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KOVACHE ₪ JE T’AIME, 3 MOTS 7 LETTRES 15 POINTS AU SCRABBLE.

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Qu’on parle de la grossesse de Dorian Fleur de Fesse, OKKK, narmol qu’il prenne de la brioche en ayant une copine en cloque, il n’a pas d’autres choix que de faire un transfert pour mieux comprendre ce que subit Candice. OK. Mais Dia, était-elle vraiment obligée d’embrayer sur la fille de Cody ? C’était juste immonde berk berk berk caca prout. Machinalement, Cody se boucha les oreilles en y mettant ses mains à plat et cria tel un gosse ; « NA-NA-NA-NA J’ENTENDS RIEN LA LA LA LA LALALALALAAAAAAA. » Bon, vous n’avez pas le son parce que malgré touuuus les progrès de la science, on ne fait pas encore de RP oral, mais là Cody s’était mis à chanter l’opéra de Carmen quoi, ici, à oilpé dans une piscine face à une Eliot parlait d’inceste. Ce à quoi Timon aurait répondu à Pumba en plein Hakuna Matata ; ’bel organe’. Et j’parle de l’organe, des cordes vocales quoi, pas de l’organe situé bien au Sud, genre en Afrique du Sud près de Johannesburg où on jette son frigo par la fenêtre pour le Nouvel An. Normal vous avez dit Normal ? Diamantika et Cody en tenaient quand même une trèèèèès booooonnnneeeee couche. Même si techniquement, pour tenir une couche, il faudrait avoir un caleçon, chose que Cody n’avait pas présentement et on ne demande pas la faute à qui. « Et bien plaqué au niveau de tes bourrelets. » lâcha machinalement Cody en baissant la tête sur son bidon horriblement plaaat. Non mais tu comparais au ventre à Cody … Berk. C’était d’ailleurs pour ça que le médecin préconisait à Cody de faire l’amour trois fois par jour – true story – comme ça, il brûlait des calories et donc de la graisse. Voilà pourquoi il se devait d’entretenir sa vie sexuelle avec Dia. N’est-ce pas Jess qui se plaint qu’on fait trop de rps de cul BLA-BLA-BLA c’est pas moi qui chauffe Niko depuis trois RPs alors que Maggie et Niko peuvent pas coucher ensemble STP. Ouais, c’était mon coup de gueule du soir, bonsoir. Breeeeffffff. Là, Diamantika craqua littéralement son string en parlant d’un esprit maléfique dans la piscine – esprit qui serait une femme, a priori – et qui en voudrait aux fesses de Cody. Ce dernier laissa son plan-cul partir dans son déliiiireeee, jusqu’au moment où elle arrêta de s’agiter dans tous les sens. Alors, éberlué, il la fixa sans trop savoir quoi dire. Finalement, il osa mettre le doigt sur THE problem ; « Dia … T’es sûre que ça va ? J’veux dire … T’as le vagin directement connecté à ton cerveau ou comment ça se passe ? Codynosaure, à force de maltraiter Kovagin, a affecté ton cerveau ? J’suis vraiment vraiment vraiment désoléééééé. » Il prit la tête de Diamantika entre ses mains et apposa un baiser au sommet de son crâne. Puis une deuxième. Puis un troisième. « J’suis sincèrement navré, j’ignorais qu’on pouvait t’assommer via ton Kovagin. » Décidément, entre ça et le fait qu’on ne puisse pas avoir de bébés en nageant dans une piscine, la culture générale de Cody Bleeker augmentait à une vitesse exponentielle ! Tonight is your night dude. « Et pourquoi t’as jeté mes fringues ? T’attends que ça que je montre mes fesses aux caméras ? Je te préviens, je montre mes fesses, toi tu montres tes seins ! » Et joignant le geste à la parole, il glissa ses doigts dans le dos de Dia, tenant fermement l’agrafe de son soutien-gorge. « Si tu retournes pas fouiller la piscine en quête de mon caleçon, j’te préviens, J’VAIS TOUT FAIRE PETER. » Cody le terroriste ! Il n’avait pas capté que Dia avait son caleçon dans sa culotte – en même temps, on peut pas trop dire que c’était la place, m’enfin … – mais il était sûr d’une chose ; il se trouvait effectivement dans la piscine et il fallait que Dia y mette un peu plus de sérieux, OH.
