KENYA ♥ I 'm not a star

Je la regardais aussi, j'étais sérieux, je n'allais pas me laisser intimider c'est vrai pour être au plus proche de la réalité j'avais essayé des choses que je me serais pas cru capable et Anya j'espérais qu'elle passe au dessus de ses peurs, de ses préjugés car clairement c'était des préjugés, les gens n'étaient pas si primate enfin jusqu'au moment ou j'entendais Anya crier, j'allais vers elle, je courais presque poussant quelques personnes pour m'interposer face à la voleuse qui s'enfuyait sans aucuns butins. "ça va?" dis-je en la regardant. Ma main passait sur sa joue, je la regardais de haut en bas jusqu'à fourrer ma main dans la sienne. "On va marcher, on y va." Je ne disais rien de plus, je ne lui laissais pas aussi le moyen de contester même si je soupçonnais qu'elle le fasse. Remontant, on marchait dans la grande rue, elle avait été un peu fort aussi en parlant de Candice comme si j'avais apprécié l'embrasser, je dis pas qu'elle m'avait dégoutée mais quand même elle avait bien vu que ça ne m'avait fait aucuns effets puis j'étais le genre de personne qui embrassait pas aussi facilement que ça. Un peu déçu peut être de sa réflexion et de l'autre coté heureux de voir son coté jaloux ressortir.

Je la sentais pas cette fille, vraiment pas, surtout depuis qu'elle avait caressé mon sac. Non mais allô ?! Elle est venu caresser mon sac comme si s'était un chien. Je partais vers la sortie du métro après ce que Kenny m'avait dit. C'était pas plaisant à entendre. Le fait qu'il me force à faire quelque chose que je ne voulais pas quitte à me faire la tête, puis me dire que je ne serais pas capable de faire le métier pour lequel j'étais né. Je repensais à tout ça lorsque cette fameuse timbré tentait d'arracher mon sac. Je criais en la poussant, Kenny arrivait en poussant la femme. J'hochais la tête en le regardant pour finalement reprendre mes esprits. Oui ça va ... mais elle est complètement folle on est pas du même monde Kenny, je te l'av ai dit. J'étais pas faite pour ce genre d'endroit qu'il le veuille ou non. La jalousie était un vilain défaut et on en avait eu la preuve. Je prenais mon désinfectant pour les mains histoire de nettoyer mon sac aussi, j'avais envie de m'en jeter sur le visage, de m'en frotter sur toutes les parties de mon corps découverte. Nous marchions dans la rue avec Kenny, je ne le regardais pas encore blessé par ce qu'il avait pu me dire et son chantage à deux francs.  C'est où ? demandais-je sans vraiment y mettre les formes, ni même un regard puisque je regardais devant moi, mais notons que j'avais tout de même gardé sa main dans la mienne.

"Complètement." Je ne rajoutais pas plus, Anya se désinfectait les mains et elle mit sa main dans la mienne la seconde suivante. Le silence régnais entre nous, je ne parlais pas, elle ne me regardait pas, je sais que je l'avais blessé, j'en étais conscient mais je pensais qu'elle allait prendre ça comme une provocation et venir à mes cotés mais non. "On doit remonter l'avenue." Dis-je en tournant la tête vers elle. "Je regrette pas, je veux dire mes paroles, je ne regrette pas, je sais que tu l'as mal prit mais je le pense. Tu vas avoir une position qui va faire que tu vas devoir te mettre à la place des gens et je pense qu'au moins une fois dans ta vie prendre le métro ne te ferait pas de mal, juste pour te faire une idée, pour observer. Après je reconnais c'est pas malin ce que j'ai fais, tu es habillé beaucoup trop cher pour y aller mais un jour si tu changes d'avis, je veux bien t'accompagner." J'hochais les épaules, continuant notre chemin et c'est au moins une bonne dizaine de minutes qui nous avait fallu pour remonter la grande avenue à grand pas, rapide, on était pressé alors j'appelais un taxi qui s'arrêtait rapidement devant nous. Anya montait la première, moi le second, je donnais l'adresse et on était parti complètement en retard sur le lieu de tournage

