Nos enfants étaient importants, j'avais veillé pendant plus de 17 ans sur eux comme Anya le faisait aussi, ils passaient avant mon boulot, Anya aussi, j'avais été le père que mon géniteur n'avait pas été seulement malgré les années je doutais encore de moi-même.
Il venait. Rien que lui venait avec moi. Après tout, s'il avait peur qu'après le départ, futur, de nos enfants, nous n'arriverions plus à vivre tous les deux, autant qu'on s'entraine non ? Bien que je n'avais pas de doute là-dessus. Je savais que c'était l'homme de ma vie et regardez, 17 ans près, nous étions toujours ensemble Je m'occupais de Kenny, d'une certaine manière. Je savais qu'il appréciait et ses gémissements me faisaient sourire, sauf que je ne m'attendais pas à ce qu'il parte aussi vite ? J'étais un peu surprise. Je dégageais ma tête du draps, pour regarder mon époux, surprise, je lâchais prise d'ailleurs sur son muscle. Rapidement oui ... je pensais pas que je t'avais autant frustré je grimaçais un peu, faut le dire, que Kenny était un homme qui aimait bien les petits moments de détente à deux et que là, ça faisait un petit moment par rapport à ce que nous avions l'habitude Je suis désolé petite moue, je me faisais glisser sur lui pour lui voler un baiser , passant mes mains dans ses cheveux. Ils étaient même encore sec, oh oui, cela avait été rapide Je te laisserai plus jamais comme ça, promis
Anya me laissait de coté, c'est vrai, je serais honnête si elle me le demandait, je lui dirais que j'ai vraiment l'impression d'être le dernier seulement j'avais du mal à lui en vouloir faut dire que nos enfants étaient notre priorité sans compter que son boulot la mangeait. A l'époque, elle m'avait assez prévenu, je lui avais répété que je savais que son boulot était compliqué, que je savais les conséquences, j'en étais conscient, je le supportais donc comme elle avait fait pendant une année à New York, oui c'est vrai c'était pas juste comparé un an et dix sept ans mais j'ai déjà dis je l'aimais, je lui trouverais toutes les excuses au monde. "Un peu." Totalement oui, j'étais frustré puissance milles. "C'est pas grave." Elle me faisait sa petite moue, elle était triste? Fallait pas. Anya glissait ses mains dans mes cheveux alors que moi je nichais ma tête dans son cou déposant des petits baisers. "Non promet juste moi qu'on dorme plus de deux soirs ensemble." En gros rentre plus tôt, je le voulais, elle savait que c'était important seulement je lui avais jamais demandé, j'avais subi là par contre je cédais parce que me coucher souvent seul la semaine me déplaisait, quand on savait que dormir sans elle était impossible il y a des années, là c'était surprenant. "C'est dur, je dis rien mais j'en souffre parce que tu me manques et…" Le téléphone d'Anya sonnait. Noah vu la sonnerie. "répond." Je me laissais tomber sur le dos.
Je ne pensais pas que Kenny était aussi frustrée, je ne pensais pas qu'il vivait aussi mal les choses, il ne me le disait pas et à vrai dire, je ne cherchais peut être pas à savoir, j'étais fatiguée quand je rentrais, je n'avais qu'une hâte, c'était me coucher et lorsque je faisais l'effort de regarder un film en famille auprès de mon mari et de nos enfant, inéluctablement, je m'endormais contre lui. Remontant contre lui, je passais mes mains dans ses cheveux, lui nichait son visage dans mon cou en me demandant juste de lui promettre de ne plus le laisser dormir seul, ou du moins, s'endormir seul. J'hochais la tête en soufflant un d'accord dans son oreille puis je me faisais un peu glisser pour poser ma joue contre son torse et faire le tour de ses tatouage du bout de mon doigt. Je m'en étais pas rendu compte Kenny ... mon travail est prenant, tout comme le tiens alors quand y a un soucis comme ça dis le moi, j'ai pas envie que tu restes dans ton coin en attendant que ça change, parce que si je sais pas que ça va pas, je vois pas pourquoi je changerais les choses.. il allait continuer quand mon téléphone sonnait. Je soupirais, je savais que c'était Noah du moins, je me doutais vu la musique Non, il est au palais, il m'appelle surement pour me demander ce qu'il y avait à faire ... je te rappelle que je l'ai envoyé là-bas alors que mon père ne m'avait rien demandé, il a surement dû comprendre qu'on voulait rester tous les deux. Je t'ai dis que c'était notre journée, alors c'est la notre je déposais un baiser contre son pectoraux puis je me laissais glisser sur le côté, sur le ventre. après avoir déposé mon plateau, à plat, sur le lit afin déjeuner tout en bougeant mes jambes dans les airs
Je la laissais me toucher, j'en avais besoin, j'avais l'impression aussi d'être un enfant mais là je crois que je l'étais totalement quand je me confiais. "Je voulais pas que ça change parce que je sais que tu aimes ton boulot, je… je voulais pas être un boulet." Tout simplement, même si je souffrais vraiment de la situation. Noah téléphonait, je reconnaissais la sonnerie, je pensais qu'elle allait décrocher alors je changeais de position seulement quand elle disait ses mots, je rigolais en passant mes mains sur mon visage. "Il va te tuer." Riais-je en la regardant prendre le plateau du déjeuner. "Il avait prévu un truc avec Sara ce matin tu l'envoi au Palais alors qu'il y a rien. Alala ton fils est trop bon avec toi." Il aimait trop comme moi, encore un de mes cotés, même Noah ne résistait pas aux caprices de sa sœur, on était perdu tous les deux, les Kataieva allaient nous tuer. Si elle mangeait son petit déjeuner sur le ventre, moi je regardais ses courbes passant ma main sur son fessier que je claquais délicatement, ça me faisait rire de la voir sursauter en fait, oui j'étais un peu mauvais je reconnais. "Je vais faire couler un bain." Je me levais du lit embrassant son fessier rapidement. "Ne traine pas." Je partais dans la salle de bain faire couler un bain, mettre aussi des bougies, ça faisait tellement longtemps qu'on avait pas fait ça.
