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KOVACHE ₪ JE T’AIME, 3 MOTS 7 LETTRES 15 POINTS AU SCRABBLE.

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MC Bleecoeur au micro, c’était son heure, heeee haaaas the time of his lifeeeeeee pour parler, enfin, pour s’exprimer, pour dire tout ce qu’il avait sur la patate. Et y en avait, gooosh. Bien sûr, Cody Bleeker ne disait pas ’je t’aime’ ou ’tu me manques’, ni même ’tu es indispensable à ma vie’. Lui, parler d’amour passait par un discours sur la reproduction des coléoptères ou, dans le cas présent, par la résolution d’une équation à une inconnue. Une seule. Il y avait peut-être des constantes, des variables, des nombres complexes, des polynômes aussi, pourquoi pas, sinon c’est pas drôle. Mais ça ne changeait pas qu’elle était la seule inconnue qui équilibrait l’équation, qui donnait à Cody une raison de plus pour se battre. Il se battait pour sa fille, pour ne pas être renvoyé au fin fond du grand nord canadien loin d’elle. Mais vous l’imaginez être séparé de Dia ? Il se surprenait à trouver une deuxième raison à pourquoi rester à Harvard. Avant, il n’y avait que Jess. Et maintenant, Diamantika. Il s’en voulait de se montrer si faible face à elle, aussi à poil. Sentimentalement à poil. Il n’avait jamais été un naturiste du cœur mais, aujourd’hui, il semblait qu’il n’avait plus le choix. Il se sentait forcé, contraint, comme s’il venait de mettre les pieds dans un camping de nudistes sentimentaux avec des règles bien strictes. Il tremblait, il avait peur de la perdre, peur de ce qu’il pouvait ressentir pour elle, peur d’elle, peur qu’elle le laisse tomber, peur qu’elle se joue de lui … Et si tout ça n’était que mascarade ? Merde, que ferait Diamantika Kovalevski la perfection incarnée avec Cody Bleeker, l’abruti congénital ? La petite princesse au sang chaud avec le dingue qu’on fixe toujours de travers aux soirées ? Il voulait bien croire que les opposés s’attirent mais là, il était le Pôle Nord et elle était le Pôle Sud. Il était la banquise, elle était la terre. Il était un ours blanc, elle était un orque. Il était une peluche, un prédateur au cœur tendre, elle était une espèce rare, menacée, sauvage, indomptable. Ils étaient si différents. Il en avait peur. Il la serrait dans ses bras, tentant de ne pas perdre totalement pied, profitant de cet instant comme s’il était le dernier qu’on lui offrait. « Merci. » geint-il, se disant qu’il n’était qu’un con, qu’il ne méritait même pas qu’elle l’attende, qu’elle attende qu’il accepte ses sentiments à elle, tout comme ses sentiments à lui. Il s’esclaffa quand elle annonça qu’il avait une drôle de façon d’expliquer les choses. Héhé, le Bleekerstyle on l’a ou on ne l’a pas. Ses lèvres se liaient aux siennes et avant même qu’il ne réalise ce qu’il se passait, il se retrouva plaqué au sol. Il ne bougea pas, fixa le plafond face à lui, esquissant un léger sourire. L’adrénaline retombait et il sentait petit à petit la douleur à sa main. Il avait une blessure à vif et ce ne serait pas les quelques baisers de Diam qui anesthésierait la plaie. De son autre main, il caressa la lèvre rougie de la jeune femme à l’aide de son pouce, tentant d’effacer les marques laissées par son sang. « Range tes crocs Dracula, j’ai mangé un sandwich à l’ail toute à l’heure et je n’hésiterais pas à me servir de mon haleine contre toi. » Noooon, j’déconne, il avait une haleine qui sentait la menthe fraîche, l’eucalyptus, comme un petit koala. Quand il trouva le courage de se lever, il le fit et indiqua à Kovache ; « Y a une infirmerie là-bas, viens. » En effet, comme les entraînements amenaient son lot de petite blessure, il y avait une petite pièce aménagée avec le nécessaire pour soigner les plaies les plus bénignes. Il s’assit sur le petit lit d’hôpital, les jambes pendant dans le vide, et posa sa main sur sa cuisse, la paume vers le ciel. Il espérait qu’il n’y avait rien à recoudre, surtout qu’en examinant de plus près il remarque un petit bout de verre enfoncé dans sa peau. Ça allait faire mal. « C’est pas cet endroit que je voulais te montrer. Pas un hall pourri, pas une infirmerie, pas ce gymnase dix fois trop grand. J’espère que tu me laisseras t’amener là où j’aimerais t’amener. » soupira-t-il en serrant les dents. Il avait mal maintenant. Physiquement.
