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KENYA ▬ Valentine's day

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Je souriais doucement en l'écoutant prenant mon verre des mains comme si je venais de faire une bêtise. "Va pour un jus de papaye." Lâchais-je en voyant l'homme partir un peu paniqué. Je crois qu'il en avait pas, enfin je me trompais vu qu'il allait nous en rapporter deux en moins de 5 minutes. J'étais plus que surpris j'avais l'impression que peu importe ce que je demanderais il allait me l'apporter tant mieux ça rendait notre journée encore meilleure. Après avoir trinqué, je me dirigeai vers une magnifique paire de chaussure des louboutins je crois vu la semelle rouge en dessous. "Si y a ta taille j'ai demandé ta pointure en fait elles sont toutes a ta taille." J'étais tout content même si au fond c'était bien flippant le fait que je connaisse toutes les mensurations de mon épouse. Taille, hanche, poitrine, tout. Cette dernière qui me montrait une robe blanche, je fis des gros yeux c'était affreusement sexy, j'allais vers elle avec des yeux brûlants, mon regard, mes gestes parlaient a ma place. "C'est... Enfile la pour voir." Je n'était pas sur de donner mon accord sur cette tenue faut dire que c'était assez court mais de l'autre côté son dos dénudé avec ses espèces de ficelles étaient assez tentante pour une soirée a deux à la maison. Merde. Je jurais car je ne me tenais pas, tout a l'heure avec son mordillement d'oreille puis sa voix suave. J'avalais mon jus de papaye rapidement comme pour oublier cette tenue. "Dépêche essaye." Je trépignais d'impatience heureusement y avait que moi comme mec dans la salle sinon j'aurais été vert de jalousie en la voyant défiler devant moi poser sur le fauteuil en cuir.
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Je fus surprise de savoir que tout ce qui était ici était à ma taille, il avait vraiment tout prévu. T'as vraiment tout prévu dis-je en enroulant mes bras autour de son cou pour l'embrasser délicatement, sur la joue. mais je parlais de ta pointure à toi, parce que tu me semble vraiment intéressé par cette paire de chaussure autre baiser sur le menton et j'allais près du portant des robes pour prendre celle qui me tapais dans l'oeil depuis tout à l'heure. La posant devant moi, je la regardais avant de lever le regard vers Kenny, pour qu'il me dise ce qu'il en pense. Oui je vais l'enfiler, tu pourrais peut être regarder aussi j'avais envie de lui faire plaisir, de porter quelque chose qu'il aurait choisis ce soir, enfin je ne savais pas ce que nous ferions après, s'il y avait une maquilleuse, une coiffeuse .. c'est qu'il fallait que je me fasse belle ? C'est avec une tonne de question dans l'esprit que j'allais derrière le paravent pour me changer. Je faisais tomber la robe noire que je portais, la laissant glisser sur mes jambes pour enfiler la blanche. J'attachais mes cheveux de nouveau en une haute queue de cheval pour qu'il puisse voir le dos. J'attrapais la paire de chaussure qu'il avait choisis pour l'enfiler également T'es prêt ? demandais-je d'une voix enjouée pour sortir de ma petite cachette avec un grand sourire sur les lèvres. J'aimais cette robe, je trouvais qu'elle m'allait bien, j'aimais son dos aussi, puis elle contrastait parfaitement avec le bronzage de ma peau. T'en pense quoi ?
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Je lui avais juste tiré la langue comme un enfant quand elle m'avait dit que ma pointure ne serait surement pas présente dans le tas de chaussure. "Ta mangé un clown… Non pas de bisou ingrate." Je poussais mon visage en riant un peu, je le prenais pas mal au contraire ça m'amusait de la voir si joueuse. Une robe blanche apparut devant mes yeux, je fus excité de la voir dedans, j'adorais le dos découvert malgré qu'elle soit assez courte alors pendant qu'elle essayait, je restais sur le fauteuil attendant patiemment. "Je suis prêt." Dis-je en me redressant un peu puis elle apparaissait face à mes yeux qui s'agrandissaient de plus en plus. Divine, parfaite, superbe, j'en revenais pas, on aurait dit qu'elle avait été faite sur mesure pour elle, c'était…"Waha." Poussais-je spontanément. "T'es superbe, on va la prendre c'est sur, je veux te voir avec ce soir." Je m'approchais d'elle attrapant ses mains dans les miennes avec un doux sourire, mes yeux pétillaient, je lui lachais une main pour la faire tourner un peu et mes doigts glissaient lentement sur sa peau du dos complètement dénudé. "Embrasse-moi." Murmurais-je en la faisant plus revenir à moi pour finalement succomber à ses lèvres. Je frissonnais, je fermais un peu les yeux durant notre baiser que je prolongeais doucement et très amoureusement. Cette saint valentin commençait tellement bien. "Je me décolle de toi sinon je te laisserais pas partir puis j'ai vu une autre robe , tu en pense quoi?" dis-je en lui montrant. Bon je n'étais pas persuadé que c'était son style mais moi je la trouvais très belle avec sa dentelle, il y avait quelque chose de sexy encore une fois, de sensuel et subjectif puis surtout c'était du rouge.
