KENYA ∝ no hay nada que no podamos juntos.

Enfin, nous étions en nouvelle Zélande après une nuit reposante, nous avions décidé de parfaire notre bronzage, enfin, le mien plus précisément. Kenny dormait toujours, je le regardais au pied du lit, déjà prête. brasiére de sport, pantalon de yoga et chignon sur la tête, j'avais préparé nos maillots dans un sac ainsi qu'une glacière ou la réception nous avait emballé notre pique nique du midi. Tapant mes ongles contre ma cuisse je décidais de passer rapidement à l'attaque. Attrapant la couverture, je la faisais valser à travers la chambre, découvrant mon mari à poil dans le lit. Pourtant j'aurais juré qu'il s'était couché en boxer. Ne perdant pas de temps à réfléchir, je prenais la bouteille d'eau avec une petite idée dans la tête qui me faisait rire intérieurement. J'étais de nouveau en forme et prête à lui jouer un mauvais dour. A genoux à ses côté, je versé un peu d'eau au creux de ses reins pour la voir rouler en plein milieu de ses fesses. KENNY REVEILLES-TOI Y'A L'FEU hurlais-je à côté de lui continuant de lui envoyer de l'eau un peu partout sur lui, imitant les extincteurs muraux.

Le voyage avait été long et difficile, je n'avais pas énormément dormi et même si je l'avais fais, le lit était tellement moelleux que je ne voulais pas me lever, j'étais trop bien sur un nuage, j'avais aussi chaud alors j'avais retiré mes vêtements durant la nuit même si j'avais fais la proie parfaite à un satané moustique qui m'avait pompé le sang sur mon bras. Open bar, il ne s'était pas privé. Allongé et dormant comme un bébé, je sentais du vent puis de l'eau? Comment ça de l'eau? Sur mes fesses en plus. "Je croyais que tu étais plus malade pour me morver dessus Anya…" dis-je en ayant une voix tout endormi puis il y avait encore de l'eau et Anya qui criait. Le feu ? Merde ! Je me levais d'un bond tel un ninja sur le lit, sur mes pieds, je descendais du matelas, prenait mes chaussures partant dans le couloir en tirant la main d'Anastasiya rapidement. On allait pas rester ici si y avait le feu, franchement on payais cher la nuit pour risqué notre vie? Je pestais sauf que quand je croisais des clients de l'hotel me dévisager nu et surtout pas pressé, je comprenais que c'était une connerie et fonçait rapidement dans la chambre. Blague de merde. Je pestais un peu, que l'on ai pu me voir nu encore je m'en moquais mais qu'elle me réveille ainsi. "T'es nul j'y ai cru." Dis-je en tombant sur le ventre tête la première contre le matelas. Morphée revient me chercher pensais-je.

C'est avec une certaine minutie que je m'appliquais à lui renverser de l'eau dans la raie des fesses. Je te morve pas dessus, je suis en train de me coiffer Je me retenais de rire en le voyant bouger, puis soudainement, je lui fis croire qu'il y avait le feu. Se fut instantané. Il se levait d'un bond. Il prenait ses chaussures ainsi que ma main et se mit à courir en sortant de la chambre ... tout nu. Je faisais les gros yeux, me mettant devant lui en voyant des personnes dans le couloir. Si y'a le feu, tu prends le temps de prendre tes chaussures mais pas tes vêtements ? je le regardais avec ses tongs dans les mains, un peu surprise par ses actes. Attrapant la plante verte, je la lui donnais pour qu'il se cache jusqu'à la chambre tout en m'évertuant à marcher derrière lui pour que personne ne voit ses fesses, cependant, je ne pouvais pas m'empêcher de rire en repensant à ce qu'il venait de faire, à la tête qu'il avait affichée. J'aurai dû te filmer, tu t'aurais vu ! dis-je en m'écroulant de rire, sur lui. Allez lèves toi, je te signal qu'on doit aller courir sur la plage, tu pourras dormir là-bas, on dirait ... on dirait une larve. T'es flasque dis-je en prenant sa main pour soulever son bras et le faire aussitôt retomber. Il ne bougeait pas, inerte sur le lit, seul le bruit de sa respiration venait déranger ce silence pesant. Assise sur le dos de Kenny, la tête vers ses pieds, je préparais mes mains, les frottants l'une contre l'autre pour faire du tamtam sur ses fesses, les claquants bien fort. JE FAIS TAMTAM SUR LE CUL DE MON MEC, JE FAIS DU TAMTAM SUR LE CUL DE MON MEC ! EVERY BODY CLAPS YOUR HANDS, TOUS AVEC MOI, JE FAIS DU TAMTAM SUR LE CUL DE KENNY, JE FAIS DU TAMTAM SUR LE CUL DE KENNY je gigotais, prise dans l'ambiance, quand je vous disais que j'étais vraiment de bonne humeur ce matin.