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Je venais de lui promettre de ne jamais le quitter et de ne jamais le laisser partir. Une promesse que j'allais honorer parce que c'est lui et moi, parce que c'est nous et parce qu'on ne peut pas abandonner sa moitié. Les yeux enjoliveurs, je soutenais son regard à cet instant. Décidément, quoi de plus romantique? Cette scène était digne d'un roman à l'eau de rose perdu au fond d'une étagère et qui n'a pour fin, un « Merci. » Je ne voulais rien d'autre que le lui dire. Je n'attendais même pas qu'il réponde à ces trois mots magiques, mais juste qu'il écoute. C'était l'essentielle. Et même s'il y avait eu des larmes et des blessures, de vrais blessures, tout se terminait bien. J'avais eu ce besoin immédiat de le sentir près de moi, contre mon cœur et sur mes lèvres. C'est pourquoi, je n'avais pas hésité à le serrer très fort comme si ma vie en dépendait et à l'embrasser comme jamais je ne l'avais fait, comme si c'était la dernière fois. Mais bien vite, mon regard logea son poing et toute suite, je séparais nos lèvres pour pouvoir les déposer sur son poing. Tentant de calmer un peu la douleur. « Range tes crocs Dracula, j'ai mangé un sandwich à l'ail tout à l'heure et je n'hésiterais pas à me servir de mon haleine contre toi. » Dit-il en effaçant de son pouce, les taches de sang sur mes lèvres. Du Cody tout cracher quoi. Il avait le chic pour casser toujours l'ambiance, à force, j'étais habitué et je savais qu'avec lui, rare seront des moments romantiques, mais je m'en fous parce que ce n'est pas ça que je voulais, c'est simplement lui et si Cody n'était pas Cody, bien, ça ne rimait à rien. « Les vampires ont évolué t'sais, l'ail ne leur fait plus aucun effet !. » Je dépose doucement son poing avant d'attraper ma veste. « Y a une infirmerie là-bas, viens. » Je le suivais rapidement, le regardant s'installer sur le petit lit. M'emparant de tout le nécessaire possible pour le soigner. Je n'avais jamais fait ça, alors espérons que je ne me goure pas. Posant le tout sur le lit, j'examine sa main. « C'est pas cet endroit que je voulais te montrer. Pas un hall pourri, pas une infirmerie, pas ce gymnase dix fois trop grand. J'espère que tu me laisseras t'amener là où j'aimerais t'amener. » Je relève le visage accompagnée d'un large sourire en hochant positivement de la tête. « Tant que je suis avec toi, tu peux m'emmener où tu veux !. » Mot pour mot, cela voulait dire que partout où tu iras, j'irais. Bon maintenant, j'étais en train de me demander comment enlever ce morceau de verre encré sur son poing sans que ça ne lui fasse mal ?. Comment faire ? Commenttt ?. Puis j'ai eu une idée. De ma main libre, je lui attrape son menton et soudainement, je kidnappe ses lèvres pour un très long smack et pendant que l'effet de surprise agissait, de mon autre main, je lui ôtais rapidement le verre. Ni vu, ni connu. Je me retire à contrecœur en tenant le bout de verre devant lui. « Et voilà une chose de faite !. » Je laisse un rire m'échapper en jetant le bout de verre à la poubelle, m'emparant ensuite d'une petite serviette mouillée et revenais m'occuper de sa main. Je la nettoie afin d'enlever toute tâche de sang et pomponne de l'antiseptique solution sans alcool sur ses blessures pour cesser l'écoulement et irradier tout microbes et bactéries. Et enfin, j'applique de la bétadine rouge un peu partout sur ses blessures, déposant un grand coton et terminant par faire un bandage. « Dieu merci, il n'y a rien à coudre ! Mais ne refait plus jamais ça... Je peux tout supporter, sauf te voir blesser idiot !. » Je dépose un dernier baiser sur son bandage avant de commencer à ranger le tout. Bizarrement, je n'avais plus l'impression que le temps passait lentement, au contraire... Les minutes s'écoulaient bien trop vite à mon goût. J'avais l'impression que Chuck Norris venait de souffler sur l'aiguille du temps... Vieux con ! Arrêtes cette fichue horloge !. Je ne voulais tout simplement pas rentrer et puis, il avait quelque chose à me montrer d'abord.
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N’empêche que ce n’était pas très hygiénique de poser ses lèvres sur le sang de son compagnon, même si Cody avait une hygiène sanguinaire très bonne. Il nettoyait ses vaisseaux sanguins régulièrement, il y avait une aide-ménagère qui passait le balai trois fois par semaine, toutes les semaines, tous les mois de l’année, sans interruption. En plus, avec tout l’alcool qu’il ingérait – moins ces derniers temps, Dia lui laissait relativement peu de temps pour picoler, cette garce -  ça purgeait pas mal. M’enfin, on ne lèche pas le sang de son mec, c’est comme çaaaaa, y a que dans Vampire Diaries qui le font et on s’demande pourquoi j’aime pas cette série, heeeeeiiiing. N’en loupant pas une pour raconter une connerie, il lança, la voix suave ; « Mmmmh, arrête, je sais très bien quel effet te font mes deux gousses d’ail. » La saucisse accompagnée de ses gousses d’ail, spécialité du chef Cody Bleeker. Bref, charmant ce rp dis doooonc, on parle d’amour puis de Codynosaure. Ils se levèrent finalement, direction l’infirmerie pour réparer le bobo de Cody. Il se sentit dépassé par les évènements, ne se rappelant même plus comment était-il venu à frapper cette maudite porte, comment en était-il venu à blesser Diamantika. La vérité, c’est que pendant plusieurs secondes, une force obscure l’avait transcendé, son sur-lui, un être qu’il ne contrôlait pas et qui le faisait bien flipper prit le dessus et adieu tendresse et réflexion, bonjour psychose et absence de limitation. Non, ce n’était ni un dédoublement de personnalité ni un semblant de schizophrénie. La vérité, c’est que, de Dia, il était