KENYA ▬ Valentine's day

Je rigolais, on formait une très bonne équipe Anya et moi, ok elle avait fait que couper les légumes mais elle avait aussi fait le dessert. Un dessert que je regardais au coin de l'œil. "Non plus tard en rentrant, je le mangerais sur toi." Dis-je coquin. Bien sur que je comptais la faire mienne encore, cette fois j'avais prévu le coup vu que j'avais des capotes un peu partout dans notre appartement, j'avais retenu la leçon croyez moi. "Sur? On peut encore manger enfin finir pour toi." Elle se levait, je la suivais, elle avait l'air d'être un peu excité, elle avait raison c'était agréable de la voir si joueuse, je me sentais moins seul même si je savais la surprise, ce que j'avais envie de voir c'était ses yeux. "Exact." J'enfilais mon manteau avec son aide puis on sortait fermant la porte derrière, appelant l'ascenseur main dans la main, je la contemplais dans sa robe, ouvrant mon manteau pour qu'elle se glisse à l'intérieur une fois dehors alors qu'on attendait notre voiture. "J'aurais du te dire de mettre un pantalon, tu vas finir en glaçon." Je la serrais fort alors que le vent soufflait pas mal et que notre voiture venait enfin. Je laissais Anya monter, moi aussi je me glissais à ses cotés alors que notre chauffeur nous conduisait au lieu du rendez-vous. Un bar. Un bar des plus chics complètement transformé à l'intérieur par des bougies, des fleurs, des ballons en forme de cœur, la carte du romantisme joué à fond. J'ouvrais la porte de la voiture pour Anya, prenant sa main avant de m'y glisser à l'intérieur, la musique commençait doucement, tout le monde était sur scène, moi je regardais le visage de mon épouse avec tendresse. "Ils sont là pour toi… Un concert privé rien que pour nous deux." J'avais bataillé pour sa présence, une heure de chanson. "Joyeuse saint valentin."

Nous sortions de l'appartement après avoir mit nos manteaux, me laissant ensuite porter par les gestes de mon mari. Une fois dans les rues froides de New York, je me faufiler dans le manteau de mon mari, qu'il m'avait ouvert à cet usage. Me tournant pour lui faire face, je me contentais de le regarder un instant, caressant sa joue sans rien dire, avant d'enfouir mon visage dans son cou. et j'aurais manqué le coup du manteau ?! Tu rêves je riais, déposais un baiser contre sa peau pour finalement, entrer dans la voiture lorsqu'elle fut devant nous. Galant, comme depuis le début de la journée mais aussi de notre relation, Kenny m'ouvrait la porte pour que je puisse entrer dans la voiture sans encombre. Chose que je fis. C'est après avoir roulé seulement 10 minutes que la voitures aux vitres noires s'arrêtait. Avant qu'on entre, tu peux demander à ton chauffeur qu'il monte prendre nos desserts et le reste de nos affaire pour les amener au loft ? Parce que ton cadeau est là-bas et j'ai aussi envie de te le donner ce soir oui, je n'avais pas envie de passer à côté de notre saint valentin. Je voulais que tout soit parfait. Une fois fait, je fus soulagé et c'est radieuse que j'entrais par cette grande porte orné d'or. Cependant, je ne m'attendais pas du tout à ce que je voyais. Premièrement, se fut mes oreilles qui furent interpellés, j'entendais un chanteur, un chanteur que j'aimais beaucoup. Hozier. Il chantait Take me to church, chanson que j'affectionnais particulièrement. Puis se fut à mes yeux d'être éblouis. Il y' avait des pétales de rose de partout, ainsi que des bougies et des ballons ? Au fond, je trouvais ça tellement beau, mais je préférais dire que c'était too much juste pour ne pas paraître trop niaise, enfin c'est ce que je dirais à mes amis, faisant comme ci tout ceci ne m'avait pas touché alors qu'en réalité ... j'étais sur mon nuage. Je serrais la main de Kenny entre la mienne l'entrainant un peu plus vers la scène. T'es complètement fou Kenny ! Merci merci merci ! Je me retournais pour poser mes deux mains sur ses joues et l'embrasser tendrement. Je t'aime soufflais-je contre ses lèvres, levant ensuite mon regard dans le sien, complètement amoureuse.

