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KOVACHE ₪ JE T’AIME, 3 MOTS 7 LETTRES 15 POINTS AU SCRABBLE.

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Faire partie de l’équipe de football de Harvard offrait quelques avantages. Parmi eux, les filles, assurément, on sait tous très bien qu’un sportif pécho plus qu’un non sportif. Et toute règle connaît son exception et c’est vrai que, de ce point de vue là, Cody aurait aimé ne pas l’être, m’enfin, on ne peut pas tout avoir dans la vie. Puis il couchait déjà avec Diamantika, peut-être qu’il devait s’estimer heureux ? À défaut d’autre chose, il s’en contenterait. Autre avantage d’être le plaqueur officiel de l’équipe, Cody s’entraînait parfois très tard (OK, ça c’est la partie pas cool) mais ça lui permettait de garder avec lui les clefs du gymnase après que Marshall et le reste de l’équipe ait déserté les lieux. De ce fait, Bleeker détenait avec lui l’accès à l’ensemble du complexe sportif, y compris … Tssssk, j’vais pas spoiler l’endroit où Cody voulait amener sa bien-aimée, naméoh, je dois tenir mes lecteurs en haleine, hein Briony. Et sinon, ouais, la bien-aimée, j'parle de Dia, enfin Cody n'assumerait pas de dire des trucs comme ça quoi, m'enfin c'est moi la narratrice, pas lui. Plus tôt dans la soirée, il avait échangé quelques textos avec Dia. La pauvre était réquisitionnée par sa mère pour les préparatifs de son mariage avec Cynnan. Elle ne semblait pas spécialement enthousiaste à l’idée de se lier à vie avec ce type, du moins jusqu’au divorce ou jusqu’au décès prématuré de Cynnan étouffé dans son sommeil par un dangereux justicier masqué que l’on appelle Bleekerman. C’est le Spiderman de Cambridge sans le costume moule-béquille, sans les toiles d’araignées, sans Mary-Jane Watson, sans Gwen Stacy, sans Peter Parker, sans sciences infuses, sans oncle décédé, sans … OK, ce n’est pas Spiderman mais on s’en fout, non ? Soucieux de remédier à sa douleur et lui faire passer une bonne soirée – en sachant que Cody avait un peu envie de tromper Joan aussi, ça faisait trois jours qu’il ne l’avait pas fait, ça commence à compter quoi – il l’invita à le rejoindre devant le gymnase. Pour aller dans a partie du complexe sportif qu’il convoitait, il fallait passer par l’extérieur car, sinon, ils risquaient de bien galérer. Vêtu d’un jogging gris assez large et d’un t-shirt blanc, c’est avec une certaine nonchalance qu’il quitta les vestiaires après sa douche, regagnant l’extérieur de la salle du sport pour retrouver Diamantika. Tiens, aujourd’hui, elle était ponctuelle dis dooooonc, à croire qu’elle était pressée de voir Cody, à croire qu’elle en était tombée amoureuse AHAHAHAH. Ah oui, merde, c’est vrai, elle est amoureuse. Fuck. Il s’approcha d’elle un grand sourire aux lèvres et avant qu’elle n’ait pu prononcer le moindre mot, il joignit ses lèvres aux siennes pour un tendre baiser, se délectant de ces fleurs qui ne demandaient qu’à être cueillies depuis la dernière fois. Même pas il ne sortit ses mains de ses poches, faisant confiance à son instinct. « Tu pues la femme mariée. » lâcha-t-il finalement, un semblant de provocation dans la voix.
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Ma mère causait, causait, causait elle causait tellement qu'on aurait dit que c'était son mariage. Je grognais intérieurement en regardant ma montre. Le temps avait tellement vite passé que nous ne nous sommes pas rendu compte que le soleil s'était couché et que dans trente minutes, je devais rejoindre Cody. Et ma mère, bah elle causait encore. Pfiouuuu, je roulais des yeux avant de faire semblant d'attraper mon ventre et de simuler une petite douleur. « Mom, on va devoir faire une pause pour ce soir, je dois aller à la pharmacie pour m'acheter des calmants, j'ai mes règles et la douleur commence à toquer ! T'sais ce que sait que les règles douloureuses n'est-ce pas ?. Sooo, j'peux y aller ?. » Il n'y avait pas de règle, il n'y avait pas de douleur, mais j'étais bonne actrice alors ma mère goba et m'autorisa à me retirer. Rapidement, je monte dans ma chambre et fort heureusement, Dorian n'était pas là, sinon ma mère l'aurait saoulé nondidiouuuu. Je me douche, me parfume et me prépare vite fait. J'avais opté pour une longue robe bleu ciel, la première fois que je porte ce genre de robe et tout ça pour qui ? Pour les beaux yeux de Bleeker. Je voulais changer de mes traditionnelles shorts et jeans. Aux pieds, j'avais de jolies tongues plates assortis, décidant de mettre une chaine en or sur ma cheville droite, un petit style. Un très léger maquillage parce que je préférais rester naturelle plutôt que de mettre une tonne de maquillage. Cheveux détachés légèrement bouclés, tressés au niveau des deux côtés de mes tempes, j'attrape mon manteau noir et l'enfile. Mais avant de sortir de l'appartement, ma mère me réquisitionna. « Euh, tu comptes aller à la pharmacie habillée comme ça ?. Chérie, fallait me dire que tu comptais rejoindre Cynnan !. » Dit-elle avec ce large sourire. Elle se goure totalement, mais je lui laissais croire ça. « Ouai c'est ça !. » Dis-je en la smackant sur la joue et quittant rapidement l'appartement. Destination Harvard, plus précisément devant le gymnase. Une fois arrivée, j'attendais sagement comme convenu les mains fourrées dans les poches de mon manteau. Je souris bêtement avant de souffler un peu pour me calmer. J'ai le cœur qui bat à mille à l'heure, c'est fou. En fait, c'est comme ça à chaque fois que j'entends son prénom, à chaque fois que je suis avec lui et même quand je ne le suis pas, il suffit que je pense à lui et BOUM, l'état de mon cœur s'aggrave. J'espère ne pas attraper froid, mais au pire, je me glisserais dans ses bras. Et puis.... lorsqu'il arriva, mes poignets s'agitent dans mes poches, heureuse de voir son visage, heureuse de le voir simplement, car il m'avait manqué et que je réalisais maintenant, qu'être loin de lui était assez difficile à gérer. J'allais en placer une quand il pressa ses lèvres contre les miennes coupant mon souffle. Je fais rapidement sortir mes mains que je glisse sur ses joues en laissant mes doigts gambader l'arrière de ses lobes d'oreilles. Ce baiser se voulait tendre, laissant nos lèvres se cajoler avec amour. Et puis, il stoppa et recula pour ne murmurer que quelques reproches. « Tu pues la femme mariée. » Pas encore. Je me mordillais les lèvres avant de me rapprocher de lui et de glisser mes bras sous les siennes entourant sa taille. Mes lèvres logea sa gorge où je déposais un petit smack. « Tu m'as manqué...vraiment, manqué. » Murmurais-je doucement au ceux de sa gorge. Un énorme sourire apparaît sur mes lèvres. Je me sens bien ici, dans ses bras. C'est comme se retrouver dans un autre monde. Un monde où il n'y a que nous. Je recule et fais un tour sur moi-même ouvrant un peu plus mon manteau histoire qu'il observe ma tenue. « Alors ?... » Lui demandais-je en me mordillant la lèvre inférieure. Fallait pas m'attendre à un compliment de sa part parce qu'il allait encore une fois, m'envoyer sur les lauriers. Du coup, je lâche mon manteau et lui offre mon plus beau sourire.
