KENYA ▬ All my hidden desires Finally came alive

Son swing avait été parfait. Je me souviens du mien, le tout premier avec mon grand-père qui m'avait rit un peu au nez parce que la balle avait fait que quelques mètres alors même si a l'époque j'étais tout jeune, je n'aurais jamais cru que ma femme aurait été si forte. Contre elle, je souriais a son bisou, je venais de lui apprendre le geste bien rapidement, trop rapidement parce que conserver la position ne me déplairait pas du tout vu ma réaction physique. "Ouais on va le faire une seconde fois, positionne toi." Je souriais tendrement, j'étais content de lui apprendre un truc, généralement c’était elle mon professeur alors la je trouvais qu'il y avait quelque chose de gratifiant que de lui donner un cours. Un cours qui dégénérait pour ma part. Je savais qu'elle devait sentir un truc un peu dur derrière elle et la première excuse qui me venait en tête c'était de dire que c'était mon téléphone. Alors oui je pourrais assumer mais je voulais pas qu'elle soit dérangée par ça, qu'elle se dise que je lui manquais de respect bien que je crois sincèrement que madame n'était pas du tout gêné en plus de m'avoir démasqué. Sa manière d'accentuer le mot téléphone me faisait sourire, baisser les yeux vers ses épaules, merde. "Tant mieux parce que... Je vais avoir du mal a le retirer." Je m'enfoncais un peu dans mon petit mes songe mais rien de bien méchant. "Alors reprenons !" Dis-je en essayant de me motiver. "Tes pieds ok. Ta posture çà va. Tes bras non." Je lui positionnais au plus juste avant de mettre les mains sur les siennes pour effectuer le fameux swing qui emmenait la balle plus loin que le trou mais avec une puissance telle que j’eus des doutes si ma femme n'était pas un bonhomme. "Il était super beau celui la !" Émerveillé était le mot face a ce sentiment qui s'emparait de moi. "On dirait que tu sais jouer."

Nous étions prêts pour un second essaie, à vrai dire, je n'avais pas forcément envie qu'il me lâche de si tôt. Je tournais la tête pour déposer un baiser sur ses lèvres avant qu'il ne me sorte l'excuse la plus pitoyable du monde, un peu comme celle de la télécommande. C'est pas grave, tant que c'est ton téléphone à toi je lui faisait un clin d'oeil puis, je tentais de me concentrer à nouveau. Il reposait ses mains sur les miennes, je le laissais me guider totalement, molle, histoire de ne pas être démasqué, puis j'aimais tellement lorsqu'il faisait ce genre de chose, poser ses mains sur les miennes pour me guider, c'était une sensation sans nom qui s'emparait de moi. Qu'est ce qu'ils ont mes bras ? dis-je en les regardant, me demandant ce que je devais faire avec, du moins, c'est l'impression que je lui donnais. Il me les positionnait lui même tout en m'expliquant à nouveau j'hochais la tête puis je tirais, ou du moins, Kenny tirait en tenant mes bras. Tu parles, je suis parti à des kilomètres du trou ... puis je te signal que c'est toi qui tirait je riais un peu en m'écartant de Kenny, le laissant un peu dans le pétrin, mais il fallait bien qu'il puisse tirer à son tour. Allez, laisses moi voir le maître en action. Je te regarde

"Non j'ai à peine touché, tu te débrouilles très bien toute seule." J'étais fier, je me sentais utile et puis pour une fois les rôles étaient inversés, Anya m'avait apprit à distingué les couleurs avec des codes, moi je lui enseignais le golf, je peux vous dire que je me sentais pas comme était la dernière roue du carrosse. Elle se décalait, je me raclais un peu la gorge, on était tous les deux alors on va dire que ça ne dérangeait pas vraiment que je sois dans une forme olympique mais si quelqu'un passait c'est clair et net que j'allais devoir me planquer. "Admire ton roi." Dis-je en prenant un club. Je me mettais en position après avoir mit une balle et je fis un très beau swing, tout mes muscles étaient contractés y comprit mon fessier, d'ailleurs je n'avais jamais vraiment apprécié ce genre de tenue pour les mecs, pourquoi mettre des pantalons si serrer? Pour le plaisir des dames? Surement quand je me tournais en attendant une réaction de mon épouse, j'ai bien l'impression qu'elle me regardait, ça me faisait doucement sourire parce que je me voyais à sa place quelques secondes auparavant, tout son corps qui s'était mit en mouvement, sa petite jupe bien courte pour le plaisir de mes yeux. "Alors? Ta vu c'est des années d'expérience ça." J'étais proche du trou, en un coup je la ferais rentrer. "Je te laisse en tirer seule une autre balle faut que tu t'entraines après tout sauf si tu aimes pas trop ce sport, on peux toujours changer."

