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Cela ne faisait que la deuxième fois que vous vous croisiez, mais il n'était pas difficile de supposer qu'il avait du avoir un passé assez...Spécial. Que tout n'a surement pas du être rose et beau, et qu'il a dû traverser quelques épreuves qui l'on fait devenir comme il était maintenant. Qui l'on rendu secret, peu bavard, renfermé. Ou peut-être encore il n'était comme ça que face à toi et à toutes les personnes venant l'accoster hasardeusement dans une boîte de nuit et trahissant un peu sa confiance plus tard : peut-être qu'avec d'autres personnes, peut-être qu'en compagnie de jolies jeunes femmes, il se laissait aller et était tout sourire et confidences. Peut-être. Tu souriais doucement quand il admettait que ses amies l'avaient sauvé, et c'était surement le genre de personnes que tout le monde devrait avoir dans son entourage si jamais une merde nous arrivait dessus, c'était certain. « Ouais, devoir vivre dans la rue ça a l'air de craindre. » Surtout lors du climat hivernale. Tu le laissais donc prendre sa douche, et lorsque tu revenais il t'expliquait être en galère de vêtements. Apparemment il semblait dépassé par ton hypothèse de corde et non, ce n'était rien de si intelligent ou utile... Il avait juste trempé ses habits. Tu retournais faire de nouvelles recherches, et t'hésitais entre te sentir mal ou éclater déjà de rire aux vues des seules choses que tu avais réussi à trouver. T'avais un peu peur de sa réaction, et c'est pour cela que tu le poussais vite dans la douche avant même qu'il discerne bien ce que tu avais ramené – et de toute manière, il n'avait pas le choix pour le coup. « Non ? Non ! » Il commençait alors qu'il te toisait du regard et tu levais tes mains en l'air, en signe que rien n'était de ta faute et que tu avais fait ton maximum pour le coup. Il s'énervait, et il retournait plus loin, là où tu ne le voyais plus. Tu attendais un long moment qu'il prenne sa décision, triturant le bout de ta veste de tes petits doigts, avant de l'entendre une nouvelle fois parler à travers le mur. « Je le jure devant dieu, si tu te fous de ma gueule je te tue ! » Et meeeerde, pourquoi il disait ça ? Ne savait-il pas que lorsqu'on commençait à te prévenir de ce genre de choses ça te donnait encore plus envie de rire, même si la situation ne s'y prêtait pas ? Il sortait ensuite et tu mordais férocement ta lèvre, ne pouvant même pas cacher le grand sourire qui étirait ta bouche, et les quelques rires qui arrivaient à s'y échapper. Putain, il avait choisi le bikini. « Sexyyyy ! Je t'engagerais bien pour Alerte à Malibu là ! » Tu riais, admirant un instant la vu devant toi. Ouaaaaais, le bas était définitivement trop petit. Tu levais ensuite tes yeux en l'air. « Va étendre tes habits, avec un peu de chance ils sécheront rapidement. » Vu dans l'état qu'ils étaient t'étais pas certains, mais peut-être que s'il les mettait sous les sèche-mains ça accélérait le processus.

   
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Il m’arrive parfois de me demander ce qu’il me serait arrivé sans l’aide de ces deux petits bouts de femme qui ignoraient tout de moi. N’oublions pas qu’elles ont pris un risque de taille le jour où Briony a décidé de me proposer de venir crécher chez sa copine et elle. Imaginez si je n’avais pas été Graham mais un mec complètement dérangé et avide de sang ? Elles n’auraient rien pu faire contre moi et j’aurais très bien pu monter un plan machiavélique pour les assassiner au moment où elles s’y attendaient le moins. Par chance, je suis on ne peut plus normal, je porte peut-être cette maudite étiquette qui me colle à la peau, le taulard qui a assassiné son père. Il est tellement facile de résumer une histoire sans même se rendre compte qu’on passe à côté des détails essentiels, ceux qui te font passer d’assassin sanguinaire à petit mec normal qui n’a pas eu de chance et qui a protégé sa famille. Vous vous souvenez de notre conversation sur les stéréotypes quelques mois en arrière ? En voilà un nouvel exemple ! « Ouais, devoir vivre dans la rue ça a l'air de craindre. » Malheureusement oui, le danger nous guette en permanence et personne, personne ne vient vous aider en cas de pépin, pire que la jungle, pour rester en vie il faut adopter le principe du chacun pour soi. Jouer en individuel et ne jamais se retourner pour faire preuve d’une solidarité qui se retournera contre toi à un moment ou un autre. C’est exactement le même principe que la prison. « Tu n’as pas idée ! » Malgré tout, avoir été SDF n’est qu’un détail sans importance, je n’en garde pas de séquelles, ce fut tellement agréable comparé à la prison et à ce que j’ai dû endurer là-bas. Comme si je n’étais déjà pas assez ridicule comme ça depuis tout à l’heure, me voilà obligé de choisir entre un bikini minuscule et un maillot de bain une pièce qui risquerait de me remonter les bourses jusqu’au nombril. Le choix n’est pourtant pas évident, entre le risque que tout se barre et le maillot une pièce qui me fera risquer une castration dans les règles de l’art. Entre les