côtés pour entourer ses épaules de son bras et ainsi, la blottir tout contre lui, la gamine, entre ses jambes. Ashlynn ne pensait pas encore à se baigner, trop occupée à taper sur le sable comme une petite folle furieuse.



©TOWNTROTTER.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
FEAT. PARIS | L’incompréhension de Paris était logique : je ne l’avais jamais habitué à une telle pudeur en sa présence. Mais comment lui dire qu’avec lui, justement c’était différent ? Qu’avec les gens en qui j’avais aveuglément confiance, je me livrais corps et âme, mais que pour le reste, je me refermais comme une huitre ? Le Dunster ne se satisferait pas de mes simples excuses, alors je pris une grande inspiration pour tenter de lui expliquer ce qui allait sans doute être le plus honteux des aveux que j’aurais à dire. « Que tu leur fasses  une tête au carré ou non, leur simple regard suffira à me mettre mal. » je trouvais tout de même les intentions de Paris adorables…brute de pomme, mais attendrissantes. Pour me donner du courage, je pris alors une main de Paris dans les miennes et jouais avec, passant mes doigts sur sa paume, dessinant ses doigts d’une caresse un par un, avant d’entremêler mes doigts aux siens. Tout en se faisant, je lui expliquais alors mon histoire : « J’ai comme qui dirais un petit problème d’insécurité…ou de manque de confiance. Enfin ça tu le sais déjà. Ce n’est pas qu’à ma sœur que je le dois, ni même à ma mère. En fait, si cela n’avait été qu’elles, cela m’aurait suffi. Nan en fait, ça date du collège. Quand je suis arrivée en première année, j’étais le genre de fille bourrée d’espoir et plein d’optimisme sur ce que les années collège m’apporteraient…et à vrai dire, la première année c’est super bien passée. J’avais quelques amies, ma sœur avaient déjà fait sa réputation dans l’école 2 ans plus tôt, et niveau scolaire j’avais juste à suivre ses pas, et tout le monde était content. » Je passe sur le fait que la réputation de ma sœur allaient bien au-delà de ses résultats scolaire, vous pouvez me croire ! Mais insouciante que j’étais, j’avais eu du mal à comprendre à l’époque. « Et puis il y’a eu le moment pour tous collégiens qui veut faire les trucs à fond de s’inscrire à un club…et comme tout le monde j’ai voulu intégrer un groupe. Naïve, pleine de rêve, et surtout avec l’envie d’être quelqu’un, j’ai souhaité devenir cheerleadeuse. Ces filles-là, on les respecte tu vois ? Elles sont populaires, trop à la mode, et super sportive. Moi à l’époque, je ne l’étais pas encore, mais j’avais envie d’apprendre. Seulement voilà, au moment des auditions, il y a eu deux problèmes : Le premier, j’étais apparemment un peu plus en chair que les critères demandé, et le deuxième…je ne sais pas faire de roller. Et comme il fallait prouver ses aptitudes, j’ai complètement merdé. On s’est moqué de moi, et je ne sais pas pourquoi, mais ça a continué par la suite…Et ça a pris une ampleur que je n’ai pas su contrôler. Des filles populaires, ça a atteint les filles de ma classe, puis les gars et…j’ai finis par être comme persécutée. Sorties de cours, cantine, cours de sport, session de piscine et volley…jusqu’au vestiaire. Et même quand elles pensaient que je n’étais pas là, elles continuaient de parler de moi. Et les remarques étaient toujours les mêmes : « bourrelets, maladroite, idiote, pas assez jolie… ». » Ma main se crispait inconsciemment à celle de Paris, et je ne le regardais plus alors que je continuais de parler : « J’ai commencé à vouloir maigrir, puis maigrir encore….et encore….au final, j’ai fini en cure dans une maison de santé après avoir fait un malaise en cours. Ce n’est qu’à ce moment-là que j’ai compris que je ne devais pas me mettre en danger de la sorte à cause du regard des autres mais…comment dire….ce n’est pas parce que je sais que je dois m’en moquer que ça ne veut pas dire que ça ne m’atteint pas quand on me juge….et j’ai toujours peur qu’on me juge….sauf avec Amanda, ou encore Bona…et surtout : TOI »

©TOWNTROTTER.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
