Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityA day at Pleasant Bay. - Page 4
-19%
Le deal à ne pas rater :
PC portable MSI Gaming Pulse 16” -Ultra7 155H -16Go/512 Go
1299 € 1599 €
Voir le deal


A day at Pleasant Bay.

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
FEAT. SUMMER | Protéger Summer même d’elle-même était une de ses priorités. Paris n’était pas là pour faire de la figuration dans la vie de cette femme ni même se contenter uniquement de l’épouser pour avoir une poupée gonflable à domicile. Ce n’était pas vraiment le genre de la maison… Cela l’avait été mais plus maintenant. Summer l’avait touché au-delà des mots, au-delà de tout. Auprès d’elle, il avait trouvé cet équilibre, cette paix qu’il recherchait depuis des années. Elle était comme une oasis en plein désert, elle lui avait donné tellement de choses en commençant par le fait de se sentir enfin aimé pour l’homme qu’il était et non pour l’image qu’il dégageait. Elle avait su voir au-delà de sa montagne de muscle ou de son mauvais caractère. Alors, la moindre des choses était de la chérir, de prendre soin d’elle, d’être le roc dont elle avait besoin. « Bonaventure me casse les bijoux de famille. Il pourrait te rendre ce service non ? Elle est belle l’amitié tiens » bougonna-t-il comme un enfant capricieux qui se voit refuser un jouet sous prétexte que c’est l’anniversaire du copain et non le siens. Paris avait toujours détesté être invité aux fêtes d’anniversaire car il détestait acheter un jouet pour un autre que lui. Un comportement égoïste qui trouvait ses racines dans le fait qu’il n’avait jamais vraiment eu de jouets durant son enfance contraire à ses autres frères et sœurs. Lui, il avait du essuyer les pots cassés. En même temps, il avait peut-être dû être invité à deux fêtes d’anniversaire et encore, sa mère avait fait le forcing soi-disant pour l’intégrer. « Ce soir, c’est dans longtemps »continua-t-il de pester surtout en la sentant se coller à lui de cette manière. Summer avait toujours le don pour l’allumer consciemment ou inconsciemment. Leur baisé échangé n’arrangea pas du tout ses affaires, loin de là.

Au moins cette baignade lui changerait les idées mais quelques mètres plus loin, il lui confiait avoir envie d’elle et Summer eut une réaction étrange : elle le remercia. « Tu m’as fait peur, à un moment donné, j’ai bien cru que je te faisais plus aucun effet » plaisanta-t-il avant de se pencher vers son oreille. « On serait seul, je t’aurais déjà enlevé le bas de ton bikini pour te prendre à la vue de tout le monde… Tu es sûre que Bonaventure ne peut pas te rendre ce service ? » continua-t-il sur son manège tandis qu’Ashlynn tirait sur sa barbe comme pour le rappeler à l’ordre. « Oui oui… dans l’eau ! » dit-il en rigolant tandis qu’il l’installait dans sa bouée.




©TOWNTROTTER.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
FEAT. PARIS | Je secouais la tête en entendant Paris se plaindre de Bonaventure. « Crois-moi, mon amour, si on lui demande ce genre de service, on va devoir lui rendre la pareille. Et quand je dis « pareille » c’est véritablement « PAREIL » ! En ce moment, monsieur butine et si lui demander un coup de main aujourd’hui signifie devoir en faire de même un soir ou toi et moi on aurait pu…enfin tu vois ; bah nan, merci ! Je n’ai pas envie de sacrifier une soirée sexe pour garder Pikachu. » Entendons-nous bien, j’adore bonaventure. Vraiment, J’addoooooorrree Bona !! Mais j’adore encore plus mon mec, et quand il me fait l’amour, et me passer de lui une soirée, c’est comme de me priver de…de…de j’ai pas de comparatif moins important que « me priver de respirer ». Mais alors que Paris était en train de ronchonner sur le principe de l’amitié, moi j’avais bien envie de lui retourner le problème. « Et puis pourquoi c’est à un de mes amis qu’on devrait demander ce service au fait ?! T’as pas un pote qui pourrait nous aider ? » Demandais-je bien que dans ma tête, une voix me disait : ** mais bien sûr, tu vois Paris appeler l’un de ses potes pour lui dire « Hey Gars, j’ai grave envie de faire l’amour à ma nana alors si tu pouvais venir me garder la petite pour éviter que je me colle derrière l’oreille, ca m’arrangerait ! ** C’est dingue comme mon subconscient avait pris exemple sur le Dunster, au point d’adopter aussi aisément son langage. C’est presque si j’avais eu l’impression d’entendre réellement Paris dans ma tête. « C’est dans longtemps ce soir, effectivement. Mais je crois qu’on a pas trop le choix » déclarais-je en soupirant par dépit, alors que Ashlynn se manifestait pour nous rappeler à nos devoirs. AAahhh si seulement cette petite crevette avait une idée de ce que l’on était en train de se dire Paris et moi ! Je crois qu’elle serait déjà là, à nous hurler que l’on est des parents indignes !

