KENYA ♥ I 'm not a star

"Moi ça me plait bien que tu passes pour une femme qui me veut." Dis-je en haussant les épaules. Je la portais jusqu'à la douche, mes lèvres étaient proches des siennes, mes yeux dans les siens et mon front contre le sien aussi. J'avais une folle envie de la faire mienne alors qu'elle s'amusait avec moi, elle voulait coucher avec moi tout de suite, j'aimais entendre ça de sa bouche. C'était pire qu'excitant, de toute manière j'étais un homme qui aimait qu'on lui parle ainsi, je réagissais bien fortement à des mots parfois plus à des gestes, tout dépendait de mon humeur en fait car je me surprenais à apprécier sa jambe qui remontait contre ma peau. Ma main sur sa taille, l'autre sur sa cuisse pour lui bloquer sa jambe, je déposais des baisers sur sa joue, la base de sa mâchoire, son cou descendant un peu. "Ne perdons pas de temps…" murmurais-je sensuellement seulement la réalité revenait et c'est un énorme juron poussé bien fortement qui sortait de ma bouche. "Putain !!!" m'écriais-je agacé. J'avais les nerfs clairement, je me sentais plus, j'avais envie de casser un truc, me résignant à laisser Anya seule sous la douche et attrapant mon peignoir au sol. "Quoi?" dis-je en nouant la ficelle autour de ma taille. "On vous attend en bas." Déclara une assistante. "Je suis en pause, Priape vous l'a pas dit?" j'étais pas très cordiale, agacé par contre j'étais au top niveau. "Si mais le réalisateur à dit que vous deviez descendre." Je ronchonnais hochant la tête, fermant la porte juste après et me laissant aller sur le canapé. "ça commence à me gonfler cette histoire." La frustration parlait énormément là. "Fais chier." Oui encore un mot inhabituel alors que je partais de nouveau sous la douche pour retirer le faux sang. J'étais chaud comme de la braise et le pire c'était le corps d'Anya devant mes yeux qui me tentait.

 Je passe, je passe, tu sais très bien que je suis cette femme répondais-je avec un petit sourire sur le coin des lèvres. J'étais normale après tout, avoir un homme comme Kenny à ses côtés, ça vous donne envie de pas mal de chose. Je lui disais en français, que c'était tout de suite que j'avais envie mais pas ce soir. Je n'étais pas certaine qu'il est compris étant donné que je l'avais dis en Français .... mais il avait bien compris. Ma jambe remontais contre la sienne, il la bloquait et ça me rendait juste encore plus désireuse. Kenny .. soufflais-je en sentant ses lèvres contre ma joue, mon cou... j'avais envie que ça se fasse tout de suite mais bien entendu, quelqu'un venait nous interrompre en toquant à la porte. Je soupirais en levant les yeux au ciel, Kenny jurait. Il ne le faisait que rarement et là, il n'arrêtait pas. J'entendais sa discussion avec une assistante. Pour ma part, je tentais d'enlever le colorant rouge de mes cheveux, j'en étais déjà à mon deuxième shampoing lorsque Kenny venait de nouveau.  T'es pas si vulgaire d'ordinaire lui dis-je en continuant de me frotter.  Laisses moi faire .... je me penchais pour ramasser le gel douche et la fleur de douche afin d'aider mon mari à aller plus vite pour retirer le faux sang. Promets moi qu'on va vite rentrer

Anya marchait dans mon jeu et Priape encore plus vu qu'il s'excusait auprès d'Anya pour le dérangement. Désormais seuls en sa compagnie, je la regardais encore et encore haussant les épaules. "Je crois enfin c'est la seule chose qui est venu dans ma tête, peut être alors mais ça serait pas raisonnable." Je le savais, Anya ne voulait pas de bébé puis même on ne pouvait pas se permettre d'en faire un alors que notre fille était encore assez jeune et qu'on avait déjà du mal à gérer notre vie de couple et de famille. "Là je crois." Je reprenais là ou nous étions arrêtés, le plaisir m'habitait toujours autant, je la regardais alors que les traces de ses lèvres étaient encore fraiche contre mon cou, je fermais les yeux, mon front tombait contre son épaule, la soutenant toujours autant et les gémissements poussé presque à l'unisson. "Hummm…" poussais-je en sentant une Anastasiya qui prenait les choses en main, elle me mordait la lèvre et se fut ça qui me faisait partir quelques secondes plus tard qu'elle. Je prenais une aspiration pour aller l'embrasser, se fut pas langoureux, c'était doux et amoureux, ça constatait avec le coté sauvage que nous avions eu en cet instant, c'était plus agréable et pour être honnête je me sentais heureux complètement, la frustration avait tendance à me rendre désagréable. "Sérieusement, on va devoir y aller alors que j'ai envie de te câliner…" Je soupirais, je voulais pas y aller mais Anya commençait à énervé l'équipe de tournage car c'était quelque part à cause d'elle que nous étions souvent en retard et le réalisateur n'appréciait pas. Je me défaisais un peu d'elle, pas entièrement, j'avais toujours ma main dans la sienne, mes yeux aussi plantés dans les siens et je bougeais pas, je gardais sa peau contre la mienne. Je voulais être contre elle pour quelques heures encore.

