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KOVACHE ₪ JE T’AIME, 3 MOTS 7 LETTRES 15 POINTS AU SCRABBLE.

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Il était amoureux d’elle, voilà. Cody était amoureux de Diamantika. Les mots ne sortaient pas, ils vagabondaient dans le creux de sa gorge comme un lion dans une cage. Parfois, ils se jetaient même sur les grilles dans l’espoir vain qu’elles se brisent sous leur poids. Et on voyait l’acier (le même que dans ton cul KOVACHE ₪ JE T’AIME, 3 MOTS 7 LETTRES 15 POINTS AU SCRABBLE.  - Page 4 2109348208) se plier petit à petit à force de s’effondrer sur les barrières. Ils se pliaient, pliaient, pliaient, menaçaient de se briser en deux comme une baguette en bois. Aimer Dia faisait peur, mais aimer Dia rassurait en même temps. Elle, elle n’avait pas peur de ce qu’elle ressentait et, de ce fait, elle avait le courage d’attendre. Comment le trouvait-elle ? Bonne question. Elle était une femme forte, très forte, bien que ça tuerait Cody de l’avouer. « T’es parfaite Dia, donc t’es pas faite pour moi … » murmura-t-il, toujours enlacé contre elle. Pas trop déprimant comme mec, ça vaaaaaaa ? En vrai, son déficit de confiance en lui-même le rattrapait toujours, qu’il le veuille ou non. Puis, elle l’escalada, entourant ses hanches de ses jambes fines. Pris par surprise mais néanmoins prêt à l’accueillir, il faufila ses bras dans son dos et leva la tête pour la glisser sur ses épaules, dans son cou. Il dessina sa colonne vertébrale, vertèbre après vertèbre, traça des parallèles à ses côtes finement mise en valeur par la voûte que formait son dos. Il sentait son cœur battre contre sa poitrine et il clôt ses paupières, apaisé à la fois par le bruit de l’eau qui s’écoulait dans la piscine et par Dia qui reposait sur son épaule. Assimiler Cody et Diamantika à deux enfants ne seraient pas totalement déraisonnable. Si on comptait sur les doigts le nombre de paris qu’ils se lançaient depuis le début de leur relation, toutes les mains des nains dans Blanche-Neige ne suffiraient pas. Comme deux enfants, ils jouaient sans s’arrêter, s’amusaient à la fois avec tout et rien et ce n’était pas les bobos qu’ils se faisaient en tombant. Et à en croire les plaies sur les joues, mains, les pénis cassés et les cheveux tirés, ils tombaient BEAUCOUP. Même que parfois, ils tombaient amoureux. Ce qui rappela une phrase que Jess lui avait soufflé un jour, dégageant cette innocence unique aux petits garçons et aux petites filles. « Tu sais ce que ma fille m’a dit un jour ? Je suis venu la chercher à son premier jour d’école et elle m’a parlé d’un garçon, Derek, une espèce de playboy des bacs à sable, le genre à rouler des mécaniques parce qu’il ne porte plus de couche-culotte depuis ses deux ans. Je lui ai demandé si elle était tombée amoureuse. Elle a acquiescé, elle a ajouté un petit ’oui’ timide. Silence. Elle m’a demandé par la suite ’dis papa, est-ce que quand on tombe amoureux, on peut se remettre debout ?’ Je me suis trouvé con sur le coup, je ne savais pas quoi répondre. Puis j’t’ai rencontré et j’me dis que oui, peut-être bien qu’on peut se relever, à condition que la personne qui nous fasse tomber soit là pour nous remettre sur pied. » termina-t-il, les lèvres perdues sur sa clavicule. Rares étaient les fois où il évoquait sa fille, Dia devait s’estimer privilégiée. A balader ses doigts le long de son dos, Cody vint décocher l’agrafe de son soutif. Ben oui. C’est beau l’émotion, mais voir les seins de sa meuf aussi et il avait le droit de la mater un peu après une soirée aussi forte en rebondissements. Enfin pas de sa meuf, de sa presque meuf, enfin c’est dur de trouver une appellation exacte pour qualifier Dia. Continuons à dire sa maîtresse, Cody adorait le petit côté mystérieux, interdit.  
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« T'es parfaite Dia, donc t'es pas faite pour moi ... » Malheureusement non, je ne suis pas parfaite même si je le suis presque ouai ouai. Non mais je n'aurais pas la prétention de dire que je suis parfaite parce que j'avais beaucoup, beaucoup de défauts et ils étaient même plus beaucoup que mes qualités, mais on m'aimait comme je suis ou pas. « Personne n'est parfaite Bleeker et moi je dirais plutôt le contraire, je suis faite pour toi !. » Et il était fait pour moi. J'avais le cran de le lui dire parce qu'il fallait qu'un de nous s'impose, qu'un de nous donne le courage à l'autre, la confiance et c'était à moi de le faire, alors monsieur aura beau être pessimiste, je lui prouverais le contraire, je lui transmettrais ma positive attitude. Il avait besoin de ça, parce que je vois que c'est quelqu'un qui n'avait pas tellement confiance en lui et qui accordait plus difficilement sa confiance. Mais je suis là pour percer cette carapace de protection, il n'a pas besoin de se protéger avec moi, je suis totalement amoureuse de lui, je l'aime et pas d'un amour où seul un je t'aime suffira à le montrer, non, même un je t'aime n'est pas suffisant pour décrire. Alors non, je ne compte pas l'abandonner et le laisser partir comme toutes ses autres ex qui n'ont pas réussi à tenir. Moi je tiendrais parce que lorsque je veux quelque chose, je suis prête à tout pour l'avoir, absolument tout. Grimpant sur lui, cette position me permettait de l'avoir tout contre moi, de sentir son cœur battre contre le mien, sentir ses doigts se hisser sur ma colonne vertébrale comme de petits fourmillements d'excitations. J'étais bien, j'étais heureuse, j'étais enveloppé par ses ailes invisibles, celles qui réchauffaient mon cœur, mon corps, mon esprit et mon âme. J'étais aux anges. Puis, j'écoutais le son de sa voix comme une douce mélodie apaisant chaque partielle de ma peau. « Tu sais ce que ma fille m'a dit un jour ? Je suis venu la chercher à son premier jour d'école et elle m'a parlé d'un garçon, Derek, une espèce de playboy des bacs à sable, le genre à rouler des mécaniques parce qu'il ne porte plus de couche-culotte depuis ses deux ans. Je lui ai demandé si elle était tombée amoureuse. Elle a acquiescé, elle a ajouté un petit 'oui' timide. Silence. Elle m'a demandé par la suite 'dis papa, est-ce que quand on tombe amoureux, on