Maxym & Ricardo Drink you awaymise en page par .Stay Away
Qu'en est il de cette couche de protection qu'il avait formé toute sa vie autour de son cœur ? Cette couche qui semblait impénétrable, faisant de Ricardo un être qui ne risquerait pas de souffrir à cause d'une fille. Plus jamais. Il fallait croire que Maxym avait eu les bons outils pour se charger de cette protection. Qu'elle avait su, avec le temps, comment s'y prendre pour la faire s'envoler. Son cœur était maintenant à découvert, prêt à subir les attaques. Il est fou d'elle et le lui fait savoir. Enfin, elle le savait très bien, mais le dire était autre chose. En plus, ça permettait de dessiner un beau sourire sur ses lèvres. Il est tellement fou d'elle qu'il en devient jaloux, un peu parano. Il ne veut pas la perdre au profit d'un autre, surtout pas. Ça le briserait, vraiment. Ric n'avait aucune intention de devenir un fantôme ou seulement l'ombre de lui-même. Maxym avait certes détruit la protection autour de son cœur, mais aujourd'hui elle avait la responsabilité de devoir le tenir entre ses mains. Il la serre contre lui, comme s'il avait peur qu'elle lui échappe. Non, elle n'ira nul part Ricardo, tu n'as pas à t'en faire. Le brunet a tellement couru après le bonheur qu'il ne veut pas le laisser s'envoler. "Je parie que tu n'as plus du tout envie de te baigner, maintenant". Il sourit, ne la quittant pas des yeux une seule seconde, même lorsqu'elle plonge son corps en entier dans l'eau. Elle revient à la surface pour lui faire face, et le sourire regagne les lèvre du brésilien. "J'ai jamais eu envie de me baigner.." répondit-il doucement. C'est elle qui l'avait entraîné là-dedans après tout. Lui, il l'avait simplement suivit. Ça, il était prêt à la suivre n'importe où. Il avait beau avoir chaud en sa présence et s'être un peu habitué à l'eau, il ressentit tout de même quelques frissons. Ce sentiment avait d'ailleurs l'air d'être partagé. Le problème maintenant, c'est qu'ils n'avaient pas de serviette, et qu'ils allaient forcément devoir se les cailler sur tout le chemin jusqu'à l'hôtel. Ricardo commença alors à marcher, la belle brune toujours dans ses bras. Il sortit de l'eau en sa compagnie, ressentant plus son poids maintenant que l'eau n'était plus là pour le soutenir. Mais elle restait plutôt légère, ce qui était pratique. Le brunet finit par la reposer au sol, près de ses habits. "Et tu rigolais pour la pneumonie y'a dix minutes.." dit-il, tremblant. Ouai, il allait peut-être pas y échapper en fait. Il mit son jean avec difficulté. Quant aux chaussettes, c'était même pas la peine d'essayer. Le brunet s'approcha de la belle McAllister pour glisser sa chemise sur ses épaules. C'était pas grand chose, mais ça permettrait un peu d'éponger l'eau sur sa peau. "On remonte ?" Comme si elle allait vouloir rester ici, de toute façon. Ils étaient un peu fous, mais il y avait des limites tout de même.
