KENYA ▬ All my hidden desires Finally came alive

"Génial !" Le cri du cœur, quand je l'a voyais s'accrocher à moi, j'oubliais ce vulgaire article, j'étais content et en plus j'avais le jeu dans ma valise, je l'avais pas enlevé depuis qu'on était arrivé, le laissant dans la petite pochette à l'intérieur car une de mes exigences au chalet c'était d'avoir un console de jeu. Je posais ma femme sur le lit, j'allumais la PS3, mettait le CD et lui donnait une manette tout content, on le voyait parfaitement sur mon visage. "Tu vas jouer Ellie, la petite fille." Dis-je en lui montrant son coté de l'écran, celui qui se coupait en deux. "Tu me suis, tu ne fais pas la guerrière sinon tu vas vite mourir." Je rigolais mais c'était vrai, Ellie était moins forte que mon personnage plus âgé qui s'appelait Joël. On jouait tous les deux, la coopération se passait plutôt bien, je la sauvais, elle me sauvait, on était une très bonne équipe tous les deux, elle était plutôt douée à ça en fait malheureusement elle ne jouerait pas de nouveau avec moi sauf si j'avais une bonne raison. Hum. "ATTENTION !" dis-je en lui montrant un monstre qui venait vers elle, coup d'hache dans la tête, je sauvais ma femme enfin son personnage. On a du jouer une bonne heure tous les deux, assez pour que j'arrête le jeu, je sais qu'elle n'aimait pas trop les jeux vidéos, qu'elle le faisait pour moi donc je n'allais pas forcer le destin même si j'aurais adoré continuer notre quête. "Ta été super, tu m'as caché que tu étais doué."

J'écoutais Kenny me dire qui je devais jouer, je trouvais ça aberrant qu'une petite fille soit un personnage alors qu'il y avait des zombies qui risqués clairement de la bouffer. Hum ... d'accord assise en t'ailleurs sur le bout du lit, à côté de Kenny. Je regardais le jeu, puis la manette, Kenny m'expliquait les boutons, ce que le personnage faisait, le mien n'était pas si fort que ça mais au moins, il était dans le jeu. Il me sauvait souvent, j'avais réussi à le faire moi aussi de temps en temps, en appuyant sur n'import quel bouton ne nous mentons pas. Je sautillais un peu d'ailleurs sur le lit lorsque j'avais peur et que c'était à moi, m'excitant un peu sur la manette. Nous avions joué une heure à ce jeu, j'étais assez heureuse qu'on arrête d'ailleurs, parce qu'à de nombreuse reprise, lorsque j'avais faillis me faire tuer, j'avais fermé les yeux. J'ai plein de talent caché en fait lui dis-je en arquant deux fois de suite les sourcils. en fait, j'ai appuyé n'importe où je riais en me laissant tomber sur le lit, heureusement que l'argile avait séché. Je vais me doucher, continus à jouer si tu veux je déposais un baiser sur sa joue et je me levais pour aller dans la salle de bain et me doucher. Sous l'eau je voyais l'argile tomber, j'en avais vraiment partout en fait. Je souriais en pensant à ça. Une fois ma douche terminé, je me séchais les cheveux avec une petite serviette, m'enroulant dans une autre un peu plus grande pour enfin, aller dans la chambre et mettre ma petite nuisette qu'il m'avait apporté. T'es prêt pour demain ?! lui demandais-je en me laissant tomber à ses côtés, alors qu'il jouait encore.

"Sérieux?" je rigolais. "Bien ta eu beaucoup de chances alors." J'en revenais pas, elle m'avait sauvée plusieurs fois, elle n'était pas morte toutes les deux secondes du coup j'en déduisais qu'elle avait bien comprit les touches, pas qu'elle faisait n'importe quoi. "Ok." Je jouais tout seul, bon c'était pas plus mal, j'aimais bien ce jeu puis cette fois je n'avais pas à vérifier si Alessia trainait dans les parages, c'est vrai qu'avoir des enfants avaient des points négatifs comme là par exemple, le soir je pouvais pas trop jouer non plus soit j'étais crevé, soit Anya voulait qu'on regarde un truc à deux ou alors quand je jouais Alessia sortait de son lit en mode ninja pour squatter ce qui faisait que j'arrêtais tout. Désespoir total je vous le dis. "Hein?" J'étais concentré alors sa question je l'avais à moitié entendu. "Euh ouais toute manière que je sois prêt ou non ton père va arriver avec sa mauvaise humeur habituelle." Je tournais la tête vers Anya en rigolant, ça m'avait détendu de jouer, j'étais plus bloqué sur ce qui avait eu tout à l'heure pour le moment. "D'ailleurs faut qu'on aille se coucher, ils arrivent tôt et on doit aller les chercher c'est ça?" Surement, Alessia allait attendre sa mère comme si Dieu arrivait du coup je préférais qu'on aille les prendre à l'aéroport privé. "Dès qu'elle arrive, on lui parle en anglais, à coup sur ils ont rien écouté, ils lui ont parlés Russe matin, midi et soir même la nuit limite, ils ont du mettre un magnéto avec des trucs en russe." J'avais peur qu'elle soit un peu trop russe, je veux dire que mes racines anglaises ne soient pas trop présentes en elle et ça Anya savait que c'était important à mes yeux.

