Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityCOZ IT'S TIMES LIKE THESE REMIND ME, THAT I GOTTA KEEP MY FEET ON THE GROUND. (+) NEMHAM - Page 4
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COZ IT'S TIMES LIKE THESE REMIND ME, THAT I GOTTA KEEP MY FEET ON THE GROUND. (+) NEMHAM

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Il pouvait peut-être faire mannequin le petit Graham, surement bien plus que toi. Te lever et aller faire ton jogging avant même d'avoir pris ton petit déjeuner, c'était tout sauf quelque chose que tu pourrais faire sur une base quotidienne. T'aimais bien trop te goinfrer, t'étais un bon vivant, et t'avais surtout pas la motivation nécessaire pour te mettre à faire du sport si tôt dans la matinée. Peut-être que tu pouvais faire des concessions et tu pourrais aller nager si tu te sentais mal ou que t'avais besoin d'être dans un espace rassurant qui te laisserait tout le loisir de réfléchir, mais c'était tout, t'étais pas comme lui. « Mais t'es un thug toi, un vrai rebelle de la société. » Tu lui répondais avec une pointe de sarcasme, un rictus au coin des lèvres. Voilà quelque chose sur lequel tu adorerais pouvoir lui ressembler. Ce n'était pas que tu faisais beaucoup attention à ce que l'on disait sur toi, mais il était bien vrai que tu ne pouvais pas tout bonnement te mettre à raconter et faire n'importe quoi en pensant que rien n'aurait de conséquences. C'était l'une de ces qualités d'Eliot, de savoir garder une réputation sans failles et fissures, tout en sachant tout de même s'amuser librement. On allait peut-être pas te juger pour mater Pokémon à 14h30 – il devait bien y avoir des personnes dans la principauté qui adorait ce passe-temps – mais boire à en devenir ivre et finir dans un bagarre avec un mec random, si. Tu hochais ensuite la tête quand il continuait sur son merveilleux matelas. « Fait attention que j'te le vole pas quand je pars. » Bon c'était pas comme si personne ne te verrait te balader avec un truc aussi gros, tu ne ferais pas trop discret, mais t'aimais le voir sur ses gardes pour un rien, c'était comme ça. Graham te posait ensuite une question pour le moins bizarre, et tu commençais malgré toi à te méfier, à devenir suspicieux, à te demander ce qu'il avait bien pu faire durant ton sommeil qui pouvait ne pas te plaire. Tu crus avoir trouvé, t'imaginant en photo de fond d'écran avec des quequettes et tout autres mots obscènes sur le visage – le genre de blague que tu aurais bien pu lui faire, t'avouais – mais il te disait qu'il n'avait pas encore assez redescendu pour cela. Tu fronçais les sourcils, levant tes yeux au ciel. « La prochaine fois de rien du tout ! Va falloir que je cache tous les stylos maintenant quand je vais dormir chez toi, ça va être le rituel nécessaire si je veux pouvoir être en sécurité ? » Tu demandais, haussant un sourcil interrogateur. Tu serais prêt à le faire si ça te garantissait une nuit paisible, oui oui. Tu souriais ensuite, tapant tel un enfant excité dans tes mains. « Oui ! Mais seulement si t'as du sirop d'érable, sinon j'suis pas sûr que je puisse te pardonner pour un tel blasphème. » Bah oui, pancakes au sirop d'érable c'était THE délice, tu voyais même pas ça avec autre chose dessus, c'était toujours l'occasion pour toi pour en mettre une tonne et finir par supplier le Dieu de pas te filer le diabète. Tu le suivais jusque dans sa cuisine, et tu l'aidais à sortir les ingrédients, avant de t'asseoir sur l'une de ses chaises. « Alors, pourquoi t'as bu comme un trou hier soir ? Envie du moment ou t'avais vraaaaiment très envie d'oublier des choses ? » Tu demandais, posant ton regard sur lui.

