Je ne suis plus le même ♣ Maxea

Je ne suis plus le même

J'espérais quand même qu'elle ait passé une bonne soirée, du moins un bon début de soirée, malgré que le choix du film n'ait pas été parfait. Mais bon je l'avais laissé choisir et je ne lui en veux pas. Au moins ça m'a permis de l'embrasser une nouvelle fois. Comment voulez vous que je n'apprécie pas cette soirée ? Je viens à lui ouvrir la porte de la voiture, pour ensuite me mettre au volant et démarrer la voiture. Bon heureusement je n'habite pas loin, on sera vite chez moi. " Je suis sûr que t'as fais exprès, pour que je puisse te prendre dans mes bras et t'embrasser. " Je la taquine en rigolant légèrement, alors que finalement, je me gare rapidement devant l'immeuble que j'habite, et je viens à l'aider à sortir de la voiture. Elle attrape ma main, ne la quittant pas, alors je la laissais faire. Elle fait une remarque sur mes voisins et je secoue la tête. " Je crois que la dernière fille qu'ils ont vu depuis Janvier, c'est mon ex, qui m'a quitté il y a plus d'un mois. " Au moins ça lui prouve que je n'ai pas eu d'autres aventures pendant que j'étais avec Cora, et ni après. Non pourtant j'aurais pu, mais je ne pouvais pas coucher pour coucher. Je n'y arrivais tout simplement pas. J'ouvre la porte principal pour ensuite me diriger vers mon appartement. J'habite au rez de chaussé et c'est plutôt cool quand même. J'ouvre alors ma porte d'entrée et la fait entrer dedans. " Et voilà... "

" Bien entendu que je l'ai fais exprès... Je suis une petite manipulatrice, tu le savais pas hein ? " Je ris légèrement. Je pense que si j'avais été face à lui, je me serais jetée sur lui pour lui montrer comme je suis manipulatrice. Mais c'est pas moi ça. Spontannée mais pas manipulatrice, il ne faut pas abuser non plus. Quand j'apprends qu'il n'a ramené personne chez lui depuis qu'il n'est plus avec son ex petite amie, un léger sourire se dessine sur mon visage. Il ne le voit pas et ce n'est pas plus mal. " Tu vas finir par te faire virer de chez les Mather à cette allure, fais gaffe " Je le taquine et lui adresse un léger sourire. Quand il lâche ma main pour ouvrir la porte, je reste derrière lui et glisse mes yeux sur son postérieur. Je me perds dans mes pensées et sursaute quand il me parle. Je rentre dans l'appartement et regarde autour de moi. " Sympa dis moi " J'avance un peu et pose mon sac et ma veste sur la première chaise que je trouve. J'ai toujours aussi chaud. Et il n'y a pas de vent ici. Je me tourne vers le jeune homme en souriant. J'attrape sa main et l'attire vers moi. Je passe rapidement mes bras autour de son cou et souris. " Je crois que je vais être incapable de te résister tu sais. Tu pourrais y mettre du tien " Lançais-je avant de l'embrasser. Ouai, il pourrait me parler de son ex, me dire qu'il a pas envie d'aller plus loin et tout ce qui va avec. Je sais pas moi, faire quelque chose pour que je garde mes sous vêtements sur moi.

Je ne suis plus le même

Je secoue la tête à sa question, pour ensuite rigoler légèrement. Andrea ? Manipulatrice ? J'ai vraiment du mal à y croire quand même. Elle est loin d'être manipulatrice quand même. Je lui avoue que depuis le départ de mon ex, je n'avais ramené aucune fille chez moi, enfin il y a eu juste Talya, qui m'a sauvé la vie quand j'ai fais mon coma, mais ça compte pas. Talya c'est une bonne amie maintenant, elle compte énormément pour moi désormais. Elle m'a quand même sauvé la vie. " J'avoue... plus d'alcool, plus de fête et plus de sexe... Je crois que je rentre plus dans les critères. " Je ne peux m'empêcher de rigoler quand même, alors que je l'emmène devant chez moi. J'ouvre la porte, pour pouvoir la faire entrer à l'intérieur. Je la laisse entrer, retirant mes chaussures dans l'entrée, fermant la porte derrière moi à clef. Je la regarde venir vers moi, passant ses bras autour de ma nuque. Je crois bien que je vais y prendre goût si elle continue quand même. J'entoure sa taille de mes bras." Mais j'ai pas envie que tu résistes peut être... " Je lui fais un grand sourire angélique en la regardant, alors que je prolonge son baiser. Et là il est encore plus intense que celui échangé au cinéma. Je le rends plus langoureux, parce que j'en meurs d'envie pour le coup.