Oh arrêtes il est pas toujours de mauvaise humeur, il peut être ... sympathique par moment dis-je en haussant une épaule, c'était mon père tout de même et je connaissais pas mal de ses aspects. Je crois qu'ils arrivent directement ici, on peut faire la grasse matinée si on veut je me posais dans la couvertures, tout en prenant une petite gorgée d'eau avant puis Kenny se mettait à râler vis à vis de ma langue. Je levais les yeux au ciel, éteignant la petite lampe qui était de mon côté. Oui Kenny, on lui parlera anglais à longueur de temps, pas de soucis, si ça te fais plaisir je me penchais pour déposer un baiser sur ses lèvres avant de me coucher en laissant tomber ma tête sur mon coussin. Allez couches toi en fait je ne lui laissais pas tellement le choix était donné que je posais ma main sur son torse pour le coucher afin que je puisse me blottir contre lui, posant ma tête sur son torse. Bonne nuit bébé je déposais un baiser sur son pectoraux, prête à m'endormir

Elle râlait pas quand je parlais de sa langue, étrange. J'éteignais la console, à contre cœur j'avais envie de finir ma partie seulement Anya était fatiguée alors je la suivais au lit m'allongeant de force à cause de sa main. "Bonne nuit." Je déposais un baiser sur le sommet de son crâne et on s'endormait. Le soleil n'était pas encore levé que j'ouvrais les yeux. 6h. Anya dormait de son coté du lit, elle avait eu chaud cette nuit, je l'avais bien senti vu comment elle s'était débattue avec la couette sans compter ma chaleur corporelle relativement élevé naturellement. Stressé, je décidais d'enfiler mes vêtements de sport pour aller courir. J'aimais mes beaux-parents enfin disons qu'ils étaient gentils mais l'influence qu'ils avaient sur ma femme me rendait nerveux, j'avais peur, peur qu'elle se rende compte que le bébé qu'on voulait faire était trop tôt ou alors que son père la force à rester encore deux ans à Cambridge. Je met pas en doute qu'Anya était capable de s'imposer, je dis juste que j'ai vu à l'œuvre Igor et sa technique de manipulation, je sais donc à quoi m'en tenir. Je courais une bonne heure et demi, mon nouveau programme de remise en forme depuis que j'étais guéris, j'avais un corps qui s'était musclé parfaitement par la course et la salle de musculation que j'allais inaugurer au country club. Vu l'heure si basse, j'étais à l'aise, je faisais 40 minutes de musculation sur des muscles parfaitement chaud et je remontais en sueur mais plus détendu. "bébé?" appelais-je dans le petit salon avec une voix assez douce des fois qu'elle dorme encore.

Je m'étais rapidement endormie, cependant dans la nuit, j'avais eu tellement chaud que je m'étais défait de Kenny. J'aimais dormir contre lui, mais là, il faisait chaud et avant de nous coucher, nous n'avions pas mit la climatisation. Contrairement à Kenny j'avais dormi un peu plus tard et je ne m'étais pas levé aux aurores comme lui. J'étais à moitié éveillé lorsque je l'entendais m'appeler. Je tournais la tête vers son côté. Il n'était plus là. Je me levais donc encore endormie pour aller le rejoindre dans le petit salon. Je me laissais tomber sur ses genoux en passant mon bras autour de ses épaules. Je le regardais en constatant que monsieur était plein de sueur. J'embrassais tout de même ses lèvres en riant un peu lorsque je posais mon nez contre le sien T'es plein de sueur dis-je amusé, mais je m'en fichais bien à vrai dire, contrairement à beaucoup de mec, il ne puait pas tellement, disons que ça sentait son déodorant de mâle que j'aimais tant. T'es allé faire quoi ? lui demandais-je en levant regard dans le sien, tout en déposant des baiser sur l'arrête de sa mâchoire, puis son cou.

