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A day at Pleasant Bay.

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FEAT. SUMMER | Faire l’amour avec Summer était toujours une expérience unique voire carrément mystique par moment. C’était dans ces moments-là que Paris arrivait à exprimer tout l’amour qu’il ressentait pour elle, combien elle était importante à ses yeux. Il aurait tant aimé pouvoir réussir à canaliser sa fougue pour se laisser aller à plus de romantisme mais si son cœur le voulait, sa tête et surtout son corps, eux, ne semblaient pas vraiment fan de l’idée. Un jour, il y arriverait, quitte à l’attacher et la ballonner histoire qu’elle ne l’encourage pas à la prendre rapidement. Par moment, Summer pouvait se montrer si fébrile qu’il se sentait partir avant même d’avoir commencé à la toucher. Cette femme avait un foutu pouvoir sur lui et il adorait cela. Ironique quand on savait combien il avait fui ce genre de relation. A présent, il ne pouvait plus s’en passer. « Tu peux d’ores et déjà rajouter que je veux faire l’amour dans la chambre de ma mère… me demande surtout pas pourquoi, c’est une revanche entre elle et moi »rigola-t-il de bon cœur en la serrant dans ses bras. Chez les Maconahey, ce genre de pari était monnaie courante. « Tu es extraordinaire, c’est pour cela que ça pète tellement entre nous deux… un véritable feu d’artifice » susurra-t-il avant de l’embrasser tendrement. « J’ai pas envie de bouger »

 



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FEAT. PARIS | La fameuse liste des lieux insolite. Je crois bien que c’est justement après une partie de jambes en l’air plus qu’improvisé qu’on avait envisagé de tenir note de tous les endroits exploitable entre nous. On avait plaisanté sur le sujet, mais force est de constater que la plaisanterie allait bien finir par devenir sérieuse. J’étais déjà en train de penser à quelques endroits qu’on pourrait faire, en me rendant compte qu’en les énumérant dans ma tête, ceux qui me venaient à l’esprit étaient déjà fait, quand j’entendis le lieu choisis par Paris. Instinctivement, je fronçais les sourcils, et stoppais pendant une fraction de secondes mes caresses dans ses cheveux. « Tu te doutes bien qu’en me demandant ne pas te « demander pourquoi » justement, ça attise ma curiosité » déclarais-je, avant de réfléchir quelques secondes et de me raviser en me ré intéressant simultanément à ses cheveux : « Oh et puis non, ma curiosité à des limites : surtout que là, je commence déjà à me faire des idées bizarres » C’est vrai quoi, une revanche personnelle sur sa mère qui inclut une partie de sexe dans la chambre de la matriarche ??! Trop peu d’info, ou au contraire trop d’info tout court !

Quoiqu’il en soit, c’est serein et soudain apaisé que Paris et moi reprenions tranquillement nos esprits, mon fiancé me rappelant avec compliment que cette explosion de plaisir entre nous coulait de source. On était fait l’un pour l’autre, nos corps nous le faisaient savoir autant que nos cœurs et nos esprits. En tout cas, de mon côté, je me sentais entièrement faite pour lui, uniquement pour lui. A croire qu’une tout puissance avait amené Paris sur terre dans le seul but de me convenir à la perfection. Comme deux pièces de puzzle qui s’emboitent. Je fermais alors les yeux, profitant de cette sérénité ambiante entre nous, de ce calme soudain revenu avec le bruit des vagues en fond, qui nous rappelaient tout de même ou on était. Soudain, Paris susurra son envie de rester là, sans bouger. « Moi non plus….et j’aime te sentir tout contre moi dans mes bras. Alors je t’interdis de bouger de toute façon » lui ordonnais gentiment après son baiser, gémissant légèrement à la tendresse de ses lèvres sur les miennes. « C’est mal dis-moi, d’avoir envie de n’être qu’avec toi, et seulement avec toi ?! » demandais-je, légèrement honteuse « J’adore Ashlynn, et Häagen, faut pas se méprendre. Je les AIME ! Mais…tu ne peux pas savoir à quel point j’ai envie de t’avoir rien que pour moi. Qu’on soit juste tous les deux. Ça ne nous arrive pas souvent »

