KENYA ♥ Thanksgiving

Désolé ... j'ai pas fait attention qu'on était encore .. je baissais mon visage sur notre union, posant ma main sur Kennytosaure pour l'enlever délicatement C'est un peu comme à la pompe à essence (aa) Tu te souviendras de cette dispute un petit moment dis-je en éclatant de rire alors que je passais mes doigts dessus. Je m'habillais rapidement, je me mettais à l'arrière pour lui laisser assez d'espace et pour en avoir moi aussi. Kenny me rendait ma culotte. Je la prenais rapidement pour l'enfiler en riant Merci, la prochaine fois, essaye de pas l'envoyer n'importe où je m'appuyais contre le siège pour lui voler un rapide baiser contre sa joue, laissant mes lèvres glisser contre son oreille. Peut être qu'il me reste encore un peu de rancoeur .. je riais un peu, je voulais juste l'embêter avec ça. Il sortait, venait me prendre pour me porter et me ramener dans la boite de nuit. Je n'avais plus tellement envie d'être là après ce qu'on venait de faire, j'avais juste envie de rester avec lui, juste dans ses bras. Chose qui contrastait bien avec ce qu'on venait de faire. C'était plus que de la douceur, mais Kenny ne semblait pas sur la même longueur d'onde que moi alors je restais. Nous retournions nous asseoir, je buvais encore un verre, trinquant avec Kenny au passage. A nos belles disputes dis-je avec un petit sourire, merde, j'étais pas dans le même état d'esprit, j'avais encore tout plein d'image en tête.

Je rigolais contre elle. Faut dire que quand je voyais la voiture bougée, j'avais compris rapidement pourquoi on nous avait repérés. "A… Arrête." Dis-je enfin, fallait pas qu'elle me cherche, j'étais encore capable de jouer avec notre pacte rien que pour faire un deuxième tour et je ne voulais pas que cette histoire s'ébruite même si cet établissement était connu pour son silence. "Bien énervé alors, elle descend loin." Dis-je en frissonnant à sa caresse sur mon torse, elle était énorme cette griffure, je crois que c'était la plus grande qu'elle a pu me faire en deux ans de vie commune. Un baiser, Anya me confiait ne plus être énervée, tant mieux, je n'avais pas envie de rentrer en nous prenant la tête surtout après ce moment, y avait eu tellement d'émotions, c'était tellement… waha ! J'en revenais pas, ma respiration reprit un rythme plus régulier au fils des secondes alors qu'on était tous les deux entrains de s'habiller. Je fermais mon pantalon, prenant ensuite mon manteau aussi et mon écharpe sur le coté. "Elle est là." Dis-je en la prenant vers le pare brise, elle avait volée loin, l'effusion du moment surement. "Prête?" La buée sur les fenêtres, je souriais en sortant du véhicule le premier, faisait tellement froid dehors, je frissonnais un peu, la chute était rude et la neige avait de plus en plus envahis les trottoirs. Ouvrant la porte arrière de la voiture, je tendais la main à Anya. "Votre taxi est prêt." Dis-je en repoussant un bâillement. Je la prenais, les pieds dans la neige, pas top puis j'allais la faire marcher un peu dans la boite pour la reprendre ensuite contre moi afin d'aller réserver une chambre. A plus de 2 heures du matin, on pouvait voir que la boite était encore bien remplis, plus de Francis viré tout à l'heure, plus de Priape, ni de Rebecca.

