KENYA ♥ Thanksgiving

Le coup de la sorcière, j'avais rigolé, j'avais pas trouvé la force de répondre et le baiser avait mit fin à mon fou rire, je vous ai dis Anya était responsable de mes abdos, je me demandais pourquoi je continuais à me casser la tête à aller dans une salle de sport alors que j'avais mon épouse qui débitait des conneries comme pas possible. Désormais chez nous, je retirais mes affaires, j'avais envie de manger vraiment. "Non on a du coca. Donne tes mains, je retire tes gants" Dis-je en lui retirant ses affaires, je la chouchoutais, j'avais tellement envie de la garder contre moi, lui faire des bisous… Enfin c'est avant que mon estomac me rappelle qu'il était présent, il faisait un bruit digne d'une vieille voiture qui avait du mal à démarrer alors j'allais dans le salon. Je mangeais mes frites, j'avais tout sorti sur la table basse, j'en grignotais une quand Anya se jetait sur moi pour croquer à l'autre bout. "Merde, tu m'as fait peur." J'avais eu un sacré mouvement de recul, j'avais pas vu le coup venir. "Je suis pas un morfale déjà ça me gêne pas si tu ne te jette pas sur moi comme ça puis tu sais que dans Belle et le clochard c'est avec des spaghettis qu'ils font ça pas des frites." Riais-je en laissant tomber ma tête sur l'assise du canapé vu que j'étais assis par terre. "Je réclame dédommagement, bisou." Dis-je en relevant directement la tête quand j'entendais les présentateurs s'exciter, j'avais raté le panier. Déçu, blasé. Je soupirais en mangeant un bout de mon sandwich, je regardais du coin de l'œil mon épouse pour me lever. J'allais dans le frigo curieux, en vain, elle avait même pas acheté de gâteau. J'avais pris juste un muffin pour moi, je pensais que j'aurais le droit à un truc même pas. "y a pas de gâteau." Dis-je en faisant un peu l'enfant pour le coup. "Ta oublié." Je me posais de nouveau à ma place.

Hey, me dis pas que je fais peur dis-je en lui donnant une petite tape sur le front.  On a le droit de refaire notre propre scène dis-je en prenant une frite dans ma bouche pour qu'il puisse manger l'autre bout. Ah moins que tu veuilles faire le clochard ... je pensais plus à la belle et le beau tu vois le genre dis-je en mettant rapidement ma main sous la frite avant qu'elle ne tombe. T'es vraiment cher comme mec lui répondais-je avec un petit sourire au coin des lèvres. Je posais mon sandwich pour déposer un baiser sur sa gorge qu'il m'offrait, puis je descendais un peu sur son torse en baissant son pull pour remonter vers ses lèvres en tournant son visage. voilà monsieur le capricieux, t'es pire que moi, je pensais pas que ça puisse exister oui parce que question caprice, j'en tenais une bonne couche. Kenny avait presque terminer son repas. Je le regardais avec des gros yeux alors que j'en étais qu'à la moitié. Il se levait, me parlait de gâteau. Réfléchis, réfléchis, réfléchis. Les apparences sont parfois trompeuses ... phrase bateau mais pleine de mystère. Je terminais à mon tour mon repas, enfin pas tout, comme d'habitude. Me dis pas que t'as encore de la place ... je vais le chercher Bordel, vaut mieux l'avoir en photo ce mec. Je me levais en m'appuyant sur le canapé. Je prenais discrètement le paquet cadeau pour monter à l'étage et mettre la toute nouvelle tenue que nous avions acheté. J'arrangeais mes cheveux, mettait un peu de ce rouge à lèvre nude que nous avions prit également, un peu de parfum et je m'étalais de la crème chantilly sur le buste, je prenais une bougie que j'allumais et que je tenais entre mes doigts. J'arrivais doucement pour me mettre devant lui après quelques minutes d'absence.  T'avais dis que c'était moi le dessert.... joyeux anniversaire ... dis-je avec un large sourire. Je m'approchais de Kenny, je poussais un peu la table pour me mettre à genoux devant lui afin d'être à sa hauteur.  Souffle et fait un voeux dis-je plongeant mon regard dans le sien, regard ou on pouvait voir la lueur de la flamme, danser chaudement.