peut se remettre debout ?' Je me suis trouvé con sur le coup, je ne savais pas quoi répondre. Puis j't'ai rencontré et j'me dis que oui, peut-être bien qu'on peut se relever, à condition que la personne qui nous fasse tomber soit là pour nous remettre sur pied. » Un sourire, je lève ma tête pour lui faire face et suivre son regard œil par œil. « C'est troppp mignonnn, elle est trop mignonne et déjà très intelligente sans le savoir. » Dis-je en riant avant de lui déposer un petit bisou sur bout de son nez. « Il suffit de rencontrer la bonne, celle qui sera toujours là quand tu tomberas, celle qui sera toujours là dans n'importe quelle situation, celle qui n'hésitera pas à se sacrifier pour avoir un de tes sourires et jamais tes pleures. Je suis cette fille là, je suis celle qui te faut et un jour, un jour tu t'en rendras compte Cody Bleeker !. » Je me mordillais la lèvre inférieure en sentant ses mains dégrafer mon soutien. « Et si jamais il y avait des caméras ici, t'imagines... » Dis-je en regardant autour de nous. Je suis certaine qu'il y avait des caméras, sooooo, je lui montre les vestiaires du doigt. « Je dis ça parce que je sais combien t'aime être le seul à voir mon corps, alors imagine que le lendemain les surveillants s'excitent devant nos ébats. On sera plus tranquille là-bas. » Je descends rapidement lui attrapant la main tout en courant jusqu'au vestiaire et une fois à l'intérieur, je le lâche et cours à reculons. Je lui tire la langue en dégrafant moi-même mon propre soutif en lui lançant sur le torse. « Trouve moi... » Je gambade entre différentes armoires métalliques sans faire de bruit, entendant ses pas, je me cale dos contre l'un des murs d'armoires et j'enlève ma petite culotte que je tends d'un index dans le vide sans me montrer. Juste après, je fais sortir la tête et la balance également sur lui, me remettant à courir dans le sens opposé.
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Et si Dia était la fille qu’il fallait à Cody ? Et si Dia réussissait là où des Maggie, des Joan, des Danae avaient échoué ? Cody savait qu’il n’était pas un cadeau, pour aucune femme. Il n’était pas spécialement beau et certes, il rigolait beaucoup, on s’ennuyait rarement avec un type comme ça, mais le revers de la médaille était un caractère de merde et une jalousie maladive, quoiqu’il n’avait jamais été aussi possessif qu’avec Kovache. Pourquoi ? « Un jour … » répéta-t-il après elle, le pupilles scintillant à la clarté de la lune qui se faufilait à travers les quelques lucarnes situées au plafond de la piscine. Il tentait de la déshabiller un petit peu plus quand elle vint soulever un problème ; les caméras. Merde, c’est vrai. Heureusement, elle trouva vite la solution ; les vestiaires. Cody se laissa guider à l’intérieur, là où elle retira son soutif qu’elle lui balança comme une idole sur scène avec son plus grand fan. Il le brandit dans un geste de victoire, un sourire espiègle plaquée sur sa bouche. « T’es tarée. » réalisa-t-il en la voyant se promener entre les nombreux casiers qui s’alignaient pour former de grandes armoires. « Dia ! » s’écria-t-il en courant à travers les casiers, cherchant à la rattraper. Ils étaient balèzes ces vestiaires, un truc de ouf. On aurait dit une bibliothèque géante, sauf qu’au lieu de ranger des livres on rangeait des slips qui puent. En parlant de slips qui puent, Diamantika lui balança sa culotte en mode mystérieuuuuse. Rouuuur. Ça émoustillait le jeune homme, il ne savait plus où donner de la tête mais une chose est sûre ; il avait envie de l’attraper. Dans tous les sens du terme.
Soudain, des bruits de pas retentirent et non, ce n'était pas Dia qui se transformait soudainement en hippopotame parce que Cody mettait trop de temps à la retrouver, sauf si elle venait d'enfiler des pompes de sécurité et qu'elle chantait du Keen'V à tue-tête dans les vestiaires. Avec une voix d'homme. Donc Dia s'appelait en réalité Dio ? Tu rajoutes un I devant et Cody approuverait sans réfléchir. Non, cette voix d'homme traînait un chariot et elle ne tarda pas à entrer dans son champ de vision. Un agent d’entretien. Une conchita avec un zizi. « Bonsoir ! » fit-il en trouvant Cody près d'un banc, bras ballants, l'air con. « Bonsoir ... » répéta-t-il en arquant un sourcil, surpris par l'absence de colère de cet agent d'entretien qui trouvait un gaillard à pas d'heures en plein milieu d'un vestiaire, les vêtements trempés et collants à sa poitrine. Et encore, heureusement que son jogging était large parce que sinon, il aurait pu voir que Cody était TRÈS content d'être ici. « Entraînement tardif ? » demanda finalement l'inconnu après une minute de silence à se lorgner comme des cons. Bon OK, peut-être qu'en fin de compte, il avait vu le Bossu de Notre-Dame dans le caleçon de Bleeker. Tcho la honteeee, Quasimodo serre les fesses et rentre ton dos voyoooons. Il se gratta l'arrière de la tête et répondit en tentant de paraître le plus crédible possible ; « Ouais ... J'ai fait un rêve qu'un jour je serai le plus grand champion olympique que la terre ait connu. » Ça s'vooooit, il a tout du sportif le garçooon, non ? Puis, l'agent d'entretien s'assit sur le banc et tapota la place à côté de lui pour inviter Cody à faire de même. Ne voyant aucune possibilité de fuite, il haussa les épaules et s'installa à côté de lui, le visage figé et grimaçant de force, un large sourire de Joker prenait place sur son visage. « Ma femme m'a quitté, je me retrouve à faire un job que je déteste ... » Oooohhhh non, voilà que Cody devenait le psy d'un gros dépressif de la vie qui se battait chaque soir pour ne pas s'empoisonner avec l'eau de javel qui lui servait d'outil de travail. Putain putain putaaaaaiiiiin. Et pire encore, il posa sa main sur la cuisse de l'étudiant pour lui souffler un petit conseil ; « Si tu veux mon avis, va au bout de tes rêves, n'abandonne jamais, sois le prochain Laure Manaudou. Lauro Manaudou. Je crois en toi. Et tu as l'air de croire en toi, c'est bien. » Je rappelle qu'il venait de mettre la main sur sa CUISSE et que Cody était CONTENT. Donc ce fut un peu humiliant quand l'inconnu posa ppppppiiile sa main sur Codynosaure. Heureusement