Et toute cette petite scène qui venait de se faire me fit réaliser que Paris avait sans le savoir, ce don pour m’apaiser, pour me faire rapidement oublier ce qui m’angoissait. C’est à croire que la conversation sur mon anorexie n’avait pas eu lieu ; comme si je n’avais finalement jamais avoué aussi honteusement que j’avais été maltraité pendant le collège et le début du lycée…Avec lui, c’est drôle, mais j’avais l’impression de redevenir cette Chloé 2.0, cette petite rousse qui avait eu pendant quelques années, la force et le courage d’affronter le monde et de faire croire qu’elle n’avait peur de rien, et qu’elle n’appréhendait plus les jugements. Voilà pourquoi je lui avais dit Merci lorsqu’il m’avait complimenté à sa façon, quand il m’avait assuré qu’il me désirait. Alors c’est sûr, mon merci avait dû être bizarre, mais pour moi il avait tout son sens. « Tu me fais me ressentir comme à une certaine époque de ma vie…avant Tyler…après cette anorexie. Quand j’étais bien…encore un peu fragile, mais avec tellement d’espoir, et une envie d’affronter les choses sans craintes. J’ai cru naïvement à l’époque qu’il suffisait de se teindre en rousse et de se montrer ouverte et souriante ferait de moins quelqu’un de plus fort…mais je me rend compte avec le temps, que c’est surtout grâce aux gens qui m’entoure. Si tu n’étais pas là, je ne serais sans doute pas ce que je suis aujourd’hui. »


©TOWNTROTTER.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
FEAT. SUMMER | Summer marquait un point non négligeable. S’il devait sacrifier une partie de jambe en l’air pour un furet, ce n’était même pas la peine de demander. « Et Amanda ? Bordel, elle est où votre générosité Quincy ?! » grommela-t-il même si, il reconnaissait que c’était se conduire en gamin plus qu’en père exemplaire mais tant pis : il avait envie d’elle. A chaque fois que le désir se mêlait à ses pensées, c’était mort. Paris était incapable de penser à autre chose tant qu’il ne l’avait pas faite sienne dans la foulée. « Sérieusement… tu me vois confier Ashlynn à Dante ou à un autre ?! Et puis, c’est pas comme si j’avais beaucoup d’amis hein du moins recommandables » soupira-t-il. Son homme était un véritable sauvage, comptant ses relations sur le bout de ses doigts. Le problème, c’est que ses amis avaient tendance à se faire la malle ces derniers temps si bien qu’il se retrouvait un peu comme un con place de la concorde (peut-être qu’il y avait plein de pokemon là-bas). Il savait qu’il allait devoir à nouveau se trouver des potes avec qui trainer mais là, présentement, il avait d’autres chats à fouetter comme les fesses de sa chère et tendre fiancée. « Et si tu fermes les yeux, il fera tout noir, c’est comme s’il faisait nuit » tenta-t-il de la corrompre tandis que la petite continuait de patauger en sécurité dans sa bouée. Heureusement qu’elle était inconsciente des paroles échangées sans quoi, il claquerait tout son fric chez le psy.

La conversation prit tout de même une tournure plus tendre, plus sérieuse car Summer tenait à le remercier pour son écoute mais pour lui, c’était naturel. Elle n’avait pas besoin de le remercier. Sa fiancée lui parla alors qu’elle avait connu sa période rousse et Paris afficha un sourire assez pervers car il se rappelait bien d’une petite rouquine aux yeux bleus qu’il avait connu par le passé. « Je suis certain que tu aurais réussi à trouver la force d’être celle que tu es aujourd’hui mais je t’avoue que je donnerai cher pour savoir comment tu es en rousse… j’ai toujours eu un faible pour les rouquines depuis une petite rousse aux yeux bleus » lâcha-t-il connement avant de se rendre compte qu’il était en train de parler à SA fiancée et non à une pote de beuverie. « Enfin non je préfère les blondes… toi en particuliers… Désolé, j’ai merdé » grimaça-t-il avant de lui faire une petite moue pour se faire pardonner de sa goujaterie maladroite.