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Direct, Cody ne se fit pas prier pour l’embrasser. Ils étaient dans l’obscurité, l’allée du gymnase semblait déserte et, malgré tout ce qu’il pourra dire, elle l’avait manqué. Son cerveau se retournait avec frénésie autour d’un seul mot d’ordre ; Diamantika. Son cœur battait incessamment, chaque battement représentait une syllabe de son prénom ; DI-A-MAN-TI-KA. Et on ajoute le KO-VA-LEV-SKI pour faire durer le plaisir. Son corps réclamait Dia, il bougeait Dia, il transpirait Dia, il tremblait Dia. Cody vivait Dia, et biiiiien malgré lui, vraiment. S’il avait pu être moins dépendant d’elle, il le serait. Mais la vérité, c’est qu’il n’y arrivait pas. Elle avait pris une place tellement importante dans sa vie, et pas seulement parce qu’elle a un gros cul et qu’elle le harcèle de SMS. À présent, il était au grand regret d’avouer qu’il ne pouvait plus se résigner à la perdre. Et pourtant, il ne voulait pas entendre parler sentiments. Pas de sentiments entre eux, c’était la règle. Mais apparemment, chez eux, les règles sont faites pour être bafouées. Les doigts de Dia jouaient avec ses oreilles tandis qu’il l’embrassait, sans la toucher autrement que par ses lèvres qui, droguées, telles de grosses junkies, telles des rock stars des années 70, prenaient leur rail de coke à la commissure de ses lèvres sans y perdre un grain, avant de prendre un shoot d’héroïne au contact de sa langue. C’est bon, elles étaient refaites. Il annonça qu’elle puait la femme mariée – délicatesse, toujours – et Kovache, plus fleur bleue, avoua qu’il lui avait manqué. Il roula des yeux, pas perturbé pour un sou ; « Ouais, moi aussi j’ai envie de toi, mais d’abord faut que je te montre un endroit. » Ben ouais, on sait très bien pourquoi ils se voient tous les deux, voyooooooooooons. Serge Gainsbourg et Jane Birkin se disaient ’- je t’aime – moi non plus’ et bien Cody Bleeker et Diamantika Kovalevski apportent dès aujourd’hui la version moderne ’- tu m’as manqué – j’ai envie de toi’. La graaaandeee classe. Du coup, il s’apprêtait à l’amener plus loin, à se faufiler entre les bâtiments pour rejoindre celui que Cody convoitait mais Dia improvisa un mini défilé, apparemment fière de sa tenue. Et elle avait de quoi. Attendez, le Lowell n’était clairement pas du genre à parler chiffon avec les nanas quoi. Pour lui, moins y en a mieux c’est, vous voyez où je veux en venir. Mais il se figea, le bras tendu vers elle puisqu’il était précédemment prêt à l’entraîner plus loin dans le complexe. Sauf que Médusa passa par là et pétrifia le Bleeker qui fixa Dia sans ciller une seule fois. Elle était belle. Et naturelle. Sa robe bleue la seyait à merveille, la légèreté du tissu laissait deviner le galbe de ses fesses et ses seins ronds, son ventre plat et ses hanches finement taillées dans le marbre. Sans parler de ses cheveux. Il fondait pour sa coiffure un tantinet bohème, un tantinet romantique. Elle était belle. « J’ai plus du tout envie de te mettre à poil. » lâcha-t-il subitement, le souffle coupé. Au cas où vous vous demandez, oui, c’est un compliment. Puis il revint à la raison et remua frénétiquement la tête de gauche à droite avant de se pencher par terre pour rattraper le manteau et le foutre sur les épaules de Dia. « Oh, y a encore des lucioles qui te matent ! Je suis pas d’accord ! T’es à moi, j’veux qu’il n’y ait que moi qui te voit, tu es à moi, tu es à moi, tu es à moi. » Possessif ? Non, non. Il s’approcha d’elle, caressant délicatement sa joue du bout des doigts avant de poser chaleureusement ses lèvres sur l’autre joue. Il murmura. « Tu es mienne. » Et ouuuui, propriété de Cody Bleeker ! Il la tatouera s’il le faut.
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L'amour brille, sous les étoiles, d'une étrange lumière, la terre entière en parfaite harmonie, vit sa plus belle histoire...Je voudrais lui dire je t'aime.... KOVACHE ₪ JE T’AIME, 3 MOTS 7 LETTRES 15 POINTS AU SCRABBLE.  1116103942 Pardonnez-moi mon égare, il faut dire que je viens d'écouter cette musique en cherchant d'autres musiques et ça m'a fait penser à Dia et Cody sous les étoiles, comme leur dernière nuit dans les bras l'un de l'autre à la belle étoile. *bave* Puis voilà il a sauté sur mes lèvres, j'ai sauté sur sa gorge et je l'ai avoué qu'il me manquait et à force, je le connaissais maintenant. Voilà pourquoi sa réponse ne m'étonna pas. « Ouais, moi aussi j'ai envie de toi, mais d'abord faut que je te montre un endroit. » Cody a associé manque et sexe, tellement romantique le mec je vous jure. Mais je l'aimais comme ça. C'est pourquoi, je n'ai pu m'empêcher de rire. Il attrapa ma main, mais je la lâchais vite fait pour pouvoir lui montrer ma tenue de ce soir. Et je voulais qu'il me regarde, qu'il voit les efforts que j'ai fait pour ses beaux yeux. Je voulais qu'il ne voit que moi, qu'il ne respire que moi, qu'il ne goûte que moi, qu'il ne touche que moi, qu'il n'embrasse que moi, qu'il ne forme un qu'avec moi. Je vais patienter jusqu'à ce qu'il ouvre enfin les yeux. Après mon petit numéro digne d'une grande actrice d'Hollywood servant à faire craquer le brave du film, manquait plus que la mélodie et le ralentit pour que cet instant soit magnifiquement immortalisé et à en juger par son regard et son expression, c'était mission accomplie. Il avait aimé mon accoutrement de ce soir et comme preuve, il balança... « J'ai plus du tout envie de te mettre à poil. » Mon sourire s'est fait plus timide, mes mains agrippaient ma robe et mes lèvres s'unissaient à mes dents, je ne m'y attendais pas. Non mais venant de Cody c'était un compliment, seul moi le comprenait et c'est pourquoi, j'avais baissé la tête dans un petit sourire angélique, fière de moi ce soir. Mon bien-aimé, mon tendre amoureux, l'homme que j'aimais se rapprocha de nouveau remontant mon manteau sur mes épaules. « Oh, y a encore des lucioles qui te matent ! Je suis pas d'accord ! T'es à moi, j'veux qu'il n'y ait que moi qui te voit, tu es à moi, tu es à moi, tu es à moi. » Mon cœur bat la chamade, j'ai cru perdre l'équilibre soudainement, imaginez que je m'évanouisse là dans ses bras... Nah ça ne va pas le faire. Du coup, j'attrape entre les doigts d'une main, un bout de tissu contre son torse. Le souffle coupé. Nos yeux s'accrochent un instant et je plonge mon regard dans le sien. Un