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Inspirer, expirer et recommencer. Tel est le programme de ce début de matinée placé sous le signe du sport et du dépassement. J’ai trouvé en ce principe un moyen de me dépenser et d’achever de chasser l’alcool et toutes les merdes que j’ai pu ingérer ces dernières vingt-quatre heures. Alors oui, il est vrai que je pourrais tout simplement opter pour un passage sur le canapé à profiter de la télévision mais ce n’est clairement pas dans mon tempérament et encore moins ce matin. J’ai quelque chose d’autre à chasser et il est bien plus compliqué de le faire, j’ai délibérément choisi d’embrasser Nemo hier soir, moi, monsieur hétéro, celui qui était à deux doigts de lui mettre un coup de poing dans le nez lorsqu’il m’a embrassé. Il me faudra malheureusement bien plus que du bon vieux sport pour ne plus y penser, pour ne plus me rappeler de ce que j’ai fait et d’ô combien je me suis senti bien en le faisant. Rien que d’y repenser et… Oh non Graham, n’y pense pas, tu n’es pas tout seul puisque l’objet de ton trouble se trouve juste à côté de toi, à se pavaner dans ton jogging bien trop large. « Fait attention que j'te le vole pas quand je pars. » Jamais personne ne me volera mon matelas, il est bien trop confortable pour que j’accepte un tel affront. « La brindille ne pourra jamais surpasser l’ours, et il faudra obligatoirement que tu me passe sur le corps pour le dérober. » Sans aucune ambiguïté aucune, bien entendu. Avoir un corps comme le mien sert parfois, parce qu’en confrontation directe j’ai le pouvoir là où Nemo, dans un exercice de logique, tirerait surement son épingle du jeu. Le plus discrètement possible, je lui demande s’il se souvient de ce qu’il s’est passé hier soir, était-il encore éveillé lorsque je l’ai embrassé ? A priori non, il part sur un truc complètement hors sujet et tant mieux d’ailleurs ! « La prochaine fois de rien du tout ! Va falloir que je cache tous les stylos maintenant quand je vais dormir chez toi, ça va être le rituel nécessaire si je veux pouvoir être en sécurité ? » Mes lèvres s’étirent, impossible de m’en empêcher, je suis obligé de lui signaler, taquin. « Tu devrais être inquiet en permanence pour ta sécurité à mes côtés, et pas juste à cause des stylos ! » Mes sourcils se redressent fièrement pour illustrer la perversité des sous-entendus que je suis en train de lui faire. Ma séance de sport terminée, j’ai besoin de très rapidement capitaliser sur mon effort en dégustant des protéines. Quoi de mieux que de savoureux pancakes pour cela ? Nemo a l’air tout aussi ravi que moi. « Oui ! Mais seulement si t'as du sirop d'érable, sinon j'suis pas sûr que je puisse te pardonner pour un tel blasphème. » Du sirop d’érable, un classique pour le pancake. « Je dois en avoir un petit peu, tiens, ouvre le troisième placard en partant de la porte de la cuisine, s’il y en a c’est ici ! » Sans plus tarder je sors les bols, une poêle, les cuillères en bois et tout ce qu’il me faut pour entamer la confection d’une pâte à Pancakes. « Alors, pourquoi t'as bu comme un trou hier soir ? Envie du moment ou t'avais vraaaaiment très envie d'oublier des choses ? » Je verse le lait, casse les œufs et attrape la farine pour commencer à en verser dans la pâte, car oui, en cuisine je fais tout au feeling. « Je ne prévoyais pas de finir dans un tel état, à vrai dire, je ne tiens pas l’alcool… Je suis tellement peu habitué à en consommer que quelques verres suffisent à me mettre dans un état lamentable ! » La farine ajoutée à la pâte, je dépose le sachet sur le comptoir. Comme toujours, je m’en suis foutu partout et cette fois-ci il ne suffira pas de tapoter sur mon t-shirt pour enlever tout cela puisque j’en ai plein le torse… Quelle idée de cuisiner à moitié nu ! « Tu t’occupes de les cuire pendant que je vais nettoyer… Ca ! » Aka mon torse plein de farine que je caresse pour lui montrer de quoi je parle.
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Ok, là tu ne pouvais pas résister. Tu savais qu'il t'arrivait en sa présence de faire un peu plus attention à ce que tu disais, quand autrefois ou avec d'autres personnes tu te laisserais aller complètement. Ce n'était pas tout à fait comme si tu étais un candidat en pleine élection politique et qu'il fallait que tu mesures chacun de tes mots qui seront jugés et amplifiés, mais après tes premières conneries avec Graham et après avoir entendu un peu plus de son histoire, tu ne te sentais pas encore à l'aise de rire sur tout – et t'essayais de plus respecter ses distances et de moins faire de blagues vaseuses qui pourraient l'éloigner de toi subitement. Être droit, ne pas faire trop de vagues, mais là, tu ne pouvais tout simplement pas te taire. « Te passer sur le corps hein ? En voilà une bonne idée ! » Tu répondais d'un ton enjoué légèrement accentué, un grand sourire un peu pervers et très intéressé à l'appuie. Quoooi, c'était une blague et il avait commencé avec ça, en utilisant cette expression précise ! Tu ne faisais que t'en servir à ses dépends, point. Ce n'était pas méchant, vraiment pas, et puis ce n'était pas comme si tu mentais trop non plus – toutes activités concernant son corps étaient de très bonnes idées de ton point de vue. Finalement, c'est lui qui te surpris lorsqu'il continuait dans la lancée, quand tu lui demandais si pour dormir en sécurité chez lui, il fallait maintenant que tu te mettes à lui cacher tous ses stylos. T'aurais aimé sortir un « Quoi, tu vas m'violer peut-être ? » mais tu n'étais pas vraiment sûr que ça passe pour le mieux, alors tu croisais tes bras contre ton torse, et tu haussais un sourcil en le regardant. « C'est vrai, t'es un dangereux criminel qui pourrait me mettre ko d'une baffe avec tes gros bras, au s'cours maman, viens