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Monsieur se boucha les oreilles pour s'empêcher d'entendre la stricte vérité de sa question un peu loufoque. Si on tenait son raisonnement, je crois qu'il y aurait eu plus de naissances par jour. Nah vous imaginez-vous des spermatozoïdes capables de vivre à l'air libre comme nous ?. Ce serait la catastrophe on tombera facilement enceinte et donc ouai, c'était carrément impossible, même ceux de Cody ne faisaient pas exceptions. Je parle de supergirl et de mon costume assez sexy et monsieur ne peut s'empêcher de rétorquer... « Et bien plaqué au niveau de tes bourrelets. » N'importe quoi, j'avais un corps parfait et un jour il verra que je suis parfaite, que j'ai un corps de rêve, sexy et bien foutu de partout. Le jour où l'on matera mon corps sous ses yeux, c'est ce jour-là qu'il s'en rendra compte. BORA BORA J'ARRIVEEEEE. Cody Bleeker était jaloux de mon corps en fait, il ne pourra jamais avoir de parfaits seins et fesses comme les miennes. Mdrrrr Jess arrête de te plaindreeeuhhh, c'est normal pour un couple de copuler, puis Dia et Cody ne se voient pas H24 comme Maggie et Niko, donc faut bien qu'ils se rattrapent nondidiouuu. Je savais que le lowell allait me prendre pour une cinglé, d'ailleurs, il jugea bon de me faire revenir à la raison en déposant plusieurs baisers sur le haut de mon front. « Dia ... T'es sûre que ça va ? J'veux dire ... T'as le vagin directement connecté à ton cerveau ou comment ça se passe ? Codynosaure, à force de maltraiter Kovagin, a affecté ton cerveau ? J'suis vraiment vraiment vraiment désoléééééé. J’suis sincèrement navré, j’ignorais qu’on pouvait t’assommer via ton Kovagin. » J'éclate de rire en me demandant qui de nous deux était le plus cinglé et nul doute que c'était lui. Nous formons la paire d'après Marie et je suis bien d'accord avec elle parce qu'il n'y avait pas un pour rattraper l'autre. « Arrête Bleeker tu m'fais flipper là. » Dis-je en faisant semblant d'avoir peur face à ses propos tenus. La vérité, c'est que si quelqu'un avait tout entendu, il nous aurait évité tout au long de sa vie, même qu'il aurait peut-être changé d'école où même qu'il nous aurait fuit comme la peste, ce que je comprendrais vu que Dia et Cody sont des cas à part, des spécimens rares, ils se complétaient et c'est bien pour cela qu'ils étaient faits pour se rencontrer. « Et pourquoi t'as jeté mes fringues ? T'attends que ça que je montre mes fesses aux caméras ? Je te préviens, je montre mes fesses, toi tu montres tes seins ! » Dit-il en posant ses doigts sur l'agrafe de mon soutien, prêt à dégrafer si je ne lui rendais pas son caleçon. « Si tu retournes pas fouiller la piscine en quête de mon caleçon, j'te préviens, J'VAIS TOUT FAIRE PETER. » J'écarquillais les yeux en le sachant parfaitement capable de le faire, nudiste et pervers qu'il est. « Et si tu montres mes boobs à la caméra, tu prends le risque que pleins de mecs s'extasient devant ce spectacle. Toi qui es si jaloux des lucioles. Ils voudront tous tâter ma poitrine après ça. » Lançant ces quelques mots dans le simple but de le provoquer. Mais soit, mes mains se hissent jusqu'aux siennes encore posées sur l'agrafe. « Ferme les yeux, je vais faire un tour de magie !. » Sourire malicieux aux lèvres, je fais glisser les mains du lowell jusque dans ma culotte pour récupérer son caleçon. Une fois fait, je remonte ses mains à la surface accompagné de son vêtement. « Et voilàààààà, plus besoin d'aller le chercher au fond de l'eau, c'est lui qui est venu à toi...De part ma culotte...Enfin, un bug de magie. » Et je presse mes lèvres contre les siennes pour un doux smack, puis deux, puis trois, puis quatre, puis cinq et puis un tout longggggg. J'appuie mes paumes contre le bord et m'élance pour sortir. Tirant rapidement sur les deux côtés de ma culotte arrière pour bien l'arranger afin qu'il ne fasse pas un genre de string vous m'voyez, je passe mes cheveux d'un côté et les pressent machinalement. « Je crois qu'il est temps pour la princesse de rentrer, à moins que tu m'invites à dormir dans ton lit douillet, même si je serais plus à l'aise dans tes bras où que tu dormes dans le mien à l'appartement. » Je doute qu'il m'invitera parce que monsieur ne voulait pas que je côtoie sa maison et entrer à la lowell house sans vêtements nous grilleront sur-le-champ, bien que je m'en fiche, mais monsieur est marié quoi, fuck. Je continue de presser mes cheveux afin de pouvoir les sécher tout en ne sachant pas comment j'allais faire pour marcher en sous-vêtements dans ce froid à l'extérieur. Je vais me choper une grippe affreuse je le sens. Ah mais ouiiii, mon manteau. Il est où mon manteau d'ailleurs ?.