J'étais là, sans vraiment être là, pour la simple et bonne raison que j'avais envie de rester avec lui, seulement lui et pas autour d'étranger. Pas après ce qu'on venait de faire. Mais subitement, il me demandait si je voulait rentrer et alors que j'allais répondre, il passait son bras autour de moi pour aller à l'hôtel. Il m'entrainait vers la sortie jusqu'à ce qu'il me porte. Attends ma robe ... tu l'as coincé et j'ai de la neige qui me tombe sur les fesses dis-je en éclatant de rire. Je remettais ma robe correctement, en passant mes bras autour de lui pour me tenir. Je pensais que tu voulais rester là .. mais je suis contente que ça ne soit pas le cas j'avais un grand sourire parce que finalement, on pensait la même chose. C'était un simple concours de circonstance. Il me demandait de prendre son téléphone. Sa grand-mère. Merde, on devait rentrer. J'ouvrais son manteau pour prendre son téléphone, le refermant en tenant le téléphone contre mon oreille pour qu'il ne prenne pas froid. Dès que la tonalité se coupait, elle m'engueulait du moins, elle pensait engueuler Kenny. C'est Anastasiya ... dis-je en retirant la neige qui était sur les cils de Kenny, qui lui me portait toujours jusqu'à l'hôtel pour que je ne m'enfonce pas dans la neige avec mes talons. Sauf que le fait que se soit moi ne change pas. Elle m'engueulait moi aussi. Je faisais les gros yeux, décollant un peu mon téléphone de mon oreille en faisant une drôle de tête. Elle est pas contente soufflais-je à Kenny en posant ma main sur le micro avant de reprendre. Je suis désolé ... on avait pas vu qu'il neigeait autant dehors. Ne vous inquiétez pas, on va rester dans le centre... on peut pas se servir de la voiture, on a pas prit les chaînes ... Non ne venez pas , c'est trop dangereux puis on a déjà réserver elle continuait à parler, jusqu'à ce que nous coupions la communication. Rude en affaire la mamie. Elle lâche rien ta grand mère dis-je en riant elle va aller se coucher maintenant et elle est rassurée, elle peut enfin dormir sur ses deux oreilles comme elle m'a dit ... mais ... elle m'a engueuler moi ! dis-je encore surprise alors que nous entrions dans l'hôtel. Rapidement, on venait nous voir. Kenny et moi avions fière allure, pas comme les jeunes qui étaient venus se réfugier ici et à qui on ne donnait pas de chambre contrairement à nous. Le standing mon ami, le standing. comme si j'étais sa petite fille terminais-je par dire, coupé en voyant Francis avec sa rousse au bar de l'hôtel ... ainsi que Priape et Rebecca qui nous faisait des siennes, d'ailleurs Priape regardait Kenny avec un sourire en coin et un regard qui ne trompe pas. Je suis passé à ta voiture tout à l'heure pour voir si tu n'y étais pas ... dit-il avec une certain mystère dans la voix. Doublement grillé.

Bien finalement elle voulait rester. Je soupirais intérieurement, la suivant jusqu'au carré VIP en prenant un verre à la main. "A nos belles disputes." Dis-je ailleurs. J'étais un peu rêveur, je reconnais que j'étais chamboulé par ce qu'on avait pu faire, c'était le genre de moment que j'avais envie de continuer après, de la garder contre moi. "Tu veux pas rentrer?" Au risque de passer pour le vieux, je préférais demander. "Je pensais qu'on terminerait à l'hôtel." Dis-je en glissant mon bras autour d'elle et sans attendre une vraie réponse, je lui prenais la main pour sortir. Dehors la neige était de pire en pire passant de 2 cm à 6 bons gros centimètres, bien dis donc c'était pire qu'horrible. "Accroche-toi." Dis-je en l'attrapant dans mes bras. C'est là que j'oubliais ma grand-mère, j'avais dis que je rentrerais et elle m'attendait surement. "Prend mon téléphone dans la poche intérieur de mon manteau, appelle ma grand-mère et explique lui qu'on va à l'hôtel à cause de la neige." Plus de 10 appels en absences, Anya aussi en avait, ma grand-mère s'occupait de mon épouse comme l'une de ses petites filles, elle appréciait énormément, au fils des jours j'avais vu que les relations avaient changées. Avançant toujours dans la neige en portant la russe, je continuais, l'hôtel n'était pas très loin désormais, j'espérais qu'il ne soit pas complet parce que là je ne voyais pas vraiment ou on pourrait dormir. "Oh dis lui de ne pas venir nous prendre, quelle fasse pas la folle." Murmurais-je à la russe.