deux, j’opte pour le risque d’exhibitionnisme et j’enfile donc le bas de bikini, pas vraiment fier de moi, gêné, je décide de le mettre en garde immédiatement. S’il ose se moquer, ma vengeance sera terrible ! Autant vous dire que je vais devoir prendre mes propos au pied de la lettre puisqu’il explose de rire lorsque je retire la serviette, boudiné, moulé et vraiment trop à l’étroit là-dedans. Je le fusille du regard et m’empresse de remettre la maudite serviette autour de ma taille pour cacher la misère. « Sexyyyy ! Je t'engagerais bien pour Alerte à Malibu là ! » Au moins tout cela oui, le pire, c’est qu’il parvient à me décrocher un petit sourire plein d’autodérision. « Je refuse de le faire sans un bikini rouge et une planche rouge ! » Je me dériderai presque, mais vraiment presque, oubliant ce qu’il s’est passé la dernière fois que je me suis laissé aller avec Nemo. « Va étendre tes habits, avec un peu de chance ils sécheront rapidement. » Bonne idée, il n’est pas tout le temps con finalement. Je m’exécute sagement et glisse une main le long de mes fesses lorsque je me penche et que je sens le peu de tissu se recentrer au niveau de ma raie des fesses. Merde, je ne pourrais vraiment pas porter de strings moi ! « Et n’en profite pas hein ! » Je le préviens pendant que j’attrape mes vêtements que je vais exposer le plus en hauteur possible dans l’espoir de les faire sécher un petit peu. « Bon, et maintenant on fait quoi ? »
   
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Bizarrement, il continuait de te parler, et c'était plutôt une bonne chose. Même si ses phrases étaient courtes ou que subitement il décide de te parler en mono-syllabes, au moins, il ne coupait pas court à toutes formes de communication avec toi. Il t'en disait même un peu plus dès qu'il parlait d'emmerdes, et tu prenais tout ce qu'il décidait de te donner, tout ce dont il décidait que tu valais de savoir. Tu avais tout de même du mal à t'imaginer qu'un mec de ton âge, s'il n'avait pas eu des amis sur qui comptait, aurait pu se retrouver seul, complètement démuni, et à la rue. « T'avais pas de la famille pour t'aider ? » Tu demandais, assez naïvement puisque tu ne connaissais rien de ce côté-là de sa vie, tout simplement parce que tu savais que toi, tu pouvais très certainement compter sur tes parents si quelque chose du genre venait à t'arriver. Le seul problème étant que tes parents insistaient beaucoup sur le fait qu'ils étaient là pour toi, qu'avec l'argent et le royaume tu ne serais jamais dans le besoin... Et tu te retrouvais comme un con à leur faire des faveurs et à devenir marié à quelqu'un que tu n'aimais pas. Chouette. Tu lui donnais ensuite les deux maillots, et tu te demandais bien pour lequel il allait finir par craquer. T'as pourtant vraiment cherché s'il n'y avait pas mieux et plus masculin, histoire qu'il ne te tue pas sur place, mais tu n'avais réellement rien trouvé d'autre qui aurait pu lui convenir. Tu ne l'avais pas encore admirer que tu sentais que ça allait te faire mourir de rire, tout simplement car il n'avait rien de féminin dans ses courbes ou ses attributs, et que tu te demandais bien comment ça allait ressortir sur sa musculature impressionnante. Quand il ressortait des vestiaires et retirait sa serviette, c'est là que c'est parti. T'as du réussir à te contenir deux secondes avant de lâcher prise et de rigoler à t'en faire pleurer les yeux. C'était juste tellement décalé, bizarre, inédit. Et il semblait tellement awkward et mal à l'aise que ça redoublait encore tes rires. Et tant pis pour la mort qu'il t'avait promise. Tu ne résistais pas à te moquer un peu, à lui dire à quel point c'était très sexy et qu'il était prêt pour Alerte à Malibu, et t'étais quelque peu rassuré en voyant ses lèvres frémir un peu en un sourire amusé. « Diva. Tu répondais en riant, avant de mordre ta lèvre. Je suis déçu quand même... T'as pas mis le haut. » Bah oui, c'est que t'avais imaginé le truc en entier, s'il était Pamela Anderson là, on verrait ses seins. Tu lui donnais l'idée de commencer de suite à sécher ses habits s'il voulait avoir la chance de bientôt se rechanger, et tu haussais un petit sourcil curieux quand il se péchant et que le trop peu de tissu prenait place autre part. « Et n'en profite pas hein ! » Il te reprenait de suite et tu riais, posant tes mains sur tes yeux pour respecter ses volonté. « J'oserai pas, ta vertue est bien gardée avec moi ! » Tu t'exclamais en le laissant faire, avant qu'il reprenne la parole quelques minutes après. Tu ouvrais légèrement tes doigts pour l'observer, avant de baisser tes mains quand tu le voyais dans aucune position compromettante. « Tu serais pas très bon niveau survit toi, dans koh-lanta t'es plutôt le mec qui passe son temps à patauger dans l'eau et à parfaire son bronzage hein ? » Tu te moquais gentiment, avant de t'asseoir un peu plus loin contre un mur, posant ton sac devant toi et l'ouvrant. « Heureusement que je suis allé pêcher pour nous ! » Tu disais tout fièrement avant de sortir les quelques bouteilles et nourritures pris dans les distributeurs.

