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KOVACHE ₪ JE T’AIME, 3 MOTS 7 LETTRES 15 POINTS AU SCRABBLE.

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Euuuuh ouaiiiis, la gueule du stripteaaaase ! Cody qui se débattait avec son jogging qui lui faisait comme une seconde peau, mmmh … Il n’y avait vraiment que Dia pour trouver ça sexy, franchement. Le bon côté des choses, c’est que la concurrence pour pécho Cody était quasi inexistante. Sur le marché du Codybleeker, Diamantika détenait un quasi-monopole. Bon, ce n’est pas pour autant qu’elle pouvait relâcher ses efforts, prendre dix kilos, ne pas se faire refaire les seins pour l’anniversaire de Cody (le 9 mars STP, un jour avant l’annif de Dia STP2), ni qu’elle devait zapper le tatouage de son prénom sur son bas-ventre. Et ouuuui, monsieur avait des exigenceeeees et Dia n’avait pas trop intérêt à en avoir parce que m’sieur Cody se passerait sans problème d’elle et pouvait très bien se satisfaire de sa main gauche. Il a très bien vécu avec sa vie sexuelle proche du néant depuis Joan, après tout. Alors qu’elle, on savait tous très bien que si on la privait de Codynosaure, ce serait la fin du monde, apocalypse nooooowwww, la terre à deux et à sang. La preuve, elle demandait à ce que Cody joue à l’apprenti nudiste dans la piscine. Il arqua un sourcil. « Non merci, je le retirerai toute à l’heure quand je te ferai l’amour. T’inquiète pas va, je ne t’oublie pas. » Il venait de spoiler le dénouement de ce rp, mais pas ce qu’il comptait lui faire incessamment sous peu. En effet, à peine une minute plus tard, il tenait fermement Dia la patate à vingt mètres au-dessus de la piscine. Et autant vous dire qu’il la sentait fébrile. Pourtant, avec un niveau de compassion zéro, Cody étouffa un rire sadique ; « Gnihihihihihihihi. » Ouais, s’pour changer du ’mouahahahahah’ que tout le monde connaît. Lucifer a plusieurs rires sadiques et Cody désirait les faire connaître du grand public en les utilisant tous. Kovache avait beau le frapper, il ne sentait strictement rien, protégé par sa carapace de graisse et de gras. Et ouuui, Cody était une belle pièce de jambon hein, bien en chair et enrobé d’un bon gros morceau de couenne. Miam miam. « NON ! TU T’EXCUSES. » s’écria-t-il pour recouvrir sa voix criarde. Aaaah, elle faisait mal aux oreilles. Par contre, ce fut moins drôle quand elle commença à avoir des haut-le-cœur. Là, ce fut la panique à bord mon capitaine, souquez les artémuzes. « Je viens de prendre ma douche, PUTAAAAAAAIN. » Et il ne souhaitait pas spécialement goûter le Diamantishampoing parfum vanille moisie des îles, surtout qu’il craignait qu’il y ait des grumeaux de restes de son repas et cette hypothèse ne l’alléchait guère. Contrairement à Dia qui serait contrainte de lécher ses cheveux avec sa langue si jamais elle venait à dégobiller dessus. Bon appétit si vous êtes à tableeee ! « Ah non, tu ne vomis pas sur moi ! » s’écria-t-il en tentant de reculer pour retourner au niveau de l’escalier mais … AHAHA. La plante de ses pieds étaient humide et la planche naturellement glissante. Il lui suffit donc de faire un faux pas pour tomber sur le plongeoir, en mode ’àààà dada sur mon plongeoirrrrr’. Sauf qu’à l’entrejambe de Cody, et bien, il y avait sa troisième jambe. « Je suis une femmeeeeeeeeeee. » gémit-il avant de s’allonger sur la planche. Ouais, bon, j’avoue. Même si ça faisait un peu mal, monsieur jouait la comédie. Décidément, la vie de Codynosaure n’était pas facile depuis qu’il fréquentait Dia. D’ailleurs, elle était passée où, Dia ? Ah oui, elle pendait dans le vide comme Bleeker avait été contraint de la lâcher pendant sa castration. « Tu t’excuses toujouuuuurs pas ? » demanda-t-il en se retenant de rire. Mon dieuuu, ils étaient ridicules tous les deux ! Mais bon, c’est Cody et Diamantika, c’est Coka quoi.