qu'il ne fit pas davantage de remarque, se contentant de retirer sa main avec un sourire pas très net. Euuuuhhh okkkk, ça c'est bizarreeeee. « J'vais rentrer. Vous pouvez partir quelques minutes ? J'aimerais finir de me changer … » Et là, le mec fixa la main du Lowell dans laquelle se trouvaient ... Le soutien-gorge de Dia et sa petite culotte. Putain putain putain. Cody les rangea maladroitement dans sa poche en balbutiant ; « C'est pas ce que vous croyez c'est pour apprendre à respirer, la circulation sanguine ... M'voyez. » Un sourire vicieux aux lèvres, il ajouta en se levant ; « Oh, vous savez, quand ma femme était encore là, ça nous arrivait parfois d'échanger les rôles ... On se prenait vraiment au jeu, vraiment vraiment. » L'horreur et le dégoût se lurent sur son visage. Berkkkk. Ignoble. Le gars partit en sifflotant en tirant sur son chariot, laissant Cody alone. Enfin aloooone ... Normalement Dia était encore là, non ? « Kovache ? T'es où, putain ? » grommela-t-il pour ne pas se faire remarquer par l'autre psychopathe qui venait de sortir. Surtout qu’il semblait avoir une touche avec luiiii, trop weird ce mec. Il fallait que Cody voit les seins de Dia pour se ressaisir wesh.
 
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« Un jour … » Répéta-t-il après moi. C'est déjà un bon début. C'est mieux que, "jamais" ou encore "tu perds ton temps" ou encore "dans tes rêves" c'est pour cela que je trouvais "un jour" parfait pour un début. Suite à cela, je l'entraîne jusqu'aux vestiaires, commençant par dégrafer moi-même mon soutif sous le regard alléchant de MON homme. « T'es tarée. » Non du tout !. Enfin okey c'est je le suis, il l'est, nous le sommes. J'étais en mode, j'ai grave envie de faire l'amour avec toi, mais je te fais languir et je me torture en même temps. Non, je ne suis pas sadomasochisme. En guise de réponse, je lui tire la langue et me lance entre les nombreux casiers. « Dia ! » et se fut autour de ma culotte d'atterrir dans les mains du Lowell, mais après ça. CATASTROPHE. S'en ai fallu de peu lorsque je vis cet homme entrer avec son chariot. Rapidement, je me cache en plaquant mon dos contre le mur d'une rangée. Laissant le jeune homme passer. PUTAIN CODY !. Tout sauf qu'il croise Cody, on va se faire griller, on va se faire griller. « Bonsoir ! » Trop tard. On est foutuuuuuuuu. C'est à pas de voleur que je laisse leurs voix me guider jusqu'à eux, mais je reste toujours cachée, plaquée contre le mur en regardant Cody et cet homme parler. « Ma femme m'a quitté, je me retrouve à faire un job que je déteste ... » Dit l'homme en invitant mon bien-aimé à s'asseoir près de lui. Et qu'est-ce que je vois ? Il met sa main sur MON Codynosaure !. Beurkkkkk, je simule une envie de vomir avant de fermer ma bouche pour ne pas me faire remarquer. « Si tu veux mon avis, va au bout de tes rêves, n'abandonne jamais, sois le prochain Laure Manaudou. Lauro Manaudou. Je crois en toi. Et tu as l'air de croire en toi, c'est bien. » WTF ?. Et là, mon regard logea mes sous-vêtements que Cody brandissait à chaque fois qu'il parlait. Bras tendus vers eux, j'essayais de faire des signes pour que Bleeker me voit tout en l'appelant en silence, mais rien à faire, monsieur ne me voyait pas et mes sous-vêtements brandissaient toujours. Je pose alors une main sur mon front et secoue la tête. Et là, malheur ! L'homme remarqua enfin mes vêtements, Cody les cachait immédiatement dans sa poche. « C'est pas ce que vous croyez c'est pour apprendre à respirer, la circulation sanguine ... M'voyez. » Seriouslyyyyyyyyyyy ?. Je grimace en me disant que le mec, il ne va pas gober ça du tout. Putain, une circulation sanguine ? GADDDD ! Il n'y avait que lui pour trouver ce genre d'excuses débiles qui sort tout droit de son cerveau de déséquilibré. « Oh, vous savez, quand ma femme était encore là, ça nous arrivait parfois d'échanger les rôles ... On se prenait vraiment au jeu, vraiment vraiment. » OH MY GOD dis-je en silence tellement que je fus choquée sur le coup. Yeux écarquillés, bouche pendante, j'en revenais pas. Mais chélouuuuuuuuuuu ce mec, comment il accepte de faire ce genre de choses. Oh pitingggggggg je ne vois pas du tout Cody en string et soutien Omg vision d'horreur. Je reprennais mes esprits en me cachant, car l'homme se leva pour quitter les lieux. Enfin. « Kovache ? T'es où, putain ? » Je sors ma tête et je... « Psssst » Non je pisse pas hein. Je grimace en m'approchant de lui et en retirant rapidement mes sous-vêtements de sa poche. « Tu touches plus à ça ! Tu touches plus à tous les sous-vêtements qui puisse exister sur la terrrrrrreeeeeeee. » L'agent m'avait traumatisé en fait et du coup, je ne voulais pas que mon homme devienne comme lui au contacte des sous-vêtements, même que là, je simule de nouveau une envie de vomir en y repensant. « Chelouuuuuuuuuuu ce mec ! Pitingggggg échanger les rôles...beurk beurk beurk beurkkkkk. » Je pose mes mains sur mon visage histoire de chasser tout ce que mes oreilles venaient de supporter. « Une circulation sanguine ? Reallyyyyyyyyyyyyyy ?. » Dis-je avant d'éclater de rire. La meuf, vous l'aurez pas remarqué, mais elle était en train de parler en murmurant, genre comme-ci l'homme était encore là or il était parti. Ne lui en voulez pas, c'est dû au traumatise crânien qu'elle venait de subir. Et là, je m'approche de lui et pose une main sur Codynosaure commençant à frotter à travers son vêtement. Un silence s'installe. Me rendent compte de ce que j'étais en train de faire, j'ouvre grand les yeux, hausse les sourcils, regardant à droite puis à gauche et recule. « Ahem... » Trop conne. J'essaie de regarder ailleurs. « Je... je...Voulais nettoyer...Les traces de main...De l'autre là... Personne ne touche à Codynosaure à part moi !. » Je murmurais la dernière phrase assez rapidement, style très rapidement comme si je venais de courir un marathon, respirant trop rapidement. Respire Dia, respire, respire. Et alors que je voulais décamper, j'ai complètement zappé que j'étais juste à côté des casiers, du coup, en tournant à ma droite je m'en suis prise une en plein front. Okey. Awkwarddddddddddd moment !. Sayez, Dia riait bêtement. Youhouuuuu.
