Visite imprevu Philia

Je le trouve pas du tout ennuyant, il me dit que chacun a ses opinions. Quand il me parlais de m'invité a sa soiré film avec sa fille. J'avais peur, j'aime pas trop les enfant, fin plus que je n'en n'ai jamais trop approché. Après j'ai jamais essayé.
"J'ai pas vraiment l'habitude" il continue en me disant de déssiné sur la feuille en me tendant un crayon. je commençais a dessiné, ce qui prenais une forme de nain, comme dans blanche neige et les 7 ,nains. Sachant qu'il venait de me parlé de disney
"A toi'

« Je peux te demander si c’est parce que tu as de mauvaises expériences avec certains ou c’est juste parce que tu en as pas? » Oui depuis sa réaction de plus tôt, j’avais un peu peur d’exagérer et lui poser trop de questions. Malheureusement pour elle, bien que personnellement je n’aime pas parler de moi, j’étais très curieux et ne pouvait bien me retenir. Je la regardai ensuite attentivement faire. Je ne savais pas trop où on s’en allait ainsi. De plus, on avait un style assez différent, ça serait sûrement contrastant donc. Je souris en voyant son dessin. « Je ne savais pas que tu aimais cela. » Je la taquinais un peu, comme elle venait de me dire qu’elle n’était pas habituée avec les enfants. Je pris à mon tour le crayon et dessinai autour un arbre. J’avais dernièrement un style assez sombre, j’aimais bien rendre la réalité un peu plus macabre et cela parut.

 J'arrivais même pas a a me suivre ce qu'il me disait. Oui j'avais pas tout compris.
"Tu me parle de quoi, de garçon? ou d'enfant" Ouais j'avais pas tout suivie. Pour ce qui s'agit d'enfant s me rappel bien trop mon passé, quand je protégeais les plus jeune. J'ai peur de faire du mal a un enfant comme on a pu m'en faire. On s'avançais vers la cuisine. Ou il sortait une feuille et un crayon.
Je dessine un nain et me demande si j'aime les disney
"Tu viens d'en parlé alors frocément. Si si, j'adore l'imaginaire, et tout ce qui peu y touché, c'est comme ça que j'ai survecu toute mon enfance... Je voulais faire en sorte que je m'évade dans mes dessins". Lui était plus sombre, j'ai vraiment évoluer dans mon style, mes dessins c'est juste le paradis. Quand lui dessinnais un arbre. Je me mettais a dessiné une seul et unique rose.
"A toi'

Je ris un peu à sa question. C’était évident que je ne lui posais pas de questions sur les mecs, je comprenais pourquoi elle les repoussait. Les enfants, non. « Les enfants, Mia, les enfants. » Je la regarde, attendant une réponse. Après tout en la regardant, j’ai parfois l’impression de voir un enfant avec toutes ses couleurs, ses peurs, sa fragilité… Mais je me retiens bien sûr de lui dire cela.

On était à présent assis à la table de ma cuisine et dessinait. C’était plutôt paisible, ça détendait. « C’est bien enfin… ça peut aider. » Je lui souris un peu, ne désirant pas particulièrement entrer à nouveau dans un sujet sensible. J’étais d’ailleurs concentré à la regarder faire et je souris un peu en reprenant la feuille et ajouter simplement des épines à sa rose. « Mais la réalité peut nous rattraper. » Je lui renvois la feuille, soupirant discrètement. Bien que j’essaye moi aussi de m’évader dans les arts, mes pensées revenaient encore au galop sans que je le demande. Je n’arrivais plus à totalement me couper.

Il me disait qu'il me parlais d'enfant.
"Parce que j'ai pas d'exprience; et la seul "experience que j'ai pu voir c'est la mienne, j'ai pas envie de ... Fin bref voila quoi" Oui de faire du mal a un enfant, de ne pas savoir m'y prendre. Il me dit que la r"alité peut nous rattrapé, même si sa. Je dessinnais positif et lui négatif.
"Quand a 8 ans tu cherche un moyen de pouvoir t'échappé et que te sauvé de la famille d'acceuil ne sert a rien. J'ai pris une feuille et j'ai déssinné, je rêvais d'avoir un chien, je dessinais un chien et je me voyais jouer avec lui pendant des heures, c'est comme ça que j'ai appris a m'échappé dans le dessin. J'ai aussi dessiné ce que je ressentais mais c'est autre chose, c'est d'autre dessin que personne na vu" Je lui parle peu ête un peu mais mes dessins les plus sombres, mes dessins qui me révèle completement son bien loin de sortir de ma cachette.
Je dessinais ensuite des fleurs sur son arbres.