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« Non merci, je le retirerai toute à l’heure quand je te ferai l’amour. T’inquiète pas va, je ne t’oublie pas. » Cody ou comment spoiler son cerveau. Intéressant tout ça, vraiment très intéressant. Je savais bien qu'il ne pouvait pas se passer de Kovagin, c'était plus fort que Codynosaure à défaut de dire, lui. Je l'offre un beau sourire en guise de réponse. Oh moi, je ne voulais pas me la jouer meuf qui a envie de lui sauter dessus et pourtant, c'était le cas, là toute suite avec ses cheveux et son corps mouillés. On devrait plus souvent prendre des bains ensemble bébé. Lorsque j'étais sur son épaule en mode sac à patate, monsieur déballa un bruit très très bizarre, mais très familier aussi. « Gnihihihihihihihi. » Je n'avais pu m'empêcher de rire face à ça. J'arrêtais mes coups quelques instants avant de rétorquer. « C'est censé être un rire diabolique ça ?. Non parce que ça me rappelle le rire de ma poupée lorsque j'avais trois ans... Elle s'appelait Tiza et un jour j'ai vu que Tiza en langage libanais, ça voulait dire Fesse. » Okey je m'égareeeee, mais c'est vrai, chez moi fesse=Tiz, Tizo masculin, féminin Tiza. Bonjourjeracontemavie.com Une fois là haut, monsieur insista pour que je m'excuse. « NON ! TU T'EXCUSES. » Et ben non, je ne veux pas m'escuserrrrrrrrrrr. Je résisterais encore et encoreee. Même que, je faisais semblant de vouloir vomir. Beurkkkkk non, je ne vomirais jamais devant quelqu'un parce que c'était dégueulasse nondidiouuuuu. « Je viens de prendre ma douche, PUTAAAAAAAIN. Ah non, tu ne vomis pas sur moi ! » Cria-t-il et enfinnnnnn il m'écoutait. Sauf que boulet comme toujours, il fit un faux pas et me lâcha dans le vide, se prenant le plongeoir entre ses cuisses. « Je suis une femmeeeeeeeeeee. » BIEN FAIT HAHAHAHAHAHAHA. Moi, j'ai réussi à m'accrocher au bord de justesse, sinon, il est clair que je serais tombée depuis des lustres. Il s'approcha de moi, du moins, sa tête. « Tu t'excuses toujouuuuurs pas ? » Nonnnnnnnnnnn. Je hoche négativement de la tête comme pour lui montrer que je ne cèderais pas, mais lorsque mon regard logea le vide, mon corps se mit à trembler. Je plisse les yeux de peur. « D'ACCORD C'EST BON JE M'EXCITEEEEEE !. » MERDEEEEEEE, la peur m'a fait tourner la langue dans le vide, vide, vide, videuuuh. Du coup, j'ouvre grandement les yeux avant de reprendre. « Euuuh, je voulais dire JE M'EXCUSEEEEE ! T'as gagné, fais-moi remonter steuplaitttttt, je tremble comme une feuille là !. » Même que j'allais bientôt lâcher piting. Mes doigts glissaient petit à petit. « JE TOMBEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE ! ENFIN PAS ENCORE, MAIS JE VAIS TOMBERRRR ! GROUILLE TON CUL BLEEKER ! » Monsieur avec une jambe en moins maintenant. N'empêche que quand on se retrouvait, il nous arrivait des catastrophes à tous les deux. Je me retrouvais toujours en mauvaise posture. Comme ce soir par exemple, une joue blessée, un corps pendant dans le vide au-dessus d'une piscine. Je me demande ce que sera la prochaine fois, peut-être qu'on aura un lion à nos trousses, ou alors, on se fera kidnapper par des extraterrestres. Et comme je voyais que monsieur était toujours indifférent à mes cris, je décidais de procéder autrement. « Mon babouin, mon bébé graisseux, mon lapin, mon pioupiou, mon loulou, mon gamin, ma caille, mon crouton, mon p'tit sucre, mon minou miaou miaou, mon coquin, mon canard, ma poule, ma poupée, mon poupouch, mon cabri des îles, mon roudoudou, mon doudou, ma saucisse, mon tizo, ma couille, mon pénétratoorrrr, tu peux me refaire monter... ?. » Dis-je d'un large sourire innocent. Et s'il voulait encore que je lui abime les tympans avec d'autres surnoms débiles en réserve, qu'il me laisse là et je me ferais un plaisir de continuer et même de les crier.
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Weeeesh, c’est un rire diabolique !! Je dirais même, un rire diaboliquement diabolique. Vous pensez que la sorcière Carabosse quand elle mange les petits enfants, elle crie ’mouhahahahaha’ en s’enfuyant sur son aspirateur volant (les balais, c’est has-been, plus personne ne les utilise à part celui que certains ont dans leurs fesses ahah). Non, elle lâche un perfide et efficace ’gnihihihihiih’ avant de lancer son mauvais sort. Pourtant, niveau sorcière, Diamantika devrait s’y connaître, plus que Cody du moins. Elle se regarde quand même beaucoup dans le miroir que Cody ne la voit, n’est-ce pas ? J’sais pas si vous avez pigé ma phrase mais dans ma tête c’est clair, m’embêtez pas, j’viens de bouffer du KFC et je suis un peu à la ramasse. « T’as de belles tizas Diamantika, je te tizasserais bien avec un fouet si j’le pouvais. » avoua-t-il avec un ton séducteur. ET OUUUUUI, les propositions indécentes ça y allaiiiit heiiiin. Il n’y pouvait rien s’il avait ses hormones en ébullition. On aurait dit le pot-au-feu de maman Bleeker dans ses testicules. Charmant, charmant. Mais la planche le refroidit bien vite et Cody crut que Codynosaure décédait pour la seconde fois en l’espace d’un mois. Mais c’est pas possiiiiiiiiiiible, c’est une conspiration ! Bon, ça vaaaa, il était un peu immunisé donc il ne se mit pas à pleurer, sans compter la distraction sous ses pieds ; Diamantika qui menaçait de tomber à tout moment. C’est alors qu’elle cria qu’elle s’excitait. Euuuh … Cody resta immobile, circonspect, pendant quelques secondes, cherchant à assimiler ce qu’elle venait de dire. Attendez, elle venait bien de dire qu’elle s’excitait quoi ? Il ne rêvait pas ? « J’vois que t’as plus besoin de moi, tu te suffis à toi-même maintenant. OK, OK. C’est pas grave, Main Gauche me satisfait très bien aussi, j’ai pas besoin de Kovagin, ni de Cody et Cody. » Il allait lui piquer une