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COZ IT'S TIMES LIKE THESE REMIND ME, THAT I GOTTA KEEP MY FEET ON THE GROUND. (+) NEMHAM

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room on the third floor not what we asked for, i’m not tired enough to sleep. one bed is broken, next room is smoking, air-conditioning’s stuck on heat. outside it's raining, hear the guest upstairs complaining about the room that’s got their TV too loud.
 


« EHHEYY Viezjsn fête » Voilà le message très éloquent que tu venais de recevoir de la part de Graham, à une heure très avancée de la nuit. Et c'était complètement fou la révolution des sms, parce que oui, même avec un simple texte, on pouvait deviner parfois quand la personne derrière écran allait bien, ou agissait de manière complètement différente de d'habitude. Ici, bizarrement, ça semblait plutôt être la seconde hypothèse qui accrochait ton esprit, parce qu'il avait l'habitude de bien écrire le Gramou, de ne pas faire ce genre de fautes de frappes, alors que là on aurait dit qu'il avait tenté de faire du piano sur ses touches tactiles minuscules. Tu fronças les sourcils, parce qu'allons bon, peut-être qu'il avait un peu bu, mais qu'il passait un bon moment et qu'il avait juste envoyer ce petit message pour te dire qu'il était toujours vivant et s'éclatait comme jamais lors de cette fête que t'avais décidé de ne pas aller. Tu fronçais néanmoins tes sourcils, et tu te mettais à lui envoyer un message, puis deux. Et ce connard, maintenant, il te donnait le traitement de silence, comme si oooh, je sais pas, ça allait pas t'inquiéter. Fallait croire que tes potes aimaient que tu vives avec l'esprit dérangé pour eux. Tu soupirais, passant une main dans le pelage tout blanc de ton chien que tu avais enfin adopté – depuis le temps que tu le voulais – et tu finissais par te lever, maudissant le fait que ouaip, apparemment, tu ne pouvais pas manquer cette fête, c'était comme si ta destinée était raccrochée à elle. Génial. Tu attrapais quelques affaires, les clés de ta bagnole chérie et tu venais taper doucement contre la porte de la chambre de Zéphyr. « Yo, tu me gardes Malfoy ? J'dois sortir, j'sais pas quand je rentrerai. » Bon c'était pas une vraie question parce que ton chien il accourait déjà pour s'affaler sur le lit de Zéphyr prêt de la tornade brune, le traite. Tu faisais un signe à ta super pote de la vie, et tu te dépêchais de prendre la route direction l'inconnu.

Après des longues minutes, t'y arrivais enfin. Tu garais ta voiture et tu posais un instant tes yeux sur la villa que la musique faisait trembler, et tu frottais tes yeux, te demandant comment t'allais trouvé le blond avec tout le putain de monde qu'il y avait Tu tentais de l'appeler une fois, puis deux, mais aucune réponse. Alors tu entrais enfin, vagabondant de pièces en pièces, te faufilant entre filles et garçons, à la recherche d'un mec qui peut-être allait tellement bien qu'il venait d'arriver à emballer la fille la plus magnifique de la soirée, et toi, con comme t'étais, tu t'étais fait peur pour rien. Bravo Nems. Après dix minutes de recherche, t'avais envie de baisser les bras, et tu te laissais tomber sur un canapé dès qu'une place se libérait, étant donné qu'il y avait au moins trois personnes de plus à chaque fois et que chacun se retrouvaient super serré. Tu regardais une nouvelle fois ton portable, afin de vérifier si Graham n'avait pas eu la bonne idée de te répondre. Putain, il était oùùùù ? ( Pas làààààà COZ IT'S TIMES LIKE THESE REMIND ME, THAT I GOTTA KEEP MY FEET ON THE GROUND. (+) NEMHAM 1116103942 )