Je me reculais pour laisser Kenny jouer à son tour. Me posant un peu plus loin derrière, je m'appuyais sur une jambe tout en le regardant de haut en bas, tout en jaugeant la marchandise. Ce pantalon était si serré que j'avais l'impression que les coutures allaient sauter. En tout cas, ce pantalon mettait tout son bas en valeur et disons que mon cher et tendre mari était dans une forme olympique. Un couple de vieux passer à côté de nous lorsque Kenny faisait son swing, dabors impressionné par la beauté de son geste, ils furent vite choqué par la bosse dans son pantalon. Pour le coup, je ne pu m'empêcher de rire. Vraiment, c'était d'un drôle. Je regardais Kenny dans les yeux en riant, me disant que merde, on se foutait toujours dans des situations rocambolesques. Non non j'ai pas envie d'arrêter, puis je penses que c'est possible d'y arriver, la première balle n'est pas si loin du trou , faudrait qu'on prenne la voiturette cependant, lorsqu'il me parlait d'expérience, je ne pu m'empêcher de rétorquer, c'est ce qu'on appelle tendre le bâton pour se faire frapper Oui j'en ai vu des choses et ... tu me dis que c'est des années d'expérience ? De pratique ? je baissais mon regard, amusé et rieuse, bien entendu, je le taquinais juste, d'ailleurs, lorsque je le vis foncer sur moi pour se venger gentiment, je me mit à courir. Deux gamins.

J'avais pas vu le couple de vieux tout de suite c'est après avoir fini mon acte que je les voyais. Anya riait doucement, moi j'haussais les épaules en essayant de faire le mec que ça ne touchait pas mais en fait c'était tout le contraire, j'avais été éduqué d'une telle façon qu'on ne devait pas manquer de respect aux gens que ce soit nos proches ou même des inconnus dans la rue et même si la vieille avait l'air de sourire un peu envieuse, le mari avait l'air furieux. "Rigole pas." Dis-je à Anya en secouant la tête seulement la seconde d'après j'éclatais de rire. La situation était cocasse. "Ouais partons rapidement." Je prenais nos clubs, le petit pique qui me tenait la balle alors que ma femme me cherchait? Non mais sérieux fallait la voir douter de moi, je crois pas qu'elle parlait de golf en plus. "Ouais je devrais montrer." Sauf qu'elle courait. "Mais ne fuit pas mon amour." Je lâchais les clubs sur l'herbe en courant derrière elle, rieur, je la poursuivais comme un malade seulement Anya était rapide en course, moi je l'étais pour un homme on va dire et aussi un fumeur, j'avais beau essayé d'arrêter, je crois que mes poumons ne s'en remettait jamais. "Bébé pourquoi tu cours, je veux juste te faire un bisou." Mes yeux trahissaient bien que j'allais me venger si elle s'approchait de moi alors que je trottinais et qu'on se retrouvait tous les deux en dessous d'un saule pleureur. "Promis je répliquerai pas si tu viens à moi, je te ferais juste le bébé qu'on veux tous les deux maintenant, ici."

Je courais rapidement, loin de mon mari, parce que je le connaissais par coeur et je savais qu'il allait se venger, pour la simple et bonne raison que j'enfonçais le couteau dans la plaie en lui rappelant ce qui venait de se passer et que j'insinuais certaine chose. Il me poursuivait comme je l'avais prédis et bien évidemment, je me sentais dans l'obligation d'accélérer. J'ai toujours eu ce "don" courir vite, peut-être grâce à mon métabolisme. Grande et élancés, mes jambes y faisaient pour beaucoup, c'est ce qui me valait toujours la première place en athlétisme d'ailleurs. Cependant, ma jupe volait au grès du vent et de ma vitesse, je tentais de la rabattre contre moi, mais rien à faire, fort heureusement, que c'était Kenny qui me courait après, mais aussi fort heureusement, j'avais mis une petite culotte blanche, sage, petit bateau, le genre de chose dont mon mari raffolait aussi sur ma peau bronzé. Il me parlait de bisous, je tournais la tête pour finalement m'arrêter. Je marchais cependant à reculons lorsqu'il avançait dangereusement jusqu'à me retrouver plaqué contre ce grand arbre dont les branches tombaient autour de nous, comme un grand parasol qui nous protégerait de tout. J'aimais beaucoup ces arbres d'ailleurs. Je suis déjà coincé je te signal et ... voyons un anglais comme toi, prêt à faire ça, ici ? Foutaise ! On pourrait te surprendre cher ami et vu ta réaction de tout à l'heure, je sais que je risque rien lui dis-je avec un grand sourire satisfait, mon petit Kenny, je te connais comme si je t'avais fait. Parole et parole et parole

