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COZ IT'S TIMES LIKE THESE REMIND ME, THAT I GOTTA KEEP MY FEET ON THE GROUND. (+) NEMHAM

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room on the third floor not what we asked for, i’m not tired enough to sleep. one bed is broken, next room is smoking, air-conditioning’s stuck on heat. outside it's raining, hear the guest upstairs complaining about the room that’s got their TV too loud.


Une douche avec Graham pour vous débarasser de toute cette chantilly sur votre peau et vos habits ? Tu disais oui, ouuuui ! Mais le rouge semblait un peu trop te connaître pour ton bien, et tu mordais ta lèvre, haussant négligement tes épaules. « Loin de moi l'idée de te dégoûter, le contraire serait tellement plus plaisant. » Tu lui répondais tout sourire, et n'était-ce pas là la vérité ? T'avais surement pas envie de lui donner envie de gerber, noooope, du tout. C'était juste le genre d'activité créé pour faire plaisir à tes yeux baladeurs. Il finissait par te faire tomber et à te chatouiller de partout, et ça devenait difficile pour toi. Tu avais du mal à parler et même à être efficace dans tes tentatives d'attraper les poignets de Graham, parce que tu n'en pouvais plus de ses mains diaboliques qui ne te laissaient aucun répit et que tu avais malheureusement vraiment besoin de respirer si tu voulais continuer à vivre encore un peu. Tu le traitais de voleur d'idées en espérant que ça lui donne le rouge aux joues de honte de t'avoir recopié au lieu de chercher quelque chose d'original dans son petit cerveau mais au lieu de cela, il continuait, alors tu essayais un nouveau plan d'attaque, celui de lui faire remémorer qu'avant que tu fasses le débilos avec la chantilly il avait une idée – surement effrayante – de jeu, et ça semblait marcher un peu, au moins le temps que tu puisses mieux respirer. Il se redressait un peu, au dessus de toi, mais apparemment il y tenait à sa victoire car il ne céderait à ta demande seulement si tu te déclarais vaincu. Et bien, en tant de guerre il devait être féroce le Gramou ! Tu réfléchissais, pesant le pour et le contre, ta raison mature contre tes envies de gamin. « D'accord d'accord... » Tu commençais doucement à dire, comme un murmure de personnage abattu qui se rend, tu baissais les bras de chaque côtés du lit, t'enfonçant encore plus dans le matelas. Puis deux secondes plus tard, l'une de tes mains attrapait un boxer que tu avais aperçu plus tôt, et tu l'enfonçais sur la tête de Graham, le désorientant de ton action et lui ôtant pour le moment la vue. Ayant baissé sa garde, tu pu de nouveau le pousser de toi afin qu'il tombe par terre, et tu te levais vite. Attrapant un oreiller, tu lui tapais la tête avec – DOUCEEEEEEMENT, c'était tout doux en plume d'oie de tu-savais-pas-où, c'était pas pour lui faire, juste pour le désorienter une seconde fois – et tu le poussais encore un peu histoire qu'il soit par terre sur son ventre. Là tu attrapais avec force ses poignets, et tu les collais contre le bas de son dos, les tenant fermement pour ne plus qu'il bouge, toi assis confortablement sur son fessier. Tu riais, tout content. « Et c'est le Prince Nemo qui met K.O. son adversaire de toujours l'ourson en guimauve Gramou ! On applaudit on applaudit  pour cet exploit magnifique et incontestable ! Pour les autographes et les déclarations d'amour, ce sera à la sortie ! » Tu t'écriais comme si tu venais de gagner un match de judo, et que c'était le plus beau moment de ta vie. « Je crois que je t'ai vaincu Darling non ? On passe à autre chose ? » Tu disais, un peu trop enthousiaste. Quand la vie vous donne des Graham, il faut être fourbe pour les vaincre !