dépendant. Il avait besoin de sa dose et s’il était privé d’elle, il ne s’en remettrait pas. Il pourrait faire les pires conneries. Et, la preuve, ce soir, il la blessa. Elle s’improvisa médecin et examina sa plaie avant de, soudainement, l’embrasser. Malgré la douceur et la volupté qui se dégageait de ce baiser, une violente douleur le tirailla quand elle arracha le bout de verre de sa chair. « PUTAIN ! » s’égosilla-t-il quand elle se détacha de ses lèvres. Il serra fortement sa main valide sur l’handicapée, cherchant à atténuer sa souffrance. Ça douuuuuillait, il avait l’impression qu’on venait de lui arracher un à un les ongles à la tenaille de mécanicien. Pour info chéché une tenaille c’est CA, j’préfère te prévenir parce que déjà tu confonds les tournevis et les pinces alors bon, on s’en sortira jamais sinon. « T’aurais pu me dire que tu pratiques le SM, j’t’aurais jamais demandé de me soigner, j’l’aurais fait tout seul comme un grand ! » s’énerva-t-il de nouveau avant que Diamantika ne lui applique avec plus de délicatesse un antiseptique, de la Bétadine et, enfin, le bandage. Il grimaça légèrement mais il se sentait déjà mieux. Ne plus avoir de sang sous le nez le rassurait déjà beaucoup. Il s’apprêtait à partir pour la guider jusqu’au lieu qu’il souhaitait lui montrer quand quelque chose l’interpella. « Et c’est quoi, ça ? » fit-il en attrapant un bout de sa robe pour la tirer contre lui, lui offrant refuge entre ses cuisses. Il regarda la mince trace rouge au coin de sa joue, sous son œil. Superficielle, certes, mais merde Cody, tu l’as faite saigné. Ce soir, il avait fait couler les larmes et le sang de Diamantika et ça, il ne se le pardonnait pas. Il caressa sa joue avec sa main bandée, faisant disparaître le liquide rouge contre son sparadrap. « J’m’en veux putain, j’m’en veux. Si tu savais comme je m’en veux. » répéta-t-il comme une litanie en effleurant sa joue de ses lèvres fiévreuse. « J’ferai tout pour me faire pardonner, dis-moi quoi faire et je le ferai sur le champ. Tu devrais me quitter, me laisser seul comme un rat. Même si les rats ne sont pas vraiment seuls, ils vivent dans de grandes colonies de – parfois – milliers d’individus. Ils vivent ensemble les uns sur les autres, partouze all night long. Enfin c’est pas moi qui le dis, c’est Discovery Channel. » Il remua la tête de droite à gauche et s’auto-remit dans le droit chemin. « J’peux pas t’perdre. J’veux me rattraper. Pardonne-moi, pardonne-moi, pardonne-moi. » Dans Once Upon A Time, il suffisait de prononcer trois fois ’Rumplestilskin’ pour que ce dernier apparaisse. Est-ce que ça marchait avec le pardon ?
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« Mmmmh, arrête, je sais très bien quel effet te font mes deux gousses d'ail. » Attendez là ! Il vient de comparer des gousses d'ail à ses... OH GOOOOOOOD. Je pose une main sur mon front en éclatant de rire et en rétorquant en même temps. « Piting t'es trop ballot ! » Synonyme de con si vous voulez. Nah, mais il pouvait facilement me faire pleurer, comme facilement me faire rire, je vous jure. Et comme je voulais lui débarrasser du verre planté sur sa main, je m'empressais de le faire oublier ce passage en le distrayant d'un baiser. Sauf que j'entendis bien vite un « PUTAIN ! » Lorsque nos lèvres se sont séparées. Oupss, j'avais raté mon coup, mais au moins, plus de verre. Et puis arrêteeeeeee je ne confonds pas un tournevis à une pince nondidiouuuuuuuuuuuuuu. « T'aurais pu me dire que tu pratiques le SM, j't'aurais jamais demandé de me soigner, j'l'aurais fait tout seul comme un grand ! » Je grimaçais avant de tirer une petite mine boudeuse, mais trop mignonne quoi. « Rhoooo ça va ein, c'est la première fois que je fais ça, alors estime toi heureux que ta main soit encore utilisable !. Puis, j'ai réussi à faire un bandage du premier coup, c'est trop coool. Je mérite un bisousssssss. » Je fais semblant de tendre mes lèvres vers les siennes comme un poisson et je les relâche en rigolant. J'avais commencé à ranger les produits, lorsqu'il tira sur ma robe afin de m'attirer à lui et de me caler entre ses cuisses. « Et c'est quoi, ça ? » Posant mes mains sur ses cuisses, j'arque un sourcil. « Quoi ? Qu'est-ce qu'il y a ?. » Lui demandais-je assez surprise. Le boulet que je suis, j'avais complètement zappé ma propre blessure. Il faut dire que je n'avais pas le temps de penser à elle, alors que mon amour souffrait bien plus. Ce n'est que lorsqu'il caressa ma joue que je me rendis compte de quoi il parlait. « J'm'en veux putain, j'm'en veux. Si tu savais comme je m'en veux. » Il paniquait et il n'y avait vraiment pas de quoi paniquer. Ce n'était vraiment rien, je ne sentais rien que de petits picotements quand une brise de vent s'écrasait dessus. Ses lèvres vinrent loger également ma joue tandis que je ferme les yeux en posant une main sur sa main posée contre ma joue. « J'ferai tout pour me faire pardonner, dis-moi quoi faire et je le ferai sur le champ. Tu devrais me quitter, me laisser seul comme un rat. Même si les rats ne sont pas vraiment seuls, ils vivent dans de grandes colonies de - parfois - milliers d'individus. Ils vivent ensemble les uns sur les autres, partouze all night long. Enfin c'est pas moi qui le dis, c'est Discovery Channel. » Sayez, il divaguait de nouveau. Faut que je l'arrête, sinon, il va encore se lancer dans un discours interminable alors qu'il peut résumer la chose en deux phrases maximum. J'en riais même, venant à aimer cette façon qu'il avait de s'exprimer et de partir dans un long discours trop chélou en mélangeant ciel et terre. « J'peux pas t'perdre. J'veux me rattraper. Pardonne-moi, pardonne-moi, pardonne-moi. » Je pose mes mains sur son visage et lui