Bloqué contre le tronc de l'arbre, je posais ma main dessus comme pour l'empêcher de partir. "Pourquoi tu mets toujours en doute." Dis-je en secouant ma tête. "Mais je reconnais que tu as un peu raison, j'étais gêné tout à l'heure, ta vu les yeux de la vieille, limite j'étais un steak mais là tu oublies quelques choses d'important…" Je déposais un baiser dans son cou en me plaquant contre elle. "Deux en fait. Un j'en ai envie, cette tenue est tellement courte que j'ai tout vu en dessous quand tu courais." J'embrassais son cou entre mes phrases, mes mains qui se plaquaient finalement contre sa fine taille. "Et deux je suis heureux. Heureux qu'on veuille tous les deux un bébé et heureux parce qu'il faut s'entrainer tu comprends faut essayer." J'haussais les épaules, au fond je savais qu'à chaque fois ou on se ferait un câlin, je penserais au fait qu'elle veuille un bébé, moi aussi je me la poserais c'est clair et net seulement je savais que je mettrais du temps, que ça ne se ferait pas du jour au lendemain alors est-ce qu'au bout d'un moment elle ne laisserait pas tombé? Ça me faisait peur. Mes mains glissaient sous sa jupe, l'arbre nous cachait c'est vrai mais il n'y avait personne sur ce grand terrain de golf, on serait tranquille puis je voulais lui prouver que j'en étais aussi capable en plus d'en avoir cruellement envie. Je lui faisais glisser le bout de tissus blanc le long de ses jambes descendant jusqu'à être à genou face à elle, j'embrassais sa peau, sa cuisse, prenant son sous-vêtement que je fourrais dans ma poche finalement. "Maintenant la question c'est est-ce que tu te sens capable de faire ça ici?" dis-je en remontant vers elle avec une voix des plus sensuels.

Parce que je te connais lui dis-je avec un sourire fière. Je savais qu'il ne ferait pas ce genre de chose, de peur qu'on puisse me voir dans une situation pareil. Je savais qu'au fond, ce n'était pas lui qu'il voulait protéger mais moi, je savais qu'il n'accepterait pas qu'une autre personne me voit en petite tenue, sauf lui, bien entendu. Cependant, il me prouvait le contraire en me disant qu'il en avait envie, qu'il avait deux points qui faisait qu'il faudrait qu'on fasse ça, ici. Je plaquais mes mains sur ma jupe lorsqu'il me disait qu'on avait tout vu tout à l'heure, comme par automatisme, de peur qu'elle s'envole, mais bien entendu, je lâchais vite prise lorsqu'il déposait des baisers dans mon cou. Ma main se faufilait à l'arrière de sa tête, dans sa chevelure brune, je souriais en le regardant faire et en l'écoutant me louer les louanges de ses envies. T'étais pas obligé de regarder le taquinais-je alors qu'il posait ses mains sur ma taille en me disant qu'il fallait qu'on s'entraine pour le bébé. Je riais, en hochant la tête, lui volant quelques baisers au passage, frissonnante encore des siens dans mon cou, il savait ce que ça me faisait Tu sais, je veux pas que ça devienne une obsession pour toi, je veux dire, bien sûr qu'il va falloir qu'on s'y mette mais j'ai pas envie qu'on le fasse juste pour ça ... je veux pas que ça devienne une contrainte du genre, allez, faut qu'on le fasse, bien que je savais que ça ne risquait pas d'arriver étant donné l'alchimie qu'il y avait entre nous, sans compter l'attirance. Il faisait glisser ma petite culotte en se mettant à genoux devant moi, déposant des baisers sur mes cuisses bronzées. Je laissais ma tête reposer contre le tronc d'arbre, mais je fus surprise lorsqu'il m'enlevait complètement mon sous vêtement en m'obligeant à soulever une jambe après l'autre pour le mettre dans sa poche. Il remontait, charmeur, j'étais pendue à ses lèvres. Tu sais très bien de quoi je suis capable lui dis-je en plantant mon regard dans le sien. J'approchais mes lèvres des siennes, mes mains passait sous son tee-shirt que j'avais retirais de son pantalon pour remonter le long de son dos, tandis que ma langue jouait avec la sienne dans une danse lente et sensuelle. Je me surélevé un peu en tirant légèrement sur ses cheveux, gémissante, pendant ce baiser qui me rendait toute chose. Je me plaquait contre l'arbre, totalement, faisant venir Kenny contre moi, mais c'était sans compter une balle qui venait à nos pieds, une balle, que je n'avais même pas remarqué alors que je tirais sur son tee-shirt pour le lui enlevé mais lorsque je vis le papi de tout à l'heure venir pour la récupérer, je poussais Kenny en faisant les gros yeux, m'essuyant les lèvres, alors qu'elles étaient légèrement boursoufflés à cause de notre baiser. Pffff vous n'avez plus aucune retenue vous les jeunes, prenez vous une chambre, c'est inacceptable, je vais me plaindre au gérant et vous ne remettrez plus un pied ici je regardais le papi, en m'avançant vers lui, un peu débraillé. Peut être que nous ne sommes pas comme les jeunes de votre époque, mais nous somme marié et parent d'une adorable petite fille dis-je en levant ma main, oui, nous avions remis nos alliances hier soir et peut être que c'est vous qui devriez avancer avec votre temps, je suis certaine que votre femme ne demande que ça, ne soyez pas coincé de la braguette, pas à votre âge, faut encore profiter .. je ne disais pas le " temps que vous le pouvez" mais cela voulait bien dire ce que ça voulait dire