Je n'avais pas cherché plus loin que mon bout du nez j'avais attrapé mes chaussures et j'étais juste parti oubliant ma tenue mais pas Anya. Dans le couloir, je m'en rendais compte j'étais complètement dormi, je n'en revenais pas qu'elle ai pu me jouer un coup comme ça. "Tu détournes la discussion Kataieva." Dis-je en la regardant. Mes mains et mes tongs cachaient le devant avec la plante verte qu'elle me filait, Anya cachait le derrière, j'aurais pu m'en sortir comme ça mais j'étais un porte poisse fallait voir le nombre de personne qu'on croisait, qui nous fixait alors qu'on s'engouffrait dans la chambre. Je me laissais aller sur le lit, le ventre sur le matelas, le visage posé sur le coté. "Ah ah, la prochaine fois quand tu vas être malade, je te laisserai dans la merde." Je sais que je ne le ferais pas, elle riait et ça me faisait sourire, je la cherchais comme je pouvais seulement mon cerveau marchait au ralenti. "Flasque? C'est pas ton ventre qui est tout flasque?" Je rigolais, elle faisait je ne sais trop quoi derrière moi, je ne la distinguais pas et je fermais les yeux jusqu'à ce qu'elle me tape sur les fesses en chantant. EN CHANTANT. J'avais peur tout d'un coup qui avait changé ma femme? Le matin elle était en général pas très coopératif sauf que là madame poussait la chansonnette ce qui me faisait rire, je contractais mes fesses une par une amusé en tapant des mains comme je pouvais. " Dire que je t'ai épousé, c'est bon je me lève." Je me retournais un peu en l'attrapant dans mes bras pour la faire tomber sur le coté et lui mordre le cou sans aucune douceur. J'enfilais un bermuda bleu, un t-shirt blanc ainsi que des chaussures de la même couleur que mon bermuda et j'étais prêt, encore un peu ailleurs mais ça allait me passer. "Allez Kataieva que je te ridiculise dans une course comme ça tu me paiera à manger."

Tu pourrais juste faire preuve de bonne volonté puis être aussi heureux que je sois de nouveau en forme et pleine de vie dis-je avec un énorme sourire avant qu'il ne se laisse de nouveau tomber sur le lit. Prenant le problème à bras le corps, je me posais sur lui, à califourchon pour taper sur ses fesses, pour faire du tamtam sur ses fesses pour être plus précise. Je m'éclatais faut pas croire, j'espérais juste qu'il allait pas se mettre à jouer de la trompette en même temps. J'sais très bien que tu dis ça pour vérifier par toi même, espèce d'excité sexuel dis-je en continuant ma chanson. J'étais dans l'ambiance, je me croyais à Bercy, demandant à tous le monde dans la pièce de taper des mains ... c'est à dire... Kenny. D'ailleurs je fus amusé de l'entendre faire et encore plus de le voir contracter ses fesses avant d'arrêter, je lui mordais une fesses, attirée par leur musculature jusqu'à ce que monsieur ne daigne enfin se lever. dire que c'est la plus belle réussite de ta vie dis-je en plongeant mon regard dans le sien, sourire aux lèvres jusqu'à ce qu'il ne me morde dans le cou. Je gigotais dans tous les sens, les bras, les jambes avant de me laisser retomber. J'viens de me faire mordre par une bête. J'vais me transformer en louve garon à la pleine lune ? demandais-je en me relevant rapidement sur mes coudes tout en le regardant s'habiller, un peu interloqué d'ailleurs. T'as pas l'impression d'avoir oublié quelque chose ? Non parce que je connais tes tendances naturiste, mais je pensais pas que ça te plaisais de courir le gingembre à l'air sur ces mots, j'allais dans le placard pour prendre un boxer à lui, le faire tourner autour de ma tête avant de le lui envoyer en pleine tête Tu devrais mettre ça, sinon c'est à la pétanque que tu vas jouer et je suis pas sûre que ça va être plaisant dis-je en faisant les gros yeux, avant de me mettre en position pétanque, boule imaginaire dans les mains, fesses bombées. ALORS KENNY TU TIRES OU TU POINTES

