KENYA ♥ ça fait 4 fois que tu vas au petit coin aujourd'hui. Pourquoi d'instinct t'essayes toujours de t'échapper

Je me demandais bien ce qu'il voulait faire pour rattraper mon retard. Il déposait un baiser sur mon nez. Les yeux sur lui je le poussais un peu en riant. " parfaite parfaite ... Je trouve ça froid quand même " dis-je en bombant les lèvres. Puis nous regardions nos téléphones, mon dieux, la soirée avait du être mouvementé, j'étais déçue de ne pas me rappeler tout de même, a refaire pour le coup. J'avais fait l'ange dans la neige. C'est sûrement pour ça que j'avais des bleus de partout. Une autre photo, puis une vidéo, mon dieu, j'avais attaqué mon mari. " t'as pas du filmer le début ou c'est toi qui me chauffé " dis-je en haussant une épaule peu convaincue. " l'alcool a eu raison de moi " dis-je en levant les yeux au ciel avant de monter le son. Ô MON DIEU. La façon dont il avait parler a sa mère. Je posais rapidement mes mains sur mes yeux, de honte. " t'as dis ça a ta mère ! T'abuses " monsieur voulais profiter de moi maintenant. J'hochais la tête, complètement d'accord. Puis ses lèvres venaient m'inonder. Sa main caresser mon ventre. Mes mains quant a elles ne restaient pas inactive puisque j'en posais une dans ses cheveux et l'autre venaient caresser le bas de son dos. Sous son haut. " encore " dis-je lorsque nos lèvres ne se touchaient presque plus. Je sais pas , ce matin j'avais besoin de ça. De tendresse, de douceur et de lui tout simplement. " bien sur Kenny sait-on jamais si c'est une femme , je garde l'œil , j'ai toujours un œil sur mes ennemis " dis-je en plissant un peu les sourcils essayant de dédramatiser la situation pour le faire rire dans ce moment un peu plus grave. " tu veux pas qu'on monte un peu dans ta chambre regarder un film ou quoi ? " j'avais juste envie d'être qu'avec lui. Peut être que inconsciemment je voulais profiter de mon mari un minimum avant les résultats. De l'avoir rien que pour moi mais c'était dans compter sa mère qui venait s'asseoir juste en face de nous pour nous observer avec un œil de marâtre énervé " meredith je suis ... Enfin je pensais pas ce que je disais hier soir . J'étais pas dans mon état ... " je n'avais pas dis désolé j'avais toujours du mal a le sortir mais je faisais un effort pour lui. Pour Kenny.

"Froid?" Je faisais des gros yeux avant de l'embrasser beaucoup plus langoureusement, je la regardais juste après, alors si elle disait que c'était froid je ne comprendrais pas parce que moi ça m'avait donné chaud, totalement chaud. "J'espère que tu vas réviser ton jugement là." Dis-je en lui donnant son téléphone c'est là que tout tombait, qu'on voyait toutes nos frasques, tout ce qu'on avait pu filmer, photographier. "Je suis sur que j'ai rien fais." Dis-je en haussant les épaules. Bon au fond, je devais surement être la personne qui avait commencé mais quand Anya disait que l'alcool avait eu raison d'elle, bien je n'allais pas m'accuser. "Tu l'avoues en plus, tu vois." Je rigolais un peu avant de me crisper. J'avais dis ça à ma mère, j'en revenais pas, je m'en remettrais pas, c'était tellement irrespectueux. Je préférais oublier et m'occuper d'elle, l'embrasser, la caresser, c'était chaste mais c'était incroyablement bon, je fermais un peu les yeux en souriant, j'aimais quand elle était comme ça, pas super en forme mais pas trop non plus molle, c'était parfait parce que c'était à cet instant qu'elle demandait le plus de câlin. "Encore? Tout ce que tu veux…" Je l'embrassais amoureusement seulement quand je regardais l'heure sur l'horloge du salon, je constatais que la sentence allait bientôt tomber, c'était horrible, je me sentais déjà partir et je voulais pas que ma bonne humeur parte si rapidement vraiment pas, heureusement qu'elle était là. "Oh non !" fais-je en soupirant. "Moi qui pensait me faire la neurologue, je suis déçu." Je rigolais, en la serrant un peu plus contre moi alors que ma mère venait devant nous pour nous fixer. Le film? A oublier. Elle avait l'air tellement en colère. Anya semblait s'excuser, à demi-mots mais c'était adorable, les efforts qu'elle faisait pour moi. Ma mère hochait la tête. "Vous avez été tellement irresponsable." Déclara ma mère, je passais ma main dans les cheveux d'Anya, je lui faisais un bisou. "Tu veux bien arrêter et m'écouter Kenny?" Je la scrutais en haussant les épaules. "Tu veux que je dise quoi? On a pas été irresponsable, on a pas conduit et on allait pas conduire, Alessia était en sécurité chez toi donc je vois pas ou est le souci et ne commence pas à me dire qu'Anastasiya y est pour quelque chose vraiment commence pas à t'en prendre à elle !" lâchais un peu agacé, Meredith ne rajoutait rien, son regard noir parlait à sa place avant qu'elle prétende avoir du boulot dans son bureau.