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Se penche, jusqu'à ce que son corps retrouve la fraîcheur de l'eau. Partagée entre l'envie de profiter de la mer dont elle se nourrit de la quiétude qu'elle provoque, et ce besoin de ne pas quitter Ricardo. Ils n'avaient pas autant de moments ensemble qu'elle le souhaiterait, mais il fallait bien apprendre à le voir de loin, parfois. Seulement, quand Maxym avait l'occasion de l'avoir pour elle seule, il n'était pas question de s'en séparer. Chaque moment passé loin de lui était un moment perdu. Alors, même quand le garçon décide qu'il est temps de quitter la grande salée. Même quand elle n'est pas d'accord, malgré les frissons qui se dessinent sur sa peau, elle s'exécute sans vraiment rechigner. Seulement un : « Mais.. » de gamine boudeuse, qui voit s'éloigner son étendue préférée, enlevée à elle par un porteur qui la soutient jusqu'au sable. La demoiselle nichant ses traits dans le cou du garçon. "J'ai jamais eu envie de me baigner.." qu'il avait dit. Elle si, et c'est avec une pointe de frustration que ses pieds retrouvaient le sol sec. Enfin, les compromis n'est-ce pas ? Après tout, elle l'y avait traîné alors qu'il n'en avait pas envie, c'est juste retour des choses. "Et tu rigolais pour la pneumonie y'a dix minutes.." Certes, le léger vent sur la peau mouillée provoquait quelques marques de froid, mais elle n'en était pas congelée pour autant. Secouant doucement la tête de gauche à droite en levant les yeux au ciel, elle pose ensuite son regard sur le congelé avec un petit sourire presque attendri. « N'insiste pas, je ne te servirais pas d'infirmière pour les quelques jours qui restent. » Qu'elle dit, alors qu'elle le ferait avec grand plaisir. Mais ça, la demoiselle se garde bien de le formuler. Ne pas trop montrer sa dépendance. Pendant qu'il galère avec son jean, Max récupère sa robe sans l'enfiler, vu le peu de tissu qu'elle comporte, ça ne servirait pas à grand chose. Quand à la chemise qui repose désormais sur ses épaules, l'Eliot aurait sûrement râlé si elle ne portait pas l'odeur du mather. Puis, elle commençait à se faire, et apprécier, les attentions qui la rebutaient auparavant. Et donc, l'enfile, attachant deux boutons au milieu, histoire de, s'ils croisent des gens à l’hôtel. Oui, parce qu'apparemment ils rentraient. "On remonte ?" Non, ne râle pas McAllister. Elle, si on l'écoutait, aurait passé la nuit sur la plage, froid ou pas. « Puisqu'il le faut. » Puis le pauvre, il a l'air congelé. Attrapant sa main au passage, ils se dirigent vers l’hôtel. Lui jetant un regard en coin, Maxym se met à sourire. « Ca va me manquer de plus te voir te balader comme ça. » Comme ça, avec si peu de vêtements. Cambridge ne lui manquait pas du tout. Bref, ils arrivent à l'hotel, dans leur chambre. Tout en l'ouvrant, elle s'amuse en passant ses doigts sur la peau froide du bras masculin. « C'est bon t'as le droit de t’emmitoufler dans la couette, je te jugerais pas. » La chemise du garçon avait absorbé presque toute l'eau, la débarrassant quasiment du froid.
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Le moment était enfin venu de quitter l'eau. Au plus grand regret de Maxym, apparemment, qui lâcha un petit "Mais.." tandis que le brunet prenait déjà la direction du sable, l'emportant avec lui. Décidément, il préférait se baigner de jour. Enfin, les vacances n'étaient pas fini et allait peut-être faire un effort un autre jour pour rester un peu plus longtemps dans l'eau, histoire de faire plaisir à la bleue. Ils regagnent rapidement la plage, là où leurs vêtements les attendaient sagement avec la bouteille de champagne presque vide. "N'insiste pas, je ne te servirais pas d'infirmière pour les quelques jours qui restent". Il haussa les épaules. "Dommage.. J'aurais su comment te remercier" dit-il avec un petit sourire tout en la regardant. Après avoir enfilé son jean et s'être occupé des épaules de la belle brune, il s'empara de la bouteille qu'il termina, histoire de se réchauffer un peu. Bon, c'est probablement le moment de remonter avant de se mettre à éternuer. "Puisqu'il le faut". Finalement, il sentit les doigts de la jeune femme s'entrelacer aux siens avant de se laisser embarquer. "Ca va me manquer de plus te voir te balader comme ça". Ricardo la regarde, sourire aux lèvres. "On peut s'arranger.." Ouai, bon, il allait pas se balader comme ça à Cambridge, c'est sûr. Mais pour leurs moments rien qu'à eux, c'était évident. Enfin arrivés dans leur chambre d'hôtel, le brunet ne tarda pas à se diriger vers la salle de bain pour choper une serviette. "C'est bon t'as le droit de t’emmitoufler dans la couette, je te jugerais pas". Il rit légèrement avant de s'approcher d'elle, tandis qu'il s'essuyait les cheveux. "Tu sais que j'aurais bien plus chaud si je me serre contre toi". Il sourit, s'approchant d'elle. Passant sa serviette sur son épaule, il ne tarda pas à faire face à Maxym. L'une de ses mains commença alors à déboutonner les deux boutons de sa propre chemise qu'elle portait. Il la fixait dans les yeux, petit sourire sur les lèvres. Il retira alors le bout de tissu mouillé puis le jeta sur la chaise avant de reprendre la serviette pour lui tendre. "T'es belle quand t'es trempée". Le brunet approcha son visage du sien pour venir déposer un tendre baiser sur ses lèvres. Ce qu'il pouvait être accro..