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Je suis sur le point de remporter le jeu, une victoire cinglante et parfaite pour mon égo de mâle dominant. Nemo est à ma merci, allongé sur le matelas, essoufflé, mené à la baguette par mon bassin oppressant sa peau. Il n’a plus qu’à avouer à haute voix sa défaite et la partie sera terminée. Il pourra de nouveau respirer sans éprouver la moindre difficulté, il sera un homme libre jusqu’à ce que nous prenions une nouvelle crise de nerfs. Est-il prêt à mettre un terme à cette mascarade ? Je n’en suis pas persuadé, je le toise du regard, concentré et je crois percevoir un petit quelque chose, une lueur dans ses yeux qui me fait douter de ses intentions. Il va me la faire à l’envers, je ne sais pas pourquoi mais j’en suis persuadé, je commence à le connaitre suffisamment pour interpréter ce genre de regards. « D'accord d'accord... » Je plisse les yeux, cherche à démêler le vrai du faux lorsqu’il passe à l’attaque. Il agit comme une hyène, il est vilain, il n’affronte pas l’ennemi en face, il use de subterfuges très intelligents… Enfin quand je dis intelligent j’exagère un peu, c’est moi qui me trimballe avec un caleçon, propre heureusement, sur la tête. Je suis aveuglé et l’enfoiré en profite pour me faire reculer, je tombe du lit, tente de me redresser en vitesse mais il continue de me repousser en arrière. Il attrape un oreiller, je ne m’en rends compte que lorsque ce dernier s’abat sur ma tête et me pousse à tomber sur mes fesses. Dans un geste désespéré de prendre la fuite je me retourne et… Et plus rien, je suis coincé sous Nemo qui s’installe pénard sur mes fesses bombées et musclées pour s’emparer de mes mains et les glisser dans mon dos, menottes invisibles à l’appui. « Et c'est le Prince Nemo qui met K.O. son adversaire de toujours l'ourson en guimauve Gramou ! On applaudit on applaudit pour cet exploit magnifique et incontestable ! Pour les autographes et les déclarations d'amour, ce sera à la sortie ! » Je reste calme, c’est à peine si je tente de me défaire de son emprise, oh oui, je suis bien trop concentré sur la suite des événements. En attendant, je le laisse jouir de ce qui semble être une victoire. « Je crois que je t'ai vaincu Darling non ? On passe à autre chose ? » Un sourire étire mes lèvres, le boxer sous les yeux me dissimule suffisamment pour qu’il ne puisse pas se rendre compte que j’ai ce regard pervers, illuminé par une idée de génie. « JAMAIS ! » Je prends appui sur mes genoux pour relever les fesses et lui faire perdre l’équilibre, suffisamment pour que je puisse me retourner et le plaquer au sol. Je m’allonge contre lui, mes jambes disposées autour des siennes, mes bras contre le sol pour qu’il ne puisse pas s’échapper. Son souffle, entrecoupé, disparait contre ma peau. « Et maintenant tu fais quoi ? » Je retire le boxer de mon visage et le balance à l’autre bout de la pièce, prêt à savourer... La victoire.
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Le plan était parfait. Certes pas très élaboré, constitué d'enchainement de mouvements simples mais efficaces, tu l'avais construit dans ta tête seulement quelques secondes avant de t'exécuter, ce qui ne t'avait pas permis de t'embarquer dans du compliqué qui risquait d'échouer. Et le plus fou, c'est qu'il marchait, ce plan parfait. Tu avais assez de moyens pour désorienter Graham, qu'il se demande ce qu'il se passait, où ça se passait, pourquoi ça se passait, et tu en prenais pleinement l'avantage, le mettant sans remords à ta merci, alors que tu le dominais enfin, assis sur lui, tenant fortement ses poignets pour ne pas qu'il ai de moyens pour s'échapper. Tu étais tout fier de toi, de pouvoir montrer qu'on était pas obligé d'être un gros balourd bourré de muscles pour réussir ses coups, que même toi, la brindille, pouvait renverser le Graham dans une bagarre amicale – bah oui, amicale, si c'était vraiment une bagarre tu lui aurais foutu quelques coups de pieds dans les parties sensibles et voilààààà, c'est qui