fait reculer la tête pour que nos regards s'accrochent et même pour qu'ils flirtent. Un large sourire illumine la pièce. « Stopppppppppppppppp respireeeeeeeeeeeeeeee ! » Je ne criais pas, mais cela faisait quand même demeurée. « Ça vaaaa, je ne sens rien ! C'est absolument riennnnnn !. » Et là, j'éclatais de rire. « P'tain, mais arrête d'être aussi irrésistibleeee ! » Même quand il avait peur pour moi, il était irrésistible nondidiouuuuuuuu. « Ce n'est rien promis, promis, promis !. D'ici quelques jours, on ne verra plus rien. » Je l'attirais à moi de sorte à ce qu'il descende du lit reculant un peu quand même. Je pose une main sur mon menton en faisant mine de réfléchir. « Tu veux te faire pardonner c'est ça ?. » Animée par un large sourire, je passe derrière lui, grimpe dans son dos et croise mes jambes contre son bide. « Emmène moi toute suite là où tu voulais m'emmener alors. » Concluais-je parsèment son cou d'une multitude de baisers en posant finalement mon menton sur son épaule et tandis que mon souffle chaud caressait sa peau.
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On ne frappe pas les filles, c’est comme çaaaaaa, c’est écrit dans la commission universelle des Codybleeker. On ne frappe pas les filles, sauf si elles le réclament mais dans ce cas, l’éthique veut qu’on instaure un mot magique pour stopper la sentence, genre si la fille crie ’pêche’ ou ’bananaaaaa’ ou bien ’Wolfgang Amadeus Mozart’ et ben on stoppe les fessées. Et là, Cody avait failli. Sans le vouloir, il avait blessé Diamantika et certes, ce n’était rien d’autre qu’une éraflure. D’ici le lendemain, on ne verrait déjà plus rien, au pire il suffisait qu’elle se verse du fond de teint sur la joue pour que ça s’efface comme une empreinte dans le sable. Mais la voir ainsi poignarda Cody en plein cœur et, contre ça, aucun remède n’existait. Docteur House pouvait démissionner direct de son hôpital, prendre ses clics et ses clacs et sa canne parce que dans cette histoire, il était carrément inutile. Un vent de panique souffla sur le Lowell qui était prêt à tout pour se faire pardonner par la Kovache. Elle lui ordonna de respireeerrrrrr, mmmmmh, qu’elle était hot quand elle donnait des ordres comme çaaa. ‘fin Cody n’était pas très objectif, il la trouvait tellement hot. Il couchait avec la fille la plus hot de tout l’univers, c’est un fait, c’est une réalité. Enfin elle est surtout la fille la plus belle qui n’ait jamais foulé ses draps et, dans un sens, il se sentait chanceux. Chanceux d’avoir pu par on ne sait quel miracle séduire une fille aussi géniale qu’elle. Il pouvait l’insulter, la traiter de vache, se foutre sans arrêt de sa gueule, lui mettre ses gousses d’ail sous le nez … ça n’empêchait pas qu’il se sentait chanceux d’être à Dia. A la loterie de l’amour, il avait tiré le ticket gagnant et, cette idée, on ne la lui sortirait jamais de la tête. « Mais si tu sens, tu sens, arrête ! Quand je fais ça, tu sens ! » ET DOOOOOONC comme il ne voulait plus lui faire de mal, c’est tout naturellement qu’il appuya son pouce sur la plaie de Diamantika. « MERDEEEE je t’ai encore fait mal, putain, j’suis qu’un con, j’suis terriblement con ! » Il enchaîna par la suite bisou magique sur bisou magique, tout en encadrant son visage de ses mains. Bonjouuuur mister gaffeur, comment allez-vous aujourd’huuuui. Bien et vous bien bien bieeeenggg. « D’où j’suis irrésistible ? » Pourquoi elle lui disait ça comme çaaa, nowww, alors qu’elle lui triturait le visage ? Surtout que vu du dessous comme çaaaa, on apercevait la naissance de son double menton. Enfin, niveau double-menton, Diamantika ne pouvait pas trop critiquer, c’est vraaaai, ce serait un peu le roquefort qui dit au camembert qu’il pue (ce sont des fromages, je sais pas si tu en as dans ton pays, faudrait qu’on lance le sujet fromage africain un de ces jours d’ailleurs, ça m’intéresse). Il descendit du lit puis se fit monter, la grande classe. Il se sentait poney pour la première fois de sa vie. C’est pas si désagréable en fait, il comprenait pourquoi Joan avait fini par accepter cette appellation. Il faut dire que les baisers de Diamantika dans sa nuque l’aidait à se complaire dans son rôle de monture. Il frissonna tout entier et plaqua ses mains sur ses cuisses avant de quitter le gymnase. Il marcha le long du bâtiment pendant deux petites minutes et finit à l’arrière de la grande bâtisse. A présent, ils s’approchèrent d’un pan de mur sur lequel siégeaient des hublots géants à travers desquels on pouvait voir une piscine bleue turquoise. La piscine olympique de Harvard. « Descends. » lui murmura-t-il avant de s’approcher de l’immense fenêtre. Il glissa son doigt dans la jointure pour déclencher un mécanisme, ce qui lui permit d’entrouvrir la fenêtre. C’était une combine qu’il avait découverte en traînant tard le soir dans le complexe sportif après les entraînements et il n’en était pas peu fier. Il fit signe à Diamantika de passer devant, d'y entrer comme une voleuse, et il la suivit, refermant le hublot derrière eux pour préserver la chaleur ambiante. Ils atterrirent dans la salle avec la géante piscine. Il n’y avait pas d’éclairage, Cody ne souhaitait pas attirer les regards indiscrets, surtout qu’ils n’avaient pas le droit d’être là. En revanche, l’eau de la piscine était colorée en bleu grâce aux lumières et aux néons qui trônaient au fond du bassin. Il s’approcha du bord et se tourna vers Dia, les yeux brillants. Le reflet de la pleine lune, les lumières qui se dégageaient de l’eau et les remous à la surface dessinaient sur le visage de sa belle de magnifiques vagues. Ça le fascinait. Il se délecta du spectacle. « C’est ça que je voulais te montrer. » déclara-t-il finalement.