FEAT. SUMMER | Summer se livrait à lui et sans même le savoir, elle lui livrait le reflet de sa propre enfance. Paris avait souvent subi ce genre d’harcèlement : pauvre, trop grand, trop maigre. Il était le parfait bouc émissaire pour toutes les conneries des autres enfants. Il avait longtemps cru qu’en courbant le dos, en faisant fi de toutes leurs critiques, ils finiraient par se lasser, par s’attaquer à un autre enfant mais cela n’avait pas été le cas. Bien au contraire… Les attaques avaient redoublé, alimentant cette colère qui aujourd’hui encore, rythmait les aléas de son quotidien. Alors oui, il comprenait tellement sa fiancée même si pour l’heure, il était incapable pour sa part de mettre des mots sur cette période noire de sa vie. Cette même période qui, au final, avait conditionné l’homme qui l’était actuellement tout comme elle avait continué de renforcer le manque de confiance en Summer. Les enfants pouvaient être cruels entre eux mais les adolescents étaient pires que des charognards. « Tu seras toujours plus ou moins jugée bébé… C’est le propre de l’homme que de regarder l’autre pour se rassurer ou au contraire, pour se dire qu’il y a toujours mieux que soit » soupira-t-il en déposant un baiser sur sa tempe avant de remonter sa main libre vers sa joue afin de lui faire tourner le visage et l’embrasser tendrement du bout des lèvres. « Tu n’es plus cette adolescente… tu es une bombe atomique qui me fait totalement chavirer du regard. Tu sais ce que voient les autres ? Une jeune femme épanouie, aux courbes délicieusement féminines. Une poitrine ni trop grosse ni trop petite… un cul d’enfer et surtout un sourire qui fait chavirer l’homme que je suis. Tu es belle Summer, personne n’a le droit de prétendre le contraire pas même toi » reprit-il avant de s’éloigner légèrement pour commencer à la déshabiller de sorte qu’elle se mette en bikini devant elle. « Tu vois, la terre n’arrête pas de tourner parce que tu es en bikini devant moi et si tu crains qu’on te juge, je veux bien que tu te colles à moi pour te dissimuler du regard des autres mais je refuse que tu te caches en ma présence. Ashlynn va avoir besoin que sa mère accepte le regard des autres car c’est en toi qu’elle puisera le courage d’en faire de même… Apprends lui bébé… Apprends lui pour se permettre de se protéger à son tour » termine-t-il par dire avant de l’embrasser tendrement à nouveau. « Et puis… Sérieusement, je veux pouvoir te mater surtout quand t’es dans l’eau, les cheveux plaquées en arrière… vais te faire un attentat à la pudeur si on reste sur cette serviette alors go pour la baignade »



©TOWNTROTTER.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
FEAT. PARIS | Je savais que Paris avait raison concernant le jugement constant de l’être humain…mais je savais aussi qu’il ne me disait pas cela comme pour me faire la morale, qu’il voulait juste me rappeler le côté inévitable de la chose et qu’il ne tenait qu’à moi de ne plus y trouver de l’intérêt. Dès qu’il déclarait ces mots – « tu n’es plus cette adolescente » - j’ai eu soudain l’impression qu’il venait de me donner la permission de respirer. Oh je ne suis pas idiote, hein ?! Je sais depuis longtemps que je ne suis plus une pauvre ado, mais c’est juste une façon de dire les choses, cette façon que Paris a de pointer sur le problème et d’y apporter une légèreté ensuite. J’avais même souris et doucement ricaner en l’entendant me dire par la suite que j’étais une bombe atomique qui le faisait chavirer. « T’es pas neutre Paris… » avais-j commencer par lui dire tandis que lui continuait sans s’arrêter de décrire ma poitrine, mes fesses ou encore mon sourire et mon regard. Je me rougissais à ses compliments tout en recalant d’une main hésitante, une mèche de cheveux derrière mon oreille. Mon fiancé usait alors de ce moment pour prendre en main la situation et se placer devant moi de sorte qu’il puisse venir me déshabiller. Je croisais son regard et le questionnais silencieusement quelques secondes avant de comprendre ses intentions et de lui faire confiance. Cela ne m’empêchait pourtant pas de jeter un œil autour de nous, juste pour m’assurer que personne ne viendrait à nous regarder et faire des messes basses la seconde d’après. C’était plus fort que moi, je ne pouvais pas ne pas faire comme si ils n’étaient pas là tous ces gens…Mais finalement, mes yeux se reposèrent sur Paris, sur la seule personne qui me rassurait, pour qui j’avais envie de faire l’effort. Alors je me détendais, laissais mes bras suivre le mouvement pendant qu’il otait mon haut délicatement, puis j’avais même relevé le bassin quand il s’était attaquer à mon short. Bref, j’avais coopérer sans le lâcher du regard parce que j’avais besoin de sa présence pour me sentir en sécurité, à l’aise… Et soudain il évoquait