Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin (feat. Maxym)

Maxym & Ricardo
Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin

mise en page par .Stay Away

Le moment était enfin arrivé. Celui de se donner, tout entier, à l'autre. De dévoiler les seules parties du corps qu'ils ne s'étaient encore jamais montrés. Le brunet appréhendait ce moment. Il était à la fois impatient, mais totalement stressé. Il n'avait pas envie de faire mal les choses. Lui qui était habitué aux coucheries et qui n'avait pas vraiment de quoi s'inquiéter après ce qu'on avait pu lui dire, le voilà en train de penser qu'il pouvait de pas être à la hauteur. Il fallait qu'il arrête de penser. Voilà, vivre le moment présent à fond. C'était pas le moment de se mettre la pression. Après tout, c'était Maxym en face de lui, et c'était la personne en qui il avait le plus confiance à présent. Le brunet s'était imaginé cette scène plus d'une fois, évidemment. Mais rien n'était plus parfait que de vivre réellement le moment. "Je t'avoue que j'aurais plutôt mal prit le contraire". Bien sûr, quel homme normalement constitué pourrait choisir des gâteaux à une femme ? Surtout que là, il ne s'agissait tout de même pas de n'importe quelle femme. Ils commencent alors à se déshabiller l'un l'autre, doucement, pour ne pas presser ce moment. L'embrassant, le brunet sentit sa chemise le quitter pour s'envoler plus loin. Elle passe ses mains sur son corps tandis qu'il continue de jouer avec sa langue, gardant ses mains sur ses cuisses tout le long. Finalement, elle s'écarte un peu. "Maintenant, tu fais le chevalier servant jusqu'au four. Parce qu'il est hors de question que je doive choisir entre un appart en feu et toi". Tiens, il avait presque oublié ce détail. Le brésilien se recule alors légèrement, se défaisant de son emprise. Son regard bleuet se balade sur la jeune femme, découvrant son soutien-gorge qui le fit soupirer doucement. Oui, car il n'avait pas envie de s'écarter, même quelques secondes. Reculant jusqu'au four sans la quitter des yeux, il éteignit le four sans même y jeter un œil. Se mordillant la lèvre, il s'approcha de nouveau d'elle. "On devrait peut-être se déplacer jusqu'à la chambre.." dit-il en avançant, avant de placer ses mains sur ses hanches. Oh, il avait conscience que cette robe n'allait pas tarder à quitter le corps de la brune de toute façon. Alors, autant passer directement à ce moment.

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Ah, tiens, Ricardo a le regard qui baisse. Maxym se tient alors bien droite, faut savoir se mettre à son avantage vous savez. Oui, la demoiselle ne ressent aucune once de pression, ou d'appréhension. Pire, elle est juste prise d'une espèce de joie incontrôlée. Tout ceci la rend heureuse. Qu'ils se soient engueulés et réconciliés, qu'il ai cuisiné pour elle, qu'il se balade torse nu sous son regard intense qui le désir sans gêne. Qu'il la regarde aussi. Tout le temps. Éteignant le four sans même la quitter de ses prunelles claires. Ce qui la fait sourire, haussant légèrement les sourcils d'un air impressionné. Voyez comme les hommes peuvent maîtriser l'électroménager quand on leur donne une motivation suffisante. "On devrait peut-être se déplacer jusqu'à la chambre.." Et pour l'encourager, ses mains sur les hanches féminines encore couvertes. Comme si elle avait besoin d'une motivation supplémentaire quelconque. La chambre, la douche, le bar, tout ce que tu veux. Mais la première, pour c'qui s'avère être leurs premiers soupires, c'est tout de même plus approprié. « Ca me paraît être une bonne idée. » Qu'elle répond en lui volant un bref baiser. S'appuyant sur les épaules de Ric, elle descend de son trône en se glissant entre lui et le bar, sa robe cédant alors pour s'échouer sur le sol. « Dans les yeux. » Qu'elle retient le regard bleu, avec son brun, solidement planté dans ce dernier. Un pied en dehors du tissu, et l'autre qui le récupère de la pointe. S'amuse d'un sourcil qui s’arque, comme pour le narguer. Et attrapant sa robe, la lance sur le garçon afin de troubler sa vue quelques secondes. « Tu sais où me trouver. » Ces secondes qui suffisent à l'ingénue pour s'enfuir du salon en courant, le silence seulement troublé par un léger rire quasi enfantin. Mais elle ne rentre pas dans la chambre, attendant son promis le dos contre la porte, la main sur la poignée, l'autre sur l'encadrement. Et tout ça, très peu vêtue. On compte les secondes avant qu'il n'arrive ?