J'aurais juste trouver des solutions plus tôt Kenny, je n'allais pas quitter mon travaille et je ne compte toujours pas le faire, parce que tu veux que je m'endorme avec toi dis-je en passant mon pouce sur sa joue Je vais juste faire attention à l'heure et faire des efforts je déposais un baiser sur son nez, pour enfin, prendre mon plateau. Oui j'avais faim et j'espérais que mon café soit encore chaud. Il l'était, il l'avait mit dans un thermos, il me connaissait assez pour savoir que j'avais besoin de temps avant d'avaler quelque chose le matin. Le téléphone sonnait. Noah, je ne répondais pas ce qui fit rire Kenny. Oh, tu savais très bien que je ne devais pas aller aider mon père aujourd'hui, j'ai juste préféré passer du temps seule avec toi que coincé avec deux adolescent à la maison. j'haussais une épaule, puis au moins, il ne penserait pas à sauter sur sa meilleure amie. Puis je peux te dire qu'au moins, il ne pensera pas à coucher avec elle oh que non. Je prenais ma tartine pour en mordre un bout dedans, je frissonnais en sentant les caresses de Kenny contre ma peau nue, sauf que je ne m'attendais pas à ce qu'il me claque les fesses, ce qui me fit sursauter. Je riais en tournant mon visage vers lui j'avais un peu de confiture sur le bout du nez. Hey pars pas comme ça, enlèves moi ça avant dis-je en levant un peu le visage, le regardant arriver. Je souriais en sentant sa langue puis ses lèvres sur le bout de mon nez et encore plus à son baiser sur mes fesses. Ahah, même avec le temps, son amour pour ce dernier ne s'était pas éteint. Je termine ma biscotte et mon café et j'arrive je me redressais, après avoir fini ma biscotte puis je prenais mon thermos pour aller devant la fenêtre, entouré du drap. Je regardais notre terrain, notre petit jardin privé à Kenny et moi, qui n'était que pour nous, seule notre suite lui donnait accès, puis j'allais de l'autre côté. J'étais heureuse, nous avions tous que nous avions voulu. Une belle famille, une belle maison ... je regardais une photo de famille tout en buvant mon café puis j'allais rejoindre Kenny dans la salle de bain. ouuuh des bougies à 10h30 du matin, on se refuse rien monsieur
"Oh tu sais j'en doute, crois moi que peu importe l'endroit un mec même ado pensera à conclure." Je rigolais, je le pensais parce que j'avais eu cet âge là. Fallait me voir encore à toucher son fessier nu, il était beau, rebondi toujours aussi ferme, je fermais les yeux quelques secondes pour enfin me décider de lui claquer. Si le petit bruit me faisait sourire, la claque eu le don de faire sauter la biscotte sur le bout de son nez, je rigolais en me levant partant vers la salle de bain. "Je sais pas si…" Elle était belle, elle le méritait. "D'accord, je cède parce que tu es mignonne." Lâchais-je en allant vers elle, je glissais ma langue doucement puis j'embrassais le bout de son nez, fronçant les sourcils une fois que j'avais le dos tourné, je détestais la confiture aux fruits rouges, horrible, eurk. "Ok." Je partais dans la salle de bain, notre baignoire était superbe, grande pour nous deux mais il fallait plus alors j'installais des bougies partout après avoir lancé l'eau c'est là que je me rendais compte que oui à 10h30 c'était tôt. "Ah c'est trop?" Je soufflais sur les bougies en les rangeant dans le tiroir pour filer ensuite dans l'eau, j'étais toujours là à vouloir faire des petits trucs romantiques pour nous deux, je trouvais ça mignon mais elle avait raison c'était trop tôt pour les bougies. Une fois dans le bain, j'écartais les bras pour l'accueillir seulement je me doutais pas que Noah reviendrait avec Sara, comme s'il n'avait pas compris le message que sa mère avait voulu lui faire passer.