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Deux grosses soirées en l’espace d’une semaine et deux grosses cuites phénoménales. Il n’a jamais été dans mes habitudes de dépasser les bornes en engloutissant autant de litres de vodka, de bière et de toute substance contenant un degré d’alcool plus ou moins élevé. Pourtant, j’ai l’impression que je me suis libéré de mes chaines pendant le Summer Camp, que j’ai remporté ce combat contre tous les remords, les mauvais souvenirs qui ont fait de ma vie un enfer depuis… Depuis aussi loin que je puisse souvenir. Pour la première fois depuis une éternité je me sens différent, un autre homme, je n’ai plus besoin d’utiliser un masque pour respirer, je peux jouir comme tout le monde d’une liberté nouvelle. Plus de dettes, plus de prison, plus de contraintes, je suis à présent totalement indépendant et ça te change un homme. Pas toujours dans le bon sens du terme puisque l’autre matin je me suis réveillé au lit avec une fille que je ne connaissais pas, dans une chambre d’hôtel qui n’était pas la nôtre. Heureusement, rien ne s’est passé, à priori du moins, mais ce soir… Ce soir je suis à nouveau dans un état lamentable et je ne peux que constater que je n’ai tiré aucune leçon de cette mésaventure remontant à quoi… Soixante-douze heures à peine ? Mon premier réflexe, lorsque la joie commence inexorablement à exploser et à prendre le dessus sur ma raison, c’est de m’emparer de mon smartphone dont l’écran ne m’a jamais paru aussi minuscule pour envoyer un message à Nemo. Il doit venir, qu’il le veuille ou non, je le veux ici pour faire la fête avec moi ce soir et ce n’est pas négociable.

Mes doigts pianotent à toute allure sur l’écran tactile et me donnent le vertige, je crois bien que j’ai réellement trop consommé d’alcool, ça ne m’empêchera néanmoins pas d’attaquer un nouveau verre puisque quelqu’un vient de m’en apporter un nouveau. On ne fête la rentrée des classes qu’une seule fois par an, autant en profiter comme il se doit non ? La musique m’explose les tympans et pourtant je me défonce sur la piste, je n’ai pas l’impression d’avoir chaud, moi qui suis constamment en ébullition, à vrai dire je ne ressens plus rien. État végétatif, est-ce une version dérivée de cela ? J’ai l’impression d’être dans un autre monde, présent et absent à la fois, oh, attendez, j’ai le sentiment de voler ! DÉMENT ! Mon téléphone n’est plus dans ma poche, je crois qu’il est parti se préparer un petit cocktail lui aussi, tant pis, je n’ai plus la présence d’esprit nécessaire pour me rendre compte que je ne le retrouverai probablement jamais ! « NEMI NEMO ! » J’hurle, ou titube, au choix, en apercevant mon héros du soir affalé sur le canapé. Je me rapproche, zigzagant de droite à gauche. Merde, il y a un vent fou ce soir. Je me laisse tomber sur lui pour le prendre dans mes bras. « T’es venu mec ! »

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Pendant un petit moment tu ne faisais que regarder autour de toi, comme las, les étudiants sur la piste. Enfin, piste était un grand mot, ils avaient plutôt réquisitionnés chaque petites parcelles de libres dans chaque pièces comme piste de danse potentielle, mais pour l'instant t'étais pas d'humeur à danser, alors tu tentais de respirer profondément alors que tu n'avais aucune idée de ce que tu faisais là – si ton poto était vraiment mal ou s'il t'avait juste envoyé un message comme ça et que t'avais pas du tout besoin de t'inquiéter. Ca ferait pas un peu con d'ailleurs, s'il finissait par te voir ici, rappliquer à la première seconde comme un toutou en maque de son maître, alors que lui faisait tranquillement sa life, ses mains sous le t-shirt d'une nana même pas assez belle pour lui ? Tant pis, c'était trop tard maintenant, tant pis. Tu essayais de libérer ton épaule du visage collant d'une meuf qui avait visiblement bien trop bu – vomi pas sur moi, je t'en supplie vomi pas sur moi... – quand l'entente de ton surnom te faisait lever la tête, et voilà où il était le Gramou, titubant jusqu'à te rejoindre. Au moins tu pouvais légèrement moins paniqué, il s'était pas fait enlever ou tu-savais-pas-quoi. Il semblait avoir du mal à tenir sur ses deux jambes par contre, et tu n'eues même pas le temps de te lever pour l'aider qu'il tombait sur toi, et que tu lâchais une petite onomatopée de surprise sous son poids. « T'es venu mec ! » Il s'exclamait, et tu fis un peu la grimace, essayant de voir son visage. « Qu'est-ce que t'as foutu mec ? Tu pues l'alcool buddy. » Mon dieeeeu, me dites pas qu'en vrai il fait parti de la Mather House, ça le ferait tellement pas, surtout depuis que tu tentais de te représenter pour faire parti de nouveau de la présidence Eliot. Tu tapotais un peu son dos, et c'était triste comme tu ne pouvais même pas profiter de la situation qui se passait. « On va arrêter d'boire un peu heeein ? Faut qu'tu dessaoules. Ça t'évitera de ne plus répondre aux sms et de causer du soucis à c'bon vieux Nemo, ok ? » Ok.

