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Un Kiné aux frais de l'université / June

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Elle avait raison sur mes origines, j’étais français, et je ne me gêna pas pour lui répondre en français « Je suis effectivement français, enfin à en croire mon parrain, on n’est pas français mais Corse et toi ? » C’est chouette de parler français avec une compatriote enfin il me semblait qu’elle venait aussi d’Europe francophone. C’était n’importe quoi sa réflexion, j’hésitais à lui dire comme ça. « N’importe quoi, tu n’es pas handicapée et tu existes, la preuve je te touche…et pour ta gouvernes, si je travaille à Harvard c’est que je suis un super kinésithérapeute…quand j’étais en France, j’ai suivi un stage en trauma et en sport extrême. Je connais chaque muscle de ton corps et je vais te rendre 110% de ta mobilité petit cygne grincheux ! » Je pris le temps de lui masser le mollet avant de placer correctement son genoux, son pansement prenait vraiment beaucoup de place sur ca cuise. « June, est-ce que tu es d’accord que j’enlève ton pansement et que je masse le haut de ta cuisse ? » J’étais un type bien qui prenait le temps de connaître mes patients et leur limite, je ne savais pas exactement ou se trouvait l’impacte de la balle et je ne l’imaginais pas très haut dans sa cuisse mais plus dans le milieu de son mollet.
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Je souriais lorsqu’il m’apprit qu’il était français, ça me faisait plaisir de lui parler en français et ça serait certainement plus pratique pour la séance : « Moi aussi, j’ai vécu jusqu'à mes 24 ans à Paris, je suis déjà allée en Corse en vacances, c’est beau ! ». Je baissais les yeux quand il me dit que je n’étais pas handicapé mais pour moi c’était bel et bien le cas et avec les béquilles je ne sortais même plus, j’avais l’impression que les garçons ne me regardaient même plus. J’avais peur que Leandro lui aussi s’éloigne de moi. Je voyais bien que Tyméo essayait de me rassurer mais je n’étais pas rassuré : « Je ne suis pas un cygne grincheux, je suis juste une fille moche et handicapée Tyméo… ». Je me voyais comme ça en effet. Il me demanda ensuite si il pouvait enlever mon pansement et me masser en haut de la cuisse, j’avoue que ma blessure se situe très en haut de ma jambe près de mon intimité et ça me gêne un peu mais comme l’infirmière va passer je hoche la tête : « Oui l’infirmière va passer, va-y ».
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C’était donc une parisienne, une jolie parisienne au passage. « Ma sœur vit à Paris. C’est beau la corse, c’est vrai, j’aime retourner chez moi , je trouve ca dépaysant de se ressourcer dans un département pareil. » Bon d’accord, je devais changer de stratégie pour la motiver mentalement et je savais quoi faire pour changer son état d’esprit du jour qui était durait d’après ses colocataires. « Est-ce que tu es sortie de la Lowell depuis ton retour de l’hôpital ? » L’infirmière ? Sincèrement, j’étais capable de lui faire un pansement moi même, d’ailleurs je lui referai puisque j’avais prévu de la faire quitter la maison. « Je te referai ton pansement June, je suis capable de le faire. » doucement je lui enlever son pansement en la regardant dans les yeux. Avant de me rendre compte de l’ampleur des dégâts, en effet la plaie était bien haute dans sa cuisse. « Tu me fais assez confiance pour que je te masse le haut de la cuisse ou tu préfères que je le fasse demain ou un autre jour ? N’oublie pas qu’on a minimum Trente séances a devoir se supporter ? » Je voulais prendre le temps de la masser correctement sans la braquer contre moi et mon travail.