J’hoche de la tête, voilà l’explication, bien que pas fini. « Tu serais super, je suis certain. Il ne faut qu’avoir de bonnes intentions, ils ne demandent pas. » Et encore une chance de mon côté. Bien que je donne mon maximum à ma famille, celui-ci ne serait jamais assez si elle était trop demandante. Je n’avais que très peu à offrir, peu d’énergie, peu d’idée, peu.

Je remonte mon regard sur elle et l’écoute. Je suis un peu surpris qu’elle me parle ainsi, mais aussi heureux. Je n’ai pas à la forcer, elle le fait à présent naturellement et ça me fait plaisir. « C’est génial ce que l’imagination peut faire… » Je souris un peu cela ne prouvant que ça pouvait grandement aider, même si au final, ce n’était qu’un crayon et du papier. D’ailleurs, j’ajoutai une hache dans les mains de son nain, il venait coupe l’arbre. « Tu faisais comment pour dessiner ce que tu ressentais? » J’avais envie de savoir, concrètement, par quoi elle le représentait.

Il me disait qu'il était sur que je serais génial avec des enfants. Je tournais la tête géné, j'ai jamais essayé et j'avoue que j'aprhende la situation. Il parait qu'on refait le schéma de mes parents. Sacahnt que mes parents, ma mère et morte, je ne veux pas entendre parlé de mon père et les seul personne qui ont représenté cette figure on tout completement foiré du début a la fin. Il me disait que c'était génial le pouvoir de l'imaginaire. Je suis fan de l'imaginaire, je fonctionne que la dedans. Il me demande comment je fait pour dessinné ce que je ressens.
"Sois ce qui c'est passé, sois c'est juste des formes et des couleurs, je laisse ma main faire je ne réfléchie pas. Et tu compte me cuisiné encore? Parce que toi tu parles pas!" Oh oui j'allais pas me livré entièrement comme ça. Il voulais que le nain coupe l'arbre. C'est la que je dessinnais un autre arbre a coté.

Elle comptait ignorer mon commentaire et pourtant, je ne voyais pas comment elle ferait autrement que du bien. Moi-même quand j’ai appris qu’on allait avoir un enfant, j’avais à peine 20 ans je stressais tout faire mal, mais il ne faut que donner ce qu’on a, en général, ça leur convient. Enfin, je n’avais jamais demandé à Summer comment elle me trouvait tout de même, mais elle semblait heureuse. C’est bien d’avoir une certaine naïveté à cet âge, on ne peut tout voir et tout comprendre ce qui nous entoure. « Dans l’abstrait? » Je pince mes lèvres lorsqu’elle dit que moi je ne parlais pas. Je n’en avais pas particulièrement envie. J’hausse cependant mes épaules. « Tu veux que je parle de quoi? » Je remarque son stratagème de faire un deuxième arbre et dessine donc pour ma part un deuxième nain, un peu différent du sien bien sûr. J’ai l’impression qu’on fait une guerre.

Il me demandais ce que je faisait pour exprimé mes émotions.
'Oui..." Je savais aussi qu'il fallais que je passe le cap d'en faire en abstrait. Je sais que mes toiles abstraite on plus de potentiel, mais je ne suis pas capable de les montré même a lui alors de les exposé devant des inconnue je ne peux pas. C'est me dévoilé et cassé mon armure que j'ai mi si longtemps a me forgé.
"De Summer, si tu veux que je vienne. " Bah ouais j'ai une certaine apréhension vis a vis de sa va falloir qu'il m'en parle. Je le vois dessinné un autre nain. Alors la je dessine un mur qui fait toute la hauteur de la feuille
"Non laisse les arbres tranquille! Il faut protégé la nature"

« Ça doit être très intéressant! » J’avais pour ma part beaucoup de difficulté à faire de l’abstrait. Mon premier domaine était la photographie après tout, il ne pouvait pas avoir plus clair que cela. Toutefois, j’adorais en regarder. Il y avait tant à apprendre de cela, surtout si c’es créé avec plusieurs émotions. Je souris lorsqu’elle prononce le prénom de Summer. Finalement, ça ne me dérange pas tant de parler. « Qu’est-ce que tu veux savoir sur elle? Enfin, c’est une petite boule d’énergie, jamais tranquille, mais je suppose que ça m’aide. » Cela m’obligeait bien sûr à moi aussi me bouger un peu, pour elle. Je ris suite à son dessin et lève les yeux au ciel. Je dessine une corde pour qu’il monte le mur. « Mais non, c’est un travailleur! »