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Qui d’eux deux était le plus cinglé ? Beeeen, Dia, clairement ! Cody ne faisait que se poser des questions de la vie, il était comme un enfant qui n’avait reçu aucune éducation sexuelle. Alors que ce n’était pas le caaaaasssss, parce que madame B. s’était scrupuleusement chargée de la prévention à ce sujet alors qu’il n’avait que six ans. Ne souhaitant pas devenir grand-mère de sitôt, elle l’avait forcé tous les jours de la semaine pendant cinq ans à enfiler des préservatifs sur tous les fruits et légumes contondants de la corbeille. Et donc, c’est comme ça que dix ans plus tard, Jess naquit alors que ni Maggie ni Cody ne l’avait calculé. Ahlalalalalaaaaa, c’est beau l’éducation chez les Bleeker. Ça entre par une oreille et ça sort par l’autre, comme Codynosaure dans Kovagin. Diamantika revint donc sur sa soi-disant beautééééééééé irrévocable que tous les mecs se feraient un plaisir de mater, rappelant à Cody qu’il était bien chanceux de l’avoir rien que pour lui, blablabla. En fait, Dia tenait toujours le même discours, on aurait dit la dame du tramway qui passait ses journées à répéter le nom des stations en Français, Anglais et Breton. Ouais, le tram chez nous parle Breton, c’est trop la classe, ça ressemble à ’eh trezegor gouesnou et van à trabor oh nous’ ben oui j’parle pas Breton non plus donc j’traduis comme j’entends faut pas abuser. Merde pourquoi je raconte tout ça. AAAH OUUIIII, talkons about la booowté de Diamantika. Il haussa les épaules ; « Ils peuvent s’extasier, je m’en fiche. T’es comme la Joconde au Louvre. Ils auront beau se marcher dessus pour te voir de plus près, ils auront beau te matraquer de photos, ils ne pourront jamais te toucher. Alors que le propriétaire du musée, il s’en fout, il peut tripoter la Joconde pépère après la fermeture s’il le souhaite. T’es à moi Kovache. » rappela-t-il avec un sourire narquois, pour la faire redescendre un peu sur terre. ‘fin bon, à la comparer au tableau le plus célèbre de tout l’univers, elle risquait de ne plus se sentir pissée celle-là. En mêmeeeee teeeempppps, me direz-vous, ils étaient dans une piscine heiiiiin, est-ce qu’on sent quand on fait pipi dans une piscine ? Cody se devait de faire l’expérience … PAS MAINTENANT JE DECONNEEEEE. Dia s’exécuta pour un petit tour de magie qui consistait à lui toucher les fesses – Cody aimait beaucoup  la magie – et de sa culotte en sortit son caleçon. « T’as quoi d’autres dans ta culotte ? Laisse-moi fouiller. » Il s’apprêta à y remettre ses mains mais c’est sans compter sur l’Eliot qui préféra quitter la piscine. Fuck. Il fronça les sourcils et enfila son sous-vêtement avant de sortir à son tour, là où Dia lui annonça qu’il était temps de rentrer. Putain. Cody avait perdu toute notion du temps et, si ça s’trouve, ils étaient déjà le matin. « Rentrer chez moi cette nuit, c’est s’exposer à rencontrer ma mère demain matin. Ni toi ni moi n’avons envie que ça arrive. J’préfère tomber sur Dorian. » Traduction ; je rentre avec toi etjetefaislamourunedernierefoisavantquelemarchanddesablenepasse. Elle sembla chercher quelque chose du regard et Cody n’eut pas besoin qu’elle pose la question pour comprendre ce qui la taraudait. Il se pencha et attrapa son jogging et son t-shirt trempés qu’il tendit à Dia ; « Porte ça le temps qu’on aille dans les vestiaires où j’ai mon casier, j’te prêterai quelque chose. » Comme les nageurs ne partageaient pas les mêmes vestiaires que les footballeurs. « Faut qu’on revienne sur nos pas. D’ailleurs ton manteau rempli de mon sang doit être resté à l’infirmerie. C’est sur le chemin. » Il jeta un coup d’œil sur sa main et observa la cicatrice profonde bien ancrée dans sa paume. Il soupira et referma sa main, la douleur venait de surgir à nouveau. Cody se dirigea vers la fenêtre pour sortir et invita Diamantika à passer devant une fois habillée de ces fringues de secours.
Deux minutes plus tard après une petite marche, ils revinrent dans le hall où tout avait commencé. Cody passa rapidement cette étape, ne souhaitant pas se remémorer ce moment où il avait fait couler ses larmes et celles de Kovache. Ils arrivèrent vite aux vestiaires où Cody pouvait donner à Diamantika des vêtements secs (j’avais écrit vêtement sexe :loukas:) et chaud. Il tendit son maillot des Crimson, le numéro 26, ignorant bien évidemment que ce nombre prendrait rapidement une signification particulière. « Enfile ça et mets ce pull par-dessus. » Le maillot était censé contenir un homme d’une carrure assez importante, en plus des diverses protections que Cody devait porter lors des matchs. Du coup, pour une silhouette fine comme Dia, le maillot se transformait en robe.

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Non chuuuuuuuuuuuut, c'est Cody le plus cinglé des deux. Je réfute que ce soit Dia. Elle n'est pas aussi folle et attardée que Bleeker. Never. OH ça va ein, j'ai dit que j'étais belle et parfaiteeee ouaich, mais je n'ai pas eu la prétention de dire que j'étais la plus belle et la plus parfaite de l'univers. Fuck. Quoi qu'il en soit, le lowell ne pouvait pas s'empêcher de me comparer à n'importe quoi et là, ce fut au tour de la Joconde Louvre aka Mona Lisa. « Ils peuvent s'extasier, je m'en fiche. T'es comme la Joconde au Louvre. Ils auront beau se marcher dessus pour te voir de plus près, ils auront beau te matraquer de photos, ils ne pourront jamais te toucher. Alors que le propriétaire du musée, il s'en fout, il peut tripoter la Joconde pépère après la fermeture s'il le souhaite. T'es à moi Kovache. » Tripoter un portrait, il n'y a que Cody pour le faire. C'était weirdddddd. Je me chassais l'idée de la tête d'ailleurs. « Et là, tu m'fais encore plussssshhhh flipper. Puis t'arrêtes de me comparer à tout oui, j'suis Dia point. La Joconde, bah qu'elle reste dans son musée et le droit de propriété appartient à Léonard de Vinci s'teuplait. » PUTAIN tu m'as fait peur, j'ai cru que t'allais vraiment faire pipi dans l'eau beurkkkkkkkkkkkk à l'infini. Je venais de lui faire un tour de magie et comme je m'en doutais, monsieur