l'papaaaaa ? C'était toi. - mais peut-être n'aurais-tu pas dû oublier que toutes situations pouvaient être renversée d'une manière ou d'une autre, surtout avec le Winthrop. Alors tu te tenais droit, fier, et tu lui demandais si lui était prêt à passer à autre chose, mais il finissait par gueuler un jamais qui te surpris, et tu sentais ton équilibre qui vacillait alors qu'il bougeait. Ton dos tombait sur le sol – heureusement que c'était pas du beau carreau, depuis le temps que vous vous cassiez la gueule dessus vous en auriez cassé un – et Graham réussissait à intervertir vos positions, et tu te retrouvais près, bien trop près de lui. « Et maintenant, tu fais quoi ? » Tu fis une petite moue en regardant le boxer voler à l'autre bout de la pièce, ce si beau boxer qui avait été l'investigateur d'une telle farce. « Pourquoi tu l'as enlevé ? Il embellissait teeeeeellement ton visage ! » Tu riais, te moquant ouvertement de lui malgré ta position inférieure, et tu retournais ton visage pour lui faire face, te rendant à cet instant un peu plus compte à quel point il était presque collé à toi. Sans que tu ne lui demande quoi que ce soit ton coeur se mit à battre un peu plus vite, et tes yeux noisettes ne pouvaient quitter les siens, comme ensorcelés. Merde, il était vraiment beau Graham. Et c'était tout ce à quoi tu pouvais penser. T'oubliais les confidences, les insécurités, les batailles de chantilly et vos différences, et tu le regardais, le souffle coupé. Et après quelques secondes, tu bougeais légèrement ton visage et tu l'embrassais, enfin. T'étais doux, totalement hésitant, comme un adolescent qui n'avait jamais embrassé de sa vie, comme un homme qui tentait de ne pas effrayer un animal sauvage. L'une de tes mains frôlait le long de son dos, comme si elle n'osait pas le toucher de peur de briser le moment, mais elle finissait par se poser lentement sur son épaule, comme si tu avais de besoin de cet autre infime contact pour te prouver que oui tu étais bien en train de faire ce que tu croyais faire, et que non, tout ça n'était pas un rêve drôlement bien réalisé. Ça n'a pas duré longtemps, quelques secondes seulement, la brise légère d'un baiser lèvres contre lèvres, mais lorsque tu ouvrais à nouveau les yeux tu te sentais comme submergé d'émotions contradictoires, comme si tout ce que tu avais jeté à la fenêtre avant de l'embrasser te revenaient en pleine gueule. Il était toujours près, et toi tu te mettais à suffoquer, alors tu te redressais rapidement, sans même observer ce qui se passait sur son visage – t'avais pas envie de voir son dégoût enlaidir ses traits du visage de toutes manières. « Je... Je dois aller caguer. » Tu finissais par lâcher en te levant, brisant complètement la moindre once d'atmosphère planante qui restait entre vous, et tu allais t'enfermer dans les toilettes, avant de te laisser glisser à terre contre les carreaux. On inspire, on expire, inspire, expire... T'allais faire quoi maintenant ? Merde. Merde merde meeerde. Pourquoi tu faisais toujours des conneries comme ça ? Putaaaain. Y avait encore des places disponibles pour un vol Boston-France aujourd'hui ? Peut-être que d'ici demain matin tu pourrais retrouver Monaco et tu pourrais t'y cacher là genre... Toute ta vie. En plus Graham il savait toujours rien de ton appartenance à la royauté, il avait surement déjà dû oublier d'où tu venais, c'était l'endroit idéal. Ou sinon t'irais en Suède, rejoindre ta chère femme au plus grand plaisir de tes parents, et t'irais continuer tes études là-bas, continuant ta vie bien tranquillement et faisant taire toutes les rumeurs. Ou bien... Ou bien tu savais pas. T'étais angoissé, énervé, et t'avais envie de te flageller devant ton manque de résistance. Pourquoi il te rendait si faible hein ? C'était qu'un garçon. Et quand tu pensais ne pas pouvoir faire pire, tu lui lâchais comme tentative de sortie que t'allais caguer. Ouais Nemo, t'étais l'élégance même, en toutes circonstances apparemment. Nemo, Nemo, Nemo, qu'allons nous faire de toi ?


