KENYA ♥ ça fait 4 fois que tu vas au petit coin aujourd'hui. Pourquoi d'instinct t'essayes toujours de t'échapper

Je voulais juste le faire rire, lui faire oublier ses inquiétudes et a l'en voir rire comme ça, j'avais l'impression que j'avais relevé le défi. Que j'avais réussi ma mission. Je vais te dire un secret, j'ai toujours rêvé d'avoir un pénis, comme vous , juste pour faire pipi n'importe où, tu sais, être coincé dans une robe serré et avoir une envie pressante en même temps ... c'est le mauvais combo. Puis se lever toujours la nuit ... sérieusement, je serais un mec, je pense que je pisserais par la fenêtre dis-je en haussant une épaule Enfin, en intimité, pas par n'importe qu'elle fenêtre dis-je en tentant de le rassurer après ses révélations D'ailleurs, tu l'as déjà fait toi ? oui, pour le coup, je me demandais si mon époux et moi avions les mêmes idées, sauf que lui, pouvait les réaliser. Puis après notre discussion des plus ... rocambolesque, nous nous retrouvions sur le canapé. Je déposais un baiser contre son ventre, puis un deuxième avant de remonter tout doucement pour sortir ma tête par son col T'as raison, tous les créateurs sont des bourreaux de travail, trop frustrés pour penser à ce genre de chose dis-je en levant les yeux au ciel, souriant à son petit baiser. Tu voudrais tout de même pas que je meurs de faim ? demandais-je, la tête toujours sous son pull, en pleine descente pour sortir de ce piège, avant de rire et déposer un baiser sur le centre de son pantalon. Rassures-toi, je passerais te faire un bisous avant de dormir dis-je en posant aussi ma man sur cet endroit, en le caressant un peu. Je levais mon regard vers Kenny, lui faisant un clin d'oeil avant de me perdre un peu dans mes pensées en prenant le repas. Je me mettais dans ma position initiale, les jambes pliées et allongés sur la longueur du canapé, la tête posé sur le torse de Kenny. Je voulais lui parler sérieusement, je voulais qu'il puisse se confier à moi, mais il n'en avais pas envie. Je souriais un peu tristement d'ailleurs, faisant comme ci de rien était. On fait moitié moitié si tu veux dis-je en me redressant un peu, surtout lorsqu'il me tendait la fourchette pour que je mange. Je mettais ma main en dessous pour ne rien tâcher. Huuum .. mais c'est dé-li-cieux ! je détachais les syllabe comme pour accentuer ce délice. Goûtes et c'était à mon tour de lui tendre la fourchette

La discussion était étrange mais drôle savoir qu'elle voulait un pénis me perturbait et comme je le disais m'amusait, parce qu'elle savait pas les contraintes. "Franchement ça vaux pas le coup alors." M'amusais-je à dire en la regardant. "Si c'est juste pour ça y a plus de points négatifs d'en avoir un genre le fait que ça se lève quand ça veux, que quand on marche ça colle de temps en temps enfin bon… Vaux mieux que tu restes une femme, la mienne, sans pénis, juste toi." Je lui volais un bisou en riant à sa question. "Fais quoi? Pipi par la fenêtre nan, j'ai jamais pensé par contre quand mes sœurs et moi étions plus jeunes et qu'elles prenaient toutes les salles de bain avec ma mère, il m'est arrivé de le faire dans la plante verte, ni vu, ni connu. En même temps quand c'est pressé, je voyais pas ou le faire d'autre." Je me justifiais avec une énorme difficulté, heureusement chez nous on avait des tonnes de toilette et on n'était pas très nombreux dans la famille. Cette discussion eu le don de me faire repenser à certains souvenirs, c'est vrai que je l'avais fais plus d'une fois ce coup là, Apple et Charline sans compter ma mère mettait tellement de temps à se pouponner parfois pour rien vu leurs têtes fatigués qu'elles avaient. Anya par contre était loin d'être crevé, elle était naturelle, elle-même, fallait la voir sortir sa tête en bas déposer un baiser sur mon pantalon, j'eu des frissons encore plus quand elle disait les quelques mots. "Il sera content." Riais-je en caressant sa tête, j'avais quand même peur qu'elle le fasse juste à cause des réflexions surtout en sentant sa main, ça me donnait très chaud et quand je disais tout à l'heure que tout se levait pour rien, elle en avait la preuve, une caresse, c'était déjà le drapeau en l'air. La salade en main, j'en tendais un peu à Anya pour qu'elle goute, je suis sur qu'elle allait fondre, elle allait adorer et faut dire que c'était les meilleures ici. "Je te l'avais dis." Dis-je tout content de lui faire découvrir un resto. J'ouvrais à mon tour la bouche pour en prendre, je fermais les yeux, divin, j'étais capable d'en manger tous les jours. "Je sens qu'on va prendre une carte fidélité chez eux." M'amusais-je à dire avant de passer ma main sur son visage. "Merci pour la soirée…" Je lui volais un baiser puis un second très rapide, se fut le troisième le plus lourd de sens, le plus amoureux qui était interrompu par la sonnerie du téléphone d'Anya. Igor et le mariage, on allait être fixé, si je la laissais décrocher." Non décroche pas." Dis-je proche de ses lèvres. "Fais comme si tu entendais pas." Qui aurait cru qu'il allait m'appeler après si Anya décrochait pas.