murmurant rapide s'abat sur ses lèvres. « Je suis à toi... » Il posa une main sur l'une de mes joues, sentir sa chaleur, me réchauffait bien plus que ce manteau, sentir ses lèvres sur mon autre joue, brûlait un volcan en éruption. « Tu es mienne. » Je frémissais, je déglutissais, je tremblais. Je fermais les yeux, le laissant épouser délicieusement mon visage. Putain que je l'aime, je l'aime, je l'aime... « Je t'aime... » WHAT ! Je recule immédiatement la tête. « Pardon...J'suis désolé, mes pensées ont dépassé la limite... » Je pose une main sur mes lèvres, les maudissant sur le coup. Putainnnn, je venais de penser beaucoup trop fort et cela avait fini par sortir comme ça, alors que je ne me suis même pas préparé. Remarquez, la dernière fois je m'étais préparé devant le miroir et le lendemain il s'était marié. Là, c'était sorti tout naturellement. Mais j'avais peur de sa réaction, peur qu'il me laisse après ça. Je pose une main sur mon front, souffle, souffle et resouffle encore parce que je n'arrivais pas à calmer mon cœur qui partait au quart de tour. C'était peut-être le moment de m'évanouir non ?. Je prends une grande inspiration. « En fait NON !... Je ne suis pas désolé, parce que... PARCE QUE JE T'AIME BLEEKER !. » Et là, je criais un peu trop fort non ?. J'allais attirer tout le campus si je ne faisais pas attention. Du coup, je grimace et me rapproche de lui. « Oupss, j'ai crié un peu trop fort... » Parce que ma voix avait fait aussi une espèce d'écho dans le gymnase. Et puis ça aussi je m'en balance vous voyez, regardez biennnnnn. « JE T'AIME CODY BLEEKER ! » Criais-je à plusieurs reprises en posant mes mains sur chaque coin de mes lèvres, le criant à qui veut l'entendre. Mais bien vite, je fus tiré à l'intérieur. Sooooo, je stoppais en éclatant de rire. Ça faisait un bien fou putain. Libéré, délivréééé. « Chasse moi de ta vie si tu veux après ça, mais fallait que je te le dise, je comptais te le dire le soir de ton mariage avec Joan, je me suis entraîné devant mon miroir pendant des heures et des heures et le lendemain tu t'es marié... C'était atroce. Mais là, je peux plus me taire.... Je t'aime putain !. » Concluais-je en serrant les poignets. Et il était le seul à ne pas voir que notre relation avait changé sans que nous nous rendions vraiment compte. Il était le seul à ne pas voir qu'on formait déjà un vrai couple, qu'il était amoureux de moi, que j'étais folle de lui. Le seul à ne rien voir.
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’Je t’aime…’ Cody pressait ses lèvres contre sa joue lorsque ces mots furent tirés à bout portant en plein dans ses oreilles. Et PAN. Heure du décès, 21h14. Le verdict était prononcé, il n’y avait plus de retour en arrière possible. Une cassette vidéo, tu peux la rembobiner. Un repas copieux, tu peux le dégueuler. Une voiture en plein créneau foireux, tu peux la reculer. Une Diamantika qui annonce ses sentiments, tu n’as aucun moyen de revenir en arrière. Il voulait la faire taire, il essayait de plaquer ses mains sur sa bouche pour qu’elle arrête de gueuler comme une poissonnière. C’est bon quoi, la femme d’Ordralfabetix on peut s’en passer, enfin j’crois. Il voulait qu’elle cesse de crier, qu’elle cesse de hurler à plein poumon qu’elle l’aimait. Putain. Cody lui avait dit qu’il ne voulait pas qu’elle dise ces trois mots, il l’avait supplié la dernière fois qu’ils avaient fait l’amour, il l’avait supplié de ne pas les dire. Et elle avait accepté, affirmant son désir d’attendre qu’il soit prêt à affronter ces sentiments. Pourtant, ce soir, elle n’en faisait qu’à sa tête. Et vous savez, quel sentiment se dégageait de lui à cet instant précis, alors qu’elle gueulait à plusieurs reprises Ô combien elle l’aimait ? La peur. Peur de la blesser. Peur de ne pas être assez bien pour elle. Peur de la décevoir. Peur de ne pas l’aimer assez. Peur de l’aimer beaucoup trop … Peur. P-E-U-R. Quatre lettres. Six points au Scrabble. Petit score. Grandes conséquences. C’eeeeeest l’effet papilloooooon petit causeuuuuh à grandes conséquences ! KOVACHE ₪ JE T’AIME, 3 MOTS 7 LETTRES 15 POINTS AU SCRABBLE.  1116103942 Il la tira dans le hall du gymnase dont la porte était restée ouverte pour faire preuve d’un minimum de discrétion et s’apprêta à râler – comme d’habitude – sauf qu’elle le coupa avant même qu’il n’ait prononcé mot. Il fallait dire que sa tête de déterré suffisait à entrapercevoir ce qu’il comptait lui dire. Dia termina en disant pour la cinquantième fois depuis deux minutes qu’elle l’aimait. Cody baissa la tête, une grimace se peignit sur son visage émacié, ses paupières plissées, il tentait d’imaginer dans sa tête une technique simple et rapide pour lobotomiser son cerveau. Le déni. Il y avait aussi la solution de s’assommer contre un des piliers du gymnase. Devenir amnésique, cool. Une Formule 1 peut rouler à plus de 400 km/h mais c’était du pipi de chat à côté de Diamantika Kovalevski qui carburait à 50 jtm/seconde. « Tu m’avais promis, Dia ! T’avais promis que tu attendrais, t’avais promis, merde ! » lâcha-t-il en faisant les cents pas autour de l’Eliot. La colère. « Tu es vraiment une égoïste, t’as pensé qu’à toi sur ce coup. Et moi, t’en fais quoi ? Je voulais pas les entendre, je voulais pas, je … Je me sens trompé ! » La meuf lui avoue ses sentiments et il se sent trompé ? Du Cody Bleeker à l’état pur. Il arrêta de tourner, tourner, tourner – because il commençait à avoir le tournis, une petite nature ce Cody ! – et changea littéralement de ton. « Bon, OK, t’as pas su te retenir, ce sont des choses qui arrivent. On a qu’à dire que c’est pas ’je t…nanananaaa’ que tu as dit, mais que tu as dit que tu aimais le thé. Sauf que tu l’as dit en inversant les mots parce que t’es africano-russo-mongole et donc, de ce fait, tu ne sais pas parler. Donc tu as dit ’je thé aime’. J’ai raison, non ? » Le marchandage. Il soutint son regard, espérant qu’elle accepte. Enfin, connaissance Diamantika, ce serait un miracle. « Putain, Dia ! Aide-moi, j’vais pas y arriver tout seul. Tu peux pas dire des choses comme ça … Comme ça. Ça s’travaille, ça s’prépare, tu crois que je suis psychologiquement prêt à entendre ça ? NON ! J’ai mis des années à accepter mon troisième téton ! Alors n’espère pas qu’accepter tes sentiments mettra moins de temps ! » s’écria-t-il plus fort qu’il ne l’aurait voulu. La dépression.