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FEAT. SUMMER | Comment ne pas rire dans ce genre de moment surtout que sa belle devait très certainement se faire des films genre blockbuster en 3D. « Je t’arrête de suite, c’est pas quelque chose de malsain ou de trop pervers… disons qu’un jour, ma mère s’est imaginée que je devenais un véritable pervers sexuel, un addict du sexe parce que je ramenais trop de nana surtout des rousses. Je ne sais pas pourquoi, je crois que cette foutue rousse m’a trop marqué mais bref passons… Du coup, elle faisait en sorte de casser tous mes coups. Un jour, je lui ai dit que si elle continuait, la prochaine, je la prendrai dans son lit histoire qu’elle brûle son matelas et sa grosse couette toute moelleuse qu’elle adore… C’est genre une obsession chez elle, sa couette. Bref, tout ça pour dire que je me suis juré qu’un jour, je lui ferais cette crasse juste pour l’entendre hurler à trois kilomètres de là. J’étais jeune et con à cette époque » lui expliqua-t-il en dissimulant son sourire débile dans le creux de son cou. Paris n’avait visiblement pas beaucoup changé car emmerder sa mère était toujours un sport qu’il affectionnait mais Grace le lui rendait bien à croire qu’entre eux, c’était une façon de se dire qu’ils s’aimaient malgré les apparences.

« Je vais t’écraser à force bébé… tu veux pas qu’on échange les positions ? » lui demanda-t-il conscient qu’il n’était pas un poids plume et qu’à un moment donné, elle allait se tuer le dos à le garder sur elle de cette façon. Paris, tant qu’il était dans ses bras, tout lui irait mais il tenait tout de même au confort de sa fiancée qui se laissa aller à une petite confidence. « Non ce n’est pas mal… finalement, on a jamais vraiment eu l’occasion d’être seul toi et moi, y a toujours eu les petits et maintenant, Ash’ et Haagen. Cela me manque aussi de ne pas être simplement toi et moi… Je crois qu’il va falloir qu’on prenne du temps pour nous deux. On pourrait peut-être confier la petite à ma mère un week-end sur deux histoire de le passer ensemble. Qu’est-ce que tu en penses ? »

 



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FEAT. PARIS | Paris me racontait son histoire avec sa mère et cette « menace » qu’il lui avait formulé il y’a quelques années, et tout en hochant la tête à ses dires, une petite voix dans ma tête me rappelait en écho à Paris que ce dernier avait bel et bien un penchant pour les rousses, et que même sa mère lui avait fait la remarque. Pourtant, le Dunster se targuait pourtant de préférer les blondes…mais à vrai dire, on avait tous un « idéal » et un « fantasme » nan ? « Bon okay, va pour la chambre de ta mère et sa couette moelleuse ! Mais euh, tu m’explique juste un truc : comment devra-t-elle ‘deviner’ qu’on s’est donné l’un à l’autre dans son lit ? Tu comptes lui envoyer une invitation ? » Lui demandais-je l’air de rien avant d’ajouter « Nan parce que si c’est le cas, moi je mets un véto » tout en agrippant une petite poignée de cheveux pour tirer gentiment de dessus histoire de redresser le visage de Paris vers le mien et lui voler un baiser après cela.