Ashlynn et son besoin de devoir apprendre par moi. Comme si, avec sa perspicacité habituel, Paris avait compris que je me laissais faire docilement mais que je n’en étais pas encore au point d’être fière de moi, ou fière de l’acte que j’étais en train d’accomplir : affronter le regard des autres. Les propos de Paris me pénétraient le cœur et le corps comme une lance. Mais il ne s’agissait pas d’une impression d’être achevé, non ! Cela ressemblait plus à une sorte de libération, comme si cette lance était venue se planter en plein cœur de ma souffrance, de ce qu’avait provoqué ses années de harcèlement moral et physique que j’avais subis…Paris venait de tuer le mal en évoquant le bien, en amenant Ashlynn et son avenir sur la table ; ce besoin de grandir avec des valeurs, une confiance en elle que nous devions lui inculquer. « Je t’ai déjà expliqué que je n’étais pas le modèle idéal. Que je trainais des casseroles et que j’allais avoir du mal parfois à lui venir en aide parfois… » * Ah non Summer, là, tu te trompes, ce n’est pas à lui que tu as dit ça, mais à Ashlynn. * Je relevais la tête un peu surprise et feintait ensuite de savoir ce que je racontais « Enfin, du moins, je te l’ai pas dit comme ça, mais c’était bien ce que j’avais tenté de te dire à l’époque….toujours est-il que, j’ai compris que ce que tu essayes de me faire comprendre et…tu as raison. Je dois être fière de moi, fière de ce que je représente…afin qu’Ashlynn en face de même à son tour. Si elle voit à travers moi qu’elle ne doit pas avoir peur du regard des autres, alors elle les affrontera plus facilement…J’ai capté le message. » Disais-je en hochant la tête, alors que je tendais les bras pour demander à Paris qu’il m’aide à me relever. J’attrapais ses mains, et d’un bond, je me trouvais debout, en bikini face à lui. Je baissais la tête pour m’observer du mieux que je pouvais et finalement, d’un mouvement ballant des bras, je relevais la tête pour regarder Paris « voilà ! Tu peux découvir enfin ce fameux bikini » déclarais innocemment, avant de faire un signe de tête pour pointer mon fiancé et lui dire « A ton tour, j’ai pas envie d’être la seule à moitié nue, là ! » et j’approchais d’un pas pour me coller un peu plus contre mon homme, et attraper les pans de son t-shirt pour soulever ce dernier et aider Paris à le retirer « Et au fait : Je me collais derrière toi plutôt deux fois qu’une, c’est certain ! Ne serait-ce que pour sentir son corps contre le mien… » avouais-je en souriant, toujours un peu rougissante des compliments de tout à l’heure ? Très vite je déposais un baiser sur l’épaule de Paris et remontait dans son cou avant de lui murmurer un « Merci… » Merci pour ce qu’il venait de faire, pour la force qu’il venait de me donner, le coup de pied au fesses qu’il venait de m’infliger en parlant d’Ash’ et surtout, SURTOUT, pour son écoute, son absence totale de jugement et sa présence devenue plus que vitale pour moi. Dieu que j’aimais cette homme ! « Bon allez, je te suis…allons faire trempette » concluais-je laissant Paris attraper notre fille pour l’emmener vers le bord de l’eau

©TOWNTROTTER.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
FEAT. SUMMER | « Non je suis pas neutre mais tu m’excuseras… une nana qui me ferait pas bander, j’irais pas plus loin avec elle ! Je suis pas vraiment brancher amour et eau fraiche »grimaça-t-il en faisant preuve de sa franchise habituelle. C’était sa façon de lui dire qu’il la trouvait parfaitement à son goût et qu’elle n’avait pas à se cacher ni de lui, ni des autres. Summer était belle et pas seulement physiquement. Paris n’était pourtant pas un adepte de la beauté intérieure, vous savez, la connerie que l’on sort à ses copains quand on fréquente un thon. Les hommes pouvaient se montrer très cons en bande mais c’était leur façon à eux de dire : elle n’est pas belle mais elle a du charme. Cela lui faisait d’ailleurs penser à une chanson française qu’il avait étudié au lycée. Son professeur était totalement fan de ce groupe et elle leur avait farci la tête avec leurs chansons dont notamment celle-là. Les paroles sonnaient comme : elle n’est pas vraiment belle mais elle est faite pour moi. Là, Summer était loin d’être un thon, elle était même la plus sexy de ses conquêtes. Il y avait quelque chose dans son regard, dans sa façon de bouger son corps… Minute, il fallait qu’il calme le fil de ses pensées sinon, il allait attenter à sa pudeur.