   
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Je ne sais pas trop pourquoi je lui raconte tout cela, ce n’est pas dans mes habitudes d’en dire autant sur moi, sur mes problèmes. Je suis quelqu’un de très mystérieux en temps normal, pas parce que je cherche à me donner un genre, mais parce que je suis réellement mal à l’aise à l’idée de me dévoiler et de donner matière à me faire du mal. Je n’y peux rien, il s’agit surtout d’un mécanisme de défense, de protection parce que je suis très sensible aux trahisons et que j’ai toujours du mal à digérer les coups de pute. Je devrais me méfier de Némo et pourtant, en dépit de tout ce qu’il s’est passé la dernière fois que nous avons passé du temps ensemble, je me retrouve à parler encore et encore et à lui en dévoiler bien trop à mon goût. « T'avais pas de la famille pour t'aider ? » Il a naturellement posé cette question très logique, le pauvre n’a pas idée de ce qu’il vient de me demander, du truc dans lequel il s’apprête à mettre les pieds. Je ne dirais rien de ce qu’il s’est passé, il n’empêche que je me crispe immédiatement, bien droit, cherchant une solution pour en dire un minimum sans dépasser les limites de ce que je me sens d’attaque à raconter. « Ma mère m’a tourné le dos et mon père, il est mort ! » Je l’ai tué, mais ça, il n’est pas obligé de le savoir. Au milieu de l’accumulation de bêtises, je me retrouve dans une mauvaise posture, obligé de choisir entre un bikini et un maillot de bain une pièce, de quoi me faire douter très sérieusement de l’adage qui dit que le ridicule ne tue pas. Non parce que j’ai vraiment honte avec ce bas de bikini qui me moule et me donne l’impression que si je respire trop fort je vais tout faire exploser. La ficelle manque plusieurs fois de se défaire sur les côtés, si bien que je me retrouve à la sceller d’un triple nœud qui devrait me garantir un poil de sécurité pour les minutes à venir. Nemo n’en rate pas une miette, il se bidonne en contemplant le massacre à en pleurer de rire et me fait passer par toutes les émotions. Si bien que je termine plus amusé que complexé, même si, malgré tout, je ne me sens pas du tout à l’aise en sachant que tout pourrait foutre le camp au moindre geste brusque. « Diva. » J’acquiesce fièrement. « On ne fait pas les choses à moitié monsieur. » Sinon c’est du ni fait ni à faire. « Je suis déçu quand même... T'as pas mis le haut. » Le haut du bikini ? Je ne suis pas certain de pouvoir l’enfiler d’ailleurs, je n’ai pas les seins pour remplir tout cela mais mes pecs doivent quand même offrir de la consistance. « Un jour peut-être, dans une autre vie ! » Le minet a une nouvelle idée très intéressante, celle de faire sécher mes vêtements en hauteur pour pouvoir abandonner le plus vite possible ma nouvelle tenue. Ouais, mais qu’il n’en profite pas pour se rincer l’œil ! « J'oserai pas, ta vertue est bien gardée avec moi ! » Je pouffe de rire si grossièrement qu’il doit avoir compris que je me moque de lui. « Au moins tout cela, oui ! » J’attrape mes fringues que je parviens non sans éprouver quelques difficultés à accrocher en hauteur après les avoir essoré. Je suis retombé bien bas, forcé de faire sécher des fringues dégueulasses faute de mieux. « Tu serais pas très bon niveau survit toi, dans koh-lanta t'es plutôt le mec qui passe son temps à patauger dans l'eau et à parfaire son bronzage hein ? » Il se moque en quittant les vestiaires pour aller s’installer contre un mur, un peu plus loin. Je le suis bêtement, histoire de pouvoir lui répondre. « Je suis le sportif qui gagne les épreuves ! » Et qui se préserve le reste du temps pour pouvoir être au top du top le jour des épreuves. Une chance que je connaisse la référence à Koh Lanta, j’en ai entendu parler dans un documentaire sur les jeux d’aventures l’autre soir, pour fêter la nouvelle saison de Survivor. « Heureusement que je suis allé pêcher pour nous ! » Il sort de son sac pas mal de nourriture et mon air coincé disparait immédiatement au profit d’une mine plus enjouée. « Je t’aime toi ! » Je lui gratte le crâne avec mon poing et saute sur un paquet de chips que j’ouvre pour immédiatement glisser une chips entre mes lèvres. « Oh putain ce que c’est bon ! » Je gémis, aux anges. « T’en veux une ? »
   