J’entourais le corps de Paris pour le serrer comme je le pouvais contre moi malgré son envergure au moment même où il me demandait si je ne préférais pas qu’on change de positions lui et moi. Je grommelais légèrement « Hmmm nnaannn, pas tout de suite. Reste sur moi encore un peu… ». Je savais bien qu’à un moment donné je ne serais plus en mesure de supporter son poids sur moi, mais temps que je le pouvais, je souhaiter garder Paris dans mes bras et l’enlacer avec amour. C’est justement enclin a cette tendresse que je lui avouais mon envie de ne le partager avec personne d’autre, et de regretter par moment ne pas pouvoir vivre un quotidien qu’à deux. Mais heureusement pour moi, mon fiancé comprenait cette frustration, et proposait même de s’arranger avec sa mère pour nous libérer quelques week-ends rien que pour nous. « Ce que j’en pense ? Eh bien, je pense qu’il faudrait d’abord qu’on en parle avec ta mère avant toute chose….elle a déjà les jumeaux, Kaleigh et Matthew. Je ne voudrais pas qu’elle se dise qu’on se sent débordé par un seul enfant alors qu’elle, elle jongle avec 4 tu vois ? Et lui en rajouter un comme ça, ce serait peut-être égoïste de notre part ? ». Je réfléchissais en même temps que je questionnais Paris, mais rajoutais bien vite « Mais j’avoue que ce serait génial si on pouvait s’accorder quelques week-end…on ne sort pas du lit, sauf si nécessaire. On profite d’être tous les deux pour faire ce qu’on veut, sans se préoccuper de l’heure, et des responsabilités ! Le pied ! »

Après cela, Paris et moi profitions d’un silence réconfortant jusqu’à ce que je prenne la parole pour revenir sur de précédents aveux de Paris « alors même ta mère à un jour penser que tu étais obsédée par les rousses, hein ?! Je sens que lorsqu’on va rentrer de vacances, je vais opter pour un couleur moi ! »


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FEAT. SUMMER | A tout plan, il y avait toujours un couac, c’était quelque chose de naturel. Le plan parfait n’existait pas sinon, personne ne se ferait jamais coffrer. Pour Paris, le hic consistait à faire en sorte que sa mère se rende compte que son sanctuaire avait été souillé. « Pas une invitation mais un joli selfie de nous deux dans son lit ?! On n’est pas obligé de coucher dedans, le simple fait qu’elle se l’imagine est déjà énorme et va la pousser à justement tout brûler. Le hic, c’est qu’elle risque de piquer la clé à Matt’ pour aller venir coucher avec un type dans notre lit et ça… eurk je ne veux même pas l’imaginer » grommela-t-il en comprenant qu’il devait s’attendre à des représailles. Sa mère était comme lui voire pire… Inutile donc de penser que l’un se montrerait plus responsable que l’autre dans toute cette histoire. « Du coup, autant coucher dans son lit.. au moins, on changera pas le notre pour rien » arriva-t-il à cette conclusion somme toute logique à son esprit ; Son bébé l’embrassa alors et il lui rendit son baiser, un sourire amusé aux lèvres.

Cependant, ce fut avec toute sa tendresse et toute sa frustration d’amoureux privé de moment complice avec sa belle qu’il lui répondit. Paris comprenait très bien les désirs de Summer pour les ressentir également de son côté mais il n’avait jamais osé se plaindre car malgré lui, il était bien le premier fautif dans l’histoire. « Ma mère s’est pas trop posée de question pour me coller la fratrie sur le dos alors que je suis étudiant et que j’habitais dans un cagibi… donc bon, son avis, je m’en cogne un peu et puis, elle aura sa petite-fille rien que pour elle ! Fuck j’ai besoin tout comme toi, d’être aussi tranquille en amoureux. J’adore être père, c’est ce que j’ai toujours voulu mais je suis aussi fiancé à une femme super sexy et je peux en profiter que par petite tranche horaire » soupira-t-il avant de déposer un baiser dans son cou. De tout de manière, il allait trouver une solution quitte à payer une babysitter pour Ashlynn malgré les fins de mois difficile.

« Arrête, quand je t’imagine en rousse, j’ai l’impression de la revoir. Okay ça se dit clairement pas à sa nana mais tu me rappelles une gamine que j’ai rencontré dans une boîte. Je savais qu’elle était pas majeure mais elle avait un truc dans le regard… un peu comme toi. En fait, c’est con mais tu pourrais être sa grande sœur » dit-il en fronçant les sourcils. Paris avait beau se dire que c’était impossible, quand il songeait à cette adolescente qui jouait les grandes, il retrouvait un peu de Summer.