me sauver du faux blondinet pervers ! » Tu t'exclamais d'un ton presque monotone comme pour lui dire Même pas peur ! – remarque tu disais ça mais avec la raison pour laquelle il avait fait de la prison, t'aurais peut-être dû un peu plus te méfier. Puis il parlait pancakes et ça suffisait à illuminer ta matinée – presque qu'autant que de mater ni vu ni connu le torse de Gramou – et tu le suivais dans la cuisine, sautillant presque quand il te disait qu'il devait lui rester du sirop d'érable. Il te donnait des indications mais évidemeeeeent tu finissais par ouvrir tous les placards comme un débile, finissant par trouver ton trésor dans ton dernier essai. « AMEEEEN ! Remercions le dieu de l'érable de nous gratifier de ce présent d'exception ! » Tu t'exclamais en déposant un baiser sonore sur le contenant en verre. Bon c'était que de sirop Nemo, mais t'imaginait que tu t'excitais toujours pour la moindre des choses. Ça te faisait un peu remonter quelques souvenirs de tes voyages au Canada – et noooope, nope, on va finalement pas y repenser, merciiiii. Tu commençais à le regarder travailler et s'en mettre de partout, avant de l'aider un instant à monter les blancs en neige sinon c'était bien moins bon et aéré, et tu lui demandais ce qu'il s'était passé un peu dans sa tête hier soir pour qu'il se mette dans des états pareils. Tu lâchais un petit rire alors qu'il te disait qu'il ne tenait vraiment pas l'alcool, et tu hochais un peu la tête, compatissant. « J'suis comme toi mec, mais là t'étais tellement ivre que tu t'serais fait jeter de la Eliot House à la première occasion ! » Tu plaisantais – d'ailleurs, tu ne savais toujours pas dans quelle confrérie il était s'il en avait choisi une. Ça t'intriguait. Tu riais un peu en regardant les dégats qu'il avait causé sur lui même, et tu acquiesçais, sourire en coin. « Mais oui, va t'faire tout beau Gramou, tu veux qu'je t'amène le petit déjeuner au lit aussi ? J'pensais que j'étais l'invité et que je devais me tourner les pouces pendant que tu m'éblouissais de tes talents culinaires, j'suis déçu. » Tu te moquais en lui tirant la langue, avant de te lever et de commencer à mettre un peu d'huile pour ne pas que ça accroche trop, et de la pâte dans une poêle.

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« Te passer sur le corps hein ? En voilà une bonne idée ! » Quelque chose a changé en moi et cette situation est idéale pour s’en rendre compte. Le Graham qu’il a connu les premières semaines se serait immédiatement braqué sans réellement percevoir l’humour ou sans accepter l’hypothèse d’un tel acte. Aujourd’hui, après tout ce que j’ai vécu, après avoir côtoyé Nemo tout ce temps, je me contente de sourire et de répondre du tac au tac, provocateur. « Mouais, je t’ai connu plus emballé que cela ! » Mon esprit me joue de plus en plus de tours, il s’éloigne de ce que je pensais être jusqu’à maintenant, cet enfoiré me fait jouer avec le feu et me donne parfois très envie de me brûler. Qu’est-ce qui ne va pas chez moi ? Je ne me suis jamais senti aussi perdu entre mes propres sentiments. La faute à ce garçon, attachant, marrant, imprévisible. Il sait comment s’y prendre, il y va avec de gros sabots pour te faire croire qu’il n’est pas capable de travailler durement au second plan et… Et BOOM, tu te fais avoir avant même d’avoir eu le temps de t’en rendre compte. « C'est vrai, t'es un dangereux criminel qui pourrait me mettre ko d'une baffe avec tes gros bras, au s'cours maman, viens me sauver du faux blondinet pervers ! » Plus exagéré ça n’existe pas, le fait qu’il ne tâche même pas de mettre le ton pour illustrer ses propos en est la preuve vivante. Je le fusille du regard et, prêt à jouer un petit peu, je relève un bras, contractant pour bien faire ressortir mon biceps. « Méfie-toi jeune homme, ce bébé pourrait s’abattre sur toi à n’importe quel moment. » Ou pas, je m’imagine mal le frapper, plus maintenant, j’ai pourtant été tenté la première fois qu’il m’a embrassé mais… Mais si cette situation se représentait aujourd’hui ma réaction serait différente, moins violente en tout cas. Mon entrainement terminé, je me lance dans la confection de pancakes aux côtés de mon camarade qui me donne un bon petit coup de paluche. Ces pancakes ne pourront qu’être réussis avec nos deux méthodes. Cuisiner nous donne l’occasion de discuter de la soirée d’hier, un fiasco que je ne compte pas répéter à nouveau. « J'suis comme toi mec, mais là t'étais tellement ivre que tu t'serais fait jeter de la Eliot House à la première occasion ! » Je pouffe de rire en me remémorant quelques souvenirs de la soirée d’hier, ils sont assez flous, pas entiers, mais j’en ai suffisamment pour me désespérer. « Une chance que je ne sois pas un Eliot alors, mes potes de la Winthrop m’auraient pas mal charrié s’ils avaient été là ! » La pâte terminée, je profiterais bien de la cuisson pour aller prendre ma douche, histoire de chasser la transpiration, d’être plus à mon aise, et vêtu. J’ai de la farine partout ! « Mais oui, va t'faire tout beau Gramou, tu veux qu'je t'amène le petit déjeuner au lit aussi ? J'pensais que j'étais l'invité et que je devais me tourner les pouces pendant que tu m'éblouissais de tes talents culinaires, j'suis déçu. » Je souris fièrement. « Je ne dis jamais non à un petit-dej au lit ! Tu as déjà bien dormi, sur le meilleur matelas du monde, considère cela comme ton moyen d’égaliser les choses ! Fais-moi grimper aux rideaux avec nos Pancakes et tu auras le droit de redormir à la maison. » Quoi ? Il fallait bien que je trouve quelque chose à dire pour l’emmerder non ? Trêve de plaisanterie, je me dirige jusque dans la salle de bain, chasse mon jogging et mon caleçon, il est temps de passer aux choses sérieuses, une bonne douche chaude s’annonce.