J'hochais la tête lorsqu'il me disait qu'on devait remonter l'avenue. Pourquoi prendre le métro s'il fallait simplement remonter cette avenue ? Kenny se mit à parler de ce qu'il avait pu me dire quant à ma condition. Il ne le regrettait même pas. Je me mordillais la langue pour ravaler mes mots, pour ne pas être trop méchante. Je préférerai que tu regrettes Kenny, sincèrement ! T'as pas à me dire ce que je dois faire pour ma position. Je suis né dedans, je sais ce que je dois faire, tu sais quoi de tout ça toi ? Rien du tout ! Tu peux pas comprendre  dis-je en me fermant complètement. Je soupirais en tournant enfin mon visage vers celui de mon mari.  Je sais ce que j'ai à faire, mais j'avais pas envie de prendre le métro et tu t'en fou, tu m'obliges à faire des choses dont j'ai pas envie. Je trouve ça sale, y'a des gens bizarres t'en a eu la preuve  j'ai faillit me faire voler. J'étais pas habillé pour et ça, il le savait, il m'avait vu sortir de l'hôtel. Toutes ma vie, je vis pour mon futur métier, j'ai été conditionné pour ça et tu viens tout balayé parce que je veux pas prendre le métro ... J'ai juste l'impression que toute mon existence est remis en question à cause de ça je lâchais sa main pour le coup, pour croiser mes bras contre ma poitrine. J'avais froid et en plus j'étais vexée. Je montais dans le taxi et quelques minutes plus tard nous étions arrivé. J'attendais que Kenny descende pour suivre ses pas et entrer sur le plateau. Putain Kenny t'as une demi heure de retard ! criait Priape en nous voyant arriver, je tournais la tête, coupable parce que c'était clairement de ma faute, puis je tentais de me faire petite. Dépêchez vous au moins, restez pas plantés là comme deux cloches j'étais assez surprise par les paroles de l'employé de Kenny d'ailleurs Commences par te calmer et après on verra dis-je à Priape sans vraiment prendre de pincette et y mettre les formes, je n'aimais pas qu'on me parle comme ça et Kenny le savait, ce n'était qu'un employé après tout.

Quand je m'investissais pas dans la vie professionnelle de mon épouse je me faisais engueuler quand je le faisais d'une manière très maladroite, je me faisais disputer autant vous dire que je ne savais pas sur quels pieds danser, elle avait raison, j'avais été très virulent mais je pensais qu'elle allait trouver ça drôle de changer un peu notre moyen de transport. "En même temps si tu m'expliques pas, je peux pas comprendre." Dis-je avant de reprendre juste après elle. "Dis aps que je t'ai obligé, oui j'ai forcé mais je t'ai pas obligé, tu m'as pas suivi après tout alors voilà ne déforme pas tout non plus." Elle avait lâchée ma main, je la fourrais dans ma poche jusqu'à monter dans le taxi. J'avais pas dis plus, si elle se remettait en question à cause d'une pauvre histoire de métro alors c'est que quelque part au fond elle ne se pensait pas prête pour sa carrière chose que je pouvais comprendre, j'étais pareil, je me sentais pas à la hauteur. Arrivé enfin sur le plateau du tournage, je vis Priape nous crier dessus, je l'avais dis qu'il pouvait ce le permettre mais juste à moi, ça me boostait, j'avais besoin de voir que quelqu'un qui puisse me rappeler que je devais me concentrer. "Ouais je sais, c'est ma faute, je me suis pas réveillé." Je mentais, je protégerai Anya peu importe le prix et je savais qu'en disant ça je passerais pour un patron pas responsable car les bruits de couloir, les équipes de tournage était pas vraiment content eux aussi. Anya s'agacçait, je souriais, passant ma main dans le creux de ses reins. "Je suis d'accord avec elle, à moi je t'ai donné la permission parce que tu sais que je me disperse mais elle tu évites, vraiment." Un avertissement, je le regardais, il hochait la tête, lançant un regard désolé à Anya alors qu'on partait vers la loge pour que je puisse me changer rapidement et me faire maquiller. Je retirais juste mon manteau et ma chemise, j'étais en tenu, la maquilleuse et la coiffeuse arrivait pour me donner un petit air plus frais selon elle car j'avais l'air très fatigué. "J'ai eu une grosse migraine cette nuit pour ça." Dis-je en me justifiant, une migraine que je n'avais pas dis à Anya d'ailleurs.