 



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FEAT. PARIS | Je ne sais pas ce qui est le pire : de se dire que mon mec est en train d’échafauder un plan pervers et qui pouvait nous couter un lit et des draps à brûler…ou le fait que ce plan me donnait envie de tenter le diable juste parce que j’avais moi aussi envie de voir la tête de Grace Maconahey au moment où elle verrait la photo ?? Franchement, y’en a pas un pour rattraper l’autre dans notre couple en fait, et je commence à comprendre pourquoi Bonaventure ne cesse de me répéter ces mots quand je lui parle de Paris et moi. En parlant de Bonaventure, lui aussi était l’un de ceux qu’on appelait pour nous sauver la mise le temps d’une soirée ou d’un après-midi…mais là il s’agissait d’un weekend entier à garder Ashlynn, voire même de prendre en charge Häagen dans le même temps. C’est donc naturellement que Grace venait sur le tapis, mais j’avais eu quelques hésitation sur le sujet que Paris m’ôtait bien vite « Bon c’est vrai que ce serait une sorte de retour de bon service…et si on arrive à jouer sur la carte « Grand-mère poule », ça pourrait le faire » je pinçais les lèvres en une moue emprunt à la réflexion puis finalement concluait « Okay, Banco ! On voit avec ta mère pour une garde quelques weekends…j’ai bien trop envie de t’avoir pour moi pour oser réfléchir plus longtemps à la question. Et puis…on est d’accord hein ?! Quand je dis « je t’ai pour moi », c’est « je t’ai pour moi, TOUT NU, TOUT-LE-TEMPS ! » » faisais-je remarquer avant d’opter au bout d’un moment pour un changement de position, sans concerter Paris. Naturellement, lui et moi échangions nos places, de sorte que c’était maintenant moi qui me retrouvais sur lui. Je posais les bras à plat et croiser contre son torse et prenait appui sur ses puissants pectoraux pour me redresser un peu le haut du corps et ainsi pouvoir le regarder tout en parlant.

On évoquait alors son petit béguin pour les rousses, et c’est sans réfléchir que Paris me parlait de cette adolescente rencontré en boite. Je souriais à son souvenir, imaginant facilement le genre de rencontre qu’il a pu avoir dans ce genre de lieu étant jeune, pour les avoir expérimenter moi-même. C’est d’ailleurs pendant ma période rouquine qui cherche à s’assumer que j’avais multiplié les sorties de ce genre entre amis. La première fois ayant été avec une bonne dizaine d’amis pour fêter l’anniversaire de l’une d’entre nous (ou plutôt la sœur de l’une d’entre nous, qui nous avait embarqué avec elle et ses amis, en nous faisant entrer malgré le fait qu’on n’avait pas eu à l’époque l’âge légal de rentrer) « Je devrais t’en vouloir de me dire ça, mais bizarrement, j’ai bien envie de te rappeler à son bon souvenir tu vois. Te donner la possibilité de « croire » pour un moment, que tu retrouves cette rousse, quelle qu’elle soit ! ….Ce que je ferais pas pour attiser ton désir, hein ?!» je plaisantais gentiment, mais dans le fond je commençais vraiment à me persuader qu’une petite période rousse pour moi ne serait pas une si mauvaise idée. Moi aussi ça me rappellerait à de bons souvenirs.