avait trouvé cela fabuleux, si bien que j'arrivais à deviner ce qu'il pensait et à en juger par sa face, il va craquer ma culotte nondidiouuu. « T'as quoi d'autres dans ta culotte ? Laisse-moi fouiller. » Qu'est-ce que je venais de dire ?. Je lui fais une petite tape sur la main style, NOP PAS TOUCHE BLEEKER. Et je sors rapidement de l'eau. Ehhhh ouiiii, malheureusement il était temps de rentrer et après un moment pareil, je n'avais pas envie de le quitter, mais on ne pouvait pas non plus passer la nuit ici. C'est pour cela que je lui proposais de venir à l'appartement. Dorian aura une très très très grosse surprise au réveil, mais il n'en jugera point. « Rentrer chez moi cette nuit, c'est s'exposer à rencontrer ma mère demain matin. Ni toi ni moi n'avons envie que ça arrive. J'préfère tomber sur Dorian. » Qui a dit que je n'avais pas envie de rencontrer sa mère ?. Rhaaaa je n'étais pas du genre froussarde hein, je pouvais y faire face. Mais soit, je n'en bronchais pas un mot, lui souriant simplement. « Great ! On y va pour Dorika House !. » Eh bah oui, ça ne pouvait pas être Coka house puisqu'ils n'habitaient pas ensemble. Donc ouai, Dorika House aka Dodo et Dia house. « Porte ça le temps qu'on aille dans les vestiaires où j'ai mon casier, j'te prêterai quelque chose. » Je m'exécute rapidement en enfilant son jogging et son tee-shirt. « Faut qu'on revienne sur nos pas. D'ailleurs ton manteau rempli de mon sang doit être resté à l'infirmerie. C'est sur le chemin. » Je remarquais le lowell qui fixait sa paume. Est-ce qu'il avait mal ? Est-ce que la douleur avait réapparu ?. Je m'approchais de lui en lui tenant la main. « T'as mal ?....Je m'excuse... » Parce que c'était de ma faute s'il avait cassé cette porte. Si je ne lui avais pas avoué ces trois mots magiques, rien de tout ça ne se serait produit. Et d'une part je m'en voulais, mais je ne le regrettais pas, parce que j'ai pu entendre moi aussi ces mots de sa bouche et à deux reprises s'il vous plait. Il m'invita à sortir et dieu qu'il faisait frisquet dehors. Rapidement, nous nous sommes rendus à l'infirmerie où je récupérais mon manteau que je posais sur l'épaule de Cody, car il n'avait rien le pauvre. Deux minutes plutard, nous sommes arrivés dans le hall où la porte en vitre était totalement bousillée. Les verres logeaient encore le sol. Je plongeais rapidement mes pieds dans mes chaussures, seuls objets que Cody avait épargné. Passant enfin la porte empruntant le chemin des vestiaires et une fois à destination, il me tendit son maillot des Crimson. Alors comme cela, il portait le numéro 26 ?. Je me déshabille rapidement afin d'enfiler le maillot et d'attraper le pull. « Thanksss. » Dis-je avant de grimper sur le banc et de tourner sur moi-même. « Le numéro 26 gravira les marches de la victoire et un jour, il sera au sommet !. » Fis-je en fixant le ciel à travers le plafond à l'aide de mon index. Comme pour montrer qu'un jour il sera number one aussi populaire que Michael Schumacher. « Go go Crimson ! Go go Bleeker !. » J'éclate de rire avant de marcher le long du banc jusqu'à lui. Je me penche comme si je me laissais tomber, mais en fait non, je m'appuyais simplement sur ses épaules afin de plaquer mon front au sien. « Attention ! Je viendrai t'encourager à chaque match, alors t'as intérêt à mettre le paquet. Numéro 26, Futur champion !. » Je conclus par un petit smack avant de descendre et d'enfiler le pull. Je remonte la capuche sur ma tête, laissant quelques mèches de cheveux sur mon visage et je plaque un des cordons de serrage entre mes dents. « On y va ?. » J'attendais qu'il se change également parce que sait-on jamais s'il avait des rechanges ici et j'attrapais mes chaussures d'une main libre.
electric bird.
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Diamantika était la seule meuf au monde à se plaindre d’avoir un mec qui utilise des comparaisons et autre envolée lyrique pour la complimenter. C’est bon quoi, il pourrait se contenter de lui dire qu’elle est belle, géniale, le meilleur plan-cul du monde sinoooon, il économiserait de la salive et des méninges. Enfin non, il ne le ferait jamais ; un Cody pas poète n’est pas un Cody Bleeker, n’est pas LE Cody Bleeker qu’on espère lire dans ces RPs, quoi. « Tu veux que j’arrête de te comparer à tout ? OK … Adieu déclarations enflammées alors. Au moins, tu arrêteras peut-être de chialer. J'me lancerais des fleurs devant mon miroir, c'est pas grave. Par contre, j'risque de m'auto-exciter tu vois, donc je ne pense pas que tu me seras longtemps utile à ce niveau-là. » Mais retenons simplement qu'elle allait arrêter de pleurer, bien sûr. Faut voir la vie du bon côté, faut voir la vie côté Coka-Cola j’ai envie de dire. Ils choisirent donc d’aller à la Dorika Houuuuseeee et au moment de partir, Cody se reprit la douleur à sa main en pleine figure. Ça le brûlait. Pourtant, il ne l’avait pas senti de toute la soirée, mais il faut dire que l’adrénaline de l’instant y était pour beaucoup. Là, des milliers de picots gravaient l’échancrure de la cicatrice, comme l’aiguille d’une machine à coudre s’abat impunément sur son vulgaire bout de tissu. « C’est moi. » répondit-il froidement en rangeant sa main à plat contre son ventre avant de prendre le chemin de l’infirmerie. Pas la peine d’épiloguer. Il avait mal parce qu’il avait frappé une porte et ça, Dia n’y pouvait rien. Il ne savait pas gérer