Bien sûr que si ça vaut le coup, j'ai envie de dessiner dans la neige en faisant pipi moi aussi dis-je en haussant les épaules, oui, y'a plein de chose comme ça que j'aurais aimé faire en étant un mec. Ca doit être fun. Kenny venait me rappeler quelques désagrément de leur condition. Moi je trouve pas que se soit un problème quand Kennytosaure me fait coucou, il est très poli dis-je en riant légèrement Pardon, continus je lui faisais signe de continuer, je le regardais, la bouche en coeur avant de rire à nouveau Attends, t'as déjà fait pipi dans les plantes de la maison ? lui demandais-je au bord d'une nouvelle crise de rire. Une fois, j'a déjà fait pipi dans des vignes dis-je en haussant les épaules, j'étais saoul ce jour là et après ce qu'il venait de m'avouer, je devais bien lui avouer aussi, sauf que je me rendais justement compte, que c'était mon mari quand même Tu m'en tiens pas rigueur n'est-ce- pas ? lui demandais-je en papillonnant des yeux.
Après la fin de notre discussion, les gestes étaient plus tendre, plus précis, je relevais mon regard dans celui de Kenny, en laissant un peu ma main en riant un peu à ce qu'il me disait. Il est toujours content de me voir et rien qu'en disant ça, je sentais qu'il était déjà en forme. Je me mordillais la lèvre en regardant Kenny droit dans les yeux. Flattée. Il me faisait manger, cette salade était divine, je lui rendais l'appareil pour qu'il puisse y gouter aussi En sortant des cours, j'irais commander certains soir, on se dit les jeudis ? oui ça pouvait être notre tradition du jeudi soir. ça me fait plaisir, je suis bien là et apparemment lui aussi, je fermais les yeux à ses baisers, je souriais même en nouant mes bras autour de son cou, ma tête toujours posée contre son torse. C'est qui ? demandais-je en penchant la tête un peu plus en arrière pour tenter de regarder mon téléphone qui était dans mon sac, à côté de Kenny.