" hum ça peut aller, mais j'ai déjà vu leur relation en plus étroite collaboration " je me transformai en Kenny peu a peu. Devrais-je avoir peur ? De file en aiguilles nous parlions de notre soirée. Soirée dont nous n'avions pas de réelle souvenir d'ailleurs. Sa main caressait mon ventre, je voulais qu'il m'embrasse encore. Je voulais rester coller a lui, au chaud. " oui " dis-je toute mignonne lorsqu'il me demandait si j'en voulais encore. Je caressais sa nuque et le bas de son dos avant qu'il ne me parle de ses résultats. Bien entendu. Je n'allais pas le laisser seul. Je jouais la carte de l'humour en parlant de la neurologue et lui aussi d'ailleurs. " au pire si ça t dis tant que ça, j'irais voir l'autre neurologue en attendant, gagnant - gagnant " oui pour une fois je n'allais pas faire ma possessive. Ce que j'avais dis plus tôt montrait bien que je l'étais je voulais juste qu'il me le montre aussi. Je m'excusais auprès de sa mère, la seul réponse que j’eus c'est que nous avions été irresponsable. Kenny me caressait les cheveux comme pour me calmer chose qui avait fonctionné puisque je je répliquais pas. Puis tout a coup Kenny de révoltait et me défendait sans que sa mère n'ait parlé de moi. Je ne savais plus quoi penser. Elle me détestait ou pas ? Finalement je me levais avant elle sans rien dire pour aller dans la chambre a Kenny. C'était un peu chiant de se faire juger par sa belle mère a longueur de temps. Je m'enfonçais dans le lit, la couverture sur la tête

"Euh non je crois pas tout ton corps et ton esprit m'appartienne, je ne partage pas ! Faut que je te le grave sur le front c'est ça?" J'étais jaloux, je la prenais même plus contre moi alors que ma mère arrivait, elle nous disait qu'on était irresponsable et tout le blabla, Anya se levait en première, je la regardais avant ma mère que j'applaudissais. "Bravo ! Alors là bravo tu me l'as énervé puis en plus tu peux même pas lui faire un compliment, elle était là pour me changer les idées, elle est là pour me soigner sans me prendre par pitié elle, arrête merde." Dis-je alors qu'Anya montait les escaliers, elle devait nous entendre, tant pis. "Un jour si ça continue tu vas plus nous voir, je te le dis moi." Ma mère se fermait, elle partait alors que moi j'allais rejoindre Anastasiya dans ma chambre. Je la voyais sous la couette et j'allais me blottir contre elle, torse contre son dos, une main sous ma tête et l'autre sur son ventre pour la faire glisser sur le dos. "Ne te fâche pas." Chuchotais-je. "Elle est juste énervée, elle panique encore plus pour moi mais c'est pas contre toi mon amour."