"Plus les secondes avancent, plus la dette augmente. Tic tac." Et là elle me faisait le genre de bisou que j'aimais tant ce n'était pas un simple baiser mais un gros câlin, je caressais sa tète quand elle m'embrassait le torse et je m'attendais à un baiser sur mes lèvres sauf qu'elle fut trop rapide. "Ah ouais ok je retiens." Dis-je en me levant finalement, je partais dans la cuisine car j'avais envie de voir la tête de mon gâteau d'anniversaire mais franchement je fus tellement surpris de ne rien voir que les mots ne sortaient pas tout de suite. "Bien il est ou, j'aime pas quand tu fais des énigmes." Je revenais à ma place en hochant la tête, je venais d'avoir 5 ans, j'avais envie de souffler les bougies de mon gâteau c'était une tradition à mes yeux et quand Anya partait, je regardais le match, au moins madame n'avait pas oubliée, je l'aurais pas mal pris si c'était le cas surtout au vu du cadeau qu'elle m'avait fait, prendre le chien avait du lui prendre énormément de temps. Les minutes passaient, elle apparut. Mes yeux s'agrandissaient, comment voulez vous que je reste tranquille ou que je sois pas plus amoureux en voyant mon épouse me faire ça, mon gâteau c'était elle. Je ne disais rien, mes yeux brillaient tellement encore plus quand la bougie apparut à ma hauteur, ils étaient tout humide parce que ce geste là était… Je… Mes pensées s'embrouillaient, je regardais la bougie, les yeux d'Anya faisait de nombreux allé/retour c'était le meilleur gâteau au monde clairement. Je faisais mon vœu dans ma tête, je soufflais. J'avais souhaité de mourir vieux à ses cotés, heureux en sa compagnie. La bougie s'éteignait, je pouvais enfin l'embrasser et au lieu de me jeter sur elle c'est avec une énorme douceur que je l'attirais contre moi, ma main caressait l'arrière de sa nuque, je scellais nos lèvres ensemble. "J'ai pleins de place pour le dessert…" murmurais-je sensuellement front contre front. "Merci encore pour tout ce que tu fais, merci…" Mon amour c'était décidément la meilleure et c'est dans cet élan si romantique que je l'embrassais encore sans toucher à la crème chantilly tout de suite.

J'adorai lorsqu'il me touchait les cheveux. Je souriais contre son torse, je le baissais un peu plus jusqu'à ne pas pouvoir. J'étais déçu alors je lui retirais pour continuer un petit instant jusqu'à remonter vers ses lèvres. Faut pas abuser des bonnes choses, t'es diabétique dis-je en lui faisant un clin d'oeil. Ouai, je suis une douceur moi. Je riais un peu avant de me lever pour aller lui préparer son gâteau. Je n'avais pas prévu le coup. Nous en avions mangé un à midi, je m'étais dis que ça suffisait mais apparemment non. Réfléchis Anya, réfléchis ... c'est à ce moment là que je vis la bombe chantilly. Je l'attrapais, ainsi que le paquet de tout à l'heure pour monter rapidement à l'étage et me préparer. Je revenais 5 minutes après.  Happy birthday to you, happy birthday to you, happy birtday to you mister président , happy birthday to you  ça m'avait fait rire de dire mister président. Après tout, il l'était aussi d'une grande société et je pouvais le temps d'une soirée concurrencer Marilyn non ? La bougie entre les doigts. Je me posais à genoux devant Kenny en tendant cette dernière devant lui. Je voyais son regard. Je souriais d'autant plus tout en plongeant mon regard dans le sien. Heureuse. C'est quoi ton voeu ? demandais-je curieuse. Oui, j'avais envie de savoir, même si je savais que c'était mal vu de le dire. Mais chaque année, je le lui demandai. Ce n'était pas nouveau mais malheureusement, chaque année, il ne voulait pas me le dire. Je posais la bougie à côté une fois qu'il soufflait. Je passais ma chevelure sur une épaule, du moins, Kenny le faisait pour venir caresser ma nuque et m'embrasser. Tu m'en vois terriblement heureuse mes doigts passaient dans ses cheveux en le regardant dans les moindres détails. Les lumières étaient éteintes, mise à part des petites leds, une petite lampe et le feu de cheminé. C'était intime et chaleureux à souhait.  T'as pas à me dire merci mon amour  j'initiais notre nouveau baiser. je penchais la tête de Kenny sur le côté lorsque j'en eu fini avec ses lèvres pour descendre contre sa mâchoire, son cou, sa gorge, alors que j'étais venu me poser juste au dessus de ses jambes, à genoux pour être bien plus proche. J'espère qu'une bougie te suffit, j'avais pas la place pour en tenir 27 dis-je en me mordillant la lèvre, alors que je m'étais délicatement assis sur ses cuisses, faisant attention à son genoux pour caresser sa barbe et ses cheveux.  Je t'aime j'espère que tu le sais