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Cody avait cassé une porte parce que Dia comptait s'en aller, Cody venait de rentrer en transe, paniquant comme s'il y avait eu un mort, parce que Dia avait une zigounette éraflure. C'est tellement évident maintenant, Cody est fou de Dia. Il l'aime, il l'aime plus que ça propre personne, puisqu'il n'avait même pas réagi à sa propre blessure. Et ça, je le savais, je le voyais de secondes en secondes, d'heures en heures, de jours en jours, de semaines en semaines et ça ne peut que me rendre heureuse. Un homme ne m'avait jamais rendu aussi heureuse. Cody faisait des miracles. Parce que non seulement, jamais au plus grand jamais, j'aurais cru un jour pouvoir tomber aussi éperdument amoureuse d'un homme. Jamais au plus grand jamais, j'aurais dit oui, si là, toute suite il me demandait la main. Jamais au plus grand jamais, mon cœur n'a battu aussi brutalement. Jamais au plus grand jamais, j'aurais comparé un homme à un bijoux d'une valeur inestimable. Cody, c'était mon bijoux et il valait tout l'or du monde à mes yeux. Pour rien au monde je l'échangerais contre un prince riche jusqu'aux orteils. Pour lui, je serais prête à faire face à des ouragans, à des tonnerres, à des éclaires, à des volcans, à des tsunamis, à des tourbillons, à absolument tout. Plus on avance ensemble, plus mon amour grandit, grandit et grandit encore et encore et j'espère qu'un jour, il le verra et qu'il me considèrera comme sa moitié, comme la femme qu'il lui faut, parce que c'est ce que je suis, je suis la femme qu'il lui faut et il est celui qu'il me faut. « Mais si tu sens, tu sens, arrête ! Quand je fais ça, tu sens ! » Dit-il en appuyant sur ma blessure tandis que je plissais soudainement les yeux. Bon okey, là ça faisait un peu mal. « MERDEEEE je t'ai encore fait mal, putain, j'suis qu'un con, j'suis terriblement con ! » J'éclate de rire, décidément, il n'y avait plus rien à faire de lui. A la vie comme à la mort, il était atteint mentalement. C'était mon malade mental à moi. « D'où j'suis irrésistible ? » Je peux pas lui expliquer par A+B d'où il était irrésistible, il était un point c'est tout. « Tu l'es Bleeker, tu l'es. Et puis t'as pas b'soin de l'être pour les autres, tu l'es pour moi toute seule et c'est suffisant !. » Murmurais-je en écrasant ses mots contre ses lèvres. Passant ensuite derrière lui pour grimper sur son dos. A DADAAAA A CHEVALLLLLLLLLL HUHUHUHUHU !. Cody s'était enfin mis en route et moi, je profitais pour le provoquer avec de petits baisers fiévreux. Arrivant à l'arrière de la grande bâtisse, on s'approchait d'un pan sur lequel siégeaient des hublots géants nous laissant voir à travers, la piscine olympique bleue turquoise d'Harvard. « Descends. » M'ordonna-t-il alors que je m'exécutais. Je ne sais pas comment il avait fait, mais on s'était retrouvé à l'intérieur de la piscine. Il n'y avait pour seules lumières, celles de la piscine et celle de la pleine lune qu'on voyait à travers le plafond en fenêtre. La piscine était magnifique, le ciel était magnifique, l'ambiance était magnifique, il était magnifique. Je lève la tête vers le plafond, plus précisément sur la pleine lune alors qu'un large sourire se fend sur mes lèvres. Ce n'était qu'une salle avec une piscine, mais c'était un cadre idyllique parfait parce que je la partageais avec lui, tout simplement. « C'est ça que je voulais te montrer. » Je m'approche de lui et j'entoure son cou de mes bras, frottant nos nez l'un contre l'autre. « Parfait. » Murmurais-je simplement avant de rependre. « Mais il faut que tu me montres quelque chose d'autre... » Je retire son portable de sa poche et pose mon doigt contre son torse, le poussant carrément à l'eau. « Alors ? Elle est bonne la température ?. » Riais-je en déposant son portable près de mon manteau et mes tongues que je venais de retirer. Finalement, je n'attendais pas son avis, je plonge à mon tour dans l'eau avant de remonter tout contre lui. Je passe une main dans mes cheveux pour les remettre en arrière et plonge mon regard dans le sien. Attention, là, j'étais comme hypnotisé, il était même sexy en mode cheveux mouillés nondidiouuuu. Du coup, je n'ai pas pu résister à l'embrasser. Même que je l'incitais à m'accompagner sous l'eau, nos lèvres toujours scellés, ne quittant pas une seule seconde les siennes, tandis que des bulles se formaient sous l'eau à cause de nos baisers.