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J’ignore comment je m’y suis pris pour finir dans un tel état. Ah non, tout compte fait je sais… Le mec qui ne boit pas d’alcool régulièrement a bien du mal à tenir le choc après quatre ou cinq verres. Il est tellement rare que je consomme plus d’un ou deux cocktails en soirée qu’au premier petit écart je termine aussi mal que si je m’étais englouti six litres de vodka en dix minutes. Je n’ai plus les idées claires, je suis complètement déconnecté de la réalité et au milieu de tout ce foutoir je ne pense qu’à envoyer un SMS à Nemo. Peut-être qu’une part de moi reste suffisamment éveillée pour me faire contacter quelqu’un de confiance… Quelqu’un qui ne me laissera pas finir dans un lit avec une parfaite inconnue sans savoir ce qu’il s’est passé ou non. Mon message a semble-t-il été reçu puisqu’il ne tarde pas à arriver et je lui saute immédiatement dans les bras. Ce soir je me sens aussi léger qu’une plume, je ne me sens plus à vrai dire, je ne ressens plus rien si ce n’est de la joie, une euphorie vraiment honteuse qui, à coup sûr, me fera me sentir vraiment très mal demain au réveil. En plus d’une gueule de bois, d’un méchant mal de tête j’aurais la honte et mon petit doigt me dit que Nemo n’a pas fini d’en reparler. « Qu'est-ce que t'as foutu mec ? Tu pues l'alcool buddy. » Je l’enlace comme je pourrais le faire contre une bouée de sauvetage, le sol est-il en train de se dérober sous mes pieds ? Merde, j’ai l’impression de tomber dans le vide. Attendez, pourquoi il tourne ce con ? « Pas du tout… J’ai juste bu… Un touuuut petit verre ! » Je marque une pause, lève la main pour mesurer la taille du verre de mon pouce et mon index. « Comme ça ! » Je plisse légèrement les yeux, me rapprochant de son visage. « Tu… Pourquoi tu tournes comme ça ? » Oh putain, j’ai soudainement très mal au ventre. « On va arrêter d'boire un peu heeein ? Faut qu'tu dessaoules. Ça t'évitera de ne plus répondre aux sms et de causer du soucis à c'bon vieux Nemo, ok ? » Pourquoi est-il aussi rabat joie celui-là ? Je me relève, chancelle un instant et régurgite une remontée gastrique acide et brûlante avant qu’elle ne franchisse la barrière de mes lèvres. « Roooooh… Viens, danse avec moi ! » Je ne lui laisse pas le choix ! Enfin si, puisque ce n’est pas sa main que j’attrape mais celle du voisin, mais bon, il a compris quoi.

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T'étais là, venu à la rescousse d'un Graham complètement bourré, qui ne semblait même pas avoir besoin d'être sauvé. C'était bizarre de le voir comme ça, car même le soir où tu l'avais rencontré, au Republik's, il n'avait pas été si déconnecté des choses que ça, puisque vous aviez même réussi à tenir une conversation pendant de longues minutes. Et au Summer Camp, tu ne l'avais jamais vraiment vu boire. D'un côté c'était intéressant, tu rencontrais de nouvelles facettes de Graham, et d'un autre... Tu ne savais jamais vraiment te comporter quand les gens se retrouvaient si ivres, sachant que les laisser boire était hors de question mais que ne pas acquiescer à leurs dires finirait par surement te faire insulter et traiter de coincé – parce que ouais, trololoool, la responsabilité apparemment c'était pas swag si jeune, allons tous prendre la voiture ivre et tenter de pas crever comme si on était dans un jeu vidéo, qu'on s'éclateeee ! Tu grimaçais un peu d'avoir son visage si prêt du tiens quand il puait l'alcool – nope, ça t'excitait pas vraiment, dommage – et tu lâchais un petit rire quand il tentait de te montrer la taille du verre qu'il avait bu. « Mais bien sûûûûr... C'est pas plutôt dix, le chiffre que tu cherches ? » Tu lui demandais en haussant un sourcil, avant de lever tes yeux au ciel, penchant ton visage vers l'arrière. « J'tourne pas mec, ce sont tes neurones qui font du trampoline. » Tu répondais en tentant de le redresser, de l'asseoir un peu plus droitement, mais évidement qu'il décidait de se lever, et tu le détaillais un moment, croisant les doigts mentalement en le voyant presque vomir. Il réussi à en prendre soin comme un pro – alors que toi l'autre jour t'avais pas pu retenir quoi que ce soit – et il te demandait de danser, attrapant ton voisin. « Graham, si tu danses tu va dégueuler et ils vont tous t'en vouloir de gâcher la soirée. » Tu tentais de le raisonner en le suivant pour pas le perdre des yeux, mais est-ce que la raison et la peur d'une honte sans fin valait quelque chose quand on avait un esprit brouillé par l'alcool ? Putain, tu savais pas ce que tu devais faire.