Mon vœu, elle ne lâchait jamais l'affaire, chaque année elle le faisait, chaque année je lui disais non même si j'avais le droit à son visage boudeur, je ne céderais pas. "Pour l'instant tout se réalise, je préfère ne pas le dire." Je voulais mourir à ses cotés, heureux et épanoui, amoureux comme au premier jour, cette femme était pas n'importe laquelle, c'était ma femme déjà mais aussi celle qui faisait battre mon cœur comme un malade, je bénissais dieu que de ne pas être cardiaque, sinon elle m'aurait tuée. J'embrassais sa nuque, ses lèvres ça pouvait être anodin mais quand on savait que j'avais lutté pendant une semaine pour ne pas l'embrasser, je pouvais vous dire que retrouver sa peau me faisait un bien fou sans compter qu'elle sentait incroyablement bon. "Si j'ai envie de te dire merci c'est important." Oui je trouvais qu'elle devait savoir tout ça, que tout me faisais plaisir, j'avais envie de la remercier, je voulais qu'elle sache qu'elle me rendait marteau, qu'elle me rendait encore plus heureux, moi qui pensait que c'était impossible. Je l'embrassais aussi, je reconnais que sur le chemin de ses lèvres j'avais pas résisté à plonger mes lèvres dans la crème chantilly rien que pour lui en mettre partout sur son visage, taquin, amusé, l'ambiance était vraiment comme je pouvais l'espérer. Intime, douce, je fermais les yeux sous ses baisers contre ma peau, j'aimais ça faut pas croire que moi ça ne me faisait rien du tout. "Une seule était parfait, je te connais, imagine tu aurais mis le feu à la maison." Je plaisantais mais les feux du à une simple bougie arrivait bien souvent. "Je sais, je vois tout ça, je vois tes yeux sur moi, ta peau quand je te touche, je vois mais j'aime l'entendre." Oui elle me le disait pas autant que je l'espérais mais quand elle le faisait mon cœur était aux anges. "Je devrais manger mon gâteau, c'est pas bien de le laisser dépérir." J'hochais la tête avant de passer ma bouche sur son buste, lentement, j'embrassais, léchais la crème chantilly le long, ça me faisait de l'effet jusqu'à ce que je rigole en la serrant fort contre moi. "Qu'est-ce que je ferais pas sans toi." J'aurais jamais cru que ça pouvait m'arriver honnêtement. "Je vais refaire un caprice mais je veux un jacuzzi." Dis-je en fourrant ma tête dans son cou. "Dis oui, je te masserais s'il le faut et après bien je t'en demanderai un sous prétexte que c'est mon anniversaire."

Je ne saurais pas le voeu qu'il avait fait mais c'était pas faute d'avoir essayé. Je ne pouvais m'empêcher de laisser mes lèvres se poser sur sa peau. J'avais retirais son pull pour avoir accès à sa peau tout à l'heure et maintenant, j'enlevais son débardeur. Mais regardes moi ça  dis-je en regardant son torse, puis son visage. Je laissais mes doigts glisser sur la longueur de son torse avant de remonter encore et encore. J'aimais son torse. J'aimais sa carrure, je l'aimais. Je ne l'aimais pas que pour son physique, bien sûr que non, mais ça ne gâché rien. Je riais en le voyant plonger ses lèvres contre la chantilly qui était un peu plus au dessus de ma poitrine pour ne pas tâcher le tout nouvel ensemble que nous avions choisis. Huum, elle est vraiment bonne  dis-je en passant ma langue sur mes propres lèvres, en riant. Il avait fait exprès et je le savais.  A t'entendre, je suis miss catastrophe je tapotais mes lèvres pour qu'il s'excuse avec un bisous avant de lui dire que je l'aimais. Je baissais un peu la têt à ce qu'il me disait. Je me trahissais toute seule.  Je pensais pas que ça se voyait autant soufflais-je un peu timidement. Heureusement, il passait à autre chose, rapidement.  Je crois sinon ça va couler et ça va tâcher mon tout nouvel ensemble et tu pourras pas en profiter je bombais ma poitrine en me redressant un peu sur mes genoux pour qu'il puisse profiter encore un peu de la vue. Je sais pas et je veux jamais le savoir je passais ma main dans ses cheveux en le regardant faire. Je riais un peu parce que ça me chatouillait.  Je peux aussi te masser ici tu veux pas profiter de ce qu'on a acheté ?  j'étais un peu déçue quand même, je pensais qu'il allait un peu en profiter, regarder, jouer avec ...  Bon si tu veux viens dis-je en me redressant et en lui tendant la main.