"Si je suis excité sexuel c'est parce que tu me frustre. Tu avais la bronchite là." Je ronchonnais sur le coup, j'avais envie de la retrouver, ces derniers jours avaient été plus ou moins facile, je bossais énormément et les vacances je les attendais comme un gosse le matin de noël, j'avais envie de faire du jet ski, de rester sur la plage à éloigner les prétendants de ma femme, visiter et faire pleins de trucs, penser à rien d'autre que notre bien être même là, en général j'aurais pu râler sauf que taper des mains alors qu'elle claquait mes fesses en chantant, m'éclatait totalement. "Que tout le monde lève les bras en l'air !" dis-je dans le feu de l'action avant de rire. Je me levais, défaitiste mais de bonne humeur. "La plus belle réussite de ma vie? Toi? Je crois pas non, c'est moi la plus belle réussite de ma propre vie, mon intelligence et… T'emballe pas, pas la peine de me regarder comme ça, je dirais pas que tu es la plus belle réussite de ma vie, j'ai pas envie de mentir." Je lui tirais la langue, rieur allant vers elle pour la mordre finalement complètement amusé, il faisait beau dehors je crois que ça jouait aussi sur notre humeur. "Surement, j'aurais pas du regarde ce que je file à la société des loups garoux une femme qui ne sait même pas lasser ses chaussures correctement." Riais-je hilare en lui montrant ses baskets, je continuais de rire alors que je m'habillais oubliant la pièce maitresse de ma tenue quand même comment ça avait pu m'échapper. "Quoi? Je suis habillé." Je comprenais pas du tout arquant un sourcil avant de me recevoir le boxer sur la tronche. "Plaisant pour toi je sais que tu adores jouer à la pétanque avec moi, fais pas ta petite prude." Je me déshabillais de nouveau enfilant le boxer jusqu'à tomber les fesses par terre en riant quand elle me mimait le tout. "Je ferais pas de commentaire." J'en pouvais plus, je riais totalement, les larmes roulaient sur mes joues et j'essayais tant bien que mal de lasser mes chaussures après avoir mit mes affaires en ordre. "Allez petite fesse, viens là que je te montre qui est le patron." Je trottinais jusqu'à la porte de notre chambre. "Je prend les escaliers histoire que je me fatigue un peu pour être à ton niveau." Je rigolais encore, je courais tous les matins, par contre Anya moins.

Oh Anya, je t'aurais attendu toute ma vie s'il le fallait, j'ai attendu 3 ans, je peux encore t'attendre. Je t'aime tellement si tu savais, t'es la femme de ma vie dis-je dans une tirade enflammé, comme Roméo faisant la cour à Juliette. Remballes tes conneries mec, je sais que c'est la vérité dis-je en haussant deux fois de suite les sourcils avant de lui coincer la langue entre mes dents lorsqu'il me la tiré. On fait moins le maliiiiin dis-je avec autant de difficulté que possible et en bavant légèrement. Une morsure dans le cou et tout à coup je me demandais si je n'allais pas devenir un loup garou. Ce n'était qu'une blague, je le conçois mais à sa réponse, je levais mes jambes en l'air pour voir mes lacets. C'est pas parce que je les fais avec deux boucles que je sais pas les faire ! Ca m'a toujours saoulé l'histoire de la poupée, que tu fais l'tour et que tu lui crèves la tête ensuite, je trouve ça barbare ! dis-je en me redressant ils sont très bien comme ça mes lacets dis-je pour moi-même en les regardants un instant pour aller dans l'armoire et lui lancer son boxer en pleine tête ça doit être à cause de la frustration et de ma bronchite dis-je en lui remémorant ses mots, rieuse. Tu tires ou tu pointes, phrase culte, je ne pouvais m'empêcher de la lui lancer. Il était par terre, je le voyais en me baissant complètement pour le regarder au travers de mes jambes écartées. et après, JE, ne sait pas faire mes lacets négativement, je secouais la tête, faussement indigné pour l'aider à se relever bien assez vite. Oui oui, on va voir qui est le patron je sortais de la chambre, prenait l'ascenseur et alors que j'attendais mon mari, j'avais fais demander un cocktail dès ma descente à la réception. Je le sirotais en attendant Kenny, paille à la bouche. Bah dis donc mon vieux, t'en a mis du temps