Maxime 2.0. J'aime cette version saine du jeune homme. Je sais pas si les raisons de son changement sont aussi louables ou pas. J'ai envie de savoir pourquoi son ex s'est barrée, pourquoi il a arrêté de prendre des merdes et tout ce qui va avec. Bien sûr que j'en ai envie mais je ne me résous pas à lui demander quoi que ce soit. Je veux pas le brusquer, je veux pas le bloquer. J'ai clairement pas envie qu'il s'énerve et me jette dehors comme une merde. Je sais pas s'il en est capable mais le doute me retiens. Peut être un autre jour dans une autre vie. Non, je sais que je finirais par lui poser douze milles questions, je me connais, je suis trop curieuse et j'ai envie d'avoir toutes les cartes en main. Je réfléchis trop. Je suis au milieu de son salon et j'ai juste envie de coucher avec lui, ça sert à rien que je me prenne la tête avec tout ça. Chaque chose en son temps. Peut être que ce soir, c'est moi qui vais lui briser le coeur. Cette pensée me fait légèrement rire. J'espère qu'il ne croit pas que je me moque de lui en tout cas. " Comment ça ? C'est toi le manipulateur en fait ! " Lançais-je avant de l'embrasser. Mes bras sont autour de sa nuque mais je le regrette presque. Je m'approche encore plus. Des petits pas pour être au plus proche de lui. Je laisse glisser mes mains avant de les placer dans son dos et de tirer sur sa chemise. Je glisse mes mains en dessous du tissu et soupire contre ses lèvres. " Je te jure que je te déteste " Cinq ans sans problèmes, je le croise et c'est foutu. Je mords légèrement sa lèvre inférieur avant de l'embrasser à nouveau et de passer mes mains sur son torse. Mes doigts glissent sur son corps parfait. Je déboutonne un bouton, puis deux et m'arrête nette. Il est parfait et moi je ne suis qu'une pauvre boiteuse avec une cicatrice sur la poitrine. Il l'a déjà vu mais le reste, non.. Je le regarde droit dans les yeux, les mains toujours sur sa chemise, prête à faire sauter le troisième bouton. Mais je sais pas si c'est l'idée du siècle...

Je ne suis plus le même

On est dans mon salon et ses bras sont autour de ma nuque, et j'apprécie ça quand même, alors que j'entoure sa taille, l'attirant un peu contre moi. Oui je suis un peu manipulateur. Mais bon le but de cette soirée n'était en aucun cas de coucher avec elle. Je n'ai pas envie qu'elle puisse croire ça quand même. " Jo'serais jamais être manipulateur... " Répondis-je en souriant amusé, alors qu'elle finissait par m'embrasser une nouvelle fois et je rendais ce baiser un peu plus intense quand même, la faisant se rapprocher de moi. Mes mains restaient sur sa taille, alors que je sentais ses mains se glisser en dessus de ma chemise. Je frissonne en sentant ce contact pour le coup. " Pourtant c'est pas ce que tu laisses paraître. " Je souris contre ses lèvres, alors qu'elle déboutonne deux boutons de ma chemise, mais elle s'arrête juste avant de déboutonner le troisième. Je fronce les sourcils en la regardant. Qu'est ce qui se passe ? J'attrape ses mains dans les miennes, gardant cette proximité avec elle. " Qu'est ce qui se passe ? Tu sais, je veux pas te forcer à faire quoi que se soit... " On peut toujours s'arrêter de toute manière je ne lui en voudrais pas. Et j'avoue que je ne saurais pas trop comment m'y prendre avec sa prothèse, elle la garde ou pas ? Je ne sais pas. C'est peut être ça qui la bloque, non ? " C'est ta jambe le problème ? C'est pas un problème... " Ca fait partie d'elle maintenant. Bon après évidemment si elle enlève la prothèse, ça me fera forcément tout drôle.