Je prenais la serviette que j'avais laissé exprès à l'entrée de la chambre pour m'essuyer le visage, je ne transpirais pas comme un malade, bien sur que j'étais en sueur mais je ne sentais pas le bouc par contre le déodorant là, on sentait que ça. Anya se levait, à moitié endormi, j'hésitais à la prendre contre moi pour être honnête j'avais pas envie qu'elle soit dégoutée ou qu'elle dise que j'étais dégueulasse car je le savais. Je répondais à son baiser, amusé par son petit rire endormi, mon bébé était superbe au réveil, toute douce, molle, je pouvais en faire ce que je voulais. "Exact." Dis-je en frottant mon nez contre le sien. "Je suis allé courir puis j'ai été à la salle de musculation en bas." Je ne faisais jamais autant de sport seulement quand j'avais des soucis, des soucis que je n'arrivais pas à gérer comme là maintenant je pense qu'en parler à ma femme serait une bonne idée, en fait c'était une bonne idée mais j'étais maladroit dans mes mots, j'avais peur qu'elle prenne mes paroles d'une autre manière. "Je suis stressé." Avouais-je en posant mes fesses sur l'accoudoir du canapé. J'écartais les jambes pour que ma femme reste toujours aussi proche, hors de question qu'elle s'échappe, je la voulais à moi pour les 3 heures qu'il restait. "Je te l'ai déjà dis hier mais j'ai peur de ce que ton père pourra te dire pendant deux jours. Il… Il régit ta vie, notre vie, même si on s'en rend pas toujours compte et ça me stresse parce que je veux que tu sois heureuse, que tu fasses des choses que tu veuilles vraiment." J'avais baissé la tête, signe de faiblesse. "Igor me battra toujours dans un sens, c'est ton père, je le comprends que tu l'écoutes mais je vois par ses réflexions que pour lui on va pas dans le bon sens avec Alessia qu'il essaye de te faire comprendre qu'on a tord." Les cadeaux notamment que j'avais refusé, qu'Anya avait acceptée finalement, la langue russe sans compter mes racines qui se perdaient, les coutumes de mon pays.

J'étais encore toute endormie quand j'allais sur les genoux de mon mari dans cette petite nuisette qu'il avait choisis dans un magasin, du même bleu que mes yeux selon lui. Curieuse, je lui demandais ce qu'il avait fait et je souriais en l'entendant, en laissant mon visage tomber contre son cou, oui, j'avais besoin de me réveiller et même si Kenny était encore collant, je m'en fichais, il s'entait bon l'homme. Cependant, il se levait pour poser ses fesses sur l'accoudoir, ses pieds sur le canapé et écartait les jambes en m'y entrainant entre. J'étais tellement dans les nuages, encore, qu'il pouvait faire ce qu'il voulait. Je posais ma tête contre sa cuisse en l'écoutant, faisant des ronds contre les poils de ses jambes, en faisant attention de ne pas les lui tirer. Il avait peur de la venue de mes parents, surtout celle de mon père. Je ne disais rien, le laissant aller jusqu'au bout de ses pensées. Je n'avais jamais vraiment réalisé que mon père pensait et nous montrait que nous avions tord avec l'éducation de notre fille, j'étais assez surprise de l'entendre sire cela, peut être est-ce à cause de la langue dans laquelle il parlait à la petite, mais en même temps, c'était ma langue natale. J'ai jamais ressentie ça, mais si tu le ressens, je vais faire attention, après si c'est par rapport au russe ... bébé, c'est notre langue, c'est normal que nous la parlions, puis on lui parle beaucoup plus souvent en Anglais, ta mère aussi, ta famille, Manuela, je pense pas qu'elle va avoir des difficultés. c'est vrai c'était idiot, mes parents avaient eu Alessia pendant une semaine comparé à notre quotidien qui était anglais. Je suis heureuse Kenny, te fais pas de soucis sur ce point là , ma vie me plait après quand tu sens qu'il essaye d'imposer sa volonté, dis lui clairement ou dis le moi je déposais un baiser sur sa cuisse, en la serrant contre moi, mes bras l'entourant J'ai l'impression d'être encore dans le lit là dis-je en fermant les yeux, faut vraiment que je me réveille