Oh que si parfois je le voyais, parfois un peu moins, je ne rajoutais pas, je sais qu'Anastasiya avait du mal avec ses sentiments, elle n'assumait pas vraiment tout devant les autres cependant devant moi je voyais qu'elle était différente. Une autre femme, une femme beaucoup plus douce, plus tendre et amoureuse surtout. Je nettoyais la bêtise qu'elle avait faite sur son torse, au fond j'étais persuadé qu'elle avait oubliée le gâteau et je me surprenais à être heureux de voir qu'il n'existait pas parce qu'on partageait un bon moment tous les deux surtout que je riais bien contre sa poitrine, je mettais même mon nez entre ses deux seins." Je meurs." M'amusais-je à dire avant de poser mon menton dessus pour la regarder. "Comment ça tu veux pas savoir ce que je ferais sans toi, bien je vais te le dire, je serais surement triste de ne pas avoir eu la femme de ma vie, je pense que j'aurais quand même continuer à te vouloir et je t'aurais encore et encore dragué, à l'usure ça marche à ce qui parait." Je riais encore terminant de manger la crème, j'avais envie de profiter du jacuzzi mais son regard à elle changeait. "Si je sais pas en fait." J'étais en plein dilemme, elle se levait en me prenant la main et quand je la voyais de haut en bas je peux vous dire que le dilemme fut rapidement régler. "En fait non." Et je la tirais avec force pour qu'elle vienne contre mon torse, sans prévenir je l'embrassais amoureusement au début puis beaucoup plus langoureusement la poussant contre la table pour qu'elle prenne place. "Tu sais ce que je vais te faire?" murmurais-je sensuellement, chaudement, j'étais torse nu, je lui prenais la main pour la faire coulisser sur mon torse jusqu'à ma ceinture. "Ou plutôt qu'est-ce que tu aimerais que je te fasse…" chuchotais-je contre ses lèvres, mes yeux brulant sur elle, mon souffle qui s'heurtait contre sa peau. Adieu le jacuzzi, au coté de la tenue d'Anya tu parais très fade.

 C'est bien parce que tu risques pas de mourir d'asphyxie dis-je en éclatant de rire, le regard baissé sur lui, la main dans ses cheveux pour les lui caresser. Oui oui, je venais de m'auto vanner sur ma poitrine, mais j'étais la seule à pouvoir le faire (aa)  Parce que j'ai pas envie de savoir comment tu ferais sans moi, parce que ça voudrait dire que tu serais plus avec m...  sauf qu'il me coupait. Me disait qu'il serait malheureux, triste sans moi.  T'aurais pas connu tout ça, ça t'aurais pas manqué ...  mais il continuait.  Tu crois que je m'aurais laissé avoir avec l'usure ? Ton usure elle a pas marché pendant 3 ans dis-je en riant.  Je fonctionne pas comme ça, j'en ai que faire de l'usure, si tu m'avais pris la tête autant que tu le penses, on serait pas ici en ce moment et surtout pas dans cette position  je riais, non, je m'étais laissé aller dans ses bras parce que je l'aimais. Parce qu'il m'attirait et il devrait en être heureux. Ce qui voudrait dire qu'importe si un homme pouvait me draguer, tenter l'usure comme il dit, je ne céderais pas. Il me parlait de jacuzzi, je n'avais pas forcément envie d'enlever mon ensemble comme ça, mais c'était son anniversaire et s'il avait envie d'en prendre un, nous allons le faire. Je me levais, lui tendais la main sauf que l'instant d'après, il me tirait contre lui avec une certaine brutalité. Autant que je me retrouvais complètement plaqué contre son torse. Ses lèvres contre les miennes. Je souriais. Je le pressais contre moi. Je perdais totalement haleine jusqu'à ce qu'il me pousse contre la table. Je reprenais mon souffle en le regardant droit dans les yeux. Mon dieu, il me rendait chèvre. Il prenait ma main, la faisait coulisser contre son torse jusqu'à sa ceinture. Je crispais mes doigts contre la lui défaisant en le regardant.  Tout ce que tu veux  soufflais-je automatiquement. Je cherchais ses lèvres à nouveau, je tirais sur son pantalon faisant tomber le boxer également pour lui empoigner ses fesses pour le presser contre moi. Quoi moi aussi ça m'avait pesé toute cette abstinence.