Non, c'est clairement pas ce que je laisse transparaître. Pourtant, je le déteste vraiment. Je ne supporte pas cet effet hypnotisant qu'il a sur moi. Pourquoi je ne suis pas foutue de lui résister, on m'explique ? Il y a des tas de mecs à Harvard. Mais non, il faut que je me retrouve encore dans ses bras. Tout me chamboule et je fais taire mes pensées. J'ai rien besoin de savoir, j'ai pas besoin de réfléchir ni de m'auto flageller, j'ai juste besoin de profiter. Et je veux profiter, je veux arrêter de tout ressasser à chaque fois. Il existe des tas d'abrutis et d'écervelés sur cette planète, pourquoi je n'en suis pas une en ce moment même. Il prend mes mains dans les siennes et je le regarde. Je crois que je viens de tout faire capoter... Et qu'il a beau dire qu'il ne veut pas me forcer, ça le saoulerait qu'on en reste pas. Si c'est pas le cas bah moi... Ca me saoulerait grave. En tout cas, il est pas idiot parce qu'il comprend tout de suite. Je soupire légèrement et baisse les yeux. Ca se voit pas quand on y pense... " C'est ce que tu dis Max... " Je soupire légèrement et me recule d'un pas ou deux. " Je veux pas que tu crois que je suis un monstre ou je sais pas quoi " Je glisse mes mains dans mon dos et ouvre la fermeture de ma robe que je laisse glisser le long de mon corps. Je ferme les yeux en faisant tout ça. " Je préfère que tu vois jusqu'où ça va maintenant, que tu sois sûre, plutôt que d'être coupée en plein milieu " C'est pas moche comme ça et je vais la garder ça c'est clair.

Je ne suis plus le même

J'avoue que je suis surpris qu'Andrea s'arête, alors qu'elle s'attaquait au troisième bouton de ma chemise. J'ai fais quelque chose de pas bien, ou alors elle change d'avis ? Bon ça ne me gênerais pas, je pourrais comprendre. Mais pour le coup, j'ai vraiment envie d'aller jusqu'au bout, parce que je sais qu'avec Andrea ça ne sera pas coucher pour coucher. Je comprends éventuellement que c'est peut être à cause de sa jambe, et même si je me pose des questions, si elle va la garder ou pas, je m'en fiche. C'est pas sa jambe qui va m'exister et me donner envie. C'est elle toute entière. " Arrête de dire ça Andrea. " C'est moi le monstre. C'est moi qui ai couché avec elle juste pour un défi. J'ai été sa première expérience sexuelle, et c'était juste un défi. C'est moi le monstre au fond et je sais pas ce qu'elle fait avec moi en ce moment. Elle viens à faire glisser sa robe, et je la découvre en sous vêtement. Je me mords la lèvres inférieure en la regardant. Je baisse le regard pour regarder sa jambe, et même si ça fait bizarre, je m'en fiche, c'esst pas ça qui va me couper. " Je serais pas coupé en plein milieu... J'en ai toujours envie... " Je m'approche alors de la jeune femme pour pouvoir retourner l'embrasser tendrement, alors que je passe mes mains sur sa taille, caressant sa peau délicatement. Je mets fin au baiser, restant malgré tout contre ses lèvres. " Tu sais enroulé ta jambe autour de moi ? Ou sinon je peux te porter comme une princesse... " Je souris en la regardant droit dans les yeux, alors que je reprends le baiser où je l'ai coupé, le rendant quand même plus intense, alors que je me colle entièrement contre elle.

Quand je me mets à nue devant Maxime, je ferme les yeux et ne préfère pas regarder sa réaction. S'il est dégoûté, j'ai pas envie de le voir, vraiment. Je reste donc comme ça et attend le verdict. Je sais très bien que ça pourrait lui faire peur, c'est pas commun. J'ai une belle cicatrice sur tout le haut du corps et maintenant ça. Je crois qu'il n'y a pas plu mutilé que moi comme fille sur le campus, vraiment. Je retiens mon souffle jusqu'à ce quej'entende sa voix. Merci dieu, il ne décide pas de détaler et de me laisser là, comme une idiote qui n'a plus que ses yeux pour pleurer. Je crois que ça m'aurait tué une nouvelle fois... Mais cette fois, j'aurais pas pu lui en vouloir. J'aurais pu en vouloir à personnes, sauf à ces connards qui ont posé une bombe à Harvard il y a vingt sept mois. Je le sens s'approcher de moi mais garde les yeux fermés. Je ne les rouvre qu'une fois qu'il se détache de moi. J'ai passé mes mains sur sa nuque, dans des cheveux pour le garder près de moi. Je souris à sa question. Il fait attention à tout, une nouvelle fois. " Je suis plutôt souple t'inquiète pas " Ses lèvres sont rapidement sur les miennes et je me colle encore plus à lui. Je lève une jambe pour ôter ma chaussure, puis la deuxième. Je prends mon temps parce que je n'ai pas envie de tomber ou autre. Ce serait le comble que je dérape et le morde quand même. Mes chaussures sont à un endroit, la robe à un autre, tout est normal. Je souris contre les lèvres de Maxime alors que je me détache légèrement. Je termine de déboutonner sa chemise et la fais glisser sur long de ses bras. Je la lance un loin ; elle atterrit sur une chaise. Un pure coup de bol. " On peut laisser le bordel que j'ai foutu, pas de coloc qui vont débarquer ? " Parce que si quelqu'un doit débarquer... Je préfère autant avoir ma robs sous la main quoi. Je le laisse passer ses mains sous mes fesses et l'encercle de mes jambes. La droite n'est pas vraiment au dessus de ses fesses mais bon, on fait comme on peut, je ne peux pas faire ce que je veux de ma jambe, ça en l'occurrence... Je me perds dans ses lèvres, dans ses baisers... Je n'imagine pas après.

