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J'avais bien senti qu'à cause de ma phrase un petit blanc c'était installer entre elle et moi, je ne pouvais m'empêcher de penser à l'avenir personnellement. Alors que je revenais prendre place dans le salon, Wendy s'amusait avec mon chat, je voyais bien que son petit sourire avait disparu et à cause de mes propos. C'est de ça dont j'avais peur que du jour au lendemain tout devienne froid entre elle et moi à cause de cette ambiguïté. Je prends une gorge de mon coca et lorsque l'on se met à parler de m'embarquer chez elle avec mon chat je hausse les épaules en répondant : « Eh bien temps pis ils ne seront pas contents et je m'en moque, je me cacherais sous le lit avec mon chat ils ne seront même pas que je suis là. » Wendy me dit que j'allais être dans l'obligation de dormir dans son lit, je lâche un petit rire et réponds : « Tu sais bien que ce n'est pas moi à qui ça va déranger. » Tous les deux on se lance dans une bataille de chatouille et bien sûr je gagne comme d'habitude mais en voyant Wendy mourir de rire à cause de mes chatouilles je m'arrête pour qu'elle puisse respirer, je lâche un petit rire en répondant ; « Je suis trop gentil. la prochaine fois je te laisserais mourir étouffer par mes chatouilles. » Je lui fais un petit clin d'œil et je fais comme Wendy j'enfile mon caleçon et mon pantalon, je commençais à avoir froid un peu.
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