C'est le jour 1, celui qu'on retient, celui qui s'efface quand tu me remplaces ❥ JOAM

Je secouais la tête de gauche à droite et levais les bras comme une innocente... Je n'étais pas du tout possessive, juste un petit peu mais alors vraiment un tout petit peu comme je lui montrais vraiment en indiquant un espace minime entre mon pouce et mon index. Mais je fus vite ramener vers la salle malgré l'idée qu'il gardait en tête pour moi. Je ne voyais pas duuuuu tout à quoi il faisait allusion. Entrant à nouveau dans le club, je me dirigeais vers le bar pour enchainer mon troisième shoots, se lâcher cela faisait du bien, qu'il en fasse de même. Je l'y encourageais alors qu'il avait un verre devant lui. Aller Priam, tout va bien se passer tu es entre de bonnes mains. « Ca ne me dérange aucunement de t'imaginer me porter jusqu'à la Cabot ! Mais pour me porter il faut que tu tiennes sur tes jambes alors je crois que je vais boire ça aussi ! » Je pris le verre devant lui finalement et op. Et je l'entrainais à nouveau vers la piste. Oui j'étais légèrement déchainée, surement un visage qu'il ne me connaissait pas mais à la CH on sait aussi faire la fête.
 

Des coups de blues, des coups de fil, tout recommencera au printemps sauf les amours indélébiles

Forcément avec Joey j'ai toujours pleins d'idée derrière la tête, mais évidemment je rigole. Elle va finir par croire que je ne pense qu'à ça, alors que ce n'est pas le cas, pas du tout même. Au final, je l'entraine de nouveau dans la boîte de nuit, mais à peine à l'intérieur que je l'attire contre moi pour pouvoir l'embrasser encore et encore. Finalement on retourne au bar, où Joey boit son troisième shot. Et bien là je découvre une toute autre partie de la jeune femme, et je suis assez surpris quand même. " Quoi que je t'emmenerais plus à la Quincy. " Je lui souris, alors qu'elle prend mon verre pour le boire. Bon et bien tant pis, ce n'est pas grave, de toute façon, je ne comptais pas le boire. J'avais eu assez de gueule de bois au Spring Break pour recommencer. Elle m'entraine une nouvelle fois sur la piste, et je danse avec elle, du mieux que je peux, me lâchant quand même. Mais je jetais de temps en temps des coups d'oeil autour pour être sûr qu'aucun homme ne s'approche d'elle. Finalement, je décide de me rapprocher d'elle, et de me coller à elle, pour continuer de danser comme ça.

« Parce que je suis trop sage quand on est à la cabot ? Ou parce que t'as peur de tomber à nouveau sur un papier te révélant mes petits secrets ? » Notre nuit à la CH avait été sage parce que je ne voulais pas aller trop vite, celle à la Quincy l'avait beaucoup moins été parce que la tension était palpable et que nous restions tout de même deux êtres humains normalement constitués qui ne peuvent pas résister indéfiniment. Alors que j'enfilais l'autre shoot, il me regarda avec un petit air surpris, une fois sur la piste alors qu'il se collait à moi et se laissait aller pour mon plus grand plaisir je lui glissais à l'oreille : « Arrête de me regarder avec ce petit air qui veut dire : Joey je vais te ramener à la confrérie en roulant si tu continues et on pourra rien faire, j'ai un peu d'entrainement. » Je vins déposer un baiser dans son cou et je remontais doucement pour l'embrasser, pas un petit baiser timide non, un baiser langoureux que je prenais plaisir à partager avec lui. 

Des coups de blues, des coups de fil, tout recommencera au printemps sauf les amours indélébiles

" Pour que je puisse te séquestrer et t'empêcher de partir de ma chambre. " Répondis-je en souriant amusé. Non et puis sait-on jamais qu'elle soit prise d'une certaine envie comme la dernière. Alors la Quincy ça sera mieux. J'avoue que je suis quand même assez surpris qu'elle vienne à boire comme ça, alors que moi je serais déjà bourré. Il me suffira de deux shot pour l'être j'en suis sûr. Au final, on allait danser, et j'essayais vraiment de me lâcher, en venant danser contre la jeune femme, et je souris à ses paroles. Je n'ai pas le temps de répondre, que je sens ses baisers dans mon cou et je me mords la lèvre inférieure, alors qu'elle vient ensuite à m'embrasser langoureusement, et je viens à la prolonger de la même manière, passant une main contre sa taille pour la presser contre moi. " Si tu continue comme ça, je te ramène de suite dans ma chambre oui... " Je suis un mec après tout, et résister quand elle m'embrasse comme ça c'est dur.

J'arquais un sourcil en l'entendant me parler de séquestration. J'aimais plutôt l'idée même si le mot faisait peur à souhait. Il pouvait me séquestrer où il voulait quand il voulait, je n'y opposerais aucune résistance... Et puis je savais très bien pourquoi il me séquestrerait alors l'idée n'était vraiment pas répugnante... D'ailleurs sous mes baisers dans le cou il vint à avouer que si je continuais il allait écourter notre soirée à danser préférant aller faire danser nos corps dans une autre position. Je me reculais doucement le regardant avec le sourire jusqu'aux oreilles. « J'ai déjà bien dansé et profité tu sais... Alors je crois que ça peut être raisonnable de me ramener de suite si tu ne veux pas avoir à me porter et me voir m'endormir paisiblement quand tu me poseras dans ton lit... » J'avais un petit coté diabolique ? Non pas du tout voyons... Enfin il fallait avouer que j'avais envie de me retrouver à nouveau contre lui entre ses draps.

