KENYA ❖ sous l'océan la vie est super mieux que sur la terre je te le dis

je viendrais avec toi alors dis-je en passant mes deux mains sur ses bras justement, pour les frotter, comme pour apaiser la future douleur qu'il allait subir. Puis je m'amusais à lui dire que cette initiale n'était pas la sienne, mais c'était sans compter ses mots, sa main qui glissait en disant que tout ceci lui appartenait. Je regardais son geste, il s'arrêtait sur la lettre, au bord de mon dessous. et tu connais le mot de passe pour que les portes s'ouvrent au moins ? je riais en disant cela, mes portes étaient mes jambes mais il avait le mot de passe, il était le mot de passe. Il arrêtait enfin de parler de mon père et de l'éventuel regard qu'il pourrait avoir et bon dieu, ça me faisait du bien, je n'avais pas envie de penser à ce genre de chose, pas de mon paternel. C'était assez ignoble. Lui faisant part aussi, de son petit sourire idiot qu'il avait sur le bout des lèvres, je passais mon pouce sur ses lèvres lorsqu'il me disait que c'était parce qu'il était tout simplement heureux. ça me rend heureuse alors dis-je doucement, en penchant la tête sur le côté. Qu'est ce que j'.... je passais ma main sur mon visage, mais je n'eu pas le temps de finir ma phrase que ses lèvres envahissaient les miennes. Je n'avais finalement rien, il voulait juste m'embrasser. De la tendresse, de l'amour, ce baiser était un soulagement unique. Je penchais la tête sur le coté au grès de ses mouvements, pour ne pas entrer en collision avec son nez (aa) mais peu à peu nous manquions tout deux de souffle. Je me reculais un peu, les paupières clauses , un sourire sur la bouche En fait je n'avais rien affirmais-je le plus simplement du monde. Ses mains toujours présente sur mon dos nu, je me laissais complètement faire par cet homme, nous étions au bord du lit, à l'horizontale alors qu'il se posait sur moi. Je posais mes mains rapidement sur le haut de son dos, les faisant ensuite glisser le long de ce dernier pour se poser contre ses reins tout en accueillant de nouveau ses lèvres. J'avais besoin de ça moi aussi. Soulevant son tee-shirt, je le faisais glisser jusqu'à arriver à ses bras, il se redressait, moi aussi légèrement pour le faire passer par dessus sa tête avant de me laissait de nouveau tomber en arrière, mes mains sur ses cuisses, le regard dans le sien, prête à le laisser faire tout ce qu'il voulait.