KENYA ▬ Valentine's day

Mes mains sur ses hanches, je la regardais encore et encore sans la lâcher avant de soupirer légèrement. "Tout vient à point qui sait attendre." Dis-je avec un air amusé. Je me rinçais, fallait que je cesse de la chercher parce que ça avait un effet bœuf sur moi et que j'allais réellement la coincer dans la salle de bain pour la faire mienne. Je sortais rapidement, enfilant une serviette autour de moi, retirant la buée du miroir pour me regarder quelques secondes et me brosser les dents. Anastasiya finissait, je la regardais avec envie quand elle enfilait cette serviette, j'en fus jaloux, j'aurais aimé être à sa place, contre sa peau, l'embrasser, je frissonnais en sentant sa peau me frôler c'était si… froid. Oui froid, comme si elle avait mit de l'eau gelée sur elle, je fus amusé, j'avais envie de rire alors que je posais le dentifrice sur le coté. "Là." Dis-je en la frôlant à mon tour délibérément pour lui montrer de l'index. Je me brossais les dents vite puis je sortais déverrouillant la porte avec hâte, il y avait une tension entre nous, c'était mauvais pour la suite de la soirée on ne sortirait jamais si on s'écoutait. "32 minutes !" criais-je pour qu'elle m'entende. J'enfilais mon costume Calvin Klein rapidement, nouant la cravate aussi vite, j'avais pris le coup de main depuis le temps, mon nœud était parfait, bien serré, ma chemise bien fermée, mes boutons de manchette brillait légèrement sous la lumière alors que je me contemplais sur le grand miroir de la cabine principale. J'avais une allure de maitre de l'univers sans me vanter, mes cheveux coiffés, je regardais pas le hublot pour apercevoir la limousine qui attendait toujours manquait plus qu'elle.

Une fois sortie de ma douche froide, j'enroulais rapidement une serviette autour de mon corps pour le rejoindre. Je prenais un instant pour le regarder avant de me ressaisir. Je me demandais bien où était le sèche cheveux et lorsque je lui demandais, il ne trouva rien de mieux que de me frôler. Gad, je n'en pouvais plus. Je me reculais un peu, parce que je n'étais pas certaine de pouvoir me contenir et lui... n'avait pas l'air de vouloir partager un petit moment avec moi, alors je refrénais mes envies. Kenny était déjà sorti, s'habillant. J'en faisais de même. Je me brossais les dent avant de me sécher les cheveux. Je prenais ensuite le temps de me faire des boucles, je sais qu'il aimait ça, alors autant lui faire plaisir. Après l'étape du maquillage que je voulais discret, j'enfilais enfin cette robe qu'il m'avait choisi. Je l'adorais littéralement, je n'avais même pas eu besoin de lui pour fermer la fermeture éclair et j'en fus heureuse puisqu'il pourrait me voir fin prête. Je sortais de la salle de bain discrètement, je le regardais se contempler dans le miroir. J'adorais toujours autant ce smoking. Il lui allait si bien, dessinant chacun de ses muscles pour venir les mettes en avant. Hum hummm je me raclais la gorge pour qu'il se retourne, j'avançais vers lui les mains sur les hanches attendant sa réaction. T'en penses quoi ?