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En ce jour de Saint-Valentin, ils disaient adieu à leurs bonnes résolutions. Ils avaient tenu presque un mois, c'est déjà honorable, n'est-ce-pas ? Aujourd'hui, impossible de résister à la tentation plus longtemps L'ensemble des événements de la soirée les conduisaient jusque là. Ricardo la désir, ça se lit dans ses yeux. Ne lui dites pas de se retenir, il en sera incapable. Son corps maintenant contre le sien, le brunet savait très bien que l'endroit importait peu et qu'ils pouvaient même le faire ici sur ce bar si ça les enchantait. Mais pour leur première fois, autant s'assurer d'être confortablement installés. Ce bar, ils allaient bien avoir l'occasion de l'essayer une autre fois. "Ca me paraît être une bonne idée". Un sourire s'afficha sur les lèvres du brésilien, qui la laissa se remettre sur ses deux pieds. La robe glissa alors contre la peau de la brune, mais Ric n'eut pas le temps de balader son regard sur elle. "Dans les yeux". Il l'écouta, lui montrant qu'il en était tout de même capable. Puis, il allait avoir tout le temps pour profiter de la beauté de son corps plus tard. Recevant alors sa robe sur le visage, Ric ne pu s'empêcher d'avoir un petit rire, entendant celui de sa belle s'éloigner. "Tu sais où me trouver". Il retira alors le tissu de son visage pour le poser sur la chaise. Marchant en direction de la chambre, le Mather découvrit la jeune femme en train de l'attendre contre la porte, son corps et ses yeux l'appelant presque. Il sourit alors, s'approchant d'elle en se mordillant la lèvre d'un pas décidé mais pas précipité. Calant sa main sur sa nuque, il l'embrassa alors avec passion, la plaquant contre la porte tandis que son autre main venait se poser sur la sienne afin de presser la poignée, les basculant de l'autre côté. Il glissa alors sa main derrière sa cuisse qu'il agrippa tandis qu'il descendit ses baisers dans son cou.

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J'crois que Maxym était incapable de ne pas le tester, de temps en temps. En lui imposant un contact visuel par exemple, alors qu'elle dévoilait son corps en dessous. Pourtant, il n'y a pas moins pudique que la demoiselle. Elle s'assumait entièrement. Mais il semble qu'elle ai besoin de s'assurer, parfois, qu'il fait passer ses pensées à elle avant ses propres. C'est stupide, hein. Sauf que son cœur qui s'emballe quand il l'effleure, c'est pas normal pour elle, alors on s'rassure comme on peut. On fait semblant de croire qu'on maîtrise encore un peu la situation, et ses ressentis. Alors que tout est sans contrôle quand c'est Ric. Elle fait sa gamine en s'enfuyant, ne faisant que les rapprocher de la chambre. Ouais, Max qui courre en soutif et tanga, c'est presque normal pour elle. Va pas te planter de pièce, ça serait con. Contre la porte, elle attend. Ne doutant pas un instant qu'il ne tarde à la rejoindre. Ses lèvres se fendent en un sourire quand il s'approche, son regard se baladant brièvement sur le corps masculin, avant de réceptionner sa bouche. Son dos plaqué contre une porte qui cède. Désormais à l'intérieur de la chambre, ses doigts se crispent autour de cette poignée qu'elle n'a pas lâché, le souffle court quand les lèvres du mather descendent dans son cou, ses traits penchés légèrement sur le côté. Sa cuisse maintenue, Max n'a plus qu'à remonter ses doigts jusqu'à sa nuque, en profitant pour se délecter de son torse à nouveau, laissant traîner ses ongles, et enrouler sa jambe libre autour du bassin masculin, histoire de se maintenir contre lui. Merci aux heures de sport, elle n'avait nullement besoin d'aide pour rester ainsi, récupérant ses lèvres pour l'embrasser encore, les décollant légèrement de la porte.