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Je souris, moi aussi j’aime retourner chez moi, j’y suis d’ailleurs récemment aller avec Leandro qui a découvert ma vie quand j’étais adolescente et la ville dans laquelle je vivais « Oui, j’aime bien retourner en France moi aussi… ». Je lui fais un petit sourire puis il me demande si je suis sortie depuis que je ne suis plus à l’hôpital mais non, ça fait une semaine que je suis sur mon lit à rien faire : « Je ne peux pas marcher Tyméo, comment veux tu que je sorte… ». A part en fauteuil roulant mais je me vois me mettre en fauteuil roulant. Il me dit qu’il me refera mon pansement, s’il veut mais de toute façon une infirmière va venir me faire ma piqure. Je n’ai pas envie de regarder ma plaie pour l’instant car ça ne doit pas être très joli à voir, je lève donc le regard. J’ai un peur qu’il touche ma plaie qui est vraiment proche de mon intimité mais je le laisse faire, après tout, c’est son métier : « Va-y commence et si ça ne va pas, je te dirais ». Je soupire en ne regardant toujours pas la plaie.
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« Tu aimes quoi en France ? Moi j’adore aller skier, mais j’aime aussi me rendre à Paris pour voir ma sœur, je suis allé dans le nord aussi, c’est différent mais joli aussi. » Elle ne pouvait pas marcher et alors, il y avait d’autre moyen de prendre l’air, et c’était bien mon idée de la faire prendre l’air, sans la rendre handicapé, je voulais vraiment changer son idée d’elle. Je commence doucement à lui masser le haut de la cuisse en prenant le temps de délier chacun de ses muscles d’aller doucement au-dessus de sa blessure. « June, je dois juste faire deux points de compression pour relâcher un tendon et un muscle…qui vont te laisser un peu tranquille au niveau de la douleur mais je dois aller les chercher très haut dans ta cuisse, tu ne vas pas apprécier du tout, mais après je m’occupe de tes épaules et de ton dos. » Sans me faire prier je monte très haut dans sa cuisse en état à la limite de son intimité, ce qui pouvait ne pas plaire, ma main frôlait son entre-jambe, elle se tendait un peu plus mais je voulais absolument la soulager, je mis quelques secondes à détendre son tendon. « Voilà, tu devrais un peu moins souffrir… je vais refermer ton pansement. Je peux trouver ou tes pansements ? » Je me leva avant de chercher du regard ou ca pouvait être.
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Je souriais quand il parlait du ski, oui c’était super agréable de skier, j’aimais bien ça, maintenant je visiter la capitale à chaque fois que je retournais en France, j’avais toujours la possibilité d’un appartement alors qu’ailleurs en France, non. « J’aime bien skier aussi, j’aime bien le sud et l’ouest aussi et j’adore Paris parce que c’est ma ville… ». Je souris trop heureuse d’en parler et en plus en Français. Il me prévint qu’il devait appuyer à un endroit particulier avec ses termes médicaux mais j’avais un peu peur, surtout lorsqu’il remonta de plus en plus à mon entre jambe, je sais qu’il ne me fera rien mais c’est assez stressant, surtout que je le connais à peine. Je sens un léger frisson me parcourir, j’espère qu’il ne l’a pas senti mais c’est vrai qu’il est entrain de manipuler une région très sensible. Après ça allait un peu mieux, il me demanda où se trouver ensuite le matériel : « Dans le tiroir en face ! ». Lui répondis-je en montrant avec mon doigt où tout cela était rangé, il y avait des compresses, de la biceptine et des nouveaux pansements. « Tu peux le refaire vite, j’aime pas voir ça… ». Je parlais de ma cicatrice à la jambe vu que j’en avais déjà au ventre, ça suffisait.
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Elle aimait donc skier, ca c’était un bon point pour elle. « J’adore le snowboard, le ski c’est trop calme pour moi, puis avec le snowboard je peux prendre ma fille sur mon dos et la tenir correctement…Tu vis dans une très belle ville. » Je m’activa à prendre le matériel stériliser pour lui refaire son pansement en désinfectant bien sa plaie, puis en posant la compresse avant de le faire tenir avec le pansement. « Voilà, c’est fait, tu peux t’asseoir ? je veux simplement te masser le dos les épaules pour retirer un peu de ton sarcasme… ou alors c’est naturellement chez toi ? » Je remis le matériel en place avant de me laver les mains, j’envoya un message en vitesse avant de venir m’asseoir derrière elle avant de poser mes mains sur ses épaules et la masser délicatement. « Tu fais quoi à Harvard, parce que tu sais qui je suis et ce que je fais mais moi je ne sais rien de toi ! » Je continue de la masser.