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Je ne me suis jamais retrouvé dans un tel état auparavant. Me défoncer la gueule à l’alcool ça n’a jamais trop été mon truc, je n’ai jamais eu besoin d’avoir recours à cela pour m’amuser à une fête et tant mieux d’ailleurs. Ce phénomène de mode qui consiste à se mettre minable le week-end venu me dépasse… Enfin, je peux nettement moins l’affirmer maintenant puisque je suis dans un état lamentable, complètement bourré et d’une euphorie gênante. Heureusement pour moi, Nemo est ici et il devrait me sauver la mise. Il a plutôt intérêt ce petit con, je n’ai rien dit, malgré le dégout, lorsqu’il m’a gerbé dessus au Summer Camp. Il me doit bien cela ! Dommage que je ne puisse pas réfléchir de la sorte, bien trop occupé à me concentrer pour ne pas avoir le tournis, les remontées de plus en plus difficiles à contenir ne me font même pas craindre de me ridiculiser en dégueulant en plein milieu de la pièce. Difficile de réfléchir correctement, de penser tout court, lorsque vous avez autant de grammes d’alcool dans le sang. « Mais bien sûûûûr... C'est pas plutôt dix, le chiffre que tu cherches ? » Je ne peux pas lui répondre, à vrai dire je n’ai même pas entendu ce qu’il a dit. Il ne veut pas arrêter de tourner sur lui-même une seconde ? Il me donne le vertige avec ses conneries. « J'tourne pas mec, ce sont tes neurones qui font du trampoline. » Je commence à rire, bêtement, sans vraiment savoir pourquoi et décide soudainement de l’entrainer avec moi sur la piste de danse. Enfin, façon de parler puisque je n’attrape pas la bonne personne. Je suppose qu’il a prévenu le mec en question puisqu’il ne tarde pas à se retourner et à retrouver le canapé confortable, trop confortable pour que l’on puisse en sortir sans être attristé. « Graham, si tu danses tu va dégueuler et ils vont tous t'en vouloir de gâcher la soirée. » Je ne l’écoute même pas, Nemo est trop nul de toute manière. « Danse avec moi ! » Il n’a pas le choix puisque je le prends dans mes bras et me met à sautiller, enfin je crois, je ne sens plus mes pieds… Plus trop mon corps globalement ! « Oh ! » Je relève la tête, me retrouve à quelques millimètres de ses lèvres à peine. Je les effleure et, pris par surprise par mes propres besoins je lâche un rot monumental. « Il était groooos celui-là ! » Je glousse comme un abruti, bien loin du Graham poli et distingué de d’habitude. « Oulala, ça tourne vraiment beaucoup. » Je crois que je suis à deux doigts de tomber !