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Tu arquais un sourcil interrogateur, avançant dangeureusement de deux pas avant de croiser tes bras contre ton torse. « Moi, pas assez emballé ? Tu me connais mal monsieur Gramou, tu dois surement pas pouvoir lire dans mes pensées. » Parce que sinon, ce qu'il y trouverait... Le ferait surement fuir, ouais. Parce que t'étais pas totalement débile hein. Il était devenu plus détendu en ta présence, et même lorsque tu t'autorisais quelques blagues frôlant le côté sexuel, mais ça n'y changeait rien. Il était juste devenu plus ouvert, il avait juste eu plus confiance en toi, mais il en restait l'hétérosexuel qui ne souhaitait pas qu'on le touche ni qu'on le contamine avec ton attitude de bisexuel refoulé – cherchez pas, c'était Cambridge Secret qui t'avait appelé comme ça. Ce n'étaient que des blagues, innocentes, mais s'il voyait seulement en lisant dans tes pensées que malgré ton humour il t'attirait tout de même beaucoup, ouais, il s'éloignerait de voir que vous n'étiez pas du tout sur la même longueur d'onde. Tu cachais tout de même tout ça et tes insécurités derrière ton sourire amusé, et tu mordais doucement ta lèvre lorsque tu l'observais contracter l'un de ses bras en réponse à ta précédente phrase. Tu lâchais un petit rire alors qu'il appelait sérieusement son biceps « bébé », et tu hochais doucement la tête, comme si t'avais compris quelque chose. « Je vois, des menaces, c'est sûr que je me sens de suite beaucoup mieux ici ! T'es vraiment l'hôte parfait. » Ironie, le retour. Il devait vraiment pas aimer ta gueule pour avoir cette envie de te défigurer en permanence, pauvre de toi. Ensuite c'était séance pancakes, parce qu'il n'y avait rien de mieux que de se préparer un bon petit déjeuner lorsque l'on avait le temps devant soit, et que ça permettait de remettre un peu le sujet de la veille sur la table. Tu souriais en coin, posant un instant tes yeux sur lui pendant qu'il finissait la pâte. « Winthrop ? J'aurais dû y penser tien. C'était tellement évident. » T'avais peut-être cru que le choix de sa confrérie te surprendrait plus, mais finalement il ressemblait pile-poil à un rouge, et si c'était là qu'il se sentait le mieux, tant mieux pour lui. Au moins il était pas vert, bon point. Il parlait ensuite d'aller se laver parce que tu l'avais laissé s'occuper de la farine et qu'il s'en était mit de partout sur le corps, et tu te moquais du fait qu'il te laissait seul t'occuper de la cuisson, alors que tu remontais un peu mieux ton jogging deux fois trop grand. Tu riais, parlant fort pour qu'il t'entende alors qu'il s'éloignait dans la salle de bain. « J'ai d'autres manières pour faire grimper aux rideaux moi ! » Des manières bien plus efficaces s'il voyait ce que tu voulais dire. A présent seul, tu t'attaquais à faire le plus de pancakes que tu pouvais, les empilant une fois finies dans une assiette avec du papier aluminium au dessus histoire qu'elles gardent le plus longtemps leurs chaleurs.