"D'accord, je reviens alors." Je donnais les instructions au chauffeur, les clés de la chambre d'hôtel qu'il devait laisser à la réception après avoir retiré nos affaires, il hochait la tête et partait sans rien dire, je n'étais pas habitué à ce qu'on soit à mon service mais peu à peu j'y prenais gout, plus besoin de me tracasser pour des petites futilités c'était plaisant. Viens le grand moment, celui ou j'allais lui montrer ma surprise, je l'avais laissé rentrer la première et main dans la main elle découvrait, je voyais bien ses yeux s'agrandir, s'illuminé, elle avait l'air d'être heureuse, pourtant la connaissant je m'attendais à une petite réflexion du genre que c'était trop niais mais non. Je souriais ne répondant rien à ses paroles, juste un sourire de joie alors qu'elle m'embrassait avec une folle tendresse, mes bras s'enroulaient autour de sa taille, je fermais les yeux, je perdais haleine vu la longue de notre étreinte jusqu'à me reculer doucement. "Je t'aime aussi." Murmurais-je. Anya me regardait avec des yeux tellement brillants, tellement remplit de joie que j'ai eu du mal à m'en défaire, à reprendre pied, me reconnecter à cette réalité. Elle était belle, vraiment, je ne regrettais pas d'avoir mit ma fierté de coté, je le referais encore et encore car le plus beau cadeau qu'elle venait de m'offrir c'était bien ça. Je lui volais un baiser, me reculant un peu en lui tendant la main. "Danse avec moi." Sans vraiment attendre sa réponse, nous dansions sous cette musique des plus douces et agréables, mes mains dans le creux de ses reins, ma joue contre sa tempe et mes lèvres qui trouvaient le moyen de déposer quelques bisous, c'était ma plus belle réussite avoir couru derrière elle pendant tout ce temps.

Je souriais contre lui, ce qu'il venait de faire pour moi, tout ce qu'il avait organisé était si extraordinaire. Par moment, j'avais l'impression que rien ne l'arrêterait juste pour me faire plaisir, juste pour voir un sourire se dessiner sur mes lèvres. D'ailleurs il ne me quittait plus. Je l'entrainai sur le devant de la scène, pour profiter de ce concert privé d'Hozier qu'il m'offrait pour la saint Valentin. Mes lèvres trouvaient bien rapidement les siennes, je n'avais plus envie de les quitter et pourtant, il le fallu au bout d'un certain temps. Ca serait con de mourir ce soir, quoique mourir contre ses lèvres ne me dérangerait pas. Mes yeux étaient brillants, je regardais la scène, en me déhanchant un peu jusqu'à ce qu'il me demande de danser. Si tu m'écrases pas les pieds, je veux bien riais-je sans pour autant avoir le temps de prendre ses mains dans les miennes qu'il était déjà entrain de m'entrainer dans une douce danse. Nous ne dansions pas comme en Russie, nous nous contentions de nous balancer de droite à gauche en tournant sur nous même, yeux dans les yeux et ça me suffisait amplement. Quand est-ce que t'as pris le temps de faire tout ça ? Tu l'as fait venir lui ? T'es incroyable Je posais ma tête contre son torse, le visage tourné vers la scène pour écouter mon chanteur du moment s'égosiller sur une chanson qui me plaisait tant, un peu plus rythmé cette fois ci. C'était surement la plus belle saint valentin qu'il m'ait offerte.