ses émotions et puis c’est touuuuuuuuuuut. Manteau récupéré, bien vite jeté sur les épaules de Cody pour le protéger contre le froid. Par la suite, direction vestiaires où Cody confia à sa belle son maillot et un pull. Ce n’était pas bien chaud, mais ça suffira pour marcher jusqu’à chez elle. A quatre heures du matin, il ne fallait pas espérer chopper un bus ou un métro de toute façon. Une fois habillé, elle délira sur le banc et Cody ria de bon cœur en se tapotant le ventre pour calmer son éclat, les yeux brillants et scintillants, empli d’admiration pour cette femme qu’il aimait. Ouais, il l’aimait. Cette nana qui rit, qui pleure, qui s’en fout de ressembler à un sac tant qu’elle porte les fringues de son homme, qui a les cheveux décoiffés, détrempés, les joues rougies par le froid, la fatigue et l’effort, cette nana qui s’est tendu de tout son être quand ils faisaient l’amour et qui, à présent, se détendait en criant victoire pour Cody. A Diamantika, son seul défaut était sa carapace. Elle s’armait d’un bouclier de verre, se défendait au travers d’une armure de cristal, pour paraître comme une bonne vieille garce comme on en produit des dizaines et des dizaines à l’Eliot House. Sauf qu’en réalité, elle était tout sauf ça. Elle l’enivrait de son naturel, de sa spontanéité, et dire qu’il aurait pu passer à côté de ça … Putain. Elle défilait et le maillot virevoltait et dansait autour de ses fesses au fil de ses pas. Puis, elle revint vers Cody et se laissa presque tomber sur lui, s’appuyait sur ses épaules et plaquant son front au sien. Il leva le nez, donna un petit coup dans le vide pour l’embêter avant de lui glisser, le souffle coupé par son cœur qui tambourinait contre sa poitrine ; « Le Numéro 26 n’arrêtera pas de se battre tant qu’il n’aura pas touché du bout des doigts la victoire ! » Et à ce moment précis, ses mains tremblotantes remontèrent le long de ses cuisses, propageant chaleur et effervescence contre sa peau aussi glaciale qu’un hiver en Finlande, se promenait avec une certaine pudeur jusqu’à ses fesses. Dia finit par descendre du banc pour enfiler le pull qu’il lui tendait. « Ouais, deux secondes, j’vais pas me balader en caleçon dans tout Cambridge. » Il fouilla son casier en bordel, rempli de fringues. Il ajouta, juste en guise de précision ; « … Même si je l’ai déjà fait. » Il en extirpa finalement un pull, taillé exactement comme celui de Dia et un short assez large. Pas franchement chaud, mais il trouverait difficilement mieux ce soir. Le tout enfilé, la capuche sur la tête, il se rapprocha de Diamantika et tira les cordons de son pull pour guider son visage vers le sien. Ils étaient maintenant camouflés par leurs deux capuches qui s’embrassaient, tout comme Cody qui pressa ses lèvres sur celles de la jeune femme pour une tendre caresse. Il se sentait chez lui, là, à l’abri des regards – même s’il n’y avait personneeee à part eux dans le gymnase, qu’on se le dise – dans cette prison de tissu où l’air qu’il inspirait était l’air qu’elle expirait. « Je t’aime beaucoup. » Bizarrement, ça sortit plus facilement quand le ’beaucoup’ suivait ces trois mots. « Beaucoup. Beaucoup. » renchérit-il en deux expirations. Il emmêla les cordons entre ses doigts et nouveau, s’éprit des lèvres de Diamantika avec une fougue incontrôlable qui le poussa à plaquer sa Kovache contre les casiers dans un gros fracas métallique. Il serrait les fils en même temps que sa bouche se fit plus pressante, plus intense, les secondes défilaient et il ne décolérait pas. Elle le rendait fou, fou, fou. Il se droguait à elle, il ne buvait qu’elle. Adieu Vodka ; bonjour Diamantika. Ses dents mordillèrent sa lèvre supérieure avant qu’il ne se décide enfin ; « Cette fois, on y va. » Sinon, ça tournerait en remake de Coka dans la piscine et Jess râlerait de nouveau.

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« Tu veux que j'arrête de te comparer à tout ? OK ... Adieu déclarations enflammées alors. Au moins, tu arrêteras peut-être de chialer. J'me lancerais des fleurs devant mon miroir, c'est pas grave. Par contre, j'risque de m'auto-exciter tu vois, donc je ne pense pas que tu me seras longtemps utile à ce niveau-là. » Du Bleeker tout craché quoi. Si Cody ne fait pas de compliments, Cody balance des horreurs. Du coup, je préfère qu'il me compare à la Joconde plutôt qu'il insinue que je lui sers que d'un plan cul pour le satisfaire et puis basta on en parle plus. D'ailleurs, rien qu'à cette pensée, je grimaçais. « Finalement, je préfère être comparé à la Joconde plutôt qu'être comparé à un simple plan cul. » Et encore une fois je grimace. Sayez, je vais avoir un nouveau tic dorénavant, à chaque fois qu'il me comparera à un plan cul, je vais grimacer, ça sera comme une démangeaison, comme quand t'entends la craie grincer sur le tableau brrrrrrr. Mais bon, il y a bien une chose qu'il ne pouvait plus nier, ni faire marche arrière. Il m'avait dit qu'il m'aimait à deux reprises et ça, il ne pouvait plus le nier. Il pouvait le faire devant le monde entier s'il le voulait, mais entre lui, moi et le ciel qui a tout entendu, il ne pouvait plus le faire. Et cette pensée là, me redonnait le sourire. « C'est moi. » Dit-il en voulant cacher son mal, mais on me le fait pas à moi, je savais très bien qu'il avait mal, son visage le trahissait. Cependant, je n'insistais pas, car une fois qu'on sera dans ma chambre, je