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FEAT. SUMMER | Paris adorait entrainer Summer dans ses délires le plus pervers. Il y avait un petit quelque chose d’innocent chez elle qui le poussait à avoir envie de la pervertir totalement. Le hic, c’est qu’elle était peut-être bien plus perverse que lui mais dans le fond, était-ce vraiment un problème ?! Il avait une femme qui le suivait dans tous ses délires, qui n’hésitaient que rarement à lui en proposer un. D’ailleurs, ils n’avaient toujours pas réalisé son fantasme des jeux de rôles. Quel mauvais fiancé il faisait par moment songea-t-il non sans humour. « Bébé, tu l’as dit, je suis comme les scouts, toujours prêt… par contre j’exige que tu cuisines toute nue avec simplement un tablier pour protéger ce corps magnifique ! Si tu savais les idées que j’ai à chaque fois que je te vois cuisiner » rigola-t-il car il ne fallait pas sortir de Saint Cyr pour comprendre qu’elles étaient franchement pas catholiques, ses idées. En même temps, quand il la regardait, c’était rare voire totalement hypothétique qu’il s’emmerde comme un rat mort. Il était plutôt en mode lapin hyperactif et hypersexué. « Tu m’auras uniquement pour toi et j’exige que tu coupes ton téléphone. Hors de question qu’un Bonaventure ou une Amanda viennent nous pomper le dard… je te veux pour moi tout seul, exclusivement, soumise, offerte, terriblement offerte même » murmura-t-il les derniers mots avant de l’embrasser langoureusement. Ce n’était pas de sa faute, dès qu’il s’imaginait tout un week-end avec elle, son esprit s’empressait de lui rappeler toutes les fois où ils avaient fait l’amour. « Rajoute sur la liste des lieux insolites la laverie de notre immeuble ! » ajouta-t-il entre deux courts baisers.

Naturellement la conversation avait dérivé sur cette histoire de rousse. Paris était obsédé par les rousses mais fréquentait une blonde. Pour lui, aucun problème, il se fichait bien de la couleur de cheveux de Summer tant que c’était elle. « Bébé, quand je te fais l’amour, crois-moi, tu pourras même te teindre en rousse, brune, te raser le crâne, je ne penserai jamais à une autre que toi… par contre, je dis pas que te voir dans une lingerie rouge, rousse… Bordel, tu sens combien junior est motivé ? » la taquine-t-il en sentant son désir se réveiller mollement. « Question conne mais tu as gardé des photos de ta période rousse ? »

 



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FEAT. PARIS | Je riais de bon cœur à la remarque de Paris qui faisait écho à la mienne en le comparant à un scout. Je croyais que vouloir le Dunster nu, pour moi et pour tout un weekend relevait de l’exigence, mais je me trompais : Paris était plus que partant et me proposait même d’en faire autant, ne portant qu’un simple tablier au seul moment de cuisiner. Je fis semblant de réfléchir à l’idée, adoptant une moue perplexe pour l’occasion, mais finalement, c’est tout sourire que j’hochais la tête en fixant Paris avec des yeux rieurs : « On va jouer les nudiste comme deux gamins, ça va être génial » lui lançais-je enthousiaste avant de me redresser pour lui prendre son visage en coupe et lui voler un baiser bruyant « et faudrait que tu prenne un jour le temps de me détailler à quoi tu penses en me voyant cuisiner, parce que ça m’intrigue ». C’est vrai quoi, après tout, si je peux me renseigner avant pour mieux lui proposer dans le réel ensuite, autant en profiter. C’est du coup avec le même enthousiasme que précédemment que je lui rappelais que j’avais hâte de l’avoir pour moi toute seule, et tout comme précédemment, je riais aux éclats après les propos de Paris, lui répondant du tac au tac « Alors déjà : il n’y a que moi qui ai le droit de te pomper le dard, si tu vois ce que je veux dire ! Qu’on soit bien clair, j’adore mes amis, et je serais à faire n’importe quoi pour eux, mais…hors de question que je les laisse faire CA ! » Déclarais-je en jouant sur les mots de Paris, et alors que j’imaginais déjà à quoi allait pouvoir ressembler un p'tit weekend rien que pour nous deux, mon fiancé évoqua la laverie de l’immeuble, et mes yeux en pétillaient de désir à l’avance. « Stop, arrête de me mettre des images dans la tête, parce que je sens que je vais hurler à chaque fois qu’il sera nécessaire de faire le linge et que je devrais y aller SEULE pendant que toi tu gardes Ashlynn ou inversement »