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Sentiment étrange, que de se retrouver là devant elle et ne plus rien contrôler. Il se laisse aller, laissant son corps se faire guider par ses pensées. Le brunet veut faire les choses biens, à leur manière. Quelque chose de complètement naturel, qui leur ressemble. Cette relation a mis du temps à voir le jour, mais elle était parti sur des bases solides. Contre elle, il se sentait bien. Loin d'elle, il ressentait un manque. C'est tout ce qui comptait. La belle brune s'éloigne de lui, le laissant aveugle, sa robe sur ses yeux. Bien sûr, le brésilien ne tarde pas à la rejoindre devant sa chambre. La détaillant du regard au fur et à mesure qu'il s'approchait d'elle, il ne pu que constater la perfection de ses formes. Ric était chanceux, il en prenait conscience de jour en jour. Devant elle, il ne pu donc pas s'empêcher de renouer contact, retrouvant ses lèvres pour un énième baiser torride. Basculant de l'autre côté de la porte, ils se retrouvèrent dans la chambre. Leurs corps collés, Ric sentit l'excitation monté en lui, son corps et son cœur commençant à brûler. Ses lèvres, qui ne se laissaient pas de celles de la brune, étaient également en feu. Finalement, ils se décollèrent de la porte, tandis que le mather la referma d'un coup sec. Reculant, entraînant Maxym avec lui, il ne tarda pas à buter contre son propre lit et à se retrouver allongé sur le dos. La jeune femme à présent au dessus de lui, il continuait de l'embrasser, déviant par la suite ses lèvres jusqu'à son oreille puis son cou. Ses mains se posent sur ses fesses doucement, mais l'une d'elle remonte pour venir dégrafer son soutien-gorge rapidement. Il repose sa tête sur le matelas et lui sourit légèrement, passant une main sur sa joue. Tendresse et animosité étaient liées depuis plusieurs minutes. Ses yeux dans les siens, il ne pourrait probablement jamais se lasser de tout ce qu'elle représente.

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La porte qui claque, qui marque le commencement d'autre-chose. La fin de cette période raisonnée. Le commencement d'une vraie vie de couple, après tout. Son corps scellé au sien, Maxym, paupières closes et seulement concernée par la peau de Ric, se laisse transporter. Elle qui préférait tout diriger, acceptait de céder un peu de contrôle à son partenaire de sentiments. Ca s'appelle de la confiance, parait-il. N'ouvre ses prunelles qu'en se sentant basculer en avant, entraînée avec le garçon sur son lit. Mais les referme immédiatement après, pour d'avantage apprécier ses lèvres contre son cou, et les mains arpentant sa peau. De légers frissons faisant raisonner cette dernière. Un sourire plein de malice la prend quand il s'attaque à son soutien-gorge, s'en débarrassant facilement. Forcément aidé par elle, qui le dégage hors du lit. Capturant son regard bleuté, Maxym pouvait y voir beaucoup de choses, mais il y avait de la tendresse, et elle n'était pas étouffée par le désir. Même si elle n'avait aucune appréhension, j'crois qu'elle avait un peu peur de ça. De n'être qu'une fille de plus, et de n'être astreinte qu'à des gestes mécaniques. Désirable oui, mais c'est tout. Posant brièvement ses lèvres sur celles du brésilien, elle se redresse ensuite, faisant en sorte d'être assise sur le haut de ses cuisses. « J't'en prie, t'as le droit de profiter de la vue. » S'amuse-t-elle avec un petit sourire, tout en secouant ses cheveux pour qu'il dégringole sur sa poitrine. Faut dire qu'elle n'a plus grand chose à cacher, là. Mais elle n'avait pas envie de lui dissimuler quoique ce soit, de toute façon. Quand à ses doigts qui étaient restés sagement sur son torse, ils descendent doucement jusqu'à sa ceinture qu'elle défait d'un geste brusque, ne le quittant pas du regard. N'arquant qu'un sourcil joueur en s'attaquant au bouton, puis à la fermeture éclair. « Je suis pour l'égalité entre homme et femme, pas toi ? » Voix de fausse innocente. Soit, dégage-moi ce jean. Et pour lui en laisser la possibilité, elle se redresse sur les genoux, ne se penchant sur lui que pour attraper sa mâchoire et lui coller un bref baiser. Juste parce qu'elle peut pas se passer de l'embrasser.