" je sais pas essaye ... Peut être que c'est ce qu'il faut faire " dis-je avec un sourire joueur sur le visage.  J'aimais tellement Qu'il me dise des choses comme ça. J'aimais savoir que j'étais importante pour lui, que j'étais a lui parce que c'est le cas. Je me considère comme sienne comme
Lui est mien.  Cependant belle maman venait tout gâcher. J'en avais marre et c'est pourquoi je partais. Elle faisait encore son cinéma pour que je la déteste ? Je restais dans le virage de l'escalier pour les entendre.  Kenny, mon mari, mon héros. Je souriais avant d'aller me mettre dans le lit, sous la couette. Quelques minutes après il venait auprès de moi.  Je souriais sans qu'il le voit alors que je me laissais totalement faire. " je suis pas énervé, loin de la, elle me saoul juste. Je m'excuse et elle en envoi encore, je ferais plus d'effort c'est tout " dis-je haussant une épaule. Je me retournais, posant ma main sur sa joue pour la caresser et plonger les yeux dans les siens bien que la luminosité soit restreinte. " Je voudrais pas que t'es le bras engourdis, que tu manges mes cheveux et que t'es une érection inutile " dis-je en riant. Ça par contre je m'en souvenais. " merci pour ce que tu lui as dit " oui ça m'avait touché qu'il prenne ma défense. Je déposais alors un baise sur son front, son nez, puis quelques un sur le long de sa mâchoire ainsi que son menton ...

J'en pouvais plus ma mère était si mauvaise par moment alors que je la connaissais, je savais qu'elle ne pensait pas qu'Anya était nuisible pour moi, elle m'avait même confié qu'elle aimait bien et pourtant en face à face c'était la guerre froide entre elles. Je me rangeais du coté de mon épouse parce qu'elle avait raison de partir, c'était trop, elle abusait clairement et quand je me posais au lit, j'avais peur qu'elle m'en veuille à moi, persuadé qu'elle avait énervé mon petit bébé à moi. "Oui je t'en voudrais pas." Dis-je en la regardant. Les stores étaient encore baissés quand Anya me touchait la joue, je souriais, hier soir avait été tellement énorme, c'était le genre de soirée que l'on avait pas fait depuis longtemps, ça m'avait manqué et au moins j'avais pu oublier même aujourd'hui je commençais à voir le bon coté des choses, je ne craignais pas le médecin un exploit. "Tu t'en souviens." Riais-je en fourrant ma tête dans son cou. "Au moins tu sais que je faisais tout ça pour toi, j'aime voir ton sourire quand je te prenais comme ça, j'avais l'impression de te protéger." Et quand on connaissait Anya, on se disait limite que c'était un exploit, la reine des glaces qui se faisait protéger. "Je le pensais, tu as pas à me remercier, je te choisirai toujours mais je me priverais pas de te dire si tu vas trop loin." Chuchotais-je en frissonnant. "Comme maintenant…" Je passais ma main sur sa hanche, fermant les yeux. "…C'est un supplice ça Kovalevski." Je rigolais alors que c'était moi qui me jetais sur ses lèvres avant de rompre le baiser prématurément. "Ah non !" Je me redressais sur le lit. "Après tu dis c'est moi qui te chauffe, note que là c'est toi qui a commencé, à me faire des bisous et tout. Note le et on peut reprendre ensuite."

" oui ça je m'en souviens mon caporal " dis-je en riant baisant les yeux vers l'officier avant de déposer tout un t'as de baiser sur sa douce peau. Comment ne pas aimer cet homme. ? Il prend ma défense, fait de choses qui le met dans l’embarras juste pour voir un sourire se dessiner sur mon visage, n’étant même pas exigeant, même si ce dernier ne se faisait qu’à la commissure de mes lèvres. Je riais à ce qu'il me disait, sans pour autant arrêter ce que j’étais entrain de faire, c’est à dire, faire glisser mes lèvres contre la peau de sa gorge pour y déposer là aussi des petits bisous. Je n’avais pas envie de quitter sa peau. " J’arrête alors ... " lui dis-je en reposant mon visage tourné vers lui sur le coussin avant qu'il ne m'embrasse pour le rompre aussitôt. " j'ai pas envie de le noter j'avais envie de te le montrer mais tant pis " dis-je en lui faisant un clin d'œil. Je me redressais pour m'asseoir au bord du lit. " la zone de sécurité est respecté ? "