 Oui enfin tu m'as pas trop laissé le choix non plus répliquais-je après ce qu'il venait de me dire. Il m'avait trainé dans la bouche de métro et m'avait posé un ultimatum ensuite. Après quelques minutes de marche, mais aussi quelques minutes de taxi, nous arrivions enfin sur le lieu de tournage. Priape nous engueuler comme si nous étions des enfants. Je n'appréciais pas sa façon de faire et je ne me gênais pas pour le faire. Kenny prenait ma défense. Je souriais d'ailleurs et finalement je m'approchais de lui, surtout lorsqu'il passait sa main dans le creux de mes reins. C'est bon... dis-je en levant la main, faisan un signe dans le vent en voyant le regard désolé de Priape. Cette fois-ci j'avais ma propre loge. Je n'étais pas avec mon mari. Je suivais donc les femmes qui devaient s'occuper de moi. J'avais eu le droit à une remarque sur mon teint fatiguée, j'haussais une épaule sans vraiment répondre, en même temps, je n'avais pas à me justifier. Je faisais ce que je voulais après tout. On me donnait un collant, porte-jarretelle, un tee-shirt metalica et une chemise que je devais mettre autour de ma taille. Des lunettes de soleil dans les cheveux et j'étais fin prête. J'attendais Kenny dans la petite ruelle ou il devait me suivre ... du moins si j'avais pris compris et c'est lorsque je le vis arriver que je le prenais dans mes bras. J'avais juste envie de le serrer contre moi, lui faire comprendre que je lui en voulais pas.

J'avais un débardeur un peu rose, c'était spécial sur moi, je ne le voyais pas de la couleur pareil que les autres, pour moi elle était vraiment horrible alors que Priape disait que non, que les maquilleuses confirmaient que ça m'allait bien. Hum. Je m'en remettais à eux. Caquette, lunette et basket, je sortais pour rejoindre Anya dans la rue. J'avais pas froid malgré le vent et quand je vis mon épouse foncer à moi, la première chose que je me disais c'était qu'elle était belle et qu'elle devait avoir froit dans cette tenue alors je lui frictionnais le dos. "On fait vite, je veux pas que tu sois malade." Murmurais-je en la regardant, je touchais son visage de ma main, lui volant un baiser puis un autre avec des petits yeux désolé pour tout à l'heure, je voulais vraiment pas qu'elle m'en veuille, je pensais l'aider en la poussant mais non. "Kenny arrête, son rouge à lèvre, je vais lui faire une retouche." Déclara amuser l'une des maquilleuses qui revenait vers nous. "Attend alors." Je souriais avant de voler un plus long baiser à Anya, tant qu'à faire autant usé le rouge à lèvre jusqu'au bout avant de faire la retouche. Rieuse, la maquilleuse levait les yeux au ciel alors qu'elle me donnait une lingette pour retirer le rose de mes lèvres. "Je t'aime." Murmurais-je à Anya. Je me mettais en position dans la rue, le soleil tapait nous réchauffant tous les deux, je devais la suivre. Je le faisais à une époque quand elle était pas bien, je vérifiais juste qu'elle rentre sans encombre alors c'était un jeu d'enfant que de se cacher derrière un poteau, regarder le vendeur d'hot-dog ou encore de se poser contre le renforcement d'un mur. La musique se jouait, je ne chantais pas lors de cette scène, je ne mimais rien mais ça me faisait toujours de l'effet que de m'entendre.