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Les paroles avaient laissé place aux gestes à présent. Plus un mot, aucun. Maintenant dans la chambre, ils savaient tous deux qu'ils allaient faire passer leur couple à une étape supérieure. Fini les simples baisers endiablés qui ne menaient pas plus loin. Aujourd'hui, ils brisaient cette dernière barrière. La tentation était trop forte et aucun des deux ne semblait vouloir se contenir plus longtemps. A présent sur le lit, le brunet se débarrasse de ce bout de tissu qui le dérange, recouvrant cette poitrine qu'il n'a encore jamais vu entièrement. Elle l'aide, dégageant le soutien-gorge plus loin. Le brunet garde ses lèvres contre les siennes, plaçant sa main dans sa nuque pour la presser contre lui. Finalement, elle se redresse, mettant fin au baiser et lui permettant de découvrir sa poitrine dénudée. "J't'en prie, t'as le droit de profiter de la vue" dit-elle avant de secouer ses cheveux. Ricardo sourit, baissant donc ses yeux de son visage pour admirer son corps. Il n'allait quand même pas se faire prier. Un commentaire ? Non, ce serait mal venu. Puis ils étaient parfaits, et elle le savait. Maxym s'attaqua finalement à la ceinture du brun, puis à sa braguette. Il l'a laissa faire, plaçant ses mains sur ses cuisses, les caressant. "Je suis pour l'égalité entre homme et femme, pas toi ?" Le brésilien hoche la tête, se mordillant la lèvre. "Je suis tout à fait d'accord". Elle se redresse un peu pour lui laisser la possibilité de retirer son jean. Ce qu'il fit, sans trop tarder. Le dégageant sans trop faire gaffe où il l'avait jeté, son attention se reposa bien vite sur l'eliot. Ne se retrouvant plus qu'avec un seul bout de tissu chacun, Ric trouvait que c'était encore trop. Il la fit alors basculer sur le matelas, se retrouvant à moitié sur elle. Glissant deux doigts sous son tanga, il commença à le faire glisser le long des jambes de Maxym, dévoilant enfin l'objet de tous ses fantasmes. Reposant ses lèvres sur les siennes, il alla chercher sa langue, tandis que sa main commençait à se balader sur le haut de ses cuisses, se rapprochant dangereusement de son entre-jambes.

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 "Je suis tout à fait d'accord" Maxym a du mal à garder sa bouche fermée, oui. Faut toujours qu'elle fasse l'idiote, emmêle ses cheveux en les secouant, s'amusant de sa petite tenue, comparant leurs statuts. Ne pas rendre tout ça trop formel, sérieux.  On est pas des enfants, on sait ce que c'est, c'est pas la première fois. Enfin, ensemble, si. Et c'est important, quoiqu'elle essaye de se persuader. Déjà, parce que d'habitude les choses sont moins subtiles. Qu'elle n'y recherche que quelques soupires pour s'occuper. Que les frissons, elles les as déjà quand il ne fait que l'embrasser. Maintenant à égalité, un à un, Maxym croit trouver un peu de répit à son pauvre cœur qui ne sait plus comment battre. Mais c'est sans compter sur Ric qui la fait basculer sur le côté, inversant les rôles, son dos se retrouvant contre le lit. Et il s'attaque à son dernier vêtement. Le plus insignifiant. Qui glisse le long de ses jambes, finissant sa course sur le sol, ainsi balancé. J'ai dis qu'elle s'assumait, qu'elle était pas du tout pudique ? Hé bien, c'était tout de même étrange pour elle de se retrouver ainsi nue devant lui. Sans aucun artifice. Voilà, c'est ça que t'as décidé d'intégrer à ta vie Ricardo Rafael. Et tu l'embrasses quand même, ta main la narguant et jouant avec ses nerfs. Les doigts dans sa nuque laissent s'enfoncer légèrement ses ongles dans sa peau, signe de fébrilité. Croise sa langue avec passion, et sa main qui ne maltraite pas sa chair se fait aventureuse, le martyrisant de façon bien plus douce en descendant jusqu'à son boxer, jouant négligemment avec l'élastique tout en frôlant le tissu, comme par erreur.