"Je vois pas ça comme une obligation." Au moins on était sur la même longueur d'onde, je voulais que ça reste aussi du plaisir bien que l'on ferait surement de temps en temps juste pour avoir notre bébé c'est vrai on devait essayer plus souvent même si de ce coté là nous avions une bonne marge de main d'œuvre vu la fréquence de nos câlins. "Je me trouve juste une bonne excuse pour t'agresser sexuellement ici. Habitue toi à entendre ça d'ailleurs, je compte de la redire encore et encore." Je rigolais un peu alors que tout s'enchainait avec une folle rapidité, nos baisers étaient de plus en plus chaud alors que les mains d'Anya étaient brulante sur ma peau, elle me procurait des nuages de frissons dans tout mon corps, chaque fois qu'elle posait son regard sur moi, qu'elle me touchait, je poussais un soupir d'aise après notre baiser des plus langoureux. Je m'attaquais même à son cou, je crois que je n'aurais jamais pu être si heureux qu'aujourd'hui parce qu'il y avait tout pour me faire croire que la vie était belle, qu'elle méritait d'être vécue. Anya me poussait je ne comprenais pas jusqu'à voir la personne, le vieux de tout à l'heure déjà choqué par ce qu'il avait pu voir sur mon corps. Je m'apprêtais à répliqué quand ma femme le faisait et à merveille, je me retenais même de rire surtout vu la tête qu'il affichait en voyant nos alliances, à croire qu'il pensait qu'on était juste un couple qui faisait des choses hors mariage, en même temps c'est clair qu'on s'était marié vierge tous les deux. "Vous êtes une petite insolente et vous monsieur tenez votre femme." Je faisais des gros yeux, alors oui ça existait encore ce genre de personne qui disait ça, qui réduisait les femmes à un état d'objet. "Bébé…" Je préférais calmer Anya parce que je la connaissais, elle avait la moutarde qui lui montait rapidement au nez après ce genre de phrase. "Excusez-moi?" J'étais choqué. "Tenir ma femme, vous avez cru que c'était quoi un chien? Réviser rapidement vos paroles parce que vieux ou pas vieux, vous serez traiter à la même enseigne que toutes les personnes qui osent insultés ma femme."

Tu me diras, cela aurait été la seule obligation que j'aurais eu envie de faire de bon coeur riais-je en caressant sa joue pour enfin lever mes yeux dans les siens. Je pense que je peux faire avec ... un sourire c'était formé sur le coin de mes lèvres avant que je ne l'embrasse. Mes mains remontaient le long de son dos, sous son tee-shirt afin de le coller davantage contre moi mais aussi de profiter de sa peau sous mes doigt. Sensation que j'affectionne particulièrement, je dois l'avouer. Dans ces moments là, je sentais qu'il était totalement à moi. Qu'il était à moi. Il frissonnait sous le moindre de mes contacts, j'en étais ravie d'ailleurs. Tout deux nous poussions des soupirs d'aise sous la sensualité de ce baiser qui annoncer bien autre chose par la suite tant nous étions en osmose en cet instant, mais bien rapidement, la venue du petit vieux de tout à l'heure me fit réagir. Je poussais Kenny sur le côté, répondant à cet homme qui n'avait aucune politesse. Si moi je suis une insolente, vous êtes un voyeur ! C'est quoi ces façons de faire, de nous suivre ainsi pour regarder nos moindres fait et gestes ? j'allais continuais mais Kenny prenait les devant avec son petit bébé. Puis tenez votre femme ? Sérieusement ?! Je suis pas un chien, je suis pas un animal ! C'est quoi ce machisme à trois francs six sous ?! Kenny s'énervait aussi et je savais ce dont il était capable lorsqu'on me touchait. Je posais ma main sur son poignet pour le tirer en arrière Laisses Kenny, tu vois pas que cet homme est frustré, c'est certain que ça doit pas être la joie tous les jours avec un homme comme ça . Bon courage madame dis-je en faisant une petite révérence à cette femme, ironique cela va s'en dire. Sauf que j'avais complètement oublié que monsieur mon mari m'avait prit ma petite culotte, fort heureusement, il était le seul derrière moi. Je glissais mes doigts entre les siens pour l'entrainer vers la voiturette. Quel con !