Je ne suis plus le même

Jamais j'aurais cru ça d'Andrea pour le coup quand même. Elle enlève sa robe devant moi comme ça, juste parce qu'elle pense que ça pourrait me repousser, mais c'est pas le cas. Malgré tout, elle reste attirante et charmante quand même. Je viens à m'approcher d'elle pour pouvoir l'embrasser, alors que je pose mes mains sur sa taille, pour pouvoir l'attirer contre moi. Je la questionne alors si elle arriverait à passer sa jambe droite autour de ma taille. Bah oui je connais pas comment que ça marche quand même, je préfère demander, plutôt que de la porter, et qu'au final, je lui fasse plus mal que prévu. Je rigole à sa réponse, alors que je l'embrasse une nouvelle fois, faisant balader mes mains sur son corps encore recouvert de ses sous vêtement. Je la tiens lorsqu'elle retire ses chaussures, je ne voudrais pas qu'elle bascule quand même. C'est hors de question. Finalement, ma chemise finit par me quitter, et je frissonne en sentant ses mains sur mon torse. " Pas de coloc... " Oui enfin je l'ai mis à la porte. Donc aucun risque qu'il revienne, j'avais été clair là dessus. Je passe alors mes mains sur ses fesses, pour pouvoir la porter, et je la maintiens contre moi, reprenant le baiser où je l'avais laissé, alors que j'avançais dans le but de trouver ma chambre. Une fois à l'intérieur, je referme la porte derrière fois, et je m'approche de mon, pour pouvoir délicatement la poser dessus. Je la regarde en me mordant la lèvre inférieure. " T'es magnifique.. " Je veux qu'elle arrête de se dire qu'elle est un monstre. Je ne vais pas directement l'embrasser. Je pose mes lèvres sur sa jambe gauche. Autant qu'elle sente quand même ce que je fais. Je dépose de nombreux baisers dessus, tout en remontant petit à petit, passant ensuite sur le bas de ventre, son nombril, remontant ensuite sur sa poitrine, son cou, pour enfin finir par l'embrasser, alors que je m'allonge entre ses jambes.

Je n'arrive pas à y croire. Qu'est-ce qui m'a pris de me déshabiller comme ça ? J'ai perdu la tête ou bien ? Mais je veux qu'il soit au courant, qu'il le voit de ses propres yeux avant qu'on aille plus loin. C'est le moment de fuir. C'est maintenant ou jamais. Mais il ne bouge pas. Enfin si, mais pour se rapprocher de moi et ça me fait chaud au cœur, ça me fait du bien, un bien fou. La sensation de son jeans contre mes jambes me fait légèrement sourire. Il ne va pas rester longtemps celui là, c'est clair et net. Je ne suis pas une rapide, j'ai pas envie de bacler quoi que ce soit mais bon... J'ai déjà fais tout le travail pour lui. Allongée sur le lit, je souris légèrement et m'appuie sur mes coudes pour le regarder et lui sourire légèrement. " C'est mal de mentir " Je ne me trouve pas magnifique... Mais quand je sens ses baisers sur ma jambe, je ferme les yeux et plus il monte et plus je sens mon corps se détendre. Ma tête bascule en arrière lorsqu'il arrive à ma poitrine. Mon dieu. Qu'est-ce que c'est agréable. Je souris légèrement quand il monte encore plus et me laisse aller. Je pose mon dos contre la couette toute fraîche et l'embrasse. Chaque baiser est un peu plus fort, un peu plus intense. Je glisse mes jambes au niveau de son postérieur et pose mes mains sur son dos. Il est musclé, vraiment, et j'adore ça. Mais qu'est-ce que je n'aime pas chez ce mec, ça ira plus vite je crois ! Mes mains passent devant et même si mon bassin est collé au sien, j'arrive à glisser mes mains à déboutonner son pantalon et a en faire descendre la braguette. Si ça avait été un pantalon assez souple, j'aurais pu me débrouiller toute seule mais là, ça va être un peu plus dure. Je glisse mes mains sous son jeans et pose mes mains sur ses fesses. Je ris légèrement et le regarde. " T'as pris du muscle dis moi ! " Bah quoi, c'est vrai.