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Comme je m'y attendais, Cody me fit entrer à l'intérieur. Mais je ne regrettais pas mon geste, non, parce qu'enfin je me sens libre, je n'ai plus cette boule au fond de la gorge qui m'empêche de respirer de jour en jour avec la peur que si je ne lui dis pas, je risquerais de le perdre un jour et je regretterais de n'avoir rien dit. Oui et si Cody avait fait un accident qui lui avait coûté la vie ? Ça aurait été trop tard et si c'était moi qui avais eu cet accident ? Ça aurait été trop tard. On ne sait pas ce que demain nous réserve, je peux mourir là toute suite, comme il peut mourir également. Je ne veux plus attendre. « Tu m'avais promis, Dia ! T'avais promis que tu attendrais, t'avais promis, merde ! » Dit-il en faisant les cent pas autour de moi, ça me donnait le tournis moi, si bien que finalement, je baisse la tête. « Tu es vraiment une égoïste, t'as pensé qu'à toi sur ce coup. Et moi, t'en fais quoi ? Je voulais pas les entendre, je voulais pas, je ... Je me sens trompé ! » Une égoïste il dit ?. Je serre soudainement ma robe entre mes doigts et à mon tour, je sentais mes émotions fuser à droite et à gauche, ma poitrine commençait à gonfler au rythme de ma respiration cardiaque beaucoup trop accéléré. J'avais envie de lui dire de se la fermer, parce que l'égoïste dans cette histoire c'est lui. « Bon, OK, t'as pas su te retenir, ce sont des choses qui arrivent. On a qu'à dire que c'est pas 'je t...nanananaaa' que tu as dit, mais que tu as dit que tu aimais le thé. Sauf que tu l'as dit en inversant les mots parce que t'es africano-russo-mongole et donc, de ce fait, tu ne sais pas parler. Donc tu as dit 'je thé aime'. J'ai raison, non ? » Je garde la tête baissée, ne répondant rien du tout, nada. Parce que ce que je viens d'avouer, ce n'était pas un "je thé aime", mais bel et bien un JE T'AIME. Et je ne vais pas retirer ces mots sous prétexte que monsieur n'était pas content. « Putain, Dia ! Aide-moi, j'vais pas y arriver tout seul. Tu peux pas dire des choses comme ça ... Comme ça. Ça s'travaille, ça s'prépare, tu crois que je suis psychologiquement prêt à entendre ça ? NON ! J'ai mis des années à accepter mon troisième téton ! Alors n'espère pas qu'accepter tes sentiments mettra moins de temps ! » Je, je, je, toujours je et après il me traite d'égoïste. « FERME LA ! » Dis-je en posant mes doigts sur chaque côté de mes tempes, bégayant. « Juste tais-toi... deux secondes... » Finalement, je n'étais pas assez forte pour supporter les émotions qui s'accumulaient en moi. Elles voulaient sortir et lui dire les quatre vérités. « Je suis égoïste c'est ça... » Blasé, j'en riais même tandis que mes larmes commençait à voir le jour, mon cœur était en pleure là et je ne pouvais pas l'arrêter. « Je suis tellement égoïste Cody, que je suis encore avec toi après ce que j'ai vécu... TON mariage... Je suis tellement égoïste parce que j'ai accepté de signer ses foutus papiers, que j'ai accepté de n'être que ta maitresse alors que je suis amoureuse... Je suis tellement égoïste que... » Putain, je n'arrivais plus à continuer, ma voix était complètement cassée, j'essuyais mes larmes. J'ai craqué, il le fallait parce que je suis du genre à refouler tout et qui s'empêche de pleurer, mais là, c'est juste trop difficile. Je ne vais pas lui dire qu'il est l'unique égoïste de cette histoire parce qu'il le sait au fond de lui. « OK ! J'ai avoué ce que TU ne voulais pas entendre comme TU ne veux jamais rien entendre, comme TU veux que tout sois fait comme TU le voudrais.... Je suis amoureuse putain, t'crois que c'est facile pour une fille de se foutre ça dans la gorge sans pouvoir le dire ? Une autre à ma place n'aurait pas attendu jusque là, une autre à ma place n'aurait pas acceptée de signer des foutus papiers qui te lie par la loi à une autre, une autre n'aurait tout simplement pas accepté l'idée que tu joues les maris exemplaires avec ta pseudo femme.... ALORS OUI JE SUIS EGOISTE ET OUI JE T'AIME ! » Ça il pouvait se le mettre dans le crâne maintenant. Je n'allais pas les retirer et peu importe ce qui arrivera, je n'allais jamais les retirer. « Je n'attends rien de toi ! Je n'attends pas que tu m'dises je t'aime, je n'attends pas que tu les acceptes, je n'attends RIEN ! Je voulais juste te le dire, juste me libérer, juste au cas où demain je ne puisse plus le faire, juste au cas où je me marie et que je prononce mes vœux... JE VOULAIS QUE TU SOIS LE PREMIER A ENTENDRE CES MOTS ! » Si je ne l'avais pas fait aujourd'hui, je l'aurais fait surement avant le mariage, qu'il se mette ça aussi dans le crâne. Là, je criais à mon tour, mais c'est parce que j'étais en feu et la pression était beaucoup trop forte. Je n'arrivais plus à me calmer. On aurait dit une comète de feu qui s'écrasait sur la Codyterre. Mais j'en pouvais plus. « Je suis peut-être égoïste, mais toi tu l'es encore plus et t'es pas seulement ça, t'es le dernier des idiots !. » Putain j'avais mal, alors je plonge mon regard dans le sien et sans crier gare, je presse mes lèvres contre les siennes, pose mes mains dans sa nuque et l'embrasse de tout mon être, un smack puissant qui défit le monde, mais le plus important, qui le défit lui. Je me retire et le pousse en même temps. « T'es qu'un putain d'idiot ! » Criais-je avant de me précipiter vers la porte avec la ferme intention de partir. Parce que j'en avais marre... marre de me taire. Nos règles, je m'en balance. Il y avait plus de règle de toute façon depuis que j'suis tombé amoureuse, depuis qu'on fait l'amour de cette façon, depuis qu'on refuse de s'appartenir à d'autres personnes, il le sait, mais il joue simplement à l'aveugle. Qu'il continue alors.