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Je crois avoir choisi l’angle d’attaque le plus idéal pour le frapper de plein fouet. Il ne tarde pas à croiser les bras et à avancer de quelques pas, comme pour affirmer sa présence, pour me prévenir d’un danger. Dommage qu’il ne fasse qu’attiser la flamme naissant au fin fond de mes entrailles. Il refuse de dépasser les bornes depuis tellement longtemps que j’en oublie presque qu’il est capable de me surprendre. Il me faudrait pourtant un événement de ce genre, un électrochoc de taille pour mettre fin à toutes ces interrogations de plus en plus nombreuses. Pour être fixé ! « Moi, pas assez emballé ? Tu me connais mal monsieur Gramou, tu dois surement pas pouvoir lire dans mes pensées. » Je pouffe de rire, mes yeux le longent, remontent sur son petit corps aussi épais qu’une brindille et finissent par se planter dans le blanc des siens. « Que vas-tu faire ? M’embrasser encore une fois ? » Je le provoque, plus du tout gêné à l’idée d’aborder ce sujet, pourquoi le serais-je alors que je lui ai rendu la pareille, l’alcool aidant, hier soir ? Je suis passé outre bien avant d’être troublé à ce point, il n’y a plus vraiment de sujets tabous entre nous, à mes yeux du moins. Pour affirmer ma force, j’opte pour une démonstration physique. Il n’a pas besoin que je fasse le show avec mes biceps pour s’en apercevoir cela dit, il n’a besoin que de ses jolis petits yeux pour se rendre compte qu’avec un tel corps, si je décide de frapper je risque de faire mal. « Je vois, des menaces, c'est sûr que je me sens de suite beaucoup mieux ici ! T'es vraiment l'hôte parfait. » J’acquiesce vivement, plus taquin que jamais et arrête de contracter, laissant à mes biceps une paix bien méritée après tous les efforts du sport de ce matin. « On me le dit souvent en effet ! » Je réponds fièrement, toujours être fier de sa connerie, c’est le début du bonheur ! Nous passons à l’étape supérieure en entamant la confection d’une pâte à Pancakes qui me fait déjà très envie, je suis d’humeur gourmande ce matin, prêt à dévorer plusieurs pancakes délicieux avec un petit peu de pâte à tartiner, ou de la chantilly… Ou les deux ! « Winthrop ? J'aurais dû y penser tien. C'était tellement évident. » Je relève un sourcil, intrigué. « Pourquoi ? Parce que je suis sportif, beau gosse, musclé ? » Je le questionne, parce que je suppose que c’est la raison pour laquelle il estime qu’il aurait pu s’en douter. Je décide de saisir l’opportunité pour m’esquiver et partir prendre une bonne douche chaude, j’arrive à la salle de bain, me déshabille en lui proposant un bon deal, qu’il me fasse grimper aux rideaux avec les Pancakes et il aura le droit de venir s’allonger sur mon matelas à sa guise. « J'ai d'autres manières pour faire grimper aux rideaux moi ! » Dissimulé derrière la porte de ma salle de bain je suis précédé par mes lèvres qui s’étirent immédiatement, ma mâchoire supérieure se contracte contre ma lippe inférieure. « Tu te vantes beaucoup mon petit, trop pour être honnête ! » Je me contente de commenter en entrouvrant la porte, il est censé être dans la cuisine de toute manière, pour qu’il puisse bien m’entendre. Passons à ce que j’attends désespérément… Cette douche bien chaude, je grimpe dans la baignoire, allume l’eau qui commence à s’écouler le long de mon corps, à m’envelopper d’une pellicule chaude d’eau, dégouline sur ma peau, perle et s’abat avec fracas à même le sol. Un soupir m’échappe, il est tellement agréable de profiter d’une bonne douche après tant de sport et une nuit aussi… Aussi d’enfer que celle que nous venons de passer, moi en particulier.