©TOWNTROTTER.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
FEAT. PARIS | Après Bonaventure casseur de bijoux de famille, voici Amanda et son manque de générosité Quincy ! Tous mes amis y passaient apparemment et bien que j’aurais dû envoyer chier Paris sur le sujet, j’étais sûre qu’à sa place j’aurais sans doute fait pareil ! C’est d’ailleurs bien pour cela que j’avais suggéré qu’il appelle l’un de ses amis à la rescousse ! « Hey tu sais pas ! Si ça se trouve, Dante rêverait de jouer les baby-sitters pour son meilleur pote ! Peut-être même qu’il aimerait voir ce que cela faite d’être parent pour quelques heures… » Bon okay…j’avoue que je ne voyais pas vraiment l’un des amis de Paris garder Ashlynn, mais je ne voulais pas non plus déclarer forfait.

Tout en avançant au plus près de l’eau, je laissais les vagues venir me caresser les pieds pour prendre la température. L’eau était un peu fraîche, certes, mais pas ce temps c’était agréable. Je jetais alors un œil vers Paris qui mettait Ash dans sa bouée, et lorsqu’il me proposait de fermer les yeux, je posais les mains sur mes hanches  et penchais la tête de côté en fixant mon petit-ami, un air désapprobateur sur le visage : « Bah voyons…Et puis pour le bruit des personnes qui parle sur la plage, ou des petits cris d’enfants qui chahutent qu’on entend là…on n’a qu’à dire que c’est le bruit d’une chouette dans la nuit, c’est ça ?! » Je secouais la tête, et répondais avec détermination « hors de question qu’on fasse l’amour ici, avec tous ces gens autour !...Et puis c’est un coup à ce que je sois plus bruyante que prévu et que les sauveteurs débarquent en pensant au pire !! Nan vraiment, je ne peux pas courir le risque…même si…. » Bon là je sais que je ne l’aide pas – mais alors vraiment pas ! – mais je ne peux malheureusement m’empêcher de lui « même si l’idée que tu me prennes, là maintenant, tout de suite…C’est assez excitant ! » Je me pinçais les lèvres comme pour me retenir d’en dire davantage et surtout de rire en voyant la tête de Paris en cet instant.

En remerciant Paris pour son comportement, j’avais eu le besoin de lui dire ce qu’il réussissait à me faire ressentir en ce moment. Alors je lui parlais bien vite de cette période rouquine au moment du lycée. Mais parler de ma rousseur avait un peu échauffé l’esprit de Paris apparemment : ce dernier était en train de me rappeler son faible pour les rousses, et à nouveau je penchais la tête d’un air « t’es sérieux là ? » tout en croisant les bras. Ayé ! Enfin !! Paris avait compris qu’il s’adressait à moi et non à son pote de bière ! Heureusement pour lui, je n’étais pas là à vouloir lui passer un savon ou lui faire des remontrances. D’ailleurs, en y réfléchissant bien, il était simplement entrain de m’imaginer moi, mais en rousse, donc ce n’était pas vraiment une erreur de sa part ?! « Arrête c’est bon, pas besoin de te rattraper j’ai compris l’idée… » et pour revenir à ma période rousse, je tenais à lui préciser : « A cette époque-là, j’osais un peu plus les choses…et puis…quand un mec venait me voir, j’étais presque tellement heureuse qu’il le fasse que c’est idiot mais…je me sentais pousser des ailes et j’acceptais volontiers les avances ou les rendez-vous »….bon la manière dont je le disais, ça pouvait porter à confusion « Hey, attends, quand je dis ça, ça veut pas dire que j’étais une fille facile hein, loin de là ! »


©TOWNTROTTER.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
FEAT. SUMMER | « Ouais mais non. J’adore Dante, je lui confierai ma vie s’il le fallait mais Ashlynn est trop jeune et j’ai pas envie qu’elle assiste à quelque chose de déplacé » lâcha-t-il même si l’idée de prendre Summer devant sa fille, ça ne le choquait absolument pas. Après tout, elle verrait simplement sa mère rebondir un peu et gémir comme si elle avait mal, l’eau cachant la partie la plus intéressante. Merde, il devenait aussi pervers que sa propre mère. Grace serait fière de lui et Paris ne savait pas trop si ce serait une bonne chose ou au contraire, le signe d’une décadence. « Y a pas un service que tes deux mousquetaires auraient pu te demander et donc qu’ils ont une dette envers toi ?! Je pourrais peut-être confier Ashlynn à Mira tiens » tenta-t-il le coup mais bon, comment justifier le fait qu’elle doive venir chercher la petite ?!

