KENYA ▬ All my hidden desires Finally came alive

Je sourcillais, c'est vrai que les parents d'Anya étaient chiant, disons que le chalet ne serait pas non plus à leur gout, à coup sur le paternel de ma femme allait essayer de la convaincre que ce n'était pas bien pour une future héritière d'être ici. "Je suis sur qu'il te fera changer d'avis sur le chalet qu'on va devoir partir." Je voulais apprendre à Alessia tellement de chose, la valeur de l'argent, mes principes comme la tolérance, Anya en avait peu voir pas, je voulais aussi qu'Alessia soit maitresse de son destin, qu'elle soit heureuse et pas opprimé comme je l'avais été ou même Anya. D'ailleurs en parlant d'elle, sa révélation me faisait un petit peu mal au cœur, elle savait jouer, pourtant elle m'avait laissée faire, je voulais pas qu'on en parle, j'étais déçu normal d'un coté je pensais qu'elle se moquait de moi aussi ou pire qu'elle avait pitié. "Je le battrais c'est sur." Dis-je fièrement. Là je peux vous dire qu'on allait faire un concours de coq quand Igor viendrait jouer contre moi, c'était un peu comme si le gros lot c'était ma femme. Un peu triste, Anya se posait sur moi mettant mes mains sur son fessier, je souriais un peu en baissant les yeux, elle savait tellement se faire pardonner. "Toi aussi tu sais." Dis-je en la regardant avec un amour infini. "Mais la prochaine fois dis moi que tu sais jouer, si tu veux que je te montre, prétexte juste que tu t'en souviens plus vraiment des gestes, je me suis senti tellement utile en te montrant que là… j'ai cru que tu te moquais de moi un court instant mais pour que tu poses mes mains sur ton fessier qui veux dire que tu essayes de m'acheter sexuellement, je peux savoir que c'était juste pour un rapprochement." Je me redressais pour lui voler un baiser rapide. "Je suis un mauvais mari si je dis qu'Alessia me manque?" Je voulais pas qu'elle le prenne mal, j'aimais passer du temps avec ma femme, tout mon temps pour être honnête mais depuis qu'elle était en Russie et donc avec la famille de ma femme, j'étais devenu très inquiet, vraiment, je crois qu'Anya ne m'avait jamais vu comme ça.

Ils vont surement avoir la même réaction que moi en voyant le chalet mais après je vois pas pourquoi je voudrais qu'on parte je pouvais prendre mes décision toute seule, faut pas croire. Je demandais à Kenny de battre mon père au golf et il me disait qu'il allait le faire, avec cette fierté bien visible sur les traits de son visage J'en doute pas, surtout si après tu es récompensé ... Kenny marchait un peu comme l'âne et la carotte par moment, étant la carotte, ça ne me dérangeais absolument pas de me faire croquer (aa) J'avais sentie que Kenny était déçu alors bien rapidement je prenais les devants en me posant sur lui, mettant ses mains sur mon fessier. Je voulais pas moquer de toi, je voulais juste que tu sois mon professeur de Golf et il s'était bien rendu compte que c'était pour le rapprochement qu'il pouvait y avoir dans ce genre de situation. Jamais je n'oserais t'acheter sexuellement voyons je sifflotais un peu, je l'avais fait tout à l'heure, de manière détourné en lui disant qu'il serait récompensé s'il battait mon père. Alors que je m'évertuais à déposer des baisers dans son cou, lui suçotant la peau par moment il me coupait la chique en me parlant d'Alessia. Sur le moment, je me laissais tomber sur le côté, m'allongeant à mon tour sur le dos, contre la paréo. T'es pas un mauvais mari en me disant ça, t'es un bon père sauf que moi j'étais loin d'être sa fille et je n'avais pas forcément envie d'avoir le papa poule à mes côtés en cet instant. De toute manière, elle arrive demain dis-je en haussant les épaules, pas qu'elle ne me manquait pas à moi aussi, juste que j'avais envie de profiter de mon mari et pas du père de ma fille en cet instant, mais c'était loupé.