« Bébé… Ashlynn ne cherche pas la mère idéale mais juste un modèle auquel se raccrocher. Puis, tu as le temps de t’entrainer d’ici là » haussa-t-il des épaules. Leur fille était encore jeune, elle était d’ailleurs bien plus préoccupée par sa volonté de marcher que de prendre en considération le regard des autres. « Pour une fois que je réussi à te faire capter le message du premier coup… ça mérite une récompense non ? » lâcha-t-il avec un sourire amusé mais disons que son regard était perdu sur le décolleté de son bikini. Paris se voyait déjà le lui enlever avec les dents. Bon sang, ils avaient fait l’amour ce matin et il avait encore envie d’elle. « Ce soir, je te l’arrache… t’es trop sexy dedans » grommela-t-il en lui mettant une petite claque sur les fesses mais très vite, il se retrouva à se faire déshabiller en rigolant. « Bébé… si tu me dis ce genre de choses, je te promets que tu vas te retrouver à appeler Bonaventure pour qu’il vienne chercher la petite et la chienne histoire que je te montre combien j’adore quand tu te colles à moi » s’exclama-t-il en passant un bras autour de sa taille pour la plaquer contre son torse. « Mouais… j’espère qu’elle est fraiche l’eau » soupira-t-il en soulevant la petite. La petite famille se dirigea vers l’eau, la chienne également. « N’empêche, j’ai le droit de dire que j’ai envie de toi ? »




©TOWNTROTTER.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
FEAT. PARIS | J’ai eu comme une sorte de nervosité mélanger à de l’inconfort en me retrouvant en maillot de bain sur cette plage fréquentée. Mais pour me rassurer, je ne cessais de me dire que Paris était là et que tout irait bien. C’est dingue, je redoutais encore à mon âge une humiliation imminente de la part d’un ou d’une inconnue. Comme quoi, je gardais encore beaucoup de « séquelles » de ces années adolescente avant que je ne décide de me reprendre 2 ans et demi plus tard. Je me souviens encore de ma sortie du centre de rétablissement, après avoir promis à mon père que tout ceci était derrière moi. J’avais ressenti le besoin à l’époque de prouver à moi, ainsi qu’aux autres, que je n’étais plus la même et que je me fichais dorénavant du jugement des autres. Oh, dans le fond, je ne m’en moquais pas, mais disons que je faisais en sorte d’affronter mes démons plutôt que de les éviter et me cacher. Comme une sorte de résurrection, j’avais changé d’apparence et de comportement : C’est à cet période de ma vie que j’avais opté pour la coloration de mes cheveux et un changement de look. J’étais devenue rousse, et osait remettre des jupes en me motivant chaque matin devant la glace en me disant « tu fais ça pour toi, par pour les autres. Tu te sens bien, tu es heureuse comme ça, le reste n’a pas d’importance ». Était-ce mon look ou mon regain d’énergie qui avait poussé certain à me voir autrement ? Je ne sais pas, je dirais un peu des deux. J’avais réappris à sourire sans me voiler la face, et je faisais à nouveau confiance aux autres…aux mecs en particuliers. Je n’avais pas oublié la douleur provoqué par le premier petit copain…Dean. Celui en qui j’avais cru que les compliments étaient sincères et contrastait avec les réflexions que je me prenais à longueur de journées. Celui pour qui je m’étais offerte, avec qui j’avais eu ma première fois, puis ma deuxième fois, et qui m’avait largué comme une vieille chaussette une semaine après, parce qu’il avait eu ce qu’il voulait et que cela n’avait en plus pas été fameux selon lui. Remarquez pour moi non plus, vu qu’il s’agissait d’une première fois et quand plus je m’étais montré naïve au point de croire qu’il était vraiment amoureux…Donc oui, je n’oubliais pas cela, mais je voulais croire aux faits que tous les mecs n’étaient pas pareil. Et puis, autre fait important : j’avais décidé de m’en foutre, de ne plus croire aux princes charmant dès le premier regard. Si bien que j’acceptais volontiers les invitations à sortir après cela, que je prenais les compliments des mecs sans me faire trop d’espoirs, et que si l’occasion s’en présentait, je ne dirais pas non à une petite amourette de temps en temps. J’étais la Chloé 2.0, celle qui en avait eu assez d'être une merde et qui voulait compter. Et sincèrement, j’avais réussi…jusqu’à Tyler. Lui, il avait fini par bousiller tout le travail, au point que j’en sois arriver là aujourd’hui : à de nouveau penser que tout le monde pouvait me juger ou se moquer de moi, comme si il y avait écrit sur mon front que j’étais le parfait spécimen du bouc émissaire, et que j’avais été anorexique à cause de ça. Mais Paris…Paris lui, me faisait oublier tout ça. Du moins, il y apportait de la légèreté, il me faisait bien vite comprendre que tout ça était derrière moi, et que je n’avais pas à m’en faire. Ces compliments me faisaient bien plus chaud au cœur qu’ils n’étaient là pour me flatter…