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T'étais toujours emballé, pour tout – ou presque. C'était peut-être l'une de tes plus grandes qualités, ton enthousiasme débordant à la découverte, à partir à l'aventure, à sauter dans l'inconnu, ou juste à manger des bonbons comme un gros porc devant l'ordinateur. Toutes les petites choses de la vie éveillaient quelque chose en toi, et cela même quand c'était Graham qui était l'objet de la question. Alors oui, t'étais très emballé par Graham voyez-vous, et cela même si tu aurais dû lâcher prise depuis bien longtemps déjà. Il comportait tous les signes négatifs distinctifs, et toi, tu t'enfonçais encore plus au fur et à mesure que tu apprenais à le connaître. Pathétique. « Que vas-tu faire ? M'embrasser encore une fois ? » Ooooooh, calm down cow-boy, le mec il passait trois mois avec toi il n'avait plus froid aux yeux il paraissait. Certes, tu l'embrasserais bien. Juste pour le saouler, juste pour lui montrer qu'il ne devrait peut-être pas te provoquer comme ceci s'il ne souhaitait pas que certaines choses qu'il n'apprécierait pas lui arrive – comme tes lèvres contre les siennes – juste pour lui montrer que tu n'avais pas froid aux yeux toi aussi et que tu pouvais le faire. Alors tu t'avançais d'encore quelques pas, comme sûr de toi, t'arrêtant juste devant lui, tes yeux toujours dans les siens. Sauf que ça allait foutre encore plus la merde hein ? Il allait te haïr, te repousser une nouvelle fois, te gueuler que c'était définitivement une blague et que t'étais pas censé aller jusqu'au bout de la provocation. Et toi, t'avais trop peur de ça. Alors tu passais ta langue lentement sur tes lèvres, approchant ton visage du sien avant de te stopper, et de venir tapoter ses lèvres de ton index. « Pas de suite non. Mes lèvres c'est pas des putes tu sais Gramou, elles répondent pas à tes commandes d'homme fort. Puis tu sais que j'en serai capable, ça ne t'étonnera donc plus du tout. Et un Graham blasé ce serait triste non ? » Tu disais d'une voix un peu plus basse avant de reculer pour vous permettre tous les deux de retrouver vos espaces personnels, et de respirer un peu mieux, malgré ton coeur qui battait fortement. Putain de Graham. Tu finissais par mater ses biceps en rigolant entre deux menaces, et tu levais tes yeux au ciel devant son air fier. « Ah oui, on te le dit souvent ? Je vois donc que t'as déjà ramené des tas de personnes ici avant moi. J't'en supplie, m'dit pas que j'ai dormi hier dans un lit que t'as déjà souillé avec une meuf y a quelque jours. » Tu répondais dans une grimace. En même temps, tu t'attendais pas forcément à autre chose, mais t'espérais qu'au moins il ai changé les draps, pour ta santé mentale. Il laissait ensuite échappé qu'il faisait parti de la confrérie des sportifs gentlemans, et bizarrement, t'étais pas étonné plus que ça maintenant que tu le savais. « Pourquoi ? Parce que je suis sportif, beau gosse, musclé ? » Tu riais, haussant tes épaules. « On peut dire ça comme ça, tu serais le président des Winthrops que ça n'm'étonnerais même pas. » Et peut-être même qu'il se présentait lui aussi aux élections tiens, ça ça serait drôle. Tu secouais ta tête faussement déçu. « C'est dommage, je t'imaginais bien Dunster à réviser ta psychologie dans des lunettes super sexy. » OUAIS PEUT-ETRE BIEN QUE C'ETAIT QUE DANS TES FANTASMES QU'IL PORTAIT DES LUNETTES, MAIS TANT PIS. Bientôt tu pourras rêver de lui avec des lunettes tout en bouffant des pancakes délicieux, si c'était pas génial. Il allait dans la salle de bain, et tu éclatais de rire alors qu'il te répondait que tu te vantais beaucoup trop pour être honnête, alors que nooon, mais c'était pas du tout ton genre d'abord. Du tout. Tu te mettais donc à la confection de pancakes tout rond pendant que tu entendais l'eau couler, puis tu préparais vos assiettes une fois que ce fut fini. Tu contemplais pendant un instant d'aller lui piquer ses serviettes pour qu'il se retrouve à poil, mais ce serait pas très drôle parce que t'avais pas moyen d'être discret dans cet appartement. Alors tu te contentais de rester plus sage et d'apporter les assiettes et le sirop sur sa table de nuit et de t'affaler à nouveau sur son lit comme s'il t'appartenait, allumant sa télévision et te matant les dessins-animés en l'attendant.