"Jamais? Vraiment?" dis-je en la fixant avec un sourire grand jusqu'aux oreilles sur le visage. "Tu m'as dis de gagner au golf et pour te faire pardonner j'ai eu le droit à mes mains sur ton fessier, si ça c'est pas sexuel." J'étais bien là, seulement je pensais à Alessia, je n'y pouvais rien parfois j'étais inquiet, je pensais aux éventuels dangers qu'il y avait en Russie par exemple, le palais royal toutes personnes qui voulaient blesser la Russie viserait cet endroit. Anya se laissait aller sur le coté, je voyais pas tout de suite qu'elle était devenue plus distante à cause de mes mots, j'étais noyer par l'inquiétude même si sa phrase m'avait fait sourire. "J'espère l'être." Hors de question que je refasse le même schéma que mon paternel, je voulais être là pour notre fille quitte à laisser ma carrière. "Exact donc je profite encore de toi." Je déposais un baiser dans son cou, là je me rendais compte de mes mots, de ce que je lui avais fais. "Bébé je voulais pas te refroidir, je pensais à elle sur l'instant mais là je pense à nous deux." Je la reprenais plus contre moi, posant mon nez contre sa chevelure blonde. "Et j'ai envie que tu souris." Juste après j'attaquais en lui faisant pleins de bisous partout sur son visage.

Kenny m'avait totalement refroidis, j'avais besoin qu'on pense à nous deux après ce qu'il s'était passé, qu'on soit un couple, mais non, il endossait son rôle de père. Je ne pouvais pas lui en vouloir, parce que je ne pouvais pas rêver mieux comme père pour mes enfants, mais j'étais une femme, pas seulement une maman, pas seulement la mère de ses enfants Bien sûr que tu l'es, tu n'es pas comme ton père ou le mien dis-je en tournant ma tête vers lui, avec un petit sourire. Il me disait vouloir profiter de moi en déposant un baiser dans mon coup, je levais un peu les épaules, parce que ce n'était pas ce qu'il faisait. ... en parlant d'Alessia je terminais sa phrase avant ne me reprenne contre lui en me disant ne pas vouloir me refroidir. Loupééééé dis-je avec une voix plus aigüe à la fin en riant un peu. Son nez dans mes cheveux, je regardais les feuilles du saule pleureur, j'avais l'impression que nous étions deux adolescents chaste qui font la sieste à l'ombre. Je vais pas faire la tête pour ça tu sais bon j'étais un peu ailleurs pour le coup, parce que depuis tout à l'heure, il me montrait qu'il avait envie de moi, me le disait même et maintenant que nous étions passé à l'étape supérieur, il me parlait de notre fille. Ses lèvres me déposaient plein de baiser sur le visage, je le regardais faire en passant ma main contre sa joue C'est bon c'est pas grave, on peut parler d'Alessia tu sais, je suis pas un monstre sans coeur, j'aime notre fille aussi et on peut en parler

"Désolé." Je faisais un peu la moue, je voulais pas la refroidir vraiment pas disons que c'était venu dans ma tête et voilà je l'avais dis à haute voix maintenant c'est vrai que je me rendais compte de mon erreur. Sous l'arbre, je l'écoutais, c'était mignon qu'elle veuille en parler si je le voulais, je trouvais qu'Anya avait considérablement changé, elle était plus à l'écoute qu'avant. "Non j'ai plus envie." Je me glissais sur elle pour l'embrasser langoureusement, mes mains de chaque coté de sa tête, j'avais envie d'elle c'est vrai depuis tout à l'heure j'y pensais de le faire ici sur le terrain de golf en plus vu ses paroles je savais qu'elle ne s'y attendrait pas, qu'elle pensait que j'allais m'arrêter aux câlins mais pas du tout, j'allais le faire de A à Z en vérifiant que personne ne regardait mon épouse, je l'avoue. Soulevant encore plus sa jupe, je kidnappais encore son sous-vêtement que je faisais glisser le long de ses jambes fuselées afin de glisser ma main à cet endroit. "Kidnappé." Murmurais-je à son oreille sensuellement.