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That awkward moment when you realize a stranger is touching your penis. Cody tenta de paraître le plus neutre possible, criant des ordres télépathiques à Codynosaure, style ’pas bouger Codynosaure, hein, pas bouger, sinon t’auras pas de Kovagin’ jusqu’à ce que le Lowell réalise qu’il ne valait mieux pas penser à Kovagin. Kovagin est sa kryptonite, le sujet tabou, il ne faut pas parler de sa petite amie Kovagin sous peine de le voir faire le beau et c’est la dernière chose que Cody voulait en contact de cet homme. Heureusement, il partit et le jeune homme s'activa à la recherche de Dia. Il espérait qu’elle se montre vite parce qu’il n’avait pas envie de demander à tous les mecs qu’il croiserait dans les vestiaires s’ils n’avaient pas vu une espèce d’amazone à poil en train de courir nue dans la forêt de casiers. Ça serait un peu weird à ça risquerait de terminer en battue, genre vingt chasseurs pour une seule proie. Or, le seul chasseur de Kovache s’appelait Cody Bleeker. Elle l’appela par un ravissant petit ’psssssst’ et rappela Cody à l’ordre en lui arrachant les sous-vêtements qu’il avait rangé dans sa poche. Putain, ce fut le moment le plus weird de sa viiiie. Ce gars était tordu et il aurait pu leur épargner le couplet sur ses pratiques sexuelles avec son ex femme, nondidjuuuu. Le brunet se demandait si Dia avait entendu la conversation. A en juger par sa mine décontenancée et horripilée, oui. « Et bien, il va falloir que tu arrêtes d’en mettre alors. Sinon j’fais comment quand j’ai envie de toi ? J’te demande la permission pour que tu te déshabilles ? Non, non, je refuse. » ça serait trop weiiird va. ’Diamantikaaaa, aurais-tu l’audace de retirer ton soutien-gorge, que je puisse saluer comme il se doit les jumeaux Bleeker ?’ Non non, restons aux bonnes vieilles manières d’ours des montagnes. « Promets-moi que si dans vingt ans on se fréquente toujours, on deviendra pas aussi barge qu’eux ? J’veux bien le faire dans un bus, dans une piscine, au fond d’un train ou dans vieux grenier, mais ne me fais JAMAIS porter tes soutifs. Bon, ce qui me rassure c’est que j’ai plus de seins que toi, alors aucune chance que j’entre dedans. » Ah, la vie est belle quand on est gros. Il récupéra le sous-vêtement de Dia et tenta de justifier son excuse bidon de toute à l’heure, mais pas si bidon que ça, tout compte fait. Il entoura son bras entre son coude et son épaule avec l’objet en dentelle et lui expliqua le projet ; « Ouais, genre tu vois, ça ressemble à un garrot et après, on met la seringue dans le bras pour prélever le sang. C’est ingénieux, non ? J’suis sûr, cette technique apparaît quelque part dans un manuel de survie. » Et si ça ne l’était pas, il fallait vraiment penser à le mettre. Puis mettre Cody Bleeker en copyright, pour qu’il puisse toucher des royalties. La baseeeee quoi. Et comme il n’y avait pas eu assez de trucs bizarres dans les cinq dernières minutes, Dia se mit à … Tripoter Cody à travers son pantalon. Euuuh … Non mais fallait ARRÊTER avec Codynosaure, il commençait à être perturbé et Cody avec. Surtout que les mains de la Kovache n’étaient pas totalement innocente, enfin ça émoustillait le jeune homme et ce n’était pas le moment, l’heure est grave, grave, graaaave. Toutefois, il demeura immobile, un peu au bout du rouleau en fait, les mains vissées sur ses hanches, se demandant quand est-ce que Diamantika se rendra compte de ce qu’elle fout … Et ben ça arrivaaaaaa. Elle paniqua total et Bleeker éclata de rire, sans trop savoir pourquoi. Ça n’allait pas, ils craquaient carrément dans leur tête et le plus drôle n’était pas encore arrivé – sisi c’est possible. En effet, en voulant s’enfuir au courant, l’Eliot fit à peine deux centimètres qu’elle s’explosa le visage contre la porte d’un casier. « OH NONNNNN, tu viens de perdre trois neurones ! » s’écria Cody en se jetant sur elle. Bon OKKK, pas tout à fait, mais il encadra son visage de ses mains et lui ébouriffa les cheveux pour passer en revue l’état de sa boîte crânienne. Il multiplia les baisers sur son front pour s’assurer que tout est OK et puis il lui embrassa le nez. Il savait qu’elle ne risquait rien mais c’était un réflexe. Lui, quand il se prenait une porte, c’est le nez qui souffrait le plus. Mais il faut dire qu’il n’avait pas un nez totalement normal. « Tu sais quoi ? J’vais remédier à ton problème de cerveau. J’vais te greffer de nouveaux neurones en t’apprenant trois choses que tu ignorais totalement ! Le concombre des mers peut faire rentrer des poissons dans son anus. Il est impossible de plier une feuille en papier plus de sept fois. Je t’aime. » lâcha-t-il spontanément. Tous ses muscles se contractèrent comme s’il venait d’être foudroyé. Ses doigts se raidirent autour du visage de Diamantika, ses globes oculaires s’exorbitèrent et, sans plus attendre, il courut hors du vestiaire, regagnant le bord de la piscine, en gueulant à l’homme de ménage de toute à l’heure, espérant sincèrement qu’il était encore dans les environs. « Heyyyyyyyyy heyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyy, reveneeeeezzzz, vous avez pas touuuut nettoyéééé, il y a une femme toute nue dans les vestiaireeees, débarrassez-moi de çaaaaaaa, ce sont les vestiaires des hommessss ! Je suis un homme et c’est une femme nue ! C’était ses sous-vêtements pas les miensssss ! » MAIS MERDE. Il n’avait pas pu partir si vite ? Ils étaient où les gens quand on avait le plus besoin d’eux ?  Fuuuuck, Cody ne pouvait pas rester seul iciiiii ! Ce fut à son tour de se précipiter dans les gradins, se réfugiant entre deux rangées de sièges, assis par terre.