Finalement la conversation dériva sur les aveux de Paris et son fantasme de l’époque (ou même du jour) concernant les rousses, me motivant sans le savoir à vouloir passer à l’acte d’une coloration. Je laissais le Dunster dévier son esprit vers une image de moi plus sexy en lingerie et gloussait en le sentant déjà s’extasier, jusqu’à ce que sa question m’interpelle et me fasse réfléchir. « Hmm…je ne sais pas, attends que je réfléchisses euh… » Je cherchais dans le fin fond de ma mémoire, me demandant si j’avais une ancienne de photo de moi à cette époque, mais la seule qui me venait en tête là, maintenant, c’était celle que mon père avait fait dans le jardin, sur la terrasse, parce que c’était la première fois que je cite « on pouvait croire à une vraie rousse dans la famille ». Malheureusement, à quelques exceptions près, les femmes Wingfield étaient toutes blondes. Alors une rousse, même fausse, c’était à marquer dans l’histoire. « Alors si on retourne à nos affaires, je pourrais demander à mon père de m’envoyer par message, la photo qu’il a de moi, parce que je crois bien que c’est la seule de visible et potable qu’on peut trouver à ce moment-là. »



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FEAT. SUMMER | Tout un week-end à poil avec sa nana, voilà de quoi lui donner envie de baver et surtout de commencer prestement cette nouvelle tradition car oui, il s’agissait là que d’une nouvelle tradition -au même titre que les pancakes bonhomme du dimanche matin. Paris adorait toutes ces petites manies de couple, ce quotidien, cette routine. Il n’aurait jamais cru prendre autant goût à la chose et pourtant, il aimait cela. Il s’était toujours figuré qu’il était plus le genre d’homme à vivre une vie à cent à l’heure, à ne jouir que dans l’instant T et surtout à ne pas regarder en arrière. Pourtant, depuis qu’ils étaient en couple, il sentait qu’il changeait ou plutôt qu’il devenait simplement un mec normal qui appréciait ses instants familiaux. Des moments que sa mémoire gravait à tout jamais dans sa tête pour son plus grand bonheur. « Bébé, si je te détaille tout, il n’y aura plus l’effet de surprise mais je vais être gentil et te donner un indice : Toi, en train de cuisiner, moi en train de TE cuisiner. Le seul hic, c’est que tu risques de rater ta recette » lâcha-t-il avec un sourire taquin, les yeux pétillants de malice. Pour le sexe, par contre, aucune routine, le couple était plus que productif dans ce domaine. C’était encore à se demander comment la Dunster House avait réussi à résister à leurs ébats… Tiens, note à lui-même, visiter la Quincy House ! « Encore heureux ! Sérieux, j’ai pas envie de m’imaginer tes potes… Oh god, tu viens de me castrer psychologiquement pour au moins dix bonnes minutes » rigola-t-il en secouant la tête pour s’ôter toute pensée parasite du genre. « Mais j’aime quand tu dis que tu es la seule… même si par moment, tu joues un peu trop la carte de la sucette pour obtenir ce que tu veux de moi ! Le pire, c’est que je peux même pas m’en plaindre car j’adore ça » dit-il avec un regain de légèreté avant de lui piquer un baiser.

Ah les baisers, c’était sa façon à lui de la faire taire ou de remporter une mini dispute car il savait très bien qu’elle ne résistait jamais à ses lèvres. Chacun ses armes ! « Okay.. j’arrête mais tout de même… on a pas baptisé tout l’immeuble, pas même l’ascenseur… Si on doit déménager, j’exige qu’on le quitte de manière honorable » reprit-il avec un fond de sensualité dans la voix. Nul doute que leur retour allait être sportif… En parlant de retour, son envie de la découvrir en rousse était bien plus forte que celle de rester dans cette barque puant le poisson. « Allez, on se rhabille et on file retrouver Bonaventure et la petite… tu crois que ton père a encore la photo ? Non parce que j’ai vraiment envie de vérifier un truc »

 