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Y a pas que des avantages à sortir avec un brésilien, la preuve. Rechignant à quitter la flotte, c'est un peu boudeuse que Maxym s'y contraint pourtant. Juste parce qu'elle veut pas qu'il tombe malade, l'homme au sang chaud. Puis qu'il a fait cet effort pour elle, malgré son attaque carnivore précédente. "Dommage.. J'aurais su comment te remercier" En étant cloué au lit et malade ? Surement pas comme elle l'imagine. Gloussant légèrement, elle enfile sagement la chemise qu'il lui a déposé sur ses épaules. En bon gentleman. Ouais, enfin, il se vide quand même la bouteille en mode solo. Lui adressant un regard du coin de l’œil, la demoiselle glisse avec le sourire : « Pas gentleman pour tout, à ce que je vois. » avant d'attraper sa main, et qu'ils se dirigent jusqu'à l’hôtel. Une fois dans la chambre, Ric file chercher une serviette, mais retrouve vite la demoiselle, rompant rapidement la distance entre eux. "Tu sais que j'aurais bien plus chaud si je me serre contre toi". Plissant les ailes de son nez d'un air septique. « J'suis pas sûre de réussir à lutter contre une couette. Mais c'est un défi intéressant. » Ses lèvres se soulignent d'un sourire malicieux, tandis que les mains du mather s’attellent à la débarrasser de sa chemise. Le regard foncé les regarde faire, puis se relevant jusqu'au plus clair, soutient ce dernier. « Avoue que tu me l'as prêté juste pour avoir le plaisir de me l'enlever ensuite. » Et de me regarder comme ça en le faisant. "T'es belle quand t'es trempée" Elle accueille le compliment avec plaisir, séchant rapidement ses cheveux encore dégoulinants, la tête penchée sur le côté pour avoir accès à toute la longueur. L'embrasse brièvement, passant ses doigts dans les cheveux du brun, encore légèrement mouillés. « J'espère que t'as une idée pour compenser le fait de m'avoir arraché à ma plage. Et d'avoir vidé la bouteille. » Elle jette la serviette plus loin, maintenant plus ou moins sèche. « Que de choses à te faire pardonner.. » Que rajoute la taquine, en glissant ses bras autour du cou de l'étudiant.