Non bébé, c'est parfait lui dis-je en l'arrêtant dans ses gestes. Je souriais en allant vers lui, avant qu'il n'aille dans la baignoire. J'enroulais mes bras autour de son cou, me levant sur la pointe des pieds pour embrasser ses lèvres doucement J'aime bien quand tu fais ce genre de chose ... même à 10h30 je frottais mon nez contre le sien puis je le laissais aller dans la baignoire enfin. Je laissais quant à moi tomber le drap pour le mettre dans la panière à linge sale, aujourd'hui Elena devait changer nos draps. Je relevais mes cheveux, ils étaient propre et je n'avais pas envie de les mouiller avant de le rejoindre, enfin. Mon dos contre son torse, j'attrapais le journal, mit un fond sonore. C'était le genre de chose que nous aimions bien faire, lire le journal à deux. Puis ça parlait souvent de nous dedans. Cependant, j'entendais un bruit, alors rapidement j'éteignais la musique, puis je tournais la tête vers Kenny pour poser mon index sur ses lèvres Roooh il comprend vraiment rien chuchotais-je fais comme si nous étions pas là
Dans la baignoire, ce petit moment de complicité me faisait plaisir, mon bonheur se lisait sur mon visage, dans mes gestes aussi vu le nombre de bisous que je faisais à mon épouse pendant qu'elle lisait le journal en même temps que moi seulement quand on était parent, la tranquillité on ne connaissait pas. "Je reconnais que c'est de mon coté." Murmurais-je doucement. "Sois discrète mon cœur." Je glissais ma main sur son ventre, plus bas, encore plus bas pour finir ma course vers un lieu stratégique que je commençais à masser. Noah criait maman dans la maison, la porte de notre chambre était ouverte, en général quand on le faisait c'est que nos bébés pouvaient rentrer alors oui notre fils rentrait tout comme vers la salle de bain ou il poussait un cri en se tournant vivement. "AH c'est dégueu. MES YEUX ! Je suis entrain de devenir aveugle!" Il les fermait avançant vers la sortie rapidement. La mousse du bain nous avait parfaitement camouflé, il avait rien vu mais il en rajoutait des caisses parce que c'était un enfant qui venait de chopper ses parents dans un bain, rien de méchant. "Et merde." Riais-je en remettant le fond sonore. Je reprenais le journal, amusé, j'avais cessé de compter le nombre de fois ou nos enfants nous avaient dit d'arrêter de se faire des bisous ou des gestes tendres en public, ils étaient lourds à force puis ça m'amusait particulièrement alors souvent on accentuait nos gestes avec Anya rien que pour les faires râler. Bien quoi? Ils nous embêtent aussi faut pas croire. "Hum…" poussais-je en fourrant mon nez dans son cou. Ça me manquait tellement tout ça. "Tu étais sérieuse quand tu as dis que tu me supportais pas quand on bossait ensemble?" Je sais que c'était difficile, même très dur mais c'était compliqué d'entendre tout ça. "Papa?" cria Noah. "QUOI !" merde ce gosse nous laisserait jamais tranquille? "Je peux utiliser ton studio de musique?" Un cadeau de ma femme, installé dans la maison à quelques mètres de notre chambre, elle avait gardée le secret pendant les travaux prétendant qu'elle faisait son bureau en bas mais non, c'était mon studio, j'y passais du temps pour bosser sur les musiques que je composais. "Oui vas-y mais tu connais les règles." Seulement Noah et Sara était tout content je les entendais heureux, tous les deux artistes dans l’âme.
Pourquoi je devrais être discrète ? Je le sais bien, je lui avais dit de ne pas faire de bruit, c'est bien parce que je ne voulais pas que Noah vienne nous voir, sauf que je compris bien rapidement pourquoi je devais me faire discrète. Il le faisait exprès ou quoi ? Je me crispais un peu sous le plaisir, laissant ma tête se poser contre son épaule, fermant les yeux. Je me mordillais la lèvre inférieur, pour me faire discrète, jusqu'à ce que Noah n'entre. Je me relevais un peu, me cachant avec la mousse Bordel Noah, je t'ai déjà dis de frapper aux portes ! ça c'était quelque chose qui m'agaçait. Puis si on répond pas, c'est qu'on est pas là et tu sais bien que je veux pas que vous rentriez dans nos appartements quand on est pas là bon, on est là, mais si on avait fait silence radio, c'est qu'on faisait les absents non ? Alors oui on est là, mais on voulait pas être dérangés dis-je en soupirant un peu. Pourquoi tu me parles de ça maintenant ? oui, je ne comprenais pas vraiment ce que ça venait faire dans la conversation ou bien notre moment et quand Kenny disait à Noah d'aller dans la salle de musique, je sortais de l'eau. Moi qui pensait qu'il voulait aussi qu'on soit tranquilles, il venait clairement de tout gâcher. T'abuses, t'aurais pu lui dire de sortir, y'a des choses à faire autre part qu'ici pour une fois qu'on avait la maison pour nous je partais dans la chambre, pour le coup, je lui en voulais un peu, à croire que nous n'avions pas envie de la même chose. Après m'être séché, j'enfilais une chemise blanche et une jupe en cuir noire prenant le plateau de mon petit déjeuner pour aller le ranger dans la cuisine.
