Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityOUVRE DU BONHEUR ₪ COKA COLA - Page 7


OUVRE DU BONHEUR ₪ COKA COLA

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Soit Dia était munie d’un pouvoir de compassion telle qu’elle vivait la souffrance de Cody à travers Diamantosaure invisible, soit elle culpabilisait tellement qu’elle n’arrivait même plus à contenir ses larmes. Mais pourquoi elle pleuuuure, non, si elle pleure Cody va avoir envie de pleurer et toute la Terre entière voudra pleuuuurer parce que toute la Terre entière lit notre rp. Puis ça arrive à tout le monde de se faire tordre le zizi en plein ébat, non ? C’est le jeu ma pauvre Lucette. N’empêche que plus le visage de Diamantika se décomposait, plus la douleur de Cody s’effaçait. C’est comme si les tourtereaux (ou non-tourtereaux) faisaient un transfert de la douleur et ça marchait plutôt bien. « Je croyais que t’avais un doctorat en pénicilline moi, je suis déçu, vraiment. » Comment çaaa, la pénicilline n’a rien à voir là-dedans ? Laissez Cody rêver, non de nom. C’est qu’elle paniquait vraiment la Dia, elle venait d’exploser son portable NARMOOOL. En plus, on critiquait toujours les sacs des filles, genre qu’elles mettaient tout et n’importe quoi dedans, souvent même une trousse de survie. Et bien Diamantika était la seule fille au monde à ne pas avoir son kit de survie dans son sac à main, c’était à se demander pourquoi elle en avait un. Inutile cette meuf, vraimeeeent. Mais, la voyant dans tous ses états, il avait juste envie de la serrer dans ses bras pour la rassurer – ouais, c’est lui le blessé mais c’est elle qui a besoin d’être rassurée, cherchez l’erreur ! Il glissa ses bras dans son dos, tantôt de la serrer contre lui mais pas trop, toujours en gardant précieusement son vêtement sur ses cuisses pour dissimuler un minimum le massacre. Wesh, il était sûr que Codynosaure était toujours aussi BG que d’habitude, sauf qu’il craignait qu’il se soit transformé en Codymodo. Rien que cette pensée lui filait de mauvais frissons. Et là, ils touchèrent le fond au moment où Diamantika s’adressa au vétéran de la guerre 2014-2014 contre le Kovagin. « Il n’a pas d’oreilles, enfin jusqu’à preuve du contraire … Mais j’veux pas de preuve, on le laisse tranquille, il ne bouge pas, il se repose, on le touche pas, on lui parle pas, on … » Au même moment, Cody aplatit bien son jean sur ses cuisses et bien évident, chaque mouvement un tantinet brusque entraînait de vive douleur. Il serra les dents et plaqua sa tête contre la vitre derrière lui. « Tu crois que nos corps essayent de nous faire passer un message ? Peut-être qu’on devrait calmer nos ardeurs, peut-être que … » ça signifiait qu’il fallait qu’ils arrêtent de baiser pour baiser, peut-être que ça devrait être plus sérieux … ? Non, d’un mouvement de rotation de la tête il chassa immédiatement cette pensée. Il avait perdu deux-trois neurones en se fracturant c’te partie de son anatomie. « … Que mon ex pratique la vaudouisme et qu’elle a senti que je passais à autre chose. Donc elle nous a jeté un sort pour nous pourrir nos parties de jambe en l'air. J'ai pas trop d'explication. J'aimerais bien voir ma tête en poupée vaudou. Tu crois qu'elle a refait mon nez à la perfection ? » Valait mieux en rire qu’en pleurer … HEIN DIA. Il pouffa de rire, c’était plus nerveux qu’autre chose car, clairement, là, il était au bout du bout du bout du rouleau. Il posa sa main dans la nuque de Dia et peigna ses cheveux trempés par l’effort. Par ce geste, il l’incitait à se rapprocher de lui puisque lui, il n’était pas foutu de le faire.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