crise de jalousie pour un lapsus, oui ouiiiii. Au final, elle se corrigea et s’excusa mais tooooooooooooo late, le mal était fait, le cœur … Brisé. « J’sais pas si j’ai encore envie de te sauver, tu vois … » Il voyait sadiquement ses doigts glisser le long de la planche, mouhahahaha. Non j’vous rassure, il userait de ses réflexes de chat pour la sauver à la dernière minute, quoiqu’avec une main handicapée, on est sûr de rien. Pis là, elle débita tout une logorrhée de petit nom mais le seul que Cody retenut fut le Pénétrator. Elle est sérieuse ? Il explosa littéralement de rire, ce qui fit trembler le plongeoir et ne facilita donc pas l’ascension de Dia sur la planche. « Codynosaure le Pénétrator, je suis venu sur Terre pour accomplir ma missioooooonnnnn … Mais je ne vais pas le dire, c’est une mission top secrète digne des plus grands James Bande, l'agent 00-sexe ! » Et non, ceci n’est pas un fail. Bref, trêve de cochonneries, Diamantika avait bien mérité qu’il fasse un effort pour la secourir. Il se pencha donc en avant et attrapa ses deux poignets pour tenter de la hisser au sommet. Elle faisait son poids la Kovache, mine de rien. « ça vaaaa ? T’es calmée ? T’as intérêt d’être mignonne et obéissante à présent car j’ai plus d’un tour dans mon caleçon. » Il avait plein de choses dans son caleçon. Très bien rempli ce caleçon.
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« T'as de belles tizas Diamantika, je te tizasserais bien avec un fouet si j'le pouvais. » Il est sadooooooooooooooooooooooo le mec, euwwwww, j'suis pas maso moi. N'empêche que cela me faisait bien rire. Par contre, je riais moins là haut, perché sur le plongeoir. D'ailleurs, prise de peur et d'un vertige, je venais de traduire "excuse" par "excite" tout ça parce que j'avais encore l'image de ce babouin tout mouillé. Bah ouai, il m'excitait cet homme, il était gras et alors ? Quand on est amoureuse, ce n'est pas le corps qui importe, le physique ne compte pas et en plus, je ne suis pas de ceux qui se fixent sur ce détail. Ça passait en second. Et vous allez me dire que Cody, il n'a absolument rien, pas le physique, ni même le mental, mais je m'en fiche. Je n'ai pas demandé à tomber amoureuse de lui, c'est arrivé et je ne peux absolument rien. « J'vois que t'as plus besoin de moi, tu te suffis à toi-même maintenant. OK, OK. C'est pas grave, Main Gauche me satisfait très bien aussi, j'ai pas besoin de Kovagin, ni de Cody et Cody. J'sais pas si j'ai encore envie de te sauver, tu vois ... » J'arque les sourcils en assistant à son petit délire, ou sa petite crise de jalousie à cause de mon vilain lapsus. « Espèce de con, c'est toi qui m'excite, c'est sorti parce que t'es sexy les cheveux mouillés et le corps trempé !. » Dixit la fille perchée sur son plongeoir et ce n'était pas le moment de virer en mode cochonnerie, là, je devais penser à me sortir de là. Et quoi de mieux que lui envoyer toutes sortes de surnoms les plus débiles les uns aux autres ?. Et en plus, j'en avais encore en réserve, suffit de demander et je vous les sortirais. Bon, apparemment, ça n'a pas eu l'effet que je voulais, mon bien-aimé venait d'éclater de rire. C'était bien aussi, bon de le voir rire et sourire, ça me réchauffe le coeur mine de rien. Même que là, je me suis mise à sourire rien qu'en le voyant rire. J'oubliais même que c'était lui l'auteur de mon état actuel. « Codynosaure le Pénétrator, je suis venu sur Terre pour accomplir ma missioooooonnnnn ... Mais je ne vais pas le dire, c'est une mission top secrète digne des plus grands James Bande, l'agent 00-sexe ! » OH MY GADDDDDDDDDD. Dans la débilité, monsieur était le number one. J'éclatais de rire à mon tour, mais un rire qui me déstabilisait et j'allais perdre l'équilibre s'il continuait. Putain j'avais envie de me tordre de rire, mais je ne pouvais pas, ça me démangeait. « Arrête, arrête !!! Arrête de me faire rire, j'en peux pluuuuusss. » Dis-je entre mes rires. Qu'il est con et tarrééééééé ce mec. Quoi que, je ne devrais pas me plaindre, je ne suis pas mieux en fait. « Tu t'trompes de mission gros boulettttttttttt, ce n'est pas sur terre, mais sur Kovagin que tu dois accomplir ta mission agent 00-sexe !. » Ouaichh Kovagin c'est une planète à elle toute seule. J'allais lâcher tellement que je riais, mais fort heureusement, Cody me refait monter à temps. DIEU MERCI je n'aurais pas de nuque brisée, faut dire que je n'ai jamais fait ça aussi hein, je ne sais pas comment atterrir du coup. « ça vaaaa ? T'es calmée ? T'as intérêt d'être mignonne et obéissante à présent car j'ai plus d'un tour dans mon caleçon. » Il avait plus d'un tour dans son caleçon ?. Piting, j'éclate de rire à nouveau avant de reprendre mes esprits et d'inspirer un gros coup. Je me lève et m'approche de lui. Sans dire quoi que ce soit, je pose mes lèvres sur les siennes, car mine de rien, elles m'avaient manqué. « J'ai bien envie de voir ce que t'as dans le caleçon ! » Murmurais-je entre deux baisers tandis que l'une de mes jambes vint se hisser entre son entre-jambes et l'une de mes mains se glissa sur l'une de ses fesses à l'intérieur de son caleçon. De quoi le faire perdre la tête me direz-vous ?. Ouaich, c'était obligé pour ce que je m'apprêtais à faire. La vengeance de Dia sera terribleeeeeeeeeeeee. J'avance d'un pas, retire ma main de sa fesse et le pousse dans le vide. « Babayeeeeee PÉNÉTRATORRRR RETOURNE SUR TA PLANÈTE SEXETONATOR ! » Dis-je en lui faisant bye bye de la main accompagnée d'un large sourire. Maintenant, il faut que je descende et me cache au plus vite. Une fois en bas, je cherche du regard un coin où je pourrais me faire toute petite. Les gradins ouaich. Je monte jusqu'au dernier rang et me cache derrière un banc de chaises, prête à courir si jamais il me voyait.