Je souriais en entendant Kenny mais aussi en le voyant aussi heureux. Qui ne m'adopterait pas en même temps ? yeux de biche, je papillonnais des cils en riant avant d'entrer dans l'hôtel. Kenny me déposait enfin, Priape nous donnait notre chambre avec de nombreux sous entendu mais lorsqu'il nous parlait de la voiture, je me tournais vers Kenny en levant les yeux au ciel, petit sourire aux lèvres. Oui on avait plein de coup de fil à donner et regarde mes chaussures, j'aurais pas fait long feu sous la neige on s'enfonçait clairement, mais à deux. Priape nous regardait en riant. Vous me prenez vraiment pour un con ... Anya t'aime titanic non ? j'arquais un sourcil, en me demandant ce qu'il voulait dire par là jusqu'à ce qu'il fasse glisser sa main contre le miroir de la grande salle après y avoir fait de la buée. Je faisais les gros yeux, au mon dieu. La honte. C'est un bon film et j'ai toujours pensé que Jack était con, y'avait la place pour deux Il a surement pas penser à la prendre sur lui ... t'y aurais pensé toi Kenny non ? okay, on était grillé à 100 pour cent, je donnais un petit coup de coude à Priape me laissant entrainer par Kenny qui venait de voir le numéros de la chambre. Je passais une main contre mon visage, pour tenter de me cacher pour finalement la retirer lorsque nous nous retrouvions tous les deux Griller à 100 % dis-je en riant avant qu'il ne me fasse venir contre lui. Je me laissais faire, passant mes bras autour de son cou pour plonger mon regard dans le sien. Je ne répondais pas à sa question, non je préférais passer mes lèvres contre son oreille J'ai rien contre ce numéros soufflais-je avant de me défaire de son emprise pour sortir de l'ascenseur qui venait de s'ouvrir, marchant dans le couloir à la recherche de notre suite.

Ma grand mère criait d'abord en pensant que c'était moi au téléphone puis en entendant Anya, ça ne changeait rien elle était très en colère, elle se faisait tellement de souci parce qu'on avait pas appelé. Anya était surprise, moi je peux vous dire que j'étais plus que ravis, mes yeux ne trompaient pas, je regardais mon épouse s'expliquer et je lui faisais même un bisou sur son manteau, seule partie qui s'offrait à moi. En raccrochant, Anya fut sonner par l'incompréhension, je souriais tellement heureux. "Elle t'a adopté, c'est définitif." Dis-je tout content. "Chez moi c'est comme ça quand la personne se met dans cet état là c'est qu'elle est importante pour elle et pour avoir discuté avec ma grand-mère, elle te voit pas juste comme la mère de notre fille ou mon épouse, elle t'a adoptée, bienvenue." C'était officiel comme c'était officiel qu'on arrivait ici à l'hôtel. Les gens attendaient une chambre, nous on en avait directement une par Priape qui me tendait la clé avec un air plus que malicieux. "Ah." Dis-je en me disant qu'il avait du nous entendre du coup. J'étais pas gêné, je riais pas non plus mais mon sourire en disait long. "On avait des coups de téléphone à passer, y avait du bruit dans la boite, il faisait trop froid pour sortir enfin tu as pris notre chambre." Priape hochait la tête en me donnant la clé. "C'est ça ouais ! C'est la suite, je me suis dis que vous seriez tranquille, à l'abri des regards." Paroles lourdes de sens, je riais un peu, ma main dans le creux des reins de mon épouse, on partait vers l'ascenseur. "Chambre 369." Dis-je en voyant le numéro. "C'est drôle Priape, très drôle !" m'écriais-je en lui parlant des deux derniers chiffres de la fin. Je levais les yeux au ciel montant dans l'ascenseur ou j'attrapais mon épouse par son manteau pour la garder ou devrais-je dire l'enfermer dans mes bras. "T'es contre ce numéro?" Quoi, j'avais bien le droit de tester le terrain.

J'attrapais la main de Kenny en l'entendant parler. Ce qu'il venait de dire ... comment dire. Je me sentais aimer, plus que jamais. Il me prouvait encore une fois que j'étais toute sa vie, qu'il préférerait mourir pour moi, même s'il y avait de la place. Je déposais un baiser sur le dos de sa main en ne le lâchant pas du regard. Francis nous regardait, aucun intérêt ce mec. Je préférais regarder l'amour de ma vie. Je préférerais que tu trouves de la place pour venir avec moi répondais-je quelques moment après, en parlant du titanic. Je riais en l'entendant, je me cachais contre son manteau. c'est de ta faute en même temps , tu peux pas me blâmer dis-je en riant. Il me posait une question, je répondais avec un petit sourire avant de me dégager de son emprise pour aller dans le couloir et chercher notre chambre. Il l'avait trouvé avant moi, surement que j'étais déstabilisé par sa question. Je venais, alors qu'il était déjà entré et la vision que j'avais me laisser sans voix. Lui, debout, dans le noir, on ne distinguait que son ombre. La ville s'offrait à lui. Le roi du monde. C'était l'impression que j'avais. Je souriais en me laissant tomber sur le lit, retirant rapidement mon manteau tellement la température était douce dans la chambre. Je n'osais pas allumer une seule lumière, juste pour me complaire du panorama que j'avais. Quand tu veux, j'aime bien cette ville c'est vrai, c'était charmant. Assise sur le lit, je retirais les lanières des chaussures que je portais, qui entouraient ma cheville pour, faire tomber mes escarpins ensuite au sol. Je me mettais devant le miroir ensuite pour retirer ma robe et la poser sur une chaise. Je passais mes doigts dans mes cheveux, avec un sourire aux lèvres. J'étais juste épanouie.