"Bien sur qu'il est poli, je l'ai bien éduqué." Je me pinçais l'intérieur de la joue pour ne pas rire, je fermais les yeux avant de laisser tomber mon front contre ma main, dans toute ma vie, je n'avais jamais dis autant de bêtise que depuis que j'étais avec elle. Je continuais même sur ma lancée et vas-y que je déballe des petits secrets et que je disais mes plans, elle rigolait, moi aussi. "Bah quoi rigole pas, je peux pas serrer les cuisses moi quand j'ai envie." Riais-je avant d'hausser les épaules. "Peut-être, peut-être pas." Je faisais le mec un peu mystérieux avant d'en rajouter une couche. "Disons que ce n'est pas forcément Manuela qui a oublié d'arroser la plante à l'étage la dernière fois, si elle est morte c'est qu'il y avait une bonne raison…" Je sifflotais, c'était moi, à l'époque ou j'avais fais une rechute, Anya était dans la salle de bain et il était hors de question que je fasse pipi devant elle, c'était interdit, je me voyais pas le faire alors j'avais repris mes habitudes en le faisant dans la plante et avec tous les médicaments que je prenais à une époque, elle était morte. Amen. Si elle riait, moi je n'étais pas en reste surtout qu'elle se foutait de moi alors qu'elle, c'était pas mieux. "Oh j'y crois pas !" rigolais-je en la regardant. "En plus ta du culot, tu te fou de ma tronche alors que toi tu fais pipi les fesses à l'air dans une vigne ou on fait du… DU VIN !!!" m'écriais-je en voyant la bouteille. "Imagine on boit le raisin ou tu as uriné dessus." Et là nouveau fou rire. "Oh que si je retiens, ne jamais emmener Anya dans les vignes risque de faire pipi dessus." M'amusais-je à dire, je lui volais un baiser, cette discussion était étonnante. Elle prenait fin, laissant place à la tendresse et l'amour, c'est fou, on pouvait se comporter comme des enfants puis après comme des amants, je la contemplais son visage si fin, ses yeux si bleu, elle était heureuse de voir l'effet qu'elle avait sur moi, si elle savait que j'étais bien trop souvent comme ça en sa compagnie. "Parce qu'il t'aime… plus que tout." Je parlais au nom de Kennytosaure mais en réalité c'est mon cœur qui parlait. Je mangeais, brisant ce moment pour ne pas craquer. "ça marche." Dis-je en piquant un dernier bout de salade. Je lui volais plusieurs baisers, tout s'enchainait, je la voulais plus contre moi, ses bras autour de mon cou jusqu'au coup de fils. "Roh." Pestais-je en sortant le téléphone de la russe à coté de moi. "Ton père…" dis-je en levant les yeux au ciel. Je décrochais, souriant, elle détestait que je fasse ça et j'adorais perturber Igor. "Bonjour." Riais-je un peu. "Elle est en dessous moi." Lâchais-je avant de faire des gros yeux. "Enfin allongé quoi… Je veux dire pas nue bien que j'aimerais bien mais…" Mais qu'est-ce que je disais, je commençais à paniquer clairement. "Oui je vous la passe." Je lui donnais le portable, la discussion tournait autour de la date du mariage qu'il voulait rapidement.

En effet, il ne pouvait pas serrer les cuisses comme une femme mais lui n'étais pas obligé de se retenir Oui mais toi, t'es pas obligé de te retenir dis-je en haussant une épaule, il ne pouvait pas me faire changer d'avis. Non, j'étais convaincue que les hommes étaient mieux équipé que nous lorsqu'une envie présente surgi de nul part. Kenny venait d'ailleurs me prouver ma théorie. Il faisait pipi dans les plantes et d''après ce qu'il m'avait dit, il l'avait fait chez nous. Non mais attends, t'as tué notre palmier ? Y'a trois wc à la maison dis-je en riant En fait, t'es un peu comme ces super héros avec leur pouvoir magique, MagicKenny. MagicKenny est capable de vous ôter la vie en un seul jet, dis-je sur un ton d'une bande annonce cinématographique sauf que bien rapidement, mon projet tombait à l'eau quand il me parlait de ma petite mésaventure. Ce n'est pas pareil, j'avais pas le choix, j'avais beau serrer les cuisses mais j'avais toujours envie et .... il est plutôt bon ce vin je te signal dis-je en haussant les épaules, venant tout juste de dire que ... même mon pipi était parfait. Les choses allaient bon train, après ce moment enfantin, venait un moment un peu plus tendre et adulte. Ce qu'il venait de me dire me touchais, j'avais su lire entre les lignes et je savais ce qu'il voulait dire par là. Tu lui diras que c'est pareil pour moi moi aussi j'aimais Kenny de tout mon coeur, de tout mon être. Nos belles déclarations prenaient fin avec un appel, un appel de mon père. Kenny répondait, je lui tirais un peu le bras, mais je m'arrêtai en l'entendant parler à mon père ainsi. Je cachais mon visage entre mes mains, il s'enfonçait, il pataugeait clairement. Je lui donnais un petit coup dans la cuisse lorsqu'il me donnait mon téléphone Désolé, Kenny est ... perturbé je n'avais même pas d'excuse à lui donner. Mon père me parlait, je me mordillais l'index en l'écoutant, hochant la tête à ce qu'il me disait. il était long à croire qu'il ne voulait plus me lâcher Oui D'accord, bonne jou... Oui, continus dis-je en levant mon regard vers Kenny pour finalement, rouler des yeux et souffler doucement. Non j'ai pas soufflé, c'est le vent, on est dehors là