"Je vais essayer." Je ne lui promettais rien souvent quand j'étais un peu déstabiliser, je perdais pieds, je lui écrasais donc ces derniers. Silencieux, je dansais avec elle profitant de la musique, cette journée était parfaite, je ne trouvais pas vraiment de point noir dedans même quand on avait eu une petite altercation au sujet d'Andy, au moins elle avait comprit que je me sentais inutile par moment chose qui était fausse, sa déclaration avait été si belle, si parfaite. Je fermais les yeux, Anya parlait je souriais doucement. "Pour te rendre heureuse, j'irais chercher la lune s'il le faut." Niais à mort mais tellement vrai, la preuve, j'avais mis des heures à tout faire mais ça valait le coup regarder là. On terminait la danse, je partais vers le canapé pile en face de la scène, j'avais besoin de me poser un peu je me sentais pas très bien assez nauséeux, un peu migraineux aussi, je sais pas ce qu'il m'arrivait. "Ma puce, je peux fouiller dans ton sac?" Je crois qu'elle ne m'entendait pas, madame se déhanchait sur une chanson, je m'attardais sur son fessier qui se balançait de droite à gauche, souriant amusé alors que je fouillais dans son sac pour prendre mes cachets, elle les avait toujours sur elle, sans mon accord rien c'était sa manière de s'occuper de moi, elle était prévenante, une femme parfaite. Je bu un verre d'eau rapidement puis deux cachets plus tard, je prenais une aspiration pour aller danser avec elle. Les musiques s'enchainaient, je passais un excellent moment, tout était vraiment parfait, je bougeais contre Anya parfois sensuellement, parfois plus chastement, amusé et rieur, je lui avais même mordu le cou pendant une chanson pour illustrer les propos de cette dernière. On s'amusait, ça faisait longtemps que nos rires n'avaient pas autant duré puis viens la dernière note. Mon bassin contre le fessier de mon épouse, ma main sur son ventre, je la retirais pour applaudir chaleureusement.

Quand bien même les paroles de Kenny étaient d'un niai absolue, au fond, je savais que c'était vrai. Qu'il ferait tout pour moi. C'était sécurisant de se savoir autant aimé. Nous dansions l'un contre l'autre, le regard plongé dans ses prunelles, je ne le lâchais pas, je n'en avais pas envie, mais après quelques chansons, il allait s'asseoir. Quant à moi, je restais devant la scène profitant au maximum de ce concert privé auquel j'avais le droit en ce jour de la saint valentin. Les bras levés, je me déhanché au rythme de la musique, les yeux fermés, j'aimais ce moment, j'aimais cet homme. Soudainement, je sentais les mains de mon mari revenir contre moi. Je me laissais aller contre lui, dansant face à face, puis dos contre torse. D'ailleurs j'aimais bien cette manière là. Je pouvais me reposer sur lui, l'arrière de ma tête contre sa joue. Je posais mes mains sur les siennes qui s'étaient délicatement apposées contre mon ventre. Hey arrêtes de me mordre dis-je en riant doucement, laissant ma main monter le long de son bras pour passer contre sa nuque et lui donner une pichenette dans l'oreille, du moins, c'était mon but premier. La dernières note se faisait entendre. J'applaudissais moi aussi, regardant Hozier et ses musicien venir vers nous. Me défaisant de Kenny, j'allais lui faire la bise et le remercier, il avait l'air heureux d'avoir pu faire ce genre de chose en cette soirée si spéciale, puis après avoir discuté avec lui quelques instant, je revenais vers mon mari, me posant sur ses genoux. Un concert privé d'Hozier ... Kenny comment vas-tu faire pour te surpasser la prochaine fois ? lui demandais-je en riant, mes bras tendus autour de son cou, mains contre sa nuque. Je suis ravie de tout ce qu'on a fait .. de notre journée mais on peut rentrer maintenant ? oui, j'avais hâte de lui donner son cadeau, j'étais certaine que cela allait lui plaire, aller le toucher, faut dire aussi que c'était assez compliqué de faire un cadeau à Kenny. Entre son anniversaire, noël et la saint valentin ça fait beaucoup en l'espace de 3 mois.