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Mon parfait petit plan est peut-être simple, osé et repose uniquement sur ma force physique mais il s’avère être un succès. Ce sont toujours les plans les moins élaborés qui réussissent, les trucs qui tiennent à peine debout avec des dizaines d’étapes différentes sont bien trop compliqués pour ne pas être voués à l’échec. Je roule, à croire qu’il devient monnaie courante avec moi de faire cela, pour mieux imposer ma puissance à Nemo. Je le surplombe, l’empêche de bouger, de s’échapper, de m’échapper. Je suis en position de force, allongé contre lui, si proche, à lui imposer ma suprématie. Difficile de se faire entendre cela dit avec un caleçon sur la tête, je ne vois même pas ce que je fais et il pourrait très aisément s’en servir pour me jouer un mauvais tour. Très méfiant, je le retire donc de mon visage pour le lancer à l’autre bout de la pièce, de sorte à ce qu’il ne puisse pas se jeter dessus à nouveau pour me faire un vilain coup. « Pourquoi tu l'as enlevé ? Il embellissait teeeeeellement ton visage ! » Il se révolte face à mon action pour la moins controversée. De quoi me faire retrouver le sourire victorieux que j’arborai précédemment. J’aime le mettre en colère, le contrarier, c’est tellement jouissif. « Tu vas finir par me vexer à vouloir me mettre tout et n’importe quoi sur la tronche pour être sexy ! » Les lunettes et maintenant un vulgaire boxer, il n’a qu’à le dire si je ressemble à un sac poubelle usagé et souillé. Je glousse, légèrement perturbé par sa réaction, beaucoup trop joyeuse et pas assez résolue à mon goût, il se retourne pour entièrement me faire face et… Je le sens, je le vois venir, ses yeux trahissent ses pensées. Le temps semble soudainement avancer à une allure folle puisque je ne réagis pas suffisamment vite pour nous éviter à tous les deux un moment d’embrassement intense. Il approche avec une douceur qui me surprend, il est moins virulent, il n’approche pas avec ses grands sabots. Le temps s’arrête, plus aucun son, plus rien, juste ses lèvres plaquées contre les miennes, cette sensation d’ivresse. Je ferme les yeux, enveloppé par un voile d’insouciance. Mon âme s’est déconnectée de mon cerveau, seul mon corps guide mes pas et le prochain s’avère déci… « Je... Je dois aller caguer. » Il me repousse avant même que je n’ai pu réagir et prend la fuite en direction de mes toilettes. Je ne parviens même pas à prêter attention au sujet tue l’amour qu’il vient d’aborder. Non, je suis abasourdi, tout simplement. Assis sur mes jambes, à même le sol, vide, tremblant. Mon cœur frappe tellement fort dans ma poitrine, il me brûle, me démange, il me fait diablement mal. L’adrénaline me fait perdre pied, mon corps tout entier s’embrase sous la pression. « Non mais qu’est-ce que tu fous Graham ? Reprends-toi avant de commettre la plus grosse erreur de ta vie ! » Je sursaute, désorienté. « On t’a demandé ton avis à toi ? Ne l’écoute pas Graham ! » Je baisse la tête et observe mes mains, elles tremblent, déchirées par tant d’émotions, par le désir, la peur, le regret, l’envie. « Tu ne peux pas faire cela, n’oublie pas qui tu es, ce que tu as vécu. » « TAIS-TOI ! Tu ne peux pas te servir du passé comme excuse pour ne pas suivre tes désirs ! » « Tu n’es pas gay Graham, tu ne peux pas aimer un homme, le désirer, c’est contre-nature, tu n’es pas comme ça ! » « Tu as le droit de céder, ne lutte pas, ne t’épuise pas à combattre ce que tu es vraiment, ce que tu désires ! » « Graham, ne vois-tu pas qu’il t’entraine sur un chemin dangereux ? Ce n’est pas toi ! Il se joue de toi, il veut te faire souffrir, il se joue de toi, de tes doutes pour t’influencer, pour te pousser à prendre les mauvaises