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Imaginez deux secondes les heures de recherches, d’exploration, pour que Cody parvienne à déceler ce petit défaut dans la fermeture de la fenêtre de la piscine ? Il n’avait pas les clefs pour cette partie du complexe sportif et c’était bien dommage. Quoique l’idée d’entrer illégalement dans cet endroit ajoutait un semblant d’excitation à la situation. Ils n’avaient pas le droit d’être là, pas le droit de s’embrasser sur ce carrelage, même pas le droit de venir en CHAUSSURES ici ! Et piiiiire de chez piiiire, quand Diamantika le poussa dans l’eau. Wooow, il ne l’avait pas vu venir ! Pourtant, il aurait dû s’en douter, elle était fourbe, elle était rusée, elle était vicieuuuuuse. Dia quoi. Il tapota ses bras à la surface pour y remonter et frotta ensuite ses yeux avec ses mains dégager l’eau qui lui brûlait la rétine. Il s’écria en pointant un doigt accusateur sur Dia ; « Sauter dans l’eau tout habillé c’est PAS hygiénique DU TOUT ! » Et ben ça n’empêchait pas la Kovache de sauter à son tour. Ben biiiien, bieeeen, belle mentalité ! Mais il ne l’engueula pas because il savait que c’était important pour elle de retrouver son habitat naturel. Les morues, elles vivent bien dans l’eau, on est d’accord ? face Et puis sa robe, trempée comme elle était, ne dissimulait plus rien de ses formes donc je ne vous dis pas Cody en profita pour mater SA Dia. Et puis leurs corps se serrèrent, leurs lèvres se pressèrent, leurs deux silhouettes s’inondèrent. Ils disparurent sous la surface sans jamais annuler leur étreinte. Cody tenait fermement le bras de Diamantika et plaquait ses lèvres contre les siennes sans jamais les détacher. Pourtant, l’eau avait une propension naturelle à vouloir les séparer, à les faire remonter à la surface. Toute masse remplie d’eau – ou d’air – remonte à la surface. C’est scientifique, c’est comme ça, on n’y peut rien. Pourtant, Cody Bleeker ne s’était jamais laissé intimider par des lois scientifiques. Au contraire, il les défiait inlassablement, mettant tout son poids et toute son énergie à rester au fond de la piscine, enlaçant Dia, s’agrippant à Dia, comme prisonnier d’une tornade qui emporterait tout et détruirait leur amour sur son passage. Ses yeux s’habituèrent à l’eau, au chlore, à la javel, à tous les produits qu’on mettait dedans et ses paupières s’ouvrirent sur un spectacle renversant. Il voyait Kova, ses cheveux volaient dans la mer comme des algues brunes au fond d’un récif sous-marin. Les néons bleus dansaient tout autour d’eux, les marques parallèles se courbaient. Sous la mer, il n’y avait plus de logique scientifique, mathématique ou géométrique. Ils défiaient tout. C’était plus fort que ça, de l’art, de la poésie, de l’amour – oh oui, beaucoup d’amour. Les deux tourtereaux remontèrent à la surface et Cody laissa échapper un soupir aigu, long, signe qu’il était temps qu’il reprenne de l’air. Il était essoufflé, sa respiration saccadée, mais ça ne l’empêcha pas de récupérer direct les lèvres de Diamantika. Il avait besoin de ça plus que de sa propre vie. Pourtant, ils n’avaient battu aucun record d’apnée, ils n’étaient restés que – grand max – une minute en dessous. Gêné par son t-shirt, il le retira et le roula en boule pour le jeter sur le rebord de la piscine. « Wow ! » s’écria-t-il en nageant jusqu’à sa belle. « T’es belle, t’es belle, t’es belle, t’es belle. » répéta-t-il en entrecoupant sa phrase de baiser sur son front, caressant du bout des doigts ses joues rosies. C’était peut-être la première fois qu’il lui disait qu’elle était belle. Peut-être ? Non, c’est sûr en fait.