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S'il avait tant d'emmerdes, même si ce n'était que de simples – et pourtant très chiants – problèmes d'argents, tu te demandais légitimement où était sa famille pour l'aider. Certes, tu savais que pour certains le sujet était tabou, qu'ils s'étaient retrouvés très jeunes orphelins ou qu'ils n'avaient jamais vraiment eu beaucoup de familles, ou n'étaient pas proches d'eux. Mais dans ton esprit, ces gens étaient assez minoritaires par rapport à la quantité de personnes que tu croisais chaque jour par exemple, et même si on ne s'entendait pas toujours bien avec nos parents, il y avait quelques fois un frère, une soeur, une tante ou un cousin qui pourrait aider à aller mieux. Mais il semblait que chez Graham, cela soit encore différent. « Mes condoléances... » Tu laissais échapper alors qu'il t'avouait que sa mère lui avait tourné le dos et que son père était mort. T'osais pas dire plus de choses que ça, puisque vous n'étiez pas des meilleurs amis et que c'était un sujet relativement important à en croire ce qu'il s'était passé. Ça te rendait juste quand même un peu triste, quand tu l'imaginais tout seul, dans un appartement trop grand, lors des fêtes de fin d'années. Heureusement, l'ambiance changeait au fil du temps, et il semblait devenir un peu moins coincé, un peu moins sur le qui vive, tant que tu gardais tes mains et tes réflexions pour toi-même. T'arrivais même à lui tirer une petite expression amusée, malgré le fait que tu te moquais ouvertement de l'allure qu'il avait devant toi quand il t'avait demandé de ne faire aucun commentaire. « Désolé, j'ai trouvé qu'une pâle copie blanche à poids rouge, mais je t'achèterai totalement ton bikini tout rouge une fois qu'on s'ra sorti de là. » Tu le rassurais – oui oui, rassurais, tu sentais à quel point il en avait envie de ce parfait bikini version Alerte à Malibu – avant de lui avouer que tu étais seulement un peu déçu qu'il n'ai même pas pris le temps de mettre le haut qui allait avec. Et oui, tant qu'à faire, toi tu voulais tout voir pour t'éclater de rire, ni plus, ni moins. Il ne semblait malheureusement pas vraiment enclin à cette idée, puisqu'il te disait qu'un jour il le ferait peut-être... Ou dans une autre vie. En gros, que t'étais pas prêt de le voir dans tout l'accoutrement. Tu le laissais ensuite mettre ses habits à sécher, allant même jusqu'à te cacher la vue de tes mains pour lui montrer que tu ne le reluquais pas quand il se penchait, et il rirait d'une manière totalement incrédule quand tu parlais de sa vertue. Tu faisais ensuite une allusion à Koh-lanta puisqu'il avait l'air d'être complètement paumé sur ce que vous deviez faire pour vous occuper ou simplement ne pas mourir de faim et de soif pendant la nuit. Tu levais tes yeux au ciel quand il répliquait qu'il était le sportif qui gagnait les épreuves. « Dommage pour toi, y a pas d'épreuves ici, t'aurais mieux fait d'apprendre à faire cuire du riz. » Tu répondais en lui faisant un clin d'oeil, avant de t'installer à terre où c'était sec, et de sortir tes petits trésors. Il semblait bien plus heureux et enthousiaste quand il voyait la nourriture – et tu te remerciais toi-même pour garder pleins de pièces de partout dans ton sac. Tu reniflais un petit rire quand il disait t'aimer, répondant par un petit « Ooooh mais je le sais. » parce que t'étais carrément awesome oui, et tu éclatais de rire tout en faisant une grimace quand il t'ébouriffait les cheveux avec son poing. Tu le regardais s'ouvrir un paquet de chips, comme un mec qui avait pas bouffé depuis 10 ans. « Oh putain ce que c'est bon ! » Non mais il était con lui aussi. Comment pouvait-il toujours te demander d'agir normalement près de lui, sans avances, sans tout gâcher, si il se mettait à gémir comme ça devant toi ? Pour une putain de chips en plus ! Comment t'étais censé ne pas t'imaginer quels sons il ferait dans d'autres situations bien plus intéressantes ? Et merde, il valait mieux pas que ton esprit comme à trop divaguer si tu ne voulais pas avoir une maladroite érection qui le ferait encore plus fuir. Pense à la faim dans le monde Nemo... « Évidement, c'est quand même moi qui les ai achetées. » Tu riais quand il te demandait si tu en voulais une, et tu venais en piquer une entre ses doigts juste pour l'emmerder. T'ouvrais ensuite un paquet d'oreo, parce que mélanger le sucré et salé t'était indifférent quand tu avais la dalle. Tu poussais un petit grognement triste quand tu avalais un biscuit. « Comment gâcher en deux minutes les heures de sports fait auparavant... »

   