décisions. » « Je ne veux que ton bonheur, n’est-ce pas ce que tu veux Graham ? Être heureux ? » Assez, le plaque mes mains contre mes oreilles et me cambre, me recroqueville sur moi-même. « Arrêtez, stop, taisez-vous, laissez-moi, pitié ! » Mes muscles se contractent, empêchent le souffle d’arriver à destination, de m’oxygéner. J’étouffe ! « Graham resp…ire… » « Respire ! » Les deux voix qui résonnent dans ma tête sont enfin d’accord sur une chose. Je me redresse, déséquilibré, perdu et ouvre la fenêtre sur laquelle je m’appuie pour prendre de grosses bouffées d’oxygène. Je dois m’écouter, mais que dois-je écouter ? Mon cœur ? Mon cerveau ? Faire confiance à ce que je suis ou à l’inconnu ? Je… Je sais ! J’avance, fermement décidé à mettre les choses au clair. Arrivé à la porte des toilettes je tape, frappe encore et encore. « Nemo, sors de là !!!!! TOUT DE SUITE ! »  
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« Nemo, sors de là !!!!! TOUT DE SUITE ! » Tu sursautais à l'entente de la grosse voix de Graham, juste derrière la porte. Ton corps entier tremblait, de peur, d'angoisse, comme une boule de nervosité, et tu tapais sous la surprise ton coude contre le lavabo, laissant échapper une plainte face à la douleur furtive. Tu plaquais ta main contre le coude, tentant d'apaiser le mal soudain, et tu déglutissais, l'idée même de te retrouver devant Graham après ça te foutant la gerbe. « J-je... J'ai pas fini ! » Tu tentais d'écrier pour qu'il t'entende, d'une voix misérable et un peu trop aigüe, et merde, pourquoi avait-il l'air si en colère hein ? Entendre les frappes incessantes contre la porte en bois, avoir sa voix grave et autoritaire qui résonnait dans tes oreilles, ça ne te disait rien qui vaille, et ça te stressait encore plus. Tu poussais à nouveau une longue expiration, puis deux, histoire d'apaiser les tremblements incontrôlés de ton corps, et non, t'allais pas pleurer pour rien non, t'allais être fort. Tu te sens retombé en enfance, comme un petit garçon pas plus haut que trois peur qui aurait peur du tonnerre et des éclairs, et même dans tes souvenirs, t'avais jamais eu l'impression de te sentir aussi misérable qu'à ce moment-là de ta vie. Tu regardais la petite pièce qui t'entourait, ton petit camp, ton cocon improvisé contre les nuisances et souvenir extérieurs, et tu la détaillais, dans une envie soudaine de te prendre pour un mixe entre MacGyver et Chuck Norris, et de te sortir par tous les moyens de cette situation précaire. Un petit placard sous l'évier, des rangements de serviettes, et cette putain de fenêtre qui te fixait, qui te narguait, parce qu'elle était bien trop petite pour que tu t'échappes de celle-ci. T'étais tellement désespéré que oui, même si Graham était au second étage, t'aurais tenté. Tu appuyais sur le bouton de la chasse d'eau – comme si t'avais pas menti, comme si t'avais vraiment pas fini avant – et tu raclais ta gorge, tentant d'acquérir une contenance difficile. Tu t'éloignais si c'était possible encore plus de la porte. « T-tu te souviens que tu m'as dit que tu avais un jeu à me p-proposer ? Et bien j-j'en ai un moi aussi. C'est le cache-cache. Ça t'dit p-pas d'y jouer ? Tout l'monde a-aime ce jeu. C'est simple, amusant, et ça t'apporte cette adrénaline que t'ai c-cinq ans ou soixante ans. J'commence à compter si tu veux. Un. Deux. Trois...  » Tu partais complètement dans ton délire, comme un malade mental enfermé dans son propre esprit, comme un Nemo qui ne veut plus affronter la réalité et qui cherche à rétablir une normalité, une scène où il pourra tout rétablir proprement et faire comme si rien ne s'était passé. Tu entourais tes bras autour de toi, et tu regardais tes pieds. T'avais pas envie d'ouvrir la porte.