Cela les ramenait donc au point de départ sans toucher les 20 000 capotes. « Ben pourquoi pas ! Tu sais, je suis certain qu’il y a plein d’animaux dans la vie sauvage… » tenta-t-il d’argumenter mais autant le dire que c’était bidon. « Même siii quoi ? » reprit-il bien vite en la voyant ne pas finir sa phrase. Oh, Summer le rata pas et Paris grogna de plus belle car là pour le coup, elle le frustrait complétement. « Bordel bébé, je vais finir par te prendre ici et maintenant que tu le veuilles ou non » grommela-t-il en la plaquant contre lui pour qu’elle comprenne qu’il commençait plus vraiment à être réceptif à l’humour et que ses paroles avaient éveillé chez lui un gros appétit… comme celui d’un barracuda. La frustration pointait son nez à la vitesse d’un éclair et si ça continuait, il allait rapidement la planter avec la gamine pour faire une nage sportive histoire de calmer sa libido en feu.

Summer pouvait bien redevenir sérieuse dans la foulée mais lui, le mal était fait et ce n’était pas en lui parlant de sa période rousse qu’elle allait calmer les choses. D’ailleurs, Paris l’imaginait très bien et ce qui était perturbant, dans toute cette histoire, c’est qu’il avait l’impression que son image se superposait à cette petite rousse de l’époque. « Tu ne voudrais pas redevenir cette petite rousse ? Ou au moins, retrouver cette mentalité ? Non parce que je veux bien te complimenter autant que tu veux si tu cèdes à mes avances hein… surtout que tu dois être vraiment ban…craquante en petite rouquine » lâcha-t-il en se reprenant au dernier moment pour éviter de faire du Paris tout craché. « Putain, je vais te l’appeler ton Bonaventure, il va ramener fissa son cul ici sinon je lui brise les deux genoux… je veux mon bébé moi » râla-t-il à nouveau.




©TOWNTROTTER.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
FEAT. PARIS | Je ne vais pas cesser de le répéter mais : pour moi, un Paris qui râle c’est un Paris trop sexy ! Je n’ose pas trop le dire à lui parce que sinon, il en profiterait pour râler plus que de raison pour être bien sûr que je craque à chaque fois !...mais en même temps, je suis sûre que je suis déjà bien grillée dans ce domaine : Monsieur Maconahey sait très bien sur quel bouton appuyer pour me faire céder parfois !

L’option de demandé à Mira n’était pas une idée à oublier, au contraire, mais quoi lui dire pour faire valoir une garde exceptionnelle ? Autant Bona, ou encore Amanda savait comment Paris et moi étions – je ne compte plus le nombre de fois où mes deux potes Quincy nous ont comparé à des lapins – mais Mira elle, n’est pas vraiment au courant de tout ça. Et puis j’ai une réputation à tenir à la Quincy House ! « Nan mauvaise idée. J’adore Mira, mais encore une Quincy…je ne suis pas plus à l’abri d’une réputation de dépravée ! » Mais bon, la proposition Mira était tout de même plus intéressante et surtout plus raisonnable que celle que Paris m’avait proposé par la suite « Franchement, si tu penses me convaincre de cette façon, tu te fous le doigt dans l’œil….ou dans le…enfin t’as compris quoi ! » Et là encore Paris râlait après que je lui ai fait part du côté excitant de ses intentions perverses dans l’eau. Je ricanais comme une gamine, à la fois fière de moi et un peu dégoutée de ne pas pouvoir lui offrir ce qu’il voulait. « Ce n’est pas parce que techniquement je ne peux pas, que ça veut dire que je ne veux pas ! Tu saisis la différence ?! Tu me donnes envie, mais….mais ce n’est pas raisonnable. » Dire ça alors que j’ai Paris coller à moi, ce n’est franchement pas facile à articuler. J’avais limite envie de le repousser pour être sûre de ne pas craquer moi-même au point de vouloir lui mettre la main au panier « Paris, fais pas ça…c’est pas fair play de ta part… »