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Jamais plus de la vie je laisserais Cody toucher des sous-vêtements si c'est pour qu'un jour, il me demande d'échanger les rôles, oh ça nonnnnn. En même temps, je ne pouvais pas non plus me pavaner toute nue en dessous de mes vêtements. Gad, pourvu que ce que l'homme avait lâché ne se soit pas introduite dans le cerveau du lowell comme un virus. « Et bien, il va falloir que tu arrêtes d'en mettre alors. Sinon j'fais comment quand j'ai envie de toi ? J'te demande la permission pour que tu te déshabilles ? Non, non, je refuse. » Je grimaçais en secouant négativement de la tête parce que je ne pouvais pas me passer de sous-vêtements également. « Promets-moi que si dans vingt ans on se fréquente toujours, on deviendra pas aussi barge qu'eux ? J'veux bien le faire dans un bus, dans une piscine, au fond d'un train ou dans vieux grenier, mais ne me fais JAMAIS porter tes soutifs. Bon, ce qui me rassure c'est que j'ai plus de seins que toi, alors aucune chance que j'entre dedans. » Non mais jamais de la life. Je secoue même plus rapidement de la tête en rajoutant. « Non non non non non non JAMAIS ! Beurkkkkkkkk !. Puis t'dis n'importe quoi, j'ai une magnifique poitrine, t'as absolument pas plus de seins que moi pfff. » Ouai mais quel joli couple, ils sont là, à comparer la taille de leurs... seins. Trop mignon...ou pas. Et là, y a Cody qui me montre comment procédé à une circulation sanguinaire. « Ouais, genre tu vois, ça ressemble à un garrot et après, on met la seringue dans le bras pour prélever le sang. C'est ingénieux, non ? J'suis sûr, cette technique apparaît quelque part dans un manuel de survie. » J'éclatais de rire en reprennant à nouveau ma culotte l'enfilant vite fait avant que ça ne lui donne d'autres idées chélou. Je remets mon soutif également parce que je n'avais pas envie de rester nue comme un ver là. Et puis vint par la suite, le moment le plus Awkward de toute mon existence. Je me suis mise à caresser Codynosaure sans vraiment m'en rendre compte et ce n'est que quelques petites secondes après que je redescendis de mon nuage. Puis boulet comme je suis, je voulais m'enfuir loin loin loin très loinnnnn, mais malheureusement, c'est contre le casier que mon front a atterri. Bravo Dia. « OH NONNNNN, tu viens de perdre trois neurones ! » Dit-il avant de se ruer sur moi pour m'ébouriffer les cheveux et déposer de petits baisers sur mon front en guise d'anti-inflammatoire. Ça marchait, même que je souriais lorsqu'il embrassa mon nez. Trop mignonnnnnnnnnnnn. « Tu sais quoi ? J'vais remédier à ton problème de cerveau. J'vais te greffer de nouveaux neurones en t'apprenant trois choses que tu ignorais totalement ! Le concombre des mers peut faire rentrer des poissons dans son anus. Il est impossible de plier une feuille en papier plus de sept fois. Je t'aime. » Le concombre des mers peut...qu'est-ce que... Il était sérieux là ?. « HAHA aaaaaaa.... » Ça c'était moi en mode prête à exploser de rire, mais lorsque le "je t'aime" s'infiltra dans mes tympans comme la foudre, je n'avais pu continuer. D'où le aaaaaaa qui se voulait murmure. J'étais genre surprise, choquée, mon esprit venait de se séparer de mon corps, je regardais Cody sans vraiment le regarder, tellement, que je n'avais même pas remarqué qu'il venait de sortir en gueulant comme un malade mental. Quelques secondes plutard, je sors de mon état de choc, courant à mon tour comme une hystérique, tremblante comme une épileptique, criant... « AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHH. » Et je saute dans l'eau en me recroquevillant sur moi-même tout en entourant mes jambes de mes mains. Je venais bien d'entendre les fameux mots magiques n'est-ce pas ? PUTAIN IL VENAIT DE DIRE JE T'AIME NON D'UN CARIBOUUUU. Je me laissais couler vers le fond, sourire aux lèvres. Ouai, ça c'était la réaction teubé de Dia. Faut dire qu'elle ne s'y attendait pas du tout. Mon cœur battait tellement fort qu'on aurait dit le bruit d'un tam tam sous l'eau. Puis, lorsque je manquais de souffle, je remontais à la surface en relâchant une longue respiration. « CODYYYYY RAMÈNE TON CUL POILU ICIIIIIIII ! » Ouai, ça c'était ma lonnnnngue respiration de la mort qui tue. Je sors de l'eau à la recherche de mon je t'aime. Bon, je n'aurais pas dû courir aussi trempé parce que là, je venais de glisser en tombant en arrière. Je fixe le plafond en soufflant sur une mèche de cheveux qui me gênait. « Je vais te retrouver !. » Criais-je assez fort. Ah ! Mais pourquoi n'aies-je pas pensée plus tôt ?. Les gradins. Je me lève et fonce dans les gradins en faisant attention à ne pas tomber cette fois-ci, et soudain, mon regard croise le sien. « T'ES LÀÀÀÀÀÀÀÀ ! » Et hop, je passe à la vitesse supérieure en courant rapidement vers lui afin de le chopper.