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Je ne sais pas du tout ce que je suis en train de faire. En colère, la haine me ravage, me dévore de l’intérieur et d’un autre côté j’explose, frustré comme jamais. Dans tous les cas il n’a pas le droit de prendre la fuite, de se réfugier dans l’un des seuls endroits où je ne pourrais pas l’atteindre à cause de cette putain de clé enclenchée dans la serrure. Il n’a pas le droit d’imposer une telle frontière, je ne peux pas agir, réagir, exploser derrière une porte en bois. Qu’il sorte, nous devons faire face à cela, je dois lui demander de partir et de ne plus jamais revenir. « NEMO, SORS DE LA, IMMEDIATEMENT ! » J’hurle, hors de contrôle, en continuant de frapper dans cette putain de porte que je vais finir par défoncer s’il joue trop longuement avec ma patience. « Graham tu dois te calmer, ne fais pas cela, ne le repousse pas, tu sais que tu en as envie autant que lui ! » « Ne vas-tu donc pas fermer ta gueule ? Laisse le prendre une décision, il a compris qu’il ne devait pas se trahir, laisse-le mettre fin à cette mascarade. Laisse-le reprendre le pouvoir ! » « Non, il n’a pas les idées claires, il va le regretter, ne vous sabote pas Graham ! » « TAIS-TOI, GRAHAM, AGIS, LIBERE TOI ! » Je vais me libérer, de toute cette merde, de ces envies, de ces non-dits, de cette frustration, de cette colère, de tout ce qui me rends tremblant, de cette lumière qui me fait briller et sombrer à la fois. Je dois laisser tout cela derrière moi, il est temps d’arrêter les frais, de ne plus jouer, de ne plus nous imposer cela. « J-je... J'ai pas fini ! » Il me met encore plus la rage au ventre à me mentir, nous savons tous les deux qu’il n’est pas en train de déféquer, il sait qu’il vient de faire une énorme bêtise, il refuse d’en affronter les conséquences et pourtant il n’a pas le choix. Il tire la chasse d’eau, qu’il fait complice de sa machination diabolique. « T-tu te souviens que tu m'as dit que tu avais un jeu à me p-proposer ? Et bien j-j'en ai un moi aussi. C'est le cache-cache. Ça t'dit p-pas d'y jouer ? Tout l'monde a-aime ce jeu. C'est simple, amusant, et ça t'apporte cette adrénaline que t'ai c-cinq ans ou soixante ans. J'commence à compter si tu veux. Un. Deux. Trois... » Il n’ouvre pas la porte, il va me faire péter un plomb, je suis à deux doigts du point de non-retour, mes membres tremblent, s’entrechoquent, hurlent leur envie d’agir sans aucune coordination, il n’y a plus d’harmonie. Juste un gros bordel, je suis un putain de freak show ambulant, l’ombre de moi-même, aveuglé par la colère et la douleur ! « Nemo, je te jure que si tu ne sors pas d’ici tout de suite je défonce la porte ! »
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Pourquoi il te faisait subir ça ? Pourquoi il ne te laissait tout simplement pas le temps dont tu avais besoin pour calmer ton coeur qui battait la chamade et les sueurs froides que tu avais rien qu'en pensant à ce que tu avais fait ? En connaissant le passé de Graham, en sachant l'orientation sexuelle de Graham, et en ayant bien conscience de ton attirance envers lui, ne devinait-il pas que ton corps et ton esprit te maltraitait assez pour cette petite erreur que tu venais à nouveau de commettre ? Tu te sentais mal, pitoyable, perdu, et t'avais besoin de calme et de bonnes conditions pour reprendre tes esprits, et lui il enfonçait le clou et t'effrayait derrière cette porte heureusement non transparente. Il ne te laissait pas le temps de te remettre sur pied, il décidait de te confronter et de t'humilier encore plus alors que tu étais déjà à terre, et ça c'était cruel. T'avais compris, ok ? T'avais compris. Erreur, warning, code rouge. Ne plus toucher à Graham. T'avais compris. Il n'avait pas besoin de te ressortir quoi que ce soit. T'essayais de l'amener dans une autre direction, de repartir sur la voie du jeu afin que tu puisses t'exclipser pendant qu'il sera caché, mais évidement qu'il n'allait pas non plus t'accorder cela, ça aurait été trop beau. « Nemo, je te jure que si tu ne sors pas d’ici tout de suite je défonce la porte ! » Pour le coup, ça te fit lever lentement les yeux, et tu fixait cette porte, faible rempart contre le Winthrop. Alors maintenant, c'était le chantage hein ? Tu serrais tes dents. « MAIS ARRÊTE DE CRIER PUTAIN ! » Tu te mettais à ton tour à gueuler, ta peur se transformant en rage au fur et à mesure qu'il te saoulait avec cette porte. « Tu crois franchement que ça m'donne envie d'ouvrir ? T'es con ou quoi ? Tu me fais peur. Si tu veux m'tabasser, bah oui, faudra que tu pètes ta porte. Mais c'est pas grave hein, puisque tu peux tout faire avec tes muscles couteau-suisse, vas-y, PETE LA PORTE GRAHAM ! » Comment passer de faible et tremblant... A faible et tremblant, mais avec plus de voix. Il s'y prenait mal, tellement mal, et ça te tuait de voir ça. Apparemment tu l'avais changé, encore une fois.