Je m'enfonçais avec Igor sans m'en rendre compte au début c'est quand j'avais dis que je l'aurais aimé nu sous moi et qu'Anya me filait un coup que mon visage devenait blanc. Heureusement qu'elle m'arrachait le téléphone, je fus heureux sinon je crois que j'aurais continué à débiter des conneries. Anya parlait avec son paternel, moi je l'embêtais en l'embrassant dans le cou c'était de sa faute fallait pas qu'elle se morde le doigt comme ça elle était pire qu'adorable et elle savait pertinemment que c'était un geste qui me rendait chèvre. Je continuais lentement avec une sensualité folle jusqu'à ce qu'elle disait de continuer. Elle avait envie de congédier son père, hélas, ça ne marchait pas surtout qu'elle soufflait, je rigolais en lui désignant son nez comme pour lui dire Pinocchio tu mens, elle avait bien soufflé, le vent quelle excuse. "Dépêche." Lâchais-je à Anya avant de prendre la bouteille de vin, je la regardais sur toutes les coutures avant d'éclater de rire en pensant à la conversation de tout à l'heure, ça me coupait pas l'envie mais j'y réfléchissais à deux fois pour finalement céder et boire deux gorgées, je conduisais pas ce soir, je pouvais faire ce que je voulais. I'm FREEEEE !

Mon père me tenait la jambe, à le voir en vrai, c'était un homme qui parlait peu, froid, mais lorsqu'il m'avait au téléphone, j'avais clairement l'impression d'être avec une autre personne. C'était sans compter Kenny qui en ajoutait une couche. Il m'embrassait le cou, je souriais , caressant ses cheveux en y fourrant ma main laissant ensuite mes doigts caresser sa nuque. J'avais tenté de congédier mon père, mais il continuait encore et encore. Kenny quant à lui, me demandait de me dépêcher, j'avais bien envie. Je mordillais son doigt lorsqu'il me touchait le nez et lorsque je le voyais boire, je tournais un peu la tête pour regarder la vue le temps qu'on me cher et tendre était en train de boire jusqu'à ce que je ne décide que la conversation devait se terminer, alors je me mettais à souffler dans le micro en tapotant un peu mon doigt contre le micro Allô ? Allô ? Je n'entend plus rien, on passe sous un tunnel , allô ? et là je raccrochais, je posais mon index sur les lèvres de Kenny en fermant les yeux un instant Je sais, je sais, ça ne se fait pas alors chuuuuut, au moins tu auras un temps d'avance lorsqu'Alessia le fera dis-je en riant, profitant de son petit moment de choc, en imaginant certainement Alessia dans cette situation pour prendre une gorgée de vin dans son verre. C'est la touche Anastasiyastique qui fait toute la différence