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Trooooop gentil comme il était, Cody aida Diamantika à hisser son gros cul sur le plongeoir. Normal, il n’allait pas la tuuuer, en plus pendant la chute elle risquait de se pisser dessus et quand on fait pipi dans une piscine, l’eau change de couleur. Enfin je crois. Mais il paraît qu’en fait, ça ne change pas de couleur mais on disait ça quand on était petit pour nous dissuader de faire pipi dedans. Je pense que la prochaine fois où j’irais à la piscine, j’ferais pipi dedans pour essayer, hihi. Bweeef, vous êtes prévenus, ne m’invitez pas dans votre piscine. « Kovagin est un territoire dangereux, j’suis pas équipé pour les sables mouvants et encore moins pour les régions humides. » Moment poétique du jour bonjouuuuuur. Par la suite, Cody fit comprendre à Dia qu’il ne valait mieux pas qu’elle s’amuse à le couler de nouveau parce que sa vengeance serait terribleeee, terribleeee, il insista même sur le nombre de tours qu’il avait dans son caleçon, chose que Kovache souhaitait vérifier. Ce qu’il comprenait totalement. Oui, elle était complètement dans ses droits ; il fallait qu’elle s’assure qu’il ne la trompait pas sur la marchandise, il ne fallait pas qu’elle hésite à se salir les mains, à plonger tête la première dedans ! Et c’est ainsi qu’elle se retrouva à lui tripoter les fesses en haut d’un plongeoir de vingt mètres. NARMOL. Mais j’ai envie de vous diiiiire, y a pas d’heure pour se peloter. Comme les fruits ; on peut en manger à toute heure de la journée et ben là c’est pareil ! Et ses baisers lui firent perdre totalement la notion du temps, du lieu, de l’endroit et, surtout, point important, des fourberies de Diamantika. Ses mains chaudes parcoururent son flanc, s’immisçant délicatement sous l’agrafe de son soutien-gorge, prêtes à en découdre rapidement. Il prônait l’égalité des sexes et il était donc parfaitement normal qu’elle se retrouve autant seins nus que lui, surtout que Bleeker en avait limite plus qu’elle. Dommage, pas de miroir pour s’auto-mater, il se contenterait de Dia. Moins farouche, sa langue se terra contre les lèvres de Dia, laissant place à une passion qui ne demandait qu’à grandir, grandir, grandiiiiiirrrr comme un ravissant petit coquelicot au soleil. Ou une marguerite, ou une rose, ou un pénis du titan. Comme une fleur, merde, j’suis romantiqueeee wesh. Son désir devenait besoin, il réclamait les caresses de l’Eliot ailleurs, en haut, en bas, partout. Partout. Sauf qu’il ne s’imagina pas une seconde que Diamantika faisait juste ça pour le distraire avant de le jeter à long. Il ne comprit même pas ce qui lui arriva avant que son dos ne claque violemment la surface de l’eau. P’tain. Ça, ce fut un plat qui faisait mal, pourtant il n’y avait pas de petit cafard à l’intérieur zbaaaaf c’était mister jeu de mots ! Sous son poids, de l’eau fut projetée jusqu’à dix mètres au-dessus de la surface, pour vous dire la violence du choc. Mais il s’en sortit pas trop mal, une légère douleur dorsale mais il y survivrait. Il était juste un peu vexé et refroidi qu’elle ait pu agir de la sorte avec lui. Il se sentait comme un vulgaire steak qu’on jetait au CONGELATEUR. Même pas il n’eut la curiosité de chercher du regard Diamantika qui, se trouvant sûrement supra drôle, improvisa maintenant une partie de cache-cache. Et bien, elle pouvait attendre loooongtemps que Cody compte jusqu’à dix. Celui-ci sortit du bassin, trempé jusqu’aux os, et prit ses affaires sous le bras, son portable, ses chaussures et … La robe de Kovache ! Sans mot, il se dirigea jusqu’à la fenêtre qui, pour l’heure, faisait surtout office de porte. Par contre, il fit un petit détour jusqu’à un tuyau d’évacuation dans lequel il glissa la magnifique robe bleu ciel de Dia. Cette dernière fut aspirée comme une poussière dans un conduit d’aspirateur. Zéro réaction de la part de Cody. Même pas un rire sadique, pas de ’gnihihihihi’, même pas un petit ’gnihi’. Las, il lança simplement dans le vide, espérant que ça parvienne jusqu’aux oreilles de Dia ; « Bonne soirée ! » Sur ce, il enfila son t-shirt et son jogging – tous les deux trempés jusqu’à la fibre – et sortit. GOOOOSH, il faisait bien meilleur à l’intériiiiiieuuuuur. Mais bon, pour qu’il revienne, il faudrait que Dia se montre TRES convaincante. Et aussi, qu’elle ose sortir du bâtiment en sous-vêtements, ce qui s’avérerait plus compliqué MOUHAAHAHAHAHA.