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"Pas gentleman pour tout, à ce que je vois". Le brunet sourit, regardant la bouteille dans sa main une seconde. "Je l'ai fais pour toi. Une gorgée de plus et j'étais bon pour te tenir les cheveux" dit-il dans un léger rire. Bon, il disait ça pour plaisanter évidemment. Il savait que Maxym était loin de cet état là. La réalité est qu'il ne restait plus vraiment grand chose dans la bouteille, et que pour une fois il avait fait passer sa soif avant le reste. Oh, puis il y avait surement de quoi faire dans la chambre, après tout. Un Mather est toujours équipé. De retour à l'hôtel, ils ne tardent pas à retrouver la chaleur de leur chambre. Cette chambre qu'ils ont le plaisir de partager. C'est fou comme le simple fait de passer toutes ses nuits à ses côtés pouvaient avoir un effet positif sur l'humeur du brésilien. "J'suis pas sûre de réussir à lutter contre une couette. Mais c'est un défi intéressant". Il arqua un sourcil. "Mais genre.." dit-il avec un sourire. Il était plus chaud qu'une couette. Plus doux aussi. Et il sentait meilleur. Puis en plus, il embrassait et il pouvait même caresser sa peau, lui. Le brunet s'attaque par la suite à la chemise qui recouvre le haut du corps de Maxym. "Avoue que tu me l'as prêté juste pour avoir le plaisir de me l'enlever ensuite". Il soutient son regard, et sourit. "Tu crois ?" Pas sur le moment en tout cas. Mais c'est sûr que c'était plaisant à faire. Elle s'essuya un moment les cheveux avec la serviette qu'il lui avait passé, avant que leurs lèvres ne se retrouvent pendant un court instant. "J'espère que t'as une idée pour compenser le fait de m'avoir arraché à ma plage. Et d'avoir vidé la bouteille. Que de choses à te faire pardonner.." Il se mord la lèvre, sourit un bref instant. "J'en ai peut-être une.." souffle t-il doucement. Rapprochant son visage du sien, il passe délicatement sa langue sur les lèvres de l'américaine avant de venir l'embrasser avec passion. Ses doigts se glissent alors délicatement jusqu'à l'élastique du bas du maillot de Maxym, avec lequel il joue un instant, frôlant sa peau au passage.
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"Je l'ai fais pour toi. Une gorgée de plus et j'étais bon pour te tenir les cheveux" Petit regard réprobateur. Certes, Maxym a moins d'endurance que lui, mais elle se défend. "Tu crois ?" Il n'y avait sûrement pas pensé sur le moment, poussé dans son élan de petit-ami parfait qui sacrifie son propre confort au profit de celui de sa copine. Mais maintenant, elle était sûre qu'il appréciait. Et elle aussi. Déjà, le tissu de Ricardo sur le dos, la demoiselle était entourée de son odeur, et se retrouver dans sa peau avait quelque-chose de plaisant. Un peu de ce qui est à toi, est à moi, voyez. Niaiserie jusqu'au bout. Voilà qu'il lui enlève, Maxym se délectant de ce geste qu'elle observe, le provoquant légèrement ensuite. C'est de sa faute, à lui, rien qu'à lui. Elle, elle fait que continuer. C'est ses baisers et ses regards qui font qu'ils en arrivent là. A la demoiselle qui demande compensation à ses frustrations, déjà à peine vêtue. Soit, on dira qu'elle l'a un peu cherché. "J'en ai peut-être une.." N'a même pas le temps de se demander quoi, qu'elle a sa réponse posé sur ses lèvres. Aiguise ses sens en passant sa langue, puis assouvit son envie nouvelle en l'embrassant avec empressement. La bouche féminine se mettant à sourire légèrement, tout en continuant son jeu, en sentant Ric jouer avec l'élastique de son maillot de bain. Ce n'est qu'une fois rassasiée que Maxym s'écarte, qu'à peine, pour pouvoir glisser avec amusement : « Peut-être ? Tu m'as l'air très décidé sur la question. » Et c'est ce qu'elle appréciait chez lui. Prend ce que tu veux, ce que tu désires. Se mord la lèvre inférieure, joue l'ingénue. « J'te dois une douche, non ? » Celle que je t'ai refusé la dernière fois. « Enfin, c'est dommage, on est sec maintenant.. » Même si ma peau est recouverte de sel.