Des coups de blues, des coups de fil, tout recommencera au printemps sauf les amours indélébiles

La séquestrer c'est une bonne idée pour pouvoir la garder sans cesse avec moi, non ? Oui je pense que je vais réfléchir à ça sérieusement. Quoi que je sais très bien que je n'ai pas besoin de faire ça pour pouvoir l'avoir avec moi. Elle l'a dit elle même, je suis plus qu'un ami pour elle aussi, et j'avoue que ça fait plaisir de savoir. Mais bon là, la façon qu'elle a de m'embrasser, me donne vraiment envie de rentrer pour pouvoir la ramener dans ma chambre et surtout dans mon lit, pour pouvoir faire danser nos corps l'un contre l'autre. " Hors de question que tu dormes une fois que je t'aurais déposé sur mon lit. " Répondis-je en rigolant légèrement.Ca fait un peu pervers ce que je venais de dire ? Oui carrément, mais bon le shot de tout à l'heure me monte doucement à la tête, et je n'avais pas bu que ça. Je l'attrape par la main pour pouvoir l'attirer avec moi en dehors de la boîte de nuit. L'air frais, ça fait du bien quand même.

En quelques minutes je passe d'un endroit où il fait chaud et où tout le monde danse les uns contre les autres à un endroit calme et frais : la rue, pour rentrer à la confrérie, enfin pas la mienne mais bien la sienne, celle des quincys et retrouver son lit. J'avais envie de lui montrer que j'étais bel et bien réveillée, assez pour ne pas m'endormir dès que nous aurions franchi la porte de la QH. Alors que je marchais tranquillement, j'accrochais ma main au premier lampadaire qui passait par là et me mis à tourner autour tout en bougeant toujours au son de la musique de la boite de nuit qu'on entendait en fond. J'étais morte de rire, prendre un lampadaire pour une barre de pole dance, il n'y avait qu'après quelques verres que j'étais capable de faire cela. Je fis mon petit manège encore quelques minutes levant la jambe par ci par là sans trop le faire haut non plus puis revins m'accrocher au bras de Priam toujours écroulée. Je levais les yeux vers lui et lui demandais en rigolant : « Je suis sûre que tu te demandes si tu ne vas pas abandonner la Joey guillerette dans un fossé et fuir... »

Des coups de blues, des coups de fil, tout recommencera au printemps sauf les amours indélébiles

Nous voilà désormais dehors, et ça faisait du bien quand même un peu d'air frais, quand on est compressé à l'intérieur. Finalement on prend la route pour la QUincy House, mais elle s'arrête pour commencer à danser contre un lampadaire. Euuuh, elle fait quoi là ? Elle danse comme si c'était une pole dance, et pour le coup, même si je suis surpris, ça me fait bien rire, et je ne peux m'empêcher de rigoler en la voyant faire. Elle me surprendra toujours je crois. Jamais je l'aurais cru de ça quand même. Finalement elle revient vers moi, alors que je calmais doucement mes rire. " Non du tout, je me disais que la Joey guillerette pourrait faire la même chose, mais contre moi, à la confrérie bien sûr. " Répondis-je avec un grand sourire d'ange sur le visage. Manque plus que l'auréole et ça serait parfait.

« La Joey guillerette fera surement tout ce que tu voudras quand on sera enfin que toi et moi. » Je lui jetais un regard sur le côté avant de me mettre à rire. Mon dieu, il allait me prendre pour une folle ou partir en courant, parce que oui même s'il appréciait ce côté, cela devait surement le surprendre. J'étais en effet la parfaite petite étudiante assez bien disciplinée, celle qu'on entend pas trop, pas une chaudière de service, mais je savais me dévergonder et avoir un autre visage... Celui de la fille qui se fiche vraiment du regard des autres et qui fait ce qu'elle veut pour s'amuser, s'éclater et vivre sa vie à fond sans avoir de regret. Mais pour la phrase qui me brulait les lèvres maintenant, ce n'était pas la Joey guillerette qui parlait mais bien la Joey un peu bourrée. « Je serais toi j'accélèrerais un peu le pas, si tu ne veux pas que je commence à t'enlever tes vêtements un par un jusqu'à ce qu'on soit à la Quincy House ! » Le comble, c'était moi qui trainait pour m'amuser un peu et maintenant je lui disais cela... la soirée promettait.

Des coups de blues, des coups de fil, tout recommencera au printemps sauf les amours indélébiles

" Faut pas me dire ça... " Répondis-je en rigolant légèrement. J'ai l'alcool qui m'ait bien monté en tête, mais concernant Joey c'est bien pire pour le coup, et ça me fait vraiment rire de la voir comme ça. Ca montre bien qu'elle veut profiter de la vie, tant que je suis dedans, moi tout me va. On prend la route de la QUincy House, mais elle traine un peu et je souris à ses paroles, me demandant de me dépêcher ? C'est elle qui se traine depuis tout à l'heure. " C'est à toi d'accélérer Mademoiselle. " Répondis-je en rigolant légèrement, alors que je m'abaisse légèrement pour pouvoir passer mon bras sous ses jambes et la porter comme une princesse. Elle veut que j'accélère, alors c'est la seule solution. Mais bon, même si elle n'est pas lourde, je ne suis pas l'homme le plus musclé au monde. Je fais quand même plusieurs mètres en l'ayant dans les bras, pour ensuite la reposer au sol. " Faut quand même que je garde un peu de force pour tout à l'heure... " Et je l'attire contre moi pour pouvoir l'embrasser fouguesement.