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Je vais me brûler les gars, oh oui, je sens la flamme se rapprocher de ma peau à chaque pas que fait Nemo pour réduire la distance entre nous deux. Il approche dangereusement, avec ce petit air bestial et fait violemment pomper le sang dans mon cœur, ce connard s’emballe lamentablement et me fait trépasser lorsque NemiNem’ arrive à ma taille et glisse son index contre mes lèvres généreuses. « Pas de suite non. Mes lèvres c'est pas des putes tu sais Gramou, elles répondent pas à tes commandes d'homme fort. Puis tu sais que j'en serai capable, ça ne t'étonnera donc plus du tout. Et un Graham blasé ce serait triste non ? » Il joue avec moi, il a pris goût à cela et au début il faisait mouche à chaque fois, mais plus les semaines passent et moins je parviens à tolérer cela, il me fait mariner dans un jus qui n’est pas bon pour moi, je nage dans l’inconnu et je pourrais finir par me noyer au milieu de tout cela. Pourtant moi aussi je prends goût à le titiller, à avancer d’un pas pour mieux reculer de deux, cette excitante tentation recouverte de nombreuses limites avec lesquelles flirter me donne le sentiment d’être vivant comme jamais je ne l’ai été. « Ce n’est pas faux, et tu as bien du mal à me surprendre depuis quelques temps. Aurais-je finalement vu le meilleur de toi dès le départ ? » Je le questionne, avec une expression monotone, adhérant à la simplicité pour frapper fort. Je rebondis avec une aisance qui me surprend moi-même sur la violence, bombant le torse et affichant mes vigoureux biceps, parfaitement musclés avec de belles petites veines ressortant de part et d’autre. « Ah oui, on te le dit souvent ? Je vois donc que t'as déjà ramené des tas de personnes ici avant moi. J't'en supplie, m'dit pas que j'ai dormi hier dans un lit que t'as déjà souillé avec une meuf y a quelque jours. » On ne me dit pas souvent que je suis un hôte parfait, que ce soit ironiquement ou sérieusement, très peu de personnes ont eu l’occasion de faire un tour par ici. Je pouffe de rire, tapotant sur son épaule. « Ah NemiNem’ tu vas toutes me les faire… » Ne laissons pas le suspense s’étendre plus longuement, il va finir par faire un infarctus si j’insinue qu’il a dormi dans des draps souillés. « Tu sais depuis combien de temps je n’ai pas eu ne serait-ce qu’une aventure ? Même en solo ? Je ne sais même plus comment on fait depuis le temps, alors rassure-toi, ton corps n’a pas été souillé par mes récents exploits ! » Je ne suis pas pudique sexuellement parlant, je n’ai pas honte de dire que je n’ai pas utiliser le soldat en repos là-dessous, entre mes jambes, depuis une éternité. On peut survivre sans sexe et j’en suis la preuve vivante, trois ans en prison, bientôt huit ou neuf mois à Harvard, ce n’est pas si compliqué. Je lui dévoile, entre deux bêtises, mon appartenance à la confrérie des Winthrop, il n’est pas surpris, qui le serait ? « C'est dommage, je t'imaginais bien Dunster à réviser ta psychologie dans des lunettes super sexy. » Avec des lunettes super sexy ? Carrément ? Je prends un air offusqué et lui balance une petite pichenette de farine sur le visage. « Parce que j’ai besoin de lunettes pour être sexy maintenant ? » Je serais parfait dans le rôle du mec superficiel et vexé parce qu’on ne le trouve pas assez beau au naturel n’est-ce pas ? Je m’éloigne, le laisse préparer les Pancakes pour me venger de cet affront ultime et profite de cette agréable petite douche bien chaude. J’en ressors rapidement, enroule une serviette autour de ma taille et m’élance jusque dans ma chambre pour pouvoir trouver un boxer dans un placard, un t-shirt et un short de football, pour être plus confortable afin de déjeuner aux côtés du vilain Nemo qui se fait déjà bien zizir sur mon lit, à regarder les dessins animés. « Interdiction de manger le moindre petit Pancakes avant que je sois arrivé, capiche ? » Je le préviens en le montrant du doigt, reculant petit à petit pour rejoindre mon repère, la salle de bain.
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C'était con tout ça. T'étais con. Ton corps était con. Ton coeur était con, de se mettre à battre la chamade quand tu t'approchais un peu trop près de lui, même pour jouer un petit manège, même quand c'était toi qui était censé le provoquer. Il allait falloir que tu commences à te forger une armure d'acier si tu ne pouvais même plus t'amuser à ses dépends sans que ça ne te touche dans le procédé. Comment t'allais faire, si tu ne pouvais même plus faire ton connard qui joue parce que ça te ferais trop mal, trop souffrir ? Tu priais juste de ne jamais en arriver à cela. « Ce n’est pas faux, et tu as bien du mal à me surprendre depuis quelques temps. Aurais-je finalement vu le meilleur de toi dès le départ ? » L'espèce d'enfoiré. Tu lui lancerais bien ton plus beau doigt d'honneur pour le coup, mais tu préférais répondre d'une autre manière. T'étais pas en relation avec lui, tu n'avais donc pas à mettre la barre toujours plus haute pour qu'il ai sans cesse des étoiles dans les yeux et la flamme du désir qui se maintient. T'aimais bien la routine de toutes manières toi, nah. Tu haussais dénigrement tes épaules. « Peut-être bien. J'suis comme ça moi, je donne le meilleur de moi-même pour laisser une bonne impression dans l'esprit des gens, mais si on me côtoie plus longtemps, on fini par être déçu parce que je peux pas rester au top tous les jours. Faut croire que tu te lasses déjà de moi. » Tu expliquais simplement, faisant quelques lents pas en rond dans sa chambre. Tu te demandais ensuite combien de personnes avaient eu l'immense honneur de visiter intimement son appartement, pour qu'on lui dise tant que ça qu'il était un hôte mer-veilleeeeux. Peut-être plus que ce que tu aurais pensé. Il ne fallait pas