Histoire d’alléger un peu la tension sexuelle, il était plus facile pour moi de parler de cette époque rousse et du bien-être que j’avais ressenti à ce moment-là. Mais bon, comment dire euhhhh…j’oubliais que je parlais à Paris – qui plus est chaud comme la braise – et que cette histoire allait le ramener à des pensées peu catholique. « Si je pourrais très bien redevenir rousse ! Ça pourrait être drôle d’ailleurs ! Les couleurs non permanentes existent toujours et puis…. » Et puis…vous vous doutez de ce que je vais faire là, hein ?! Je vais encore dire un truc qui ne va pas aider à calmer Paris « …et puis, si ça peut réaliser un de tes fantasme, moi je le fais dès ce soir ! » lui chuchotais-je à l’oreille, profitant de ce fait de la proximité de nos deux corps pour passer un bras autour de sa nuque. Et hop, Bonaventure revenait sur le tapis ! Le pauvre Bona… « Tu sais quoi ? vas-y appelle-le…je suis pas sûre que ta menace le fasse venir, mais essaye quand même. Va lui dire que t’as besoin de me culbuter dans un coin ! J’ai hâte de savoir ce qu’il va te répondre tiens ! »


©TOWNTROTTER.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
FEAT. SUMMER | Qui allait récupérer Ashlynn ? Bonne question. Mira semblait être la solution idéale mais Summer ne souhaitait pas se taper une réputation de dépravée sexuelle à la Quincy House. « Bébé, tu sors avec moi donc automatiquement, ça fait de toi, une dépravée » tint-il tout de même à lui signaler car tout le monde connaissait sa libido enflammée alors pourquoi chercher à le cacher ?! « Mais tu marques un point, j’ai pas envie qu’elle me prenne pour un fou furieux incapable de passer une journée sans sexe…en même temps, tu m’agites Ben et Nut’s dans un super bikini, comment veux-tu que je résiste ?! Et puis je ne parle même pas de ton petit cul… » continua-t-il de râler sous le regard perplexe de la petite qui se demandait bien de quoi parlaient ses parents. Ashlynn était encore pure et innocente… avec un père pareil, c’était limite un petit miracle en soi. « C’est ailleurs que j’aimerai bien fourrer mon doigt comme tu dis » lâcha-t-il innocemment avec un grand sourire qui se voulait tout mielleux mais qui sonnait beaucoup plus pervers qu’autre chose. « J’aime pas être fairplay surtout avec toi… je préfère tricher et te faire craquer, là, c’est beaucoup plus intéressant » murmura-t-il à son oreille après l’avoir plaqué contre lui pour qu’elle se rende compte justement de ce qui se passait dans son propre corps. Puis, pour marquer le coup, il glissa l’une de ses mains sur son adorable fessier, empoignant l’une de ses fesses à pleine main.

Hélas, comptez sur Summer pour tenter d’apaiser les choses sans savoir qu’au contraire, elle ne faisait que jeter de l’huile sur le feu. Là pour le coup, elle ne pouvait pas faire style : c’est pas ma faute, c’est contre ma volonté. « Bébé…. Tu pourras crier, chouiner, je vais te prendre là maintenant si tu continues à m’allumer.» la prévint-il. « Okay… je vais l’appeler, garde la petite » dit-il en regagnant le large pour aller chercher son téléphone portable où il composa le numéro de Bonaventure. « Sum’ ? » fit ce dernier en décrochant. « C’est pas Summer. Faut que tu viennes à Pleasant bay chercher la petite. Je dois faire son affaire à Summer et j’ai pas de temps à perdre » dit-il avec le plus grand sérieux. « Euh..tu te fiches de moi là ? » fut la seule réponse qu’il obtint. « Attends, tu as pas le choix. Tu me rends ce service sinon crois-moi, la prochaine fois que tu seras dans la mouise car un mari infidèle voudra te casser la gueule, je t’aiderai pas » dit-il avec un léger sourire dans la voix. « Okay… mais vous êtes de vrais lapins… tu as le chance que je sois pas loin » râla Bonaventure avant de raccrocher une fois qu’il lui eut donné l’endroit exact où ils se trouvaient. Paris retourna auprès de ses petites femmes avec un grand sourire satisfait. « C’est qui qui va retrouver tonton Bona hein ?! »  