"Pas forcément par rapport au russe." Dis-je en la regardant. "Par rapport à Noel par exemple, aux cadeaux qu'elle a eu aussi pour son anniversaire, je sais qu'on a de l'argent, on pourrait lui offrir des tonnes de chose seulement j'ai envie qu'elle se dise que si on arrive à ce stade c'est pas parce qu'elle est née dans une famille riche, on bosse pour parvenir à maintenir le bateau à flot, toi comme moi et je veux qu'elle se rende compte plus tard que c'est dur seulement si on commence à lui donner tout, on pourra jamais lui retirer, ça serait injuste." Je regardais ma femme, l'éducation d'Alessia était primordiale pour moi, j'avais été élevé avec des valeurs, de l'argent, de la famille, je voulais qu'elle connaisse ça, qu'elle soit aussi tolérante plus que sa mère. "Je me suis imposé, les cadeaux j'ai dis qu'on en voulait pas mais toi derrière mon dos tu as dis oui." Anya avait du mal à partager la même vision que moi, on venait du même monde, sauf qu'on avait des familles différentes, des coutumes différentes aussi. "Enfin tout ça pour me dire que ça me stresse." Je souriais à son baiser, l'entourant toujours de mes bras fort. "Oh tu vas te réveiller, je vais m'en charger." Je la portais d'un coup seulement ma voix avait beau être mielleuse et coquine quand je fonçais sous la douche d'eau froide je peux vous dire que je n'avais aucunes arrières pensées perverses, juste une blague qui me faisait bien rire vu que même si on était tous les deux sous le jet, je protégeais mon épouse en la mettant pas au centre du pommeau qui faisait couler l'eau. "ça va mieux là?" riais-je en frottant mon nez contre le sien. "Reveillé?"

Je l'écoutais me dire que c'était par rapport à Noël aux valeurs que j'inculquais à notre fille. Oui, je sais bien que j'avais accepté tout ça, mais c'est tout simplement parce que je voulais qu'elle puisse profiter de tout ça, comme moi j'en avais profiter. Je n'allais pas faire vivre ma fille comme une fille de prolétaire alors qu'elle était elle aussi une héritière au trône. Kenny .... tu sais bien qu'on partage pas le même point de vu... et là c'est pas mon père qui parle, c'est moi, je vais pas dire non à Alessia, je vais pas lui acheter du bas de gamme parce que tu veux lui inculquer des valeurs surtout pas à son âge, après en grandissant, si tu veux lui faire tondre la pelouse pour qu'elle est un peu d'argent, tu fais comme tu veux, même si je trouve ça barbare et qu'on a des employé pour ça ... mais si tu trouve ça important, pourquoi pas, sauf qu'à son âge, elle n'a pas encore la valeur de l'argent et sincèrement je veux ce qu'il y a de mieux pour elle, alors si on peut lui donner, pourquoi ne pas le faire ? C'est pas le rêve de tout parent ? Pouvoir gâter leur enfant, leur offrir tout ce qu'il veut sans se serrer la ceinture ? Je peux pas te dire, que je veux pas en faire une pourris gâté, j'ai toujours eu l'habitude d'avoir ce que je voulais en claquant des doigts, j'ai appris à ne jamais regarder le prix et ceci sans travailler oui parce que moi je n'avais jamais travaillé, mise à part avec mon père, mais ce n'était pas vraiment un travail, mes rentes venaient des appartements, des maisons, des villas, que j'avais dans le monde entier, je m'étais construit un petit empire immobilier et ceci parce que j'aimais la finance. je sais que ça serait injuste ... je faisais la moue en fermant les yeux, me cachant contre la cuisse de mon mari tout en lui déposant un baiser dessus. Je veux bien qu'on se fixe des règles, qu'on se dise ce qui est acceptable ou pas et là je faisais des efforts, bien entendu, j'allais être dure en affaire et il le savait. Encore endormie, je lui faisais part de cela et il ne trouvait rien de mieux que de me porter pour me jeter dans la douche, sous l'eau froide. Fort heureusement, il s'était posé sous le pommeau pour que je ne reçoive pas l'eau de plein fouet, m'entourant de ses bras comme pour me protéger. ahahaha dis-je en m'écartant un peu et en lui donnant un coup contre le torse Oui je suis réveillé mais ma nuisette regardes là c'était de la soie, c'était fragile puis tu connais pas le choc thermique, j'aurais pu ... m'électrocuter j'hochais la tête avec de gros yeux avant de lui envoyer de l'eau dessus en riant et en lui versant plein de gel douche sur les épaules, une tonne.