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Il avait l’air d’aimer sa fille et sa me faisait plaisir à voir, quand j’étais petite parfois mon père m’avait fait des petits cadeaux mais à partir de 9 ans je le voyais seulement à l’hôpital psychiatrique puisqu’il m’avait poignardé « Oui, c’est vrai ! ». Paris était ma ville préférée, même par rapport à Boston. Il se dépêchait un peu par la suite pour que je puisse m’assoir de nouveau et il commença à me masser les épaules : « Tu ne veux pas juste que j’enlève les bretelles ? ». Parce qu’avec l’huile et tout ça risquait de coller partout. J’avais vu qu’il avait eu un message, je l’interrogeais donc : « Ta copine est pas jalouse que tu fasses ce métier ? ». Moi à sa place, j’aurais quand même du mal à accepter que mon copain masse toutes les belles filles du campus. Je lui répondis alors : « Je suis en troisième année, j’étudie la musique et la danse pour être dans une comédie musicale à Broadway et à mon avis un fou furieux avec une arme à briser mon rêve.. ».
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« Si tu peux enlever tes bretelles June, mais laisse toi faire arrête de te retenir. » Ma copine, j’étais un peu célibataire, et je n’avais eu que l’avis de mon ex-femme sur le sujet donc je ne savais pas trop. « Honnêtement, je ne sais pas trop, mon ex-femme n’a jamais rien dit à ce sujet mais je venais d’être diplômé quand elle a demandé le divorce, je pense que c’est une question de confiance, puis je crois que si ma copine me demandait d’arrêter de masser par jalousie, je pourrais toujours devenir kinésithérapeute dans une équipe de foot, j’ai travaillé quatre mois pour Montpellier en France…je devrais pouvoir trouver quelque chose de pareil ici. » Elle m’expliqua un peu sa vie ici à Harvard avant que je ne la pince doucement avant de lui passer une serviette sur ses épaules pour retirer l’huile avant de me lever et de lui lancer son t-shirt et son pantalon. « Habits-toi, très vite, tu m’embête vraiment avec ce discours…Tu peux pas juste me faire confiance ? » Je lui demandais beaucoup, c’est vrai elle n’était pas obligé de me faire confiance, mais maintenant que je savais ce qu’elle voulait devenir elle avait besoin de récupérer sa cuisse a deux cent pourcent !
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J’étais pourtant calme, pas trop stressé, je me laissais aller et j’essayais de le faire encore plus lorsqu’il me demanda d’être zen, abandonnant le poids du corps que j’essayais de contenir. Il me répondit ensuite avec l’exemple de son ex femme, il avait l’air prêt à faire des efforts mais apparemment pour l’instant il ne semblait pas être très concerné par le problème. Il n’était donc peut être pas en couple, en faite c’est tant mieux parce qu’être en couple, ça n’amène que des problèmes. « Tu ferais des efforts pour ta copine, c’est gentil… ». Moi franchement je sais pas si je pourrais supporter un mec jaloux, en faite y a pas beaucoup de garçons que je pourrais supporter quand j’y réfléchis, c’est peut être pour cela que je suis seule aujourd’hui, toujours amoureuse du mauvais garçon. Après quelques secondes seulement il me tend mes habits, je ne comprends rien du tout là, je les mets comme il me le demande mais je suis très septique : « Que veux-tu faire ?...C’est bon Tyméo, tu étais à deux doigts de toucher ma culotte alors pour une première rencontre niveau confiance ça va non ? ». Je soupirais, me demandant où il voulait m’emmener.
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