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Pourquoi doit-il toujours me faire perdre le contrôle, doit-il toujours me pousser à bout et faire ressortir le plus sombre de ma personnalité ? Je me dégoute, il me dégoute à toujours agir de la sorte, à prendre les mauvaises décisions pour nous deux. La première expérience de ce genre ne lui a-t-elle pas servi de leçon ? Est-il trop con pour comprendre que je ne veux pas de lui, que je ne peux pas lui offrir ce qu’il désire tant de moi. Je ne suis pas attiré par les hommes, je ne serais jamais son Gramou, il ne pourra jamais partager avec moi ce qui le fait tant rêver alors pourquoi continue-t-il de foutre le bordel en moi de la sorte ? Pourquoi faut-il toujours qu’il retourne la situation au moment où j’ai l’impression que tout va pour le mieux, est-il obligé d’être si égoïste ? Et pourquoi ne veut-il pas sortir de ces putains de toilettes. Je suis à deux doigts d’exploser, je frappe de plus en plus fort à cette porte, mon cœur bat la chamade dans ma poitrine et m’insuffle une adrénaline que je me serais bien abstenu d’avoir à l’intérieur de moi. Je suis tellement gonflé, énervé, attisé que je pourrais frapper n’importe qui, n’importe quoi, peut-être même me confronter à un ours sans avoir peur de me faire bouffer tout cru. Tu n’es pas invincible Graham, tu n’es pas de marbre, tu ne peux pas toujours avoir réponse à tout, les choses ne peuvent pas toujours aller dans ton sens. Accepte-le, rends-toi à l’évidence, tu ne choisis pas toujours ce que tu dois ressentir, tu n’es qu’un être humain. « MAIS ARRETE DE CRIER PUTAIN ! » Il commence à donner de la voix mais ne daigne toujours pas déverrouiller cette maudite porte, je ne lui demande pourtant pas quoi, juste d’ouvrir CETTE PUTAIN DE PORTE DE MERDE. « Tu crois franchement que ça m'donne envie d'ouvrir ? T'es con ou quoi ? Tu me fais peur. Si tu veux m'tabasser, bah oui, faudra que tu pètes ta porte. Mais c'est pas grave hein, puisque tu peux tout faire avec tes muscles couteau-suisse, vas-y, PETE LA PORTE GRAHAM ! » Je ne réponds rien, je prends juste une grande inspiration, il faut que je me calme mais je n’y arrive pas. Je suis tellement bouleversé, mon corps tout entier ne tient que grâce aux nerfs, il va me lâcher à la seconde où je redescendrai. « Je t’en supplie, sors, s’il te plait ! » Je le supplie presque, faiblement, épuisé… Résolu ! Plus les secondes passent et plus je me sens à deux doigts de tout faire sauter sur mon passage. Il va me faire péter les plombs sérieusement.