croire, si Graham te plaisait, il plaisait aussi forcément à d'autres personnes. Femmes comme Hommes. Et connaissant ses préférences, il n'était pas difficile de faire le calcul et de te dire que beaucoup de jeunes filles avaient du passer et dormir et baiser sur ce sublime et confortable matelas. Ça te donnait presque la gerbe, heureusement que tu n'y pensais que maintenant, au petit matin. Tu haussais un sourcil interrogateur quand il osait rire, et qu'il te disait que tu allais toutes les lui faire. De quoi il parlait là ? Tu venais juste de faire un raisonnement logique, c'était pas la peine de te moquer de toi comme ça, merde. Tu fronçais tes sourcils, mais il commençait à t'expliquer, et tu comprenais un peu mieux. Tu hochais doucement la tête, ne le regardant plus vraiment dans les yeux. Bien, c'était... Bien. Ouais. « C'est une honte quand même... » Tu laissais doucement échapper, plus pour toi que pour lui, mais tant pis. Donc pas d'aventure. Cool. C'était très bien. Il devrait surement continuer comme ça, dans cette bonne voie. Ouais. Tu grimaçais ensuite devant sa pichenette farineuse, avant de rire en secouant ta tête. « Aaaah j'ai rien dis moi, c'est toi qui l'insinue, p't'être que t'as raison ! » Tu t'exclamais en lui tirant la langue, avant de commencer à faire les pancakes, puis fini, tu t'installais sur son lit, regardant avec intérêt les périples de Sacha contre la Team Rocket. « Interdiction de manger le moindre petit Pancakes avant que je sois arrivé, capiche ? » Tu sursautais un peu, ne l'ayant même pas vu arriver, avant de lui faire ton plus grand et beau sourire et de lever tes mains en l'air en signe d'innocence. « Chef oui Chef ! Seulement si vous bougez vos grosses fesses parce que j'ai la dalle, Chef ! » Histoire de quand même lui faire comprendre de se les magner un peu, amicalement.

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Un combat de coqs semble sur le point de démarrer entre Nemo et moi. Nous n’avons clairement plus aucune envie de prendre des pincettes pour charrier l’autre. Bien au contraire, plus nous y allons fort et plus l’autre a envie de répondre et de surfer sur la vague pour ne pas s’avouer vaincu. Je n’ai pas peur de tenir tête au jeune homme, encore moins de faire un faux pas qui pourrait me faire succomber et perdre la partie. Lorsque je remets en cause ses capacités à intéresser les autres sur la durée je ne le sens même pas agacé, c’est à peine s’il moufte, dommage, décevant, cela ne veut pour autant pas dire qu’il n’est pas un minimum touché par ma remarque. Il est juste très fort pour agir comme si tout lui passait sous la jambe. « Peut-être bien. J'suis comme ça moi, je donne le meilleur de moi-même pour laisser une bonne impression dans l'esprit des gens, mais si on me côtoie plus longtemps, on fini par être déçu parce que je peux pas rester au top tous les jours. Faut croire que tu te lasses déjà de moi. » Il m’explique tranquillement, en avançant tranquillement, pas le moins du monde ennuyé par cette possibilité. Il est fort à ce jeu Nemo, je ne vais pas m’en plaindre, il me donne pour la première fois une opportunité de sortir mes atouts, ceux qui font que moi aussi je peux être très bon à cela. « Dommage, j’attendais mieux. Que de déceptions ! » Un air résolu, un soupir et me voilà parti sur autre chose, prêt à tourner une nouvelle page et à virer Nemo des prochains chapitres de ma vie. Sur un tout autre sujet, les femmes, NemiNem se montre légèrement jaloux, enfin je crois que je dois l’interpréter ainsi, lorsqu’il aborde le nombre plus ou moins important de jeunes femmes qui pourraient avoir trouvé leur chemin jusqu’à mon lit ces derniers temps. Le mythe s’écroule lorsque je confesse sans faillir ne pas avoir eu la moindre relation charnelle depuis des mois. « C'est une honte quand même... » Je redresse un sourcil, pas certain de l’angle avec lequel interprété ce qu’il vient de me dire. « Je n’ai pas honte d’être sage, cela permet d’apprécier avec une intensité nouvelle le passage à l’acte ! » Mon égo est touché, plus avec humour que sérieusement, par le sous-entendu fait par Nemo. « Aaaah j'ai rien dis moi, c'est toi qui l'insinue, p't'être que t'as raison ! » Je n’ai pas besoin de lunettes pour être sexy, n’est-ce pas ? N’EST-CE PAS ? « Peut-être pas, de toute manière je n’ai rien à te prouver sur mon sex appeal ! Ce n’est pas toi qui en profiteras ! » Je garde ce que j’ai en réserve pour de jeunes demoiselles, celles qui sauront m’intéresser et faire virer mon cœur comme l’a fait Nemo quelques minutes en arrière. Je marque une petite pause, impose un entracte le temps d’une bonne petite douche, je m’empresse de m’habiller, même si je suis encore un petit peu humide et fonce sur mon lit sur lequel je saute. « Je suis là monsieur, mangeons, shall we ! » J’attrape un pancake sur lequel je verse un petit peu de chantilly, miam, ça a l’air succulent ! Je croque et laisse échapper un long soupir ! « Hmmmm… That’s what I’m talking about ! »
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