Je riais légèrement en l’entendant me dire que si je n’avais pas été à son goût physiquement, il y a bien longtemps qu’il aurait fini par s’ennuyer et se tailler. Bon, en d’autre circonstance, n’importe quelle fille l’aurait regardé d’un œil noir en lui rappelant que le physique ne faisait pas tout, mais pas moi ! Pour ma part, j’avais compris le message bien au-delà des mots qu’il employait. C’était sa façon à lui de me dire que quand il avait envie de moi ou qu’il me trouvait belle, ce n’était certainement pas des paroles en l’air, ou quelques flatterie pour m’adoucir…non c’était bien réel pour lui, et au final c’est tout ce qui comptait, parce qu’il n’y avait qu’à lui que je voulais plaire. Je le laissais donc me contempler un instant, son regard m’aidant en plus à me sentir en sécurité avec lui, et à me rassurer. C’est dingue quand même : il avait juste à poser ses yeux sur moi pour que je me mette à rêver d’être la plus belle du monde. Cette pensée me faisait sourire, et bien vite je riais joyeusement quand j’entendis Paris me dire qu’il m’arracherait mon bikini ce soir. Il me claqua les fesses et je me rapprochais de lui pour le déshabiller et lui signifier que moi aussi j’avais des désirs non dissimulés à le voir torse nu et simplement vêtu de son short de bain. « Je ne crois pas que Bonaventure soit super okay à l’idée que je vienne bousiller ses vacances dans l’unique but que toi et moi on puisse s’envoyer en l’air…et j’ose à peine imaginer ce qu’on lui devra en échange pour lui rendre la pareille….Nan, je crois malheureusement qu’il va falloir attendre ce soir, que la petite soit endormie pour s’adonner à un coller-serrer. » déclarais-je. Mais ce n’est pas parce que je disais en résumé « plus tard » que je me détachais de Paris pour autant. Nan, en réalité je me collais encore plus lui, laissant mes mains s’enrouler autour de son cou pendant qu’il m’entourait la taille pour le serrer contre lui. Je me mis sur la pointe des pieds pour l’embrasser avant d’annoncer que je le suivais pour la séance baignade, et le lâchais à contrecœur, permettant au Dunster de prendre sa fille dans ses bras. On avançait ensuite jusqu’au bord de l’eau et là, à nouveau Paris me rappelait qu’il avait envie de moi. A ces mots, je fermais les yeux de contentement et souriait lèvres fermées. Il n’a vraiment pas idée de l’impact de ses mots en moi, j’en suis sûre…il voit sans doute cela comme une façon de dire tout haut ce qu’il pense tout bas, et que j’ai simplement fini par m’habitué à sa franchise non enrobée…mais en réalité, chaque mot ainsi utilisé par Paris fait faire un bond à mon cœur, faire grossir celui-ci d’amour et de confiance. Je pivotais la tête pour rouvrir les yeux et le regarder, lui souriant avec amour, avant de murmurer un inaudible « merci ». Oui, Paris : merci pour ce que tu es, merci pour la place que tu m’offres à tes côtés, merci pour l’amour que tu me donnes et la force que tu fais naître en moi…Seulement aujourd’hui, je me rends compte que tu comptes bien plus à mes yeux que n’importe quoi d’autre au monde, et à mesure que je tombe chaque jour un peu plus amoureuse de toi, je me rend compte également que j’ai chaque jour un peu plus peur de te perdre. « J’ai toujours envie de toi personnellement…ce matin, ça ne m’a pas suffit. Bien que c’était génial, hein ! Qu’on soit claire là-dessus » finissais-je par dire une peu plus haut cette fois, pour faire oublier ce merci peu entendu et pour revenir à une conversation et des pensées plus légères.


©TOWNTROTTER.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)