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T'aurais aimé qu'il parte. T'aurais aimé qu'il prenne ce temps-là pour faire son putain de sport. Qu'il attrape son premier jogging et qu'il aille courir dehors pendant des heures – pendant des jours – et qu'il vous laisse à tous les deux le temps de redescendre, de se calmer, de prendre du recul. T'aurais aimé ne pas avoir affaire à ce genre de confrontation qui pourrait bien complètement te tuer parce que tu n'aimais pas ça, les engueulades, et t'aurais aimé qu'il te laisse sortir de sa vie comme il devait surement le souhaiter de tout son corps sans que tu n'aies à recroiser une seconde de plus son regard qui t'as fait chavirer entre raison et envie. Ce qui était bien avec Graham, ce que tu pouvais espérer quelque chose, et qu'il faisait tout le contraire. Tu finissais par crier toi aussi, ne supportant plus le ton de sa voix qui te foutait les nerfs à vif, et tu lui expliquais que s'il voulait vraiment que tu sortes, vu son attitude, il se foutait les doigts dans le cul bien profond. ( Petite blague, petite blague, humooour dirais-je même. ) Il semblait se calmer après ça – tout est relatif. Réalité, jeu, comédie, t'en savais rien, mais il semblait tout aussi épuisé que toi psychologiquement, et qu'au moins, bon point, il t'avait au moins dit s'il te plait. On progressait. Tu allongé quelque peu le moment car tu décidais d'allumer le robinet et de te passer de l'eau sur le visage, comme si elle avait un pouvoir mystique et apaisant contre ce genre d'émotions et situations, et très lentement tu finissais par déverrouiller la porte, plus très sûr de savoir si c'était une bonne idée ou pas. De toutes manières, t'avais pas envie de lui parler. T'avais envie de prendre tes affaires, de sortir, de t'enfuir. De quitter cet endroit où tu t'étais senti si bien plus tôt et qui maintenant te semblait trop petit, étouffant. Prenant une nouvelle inspiration, tu ouvrais la porte et tu t'enfuyais dans la chambre, histoire de ne pas resté bloqué dans un couloir trop petit où il aurait l'avantage. Dégage Graham, Laisse-moi.

FAIT AVEC AMOUR PAR WILD HEART.
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La colère est un drôle de sentiment, elle parcourt tes veines à une allure folle, t’empoisonne à vitesse grand V et t’emporte lorsque tu penses être suffisamment fort pour y résister. Le pire, avec la rage, c’est que tu ne peux pas être énervé pendant des heures, la colère consomme tellement d’énergie qu’elle te laisse affaibli, épuisé et à découvert. Il n’y a que l’adrénaline pour atténuer les effets et limiter la casse. L’adrénaline… Cette drôle de chose qui contrôle le moindre de tes faits et gestes, celle qui te donne le cran d’agir lorsqu’une situation vraiment étrange se présente à toi, celle sans laquelle rien ne serait aussi intense. On peut dire qu’elle est la seule raison pour laquelle je suis encore debout devant cette porte à l’instant présent. Je me sens vidé, à deux doigts de m’évanouir, ravagé à attendre que Nemo se décide à déverrouiller la porte pour affronter la réalité. Je ne sais plus bien ce que je vais lui dire, ce que j’ai prévu de faire lorsqu’il aura passé le pas de cette porte. Tout me semblait pourtant tellement clair deux secondes avant, pourquoi ai-je tout oublié ? Je recule d’un pas, m’accoude à la rampe de mes escaliers et prends une grande inspiration. Je ne contrôle plus mes jambes, elles ne me répondent plus. Pourquoi est-ce à cet instant que Nemo décide de m’écouter et de s’en aller ? Il traverse tellement vite que je n’ai pas le temps de comprendre ce qui m’arrive. Pas le temps de réfléchir, il ne s’en sortira pas comme ça ! « EH ! » J’hurle pour l’arrêter, en vain ! « Ne pense même pas à t’en aller comme ça ! » Je continue, en puisant dans mes dernières forces pour mettre un pied devant l’autre et rejoindre cette putain de chambre. « C’est trop facile ! » Il ne m’écoute pas, il récupère juste ses fringues en vitesse, prêt à s’échapper. « PUTAIN ! » Je l’arrête en lui attrapant le poignet. Je le force à reculer et je le plaque violemment contre la porte de ma chambre. « Tu arrêtes de fuir, T’AS COMPRIS ! ASSUME CE QUE TU AS FAIT ! » Je perds le contrôle, je ne sais plus où j’en suis… Tout ce que je sais c’est que la fièvre me reprend, elle s’empare de moi tout entier. Lord, have mercy on my soul ! Je plaque mes lèvres furieusement contre les siennes, il n’est plus question de réfléchir, de résister. Je n’en peux plus, je suis épuisé, je ne veux plus me battre, je rends les armes, je le veux tout entier !
FAIT AVEC AMOUR PAR WILD HEART.
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