KENYA ▬ Valentine's day

"Ta vu ça?" Je rigolais en sortant de la salle pour aller dans l'ascenseur. Comme bien souvent je restais au fond de la cabine, Anya affichait un petit sourire dans le coin qui me charmait, mes yeux brulaient, elle glissait ses mains dans les poches de mon jean, j'adorais ça, la savoir si proche, si tactile, je prenais une aspiration posant mes mains sur son visage repoussant des mèches rebelle. "Il se passera ce que tu veux." Murmurais-je sensuellement avant de me jeter sur ses lèvres, l'embrassant langoureusement, sans complexe face à la caméra, je laissais mes mains glisser à l'arrière de sa nuque pour l'empêcher de se retirer et pour la première fois on allait enfin se poser tranquillement au moins 2h. L'ascenseur s'ouvrait, je lui mordais la lèvre inférieur avant de l'attirer dehors pour ouvrir la porte de notre suite. "On va prendre un bain, tout de suite." Dis-je en déboutonnant son chemisier blanc, sur le canapé se trouvait la robe rouge et les chaussures qu'elle avait choisi ce matin, moi une chemise noir, un pantalon de la même couleur ainsi que de belles chaussures en pointe qui brillaient légèrement sous l'éclairage. "vous êtes peu coopérative madame Kovalevski." Je la poussais sur le grand lit pour lui retirer son pantalon avant de monter à califourchon sur elle, les yeux qui brulaient, prédateur, amoureux aussi. "Je vais tâcher de ne pas trop vous épuisez." Un léger sourire se lisait sur mon visage alors que j'embrassais son cou, descendant sur son buste, embrassant le passage de sa peau découverte jusqu'à sa poitrine pour me redresser, son pantalon blanc, ses chaussures tombaient au sol, mon pull bleu suivait alors que j'ouvrais doucement mon pantalon. "La salle de bain."

Il était juste intenable lorsqu'il s' y mettait, je déposais mon visage dans son cou, un instant, mais se fut sans compter l'irrémédiable envie de mon mari que de m'embrasser. C'est limite s'il ne m'avait pas arracher un cheveu dans sa fougue momentanée. Je caressais ses lèvres, doucement, avec les miennes puis je laissais un petit grognement en sortir lorsqu'il tirait sur ma lèvre inférieur. mais .. j'ai déjà les lèvres gercé regardes dis-je en tirant sur ma lèvre, le froid de NY ne m'allait pas forcément bien, en même temps, depuis que nous étions arrivés, j'avais l'impression que nous défions toutes les conditions climatiques de la ville, robe, chemisette ... et alors, on s'en fou nous, partout où on passe, l'hiver trépasse (aa) Un bain ? Oh d'accord il ne me laissait le temps de rien qu'il était déjà en train d'enlever ma chemise. Waouh, est-ce que le pas de la porte est le passage pour un autre monde ? En un claquement de doit, j'avais affaire à un Kenny sauvage, désireux et impatient. En même temps, tu me laisses pas le temps de faire grands choses et là encore, il venait confirmer mes dires puisque je me faisais littéralement poussé sur le lit et déshabiller. Mais qu'est ce qu'il te prend lâchais-je en essayant de le regarder, me remontant sur mes coudes, avec un petit rire, je ne comprenais rien à ce qu'il était entrain de m'arriver. Je me laissais tomber en arrière lorsqu'il embrassait mon cou, la peau découverte de ma poitrine et là, il devint plus lent en défaisant son pantalon. T'essayes réellement de me faire croire que la salle de bain , se trouve là, dans ton boxer ? c'est vrai, il me parlait de salle de bain puis se mettait à ouvrir son pantalon lentement. Un nouveau rire s'échappait d'entre mes lèvres alors que je me cachais le visage un instant avant de poser ma main sur le bas de ses reins pour lui donner l'impulsion nécessaire, afin qu'il me tombe dessus. On est pressé ? mes lèvres dans son cou, j'avais soufflé cette question en déposant plein de petit baiser contre sa gorge, avant qu'il n'appuie ses mains de part et d'autre de mon visage pour me regarder. j'ai le droit à un dernier petit indice ? qui ne tente rien n'a rien non ?

"Non je te fais croire que tout ce que tu as besoin dans la salle de bain se trouve dans mon boxer." Je rigolais en la voyant, je ne sais pas ce qui me prenait, j'avais tellement envie d'elle depuis ce matin même si le coup de la voiture m'avait un peu calmé je reconnais. Elle me faisait basculer sur elle, je riais légèrement avant que mes lèvres passent sur son cou lentement alors que je poussais un petit grognement de plaisir en sentant son odeur, ses mains sur moi. "On a deux heures pour manger et peut-être que je te ferais l'amour maintenant… Histoire de t'ouvrir l'appétit." Je la regardais avec des yeux pétillants, je me redressais, appuyant de chaque coté de son visage mes mains. "Je sais pas, tu es pas très gentille quand même comme femme." Je plissais un peu les yeux, sourcil arqué, j'haussais les épaules. "Je te dis un indice, ce soir on sera plusieurs… et tu prendras du plaisir j'espère." Je m'amusais, mes paroles pouvaient porter à confusion clairement, je me redressais clairement avant de me déshabiller devant elle, mon pantalon tombait. "Salle de bain Kovalevski, maintenant, je vais te laver." Je partais vers la grande salle de bain c'était magnifique, les grandes vitres sans teint nous laissait voir la ville de New York, les petits éclairages rendaient le tout très intime alors que je faisais couler un bain avec de la mousse et je m'y glissais dedans avec une fleur de douche pour la savonner.