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C’était la panique dans le cerveau de Cody ; le Codysphère gauche menait une guerre sans merci au Codysphère droit. L’un était pour la prolifération de ses sentiments dans la région du Bleecoeur, l’autre refusait catégoriquement tout arrangement en ce sens. La raison contre l’appel des sentiments. Qui gagnera ? À l’intérieur de lui, il avait la guerre de Corée, du Vietnam, des étoiles et des boutons. Un vrai chant de mine. Un bombardement incessant. Si bien qu’il ne réalisa pas avant les mots de Diamantika qu’il était l’égoïste dans l’histoire. Il avait lancé un embargo contre les sentiments de Diamantika juste parce que, à lui, ça l’arrangeait. Sauf qu’un embargo n’est jamais positif, suffisait de voir les problèmes que l’embargo russe a causé dans les pays d’Europe de l’Ouest, les conflits sociaux et tout, ohlalalaaa, la cata. Bon, enfin, j’vais pas parler économie quoi, j’fais pas une pause dans mes révisions pour talker about that dans mon rp non plus. Et comme Bleeker subissait de graves conflits sentimentaux au plus profond de ses entrailles, il tendait à zapper les émotions de Dia vis-à-vis de son comportement, de sa faculté à rejeter en masse tout l’amour qu’elle lui envoyait. Le ’Je t’aime’ fut le coup de canon fatal dans la guerre du Bleecoeur. Mais il fallut ça. Oui, il fallut ça pour que Diamantika s’énerve, pour qu’elle crie à crever les tympans de Cody, pour qu’elle l’oblige à ouvrir les yeux sur son propre égoïsme, pour qu’elle le frappe, pour qu’elle pleure sous ses yeux, pour qu’elle crise … Il fallut ça pour que Cody réalise surtout qu’il devait arrêter de voir Kovache comme une ennemie. Au contraire, dans la guerre du Bleecoeur, elle était sa plus solide alliée. La seule qui pouvait le guérir. Et le détruire. Malheureusement, ça va de pair. Un vaccin contre un virus n’est rien d’autre que le virus lui-même. Il était tétanisé, elle cria puis se calma, l’embrassa puis le repoussa, jusqu’à ce qu’elle prenne finalement la fuite. Autant, Cody était resté muet comme une carpe pendant toute son engueulade, autant, là, il n’imaginait pas une seconde la laisser partir. « RESTE ! » s’écria-t-il en courant vers elle, le bras tendu pour attraper le sien à une vitesse fulgurante, l’obligeant à se retourner. Et c’est avec une certaine violence qu’il la plaqua contre la porte en verre à bout de souffle, à bout de nerf. Il ne se préoccupa pas de s’il lui avait fait mal ou non. « Si j’suis le dernier des idiots, alors toi t’es la pire des faux-culs. » Ouais, lui aussi il pouvait la traiter, l’insulter, la rouler dans la boue. « TU as voulu qu’on baise une fois, TU as voulu qu’on baise deux fois, puis trois, puis quatre … TU voulais que ce soit secret parce qu’il fallait garder TA belle image de princesse dorée intacte. TU as posé TES règles, j’ai respecté TES règles. » C’était l’introduction, on est d’accord pour dire que leur relation n’avait plus rien à voir avec ça. Il serrait le poignet de Dia entre ses doigts pour la dissuader de le frapper. « J’avais une vie avant que TU y débarques pour m’imposer TA relation de sexfriend. Alors ouais, excuse-moi d’avoir continué ma vie, excuse-moi d’avoir épousé Joan, excuse-moi d’avoir imposé ça à ton petit cœur sans défense qui méritait de la pitié, excuse-moi de tout faire pour ne pas abandonner ma famille, excuse-moi de ne pas t’avoir fait passer prioritaire. J’ai tendance à oublier Ô combien ce fut généreux de TA part de signer ce foutu contrat de mariage. Ça a dû t’abîmer le poignet ? Tu veux que je t’offre un anti-inflammatoire avec un adorable petit nœud rose autour ? Franchement, j’ai aucune leçon à recevoir de TOI par rapport à ce mariage, OK ? TU peux pas me le renvoyer au travers de la gueule, tu peux pas t’en servir contre moi pour me faire encore plus passer pour un monstre ! J'ai toujours respecté TES règles ! Respecte les MIENNES, MERDE ! » Son sang bouillonna et son point martela d’un seul et unique coup la porte en verre qui se fissura de tout son long. Cody sentit une violente douleur à sa paume, elle l’électrisa, il serra les dents et ferma ses paupières, canalisant cette soudaine souffrance derrière son masque de fer qui, peu à peu, se fissurait. Il n’y arrivait pas, il n’arrivait plus à rester neutre, inerte face à elle. Il en oubliait ce que c’était de n’avoir juste rien à foutre des remarques, il en oubliait la sensation d’avoir la tête froide. Il plaqua davantage son corps contre celui de l’Eliot, pressant son front contre le sien dans un élan de désespoir. Il murmura, la voix cassée, tremblante, coupée, saccadée. « Si j’panique, c’est parce que y a deux mois, tu me détestais. Putain, Dia, tu pouvais pas me blairer. Ni moi, ni les Lowell. Tu m’as même séquestré pour venger ta maison de gosse de riches. Ça a dérapé. OK, c’était génial. C’est génial. Mais tu n’assumais pas, t’étais même pas foutue de m’apprécier en public. Et là, tu voudrais quoi ? Tu voudrais qu’on soit quoi ? Merde Dia, deux mois après, tu m’aimes comme une folle. La vérité, c’est que tu m’fais peur, Kova. Qu’est-ce qui me dit que dans deux semaines tu ne vas pas te lasser ? Que je ne serais pas de nouveau le gros lourdaud dont tu te foutais éperdument de sa gueule ? La vérité, c’est que si tu me laisses, j’y survivrais pas. Tu vas vite, bien trop vite pour moi, j’arrive pas à te suivre, ralentis, j’t’en prie, ralentis, attends-moi. » Il leva la tête et les yeux vers son poing toujours posé contre la vitre, au point d’impact. Ses yeux scintillaient étrangement. Il craignait d’avoir tout foutu en l’air avec Diamantika. Donc il posa son front sur l’épaule de la Kovache, essuyant ces centaines de petits paillettes humides sur le tissu de sa robe. Les garçons ne pleurent pas. Le monopole est pour les filles. Sa voix sonna comme un déchirement noyé au creux de son aisselle quand il répéta ; « Attends-moi. »