Je n'aimais pas la manière dont elle avait de me ressortir mes mots, je m'étais livré, c'était intime ce que je disais et elle me les sortait comme ça, je ne disais rien, je ne souriais pas, je le prenais mal clairement qu'elle l'utilise comme une arme. Je lui tirais la langue, jefronçais les sourcils alors quand elle me la lâchait je l'avais mordu et taquiner sur ses lacets. "On t'a appris ça?" dis-je en faisant les gros yeux. "On apprendra pas ça à notre fille, je te préviens en plus vu la gueule de tes lacets c'est surement une mauvaise méthode." Je riais encore et encore, décidément la journée commençait bien car une chose entrainant une autre, j'étais en bas, Anya savourait un cocktail tranquillement, je soupçonnais qu'elle l'avait commandé bien avant qu'on descende rien que pour m'énervé. "Ouais je sais, j'ai rencontré une petite blonde dans les escaliers, elle montait du coup j'ai proposé de l'aider. Elle m'a donnée son numéro en plus." Je souriais avant de rire. "Je déconne détend toi." Je lui volais un bisou sur le bout du nez. "Je t'attends dehors, bois pas trop Anya, tu vas vouloir me chevaucher encore plus que d'habitude." Je criais presque mes paroles en sortant, je l'affichais, douce vengeance.

La jalousie est un bien vilain défaut dis donc Kovalevski, un jour t'arriveras à les faire aussi bien que moi, je crois en toi dis-je en lui tapotant la joue doucement, envoyant quelques baiser dans le vent. C'est enfin que nous sortions de la chambre, c'est qu'il nous avait bien mis en retard. Je sirotais un cocktail que j'avais fait demander à l'avance bien entendu, mais ça, il n'était pas obligé de le savoir. Kenny arrivait, essoufflé et légèrement rouge, paille en bouche, je la retirais pour sourire de toute mes dents. Cependant, ma tête changea littéralement en l'entendant. Pourquoi devait-il se comporter comme ça. J'étais de bonne humeur ce matin et à croire qu'il voulait tout gâcher. AHAHAH je suis morte de rire là, ça se voit non dis-je en lui montrant mon visage qui affichait une expression blasé. Il était pas si réceptif que ça se matin, je riais et lui m'envoyait des vannes encore et encore. A toujours vouloir m'attaquer, j'allais finir par le piquer moi aussi, sauf que je n'allais pas le faire à moitié. Voilà qu'il en remettait une couche. Il savait que je n'aimais pas qu'il fasse ce genre de chose. Prenant un journal, je déposais mon verre et me cachais derrière lui pour sortir discrètement de l'hôtel en crabe. Une fois dehors, je fourrais dans les bras d'un passant le journal pour sauter sur le dos de Kenny et lui forttais les cheveux, bien au dessus pour ne pas lui faire mal au niveau de sa cicatrice. T'es vraiment qu'un petit con dis-je en serrant les dents mais c'était encore bon enfant,pas méchant. On part en jeep et on cours sur plage, j'ai demandé à ce qu'on nous fasse un pique nique dis-je en voyant le voiturier nous apporter la jeep que nous avions loué en arrivant, hier avant que tout Harvard ne fasse de même.

"Si regarde." De mon index, je le glissais dans le coin externe de sa lèvre pour la faire remonter vers le haut. "Tu vois tu souris." Je la charriais, vraiment y avait rien de méchant même en partant j'étais content de ma petite blague alors que j'allais vers l'avenue en attendant la jeep, c'était un bijou, on avait pas prit le petit truc de merde que tout le monde aurait, nous c'était un bolide que j'aimais, je faisais un adultère à ma femme tellement je la trouvais belle cette couleur. En parlant de femme, Anya me sautait sur le dos en me frottant les cheveux, je rigolais en penchant la tête en arrière. "Mais je suis le tiens." Je lui volais un bisou sous son menton, on se donnait en spectacle, je m'en moquais royalement j'étais si heureux là. "Un pique nique?" J'affichais un sourire malicieux, j'avais tellement envie de la pousser à bout, de la charrier jusqu'au bout de la nuit avec mes remarques salaces et d'autres beaucoup plus innocente. "Tu préfères quels mots dans ce mot là, moi j'aime bien le dernier." Depuis ce matin mon sourire ne m'avait pas vraiment quitté sauf quand elle m'avait jeté mes paroles dans la figure, je n'avais pas apprécié. Je me mettais à conduire, en chantonnant doucement, ma main posée sur la cuisse d'Anya, je la faisais coulisser vers le haut pour lui donner une pichenette sur le bout de son nez. "Je t'humilie histoire que la défaite soit plus légère." Riais-je avec un regard tout doux. "ça fait du bien de ne pas avoir un zombie avec moi et je vais pouvoir cesser de te masser tous les soirs, je suis LIBREEEEEEEEEEE."