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« Kovagin est un territoire dangereux, j’suis pas équipé pour les sables mouvants et encore moins pour les régions humides. » Kovagin est un territoire dangereux pour Cody, mais pas pour Codynosaure, lui, il sait s'y prendre, il est bien meilleur que son propriétaire. Okey là, ça devient du n'importe quoi dans ma tête donc faut que j'arrête avec ces cochonneries. Nah mais quand t'es en face de Cody Bleeker, tu ne peux pas te passer de ça, surtout lorsque c'est lui qui commence. Petit un, il me soulève comme un sac à patate, petit deux, il m'envoie jusqu'au plongeoir de 20 mètres et petit trois, il veut que je me montre obéissante alors que j'ai failli peut-être tomber ?. Non mais c'est un ABUS DE POUVOIR et c'est mal connaître Diamantika si l'on croit qu'elle va se soumettre aussi facilement. Cody avait une vraie femme en fasse de lui, pas l'une de ses petites cruches qui sont prête à se plier à ses ordres lui faisant croire qu'il était le maître du monde. Non, s'il pense être le maître du monde, Dia, s'en est la maîtresse. C'est donc pour cela que mademoiselle Kovalevski venait de sortir son grand jeu de séduction. Je suis bien heureuse que mon charme opère toujours d'ailleurs. Certes j'avais envie de lui, certes sentir ses mains sur mon corps et sur l'agrafe de mon soutif faisaient naître des papillons dans mon ventre, certes sentir sa langue contre la mienne m'excitait encore plus, mais d'abord je ne devais pas céder, il fallait qu'on soit quitte parce que le couler sous l'eau est dix mille fois rien qu'être perché dans le vide avec la peur au ventre et le vertige, sans parler de la douleur de mes doigts et de mes bras. Du coup, je transformais Cody en parachute, le faisant atterrir directement dans l'eau par un splash magnifique. Je devais plutôt enregistrer le bruit, comme ça, je l'aurais mise en sonnerie de notification de mon whatsapp. Gad. 'FIN bref, apparemment, cette petite vengeance n'avait pas plut à son altesse Bleeker qui sortit de l'eau et de là où j'étais, je voyais toute la scène. Il attrapa ses vêtements, mais pas que les siennes, les miennes aussi. NON ! « Bonne soirée ! » et re NON !. Il ne pouvait pas me laisser là en sous-vêtements. NEVER ! NEVER ! NEVER !. Sortant en trombe de ma cachette, je descendais jusqu'à la piscine avant de regarder autour de moi et de poser mes mains dans mes cheveux. Le con !. Bon fallait s'y attendre ein, c'est Cody quoi. Je lâche un long soupire lorsque mon regard croisa une porte. Une porte ?. Soudainement, mon sourire se fit plus grand, tout n'est pas perdu et si c'est ce que je pense, je suis une grande chanceuse. J'entre et découvre le mini vestiaire. Je me promenais histoire de voir si je ne pouvais rien trouver de potable à enfiler. J'ai rien trouvé...à si quelqu'un semblait avoir laissé tomber son maillot de basket. Mais qu'est-ce qu'un maillot de basket fou là ?. Anyway, je le ramasse à terre presque sous le banc. Il y avait marqué John et le numéro 22. Okey, va falloir que demain je le lui rende. J'enfile le vêtement, malheureusement il n'y avait pas le short, mais tant pis, le maillot m'arrivait juste en bas des fesses, demi-cuisse. Je m'approche de la fenêtre où se tenait encore le lowell, mais je ne sortais pas. Je me calais en mode sexy contre un pilier, bras croisés en dessous de ma poitrine, remontant un pied jusqu'à mon autre genoux. « Tu vas attraper un gros rhume si tu restes dehors Bleeker.... » Je ne sais pas à qui appartenait cette ce maillot, mais en tout cas, il n'était pas à Cody, ce qui veut dire que là, je portais presque l'odeur de ce John, heureusement qu'il n'y avait plus de sueur et que ça sentait rien du tout. Je passe mes cheveux d'un côté. « T'as surement fait mouru ma belle robe, mais j'ai de quoi me vêtir maintenant, il s'appelle John, tu le connais ? Le propriétaire de ce maillot de basket. » Dis-je en roulant des yeux. « Ne fais pas le grincheux et rentre à l'intérieur, il fait froid dehors et t'es tout trempé. C'est bon, je me calme et je te laisse même prendre ta revanche si tu veux. » Et il ne pourra plus jamais dire après que je ne me sacrifie pas pour que monsieur soit content. un banc de chaises, prête à courir si jamais il me voyait.