J'étais un peu stressé, cette soirée comme celle de demain était une sorte de nouveau départ pour nous, on oubliait la grosse dispute pour passer à ce qu'on faisait le mieux, s'aimer. Mon regard était toujours posé contre le miroir quand Anya se raclait la gorge, je me tournais, un léger sourire flottait sur mon visage, les yeux brillants de malice et un brin coquin. J'approchais lentement, mes yeux étaient brillant trahissant ma réaction à des kilomètres. "J'en pense qu'elle va tomber rapidement ce soir, que je penserais qu'à te la retirer lentement, laissant mes doigts trainer con…" Quelqu'un se raclait la gorge, le chauffeur, mon chauffeur, je l'avais pas engagé, ma mère oui elle avait décidé que j'avais besoin de me faire conduire après le petit accident que j'avais eu à New York. Un accident passé sous silence aux yeux de mon épouse vu qu'il était sans gravité. "Je suis désolé monsieur mais nous devons y aller." J'hochais la tête, me tournant de nouveau vers Anya. "Tu es ravissante." Finissais-je par dire. "On y va si tu es prête." Je lui prenais la main, on allait dehors ensemble, à chaque pas, je veillais à ce qu'elle ne tombe pas, j'avais un peu peur, les escaliers pour descendre du jet était assez rude. La limousine se dessinait sous nos yeux, j'ouvrais la porte à mon épouse, la claquait une fois à l'intérieur et je fis le tour pour y monter ensuite. La voiture ne perdait pas de temps, on se mettait déjà en route alors que je cherchais sa main pour la nouer à la mienne. "Première sortie depuis le mariage en Russie, on va être encore plus scruté." ça m'amusait, j'étais pas autant habitué aux photographes qu'Anya. "Je pense pas rester pour le diner ensuite, je n'aurais pas le courage…" dis-je avec des yeux brulants.

Je me raclais la gorge en sortant de la salle de bain, fin prête pour notre soirée. J'attendais qu'il me dise quelque chose, qu'il émette un jugement sur ma tenue. Oui, j'avais pris du temps pour me faire belle, mais ça vaut le coup non ? Sa réaction ne se fait pas attendre. Je passe mes cheveux d'un seul côté de mon épaule en avançant vers lui, faisant attention à ma robe. Ses mots. Mon dieu, il avait mit du temps à me les sortir et quand bien même sous la douche j'avais pu voir sa réaction physique j'avais besoin qu'il me le fasse sentir, qu'il me montre que c'est bien moi, qu'il me veut vraiment et qu'il m'aime parce que la tour de pise, je la voyais régulièrement, j'avais même l'impression qu'elle se montrait à tout bout de champ lorsque j'étais dans les parages Tout vient à point qui sait attendre. dis-je avec un grand sourire, lui servant sur un plateau d'argent les mots qu'il avait pu me dire, mais mon dieu, c'était difficile à dire, parce que je n'avais pas envie d'attendre, j'avais envie d'avoir tout, maintenant. Un chauffeur arrivait, je sursautais un peu, je pensais que nous étions seuls. et moi j'aime toujours autant ce smoking sur toi dis-je en arrangeant un peu la veste de costume avant de suivre le chauffeur. Je soulevais un peu ma robe en sortant du jet pour ne pas tomber et me prendre les pieds dedans. Je frissonnais cependant un peu, il faisait vrai et il ne m'avait pas prévu de veste, quoiqu'il serait dommage de couvrir cette magnifique robe qui dévoilait mon dos. J'avais toujours aimé ce genre de vêtement. Je trouve que laissait son dos apparent était une forme de sensualité, vous-ai déjà dis que j'adore les dos ? Surtout celui de mon mari qui était parfaitement musclé. Mains dans la main, nous arrivions aux abords de la voiture jusqu'à ce qu'il ne m'ouvre la porte pour que je m'y engouffre dedans. Cette limousine noire était spacieuse, j'adorais ce genre de véhicule bien qu'un taxi New Yorkais ne me faisait pas peur non plus. Tout un symbole.  Je posais ma main sur la cuisse de Kenny, en regardant le décors de la grosse pomme se profiler sous nos yeux. Ca va bien se passer, puis je nous trouve plus que pas mal pour une première sortie. Mon père va être ravi dis-je en riant un, tournant ensuite le regard vers Kenny. Pourquoi tu te sens mal ? Si tu veux on peut rentrer, je veux pas que tu te forces pour moi , surtout si tu te sens pas bien