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Maaaaaaaahhhh ch’eeeeest pas pochiiiibleeee Couuudy, maaaah qu’aaaaache qu’as tou voulouuuu faireuuuh Coudyyyyy … Wesh, je sors mon accent antillais quand j’engueule Cody, narmol, et quand j’suis heureuse et contente pour lui, on s’met à danser le zouk sur du Keen’V. Oui je saaaaiiiis, je fais beaucoup référence à Keen’V mais j’y peux rien, ma partenaire RP l’adore hein, il faut de tout pour faire un monde ! Bweeeeef, assis par terre, Cody se maudissait d’être parti en courant. Ohlalalala, il aurait suffi qu’il continue à parler du concombre de mer, du fait que tout le monde squatte son anus, les vers marins, les crabes, les poissons. D’ailleurs, les gros poissons, comme ils ne peuvent pas faire demi-tour, faut qu’ils entrent en marche arrière dans le concombre de mer. Après, on dit que la seconde guerre mondiale a été la plus grosse opération logistique de tous les temps, et ben, la personne qui a dit ça ne connaissait rien du calvaire qu’endure jour après jour le concombre de mers. Heureusement qu’il a son attaque ’dissuasion spaghetti’. D’ailleurs, vous imaginez Sasha en plein combat ’Concombre de Mer attaque DISSUASION SPAGHETTIIIIIIII’. Et dans ce cas-là, on retrouverait le cœur de Cody Bleeker vaincu par KO. J’parle pas de la vie des concombres de mer uniquement parce que se cultiver en RPant c’est cool, mais parce que Cody était tapi entre deux rangées de sièges en train de ressasser les trois mots qu’il venait de dire. 3 mots. 7 lettres. 15 points au Scrabble. Sachant que ça peut aller du simple au triple suivant les cases où les lettres sont placées. Mais j’vais pas m’appesantir sur les règles du jeu de ma grand-mère. D’ailleurs, mémé, si tu lis ce rp, tes crêpes étaient putainement bonnes, gastediouuuuu j’en ai léché mon assiette. Cody restait coincé entre ses sièges, les genoux remontés jusqu’à la poitrine, bloqués par ses bras qui les entouraient. Soudain, un splash ressenti, ce qui le fit sursauter. OH NOOOON, elle n’a pas réussi à supporter l’absence de Cody et elle s’est suicidééééé, nooooooooooon. En fait, effectivement ; non. Elle remonta à la surface et Cody se rabaissa aussitôt. Elle lui cria de ramener son cul poilu ici. Je crois pas nooooon. Le problème de ces gradins, ce qu’il ne voyait pas à travers les sièges la jeune femme arriver. Du coup, elle l’eut par surprise quand elle se pointa au bout de sa rangée. « NON JE N’SUIS PAS LÀ ! » Sitôt, Cody se leva comme monté sur un piston et partit dans la direction opposée en courant à toute berzingue dévalant les escaliers, se perdant dans ce labyrinthe de siège, finissant par descendre les sièges un à un en levant les jambes plus haut que les étoiles. A la fin, au moment d’arriver sur le carrelage de la piscine, il glissa sur une flaque et s’écrasa de tout son long. Ses coudes et ses genoux prirent un coup et firent retentirent un gros BOUM dans toute la piscine. Ça faisait maaaal putaiiiiin. Mais pas le temps de chialer, la menace fantôme approchaaaaaiiiiit et Cody se devait de fuir Dia encore et toujouuuuuuuuurrrrrs. Il se releva et partit à grande foulée, se dirigeant droit vers le plongeon de tout à l’heure. Il grimpa les escaliers quatre à quatre, manquant de se fracasser la gueule à chaque nouveau palier. Puis, il arriva enfin jusqu’à la grande planche où il avait blessé Codynosaure précédemment. Essoufflé, éreinté, exténué … Trop d’adjectifs en é----é existaient pour décrire son état d’esprit. Mais le voilà rassuré.  Au moins, du haut de son piédestal, il se sentait en sécurité. Dia ne viendrait pas. Elle avait le vertige, elle avait le vertige, elle avait le vertige … Il fixa les gradins. Mais putaaaain, elle était où maintenant ?