"Bien sur que non on te prend pour un con, on… on travaillait, attend tu sais bien j'ai énormément de boulot en plus Anya m'a prit la tête." Je levais les yeux comme pour crédibilisé mon histoire mais Priape me regardait plus que blasé par nos excuses plutôt qu'autre chose surtout quand je le voyais faire le coup de Titanic. Olala ! Anya s'enfonçait quand même et moi je souriais, je la rapprochais même de moi, je sais pas pourquoi, comme un instinct de protection. "Hein?" Je sortais de mes pensées quand Priape répétait sa question. "J'aurais laissé ma place pour Anya aussi, je ne prends pas le risque de la faire mourir avec moi, je la laisserais partir pour la sauver quitte à laisser ma vie." Ça sortait du cœur, d'ailleurs Priape avait son visage qui se radoucissait, on voyait tellement la sincérité de ma réponse, il me donnait les clés, on partait vers l'ascenseur quand je voyais le chiffre. Alors là on était pire que grillé mais bon c'était lui, je savais qu'il ne dirait rien. Amusé dans l'ascenseur, je rigolais enfin quand Anya me faisait par de son sentiment. "Ouais je t'ai dis…" dis-je en tirant sur son manteau pour la faire venir à moi. "Ta fais trop de bruit." M'amusais-je à dire proche de ses lèvres. Cependant une question venait dans ma tête, les chiffres, je me demandais si par hasard elle serait contre, je tentais ma chance, si c'était non bien tant pis. "Très bien." Elle était pas contre, j'avais envie de danser de joie, je reconnais que ces derniers temps j'avais envie de changement de l'entrainer dans des terrains qu'elle ne connaissait pas comme elle avait pu le faire pour la voiture, d'ailleurs c'était à recommencer en cas de dispute. "Bébé, c'est là !" dis-je en lui montrant la porte avec mon index. Il était tard, j'étais pas du tout fatigué, je rentrais dans la suite à l'aide de la clé électronique et je peux vous dire qu'avoir vu sur Big Ben me rendait bien heureux. J'adorais. Mon pays, je restais même quelques secondes dans le noir face à la fenêtre, j'étais bien, si cette soirée n'avait pas été d'un amusement totale, elle c'était avérée des plus surprenantes et savoureuses, je voyais qui était mes amis, la personnalité de mon épouse et mon amour à son égard qui était infaillible. Je prenais une aspiration, dans quelques jours on partirait, je voyais déjà la nostalgie s'emparer de moi. "On reviendra hein?" demandais-je ailleurs.

Kenny venait derrière moi. Je levais un bras pour le passer derrière sa tête et la lui caresser en me reposant contre le torse de monsieur. Je fermais les yeux un instant avec un sourire aux lèvres. Je trouve aussi dis-je avec un grand sourire avant d'ouvrir les yeux. Je frissonnais à son baiser, regardant son geste avant de froncer les sourcils. Je m'approchais du miroir pour regarder mon cou. Oh mon dieu. KENNY ?! dis-je en faisant les gros yeux. Je le voyais partir en courant sous la couette. Je me retournais vers lui, il me disait m'aimer , m'appeler mon amour. Passes moi la pommade mon grand. Tu crois que tu vas t'en sortir avec un je t'aime mon amour. Mais regardes moi ça dis-je en faisant les gros yeux, je m'approchais, je touchais même un peu mon cou. C'est que c'était sensible. Je me retournais, les bras sur les hanches en avançant avec une allure féline vers Kenny. Je prenais un verre d'eau pour la lui verser sur la tête. Je crois que t'es un peu trop chaud ! dis-je en lui remettant la couverture au dessus de la tête. Mais fais quelques chose, c'est pas possible, je vais te donner à manger avant qu'on fasse l'amour dis-je en me redressant un peu sur le lit pour regarder mon cou encore une fois.