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« RESTE ! » Outchhhhhhh il se passe quoi là ? En même pas quelques secondes, je me suis retrouvée plaquer violemment contre la porte du gymnase. Cody me serra les poignets comme jamais il ne l'avait fait. Et j'avais mal, oui très mal, en plus de me faire mal au coeur, il s'attaquait à mon corps maintenant. Jusqu'où comptait-il me faire mal ?. « Si j'suis le dernier des idiots, alors toi t'es la pire des faux-culs. » J'écarquille les yeux et serre mes poignets tentant de me libérer parce que je ne voulais plus rien entendre, je ne voulais pas entendre la suite. « TU as voulu qu'on baise une fois, TU as voulu qu'on baise deux fois, puis trois, puis quatre ... TU voulais que ce soit secret parce qu'il fallait garder TA belle image de princesse dorée intacte. TU as posé TES règles, j'ai respecté TES règles. » Je rêve, non, ce n'était pas possible. Putain, contrôle toi Dia, contrôle toi pour ne pas l'envoyer boulet. Respire, respire... J'en peu plus, je sens que je vais m'évanouir tant ma tête tournait et pas parce que j'avais quelque chose, non, simplement parce que la colère était en train d'exploser dans mon corps comme des centaines de bombes. « J’avais une vie avant que TU y débarques pour m’imposer TA relation de sexfriend. Alors ouais, excuse-moi d’avoir continué ma vie, excuse-moi d’avoir épousé Joan, excuse-moi d’avoir imposé ça à ton petit cœur sans défense qui méritait de la pitié, excuse-moi de tout faire pour ne pas abandonner ma famille, excuse-moi de ne pas t’avoir fait passer prioritaire. J’ai tendance à oublier Ô combien ce fut généreux de TA part de signer ce foutu contrat de mariage. Ça a dû t’abîmer le poignet ? Tu veux que je t’offre un anti-inflammatoire avec un adorable petit nœud rose autour ? Franchement, j’ai aucune leçon à recevoir de TOI par rapport à ce mariage, OK ? TU peux pas me le renvoyer au travers de la gueule, tu peux pas t’en servir contre moi pour me faire encore plus passer pour un monstre ! J'ai toujours respecté TES règles ! Respecte les MIENNES, MERDE ! » Je relâche mes poignets parce là, je n'avais plus du tout envie de lutter, il avait gagné. Maintenant, je n'étais plus qu'une âme en peine. Rien qu'avec ces mots, il m'avait brisé. Il n'avait même pas besoin de me faire mal physiquement, il avait déjà réussi verbalement. Mais ce à quoi je m'attendais pas du tout, c'est qu'il brise totalement la porte en verre, d'un coup de poing. Euhhh, c'est Hulk où j'ai raté un épisode là ?. Surprise, j'avais rapidement tourné la tête vers son poignet, ma joue fut la victime d'un verre perdu, il m'égratigna légèrement, rien de grave. Et s'il comptait me laisser une marque ce soir, c'était fait maintenant. Mais je m'en fous, j'enlève mon manteau rapidement et l'enroule autour de son poing. Si mon cœur pleurait déjà, là, il pleure encore plus sur la main du lowell. Je pouvais tout supporter, mais pas ça, pas qu'il soit blessé. Il me plaqua davantage épousant mon front. C'est inhumain, inhumain d'aimer quelqu'un à ce point. De savoir que c'est lui ou personne d'autre. De vouloir défier le ciel et la terre pour lui. C'est inhumain. Et c'est surtout la première fois que ça m'arrive. La première fois que je tombe folle amoureuse en si peu de temps. La première fois que j'ai l'impression que c'est le bon. « Si j’panique, c’est parce que y a deux mois, tu me détestais. Putain, Dia, tu pouvais pas me blairer. Ni moi, ni les Lowell. Tu m’as même séquestré pour venger ta maison de gosse de riches. Ça a dérapé. OK, c’était génial. C’est génial. Mais tu n’assumais pas, t’étais même pas foutue de m’apprécier en public. Et là, tu voudrais quoi ? Tu voudrais qu’on soit quoi ? Merde Dia, deux mois après, tu m’aimes comme une folle. La vérité, c’est que tu m’fais peur, Kova. Qu’est-ce qui me dit que dans deux semaines tu ne vas pas te lasser ? Que je ne serais pas de nouveau le gros lourdaud dont tu te foutais éperdument de sa gueule ? La vérité, c’est que si tu me laisses, j’y survivrais pas. Tu vas vite, bien trop vite pour moi, j’arrive pas à te suivre, ralentis, j’t’en prie, ralentis, attends-moi. Attends-moi. » Il fourra sa tête dans mon épaule, la voix aussi cassée que la mienne et il étouffait des larmes, je n'étais pas dupe. J'essuyais les miennes. « Quand t'aies-je mis un couteau sous la gorge pour t'obliger à suivre mes règles... » Murmurais-je alors que je ne sentais plus vraiment mon corps, j'étais comme anesthésié, sauf mon cœur qui lui, était bien plus résistant n'ayant fini de pleurer. J'avais envie de l'ordonner de se taire, mais impossible à le calmer. « Tu brises une porte en verre, tu étouffes des pleures contre mon épaule... tu dis que personne d'autre n'as le droit de me voir, tu dis que je suis tienne, tu dis que si je te laisse tu ne survivrais pas... et après tu dis que je vais trop vite... » Je lève la tête et fixe le plafond ne pouvant plus empêcher mes larmes de couler... Je me laisse tomber, glissant entre les mains de Cody. Genoux à terre, fesses à terre. « T'as pas le droit de me dire que je vais trop vite alors que tu es prêt à briser je ne sais quoi si je sors de ta vie... ABSOLUMENT aucune personne ne viendrait à se mettre dans cet état pour une fille qu'il veut simplement baiser, pour une fille qu'il n'aime pas... La vérité, c'est que tu la connais au plus profond de toi... La vérité, c'est que si tu me faisais confiance, tu verrais que je suis sincère... Tu verrais que j'ai peur aussi parce que je ne suis jamais tombée amoureuse de quelqu'un aussi vite, jamais cela n'avait été aussi fort, JE PEUX PAS te l'expliquer, on ne peut pas l'expliquer. J'ai rien demandé, J'AI RIEN DEMANDÉ, je n'ai pas demandé à tomber amoureuse de toi putain, j'ai rien demandé !... » Je pose mes mains sur mon cœur en baissant la tête. Me mettre dans un tel état pour un homme, du jamais vu. Je n'ai jamais été aussi faible. Je n'ai jamais pleuré autant, je n'ai jamais désiré qu'on m'arrache le cœur là toute suite pour que j'en sois reposé, pour faire taire ces battements qui portent son nom. J'ai peur de le perdre à cause de mon cœur, alors oui, là j'en voulais à mon cœur. « Ce n'est pas parce que j'ai dit ces 3 mots que sayez, je veux entendre les tiennes... non... j'avais dit que je t'attendrais et c'est toujours le cas... » Et on ne pourra pas y arriver s'il ne m'était pas du sien aussi, on ne pourra pas y arriver si je suis la seule à me battre. On ne pourra pas y arriver s'il ne me fait pas confiance parce que moi j'ai confiance en lui. On ne pourra pas y arriver s'il n'enlève pas cette peur et qu'il n'oublie pas son passé. On ne pourra pas y arriver, s'il n'y à qu'un seul côté. Pouvez-vous vivre avec un cœur brisé en deux ? Au sens propre bien-sûre. Non. Pareil qu'eux, Dia c'est sa moitié et sans l'autre moitié et bien ils n'y arriveront pas.