tenterais d'apaiser sa douleur. Et après avoir enfilé son maillot montant ensuite sur le banc pour l'encourager et lui montrer que je serais là, derrière lui à chaque match qu'il jouera afin qu'un jour, il parvienne au sommet, là où était sa place. Je tâcherais de ne jamais manquer aucun de ses matchs, toujours être dans les gradins pour jouer à la pom pom girl discrète, même si je sais que j'aurais été pas mal dans ce rôle ein. Dia en tenue de cheerleaders c'est un régal pour les yeux vous ne trouvez pas ?. Front contre front, il me donna un petit coup de nez, ce qui me fit rire. « Le Numéro 26 n'arrêtera pas de se battre tant qu'il n'aura pas touché du bout des doigts la victoire ! » Je secoue positivement de la tête avant de descendre et d'enfiler son pull donc. Je tapotte d'un petit coup, ses épaules avant de rétorquer. « Bien dit Bleeker ! Et t'y arriveras. » Sûre et certaine même. Je serais sa plus grande fan en passant. Puis lorsqu'il me verra dans les gradins, il n'aura nul autre choix que d'y mettre le paquet pour m'impressionner, même s'il m'impressionnait déjà sans faire quoi que ce soit en fait. Ouai, c'est ça, Cody n'avait pas besoin de faire gros efforts pour avoir tout ce qu'il désire de moi, tant je suis faible face à lui, tant je l'aime et je suis prête à tout pour n'être qu'avec lui, tant je brûle d'un amour sans limite et démesuré, tant il n'y avait pas vraiment de mots pour décrire ce que je ressentais pour lui. Cela allait même au-delà de tout ce que j'aurais pu imaginer. Comment ? Comment peut-on aimer quelqu'un de cette façon, pire que la folie. Il était celui qui me donnait bonheur, mais aussi celui qui pouvait le reprendre et ça, j'espère que ça n'arrivera jamais, car je ne pouvais plus me voir sans lui. Impossible. S'il me laisse, ce sera comme si mon cœur venait de rendre l'âme, car justement, il en était les battements, ceux qui me permettaient de vivre. Bleeker l'homme de ma vie, le numéro 26 et champion de mon cœur. Et alors que j'étais en train de mâchouiller le cordon entre mes dents, il balança comme ça tout peinard. « Ouais, deux secondes, j'vais pas me balader en caleçon dans tout Cambridge. ... Même si je l'ai déjà fait. » Le cordon glisse de mes lèvres assez surprise. Il s'était promené en caleçon dans tout Cambridge ? Reallyyyyyyyy ?. Je n'eus le temps de répondre quoi que ce soit qu'il attrapa les deux cordons de son pull que j'habillais afin de m'attirer à lui si soudainement et d'y presser fougueusement ses lèvres. Il y mettait une force et une fougue incroyable, me coupant même le souffle. « Je t'aime beaucoup. Beaucoup. Beaucoup. » Et une troisième fois. Ouaich j'allais finir par compter le nombre de fois qu'il me dira je t'aime tellement ça me rendait heureuse et toute chose. Encore plus, lorsque je sentis mon dos s'écraser contre les casiers. Je n'avais eu d'autres choix que de poser mes mains sur ses hanches et de serrer son pull qu'il venait d'enfiler, de toutes mes forces. Prolongeant son baiser avec la même force, même si je restais quand même sur le cul qu'il s'y prenne avec autant de fougue. Mon cœur palpitait à une vitesse surhumaine. Un long frisson me parcourra tout l'échine. Waw. waw, wawwww. Il alla même jusqu'à me mordre la lèvre supérieure alors que d'habitude, c'était moi qui le faisais. Mon dieu, est-ce que cela veut dire qu'il m'aimait autant que je l'aimais ? Est-ce qu'il était fou de moi, comme j'étais folle de lui ?. Ummmm, ce baiser me le prouvait bien. De nombreuses sensations enflammaient mon corps en cet instant. Entraîné sur un terrain inconnu et attirant, comme les hautes montagnes de l'Himalaya. Cependant, il y mit fin trop rapidement. Mes lèvres étaient toutes tendues encore. « Cette fois, on y va. » A ces mots, j'ouvre doucement les yeux et caresse mes lèvres à l'aide de quelques doigts. « Wow.... » N'avais-je pu m'empêcher de sortir. Faut comprendre mon état aussi ein. J'en tremblais encore. Ce n'est pas bonnnn, pas bon du tout, on vient à peine de faire l'amour et s'il avait continué, je n'aurais pas pu empêcher un second round. Je le rejoins rapidement en passant sous son bras et entourant ses hanches de mes bras. C'est ainsi que nous sommes sorties du complexe sportif, direction le parking où j'avais garé ma voiture. Bah oui, je n'étais pas venu à pied étant donné que j'étais à l'appartement. Bon, j'avais laissé la clé sur le contacte parce que de toute façon, y avait rien de spécial à part mon tel et les doubles de clés Dorika house. Je montais dans la voiture et hop direction chez Dodo et Dia. Une fois à destination, je monte à l'étage en guidant Cody. A cette heure, Dorian devait être en train de ronfler et ma mère, retournée à son appartement. J'ouvre la porte d'entrée, la referme et attire rapidement le lowell dans ma chambre. Demain, je lui ferais la visite de l'appartement, pas le temps maintenant. Je ferme ma porte de ma chambre à clé sait-on jamais et dépose mes affaires sur mon bureau avant d'aller chercher la fameuse pommade anti-douleurs. Je m'assois à ses côtés et lui prend la main commençant à appliquer doucement, un peu de crème sur sa blessure. « C'est magique ce truc, d'ici quelques minutes, tu ne sentiras plus rien. » Ça ne va pas cicatriser sa blessure sur-le-champ, mais ça va au moins l'apaiser. Tout était impeccable dans mon petit nid, bien rangé, bien parfumé, même si mon odeur flottait dans les airs.