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Je sortais de la cabine pour rejoindre mon mari en marchant comme un mannequin, en riant. Il m'avait demandé un défilé non ? Je faisais quelques allées retour en prenant la pose avant d'aller face à lui, de rejoindre ses bras musclés. Sa réaction me faisais sourire, elle sortait du coeur. Il me faisait tourner à nouveau, je le fis avec un grand sourire sur les lèvres, avant qu'il ne succombe au mienne en passant ses doigts contre mon dos nu, qui s'offrait à lui. Les talons aiguilles qu'il m'avait choisis, me permettait d'être un peu plus haute que lui, je n'avais pas à lever la tête, bien que nous n'avions que peu de centimètre d'écart.
Si ça te fait cet effet là, on la prend c'est clair et net un autre baiser et il allait me prendre une nouvelle robe. Mon dieu, elle était si belle, si raffiné.
Je l'adore et la couleur et splendide. L'échancrure aussi est belle dis-je en touchant du bout des doigts la fente qu'il y avait en bas.
Je vais l'enfiler je retournais derrière mon paravent, enlevait la robe blanche en la posant au dessus pour ne pas l'abîmer et j'enfilais la robe rouge foncé Bébé, tu viens m'aider à fermer la fermeture ? je n'arrivais pas à la monter le long de mon dos, elle était bien belle mais pas pratique pour l'enfiler seul, mais fort heureusement, j'avais mon Kenny, un outil indispensable quotidiennement.
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"T'es sur? Tu fais pas ça juste pour moi." Je savais que non, d'habitude elle me disait les choses clairement mais j'avais des doutes, je visais souvent bien quand ça concernait ses gouts et c'était étrange, je sais pas les mecs se plantaient en général sauf moi. "Ouais j'arrive." Je faisais le tour du paravent pour tomber nez à nez avec elle, je me figeais quelques secondes la regardant de haut en bas, si la robe blanche était divine, celle-là surpassait toutes les robes qu'elle portait et qu'elle avait, c'était d'une beauté à couper le souffle. "Je vais…" Je la regardais encore et encore sans bouger avalant ma salive bruyamment avant de me réanimer et d'aller fermer la fermeture éclaire sauf que je dérapais totalement en déposant des milliers de petits baisers le long de sa colonne vertébrale puis sa nuque, je décidais de la fermer enfin. "Je la veux aussi." Finissais-je par dire en chuchotant doucement. "Pour ce soir, je veux que tu mettes celle-là." J'étais limite prêt à la supplier, à me mettre à genoux par terre. "Dis oui, Anya, dis oui." Dis-je comme un enfant qui demandait un cadeau, mes mains sur ses hanches, je la faisais pivoter sur le coté pour lui voler plusieurs baisers. "Tu veux te faire maquiller? Coiffer? Les ongles par contre tu les portent un peu court pour l'activité de cet après-midi vaux mieux puis je pourrais te les faire si tu es d'accord." Au moins ça m'occuperait un peu pendant ce temps puis j'avais envie de participer.