Elle frissonnait, je l'avais vu ce n'était pas moi cette fois mais le vent qui soufflait, je n'avais pas prévu de veste parce que la météo m'avait laissé penser qu'il n'y en avait pas besoin hors je me trompais totalement. On allait dans la voiture, assis, je nouais mes doigts autour des siens, la regardant avec un sourire sur le coté quand je repensais à ses paroles de tout à l'heure, elle m'avait piégée, m'avait servit mon proverbe et la voir avec autant de réparti ne faisait qu'entretenir mon désir pour elle. "Qu'il le soit ou non, je m'en moque, je te trouve très belle." Igor allait surement trouvé la robe de sa fille trop dénudé vers le dos mais c'était normal, il était père, je ferais pareil avec Alessia. "Anya." Je levais les yeux au ciel en laissant ma tête tombé en arrière rigolant. "Pas du tout, je vais bien juste que je sais pas si je pourrais me tenir, j'ai des images qui me viennent là…" Je la regardais avec des yeux brulants alors que la voiture se garait, le coup du destin, chaque avance, chaque fois j'étais repoussé, quelle poisse. Le chauffeur sortait, ouvrant la porte à mon épouse puis la mienne, je sortais en fermant le bouton de ma veste alors que les flashes crépitaient déjà autant sur moi que sur Anastasiya. "On y va mon amour." Dis-je en lui offrant ma main. On s'avançait ensemble, derniers invités, posant tous les deux sur le tapis rouge, ma main dans le creux de ses reins, je regardais Anya avec un sourire des plus tendres sans même m'en rendre compte, les photographes capturaient ce regard, je me doutais pas un seul instant que cette photo ferait l'objet d'un article sur moi dans la presse people. Au bout de 5 bonnes minutes, je décidais de rentrer avec elle dans la salle ou nous étions bien placés, en haut dans un balcon privé, deux sièges, rien que nous deux, je la laissais prendre place avant de me poser sur le siège à côté. "Hé…" dis-je en passant ma main derrière sa nuque pour l'embrasser très tendrement alors que la musique commençait, le ballet se déroulant sous nos yeux.

Kenny ou l'homme qui peut être galant ou pas du tout. Il ne me proposait même pas sa veste en voyant des frissons clairsemé ma peau sous la fraîcheur de New York. Les voitures étaient encore recouverte de neige et c'est bien pour ça que je m'engouffrais rapidement dans la voiture. Je me frottais les bras comme pour me réchauffer un peu mais le chauffage venait rapidement remplir ses fonctions. Je souriais à sa remarque, il n'arrêtait pas de me le dire depuis que j'avais enfilé cette robe et je dois avouer que j'étais bien heureuse de savoir que je lui plaisais autant. Cependant, je me demandais s'il voyait l'éclat doré de cette robe, à quel point elle se marier avec mes cheveux, à quel point elle allait avec mon bronzage et mes yeux bleus, d'ailleurs, mes yeux, les voyait-i aussi bleu qu'ils le sont ? Kenny me disait qu'il n'était pas certain de rester jusqu'au diner. Je me demandais s'il allait bien et sa réponse me fit arquer un sourcil. Il me parlait d'image, je tournais le visage vers lui jusqu'à voir son regard. Je riais en levant les yeux au ciel avant de lui donner une tape sur le torse. T'es vraiment incorrigible comme mec je déposais un baiser sur sa joue, lissant un peu ses cheveux mais c'est bien pour ça que je ... je me mordillais un peu la lèvre, je me demandais si je devais lui dire t'adore dis-je avec un grand sourire. Oui, le je t'aime n'étais pas sorti parce que je pensais m'être déjà bien ouverte, je pensais avoir fait assez de pas alors que dans l'histoire, j'avais plus subi qu'autre chose, son changement d'humeur soudain et ses idées sorties tout droit de son imaginaire. Sauf que juste après il me disait mon amour et là je me sentais un peu mal de ne lui avoir dit qu'un simple je t'adore. Certes, c'était la réalité. J'adorais cet homme, j'adulais cet homme, j'aimais cet homme. Je prenais sa main pour sortir de la voiture, nous passions devant les photographes, prenant la pose. Je souriais aux flash, posant pour eux, puis je me tournais vers Kenny en apercevant son regard. Le mien fut de la même nature avant qu'il ne me traine vers l'intérieur. Sur le petit balcon, je me posais sur mon siège , me tournant vers Kenny en entendant le son de sa voix et je fus enfin, inondé par ses lèvres. Je souriais contre ses lèvres, posant ma main dans ses cheveux brun pour l'obliger à rester ainsi et sentir d'autant plus ses lèvres contre les miennes. ça m'avait manqué bébé soufflais-je doucement contre ses lèvres, les yeux fermés pour finalement les ouvrir et plonger mon regard dans le sien. Je frottais mon nez contre son nez pour y déposer, ensuite un baiser. Je ne mis pas longtemps à attraper mes petites jumelles, m'accoudant au petit rebord de notre balcon pour regarder le spectacle.