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Pauvre petit concombre des mers, il a une bien triste histoire. Grand Merci à Marie de m'avoir fait connaître son histoire à travers une vidéo. Madame Miller a le chic pour trouver des perles rares ma foi et elles ne sont pas du tout chélou, mais alors pas du tout. Après avoir sauté dans l'eau, tout ça parce que monsieur Bleeker venait de faire sortir comme une fleur ce qu'elle voulait entendre, mais ne pensait pas l'entendre de si tôt vous m'voyez. D'où le choc immédiat. Mais j'étais heureuse, heureuse de l'entendre même si cela n'a duré qu'une seconde et peut-être ne se reproduira plus avant longtemps. Peut-être qu'il l'avait fait sortir par erreur, mais il l'avait fait sortir quand même, ce qui veut dire qu'il le pensait. Nondidiouuuuu, comme j'aimerais l'entendre encore, c'était rapide, mais beau, vraiment très beau. Il y avait comme une géante vague déferlante qui parcourait mon corps et ce n'était pas vraiment prêt de s'arrêter. Et puis, il y a eu ma chute en arrière, mais je m'en fiche et je n'avais même pas mal, il suffisait que je pense au "je t'aime" et pouf le mal disparaissait. Je crois que je ne vais pas réussir à dormir la nuit tellement que je vais y repenser encore et encore, me passant en boucles dans la tête, ces fameux mots. Je me suis mise à courir dans le gradin trouvant sa cachette. « NON JE N'SUIS PAS LÀ ! » Monsieur se prenait pour invisible man maintenant ?. Moi, mes yeux ne me faisaient pas défaut du tout, je n'ai pas besoin de lunette, ni je suis aveugle. C'est pourquoi, je continuais de lui courir après. Il a de la chance que je suis trempée que je dois faire attention à ne pas glisser au risque de m'ouvrir le menton ou même la tête, sait-on jamais. Il sauta de siège en siège, moi si je le faisais, je serais beaucoup trop lente, du coup, je préférais courir entre les rangs. C'est en arrivant au bord de la piscine que monsieur s'est prise une flaque d'eau et BAM, il se mangea des coups, comme elle. Couple boulet de l'année bonjour. J'y étais presque, putain j'y étais presqueeeeeee. Il se releva rapidement et courra jusqu'au plongeoir afin de monter et s'y caler là où nous étions t'aleurs. Sans vraiment calculer, je monte par réflexe, mais arrivée là haut, lorsque je regardais en bas et que le vertige se re-pointa aussitôt, mains et pieds se reposèrent sur l'échelle redescendant à toute vitesse. Impossible pour moi. « TES MÉCHANNNNNNT ! Je voulais juste rattraper mon JE T'AIME ! » Et maintenant je ne pouvais plus. Soudaine, j'eusse une idée. Je remonte l'échelle et une fois en haut, je ferme les yeux. « Tu n'bouges pas j'arrive ! » Je monte sur la planche et je marche à pas de fourmis. A cette allure, ce n'est pas demain la veille que j'arriverais jusqu'à Cody. « Oh merde j'ai trop peur !. » Je m'arrêtais quelques secondes, respirant encore et encore histoire de me calmer. « Raconte-moi n'importe quoi ! Fais-moi oublier ma peur !. » Surtout mon vertige. Me remettant en marche, il fallait vaincre ma peur, il fallait que j'ouvre les yeux et que j'affronte ce vertige, c'était difficile. Mon cœur menaçait de rompre. Et là, j'étais en train de me gourer de chemin, j'étais en train de dévier à droite et c'était dangereux. Mais fort heureusement, Cody m'attrapa les mains pour m'attirer rapidement à lui. J'entoure mes bras autour de sa taille et garde les yeux fermés. « Je t'ai attrapé. » Dis-je en riant. J'avais fait l'effort de monter jusqu'à lui, malgré ma peur, malgré mon vertige. Je l'avais bien dit, je suis prête à tous les sacrifices pour lui, pour mon amour. Je suis donc prêt à défier ma peur également. La preuve, je suis dans ses bras, au bout de la planche.
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Princesse Fiona était enfermée au sommet de la plus haute tour du plus haut château, duquel Shrek brava tous les dangers pour venir la délivrer. Amenons un peu de modernité à cette histoire et voilà maintenant Cody au sommet du plus haut plongeoir. On aurait dit un gosse qui jouait au loup avec ses camarades de classe. Et là, le plongeoir, c’était le pif, le seul endroit où le loup ne pouvait pas le manger. Voilà une nouvelle règle que Diamantika s’empresserait de respecter, non ? Et bien … Non … Cody se serait cru dans un film d’horreur en voyant sa petite tête apparaître derrière le muret qui bordait cet escalier interminable. Infatigable. Elle le poursuivrait jusqu’à la mort, ou jusqu’à ce qu’elle obtienne ce qu’elle voulait de lui. Ça revenait au même d’ailleurs. Entre la mort et l’amour, il n’y a qu’une lettre. Phonétiquement parlant, of course. « Tu le rattraperas PAS, laisse-le s’envoler ! Tu l’as inventé ! » Ouais, tout ça était dans sa tête, ça expliquait parfaitement pourquoi Cody courait comme un dératé depuis cinq minutes pour l’éviter, narmol. Il montra ses pieds et dessina de grands cercles avec ses mains autour et criant de nouveau ; « T’as pas le droit de t’approcher ! C’est mon périmètre de sécurité ! C’est la règle, respecte la règle, merci. » Comme si un cercle invisible autour de ses pieds suffirait à dissuader Diamantika de s’approcher. Oh, puis de toute façon, elle ne s’approcherait pas, elle avait trop peur, elle flippait à l’idée d’être à vingt mètres au-dessus du vide, elle flippait à l’idée de pouvoir tomber à tout moment dans cette eau limpide et frivole. Elle flippait, au moins autant qu’il flippait de ses sentiments. Mais elle approchait. Le bras tendu. On aurait dit la poupée Chuckie en pleine ascension, en train de le menacer avec ses ciseaux tranchants et ses yeux pas nets. Sueur froide, muscles tremblants, le jeune homme voyait sa vie défiler devant ses yeux. Il tâtonnait à reculons, tentant de gagner quelques infimes millimètres sur Dia. Et ben voooouaaaalà maintenant qu’elle flippait. En plus, il fallait que Cody la rassure, le comble. Mais il le fit quand même, trop gentil ce mec ; « Le concombre des mers se fait voler son plancton par toutes les autres bestioles des récifs sous-marins. C’est un gros soumis de la vie mais il ne faut pas le sous-estimer. Il suffit qu’il crache tout son appareil digestif pour empoisonner un requin. J’vois pas pourquoi dans ’les dents de la mer’ ils ont sorti je-ne-sais-combien-de-moyens pour venir à bout de ce prédateur. Il suffisait d’avoir un concombre des mers et affaire réglée ! » Wow, dis donc, ça le détendait d’apprendre ces choses-là à Diamantika, dis donc. Alors qu’elle avançait, il continuait à reculer, jusqu’à ce que son talon ne soit même plus sur la planche, qu’il s’agrippe au morceau de plastique grâce à la plante de ses pieds. Ses orteils menaçaient de lâcher. Putain, elle avançant, avançait … ELLE TOMBAIT. Cody tendit finalement les bras pour la guider parce que la dernière chose qu’il voulait, c’est qu’elle meurt. Quoique ça réglerait son problème de ’je t’aime’ compulsif, au moins. « Arrête, tu ne m’aurais pas attrapé si j’t’avais pas un peu aidé. T’as triché. T’avais pas le droit de venir ici. T’as triché tricheuse. » N’empêche qu’il enlaçant ses bras autour de ses épaules, tendrement. « Si je tombe amoureux, tu tombes amoureuse. » Tu tombes. Et il ne lui laissa pas le temps de réagir avant de sauter dans la piscine une nouvelle fois. Sauf que cette fois, il était OK donc en gros, il ne faisait que se venger – à juste titre – de ce que lui avait fait subir Diamantika il y a une petite heure. Gosh, déjà une heure. Le temps passe si vite avec ce monstre. Cody remonta à la surface pour reprendre sa respiration. Puis, il éclata de rire en regardant la Kovache. MOUAHAHAH, bien fait pour elle. C’était une vengeance bien méritée.  Et puis, d’une certaine manière, ils scellaient leur amour. Il tombe, elle tombe, c’est comme ça et pas autrement.