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Kenny venait m'aider à fermer la robe, du moins, au début, il ne m'aidait pas vraiment, puisqu'il restait à l'entrer à me regarder comme si j'avais quelque chose en plein milieu du dos. Okay, Okay, je mettrais celle que tu veux mais s'il te plait, remontes moi là je riais un peu, frissonnant violemment lorsque je sentais ses grandes mains sur moi. Puis ses lèvres se posaient sur ma peau, remontant le long de ma colonne vertébral, je me tordais un peu, tournant le visage vers mon époux. Kenny je t'ai dis oui, je la mettrais, s'il te plait arrête, ce matin c'était déjà bien assez frustrant avouais-je en l'arrangeant. Je me tournais vers lui pour qu'il voit le résultat avant de lui demander de descendre la fermeture, il voulait que je la mette ce soir et pas maintenant. J'enfilais un peignoir pour aller me chercher de nouveau vêtement que je porterais pour le reste du programme. Je prenais un jeans taille haute blanc et un petit chemisier de la même couleur, il m'avait dit que nous devions rester décontracté, alors je le faisais mais avec de nouveau vêtement, si elle est pas belle la vie. Tu penses qu'il y a un soutient gorge par là ou je peux rester sans , ça se voit ? je me tournais vers lui en fermant les pans de la chemise pour qu'il me dise si c'était transparent, avant de la fermer complètement. On doit y aller c'est ça ? J'aurais bien passé ma journée ici dis-je en riant avant d'hocher la tête. Je vais y aller, juste laisse moi 5 minutes pour regarder encore, histoire de ne pas manquer la perle rare, puis je vais quand même pas repartir qu'avec deux paires de chaussures, deux robes, un jeans et une chemise ... dis comme ça, c'est certain que ça fait beaucoup mais vous verriez le nombre incalculable de vêtement qu'il y' a ici, à côté, ce n'était rien. Tu veux me couper les ongles et les limer ? Je t'aime tu sais, mais je te laisserais pas faire ce genre de chose, tu vas faire n'importe quoi j'attrapais son visage entre mes doigts pour déposer un baiser, sortant enfin habiller pour faire un dernier tour. Je prenais d'autre vêtement que je posais dans l'un des canapés, lingeries françaises, robes, manteaux ... Maintenant, j'avais bien rentabilisé l'argent de Kenny. L'idée qu'il me fasse les ongles ne me déplaisait pas, mais j'avais plutôt dans l'idée que se soit chez nous, pendant que nous regarderions une série, il me mettrait du vernis au pieds, verre de vin sur la table ... Lorsqu'on s'occupait de moi, j'attrapais la main de Kenny pour la serrer dans la mienne, les yeux fermés. Merci .. j'ai beaucoup aimé ce moment
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Frustrant. Je fus soulagé, tout à l'heure j'avais eu l'impression d'être le seul à être triste que notre moment soit avorté seulement non, Anya aussi avait éprouvé ce sentiment, je souriais un peu alors que je sortais de l'arrière du paravent en la suivant. Elle prenait les affaires comme si elle achetait des bonbons, je ne disais rien c'était sa journée, elle pouvait faire ce qu'elle voulait cependant le dressing qu'elle avait à la maison était déjà au bord de l'explosion comme sa valise. "Ouais ça se voit." Dis-je en tordant ma bouche sur le coté. "Mais y a de la lingerie de l'autre coté, ta pas tout vu." Y avait tellement de chose, je me rendais compte que j'en avais fais beaucoup trop, elle n'avait même pas eu le temps de tout voir. "Non mais ma puce on n'est pas pressé, il te reste une bonne heure avant qu'on parte, prend ton temps." Je me posais sur le fauteuil sauf que rapidement je me retrouvais sous une pile de vêtements, manteau, lingerie, je levais les yeux au ciel, limite elle était capable de tout emporter chez nous. "Je peux aussi être doux et minutieux, on dirait je suis une brute, tant pis." J'haussais les épaules, un peu vexé pour le coup, c'était que des ongles, au pire si j'avais fais une bêtise on coupait mais elle avait pas l'air de vouloir et ça me déplaisait parce que je sais pas je voulais le faire sur l'instant. Je boudais dans mon coin, Anya se faisait chouchouter juste à mes cotés alors que l'homme de tout à l'heure qui nous avait servit les coupes prenait les vêtements qu'elle avait choisi pour les emballer dans un sac. "De rien." Dis-je toujours aussi ronchon. L'homme m'appelait de loin, je me levais pour payer les articles de mon épouse, mon dieu la facture faisait mal heureusement que je gagnais bien ma vie et qu'elle aussi sinon je crois que j'étais endetté pour au moins 10 ans vu le prix. Sortant ma carte bleu, je regardais notre chauffeur embarquer les sacs pour les rapporter à notre appartement, il devait être dans les midis quand je consultais ma montre, Anya se faisait pouponner, moi je prenais mon téléphone pour régler les derniers détails pour le cours de cuisine de cet après-midi à 14h30. "On va manger après, j'ai faim." Dis celui qui c'était enfilé 3 pancakes ce matin sans aucuns soucis. "Par contre là y a pas de programme, alors soit à la maison, soit au restaurant, comme tu le sens.