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Pourquoi parler de sa vie est-il si difficile ? Difficile et inconfortable surtout, parce qu’il s’agit bien plus d’une gêne et d’une retenue que d’une réelle difficulté à m’exprimer sur mon passé. Je n’ai pas forcément envie de retourner le couteau dans la plaie mais je ne m’en sens pas incapable pour autant. Je n’ai tout simplement pas pour objectif de faire fuir tous les autres, mon passé est plutôt effrayant, du genre bien moche, digne du scénario d’un bon petit thriller hollywoodien. Je ferais un bon petit anti-héros hanté par ses propres erreurs, n’êtes-vous pas d’accord ? Plutôt que d’en parler pendant des heures, et puisque Nemo opte pour la retenue, pour une fois, en s’arrêtant à ces dernières petites informations qu’il aura la satisfaction d’être le seul à connaitre parmi mes rencontres les plus récentes. Avec le temps je parviens à faire abstraction de ce qu’il s’est passé la dernière fois, fait assez impressionnant pour être souligné… Surtout que ma tolérance aux tentatives homosexuelles à mon égard est très limitée, inexistante dirais-je même. Il n’est pas question d’homophobie, voir deux hommes l’un avec l’autre me dégouterait dans ce cas, non, je garde certaines séquelles assez énormes de mon passage en prison… De la cruauté des hommes aux testicules bien lourdes, les cons sont vraiment en chien, il ne s’agit pas d’un stéréotype. Pas dans la prison où j’ai été enfermé en tout cas. Je baisse ma garde à nouveau et mon sourire ne tarde plus à pointer le bout de son nez à nouveau, je suis bien plus facile à supporter ainsi même si cette facette plus boudeuse, sombre et mystérieuse fait toujours son petit effet et attire l’attention. Je crois attirer suffisamment l’attention à cette heure-ci, vêtu d’une culotte de bikini trop courte pour mes attributs, à deux doigts d’exploser là-dessous, je suis à l’étroit et j’étouffe. Pour le plus grand plaisir du jeune garçon ? Fort possible, il n’en rate pas une miette et se moque de moi dans les règles de l’art. Je rentre dans son jeu, d’humeur à me dérider un petit peu, nous n’aurons pas droit à un remake d’Alerte à Malibu ce soir, je n’ai pas les accessoires nécessaires voyez-vous, et comme le dit si bien Sidney Prescott dans Scream 4, la règle fondamentale du remake c’est de ne pas merder avec l’original. Bon, la série Alerte à Malibu n’est pas d’une qualité remarquable, difficile de faire plus kitch. « Désolé, j'ai trouvé qu'une pâle copie blanche à poids rouge, mais je t'achèterai totalement ton bikini tout rouge une fois qu'on s'ra sorti de là. » Il tente de me rassurer, est-il vraiment en train de se lancer dans une telle entreprise ? Que je sache sur quel pied danser et surtout, surtout, que je puisse me préparer psychologiquement à courir sur le sable chaud d’une plage en maillot de bain une pièce rouge. « Ouais, bah je demande à voir ça ! » Je m’exclame, un poil joueur et à deux doigts de la provocation. Enfiler le haut de ce bikini, cela dit, relève du défi, il ne parviendra pas à me convaincre. Il l’a surement compris puisqu’il lâche l’affaire assez rapidement, presque trop pour lui. Mes quelques références étrangères ne me seront finalement pas si inutiles puisque Nemo me parle de Koh Lanta et que je comprends qu’il fait allusion à ce jeu d’aventure diffusé en France, et dans d’autres pays sous un autre nom. « Dommage pour toi, y a pas d'épreuves ici, t'aurais mieux fait d'apprendre à faire cuire du riz. » Mes connaissances restent assez limitées, je ne comprends donc pas trop où il veut en venir avec le riz. « Okay… Euh… Qui s’en fout ? » Je questionne à haute voix avant de lever la main fièrement, ma petite boutade, vieille