Mon humeur avait tellement changé en quelques heures j'avais eu peur de cette soirée, de me retrouver avec elle seul, peur qu'on se dispute encore et encore sauf que plus le temps avançait plus je voyais qu'on avait tous les deux envie de passer a autre chose alors une fois sur le balcon, je l'embrassais. Je frissonnais doucement en sentant sa main dans mes cheveux, elle savait s'y prendre tant que pour le baiser mais aussi ses gestes car elle ne touchait jamais ma cicatrice, j'étais un peu sur les nerfs quand elle le faisait. "Moi aussi." J'avais les lèvres en feu, mes yeux étaient dans les siens, je prenais une aspiration pour me donner du courage et regarder le spectacle. Faut dire que le petit coup de je t'adore ne passait pas, elle n'avait pas dis je t'aime c'était... Je n'appréciais pas alors oui elle avait fait des efforts en venant me voir, me proposant la douche ensemble mais un je t'aime était tellement plus fort que tout. Je regardais le beau spectacle, c'était si poétique, si romantique aussi, je me laissais prendre au jeu avec mes jumelles rigolant doucement quand je les dirigeais vers mon épouse pour voir sa poitrine en plus gros, vu plongeante. Je riais un peu, un serveur venait nous donner deux coupes de champagne. "Santé." Dis-je en trinquant avec Anastasiya. J'étais content ce soir elle rayonnait tellement j'espérais y être pour quelque chose et non pas juste le spectacle. La pause eu lieu environ 45 minutes plus tard, une petite intermède qui était comblé par une castra chantant une chanson italienne qui personnellement me cassait les oreilles. "Approche ma puce." Je lui prenais la main pour la faire glisser sur mes genoux, la serrer dans mes bras avec délicatesse et embrasser son cou sensuellement. Des avances en plein milieu d'un chant classique, d'un théâtre bondé, j'avais l'impression d'être un or la loi.

Je n'avais tout simplement pas dis je t'aime, parce qu'il ne me l'avait toujours pas dis depuis la dispute et que j'avais fait pas mal d'effort pour qu'on se rapproche et je n'avais pas envie d'être faible. Je sais, c'est une conception bien idiote de la notion de couple, mais ma fierté n'étais jamais bien loin, elle avait toujours un certain pouvoir sur moi et je ne suis pas certaine qu'elle n'en ait plus un jour ou l'autre. J'aimais également cette partie de moi qui ne me faisait pas paraître pour quelqu'un de faible. Je regardais cette danse si mélodieuse pour mes yeux. Oui, la danse était aussi tout autant expressif et doux que la musique. Je donnais une petite tape sur la joue de Kenny en le voyant diriger ses jumelles sur ma poitrine du coin de l'oeil, puis je me concentrais à nouveau, n'oubliant pas de trinquer avec lui. L'intermède arriva vite, bien trop vite à mon goût, mais j'aimais aussi la musique classique et cette dame aux rondeurs voluptueuse nous donner une pause bien douce, ou peut être pas pour Kenny puisqu'il m'attrapait la main en me tirant sur ses genoux. Les jambes d'un seul côté, étant donné que je ne pouvais pas les passer de par et d'autre de son corps puis c'était assez inconvenant comme position dans ce genre d'endroit. Je serais moi aussi tendrement Kenny, profitant de ce tende moment pour fermer les yeux mais je fus bien vite surprise par ses lèvres qui se baladaient dans mon cou Mais qu'est ce que tu fais ? Arrêtes, c'est pas l'endroit imagines quelqu'un nous voit, nous prend en photo dis-je en posant mes mains sur son front pour faire basculer sa tête en arrière et plonger mon regard dans le sien N'es-tu pas sensible à ce genre de musique ? dis-je en tournant briévement la tête vers la femme qui s'égosiller derrière moi