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J'avais encore du temps, alors je l'utilisais à bon escient. Je prenais tout un tas d'autre produits sans vraiment faire attention au prix, je ne faisais jamais attention aux prix et j'étais bien heureuse de ne pas vivre avec cette contrainte. Ca doit être douloureux de craquer sur quelque chose et de ne pas pouvoir se l'offrir. A la maison, tu me le feras à la maison dis-je en caressant l'intérieur de son bras, fermant les yeux pour me laisser chouchouter. Je n'oubliais pas de lui dire merci, j'étais heureuse et satisfaite de ce moment. Kenny me faisait vivre un marathon de saint valentin. Après au moins une bonne vingtaine de minute, je fus joliment coiffé et maquillé. Kenny me proposait d'aller manger au restaurant où à la maison. Je penchais la tête, en pleine réflexion. Hum, si on rentrait, je ne suis pas certaine d'avoir le courage de partir après. Tu crois que si on rentre manger, on aura la force et l'envie de repartir ? Parce que moi ça ne me dérange pas de rester coincer avec toi tout une après midi et une soirée, mais je ne sais pas si tu as prévu quelque chose, alors ... c'est toi qui vois dis-je en enfilant mon manteau, faisant attention à mes boucles. J'avais envie qu'on arrive aux soir pour tout avouer, qu'on puisse être chez nous, qu'on puisse être l'un contre l'autre à s'échanger nos cadeau au coin de la fausse cheminée du loft, qui était certes une cheminé moderne, pas comme dans les films, mais entendre le crépitement des flammes et voir ces dernières danser était un pur régale. Nous allions dans la voiture et lorsque je vis le bonnet, je me demandais si là encore j'allais avoir le droit à un indice. Est-ce que je vais avoir un autre indice pour la suite du programme ?
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Sauf que je n'avais pas envie de lui faire, c'était sur un coup de tête, pas une offre à reporter. Je payais, réglant les derniers détails avant de partir d'ici, Anya se faisait des boucles, j'adorais ses cheveux comme ça même raide, du moment qu'elle les avait lâchés, ça ne me posait pas de souci. "On va au resto parce que je sais comment ça va se terminer à la maison." Oui je me voyais déjà lui faire des avances dans l'ascenseur, l'embrasser dans le couloir et la faire mienne sur le canapé du salon. "Aucuns indices, rien du tout, ta pas été très sage tout à l'heure." Je faisais référence à sa manière d'avoir prit mon lob d'oreille entre ses dents, son regard posé sur moi, j'étais si fébrile en sa présence sans compter le son de sa voix, elle me parlait pas souvent d'une manière si chaude, je commençais à regretter. "Du coup, rien." Je montais dans l'ascenseur, appuyant sur le rez-de-chaussée, je me posais au fond de la cabine, souriant doucement, sa tenue était agréable, son chemisier surtout, je me voyais déjà exploser ses boutons un par un ou pire lui jeter de l'eau dessus pour voir à travers. "Italien, j'ai trop envie d'une pizza depuis hier soir." Je lui prenais la main sortant de l'ascenseur en sa compagnie, les vigiles nous ouvraient la porte pour descendre au parking souterrain. "Avec tes talons c'est la galère, tu vas mettre milles ans, monte." Dis-je en courbant le dos pour qu'elle monte dessus et je dévalais les escaliers rapidement en rigolant pour aller jusqu'à notre voiture. "Madame." Dis-je en lui ouvrant la porte après qu'elle ai posée les pieds au sol. J'avais eu le droit à un merci, juste un merci, je voulais un bisou, un câlin, plus d'attention mais elle n'était pas trop expansive, je comprenais. Me mettant en route, rapidement on se retrouvait dans les embouteillages.
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Nous sortions de cet étage privatiser seulement pour moi, pour cette saint valentin qui était juste parfaite. Cependant, il ne voulait pas me donner plus d'indice et c'est la bouche en coeur que j'entrais dans l'ascenseur en regardant Kenny. Je m'approchais de lui en posant mes mains dans le bas de son dos pour les remonter, tentant de soutirer des informations mais le trajets fut tellement rapide qu'il sortait déjà comme pour ne pas craquer ça me va, j'ai aussi envie de manger de la pizza dis-je en me léchant la lèvre inférieure, puis connaissant Kenny il avait surement une bonne adresse à me faire découvrir comme la dernière fois. Je fus surprise lorsqu'il me prenait sur son dos, je lâchais un petit cri accompagné d'un rire avant d'enrouler mes bras autour de son cou et mes jambes autour de sa taille pour me laisser porter par mon cher et tendre époux. Monsieur dis-je une fois devant la voiture, il m'ouvrait la portière, je m'engouffrais dans l'habitacle. Bordel, c'est quoi ce bouchon ?! je me penchais un peu sur le côté pour voir le nombre incalculable de voiture, puis je regardais Kenny qui me regardait aussi. Un petit sourire sur les lèvres, je me penchais vers lui avant de carrément m'asseoir sur mon mari, lui laissant assez d'espace pour voir la route puisque mes lèvres allaient dans son cou. Je t'ai pas remercié comme il le fallait dis-je contre son oreille, en la lui tirant doucement alors que mes mains descendais dangereusement vers sa ceinture. Dieu merci, je béni celui qui a inventé les vitres sans teint, à croire que c'était aussi le dada de mon époux.
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