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Adieuuuu jolie robe, envoléééééée dans la bouche d’aération ! Elle avait joué de lui et elle devait en payer les conséquences. Sa sentence serait irrévocable AHAHAHAHAH. Non mais en vrai, Cody en voulait à Diamantika, il était vexé, prêt à s’en aller, même en ayant l’air d’un péquenot avec ses fringues plus que trempés, et même si les traces qu’il laissait derrière lui étaient semblables à la bave d’une limace géante. Après, je ne critique pas les limaces géantes, elles sont sûrement très charmantes. La preuve avec Dia, niveau bave, on atteignait facilement le stade limace. Et c’est Cody qui disait ça, aka le mec qui lui a galoché la bouche dans le sens horaire (et antihoraire) un millier de fois, encore plus qu’une essoreuse dans une laverie. Comparaison très sympathique, mais ça confirme que Cody is very colère against le Diamant du Nil. LE DIAMANT DE SES FESSES OUI. Et il s’apprêta à s’en aller, grelottant, reniflant, arrosant la route de ses baskets qui faisaient des petits prouts à chaque pas, quand soudain Diamantika lui rappela qu’il allait choper un rhume. ALORS LÀ. C’est la meilleure. Il se retourna vers elle et lui lança la plus horribleuuuuh grimace qui lui ait été donnée de faire. On aurait dit un Shar Pei (ou les fesses pleines de cellulite de Dia, why not). « La faute à qui ? » répondit-il, estomaqué par sa remarque. N’était-ce pas elle qui avait tenté de le noyer à TROIS reprises, je dis bien à TROIS reprises ? Trololololoooool. Puis comment se faisait-il qu’il avait encore plus envie d’elle en la voyant aguichée de la sorte, vêtue d’un maillot dégueulasse d’un autre mec sur le dos, les cheveux décoiffés, alors qu’elle le saoulait à un point même pas mesurable ? Putain, il fallait vraiment qu’il dresse son Codynosaure. NON CODYNOSAURE. Dresser dans le sens de dompter, pas dresser dans le sens de se redresser, MERCI de ta compréhension. Oui, Cody communique avec son zizi à travers mon RP donc des fois, si des phrases vous semblent incohérentes, c’est juste qu’il y a des interférences entre Cody, moi et son satebite (j’assume pas trop ce mot, j’préfère signaler au cas où). « Non j’connais pas ton John, sûrement un Dunster. » Ben ouais … John … Jaune … Dunster … Je sais où est la sortie mais si je sors, j’pourrais pas finir le RP et Chérine elle va râler. Il haussa les épaules, tentant de paraître un maximum indifférent. « T’as qu’à retourner le voir. Tu portes ses fringues, il emporte tes fringues. Cool. Super. Beaucoup de bonheur à tous les deux. J’suis sûr qu’en plus, tu ne le jetteras pas dans la piscine lui. Si ça s’trouve, vous pourrez vous lancer dans le SM. Après tout, le John d’oeuf on le bat. » Humour, humouuuuur. En vrai, c’est fou comme il était jaloux pour RIEN. Il râlait après une luciole, après Dia qui s’excite elle-même, après Dia qui enfile le maillot d’un inconnu … TOUT. Il croisa les bras, la défia du regard. « J’ai pas envie de prendre ma revanche. J’ai pas envie de rentrer là-dedans non plus. Tu prépares un mauvais coup, ça s’voit. Non, essaye de me convaincre de pas rentrer sur le champ, tout en m’épargnant le couplet comme quoi j’vais m’enrhumer. » Il n’allait pas se laisser avoir, pas cette fois. « Sois un peu convaincante, Kovache. Sors tes meilleurs arguments. » Et ses meilleurs arguments ne s’appelaient pas nécessairement Cody et Cody.  
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J'ai un corps parfait, aucune cellulite, à peine des vergetures, une belle poitrine, un beau cul, de belles lèvres pulpeuses, des yeux de biche, un sourire trop mignon, il n'y a que Cody qui se plaint, parce que ses yeux lui font défaut, je pense qu'il a besoin d'aller chez l'ophtalmologue. S'il partait, au moins j'avais de quoi me vêtir pour courir rapidement jusqu'à mon dortoir. Pour l'heure, je venais de m'adosser contre un pilier en mode ultra sexy et chaudasse, bah avec un corps comme le mien, normal qu'avec n'importe quoi, je paresserais sexy. « La faute à qui ? » Dit-il en arborant une mine assez effrayante, bon pas tant que ça en fait, j'avais plutôt envie de rire, mais je me retiens. Je n'allais pas le mètre en colère plus qu'il ne l'est maintenant. « Non j'connais pas ton John, sûrement un Dunster. » Ah bon ? Moi j'aurais dit Winthrop pourtant et pas parce que le maillot est rouge ein, mais disons par intuition ou par un pur hasard alors. « T'as qu'à retourner le voir. Tu portes ses fringues, il emporte tes fringues. Cool. Super. Beaucoup de bonheur à tous les deux. J'suis sûr qu'en plus, tu ne le jetteras pas dans la piscine lui. Si ça s'trouve, vous pourrez vous lancer dans le SM. Après tout, le John d'oeuf on le bat. » Sayez, je pique juste une chemise et Cody me fait sortir le grand speech d'homme super jaloux me demandant d'aller voir cet homme que je ne connaissais ni d'Adam, ni d'Eve. Ça me plait bien qu'il soit jaloux. Je roulais des yeux avant de soupirer et de hocher négativement de la tête style super blasé là. « J'ai pas envie de prendre ma revanche. J'ai pas envie de rentrer là-dedans non plus. Tu prépares un mauvais coup, ça s'voit. Non, essaye de me convaincre de pas rentrer sur le champ, tout en m'épargnant le couplet comme quoi j'vais m'enrhumer. Sois un peu convaincante, Kovache. Sors tes meilleurs arguments. » Si le lowell voulait s'en aller il l'aurait fait depuis