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Tu aurais pu avoir une soirée tranquille, allongé sur ton lit à jouer à Until Dawn jusqu'à pas d'heures, ton chien à tes côtés réclamant sans cesses des caresses, un petit paradis en somme. A la place, t'étais venu ici, comme forcé à t'y rendre par un plan machiavélique de textos mal écrit et de stresse, comme quoi, même bourré il pouvait concocter des stratégies compliquées pour te mener par le bout du nez. Putain, comment t'allait t'en sortir maintenant ? T'étais perdu. Il riait bêtement quand tu lui répondais au sujet de ses neurones, et il tentait ensuite de t'embarquer avec lui sur la piste de danse, ratant ta main, mais comme t'étais un mec trop cool tu le suivait. Tu essayais de le raisonner parce que t'avais pas envie qu'il devienne un énième mec trempé de vomis à cette soirée, mais il te prenait dans tes bras et dansait – enfin... On va appeler ça de la danse vite fait, car ça n'y ressemblait pas tellement – et tu posais ses mains sur ses épaules, pour qu'il sautille moins. C'était triste qu'il soit si tactile quand il était totalement inconscient de ce qu'il faisait. « Calme toi mec. On fait un pacte ok ? Je danserais avec toi quand tu m'auras bu trois verres d'eau. » Histoire de rééquilibrer un peu le liquide dans son corps pour le dessaouler plus vite. Tu clignais des yeux un peu surpris quand il relevais sa tête et que vos lèvres étaient si proches l'une de l'autre, mais tu redescendis bien sur terre quand le mec il te rotait dessus. Oui oui, vous aviez bien lu, roter dessus. Limite il essayait de te nourrir de son rot, de le refourguer dans ta propre bouche, tu savais pas trop mais il te rotait dessus. Et tu te demandais si c'était pas plus pire que lorsque t'avais vomi, car toi tu l'avais fait sur ses pieds, pas dans sa putain de bouche. Tu grimaçais en reculant ta tête, lui tapant l'épaule. « Mec ! Tu t'exclamais alors qu'il semblait être si fier de lui. C'est ta vengeance pour l'autre jour ? C'est vraiment pas cool, j'étais malade moi, j'avais pas fait exprès !  Dégueux dégueux dégueeeeux. » Tu gueulais en tentant de faire bouger l'air avec tes mains, comme si ça allait y changer quelque chose pour toi. Et en plus, ça puait même pas la rose, non. Il te mentionnait une nouvelle fois que ça tournais et tu soupirais, attrapant le tissu sur son épaule et l'embarquant avec toi, avant de le faire asseoir sur une chaise libre. « Assis. Pas bougé. » Tu quémandais, croisant tes bras sur ton torse.

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Plus les minutes passent et plus mon comportement varie. Je me sens nettement moins euphorique que précédemment, ma tête tourne à une vitesse ahurissante et j’éprouve de réelles difficultés à me tenir sur mes deux pieds. J’entends vaguement la musique, la voix de Nemo mais un voile vient progressivement s’immiscer au milieu de tout cela pour foutre encore plus le bordel et me déconnecter de la réalité. Je perds le fil de notre conversation, me rapproche de ses lèvres, prêt à faire quelque chose de très stupide avant d’être arrêté par l’un des trucs les moins sensuels au monde, un gros rot, c’est la faute à la bière monsieur l’agent, que je ne parviens pas à contrôler suffisamment longtemps et que je lâche au visage du pauvre Nemo. Nous atteignons le paroxysme de la sensualité les amis, du vomi sur les chaussures, la soirée au gymnase, le rot en pleine gueule, la discussion sur la scatophilie… Quelle est la prochaine étape ? On se pisse dans la bouche ? Je ris bêtement, bien trop inhibé pour avoir une réaction censée tandis que Nemo se débat avec mon rot. Je continuerai bien à « danser » et à rigoler comme un imbécile mais je commence vraiment à avoir mal au crâne et à me sentir mal, ma peau blêmi et je ne tarde pas à signaler à Némo, entre deux sons inaudibles, que je ne me sens pas vraiment dans mon assiette… Pas du tout même ! Je crois que je vais tomber dans les vapes, j’ai le vertige, des frissons… PLUS JAMAIS D’ALCOOL, PLUS JAMAIS ! « Assis. Pas bougé. » Il me tire jusque sur une chaise et je le suis bien sagement, ne boudant pas mon plaisir lorsqu’il me demande de m’asseoir. Mes mains me servent d’accoudoir et, lorsque tout cela n’est plus suffisant, de sanctuaire. Je m’élance entre elles, tête la première dans une tentative désespérée de reprendre le contrôle de moi-même. Un échec, je suis défoncé, mi- conscient et malade. « Remmène-moi à la maison Nemi Nemo ! »
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Le forcer à quitter la fête ne te servirait qu'à te retrouver face à un mur, un gros gosse boudant et faisant des caprices pour tenter de dominer l'âme responsable, alors tu ne voyais comme solution que celle d'attendre sagement qu'il redescende de son ascenseur émotionnel de la soirée. Ça ne marchait pas aussi rapidement que tu l'eues souhaité, puisqu'il tentait de te forcer à danser et que tu te retrouvait sali d'un rot à la gueule. Putain, c'était dégueulasse. C'était triste de voir à quel point vous faisiez la paire vous deux. Un rien vous rendait misérable et vous finissiez par lâcher toutes drôles de choses de vos corps. Puis enfin son euphorie diminua, puisqu'il se mettait à te dire que sa tête tournait de nouveau et ça ne semblait pas pour le meilleur. Tu l'amenais s'asseoir, le priant de ne pas bouger, et tu t'éclipsais quelques secondes alors qu'il tentait de reprendre le contrôle de lui même, afin d'aller ramener quelques verres d'eau. Tu souriais légèrement en coin quand il te demandait de le ramener, et tu levais un peu son visage, lui donnant l'un des verres d'eau dans ses mains. « On va y aller. Mais d'abord tu bois. C'est non négociable. » Hors de question qu'il finisse par vomir en pleine route dans l'intérieur de ta Maserati, OUT OF THE QUESTIOOOON. Après l'avoir forcé à ingurgité trois verres d'eau, et aller voler un sac plastique dans la cuisine de tu-ne-savais-pas-qui pour prévenir le vomissement au lieu de le guérir, tu attrapais Graham par la taille afin de le soutenir s'il venait à chanceler, et tu sortais de la maison, appréciant grandement le petit air frais qui frappait sur ton visage. Vous marchiez quelques mètres, puis tu finissais par l'aider à entrer du côté passager, lui mettant sa ceinture, et tu fis le tour pour te retrouver au volant. Tu démarrais, avant de mordre doucement ta lèvre. « T'habites où déjà ? J'sais même pas. » T'espérais qu'il s'en souvienne, sinon, t'allais devoir le ramener à la coloc. Tu pris quand même la route,et tu restais silencieux quelques minutes, avant de parler de nouveau, espérant qu'il se soit calmé. « Alors l'mather, ça t'as plu de faire le fou ? Pourquoi tu t'es mis dans tous ces états buddy ? » Il n'y avait peut-être pas d'explications, peut-être avait-il seulement fait ça pour l'amour de la boisson, ou peut-être sera-t-il trop mal pour en parler et te répondre correctement, mais tu demandais, on savait jamais.