comme le monde, permet avec autant d’intensité qu’auparavant à faire son petit effet. En parlant de riz, Nemo a profité de mon besoin d’intimité pour grappiller des vivres, des boissons gazeuses et des petits coupes faim très gras… Suffisant pour me combler, je n’ai pas besoin de plus pour être heureux et m’esclaffer en lui confessant mon amour pour lui. Je devrais peut-être me méfier cela dit, ne pas lui donner trop de fausses idées. Une chips entre les lèvres et déjà je m’abandonne pour pousser un soupir à la limite de l’orgasme, cette chips est bien meilleure qu’une fellation bien exécutée, je vous le dis ! Peut-être parce que je n’ai pas avalé un seul aliment solide depuis une dizaine d’heures et que, appelons un chat, un chat, je crève la dalle ! Par politesse, je lui propose de se servir, qu’il puisse partager cet orgasme culinaire, que l’on soit deux à savourer cet instant unique. « Évidement, c'est quand même moi qui les ai achetées. » Le pauvre, il a surement dépensé une fortune pour nous rapporter autant de produits. « T’es con, un bon coup d’épaule sur le distributeur et nous aurions eu autant de petites denrées à se mettre sous la dent, et gratuitement ! » Il ouvre un paquet d’Oreo, merde, mon second pêché mignon. Sans me démonter je me penche pour capturer un petit gâteau entre mes dents parfaitement aiguisées, inutile d’utiliser mes mains quand ma bouche peut faire tout le travail… Bon, à ce niveau de son corps, je me serais retrouvé dans une drôle de position s’il avait bougé ses bras au dernier moment, mais tout va bien, je peux jouir de mon petit instant de bonheur sucré tranquillement et innocemment. « Comment gâcher en deux minutes les heures de sports fait auparavant... » Hélas, difficile à accepter après autant d’heures de travail ! « Et dire que je me suis entrainé doublement aujourd’hui ! Quel gâchis ! »
   
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Y avait quelque chose en lui. Tu ne savais pas quoi, et ça t'irritait, parce que ça te donnait envie de t'accrocher encore un peu, et d'en savoir plus. Et ce n'était pas bon pour toi, puisqu'il désirait très certainement te voir le moins possible après ta dernière connerie, mais il n'empêche que de ton côté cette petite chose te faisait continuer à avoir envie de l'emmerder maintenant que vos chemins s'étaient une nouvelle fois croisés, en tentant cette fois-ci d'être un peu plus intelligent et respectueux de lui. Tu le rassurais sur le bikini, pas vraiment la copie conforme de ceux de la série, mais tu lui promettais avec passion que tu irais lui en acheter un mieux une fois sorti de ce stade, et c'est presque s'il en avait vraiment envie vu sa réponse. Tu souriais en coin, avant de commencer à parler un peu de koh-lanta, parce que chez toi c'était sacré cette émission. Mais il finissait par être dur, levant sa main tout fier de sa connerie, et tu lui lançais ton plus beau doigt d'honneur, parce que là c'était juste de la méchanceté gratuite. T'étais intéressant, c'était pas de ta faute s'il comprenait pas tout le temps où tu voulais en venir. C'était surement ça le truc : t'étais tellement trop intelligent, t'avais tellement trop de références en tête, qu'il y comprenait rien parce qu'il n'était pas au même niveau que toi. Mais bon, t'allais pas lui en vouloir, quand vous serez en couple – non tu rêvais pas, chuuuut ! - tu l'obligeras à se retaper toutes les saisons de koh-lanta. « Connard va. » Tu grognais tel l'homme des cavernes que tu pouvais être, avant de déposer les vivres que tu avais bravement récolté. Il ne se faisait pas prier pour commencer à ouvrir quelques paquets de chips – et à lâcher des bruits indécents pour ton membre sensible – et tu riais un peu quand il te proposait de te servir, comme si t'allais pas le faire alors que finalement, c'était ta propre bouffe. Et non mais il se foutait de ta gueule là ou bien ? Il osait te dire que tu n'aurais pas du utiliser ton argent, que tu aurais pu le faire avec tes incroyables muscles, et en plus il te rabaissait presque, te disant que vous en auriez même eu plus. Connaaaaard va, t'avais voulu être sympatoche et voilà que monsieur la diva n'était même pas