Mes lèvres parsemaient sa peau de tendre baiser alors que mes mains restaient sagement contre ses hanches, sa peau, son odeur, son gout m'avait cruellement manqué et désormais, je pouvais l'avoir de nouveau, je n'allais pas du tout me priver, je fermais les yeux en continuant ces doux baisers quand elle me repoussait. "Y a personne." Dis-je en la regardant avec un sourire dans le coin. "Les journalistes sont interdit, y a même pas de photographe officiel pour la soirée apparemment l'organisateur voulait qu'on profite tous alors les bisous sont autorisés, tu crois pas?" Je souriais délicatement, tournant ensuite mes yeux sur le spectacle qui se déroulait face à nos yeux. "Je suis plus sensible à toi quand tu chantes, tu as une voix tellement… belle. Malheureusement, tu le fais pas souvent." Dis-je pensif pour le coup. J'aimais pas trop ce genre de musique, pas que je n'aimais pas mais si je pouvais m'empêcher de l'écouter, je le ferais. "Je t'adore toi tu le sais, c'est sympa d'être avec toi." Sympa, je t'adore, autant de mots qui me faisaient plus que sourire, je luttais pour ne pas éclater de rire parce que ça me rappelait tellement de moments avec elle, mauvais certes mais drôle. "Sympa, sympa." Répétais-je en me mordant l'intérieur de la joue.

Kenny me trouvait tout un tas d'excuse pour justifier son comportement. Je le regardais en penchant la tête sur le côté, avec une moue de réflexion sur les lèvres. Tu vas trouver une solution à toutes les objections que je vais te donner ? finalement, je souriais en demandant cela parce que savoir qu'il se fichait bien du regard des autres, qu'il me voulait juste moi, poser ses lèvres contre mon cou me faisait plaisir. Dans ces cas là, je pense que oui c'est autorisé, mais je te promet que s'il y'a des photos volés d'un portable où je ne sais quoi, je te coupe la tête dis-je avec un énorme sourire. T'es pas objectif puis arrête de dire que je sais chanter c'est pas vrai, elle est passée où ton oreille absolue ? je lui donnais une pichenette sur le nez, tout en passant mes doigts dans ses cheveux, frôlant sa cicatrice du bout de l'index avec une tendresse folle, je pouvais la sentir sous mes doigts. Kenny me servait un florilège de mots gentillets, je le regardais sérieusement neutre comme pour le sonder, me demandant bien où il pouvait bien pêcher ses mots, puis je compris que c'était moi, que je lui avais déjà dis ce genre de chose et il y a peu même. Ah oui ? Tu trouves ça sympa sympa de passer un moment avec moi ? je prenais ma coupe entre mes mains pour en boire une petite gorgée, les fesses posait sur la balustrade à présent. Je suis certaine que je trouverai ça sympa de passer du temps avec moi, si je n'étais pas moi , en l'occurrence, c'est loupé pour moi, mais toi t'es vraiment un petit chanceux dis-je avec un grand sourire.