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Nemo parti me chercher je ne saurais vous dire quoi, le temps semble ne plus s’arrêter d’accélérer autour de moi. Un peu comme si je n’étais qu’un personnage des Sims et que mon joueur s’ennuyait à mourir et décidait d’enclencher la troisième vitesse, vous savez, l’avance rapide. Je suis complètement déconnecté de la réalité, épuisé et je pique du nez. Difficile de faire autrement avec autant d’alcool dans le sang, je vous promets que je ne me suis pas méfié, méfaits accomplis, tu peux t’en aller ivresse, vraiment, CASSE TOI CONNASSE ! La salope ne me lâchera pas les baskets aussi facilement malheureusement, j’en aurais surement pour toute la nuit et je risque d’être malade comme jamais en prime. Cerise sur le cheesecake ? Nemo va être témoin de toute cette merde, de l’apocalypse qui va s’abattre sur moi d’une seconde à l’autre, sans crier gare. Me ridiculiser devant lui et en prendre conscient me fait redescendre légèrement… Suffisamment pour le voir revenir et l’accueillir comme le messie. Si j’en avais la force, je lui baiserai les pieds ! « On va y aller. Mais d'abord tu bois. C'est non négociable. » Je n’ai pas la force de refuser, j’attrape donc le grand verre d’eau que j’engloutis cul sec, sans faillir une seule seconde. « Tu vas… Aide-moi ! » Difficile d’aligner plus de deux mots, j’ai la gueule enfarinée et la bouche pâteuse. Le jeune homme m’a surement compris puisqu’il me soulève, s’attèle du mieux qu’il peut à me ramener à la voiture dans laquelle je me laisse tomber, à deux doigts de m’endormir. « T'habites où déjà ? J'sais même pas. » J’ai piqué du nez, sa voix m’arrache à mes rêves. Pas suffisamment pour réellement me réveiller, je végète entre deux états. « Alors l'mather, ça t'as plu de faire le fou ? Pourquoi tu t'es mis dans tous ces états buddy ? » Oh mon dieu, je suis réveillé maintenant, un besoin primaire. « Arrêtes-toi, je dois pisser ! » Oh oui, la bière, l’eau et tous les autres alcools que j’ai pu consommer ces dernières heures, tout me revient en pleine gueule… Ou plutôt en pleine vessie ! Il s’arrête, j’ouvre la porte avec succès et… Oh putain, je crois que je vais définitivement dégueuler ! « Nemo je… » Je n’y arrive pas, mes mains ne trouvent pas le chemin, ma braguette semble impénétrable. Aurait-on installé des cadenas pendant que je buvais ? Merde, je suis un foutu incapable ! « J’ai besoin d’aide ! » Ne plus être capable de pisser tout seul, je suis vraiment tombé bien bas, pourvu que je ne me souvienne de rien demain.
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