Je ne pouvais pas m'empêcher d'éclater de rire en l'entendant. Vraiment, je ne sais pas si j'arriverai à m'en remettre un jour. Je toisais son boxer, avant de lever le regard vers Kenny Ton boxer, c'est un peu le sac de Marry Poppins si je comprend bien dis-je en faisant les gros yeux. Ses lèvres contre ma peau, je caressais sa nuque en l'écoutant, lui donnant une petite tape dans le dos à ses derniers mots. C'est fou à quel point tu veux m'ouvrir l'appétit aujourd'hui je me redressais un peu, lui aussi, puis je tentais ma chance en lui demandant des indices. Cependant, je ne m'attendais foutrement pas à ça. Comment ça prendre du plaisir à plusieurs ?! C'est avec une what the fuck face que je le regardais attendant qu'il m'en dise plus. Je suis pas certaine de te comprendre Kenny, reviens là, reviens là tout de suite mais il partait déjà dans la salle de bain en m'intimant de venir. Je soupirais, je n'avais pas envie d'y aller juste pour ne pas l'écouter, mais finalement je me laissais guider par le bruit de l'eau de source qui coulait dans la baignoire C'est pas parque tu m'as dis de ramener mes fesses dans la salle de bain que je suis là oui, autant qu'il le comprenne avant. Assise sur le bord de la baignoire, je retirais mes sous vêtement et c'est en retirant mes talons que je lançais Ca me perturbe ce que t'as dis, comment ça tu veux que je prenne du plaisir et on sera plusieurs, Kenny, je fais pas dans ce genre là, je veux pas , je te préviens de suite

"Nop !" Je rigolais intérieurement fallait voir sa tronche quand je lui avais dis ça, elle avait vraiment cru à une sorte de partouze géante j'ai l'impression tant mieux et j'allais enfoncer le clou. "Je sais ma puce, tu obéis jamais, tu viens par curiosité de ce que j'ai pu te dire parce que si tu m'obéissais tu serais déjà dans le bain." Je souriais tendrement, j'adorais quand elle me tenait tête je l'avoue, je le confesse. Elle se déshabillait alors que j'entrais dans le bain le premier, ma main touchait son dos nu, en hochant la tête, heureusement que je l'avais dos tourné sinon je crois que je n'aurais pas pu m'empêcher de rire encore et encore. "Tu dis ça maintenant mais je suis sur que ça va te faire plaisir, tu verras, en plus ils sont venus rien que pour toi, je les aie choisi en fonction de tes gouts." Honnêtement quand on savait la vérité mes paroles n'étaient pas déplacé ou autre car le groupe de musique que j'avais choisi était bien entendu choisi en fonction des gouts de mon épouse et ils étaient venus exprès pour elle. Je souriais continuant de caresser son dos avec douceur tout comme ma voix, je me pinçais sous la mousse dans le bain, elle ne le verrait surement pas heureusement car garder mon sérieux alors qu'elle pensait qu'on allait faire une grande fête nu avec d'autres m'éclataient. "Puis en plus tu peux pas dire que tu veux pas tant que tu as pas vu."

J'étais totalement perdue par ses aveux. J'aime mon mari, plus que tout même, mais jamais je ne me laisserai embarquer dans ce genre de chose, d'ailleurs jamais je ne le laisserai s'embarquer dans ce genre de chose. Non mais ça veut dire quoi ça ! Je suis exclusive moi monsieur, je n'aime pas partager mon butin. Chacun sa pomme comme on dit ! Assise sur le rebord de la baignoire pour finir de me déshabiller mais aussi de retirer mes chaussures, je sentais sa main caresser mon dos mais pour le coup, aucun effet, j'étais tellement obnubilé par ce qu'il m'avait dit que j'en faisais abstraction. Mais qu'est ce que tu racontes ? T'es vraiment un grand malade quand tu t'y met je faisais les gros yeux, non, ce n'est pas possible, il a pas pu me faire ce genre de chose, reprend toi Anya, Kenny ne te laisserait jamais avec d'autres hommes et encore moins dans ce genre de situation, suffisait de le voir à la limite de la syncope quand un homme me regardait ou me souriait dans la rue. Bien sûr que si ! Je ne veux pas voir, je ne veux pas tenter ! finalement, j'entrais dans le bain pour me mettre face à lui, non mais je suis trop choqué pour l'instant. J'espère pour toi que c'est qu'une bêtise, sinon ça va chauffer pour ton matricule, non mais t'es pas bien ! dis-je encore secoué et sous le choc de la couleuvre qu'il essaye de me faire avaler, quoi que là c'était même plus une couleuvre mais un python !