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« Tu le rattraperas PAS, laisse-le s'envoler ! Tu l'as inventé ! » Mensongeeeeeeee, je n'ai rien inventé du tout, c'était sorti de sa propre bouche. A moins que j'avais eu une hallucination, une petite pause où j'imaginais qu'il me disait. En mode "je réfléchis", je ne répondis rien. Non, je suis certaine qu'il l'avait dit, je l'ai entendu, ça a sonné dans mes oreilles comme une énorme cloche au sommet d'une cathédrale. Impossible de me tromper. « T'as pas le droit de t'approcher ! C'est mon périmètre de sécurité ! C'est la règle, respecte la règle, merci. » J'explose de rire, comme si j'allais l'écouter. Ce territoire ne lui appartenait pas du tout. C'est pourquoi, détenteur de mes propres envies, je remonte l'échelle pour arriver jusqu'à lui. Mais le trajet fut long, donc je lui demandais de me faire oublier ma peur. « Le concombre des mers se fait voler son plancton par toutes les autres bestioles des récifs sous-marins. C'est un gros soumis de la vie mais il ne faut pas le sous-estimer. Il suffit qu'il crache tout son appareil digestif pour empoisonner un requin. J'vois pas pourquoi dans 'les dents de la mer' ils ont sorti je-ne-sais-combien-de-moyens pour venir à bout de ce prédateur. Il suffisait d'avoir un concombre des mers et affaire réglée ! » Le comble du comble. J'éclate de rire, même que cela avait failli me déséquilibrer. Il est taré ce mec, mais il relevait quand même un bon point. Il suffisait d'un concombre de mer pour vaincre le requin sans victime et sans besoin de faire couler le sang. « Ce concombre à une histoire bien trop triste, mais elle pourrait sauver des vies j'avoue et devenir une super star. » Dis-je en marchant toujours vers Cody. Mais au moment où j'allais dévier de trajectoire, le lowell me rattrapa rapidement. « Arrête, tu ne m'aurais pas attrapé si j't'avais pas un peu aidé. T'as triché. T'avais pas le droit de venir ici. T'as triché tricheuse. » Les yeux toujours fermés, je lui offre un large sourire avant de rétorquer. « Peut-être bien, mais au final je t'ai attrapé quand même, alors peu importe comme j'y suis arrivée, je suis arrivée. » Et je lui tirais la langue. Serrant son chemisier dans son dos. « Si je tombe amoureux, tu tombes amoureuse. » Il est en retard le mec, je suis déjà amoureuse, il a des trous de mémoire incroyable le Bleeker. Il n'aurait pas un Alzheimer par hasard ?. « C'est... » Je n'eusse le temps de finir ma phrase que je me sentais voler. Un vent incroyable me frappais au visage. J'ouvre alors les yeux en me rendant compte que tomber amoureux (se) signifiait tomber dans la piscine by Cody. OMG. « AAAAHHHHHHHHHHHHHHH. » Et je criais à nouveau en cassant même les tympans du lowell et puis SPLASH ! Nos corps s'écrasèrent dans l'eau, moi qui coulais tout au fond avec un large sourire. Et vous savez pourquoi ? Parce que j'avais aimé ce plongeons et parce que je me suis trouvée ridicule à avoir peur à ce point et parce que Cody Bleeker venait de faire un miracle, surement le premier de sa longue vie catastrophique. J'avais réussi à vaincre ma peur. Je remonte à la surface et ni plus, ni moins, je fonce sur lui, rire de joie et je plaque plusieurs baisers sur ses lèvres en murmurant. « J'ai réussi, j'ai réussi, t'as réussi ! Sayez, j'ai vaincu ma peur et c'est grâce à toi ! P'tain c'était bon ! L'adrénaline et tout ça, c'est un truc de ouf !. » Dia s'excitait comme une puce. D'ailleurs, je sortais de l'eau en remontant l'échelle. Maintenant, il fallait que je saute toute seule histoire d'avoir la preuve que j'étais guéri. Même qu'une fois sur le plongeoir, je ressentais à peine le vertige, mais pas la peur, plutôt l'envie de sauter et c'est ce que je fis après avoir pris une grande inspiration. Je nage sous l'eau remontant contre le corps de Cody tel une sirène des mers. « T'as vuuuuuuuu, je peux sauter toute seule maintenant. Merci, merci, merci. » Merci pour cette soirée de ouf, merci pour ce miracle et surtout, merci d'avoir ne serait-ce fait sortir un "je t'aime" par erreur. Là, j'étais la femme la plus comblée. Je le smack rapidement avant de plonger sous l'eau en nageant comme une sirène jusqu'au rebord opposé où je me suis adossée en regardant mon bien-aimé amoureusement. « Merci pour cette fabuleuse soirée. » Dis-je avec un petit sourire. C'est fou comme le temps passe vite, il faut dire que je perdais toute notion du temps quand j'étais avec lui.
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