des lustres. Il restait simplement parce que monsieur voulait avoir le dernier mot, voulait que je le supplie de rester. Je ne voyais pas pourquoi ça lui tenait à coeur, je veux dire, on s'en fout de qui à le dernier mot, au final, on s'en fout de qui gagne ou pas. On ne devrait pas accorder de l'importance à ce genre de choses, mais Cody Bleeker dès que quelqu'un lui retourne l'appareil, il montre ses crocs, ou simplement son mode grincheux. Moi pas content, toi mets toi à genoux et supplie moi. C'est peut-être son plus lourd défaut. « Je ne prépare rien du tout. » Et la j'étais vraiment sérieuse et mon regard franc le prouvait. « Et non, je n'irais pas voir ce John, il m'intéresse pas, il n'y a que toi qui m'intéresse et ouai, si jamais je le croise je ne le jetterai pas à l'eau, parce que nos moments sont uniques, j'veux pas les faire avec d'autres hommes. » Je marque une courte pause en fixant le plafond, les bras toujours croiser. « J'aime bien partager ce genre de moment avec toi, ce genre de moment où l'on s'abandonne complètement et on retombe en enfance, oui j'aime bien jouer les gamins avec toi Bleeker. » Bah ouai, moi contrairement à lui, je m'enflammais pas à ce point, il m'aurait jeté du plongeoir je l'aurais pas prise de cette manière, au contraire, j'aurais pris ma petite revanche, le tout en rigolant, enfin ça c'est si j'étais vivante. « Et je ne veux pas que tu partes, parce qu'il n'y a que dans tes bras que j'ai envie d'être... » Et pas seulement ce soir, mais bien tous les jours et nuits. Seulement, je ne vais pas le supplier de rester. Je n'ai pas envie de réduire mon amour à des supplications, Je n'ai pas envie de mendier son amour parce qu'à force, c'est ce qu'il est en train de me faire sentir. Il sait déjà que je suis folle de lui, il sait tout ce que je suis prêt à faire pour l'avoir. Je ne veux pas avoir à le supplier pour qu'il reste. Du coup, je me décolle du pilier et m'avance vers la piscine. S'il m'aime, il restera tandis que s'il ne m'aime pas, il partira et là au moins, je serais fixée. Malheureusement, je n'ai pas de fleur pour jouer à s'il m'aime ou s'il m'aime pas, so je compte dans ma tête jusqu'à dix.
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Elle le saoulait, putaaaaiiiiing qu'elle le saoulait ! Elle le rendait totalement impuissant, impuissant des sentiments, ramollissant sa matière grise dès lors qu'il se trouvait dans son périmètre, dès lors que ses neurones explosaient en un millier de feux de joie, dès lors que son coeur le faisait chanter et menaçait de jaillir hors de sa poitrine s’il ne faisait pas le grand saut et n’assumait pas ses sentiments à l’égard de Diamantika. Cody aurait aimé être plus puissant, au moins autant qu'il le montrait en jouant au gorille style ahouuu moi Tarzan toi Jane toi obéiiiiiir. Et dans les faits, elle lui obéissait. La preuuuuve, suffisait que Cody fasse son petit caprice pour qu'elle lui court après. Il ordonna à Dia de se montrer convaincante pour le persuader de rester, sans quoi il partirait vers de contrées inconnues - enfin surtout vers la Lowell House pour se changer, l'est pas fou le Bleek-Bleek. Mais putain, elle l'avait à tous les coups. Rien qu'en évoquant ses émotions, ses sentiments, à quel point elle aimait leurs moments de grand n’importe quoi, rien qu'en la voyant se tourner et marcher dos à lui, rien qu'en voyant ses fesses se mouvoir sous ce maillot dix fois trop grand, rien qu'en admirant Dia se servir de ses jambes parfaitement fuselées pour s'éloigner de lui, rien qu'en se torturant les yeux pour distinguer encore et encore sa silhouette près de la piscine depuis l'extérieur, rien qu'en rien qu'en rien qu'en ... Avec une multitude de petits rien, elle le tenait en haleine. « Je te déteste Kovache ! » s'écria-t-il avant de retourner à l'intérieur et se précipiter jusqu'à elle, plaquant ses mains sur ses hanches pour la forcer à se retourner. Il l'embrassa tendrement, chaleureusement, ses doigts filèrent un peu plus au sud pour attraper le pan inférieur du maillot de basket et le tirer vers le haut pour que Diamantika n'ait plus rien de ce John sur elle. Berk berk. Il captura de nouveau ses lèvres, sentant un désir féroce monter en lui. Et ce désir, il ne prenait pas l'escalier. Non, il prenait l'ascenseur pour grimper au plus haut étage de l'immeuble et trouvait encore le moyen de courir dedans. Ses lèvres tremblaient alors qu'il serra Diamantika dans ses bras, fixant au loin un point noir. « Je te déteste Dia, vraiment. J'te déteste comme je n'ai jamais détesté personne auparavant. J'déteste ta manière de me rendre faible. Regarde Dia, j'tremble quand je suis avec toi. » Il se redressa pour lui mettre ses doigts sous le nez. En effet, tant il la désirait, il en était fébrile. « Je déteste ce pouvoir que tu as sur moi. J'déteste. J'arrive pas à m'imposer, t'es plus forte que moi, plus forte que tout. J'te déteste. J'te déteste pour me rendre comme ça. Comment tu fais, Dia ? Comment tu fais pour l'accepter ? Comment tu fais pour pas me détester aussi ? Apprends-moi, parce que moi je te déteste, au moins autant que je t'... » Non. Il l'aime. C'est puissant. Et ça l'effraye. Il est emporté comme un petit pêcheur dans une houle. Aucun moyen de se rattraper. Il avait juste à prier pour échouer sur une belle plage de sable blanc et pas se fracasser la gueule sur un rocher.