[/color]
©TOWNTROTTER.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
FEAT. PARIS | Paris avait fini par céder, appelant Bona à la rescousse pendant que de mon côté je m’occupais de barboter avec Ashlynn. Cette dernière émettait des petits cris rigolos dès qu’une vague l’éclaboussait, et ses pieds prenaient la fuite quand la vague s’échouait sur ses orteils. C’était assez marrante, mais le mieux c’est que malgré sa surprise et son envie de hurler, Ash prenait plaisir à ce petit jeu et tout en prouvant sa bravoure à retourner affronter les vagues quand celles-ci faisait marche arrière. J’étais accroupie non loin d’Ashlynn en le tenant par les bras au moment où Paris revenait, fier comme un coq, et annonçant fièrement à sa fille que tonton Bona allait venir. Je me redressais, avec un sourire en coin plaquer sur mes lèvres : « Tu lui as dit quoi pour qu’il accepte de venir ?? La vérité au moins ?! » Demandais-je, parce que sait-on jamais : je connaissais l’énergumène.

Quoiqu’il en soit, Bona devait venir et il tint sa parole, vu que le Quincy débarquait quelques minutes plus tard sur la plage. J’étais un peu prise entre l’idée d’aller lui sauter au cou, parce que contente de le voir, et aller me terrer dans un trou dans le sable pour aller me cacher, parce que la raison de sa venue était quand même un peu gênante. « Hey ! Comment va mon Quincy préféré ?! » Demandais-je l’air de rien, et surtout de faire oublier ce pourquoi il était venu. J’ai failli ajouter un innocent « qu’est-ce qui t’amène ? » mais là je serais grillée direct !


©TOWNTROTTER.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
FEAT. SUMMER | Paris était fier de lui, normal après tout : il venait de régler un épineux problème à savoir qu’il avait besoin de se retrouver seul avec sa douce fiancée afin de lui faire son affaire. Certes, c’était se conduire en père indigne mais c’était juste une question de deux petites heures histoire de pouvoir profiter de la plage avec Summer. Ils récupéreraient leur fille après car Bonaventure avait des projets apparemment avec son équipe du Summer Camp. Paris lui, avait plutôt l’impression qu’il comptait faire exactement la même chose qu’eux mais il ne voulait pas pousser le vice à lui poser directement la question. Quand une partie de jambe en l’air était en jeu, c’est fou ce qu’il devenait diplomate. « Simplement que la prochaine fois qu’on voudra lui péter la gueule, je n’interviendrai pas pour le défendre » haussa-t-il les épaules avec un léger sourire.

Bonaventure tint parole et arriva quelques minutes après son coup de téléphone, un peu en mode grognon. « A mon avis, beaucoup moins bien que toi dans quelques minutes si j’ai bien compris… Deux heures, vous avez deux heures pour faire ce que vous devez faire bande de lapins » dit-il avant de se pencher vers Ashlynn pour la prendre dans ses bras. « Tu restes sur la plage pour t’en occuper ? On ne sera pas loin… Tu entendras sûrement Summer crier » lâcha Paris aussi romantique qu’à son habitude. « Pitié… pensez un peu à ceux qui sont à la diète » marmonna le Quincy tandis que Paris embarquait Summer sur son épaule vers de nouveaux horizons à savoir un petit coin discret comme cette petite crique qu’ils avaient vu en voiture.  





©TOWNTROTTER.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
FEAT. PARIS | Je rougissais de honte, si bien que j’en étais presque à me demander si c’était une bonne idée de l’avoir fait venir. Mon dieu que j’avais envie de me planquer !! Et en même temps, c’était Bona ; et si j’avais envie de l’envoyer chier parce qu’il nous prenait pour des lapins, bah j’avais le droit nan ?! Mais je n’allais pas le faire, bien trop occuper à rougir et à me passer les cheveux derrière les oreilles en baissant la tête. Le pire, je crois que c’est quand Paris en rajouta une couche en lui disant qu’il m’entendrait crier. « Nan mais l’écoute pas, il dit n’imppppooooooooorrrtteee !!!!» ma voix partait à moitié dans les aiguës et surtout comme un cri quand Paris me chopa par-dessus son épaule, me surprenant plus que de raison « Merci Bona !!! » m’écriais-je tout en m’éloignant indirectement de lui, avant de m’adresser à Paris sous moi « T’es complètement taré ! » lui fis-je savoir tout en lui tapant le dos, pour ne pas dire « chatouiller » vu que cela ne lui ferait sans doute rien du tout ! « Et puis va pas lui dire que je crie, c’est juste super embarrassant !! » Bah, oui, je sais que j’ai du mal à être silencieuse…et quelques fois ça me gêne de le savoir…mais sérieusement, si mon meilleur ami pouvait l’ignorer, ça m’arrangerait.

©TOWNTROTTER.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)