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Un acte si simple, un mouvement naturel, un baiser passionné. Nous nous retrouvons dans la piscine à défier l'eau qui tentait de séparer nos lèvres et nous remonter à la surface. Mais ensemble, nous étions plus fort, ensemble, nous pouvons défier n'importe quoi. Alors, pas une seconde nos lèvres ne se sont séparées, usant de toutes nos forces pour rester sous l'eau. Mes cheveux dansaient, donnant un certain reflet magique à ce cadre aquatique, apportant une meilleure vision aux pupilles noisettes de mon bien-aimé. Nous dansions sous l'eau, nos corps tournaient au rythme d'un tourbillon de mer, nos souffles se mélangèrent pour pouvoir tenir encore quelques instants. Se donnant un souffle à chacun pour pouvoir respirer. Tantôt je souris, parce qu'à cet instant, mon cœur dansait de joie. Cette soirée avait mal commencé, mais elle s'était terminée plus que parfaitement. Donc, nous dirons que c'était un mal pour un bien. Finalement et parce que même si on le désirait, on ne pouvait pas rester éternellement sous l'eau. Nous sommes donc remontés à la surface tandis que je passais une main dans mes cheveux pour les repousser en arrière. Mes nattes étaient encore là, même si on ne les voyait plus tant que ça. A peine j'eusse le temps de reprendre mon souffle, que Cody scella de nouveau nos lèvres. L'une de mes mains se fraya un chemin de son épaule jusqu'à sa joue, joue que je caressais en jouant avec sa lobe d'oreille à l'aide de mes doigts. Ce moment était parfait. Tout sourire le prouvait. J'étais entouré de ses ailes, ailes invisibles, c'est ce que je ressentais à cet instant. Comme si Cody avait des ailes invisibles qui m'enveloppaient pour m'empêcher de le quitter et jamais je ne le ferais. A contrecœur, nos lèvres furent séparées dans un petit grognement de ma part. Le lowell retira sa chemise, sexyyyyyyyyyy le meccc nondidiouuu et la balança sur le rebord de la piscine, s'écriant toute suite d'un « Wow ! » Toute surprise, je fronçais les sourcils en me demandant ce qu'il trouvait si Waw. et puis...ce fut l'arrêt cardiaque lorsqu'il posa ses lèvres sur mon front afin de parsemer cet endroit de plusieurs... « T'es belle, t'es belle, t'es belle, t'es belle. » Là, c'est moi qui me suis sentis pousser des ailes. De grandes ailes identiques à mon sourire qui s'étendit sur mon visage. Je déglutis, sentant mon cœur cogner brutalement. Mes joues avaient rosies en une fraction de seconde, chose qui était rare, très rare. Diamantika rougissait, ou plutôt rosissait. Je me mordille la lèvre inférieure avant de répondre d'un murmure. « Ce sont tes yeux qui le sont... » Et puis je l'imitais à mon tour, en posant mes lèvres sur son front et en parsèment également de... « T'es beau, t'es beau, t'es beau, t'es beau. » Et pour terminer en beauté, je m'appuies contre ses épaules et je le fais couler sous l'eau avant d'éclater de rire et de nager plus loin, jusqu'au rebord opposé.A mon tour, je retire ma robe et la pose sur le bord où je m'agrippais, restant donc en sous-vêtement. Je cherchais du regard mon bien-aimé, certaine qu'il préparait une petite revanche.
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À peine eurent-ils survécu à une noyade consentante, Cody fut contraint de nouveau à plonger, envoyé de force sous la surface par Diamantika. La fouuuuurbe. Elle avait joué de lui, elle avait minaudé en le complimentant et il s’était fait avoir comme un bleu. Il pressa ses jambes contre le bord de la piscine et se propulsa dans l’eau pour remonter à la surface quelques mètres plus loin, recrachant toute l’eau qu’il goba durant son périple aquatique. La garce, elle ne payait rien pour attendre. Evil Cody in da plaaaaaaceeee. Il la regardait l’air dur, froid, réfléchissant quelques secondes à un plan d’attaque. Il lorgna en haut, en bas, à gauche, à droite, ces soirées-là hinhiiiin on drague on branche toi-même tu sais pourquoi KOVACHE ₪ JE T’AIME, 3 MOTS 7 LETTRES 15 POINTS AU SCRABBLE.  - Page 2 1116103942 Pardooooon. Bref, l’inspiration sadique lui vint et Cody et s’approcha de Kovache, sans même prendre le temps de la mater alors qu’en temps normal, il l’aurait fait sans la moindre pudeur, sans la moindre discrétion. Mais pas de temps à perdre avec ses microseins, t’façon c’est pas comme s’il y avait quelque chose à regarder, on est d’accord sur ça. Mais là, comme il ne s’arrêta pas pour lui lancer un regard charmeur ou lui faire un tango avec ses sourcils façon Jim Carrey, c’était bien la preuve qu’il préparait un mauvais coup. Il s’arrêta à son rebord, à côté d’elle, et plongea les bras dans l’eau pour se déshabiller à son tour. C’est pas touuut, mais il avait encore ses baskets, ses chaussettes puantes, son jogging de sport et puis son caleçon. Il enleva le tout, à part le caleçon. Ben oui, inutile de faire peur aux poissons invisibles de la piscine en leur montrant la baleine blanche KOVACHE ₪ JE T’AIME, 3 MOTS 7 LETTRES 15 POINTS AU SCRABBLE.  - Page 2 152426858 Il roula le tout en boule près du bord, laissant expressément et discrètement une de ses chaussettes sales dans les affaires de Dia. Et ouuuuaiiis, elle aura la surprise quand elle se rhabillera et qu’elle retrouvera sa robe parfumée aux pieds de l’homme de sa viiiiie. « Belle journée, hein. » fit-il en tout innocence en croisant les bras sur le rebord, un sourire malicieux au bord des lèvres. PAS DU TOUT LOUCHE LE TYPE. « J’pense que je peux retirer mon pansement maintenant. » Et il le fit, avec une petite grimace, abandonnant les déchets sur le carrelage. « ça t’embête si je change de côté ? J’préfère être à ta droite. » Mais pour changer de côté, il joua au gros relou de service et il plongea dans l’eau et longea le mur contre lequel se trouvait Dia, l’incitant à se décaler légèrement pour qu’il puisse passer. Bien sûr, c’était intéresséééé. Il lui agrippait le buste et les cuisses et sortit immédiatement de l’eau en tenant Dia comme un sac à patate au-dessus de son épaule. AHAHA, c’était la deuxième fois qu’elle se retrouvait dans cette position, la première ce fut quand Cody la menaça de la balancer par la fenêtre de l’Eliot House. Soirée sympathique, by the waaaaay. « ça sert à rien de te débattre, j’te lâcherais paaaas ! » Et il grimpa les escaliers qui conduisaient au plus haaaaaaaauuuuut plongeoir de la piscine, à au moins vingt mètres de la surface. MOUHAHAHAHAA. Tel un funambule, il avança sur la planche assez instable, tout en tenant Diamantika et en lui mettant bien bien bien la tête dans le videeee. Ce n’est pas elle qui avait un vertige monstre ? « Excuse-toi. » ordonna-t-il. Mais elle serait naïve de penser que ça suffirait pour que Cody ne la lâche pas sur le champ.  