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Un seul échange de texto avait suffi pour que Dia arrive ici, plus belle que jamais, vêtue de bleu. Bleu, couleur du calme, de la foi, de la fidélité. Des nattes tressées le long de ses tempes, une allure naturelle, romantique. Et il avait fallu qu’elle lui insuffle son amour par les trois fameux mots pour que Cody se mette à paniquer littéralement. Le beug de l’an 2000. Il craignait les minutes, les heures qui viendraient, comme la peste, comme s’ils venaient de perdre tout leur innocence au moment où Diamantika révéla tout son amour. Et là, il merdait carrément. Putain. Il venait de fendre la vitre derrière Dia. Première victime ; son poing. Deuxième victime ; la joue de l’Eliot. Une boule se forma au fond de son ventre, il culpabilisait à mort. Il n’arrêtait pas de la blesser depuis cinq minutes, il les accumulait ce soir, putain. Il devait passer son brevet professionnel de gaffeur juste après, là, avec tout ça, il serait sûr de chez sûr de le décrocher ! Puis elle mettait le doigt sur une autre chose vraie ; il y avait une certaine incohérence entre ce qu’il disait et faisait. Il se sentait con, putain, tellement con. En temps normal, c’était elle qui divaguait et lui qui la canalisait. Ce fut le pieu en plein cœur, les milles petites aiguilles qui s’acharnaient sur son ventricule droit, elle perçait ses parois cardiaques comme Rayane Bensetti rebondissait sur le plancher de Danse avec les Stars au cours de son Jive endiablé. Ça faisait mal, tellement mal. Et il ne pensait pas à sa main ensanglantée, recouverte du manteau de Diamantika. Il ne l’avait même pas senti avant que sa chère et tendre l’emmitoufle dans son vêtement. L’adrénaline faisait qu’il ne ressentait pas la douleur physique. C’est psychologiquement que c’était dur, vraiment dur. Et maintenant, Cody avait le sentiment que Kovache se transformait petit à petit en une eau limpide. Pure, indispensable à sa santé, mais impossible à la retenir. Elle lui filait entre les doigts. Il avait beau essayer de clore ses mains, de coller ses paumes l’une à l’autre, elle s’immisçait entre un mince filet entre ses articulations et disparaissait dans la terre. A son tour, il se laissa tomber au sol, face à elle, à un mètre d’elle. Fesses à terre, il plia les genoux pour les ramener contre son torse, entourant ses jambes de ses bras nus. Il posa son front contre ses genoux et finit par arracher le manteau noir de sa main. Il le saoulait. Un long filet de sang coulait entre ses doigts mais il s’en fichait pas mal. Une vitre cassée, deux cœurs brisés … Vous croyez vraiment qu’ils en étaient à une main ensanglantée ? Non. Il renifla bruyamment et s’essuya ses yeux humides contre son épaule cette fois-ci. Non, il ne chialait pas, il retenait, question de garder un minimum de dignité. « Tu sais pourquoi j’ai épousé Joan ? » Ouais, bon, en matière de gaffe, parler de Joan à ce moment-là n’était peut-être pas le plus intelligent. Il leva la tête vers l’impact sur la vitre. Cet impact se transposait à la lune, donnant une impression de toile d’araignée géante le long du carreau. Une chose de plus que Bleekerman n’avait pas en commun avec Spiderman ; il aurait beau tendre désespérément la main, la probabilité qu’une toile d’araignée le rattrape était quasi nulle. Il n’y avait que Diamantika qui pouvait le retenir, il n’y avait que Diamantika qui avait suffisamment de force pour lui empêcher la chute. Pourtant, il lui tournait le dos depuis bien trop longtemps, il fallait que ça s’arrête. « J’ai des amies, des tas d’amies. Plusieurs d’entre elles auraient accepté de devenir ma femme pour m’aider. Parce que les amis font ça. Ils s’entraident dans les moments où ça va le moins bien. J’aurais pu épouser Cerceï ou Sally, il n’y aurait eu aucune ambiguïté et, limite, d’un point de vue mammaire, j’aurais eu plus à tripoter. J’aurais été gagnant sur tous les fronts. Mais j’ai choisi Joan, mon ex avec qui j’entretiens des rapports compliqués, avec qui, qu’on le veuille ou non, il y aura toujours une certaine ambiguïté. La vérité, c’est que j’ai choisi Joan parce que je me disais que si jamais les services sociaux venaient à douter de mon mariage avec elle, ce ne serait pas difficile de faire semblant. Ce ne serait pas difficile de jouer au couple, ce ne serait pas difficile de faire croire même à nos amis les plus proches qu’on est ensemble. » Il continuait de fixer la marque de son poing sur la vitre, n’osant aucunement affronter le regard de Dia qu’il sentait braquer sur lui. C’en était intimidant. « J’ai fait une erreur dans mon calcul. Cody Bleeker a fait une putain d’erreur dans son calcul. » Il pouffa de rire, c’était nerveux. « Dans l’équation, j’ai mis les constantes Cody Bleeker et Joan Lindley, le résultat Visa, les variables explicatives Mariage et Faux Couple. Mais dis-moi comment j’ai fait pour zapper l’inconnue ? Je l’ai oublié. Putain, j’ai oublié l’inconnue. L’inconnue qui va de pair avec la constante, l’inconnu qui fait que, quand on dérive l’équation, la constante Cody Bleeker ne disparaît pas. Dans l’équation, t’es l’inconnue Kovache. Et ça rime à rien de résoudre une équation s’il n’y a pas d’inconnue, ça rime à rien une vie sans toi. Et si j’dérive, et si t’es pas là, je serai perdu. Si j’te perds, j’me perds. J’vais être encore un peu égoïste et refuser de te voir partir parce que je me suis comporté comme un gros con ce soir. » Il ne la regardait toujours pas. Il s’approcha d’elle, glissant ses fesses contre le sol abrupt. Il mêla ses jambes aux siennes et approcha son corps de celui de Dia, maladroitement, timidement. Il guettait ses mouvements, guettait ses refus, guettait le moindre geste de repoussement. Il craignait que ce soit fini, fini avant même que ce soit commencé. Craignos quoi. Tant pis, Cody osa et glissa ses bras autour de sa taille, logeant ses mains dans le creux de ses reins pour la serrer contre lui, abandonnant ses lèvres contre son épaule. Il ferma les yeux, respira Dia. Pas son parfum, pas son odeur. Il respirait Dia. Il vivait Dia. Il l'avait dans la peau, et bien plus encore.