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Il aime prendre soin d'elle. C'est évident que Maxym n'a jamais été habituée à ce genre de petites attentions. Enfin, les hommes faisaient en sorte de la séduire. Mais lorsque ça venait du cœur, c'était différent. Alors il aimait avoir ces quelques attentions, lui faire plaisir. C'était si peu de choses, et pourtant. Il la regarde dans les yeux, la dévore littéralement. L'amoureux des femmes n'avait plus d'yeux que pour elle à présent. Il avait envie d'elle, encore et toujours. C'était assez chiant, d'ailleurs. Ouai, y'a quand même des moments où il ne pouvait pas assouvir ses désirs. Un regard échangé suffisait à le mettre dans tous ses états. A l'intérieur de lui, évidemment, ne l'imaginez pas en train de bondir au plafond. Alors lorsqu'elle posait ses lèvres sur les siennes, je vous laisse imaginer l'état bouillonnant dans lequel il pouvait se trouver. Il joue un peu avec sa langue sur ses lèvres, avant finalement de capturer ses dernières pour un baiser passionné. Il vient chercher sa langue un moment, et prolonge jusqu'à ce que la jeune femme ne se sente rassasiée et ne se recule un peu. "Peut-être ? Tu m'as l'air très décidé sur la question". Il sourit. "C'est que tu commences presque à me connaitre.." Elle se mord la lèvre, et elle sait très bien comme ce petit geste pouvait faire de l'effet à Ricardo. Enfin, elle ne s'en rendait peut-être même pas compte elle-même en fait. "J'te dois une douche, non ?" Il hausse les sourcils légèrement. Ah oui, c'est une idée tiens. "Enfin, c'est dommage, on est sec maintenant.." Il rit légèrement, se mord la lèvre à son tour. "J'suis pas tout à fait sec moi.. J'prendrais pas beaucoup de risques à retourner sous l'eau". En gros, il acceptait volontiers la proposition de la douche. D'ailleurs, il se décolla du corps de la jeune femme pour la laisser prendre la direction de la salle de bain.
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"C'est que tu commences presque à me connaitre.." Hausse un sourcil, remet en cause ses mots. « Presque ? » Rien que ce soir, Maxym avait eu un apercu assez précis du caractère de Ric. Sale caractère parfois, quand monsieur se met à bouder dans coin juste pour l'emmerder. Joueur, attentionné, passionné. Ces vacances permettaient à la demoiselle de confirmer ses sentiments, d'affirmer avec plus de certitude qu'elle le connaissait, oui, plus que la plupart des gens. Avait vu des bouts de son passé au Brésil, et squattait son présent. En aimait chaque bride, même quand il s'amuse à l’agacer. De toute façon, ça ne dure jamais bien longtemps. Il parvient parfaitement à faire passer toute son affection dans ses baisers, et ça comble le reste. Disons juste qu'elle a l'impression d'être la fille la plus désirable au monde quand il la regarde, et qu'elle n'est pas prête d'arriver à se passer de cette sensation. Provoque même ce sentiment en jouant avec ses nerfs, remettant sur le tapis cette douche qu'elle avait refusé. Puis, pour légitimer sa requête, disons qu'elle ne comptait de toute façon pas se coucher avec du sel omniprésent. Ni se coucher tout de suite. Alors, soyons logique. Voilà, disons que l'idée vient de là, chaste Maxym. "J'suis pas tout à fait sec moi.. J'prendrais pas beaucoup de risques à retourner sous l'eau" Ca la fait sourire, cette manière qu'ils ont de trouver des arguments. « Alors, si tu prends pas de risque.. j'crois qu'on a trouvé le programme. » Finalement, elle la retrouve sa flotte. Se dirige jusqu'à la salle de bain en l'attrapant par la main, et une fois à l'intérieur, le pousse contre le mur pour capturer ses lèvres à nouveau. L'une de ses mains s'occupant de défaire les boutons de son jean. Puis s'écarte, l'observant avec un petit sourire. Le temps qu'il se débarrasse de ce vêtement superflu, l'eliot ouvre l'eau de la douche. « Elle est moins salée et plus chaude, j'espère que ça conviendra à monsieur. » Qu'elle s'amuse sans le quitter des yeux, maintenant rentrée dans la cabine.