satisfait. « Scuse-moi Hulk, la prochaine fois t'iras nous sauver puisque tu t'y connais aussi bien. » Tu lui lâchais en le regardant, avant de crocher dans une poignée de chips par provocation, parce qu'il avait fait quoi lui, pour ne pas que vous mouriez de soif et de faim ? Rien. Monsieur pensait à se doucher plutôt qu'à vous sauver, il pensait à ses propres besoins plutôt qu'aux votre, comme s'il avait besoin de sentir bon pour aller draguer des nanas. Vous étiez enfermés, a part toi, y avait personne a draguer. Il commençait à son tour à bouffer des oreos comme un bizarre, en mode yeeeeep sans les mains ! Et tu prenais conscience de ton côté que limite t'avais fait de la natation pour rien. « Comme si t'en avais besoin... » Non parce que vous avez vu comment il était construit le mec ? T'avais peut-être pas aussi bien observé y a quelques mois, à cause de la nuit qui assombrissait ses traits, mais là tu pouvais mater autant que tu voulais, et tu ne t'en cachais presque pas – lèèèègerement, juste pour ne pas le faire se sentir trop mal à l'aise face à ton regard de braise. Et il était facile de voir qu'un ou trois cheat meal ne lui ferait pas perdre toutes ses années de travail, et qu'en mangeant une cinquantaine de chips il ne gâcherait rien du tout. C'en était presque rageant.

   
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« Connard va. » Un sourire satisfait se dessine sur mes lèvres, j’ai réussi mon coup, je n’attendais pas mieux de lui. « Monsieur connard, je préfère ! » Je rajoute même, en lui adressant un clin d’œil provocateur. Je le taquine, je lui laisse penser que j’ai baissé la garde. Quelque part, c’est un peu le cas, mais je ne suis pas stupide pour autant, je saurai comment le réprimander s’il tente quoique ce soit, car oui, cette fois je le verrai venir à dix kilomètres. Je me suis fait avoir une fois et je ne me fais jamais baiser deux fois, pas quand le rebondissement m’a marqué comme ce fut le cas avec Némo. Le pauvre a dépensé une petite fortune pour nous offrir de quoi nous sustenter quelques heures, avant le lever du soleil et l’arrivée du vigile que je recevrai dans les règles de l’art ! Histoire qu’il fasse attention la prochaine fois. Avec un simple coup d’épaule, il est certain que nous aurions eu le double de ressources pour passer la nuit, mais bon, tant pis, ce n’est pas une trentaine de dollars qui feront la différence pour lui n’est-ce pas… Si les rôles étaient inversés, ce serait différent. Nous n’avons pas du tout le même rapport à l’argent. « Scuse-moi Hulk, la prochaine fois t'iras nous sauver puisque tu t'y connais aussi bien. » J’aime le faire enrager, ce passe-temps est on ne peut plus jouissif, je ne m’en lasse pas. « Que d’ironie dis-donc ! Tu manques de finesse, mais ce n’est pas nouveau. » Référence assumée à ses méthodes de drague pas du tout efficaces bien entendu. Toute cette bouffe, grasse à souhait, ne va pas aider mon corps à rester tel qu’il est, mes pauvres abdominaux n’ont pas fini d’en pâtir… Heureusement que je suis acharné sur le sport ! « Comme si t'en avais besoin... » Mes yeux se baladent, un coup sur mon camarade et un autre instant sur moi. « Ces bébés que tu vois-là, ils sont pire qu’une femme avide d’argent, ils se barrent à la première petite maladresse. »
   
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Il était content en plus. Tu l'insultais – bon y avait pas toute la haine qu'on pouvait y retrouver derrière tes mots, t'étais plus vexé qu'haineux surement – mais lui, c'était comme s'il recevait le plus beau cadeau de Noël. Eh beh, fallait le dire qu'il était si facile à conquérir, tu lui aurais balancé des insultes bien plus tôt ! Et peut-être même qu'il n'aurait pas rejeté ton précédent baiser des mois auparavant... Aaaaaaah quel beau début d'histoire d'amour romantique tu tenais-là. « Monsieur-qui-se-croit-malin, j'préfère. » Tu répondais, lui lançant le même petit sourire fier de sa connerie, même si c'était pas ta meilleure réplique. Oseeeef. Par contre, bizarrement, il rechignait plus sur les vivres que tu avais apporté. Comme si t'aurais pu faire mieux, comme si t'étais pas exceptionnel comme mec de déjà avoir