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Bien sûr qu’il était fou d’elle, ça s’voyait comme le nez de Cody Bleeker au milieu de sa figure. Et vous avez vu son nez ? C’est le mammouth laineux de toute la naseausphère. Et en fait, être fou d’elle l’effrayait à un poooooint. Vous voyez, Dia, elle avait le vertige et elle flippait que la poupée Chuckie vienne un jour l’égorger dans son sommeil. Cody, il flippait de devenir tellement dépendant de Dia qu’il ne pourrait juste plus se passer d’elle. Et c’est ce qui était en train de se produire. Quand Cody n’était pas avec Dia, tout le corps de Cody l’appelait. Son cœur battait à tout rompre, sa peau entrait dans une effervescence telle que seule la chaleur de Kovache pouvait la calmer et chaque pensée se dirigeait irrévocablement vers elle. Et vous savez, le plus inquiétant ? C’est qu’il en oubliait le goût de la bière. Cody Bleeker ne touchait plus à l’alcool en dehors des soirées. Pour se détendre ou quand il rentrait des cours, il n’y avait plus qu’un seul recours pour le désactiver totalement de la réalité et ce recours s’appelait Diamantika Kovalevski. Il était complètement accro à elle et il n’aimait pas ça, il n’aimait pas la sensation qui lui brûlait l’échine, qui était la raison de sa cicatrice au creux de sa main ; si Diamantika était sa plus grande force, elle était aussi sa plus grande faiblesse. Celle pour qui il remuerait ciel et terre. Celle qui le perdrait. C’est pour ça qu’il la détestait au moins autant qu’il l’aimait. Pour ça qu’il voulait lui faire mal autant qu’il lui faisait du bien. Et vous savez comment on appelle ça ? La passion. Et la torture n’est qu’une déclinaison de la passion. Une dérive sur laquelle le bateau Bleeker voguait en pleine tempête. Il l’embrassa de tout son être avant qu’ils ne partent en direction de la voiture de Dia. Il passa son bras autour de ses épaules et l’attira contre lui au cours de cette petite marche. Quelques minutes plus tard, on retrouva les deux tourtereaux assis sur le lit de la jeune femme, elle en train d’étaler une crème apaisante sur la main de Cody. Il garda sa main posée sur sa cuisse, ouverte vers le ciel, attendant que sa crème magique fasse effet. « Tu t’es chiée dessus, ça pique encore plus, ça me fait mal, c’est comme si t’avais versé un bidon d’alcool dessus. Putaaaaiiiin, on verse pas de l’alcool sur une plaie en feu, ça va paaaaas ! » Il aurait pu dire merci mais … non. Il agita sa main dans le vide pour atténuer la douleur. Finalement, il décida de ne plus y penser. En face de lui, il vit cette somptueuse robe blanche qui pendait au mur, on aurait dit un bon gros dessert à la meringue comme sa maman en fait à chaque repas de famille. « C’est ça que tu porteras le jour J. ? » Il arqua un sourcill et ajouta ; « J’suis sûr qu’elle vaut plus que ce que je gagne en dix ans avec mon job. Ta robe qui te servira qu’une seule journée pourrait payer toute la scolarité de ma vie. Tu le réalises, ça ? ça me dégoûte les gens riches. » grommela-t-il en imitant un pistolet qu’il braqua sur sa robe de mariée. Ouais, finalement, peut-être qu’il appréhendait ce mariage plus qu’il ne l’avait laissé paraître jusqu’à maintenant. Et s’il perdait Diamantika en même temps qu’elle donnait sa main à un autre que lui ? « De toute façon, tu vas me présenter à ton père. Je réglerai ça. » Si l’on en croit les termes de leur pari, puisqu’il était tombé amoureux d’elle, alors il devait jouer ce rôle pour Dia. Tout comme elle devait l’emmener à Bora Bora.

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Because i love you so much
Coka for the life
Le baiser que je venais d'encaisser quelques minutes plus tôt dans les vestiaires m'avait retourné le cerveau. Un baiser différent. Plus passionné et fougueux. Plus envoûtant. M'emportant dans un tourbillon de nouvelles saveurs, je me suis sentie transporter. Nos langues s'étaient croisées dans une danse inconnue. Dans un même geste tout aussi méconnu. Ouai, même encore assit sur mon lit, mon cerveau n'arrivait pas à oublier ce baiser. Ce baiser qui illustrait tellement les réponses que j'attendais. Même en pommadant sa paume, je gardais mes yeux rivés sur ses lèvres, car ils me rappellent l'épisode précédente et je ne peux m'empêcher de me mordiller la lèvre inférieure. « Tu t'es chiée dessus, ça pique encore plus, ça me fait mal, c'est comme si t'avais versé un bidon d'alcool dessus. Putaaaaiiiin, on verse pas de l'alcool sur une plaie en feu, ça va paaaaas ! » Les cris du lowell me ramenèrent soudainement sur terre ferme, j'arrêtais de lui passer la pommade en laissant un long soupir m'échapper. « Mais de rien. » En lui faisant sous-entendre qu'il aurait pu être plus aimable avec un merci vous voyez. Dia faisait l'infirmière depuis l'instant où il avait cassé cette porte, elle faisait l'effort de le soigner parce qu'elle ne s'y connaissait pas du tout. Elle n'avait jamais soigné quelqu'un, elle n'avait jamais fait ça, mais pour celui qu'elle aime, elle avait décidé de tenter le tout pour le tout et si elle se trompait, elle comptait sur lui pour lui montrer la bonne voix, pas lui crier dessus alors qu'elle savait qu'elle n'avait aucune expérience. Je grognais discrètement en poussant la capuche de ma tête pour le laisser tomber dans mon dos et retirer finalement le pull. Je posais mes deux mains sur les pans du maillot dans le but de le retirer, mais en fait non... Je vais le garder jusqu'à demain. Du coup, je relâche en changeant simplement de culotte et retirant mon soutif, terminant pas me rasseoir à ses côtés et regarder mon bien-aimé fixer ma robe. MA ROBE ! Owwww, je l'avais complètement oublié celle-là. « C'est ça que tu porteras