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Là, je ne vous disais pas la peur que je ressentais, une boule dans la gorge, un corps tremblant, peur qu'il parte et qu'il ne m'aime pas et que finalement, je me faisais tout ce temps, des illusions. C'est pourquoi, je comptais le plus lentement possible. « Je te déteste Kovache ! » Ses mots me tressaillaient. Et au fur et à mesure que je comptais, je murmurais des choses sans pour autant le dire à haute voix. 6 franchis cette foutu fenêtre, 7 ne pars pas, 8 reste et prouve encore une fois que tu m'aimes, 9 viens m'embrasser mon amour, 10... Je n'ai pas eu le temps de dire quelque chose que je fus rapidement tiré par la taille et pivoté pour que nos visages soient face to face. Il m'aime, il m'aime non de dieu, j'en ai la certitude maintenant et mon cœur ne peut-être qu'en joie. Il épousa mes lèvres tandis que j'épousais les siennes avec tant d'amour, tout mon amour, tout ce que je pouvais ressentir pour lui, toute la force de mes sentiments était particulièrement mêlée dans ce baiser. Je l'aime putain. Je l'aime comme jamais je n'ai aimé quelqu'un, je l'aime plus que tout au monde. Il retira le maillot, tant mieux, parce que la seule odeur que je voulais sentir, était la sienne. Il stoppa le baiser pour m'enlacer et moi je glissais mes bras autour de son cou y fourrant ma tête au creux de mon bras. Le serrant tellement fort, qu'on aurait dit que je l'étouffais. « Je te déteste Dia, vraiment. J'te déteste comme je n'ai jamais détesté personne auparavant. J'déteste ta manière de me rendre faible. Regarde Dia, j'tremble quand je suis avec toi. » Et je pouvais le sentir, je pouvais sentir son corps trembler, il pouvait sentir le mien trembler également. Il stoppa notre étreinte pour positionner ses doigts sous mon nez et je les fixais, faisant un aller-retour entre ses doigts et ses yeux. « Je déteste ce pouvoir que tu as sur moi. J'déteste. J'arrive pas à m'imposer, t'es plus forte que moi, plus forte que tout. J'te déteste. J'te déteste pour me rendre comme ça. Comment tu fais, Dia ? Comment tu fais pour l'accepter ? Comment tu fais pour pas me détester aussi ? Apprends-moi, parce que moi je te déteste, au moins autant que je t'... » Autant qu'il m'aime, c'est ce qu'il n'arrive pas à dire. Mais je le sais maintenant et s'il ne le dit pas et bien je le dirais pour lui jusqu'au jour où il aura le courage de le faire. Je pose mes mains sous ses doigts et j'embrasse chacune de ses paumes. « Tu m'aimes Cody Bleeker, tu m'aimes tellement, voilà pourquoi tu m'détestes, parce que tu m'aimes et parce que t'as peur de m'aimer autant, peur que ce soit réel, peur de te l'avouer... » Cela expliquait pourquoi il était si faible et pourquoi il ne pouvait s'empêcher de me détester, parce que les faits sont là et il le sait. « T'as seulement pas encore le courage de me le dire, un jour tu l'auras et j'attendrais ce jour. » Je fus parcouru d'un frisson qui semblait s'intensifier de secondes en secondes au rythme des battements de mon cœur. Tremblant de bonheur à chaque fois qu'il m'embrassait. Une chaleur qui me parcourait dans chacune de mes cellules, lui intimant un ordre unique, celui de rendre autant de joie qu'il lui apportait rien que par sa présence, de le rendre heureux à chaque instant. Et c'est pour cette raison que je relevais mes yeux brillants vers le visage de mon bien-aimé, lui adressant un tendre sourire et lui caressant doucement les joues. « Je t'aime, je t'aime tellement, je t'aime au moins tout autant sinon plus encore... » Et je ne cesserais jamais de lui dire, jusqu'à lui donner le courage d'en faire de même. Je presse mes lèvres contre les siennes, un simple effleurement tout doux, telle une petite brise d'été. Cependant, d'un mouvement soudain, je grimpe sur lui, croisant mes jambes derrière son dos. Je quitte ses lèvres et loge ma tête dans son cou, l'enlace une nouvelle fois comme si ma vie en dépendait. Je le serre très fort, bras autour de son cou. Je voulais rester ainsi quelques instants, même toujours si cela était possible. Je voulais que le temps s'arrête et nous rende prisonniers de cet endroit à jamais.
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