pensé à cela. On avait pas tous des muscles qui nous poussait sous la peau dès qu'on avait la dalle, pas comme lui. Tu lui faisais bien remarquer que la prochaine fois que vous vous retrouverez dans un merdier pareil il ira lui-même vous chercher la bouffe, puisqu'il était si intelligent et si fort et si incroyable et si malin... Tu verrais s'il agirait autant qu'il parlait. Tu lâchais tout de même un rire quand il osait dire que tu manquais de finesse, et tu levais délicatement un sourcil, le regardant. « Moi ? Moi je manque de finesse ? C'est la meilleure celle-là ! Moi je manque de finesse ? J'suis le mec le plus fin et plus subtil du pays. J'vois vraiment pas d'quoi tu parles Pamela. » Ouais bah... Fallait bien que tu trouves un truc pour pas qu'il se mette trop à l'aise à critiquer ton humour, et quoi de mieux que de lui trouver un petit surnom accompagnant sa tenue ? Tu commençais à ton tour de manger quelques chips, puis un oreo puis tu ouvrais le petit napolitain et tu commençais à décortiquer chaque étage pour manger en dernier celui avec le glaçage blanc et les copeau de chocolat. Hmmmm c'était trop bon. Tu faillis t'étouffer tout de même quand il comparait ses muscles à des femmes vénales, et tu toussais pour pas mourir, entre deux sursaut de rire. « C'est si mauvais que ça ? Si on ne peut même plus compter sur son propre corps et muscles, quelle tristesse. » C'était censé être plus loyal qu'une meuf non ?

   
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Je détiens la palme lorsqu’il est question d’agacer gentiment, ou non d’ailleurs, les autres en ne rentrant pas dans leur jeu. Beaucoup peuvent être surpris par cette attitude puisque j’ai également cette mauvaise habitude de toujours foncer dans le tas à la première contrariété. En vérité, mon humeur influence grandement mes réactions, soit je vais faire preuve d’une certaine intelligence en me contentant de répondre en utilisant l’ironie, soit je vais bêtement écouter mon impulsivité et aligner les coups de boule. Notre situation est différente cela dit, il n’y a aucune réelle animosité, juste une envie de plaisanter. « Monsieur-qui-se-croit-malin, j'préfère. » Il a le même sourire que moi précédemment. Dommage que je sois sur le point de briser sa joie en rebondissant aussi sec. « C’est tout moi, félicitations pour ce vaillant portrait on ne peut plus authentique. » Mes lèvres acidulées se rétractent pour laisser apparaitre mes parfaites rangées de dents, alignées grâce à un magicien nommé orthodontiste. Que je suis fier de ma bêtise, il m’en faut pour être heureux vous l’aurez compris. J’en viens à critiquer son manque de finesse qui, après seulement quelques heures en sa compagnie sur deux soirées lui fait cruellement défaut. « Moi ? Moi je manque de finesse ? C'est la meilleure celle-là ! Moi je manque de finesse ? J'suis le mec le plus fin et plus subtil du pays. J'vois vraiment pas d'quoi tu parles Pamela. » Pamela ? Mon sourcil commence à se redresser, interrogatif lorsque je percute qu’il s’agit de mon pseudo du soir, moi, Pamela Anderson, actrice culte d’Alerte à Malibu. Il me faut un petit peu de temps pour cogiter parfois. « Ta finesse n’est que physique, mais c’est déjà bien, on ne peut pas tout avoir ! » Je me lancerai bien dans une mission remplumage, j’ai peur de le casser en le bousculant un peu trop fort. Il attaque un napolitain et je le regarde faire, silencieusement, il décortique, étage par étage. « Manque de finesse et aptitude à la psychopathie ! Je prends note. » Je lui tire la langue, en parlant de folie, me voilà en train de comparer mes muscles à une femme vénale, de quoi faire rire Nemo sans même avoir fait exprès. « C'est si mauvais que ça ? Si on ne peut même plus compter sur son propre corps et muscles, quelle tristesse. » J’acquiesce, révolté ou presque. « Exactement ! Bon, les muscles restent plus longtemps cela dit, à croire qu’eux au moins, ils ont une âme ! » Je passerai presque pour un macho non ? Le pire, c’est que je respecte les femmes et que je ne pense pas un mot de ce que je dis… Quoique, les femmes vénales sont assez insupportables !
   
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