Oh mon dieu, ça faisait 24 heures que j'avais envie que ce moment arrive et me voilà enfin satisfaite, nous voilà enfin satisfait. J'embrasais mon mari tendrement en laissant mes bras s'enrouler autour de sa nuque pour la lui caresser doucement du bout de mes ongles tandis que l'eau coulait toujours sur nous. Oui mais je fais mon test de grossesse ... ça prend du temps non ?  dis-je en riant légèrement. J'avais pas envie qu'il descende en bas. Puis sérieusement, lorsque deux personnes s'adonnent au plaisait charnel, ça se voit sur leur visage. Kenny avait les joues légèrement rouge, ses yeux brillaient , je l'avais légèrement griffé, fort heureusement, il portait un tee-shirt pour cette scène. Il restait contre moi, je faisais de même, je ne voulais pas bouger. Je le regardais droit dans les yeux, je caresser sa nuque d'une main pour laisser l'autre caresser sa joue.  Je veux pas te laisser partir .. je fis une petite moue pour lui voler un baiser, puis un deuxième suivis d'un troisième, quatrième. Parce que je suis responsable, je vais te laisser partir mais après t'es rien qu'à moi je déposais un baiser sur son nez avant de sortir de la douche. Enfin. Je prenais une serviette pour la tendre à Kenny et finalement je laissais tomber la mienne pour nous entourer tous les deux dedans.  Me regardes pas comme ça dis-je en riant un peu avant de me reculer.  Alors juste... laisses moi faire j'attrapais un peignoir en satin pour me le poser sur les épaules, je le fermais avant de prendre la serviette de Kenny pour commencer à le sécher moi même. C'est plus rapide comme ça non ... je le séchais doucement, le bras droit, le torse, le bras gauche, puis je descendais plus bas ... je souriais en le regardant. C'est une fois que j'avais tout sécher, que je prenais le sèche cheveux pour sécher les cheveux brun de mon mari, face au grand miroir.

"et tu crois que moi je veux te laisser partir peut être?" Je la serrais encore plus fort contre moi. Un baiser, un second, on se laissait emporter sauf qu'Anya était bien raisonnable, trop à mon gout que je ronchonnais quant elle partait. "Mais non." Un enfant, je la suivais quand même boudeur, j'avais encore la tête post câlin, les joues rouges, les yeux brillants, comme Anya quoi, on serait vite démasqué sauf si on mentait jusqu'au bout en disant que c'était l'émotion du bébé à venir après tout les tests de grossesse n'était pas fiable à 100 pourcent, on pouvait dire que c'était faux après. "Je te regarde comme ça parce que tu essayes d'être responsable mais que tu me résistes pas." Je riais un peu, passant mes mains sur ses hanches. "Arrête de me fuir, c'est nul mais d'accord me laisse faire." Elle m'essuyait, je la regardais faire, ma main glissait sur sa joue, je la trouvais belle, douce et prévenante, c'était ma femme, une femme que je voyais beaucoup plus souvent ces derniers jours. J'hochais la tête à ce qu'elle disait pour finalement attraper son visage entre mes mains et la regarder droit dans les yeux. "Je t'aime. Je sais que tu le sais mais je t'aime." C'était sincère, sa sortait du cœur, je me reculais un peu rouge tout d'un coup, je sais pas pourquoi j'avais pas besoin de lui dire maintenant. Me regardant dans le miroir, je fus choqué de voir les griffures sur mon dos. "Ah non je t'aime plus là !" dis-je en m'approchant plus. "Ta fais quoi, j'ai un chat qui m'a griffé limite." J'hochais négativement la tête, rieur alors que je m'habillais. "Petit diable va, tu vas voir." Un air de défi, un peu sadique, je sortais de la loge ou Priape m'attendait. "On y va, j'ai envie de terminé rapidement tout ça, je fatigue, j'ai la migraine en plus." Chuchotais-je à mon assistant avant de descendre tourner la scène.

Tu peux aussi ne pas me laisser partir ...  j'haussais une épaule, avec une petite moue sur les lèvres. J'aurais aimé rester dans sa loge avec lui. Ne voir personne d'autre que mon cher et tendre époux. Oui mais au moins j'essaye et dieu seul sait que c'est difficile oh oui, c'était difficile. Je prenais une serviette pour sécher mon mari, après m'être moi même enroulé dans un peignoir. Je lui levais les bras,, je passais la serviette ensuite dans son dos, sur ses fesses, ses jambes, puis son visage. Il m'arrêtait pour me dire des mots doux. et moi je t'aime un peu plus chaque jour mais moins que demain. Je sais pas ce que je ferais sans toi  j'étais timide. Je n'aimais pas parler de mes sentiments et je ne le faisais presque jamais. Le sèche cheveux dans les mains, je lui séchais les cheveux, il n'était pas si long, c'était rapide, pas comme les miens.  GRRRRR  mes doigts recroquevillaient , je lui faisais même un petit rugissement.  Je suis pas qu'un simple chaton, je suis une tigresse et je te signal que je me suis retenu parce que t'avais la fin du clip à tourner je me mettais sur la pointe des pieds pour déposer un baiser contre sa joue puis contre son épaule. Je vais voir à quel point tu m'aimes c'est ça ? je lui faisais un clin d'oeil, puis rapidement il s'habillait pour partir tourner son passage. Je l'attendais ici, préférant ne pas sortir pour qu'on ne soit pas démasqué. Je continuais de me préparer en l'attendant et une fois que se fut terminé, je mettais le casque de Kenny sur mes oreilles pour écouter ses chansons, les yeux fermés. Impatiente qu'il revienne.