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Le fait qu'il soit aussi violant contre cette porte me prouve encore une fois, à quel point il tenait à moi. Du coup, là, j'ai carrément peur du mariage. Il va casser la gueule à Cynnan ou même pire, celle de mon père. God. Va falloir que j'arrive à le canaliser. Mais au fond de moi, j'étais heureuse qu'il puisse avoir une telle réaction et on sait tous, qu'aucun homme ne se mettrait dans un état pareil pour une fille qu'il n'aimait pas. Au contraire, il venait de prouver à quel point il m'aimait. Assise au sol, je maudissais mon cœur de peur, peur de perde Cody à cause de lui. En même temps, on ne pouvait rien contrôler. Ce n'était pas comme si je m'étais réveillée un matin en décidant de tomber amoureuse de lui. Non, ces sentiments sont arrivés sans prévenir et sans me laisser le temps de décider. Cody avait réussi à s'imposer le plus naturellement possible et c'était la première fois. En fait, avec lui, je découvrais l'amour, le vrai, le pure, l'innocent. Nous étions comme ces oiseaux inséparables, si l'un deux venait à mourir, l'autre ne durerait pas, c'était ainsi et c'est pour cela qu'ils furent appelés, les inséparables. Et si le lowell et moi, on venait à se séparer, nous serions automatiquement perdus, effacés de ce monde. On ne serait plus rien. Cody ne pouvait plus vivre sans Diamantika et Diamantika ne pouvait plus vivre sans Cody. « Tu sais pourquoi j'ai épousé Joan ? » Non et c'était la dernière chose que je voulais savoir. Mais quand bien même, je relève la tête par-dessus mon épaule gauche et la tourne légèrement vers lui. Il était assit, genoux contre son torse et son poing qui saignait. « J'ai des amies, des tas d'amies. Plusieurs d'entre elles auraient accepté de devenir ma femme pour m'aider. Parce que les amis font ça. Ils s'entraident dans les moments où ça va le moins bien. J’aurais pu épouser Cerceï ou Sally, il n’y aurait eu aucune ambiguïté et, limite, d’un point de vue mammaire, j’aurais eu plus à tripoter. J’aurais été gagnant sur tous les fronts. Mais j’ai choisi Joan, mon ex avec qui j’entretiens des rapports compliqués, avec qui, qu’on le veuille ou non, il y aura toujours une certaine ambiguïté. La vérité, c’est que j’ai choisi Joan parce que je me disais que si jamais les services sociaux venaient à douter de mon mariage avec elle, ce ne serait pas difficile de faire semblant. Ce ne serait pas difficile de jouer au couple, ce ne serait pas difficile de faire croire même à nos amis les plus proches qu’on est ensemble. » Vous croyez bien que je venais de passer en boucle dans ma tête le mot "ambiguïté" ? Et bien oui, vous avez raison de le croire parce que c'est exactement ce que j'étais en train de faire à cet instant précis. Cela ne m'enchantait pas de savoir tout ça. Mais vous savez quoi ? J'avais confiance en lui et je savais qu'il ne fera rien qui pourrait me blesser, nous blesser. Parce qu'à présent, il tombe, je tombe, il se blesse, je me blesse, il est malheureux, je suis malheureuse, il est heureux, je suis heureuse, il pleure, je pleure. Et la preuve encore ce soir, il avait du sang sur son poing, j'avais du sang sur ma joue. « J’ai fait une erreur dans mon calcul. Cody Bleeker a fait une putain d’erreur dans son calcul. Dans l’équation, j’ai mis les constantes Cody Bleeker et Joan Lindley, le résultat Visa, les variables explicatives Mariage et Faux Couple. Mais dis-moi comment j’ai fait pour zapper l’inconnue ? Je l’ai oublié. Putain, j’ai oublié l’inconnue. L’inconnue qui va de pair avec la constante, l’inconnu qui fait que, quand on dérive l’équation, la constante Cody Bleeker ne disparaît pas. Dans l’équation, t’es l’inconnue Kovache. Et ça rime à rien de résoudre une équation s’il n’y a pas d’inconnue, ça rime à rien une vie sans toi. Et si j’dérive, et si t’es pas là, je serai perdu. Si j’te perds, j’me perds. J’vais être encore un peu égoïste et refuser de te voir partir parce que je me suis comporté comme un gros con ce soir. » Et d'un coup, mon cœur avait arrêté de chialer. Là, il voulait simplement sortir de sa cage thoracique pour danser de joie autour d'un feu comme le font les indiens. Je sentais mon bien-aimé se plaquer contre moi, ses lèvres logea de plus belle mon épaule et je ferme les yeux, je relâche toute pression en laissant retomber mes bras sur mes genoux. Si seulement je pouvais crier je t'aime là toute suite, je le ferais parce que c'est ce que tout mon corps désirait faire tellement qu'il explosait de joie, tellement que j'étais heureuse. Heureuse qu'il laisse enfin parler son cœur. Heureuse qu'il s'ouvre un peu à moi. Nous restions dans cette position encore quelques instants parce qu'il n'y a que dans ses bras que je suis bien. Je me tourne soudainement, face to face en posant mes mains sur ses joues. « Écoute moi...Écoute moi Bleeker... Je ne partirais jamais et je ne te laisserais jamais partir. T'es ancré là... » Je pose un doigt contre ma tempe. « T'es ancré là... » Je gambade mes doigts sur ma peau... « Et tu es par-dessus tout, ancré ici... » Ma main se fraya un chemin jusqu'à mon cœur, le tapotant doucement trois fois de suite. « Alors j'attendrais, le temps qu'il faudra, mais je t'attendrais. Parce que je t'aime et parce que ça ne changera jamais. » Prise d'une envie féroce de le serrer tout contre moi, je plonge dans ses bras, mes bras se referment très fort autour de son cou. De petits smacks partent rapidement de son cou à son front, de son œil à sa joue et posent bagages sur ses lèvres. « Mais... Tu as une incroyable façon d'expliquer les choses... » Avouais-je entre plusieurs baisers et sourires. Je m'appuies et me redresse sur mes genoux intensifiant le baiser et plaquant même le lowell au sol. « Et pour la porte, on a qu'à dire que c'est l’œuvre d'un babouin super, super, super rageux !. » J'éclatais de rire toujours contre ses lèvres avant de les lâcher enfin, sinon, je n'allais plus pouvoir m'arrêter. « Il faut qu'on soigne ta main. » Dis-je en me redressant. Assise, lui attrapant son poing. J'y dépose mes lèvres et je m'en fiche si elles sont à présent, tachées de son sang. Puis comme j'avais mis un gloss transparent, son sang venait maintenant colorer un peu mes lèvres. Mais pour l'heure, il fallait lui rincer la main.
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