"Anya…" Je faisais le mec un peu déçu, comme si je cherchais à l'apitoyer pour qu'elle accepte mais elle partait dans tous les sens même dans le bain elle venait pas contre moi. Franchement, elle savait comment j'étais non? Pourquoi est-ce qu'elle ne voyait pas que c'était des bêtises, j'étais jaloux, possessif encore tout à l'heure j'avais été vert de jalousie à cause d'Andy, son meilleur ami, elle croyait vraiment que j'avais fais ça? Ça me blessait pas, ça m'amusait de la faire tourner en bourrique. "Si je vais bien t'inquiète pas, d'ailleurs ta robe, prend la rouge, elle est facile à retirer." Et j'en rajoutais une couche, rieur, je me laissais aller à un énorme fou rire en penchant la tête en arrière pour regarder le plafond. "J'ai toujours rêvé d'une partouze géante c'est vrai, pleins de mecs sur toi et tout, mon rêve !" dis-je totalement irnoque, je riais encore une fois avant de la scruter. "Si tu as fini de rechigner, est-ce que je peux enfin te laver?" demandais-je en penchant la tête sur le coté. Trop facile de l'embêter, je savais qu'elle ne voulait pas me partager, j'aimais ça et moi aussi j'étais pareil, on se ressemblait sur ce point là. Amoureux comme au premier jour même dans la rue je ne supportais pas qu'on regarde trop ma femme alors des tas de mecs sur elle, j'eu un frisson de dégout, machinalement sous l'eau mon poing se serrait, non je préférais oublier cette vision.

Je l'écoutais en me mordillant l'ongle du pouce, attachant mes cheveux en un chignon haut mais totalement désordonné pour ne pas mouiller mes cheveux, après tout j'avais eu le droit à une séance de maquillage et de coiffure ce matin, mais lorsque je pensais aux oeufs en neige que je m'étais pris dans la tête au cours de cuisine, je les détachais rapidement, ils allaient de nouveau passer par la case lavage. T'as de drôle de rêve ... tu veux pas consulter ? demandais-je en arquant un sourcil, okay, à cette phrase, j'avais bien compris que tout ceci était d'un absurde tellement ridicule que sur le moment, il m'avait paru envisageable ? Peut être était-il en train de faire une crise de la trentaine bien avant l'âge. S'il te plait ... terminais-je par dire, pour qu'il le répète et une fois fait, je me tournais pour être de dos à mon mari, me baissant un peu avant pour attraper une des roses qui se trouvait juste à nos côtés, je m'amusais à défaire les pétales une à une en comptant l'un de ces célèbres et stupides jeux " je t'aime, un peu,beaucoup, passionnément, à la folie, pas du tout " dans un chuchotis alors qu'il passait la fleur de douche contre mon dos. On doit retourner quand sur Cambridge ? lui demandais-je en penchant un peu la tête en arrière pour le regarder, la bouche un peu en coeur, à vrai dire on était bien ici et se retrouver rien qu'à deux était aussi plaisant.

"Je devrais consulter mais je n'ai pas envie." Dis-je en souriant. Je crois que peu à peu elle se rendait compte que tout ceci n'avait été qu'une blague pure et simple seulement à son s'il te plait, je fronçais les sourcils, c'était étrange, je ne comprenais pas ses paroles. "S'il te plait quoi ma puce?" dis-je en caressant son dos du bout des doigts. "Anastasiya, tu m'appartiens, je t'appartiens, tout mon être, mon esprit est dévoué à toi… Je ne te partagerais jamais…" chuchotais-je sensuellement à son oreille. "Jamais." Je déposais un baiser sur le bout de son oreille dont j'avais accès avant de commencer à lui frotter le dos, je prenais mon temps, lentement, mes lèvres allaient contre sa colonne vertébrale. "Quand tu veux, tu choisis."

Est-ce que je peux te laver s'IL TE PLAIT dis-je en répétant ce qu'il m'avait tout à l'heure avec un petit sourire sur les lèvres. Faut bien qu'on apprenne la politesse à notre fille alors il va falloir que tu t'y mette mon grand et encore, dans l'histoire celle qui devait s'y mettre, c'était bel et bien moi, moi qui avait tendance à donner des ordres en veux-tu en voilà, mais on me pardonne, je suis une princesse, la future tzarine, faut bien que je m'entraine non ? Je m'amusais ma fleur, me rendant compte que tous ces bouquets avaient été acheté par Kenny, je voyais son initiali sur les petits étiquettes. Cet homme est fou, complètement. Ben j'espère bien je tentais d'alléger la situation en disant cela parce que bon dieu, c'était tellement plaisant de l'entendre me dire ce genre de chose, quand bien même je le savais, j'aimais l'entendre. Peut être qu'on pourrait rentrer dans la soirée de demain ou dans la matinée de lundi ... mais si on peut allonger jusqu'au maximum pourquoi pas dis-je avec un grand sourire dans la voix, oui, j'avais aussi envie de voir ma fille, mais quoiqu'il arrive si nous arrivions vers 20h, elle serait déjà surement couché, alors autant qu'on arrive dans la nuit ou au petit matin, pour son réveil.