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"Presque ?" Il se contente de sourire. Comment ? Elle n'avait pas vu l'ironie dans sa voix ? Bien sûr qu'elle le connait. Mieux que n'importe qui d'ailleurs. Enfin, probablement. Elle a vécu avec lui des moments qu'aucune femme n'avait eu le plaisir de partager aux côtés du beau brun. Il donnait cœur et âme à cette relation pour faire en sorte que ça marche. Alors, ça voulait forcément dire faire quelques concessions. Mais ça valait le coup, lorsque l'on rentre à l'hôtel et que l'on retrouve sa dulcinée allongée dans le lit. Cette femme qui ouvre un œil quand il débarque dans la chambre puisqu'elle n'arrive pas à bien dormir tant qu'il n'est pas contre elle. Leur relation a prit une grande ampleur, en très peu de temps. Mais non, ce n'est pas une relation qui est belle au début et qui va vite se détériorer. C'est une relation qui restera magnifique, parce qu'il fera en sorte qu'elle ne manque de rien avec lui. Ils se cherchent, maintenant seuls. Ils se lancent des regards qui en disent longs, échangent des baisers passionnés. Puis, tant qu'à faire, se trouvent des raisons pour passer sous la douche, qui finira par représenter le lieu de leurs futurs ébats. "Alors, si tu prends pas de risque.. j'crois qu'on a trouvé le programme". Il hoche la tête, la suivant jusqu'à la salle de bain. Elle le plaque contre le mur instant, il retrouve la douceur de ses lèvres. Il sent la main de la brune s'attaquer aux boutons de son jean, alors il sourit. Finalement, l'Eliot se recule puis file dans la cabine de douche. "Elle est moins salée et plus chaude, j'espère que ça conviendra à monsieur" dit-elle en goûtant l'eau. Il hausse les épaules, puis retire son boxer avant de la rejoindre. "Et depuis quand tu te douches dans cet accoutrement toi ?" Il passa sa main dans le dos de la belle brune pour tirer sur la ficelle de son haut de maillot. Oups, le voilà à terre maintenant. Puis, c'est pas comme s'ils étaient à égalité. Elle avait encore son bas.
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C'est le début, tout est beau, t'as envie de l'autre tout le temps. Ouais, c'est ce qu'ils disent. Maxym est persuadée que ça restera. Du moins, elle fera tout pour, pour qu'ils gardent ce qu'ils ont présentement. Qu'elle ai toujours soif de gagner ses lèvres, de le plaquer contre un mur, de l'aider à s'ôter ce superflu. Même plus que ce à quoi elle s'attendait, puisqu'il se débarrasse de l'ensemble de ses vêtements avant de la rejoindre. Le regard féminin ne se gênant pas pour se balader le long du bellâtre jusqu'à ce qu'il se retrouve en face d'elle. De l'avantage d'être en couple, t'as un droit exclusif sur l'image et l'utilisation. "Et depuis quand tu te douches dans cet accoutrement toi ?" C'est vrai que du coup, elle paraît bien habillée, pourtant seulement vêtue de son maillot. Ca lui donne l'impression d'être en position de force, ce qui est complètement illusoire. Surtout que monsieur n'a pas l'air motivé à la laisser longtemps porteuse de tissu, s'attaquant déjà à son haut, qu'il décroche. « Hé ! Je t'ai donné la permission de me déshabiller ? » Râle un peu, avec un sourire qui ridiculise complètement sa plainte. Comme s'il avait besoin de demander quoique ce soit. Elle était de toute façon conquise à peine il s'approchait. C'est donc pour s'amuser un peu qu'elle cache sa poitrine avec son bras, lui soufflant avec malice : « J'suis pudique, t'étais pas au courant encore ? » De sa main libre, joue avec ses cheveux d'un air innocent, enroulant une mèche autour de son index. S'approche un peu de lui, l'effleurant à peine de son corps, son regard se posant sur les lèvres masculines sans pour autant s'y pencher pour l'embrasser.