Les maquilleuse terminaient leur mission, j'étais enfin prête et ceci avant Kenny d'ailleurs. Je l'attendais dans la rue ou nous allions tourner et c'est lorsque je le vis arriver que j'allais rapidement dans ses bras. J'avais froid et j'en avais juste envie. Je voulais qu'il sache que je lui en voulais pas tant que ça, il pensait juste faire bien.  Ouai j'ai froid comme ça lui dis-je en sautillant un peu sur place mais rapidement, Kenny venait me caresser le visage et si je n'avais pas envie de me prendre ses doigts dans les yeux, j'avais intérêt d'arrêter de sauter. Je souriais à ses baisers, la maquilleuse venait. Je riais un peu d'ailleurs, me reculant de Kenny par la même occasion mais se fut sans compter monsieur qui avait encore envie de m'embrasser. Je passais mes bras sous son débardeur pour me réchauffer un peu d'ailleurs en le serrant contre moi jusqu'à ce que se soit la fin. Je prenais la lingette pour essuyer mon rouge à lèvre qui se retrouvait sur ses lèvres, tandis que j'entrouvais les lèvres pour laisser la maquilleuse faire avec moi en même temps. Je sais murmurais-je à mon tour avant d'aller me mettre en place ACTIIION ! criait le réalisateur. Je baissais les lunettes sur mes yeux pour marcher dans la rue en y mettant les formes, laissant balancer mes bras, faisant attention à ce que mes cheveux ne viennent pas se mettre dans mon visage. Je me retournais un instant pour regarder derrière moi, j'apercevais Kenny, j'avais envie de sourire , de faire demi tour et de lui sauter dans les bras, mais je ne le faisais pas pour la simple et bonne raison que j'avais envie de rapidement le retrouver. Rien que pour moi. Je reprenais ma marche, je me retournais à deux reprises à nouveau, comme si je me sentais suivi. C'était assez flippant comme sensation d'ailleurs et à la dernière prise, je manquais de tomber en franchissant le trottoir que je n'avais pas vu étant donné que j'avais la tête retourné. Je me rattrapais bien rapidement à une voiture avant d'éclater de rire. Oh merde, je l'avais pas vu riais-je en relevant les lunettes que j'avais sur le nez. Le réalisateur riait aussi, me disait que ce n'était pas grave qu'il avait déjà tout ce qu'il lui fallait. Je regardais Kenny en riant et en me cachant le visage.  On a encore quelques plans à tourner et ça sera terminer nous disait le réalisateur une fois Kenny avec nous. Je me posais sur le capot de la voiture pour écouter ce que l'homme barbus avait à nous dire On va faire les plans dans la boucherie ... Anya tu rentreras pour acheter de la viande, tu hésiteras au début, demanderas l'avis du vendeur avant de prendre ta viande. Je veux que tu sois souriante, pleine de joie, Kenny toi tu coupera de la viande au début et dès qu'elle rentrera tu la lâcheras pas du regard .. ensuite on passe à la scène dans la chambre froide, Kenny torse nu, avec tes lunettes, du sang un peu partout et va falloir que tu t'amuses avec de la viande, tu t'accroches à elle, tu te pends aux barres enfin ... joue au psychopathe je regardais Kenny en riant et en tapotant sur sa cuisse Faits l'amour à la viande riais-je le réalisateur me suivait en disant que c'était ça et je m'approchais de l'oreille de Kenny pour souffler en aparté Tu vas pouvoir soulager ta frustration un baiser sur sa joue et j'écoutais à nouveau ce que le réalisateur nous disait. Pour finir, on va faire une dernière scène ou vous vous embrassez. Vous serez complètement nus, mais on ne verra rien avec le jeu de lumière. Complètement collé, vous me faite pareil que sur le lit, c'était parfait sauf que là y'a du faux sang qui coulera sur vous en même temps. Euurk, on allait s'embrasser à en perdre haleine sous un torrent de faux sang ?