Les dernières notes se faisaient entendre, je saluais aussi les musiciens avant de me laisser tomber sur un des fauteuils, j'étais complètement mort de fatigue cette journée avait été rude en émotions. "Aucune idée." Je rigolais en enroulant mes bras autour d'elle. "J'ai l'espoir que tu te souviennes de rien comme ça si je t'offre juste une journée shopping ça passera." Je riais encore une fois, posant mon menton contre son épaule. "Comment j'espérais que tu me dises ça." Je lui volais un baiser, j'avais envie de rentrer aussi mais je me disais qu'elle était capable de m'entrainer ailleurs pour faire la fête. "Accroche-toi mon amour." Je la prenais dans mes bras, glissant mes mains sur ses cuisses pour la transporter jusqu'à la sortie et jusqu'à notre voiture. Elle avait l'air fatiguée, je crois que pour ce soir, on allait éviter les câlins, je pense ne pas être en forme, je baillais déjà dans la voiture et quand je la faisais glisser sur la banquette arrière, je lui faisais installer sa tête sur mes cuisses pour qu'elle s'allonge totalement. Je la regardais tendrement, caressant son front avec douceur, poussant quelques mèches rebelle de son front aussi. Notre loft se dessinait à l'horizon, je le regardais quelques secondes perdu dans mes pensées alors que la voiture s'arrêtait. "On est arrivé." Je lui caressais la joue, faisant attention à sa tête, je me redressais pour sortir et lui prendre la main, l'heure des cadeaux étaient arrivés. Stresse total même dans l'ascenseur, je tapais mon pied sur le sol.

Kenny avait l'air si fatigué. Je me posais sur ses genoux, caressant sa nuque du bout de mes doigts tout en lui demandant si nous pouvions rentrer au loft. Toute cette journée, cette soirée avait été exquise, mais j'avais maintenant envie d'être tranquillement installé chez nous, d'échanger nos cadeaux. Cette fois-ci, je n'avais pas hâte de connaître le mien, parce que tout ce qu'il avait organisé était déjà un beau cadeau. Non, j'avais hâte de lui donner le mien, qui était beaucoup plus personnel que matériel pour une fois. Il se levait en me prenant dans ses bras, je souriais en riant un peu, j'avais l'impression de revivre la scène de la porte d'entrée, celle qui ouvrait la lune de miel des jeunes mariés. Dans la voiture, Kenny prenait soin de moi, posant ma tête contre ses cuisses pour caresser ma peau du bout des doigts, retirer les quelques mèches qui venaient obstruer sa vision pour terminer par passer ses doigts dans mes cheveux. J'avais fermé les yeux un instant, non pas parce que j'étais fatigué, mais parce que j'aimais cette tendresse qui se dégagé de ses gestes. Nous sortions de la voiture, passions les portes tournantes pour atteindre l'ascenseur. Kenny, arrêtes de taper du pied comme ça tu vas finir par le bloquer dis-je en posant ma main sur sa cuisse pour le faire arrêter T'essayes de me faire le coup de la panne d'ascenseur c'est ça ?