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FEAT. PARIS | J’adorais la façon si particulière que Paris avait de m’expliquer en résumé ces viles pensées au moment où je me mettais aux fourneaux. Son jeu de mot avait fait son effet dans ma tête et déjà j’en rougissais en me pinçant les lèvres avant de lui répondre d’une voix presque murmurée « Je te demanderais juste de pas me faire ce coup-là le dimanche matin. C’est le seul repas que je n’aime pas raté ! » Mais alors que je faisais comprendre peu de temps après à Paris qu’il n’y avait que moi pour jouer le rôle de pompeuse de dard, Monsieur avait eu la brillante mauvaise idée de se mettre des images en tête « AAahhhhh, mais pourquoi tu viens forcément te coller des images dans tout aussi ! T’es pas net » m’exclamais-je en le tapant gentiment à l’épaule tout en secouant la tête. Bon, même si je n’avais pas cherché à le castrer, j’avoue que mes propos, bien que drôle au départ pouvaient effectivement forcer à ses créer des images de Bona ou Amanda entrain de….** WWWOOOAAA, STOP LA ! Moi non plus, je n’ai pas besoin de ça là ! Nan mais ça va pas Wingfield ?! PAS. D’IMAGES. OKAY ?! ** Il valait mieux pour moi de me concentrer sur les nouveaux dire de Paris, surtout que ce dernier insistait sur le fait que je me servais de certains de mes… – comment dire euhm – certaines de mes pulsions spontanées à vouloir m’occuper de Junior avec ferveur (Ouais voilà, c’est dit correctement là, sans vulgarité aucune !) Tout ça pour obtenir ce que je veux ? Je me redressais pour m’asseoir entre les jambes de mon fiancé, et le regardais un peu sceptique « Tu sous entends quoi là ?! En quoi je me sers de ça pour obtenir ce que je veux ? » Demandais-je non pas comme un reproche, mais bel et bien parce que j’étais intriguée par ce que pensais Paris. Je croisais les bras et haussais les épaules pour finalement répondre « J’ai jamais cherché à « jouer la carte de la sucette » comme tu dis pour obtenir un truc….enfin je crois….donne-moi un exemple ? »
Eh bien que j’étais d’accord avec l’idée qu’on quitte l’immeuble en apothéose avant de déménager, je ne cherchais pas à revenir sur les propos de Paris, prenant comme acquis ce qu’il venait de réclamer de toute façon. On était d’accord sur le sujet. Nan à la place, je m’étais intéressé à sa pulsion pour les rousses et à sa curiosité concernant mon apparence adolescente rouquine. Je lui fis sans le vouloir remarquer qu’il allait falloir retourner à notre spot sur la plage et retrouvée Ashlynn. Et alors qu’on se rhabillait, Paris semblait vraiment intriguée par cette photo dont je lui parlais « Bah, ouais, je crois bien…si mes souvenirs sont bons, il l’a même accroché à son mur des souvenirs, comme il l’appelle. Bon t’as pas pu le voir, parce que pour ça, faut pénétrer la chambre des parents, et qu’on soit clairs : je ne veux pas qu’on fasse dans leur chambre ce qu’on compte faire dans celle à ta mère. Parce que je tiens à notre mariage et la bénédiction encore valide de mon père tu vois ?! » Répondais-je finalement en rigolant. C’est rhabillé et dépourvue de la tension sexuelle de départ, que Paris et moi revenions main dans la main, vers Ashlynn et Bona ; ce dernier la scrutant en train de remplir le seau avec du sable (elle met plus à côté que dedans soit dit en passant !) et quand on arrivait enfin à son niveau, il nous regardait un peu soulagé. « Sincèrement, il vous faut vraiment tout ce temps pour vous envoyer en l’air ?! » Ah ça, je souriais d’un air amusé et répondais « Bah, c’est qu’il est endurant tu comprends ! » Ca c’est dit. Non mais oh, on prend le temps qu’on veut nan ?!

Je m’installais alors sur ma serviette de plage, et fouillais très vite dans mon sac à la rechercher de mon téléphone pour envoyer un message à mon père, pour lui demander de m’envoyer en pièce jointe la photo de moi, à 16 ans, en rousse.

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