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Je venais de faire couler le lowell et maintenant, je devais attendre ma sentence. Je le connaissais assez pour savoir qu'il n'allait pas laisser passer ça. Il allait prendre sa revanche et je devais m'attendre au pire. D'ailleurs, ce dernier se ramena près de moi. Il plongea ses mains sous l'eau pour procéder à son dessapage. Je le regardais faire en me mordillant la lèvre inférieure. Qu'il était sexy mon homme à moi TOUTE seule, je me rinçais l'oeil sans aucune gène. Parce que c'était un beau spectacle, Cody ne réalisait pas, mais il était en train de me faire un beau striptease aquatique. MIAMMMMMMM. « Belle journée, hein. » Rapidement, un large sourire illumina mon visage. « Très belle journée chéri !. » J'insistais sur le chéri, dans le but de le provoquer narcissiquement. Il garda son caleçon. « Oh tu peux enlever ton caleçon aussi ein, ça ne me dérange pas du tout !. » Je continuais ma petite provocation, mais il faut que t'arrêtes de faire la maligne Dia, tu vas t'en prendre plein la tronche là. Sa vengeance sera terrible. « J'pense que je peux retirer mon pansement maintenant. » Dit-il en le détachant. J'haussais les épaules toujours souriante. C'était peut-être le moment de fuir non ?. Mon cœur battait à mille à l'heure, car là, je sentais qu'il manigançait un truc horribleeee. Aies pitié de mon âmeeeeeeeeuhhh. « ça t'embête si je change de côté ? J'préfère être à ta droite. » J'hoche positivement de la tête en me décalant un peu sur le côté pendant que monsieur plongeait. Il plongeait ? Pourquoi il avait besoin de plonger pour passer à ma droite d'ailleurs ?. Je n'ai pas eu le temps de comprendre l'arnaque que monsieur venait de me faire décoller de la piscine. Destinationnnnn, le plus haut plongeoir. OMG NONNNNNNNN!. Je me débattais du mieux que je pouvais pour qu'il me relâche mais rien à faire, MONSIEUR HULK me tenait bien trop fermement. « ça sert à rien de te débattre, j'te lâcherais paaaas ! » FUCK FUCK FUCK. Je commençais à ruer son dos de petits coups pas bien méchants, je ne voulais pas lui faire mal après tout, quoi que, même si je le voulais, je ne pourrais pas, ou alors, mes coups auront l'effet de petits piqûres de moustiques sur ce gros tas de graisses, mais avec une force incroyable. « Lâche-moi espèceeeeeee de babouinnnnnn ! . » Criais-je sans cesses jusqu'à ce qu'il m'emmène au bord du plongeoir, tête vers le vide. Je sentais mes yeux loucher, ma tête tourner. Je pose mes mains sur mes yeux et tentant de respirer correctement. « Excuse-toi. » Dit Cody tandis que j'ouvre finalement les yeux et je crie... « JE T'EXCUSEEEEEE ! » Non Dia, c'est "je m'excuseeeee". DANS SES RÊVES OUAI ! Je n'allais pas m'excuser, il pouvait me jeter s'il le voulait. Ohhh non, j'ai rien dit. Je pose mes mains dans ses cheveux et je commence à les ébouriffer jusqu'à les tirer pour lui faire mal. « FAIS-MOI DESCENDRE SALE VERMINE ! » Vous voyez, il y a quelques minutes, Dia et Cody s'envoyaient des fleurs d'amour et là, ils s'envoient les piques des fleurs. C'est Dia et Cody quoi. Un coup c'est l'amour, un coup c'est la guerre, un coup c'est la paix. C'est ce qui fait d'eux, une histoire à part, différente de toutes les autres et plus forte encore. « Je vais vomirrrrrrrrrrrrr ! » Non du tout, je ne vais pas vomir, mais je faisais semblant et d'ailleurs, je posais mes mains sur ma bouche pour que ce soit plus réel. « Je vais vomiiiiiir PUTAINNN ! » Et comme pour l'inciter à me faire descendre, j'entoure sa tête de mes mains serrant très fort pour ne pas le lâcher et je pose mes lèvres dans ses cheveux, style, j'ai trouvé le territoire parfait pour dégueuler. LA TÊTE DE CODY HAHAHAHAHAHAHAHAHA.
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