Je m'étais jeté sur elle mais faut dire que je la trouvais tellement mignonne comme ça, je sais pas aujourd'hui plus que d'habitude j'étais d'une humeur câline, j'espérais pas plus que des baisers à vrai dire je voulais que des bisous, je n'étais pas dans une forme olympique. "Oh t'abuse !" dis-je en posant mes mains sur mes yeux. Pour une fois qu'elle me faisait des avances moi je les repoussais, j'étais nul, je me sentais complètement à l'ouest. Elle se posait au rebord du lit, je la regardais avant de rire. "NON !" Puis je l'attirais contre moi, la prenais bien fortement dans mes bras pour qu'on reste en petite cuillère. "Tu es ma prisonnière et dans mon histoire il n'y aucunes issus ou de prince charmant, juste un bourreau qui va te torture tout le temps." Je lui faisais un bisou sur la joue, fourrant mon nez dans ses cheveux, je l'aimais beaucoup trop, quelque part j'avais encore plus peur qu'on me la retire à cause de cet amour si fort qui nous unissait. J'espérais qu'il ne se briserait jamais et pour le moment j'en avais la certitude. Je lui mordais l'oreille avant de lui prendre plus sensuellement et me remettre à ma place. Première torture.

Monsieur n'était pas content que je lui fasse des petites avances, des petits câlins alors je me posais sur le rebord du lit en lui demandant s'il était satisfait du périmètre que je venais d'installer. Apparemment pas puisqu'il me tirait par le bras pour que la seconde d'après je me retrouve contre lui, dans des bras. " un bourreau ? Je voulais l'histoire du prince charmant. Je sais pas le ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfant ça implique beaucoup de chose " je sifflotais, ça me faisait rire. Je faisais exprès parce que je savais que nous n'étions pas en forme. Il m'avait souvent demandé de lui faire plus d'avance, l'avait même dit a la sexologue et maintenant que je lui en faisait il ne voudrait pas. So sad. Monsieur m'attrapait l'oreille, je souriais les yeux fermés. " oh je vois tu me la joues bourreau des cœurs " dis-je en le tournant vers lui. " c'est pas des choses qui se font avec sa prisonnière " dis-je en appuyant sur son nez avec mon index " parce qu'aussi non je risquerai de tomber amoureuse et de ne plus jamais partir" et en effet. Je n'étais plus jamais repartie.

Des enfants. On en avait déjà un que je pensais déjà au prochain moi. "J'en veux 17 !" Dis-je tout content. "Pas un de plus ou de moins, pile ce chiffre !" Je savais qu'elle allait faire des gros yeux je la connaissais, déjà qu'un bébé était énorme pour elle alors la 17, limite elle allait me faire une crise cardiaque sur place. Dans mes bras, je la gardais, j'aimais bien sa tactique pour me faire des avances, me faire des bisous partout, son petit regard de biche c'était pire que mignon. Je lui attrapais l'oreille, la seconde suivante elle se tournait vers moi et c'est un peu boudeur que je la contemplais. "C'est pas tu risques, c'est que tu partira jamais oui." Chuchotais-je en la regardant. "Je sais que je suis pas facile a vivre et que je te cause beaucoup d'inquiétude mais... Si par malheurs je serais encore malade, je... Comprendrais que tu partes, que tu veuilles pas t'occuper de moi, je sais que tu m'aimes et moi aussi mais je repense a la dernière fois c'était dur... Pour moi mais surtout pour toi..." Je fermais les yeux, une larme s'échappait de mes yeux et je me redressais rapidement j'étais inquiet. Adieu mes résolutions de tout a l'heure, ma bonne humeur attendre me tuait. Je me raclais un peu la gorge je me devais de reprendre mes esprits au plus vite. Je toussotais même un peu. "Enfin..." J'avais honte de craquer, je n'étais pas si fort que je le prétendais seulement la c'était des heures et des heures d'inquiétude qui explosait d'un seul coup.