La scène se déroulait sans encombre. Je marchais, je me cachais, je la regardais et tout ce que j'avais envie de faire c'était de la prendre contre moi comme mon personnage avait envie de faire. Anya elle marchait divinement, ses longues jambes fuselés, ses cheveux dans le vent, elle avait une image parfaitement glamour si elle ne se prenait pas le trottoir. Elle riait, le réalisateur aussi et moi à mon tour avançant jusqu'à elle pour aller la voir quand même, c'était automatique, aller voir si mon amour avait mal, c'était un peu horrible quelque part, j'allais toujours vers elle, c'était mon centre de gravité en quelque sorte. Le réalisateur nous exposait la fin, c'était là que tout se compliquait, dans la boucherie encore couper la viande d'accord mais m'amuser avec des carcasses, ça me perturbait vraiment énormément. Je regardais Anya sans sourire, faire l'amour à la viande, je levais les yeux au ciel sans compter qu'elle en rajoutait une couche. Joie grande joie d'entendre que sa femme pensait qu'on était frustré, si ça avait été l'inverse, je me serais posé des questions personnelles, limite je me serais inquiété de ne pas lui faire plaisir, elle non pas du tout, elle embrassait même ma joue alors que moi je caressais son avant-bras. "J'ai pas envie…" murmurais-je au sujet de la viande. Ça me bloquait, j'aimais en manger mais jouer avec quoi, j'étais tellement choqué et surprit. Les yeux rivés sur le réalisateur la suite me laissaient beaucoup plus rêveur et heureux, je préférais oublier l'histoire de faux sang. "Niquel !" dis-je tout content. "Je vais pouvoir évacuer ma frustration sur toi." Chuchotais-je joueur à Anya. J'arrivais vers mon assistante prenant mon manteau pour le mettre sur le dos d'Anya. "Allez vous changez en haut rapidement." Déclara Priape. "J'ai toujours rêvé d'être un boucher, joie."

Tu ne verras plus la viande de la même façon après ... tu me promets que t'y prendra pas gouts ? Que tu tenteras pas de faire ça à toute les viandes qui passeront dans ton assiette ? lui demandais-je en me moquant légèrement de monsieur. J'avais hâte de voir ça, ceci allait être épique, j'en étais certaine. Le réalisateur continuait en nous parlant d'un fameux baiser. Je riais en entendant Kenny avant de lui donner un petit coup dans l'épaule. Tu seras encore plus frustré après un baiser comme ça, c'est moi qui te le dis c'est vrai, autant se rappeler, ce qu'il s'était passé hier soir. Tu crois que c'est normal qu'on soit toujours nu ?  demandais-je dans le creux de l'oreille de Kenny, bien que se soit artistique, qu'on ne verrait rien, ça faisait déjà la 3 ème scène de nu pour ma part. Une fois seule, une fois avec Kenny et maintenant. Nous montions pour nous changer, j'écoutais Kenny avec un petit sourire. C'est tellement sensuel comme métier, je comprend tout à fait  je lui faisais un clin d'oeil avant d'aller dans ma loge. J'aurais préféré en avoir une avec Kenny comme hier. On me donnait un jeans , un haut crop top et un petit boléro à à fleur. Les cheveux attaché en queue de cheval, je prenais un café tout en attendant que la scène commence je regardais l'intérieur de la boucherie un peu perplexe. C'est assez spécial tout de même comme endroit et comme métier. Travailler de la viande crue à longueur de temps, avoir des animaux, morts, pendu dans la chambre froide, la dépecer et compagnie.... ça fait froid dans le dos et dire que mon mari allait devoir s'accrocher à ça.