Elle raccrochait limite à son père, j'étais surpris, moi qui avait toujours l'impression qu'Anya était une bonne petite fille, je me trompais, j'allais parler quand elle posait l'index sur mes lèvres, je l'écoutais avant de faire des gros yeux, oui oui encore plus que ceux que je faisais déjà. Alessia et un mec, mon petit bébé et un homme qui la toucherait, je… Je buvais un dernier coup, je crois que j'en avais besoin, je pouvais pas concevoir de voir ma puce grandir, c'était trop. "Alessia le fera pas…" lâchais-je enfin. Je la regardais avant de lui filer mon verre. "Touche de rien du tout oui, t'es une mauvaise fille." Je rigolais avant de lui voler un gros bisou sur ses lèvres. "Ma mauvaise fille, tu préfères faire des cochonneries avec ton mari plutôt que de parler à celui qui a aidé ta mère à te faire. Pas bien." Je la charriais, me levant du canapé. "On devrait rentrer…" dis-je en m'étirant. "Je vais te montrer un jeu à la maison du lac à base d'alcool sain, parce que boire le vin qui est potentiellement touché par ton urine me dérange." Je fermais mon manteau en rigolant. "En plus, tu vas tellement perdre que tu voudras donner ton corps à ma personne pour que j'oublie." Je la taquinais, j'adorais l'embêter, voir ses yeux devenir un peu plus sombre, un air de défis sur le visage. "Après je peux comprendre que tu ne veuille pas."

Alessia le fera certainement, à part si son père la punie de sortie dis-je en haussant une épaule en riant doucement. Oui, je le voyais aisément faire ce genre de chose. C'est pas des cochonneries si je les fais avec mon mari non ? Puis, on est juste en train de boire du vin ce n'était pas des cochonneries non ? Je me décalais lorsqu'il me disait vouloir se lever, je fermai mon manteau, arrangeant un peu le canapé où nous nous étions installés. Parles pas de mon urines comme ça, tu devrais l'honorer et la chérir, je pensais que t'aimais tout de moi ... bah oui, elle fait partie de moi si tout son être m'aimait, il devait aimé tout le mien. Rêve Kovalevksi, je tiens très bien l'alcool et je vois pas pourquoi tu gagnerais c'est quoi ce machisme ? Bien sûr que je veux et je vais te mettre minable ! dis-je en descendant rapidement les escaliers pour aller au parking. Tu vois, même là, je t'ai battue lui dis-je en le regardant arriver tranquillement, j'ai l'esprit de compétition ? Moi ? Si peu .. Au fait, c'est avec quel alcool ton jeu ? oui parce qu'il y'a certain alcool avec lesquels j'ai du mal.

"Quand je t'ai épousé, j'ai aussi épousé ton urine alors?" dis-je en faisant des gros yeux amusé. "Ah bah non alors, je suis désolé mais je ne peux pas." Je rigolais, en fait y avait très peu de chose qui me dégoutait d'Anya, je l'avais vu dans des situations tellement pire comme quand elle avait les nausées matinales ou encore chez le gynéco, avoir la grippe aussi. "Moi pour moi y a arnaque sur la marchandise, je crois que tu faisais des pipis papillons, je comprends absolument pas du coup on va devoir revoir le contrat." J'hochais la tête très sérieusement, je voulais même jouer avec Anya, j'avais envie d'oublier, de boire, de ne pas réfléchir, de ne pas penser que j'avais 27 ans, de ne pas penser à ma santé, de ne pas non plus pensé que j'étais un père, je voulais juste profiter de mon épouse, de jouer et de rire. "c'est pas du machisme !" dis-je en la regardant, hochant négativement la tête. "C'est juste du réalisme, je suis réaliste." Je lui tirais la langue, rieur, je la suivais dans les escaliers, elle allait vite, à croire qu'elle voulait me prouver un truc et je ne m'y trompais pas. "Non mais je te laisse gagner, deux défaites dans la même journée c'est dure à avaler." Je la suivais jusqu'à la voiture en montant dedans après avoir jeter en bas tous nos déchets. "C'est Beer-pong mais bon vu que tu es pas une faible on va remplacer la bière par du whisky, ça devrait aller pour toi et ton petit corps après tu peux toujours dire non." Je souriais, rigolais encore un peu faut dire que l'alcool que je proposais était mon préféré mais aussi le plus fort et vu le petit corps de mon épouse, je sens qu'elle tomberait avant moi. Dans la voiture, nous voyageons un peu tranquillement, je chantonnais une chanson funéraire pour Anya, pour lui dire qu'elle allait être tellement triste qu'elle serait au bord du suicide alors que la maison du lac était face à nous. "Dépêche Kovalevski !" dis-je en sortant. Je commençais à m'étirer les bras. "J'ai hâte de te fumer."