le jour J. ? » Fixant la robe, le regard plus blasé. « Si le mariage a lieu, yep, c'est ce que je porterais. » Ma mère voulait un mariage de princesse, donc, elle voulait également que je porte cette robe d'une valeur à ses yeux. Robe qu'elle avait habillé le jour de son mariage. Oui oui, ma mère voulait aussi me voir dans sa robe de mariage, elle disait qu'elle m'irait à merveille et que je la porterais mieux qu'elle, sur de plus belles forment. « J'suis sûr qu'elle vaut plus que ce que je gagne en dix ans avec mon job. Ta robe qui te servira qu'une seule journée pourrait payer toute la scolarité de ma vie. Tu le réalises, ça ? ça me dégoûte les gens riches. » Je soupire une nouvelle fois. Ça ne me plaisait pas tellement qu'il mette tous les gens riches dans le même sac, surtout que mes parents ne sont pas comme il le pense. On est aisé c'est vrai, mais cela ne nous empêche pas de faire des dons aussi. Mais il avait sa propre opinion et je respectais du moment qu'il ne dépasse pas les limites dans ses propos. « Je ne sais pas combien elle coûtait à l'époque étant donné que cette robe appartient à ma mère, elle l'a portée le jour de son mariage et elle aimerait bien me voir la mettre le jour du mien. Elle dit qu'elle m'irait mieux. Puis, je n'ai pas pu résister à ses yeux de chien battu. » Telle mère, telle fille. Faut dire qu'à force de la voir faire ses yeux là, j'avais fini par savoir le faire aussi. « De toute façon, tu vas me présenter à ton père. Je réglerai ça. » Et là, je me suis mise à en rire en posant une main sur mes lèvres. Je me redresse et me dirige vers le haut du lit où je commence à pousser les draps. « Ouai, t'as promis de foirer ce mariage, mon destin est entre tes mains Bleeker !. » Même si j'avais prévu un plan B. Celui de refuser de prendre Cynnan pour époux lorsque le prêtre me le demandera. Comme ça, ce sera devant tout le monde et mes parents ne pourront plus me forcer, parce que tout le monde saura que je ne veux pas l'épouser idem pour les parents de Cynn. Je m'installe sous le drap en tapotant une place à mes côtés. « Allez viens-là. C'est l'heure de dormir où sinon, nous allons être témoin du lever de soleil. » Je remonte le drap sur moi en me tournant sur le côté, face à Cody. D'ailleurs, quand ce dernier s'installa, je m'approchais rapidement de lui afin de poser ma tête sur son épaule, une main sur son torse et une jambe entre les siennes. Je fermais les paupières alors qu'elles commençaient à devenir lourdes. Et avant de trouver le sommeil quelques minutes plutard, j'eus le temps de murmurer quelque chose. « A quel point m'aimes-tu Codybab... » Sayez, je n'eusse le temps de finir ma phrase que Morphée me Kidnappa pour un très long sommeil dans les bras de l'homme que j'aime, même qu'un sourire logeait à présent, mes lèvres.
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Coooowdy toujours aussi sympathique, fidèle à sa réputation de sosie de Grincheux, le nain de Blanche-Neige. En même temps, elle ne fit que stimuler la douleur qui le brûlait au cœur de sa main. Il se changea rapidement les idées en fixant l’espèce de choucroute géante qui pendait au mur et que Diamantika devrait porter le jour J. Rien que penser aux lèvres de ce Six-Ânes sur les lèvres de sa Dia, il en avait des nausées de femme enceinte. Mais il se retenait. Diamantika avait un beau tapis qui jonchait le sol de sa chambre donc il voulait éviter de le peinturlurer de vomi vert. Vomi Mather en plus, le comble pour une Eliot. « Elle est moche. » déclara donc Cody après que son charmant et adorable plan cul (ça passe mieux comme ça ?) ait confirmé qu’il s’agissait bien de son accoutrement pour le mariage. En réalité, il ne doutait pas que Dia soit très jolie là-dedans. Il y avait même une espèce de corset donc, avec un peu de chance, elle donnerait l’impression de grosse poitrine. Mais voilà, ça ne serait jamais plus qu’une illusion, tout comme ce mariage était une façade pour masquer le prolongement du narcissisme de son père qui voulait faire de sa fille ce qu’il voulait qu’elle soit. Un point c’est tout. « J’le ferai foirer. Ça fait trois semaines que je m’entraîne devant mon miroir à crier je m’y oppooooooseeeee. Je tiens le bon bout. J’t’aurais bien fait une démonstration mais je ne me suis pas échauffé la voix ni étiré les cordes vocales. SOOOOO, c’est pas trop conseiller, je risque de me faire une luxation de la voix. » Le sportif en effoooooort. Diamantika trouva le chemin de ses draps, tout juste vêtue de son maillot et sûrement de ses sous-vêtements. Cody n’était bizarrement pas resté mater en fait. Mais il aimait beaucoup l’idée qu’elle porte ses vêtements. Rien que d’y penser, une vague de frisson titilla son échine, ses cheveux se dressèrent au sommet de son crâne et sa mine de grincheux s’adoucit. Elle l’invita à le rejoindre, ce qu’il fit une fois qu’il retira tous ses fringues. Et ouuuuais, à poil le mec. Il était un nudiste du lit, et puiiis il a toujours rêvé de se faire caresser les fesses avec de la soie donc c’était l’occasion d’essayer. Quitte à avoir une petite copine chiante – et riche – autant que ça serve. Il la rejoignit donc sous ses draps où elle vint se coller à lui telle une sangsue. Il serra contre lui Diamantika, agrippant la maille synthétique de son maillot qu’il tritura tout le reste de la nuit. Il plaqua ses lèvres contre son front et ferma les yeux, bercé par la respiration et tous les petits bruits s’échappant de la bouche de Dia.


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TO. BE. CONTINUED. :happy:
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HEREEEEEEEEEEEEEEEEEEE
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