Il n'avait plus envie ? Je le regardais en arquant un sourcil en le laissant se mettre au dessus de moi. Je le regardais un instant, me demandant ce qu'il allait faire, disons qu'il m'avait un peu perdu pour le coup. Ses lèvres contre les miennes, je souriais tout de même en écartant un peu mes jambes pour que nous soyons plus à l'aise. Une fois que je n'eu plus de souffle, je penchais la tête en arrière pour reprendre mon souffle, passant l'une de mes mains dans les cheveux de mon mari, heureuse. Sauf que je ne m'attendais pas à ce qu'il soulève ma jupe un peu plus pour me voler ma petite culotte à nouveau. Il me la faisait glisser le long des jambes, je le regardais faire avant de regarder tout autour Kenny .. dis-je avec une petite voix aigüe avec un sourire qui s'entendait dans ma voix, alors je secouais un peu les jambes Qu'est ce que tu fais ... y'a surement du monde je tendais de regarder, mais je ne voyais rien à cause des branches Il remontait sur moi, culotte dans la poche arrière de son jeans encore une fois en murmurant dans mon oreille. C'était donc ma petite culotte qui t'intéresse depuis tout à l'heure

Sa petite voix aigue et surtout son sourire que j'entendais dans le son de sa voix ne faisait que renforcer ce que je pensais, elle en avait autant envie que moi, ici. "Y a personne." Dis-je en tournant la tête de droite à gauche pour essayer de voir, c'est vrai il n'y avait vraiment personne, même quand on avait prit la petite voiture tout à l'heure pour rentrer au country club ou revenir ici, on avait croisé que deux personnes. "L'endroit est grand…" murmurais-je alors que mes lèvres embrassaient son cou. Je passais ma main libre sur son ventre glissant jusqu'à son sein, lentement. "Exact car là actuellement si je veux, je peux te prendre." Mes yeux brulaient de désir, Anya détestait que je la regarde ainsi, souvent elle rougissait mais j'y pouvais rien c'était plus fort que moi, là j'avais envie, je déboutonnais un peu mon jean. "Dis-moi stop si c'est trop d'accord?" Je voulais pas la forcer, elle savait que je n'étais pas comme ça, je voulais juste qu'on se laisse un peu aller ici puis si je n'étais pas sur à 100% que personne ne passerait croyez moi que je ne commencerais pas à la dénudé.

Je souriais, en me mordillant la lèvre inférieur parce qu'il me donnait clairement chaud dans sa façon d'agir. Il regardait à droite et à gauche, je faisais de même pour ensuite replonger dans son regard. Il me disait que l'endroit était grand, qu'il n'y avait personne. Il passait sa main sur mon ventre, je le regardais faire en frissonnant, encore plus lorsqu'il la passait sur mon sein. ne me dis pas que tu te serais laissé battre par un simple bout de tissus lui demandais-je en passant mes mains dans le bas de son dos pour le lui caresser, tandis que monsieur était en train de défaire son jeans, me montrant clairement ses intentions. Je fus surprise de ce qu'il me disait. Lui dire stop si je n'étais pas d'accord ? Heho, on ne sortait pas ensemble depuis quelques jours ... on était ensemble depuis plus de deux ans, depuis le temps, si je n'étais pas d'accord, je lui aurais dit stop, ce n'était pas comme si c'était tout nouveau. tu m'as déjà entendu dire stop ? taquine, je passais mes mains le long de son dos, tout en attrapant son tee-shirt pour le faire remonter et le lui enlever. Je déposais mes lèvres contre son épaule, déposant des baisers dessus en me redressant un peu. Je remontais ensuite dans son cou, sur sa gorge en laissant trainer mes lèvres, laissant un tracé humide dessus