J'étais tellement flippé, Anya avait toujours eu ce qu'elle voulait dans la vie, comment voulez vous que j'offre quelque chose de bien à ce genre de femme? Je tapais du pied dans l'ascenseur, la fatigue c'était envolé totalement, disparu comme si elle n'avait jamais pris la peine de frapper à ma porte. "Hein?" J'étais perdu dans mes pensées, ailleurs, alors qu'elle arrêtait ma jambe de sa main. "Même si je le faisais, tu serais trop coincé pour le faire." Je souriais, rigolant un peu, Anya ne ferait jamais ça ici bien qu'il n'y avait pas de caméra je doutais que c'était le genre de personne à se livrer à ce genre de truc dans un lieu un peu publique quoique… Non je connaissais mon épouse et je doutais que coller son dos contre un mur ou des tonnes de gens s'étaient collés lui plairait bien qu'elle portait une jupe. Rah ! Je pestais, maintenant j'en avais envie, je croisais les bras attendant qu'on monte en tapant de nouveau du pied contre le sol. Le cadeau que je lui avais fait n'était pas si gros que le sien, d'ailleurs qu'est-ce que ça pouvait être. Je ne pensais pas à un instrument de musique c'était difficile, j'avais des gouts assez spéciaux fallait que ça fasse certains sons, pas trop aiguës du coup elle ne prendrait pas le risque et je ne voyais pas ce que le gros carton pouvait contenir. Sortant de l'habitacle, je cherchais les clés, mes poches de mon manteau, de mon pantalon, je les trouvais enfin, les glissants dans la serrure pour rentrer. Tous les sacs de ce matin nous attendaient sur la table, nos vêtements aussi de l'hôtel propre et repassé surement grâce à la blanchisserie de l'immeuble sans compter nos gâteaux qui se trouvaient sur le comptoir de la cuisine. "Je vais chercher mon cadeau." Je partais dans la chambre, le sien était resté dans le salon, je le voyais dans le coin de la pièce prêt de la nouvelle plante verte. Revenant avec un écrin bleu, je lui donnais. Un bracelet en or blanc, des diamants assez discret posés dessus et une inscription à l'intérieur écrit dans ma langue natale: tu m'appartiens, signé de mon initial. Rien de plus, un simple cadeau.

Je levais le regard vers Kenny lorsqu'il me disait être trop coincé pour faire ce genre de chose. J'étais un peu surprise d'ailleurs. En cet instant, deux questions s'offraient à moi. Soit il disait cela pour me faire faire le contraire, pour me pousser à le faire ou soit, il disait cela, pensant alors que je n'étais qu'une débutante, que j'étais une femme frigide incapable de spontanéité. Pourtant, il me semblait lui avoir déjà montré que j'en étais capable non ? Forte heureusement, les portes s'ouvraient bien rapidement, nous nous engouffrions dans l'appartement chauffé par le feu de cheminée, bon dieu ce que c'était plaisant. Alors rapidement, j'enlevais mon manteau, Kenny lui fonçait dans la chambre pour aller prendre mon cadeau et quant à moi, je prenais le gros paquet blanc, entouré d'un ruban rouge. Je l'installais sur la table basse avec un peu de peine d'ailleurs, parce qu'il était vachement gros. La différence me fit sourire lorsqu'il revenait avec ce petit paquet bleu. Aussitôt, je reconnaissais la marque. Je peux l'ouvrir ? demandais-je en le prenant entre mes mains, le regard obnubilé par ce petit noeud blanc que j'avais envie d'enlever avec une rapidité folle. Le scénario d'ailleurs, se déroulait déjà dans ma tête. J'arrachais avec mes dents le noeud pour découvrir ce fameux cadeau ... sauf qu'il fallait que je garde un peu de contenance. Vous ai-je déjà parlé de ma curiosité ? De mon attitude face à des cadeaux ? C'est peut être bête, mais j'aimais qu'on prenne le temps de me faire plaisir. Kenny me fit un signe que oui et c'est avec la plus grande délicatesse, que finalement, je défaisais le maudit ruban blanc pour ouvrir la boite. Face à moi, se trouvait un magnifique bracelet en or blanc, parsemé de diamant. Je levais mon regard vers Kenny, éblouie par la beauté du bijoux. Je le tournais entre mes doigts pour y découvrir une inscription qui vint me faire sourire. A défaut de me le graver sur le front, tu le fais sur ce bracelet c'est ça ? lui demandais-je avec un petit rire argentin. Tu me le mets ? tendant le bracelet et mon poignet, j'avais qu'une hâte, le découvrir autour de ma peau. D'ailleurs, il m'allait divinement bien, pas trop grand, ni trop petit, la couleur de ce dernier s'accordait parfaitement à ma peau halée par le soleil de Los Angeles. Il est magnifique soufflais-je en le regardant à nouveau, je levais mon poignet pour que les diamants s'accrochent à la laumière. Regardes !!!