COKA ಇ  tu m'aimes bien Codybabouin, ça crève les yeux
Si un jour on m'avait dit que je réussirais à agoniser un pénis rien qu'en faisant l'amour, je crois que je me serais tournée plutôt vers des vagins, là au moins, il n'y avait aucun risque. Quoi que c'était encore possible non ? Je peux dire ADIEU aux hommes et devenir lesbienne pour satisfaire les petites minettes. Hum, parfois je me faisais peur avec mes propres pensées. Dia c'était Dia. Pas pour rien qu'elle était irremplaçable et malgré le nombre de râteaux qu'elle mettait toujours aux mêmes mecs, ils ne cessent de revenir vers elle pensant que ce jour les seront favorables. Sauf que Dia restait Dia peu importe les jours et les années. Cependant, là je touchais vraiment le fond du fond en parlant avec Codynosaure. Surtout que mon égo en prenait un sacré coup, car le mal s'était fait entre mes cuisses. Mais en fait, je m'en fichais un peu, je n'avais pas le temps de penser à mon égo, sa santé primait avant tout. « Il n'a pas d'oreilles, enfin jusqu'à preuve du contraire ... Mais j'veux pas de preuve, on le laisse tranquille, il ne bouge pas, il se repose, on le touche pas, on lui parle pas, on ... » Je rouvre les yeux et décolle mes paumes en regardant le lowell. « Attends, un jour je suis tombée sur un trailer de film et j'te dis pas le choc en voyant le géant pénis du mec se décoller de son corps pendant qu'il dormait pour aller tout seul satisfaire des meufs, sauf qu'elles terminaient par agoniser au bout d'un moment parce que la chose faisait une taille énorme pour leurs petits vagins t'vois ? Et il y avait qu'une seule femme en mesure de le recevoir et cette femme cherchait elle aussi cette chose pour pouvoir se satisfaire parce que tous les hommes avec qui elle couchait, finissaient par la fuir quand il regardait son coffre-fort, car elle avait un vagin énormeeeeee vue de l'intérieur. Puis un jour, ils se sont enfin rencontrés et c'est tout ce que j'sais puisque je n'ai pas regardé, ça m'a fait flipper ! Okey, je n'ai pas imaginé du tout que Codynosaure pouvait se défaire de ton corps, ni qu'il pouvait avoir une conscience...'fin c'est weird ce que j'dis je vais me taire !. » Trop pas douée la meuf quand elle ne savait pas quoi faire, elle balançait des conneries. « Tu crois que nos corps essayent de nous faire passer un message ? Peut-être qu'on devrait calmer nos ardeurs, peut-être que ... » Je n'aimais pas du tout ce genre de phrase, serais-je en train de me prendre un second râteau alors que je n'ai encore rien dit. Ce n'est pas comme si on était en couple et que ça me ferait mal de rompre. Là, nous étions des partenaires de sexes et rien de plus, ça ne devait pas me toucher autant. C'est injuste, j'avais juste pas besoin de m'attacher à quelqu'un en ce moment et voilà que le ciel m'envoie Cody. Je pose mes fesses à terre, dos adossé contre le bus et Cody juste au-dessus de moi sur la banquette. « ... Que mon ex pratique la vaudouisme et qu'elle a senti que je passais à autre chose. Donc elle nous a jeté un sort pour nous pourrir nos parties de jambe en l'air. J'ai pas trop d'explication. J'aimerais bien voir ma tête en poupée vaudou. Tu crois qu'elle a refait mon nez à la perfection ? » Et là, ce n'était certainement pas le moment de parler de son ex. Je pourrais d'ailleurs lui vaudouer la tête à celle-là, si jamais elle s'adonnait à ce genre de pratiques. Sa main se posa dans ma nuque tandis qu'il m'attira vers lui. Je n'eus le choix que de me redresser à genoux venant poser ma tête sur son ventre et fixant Codynosaure. Je lâche un soupire avant de rétorquer. « J'en sais trop rien, ou alors c'est peut-être mon ex qui le fait en continuant d'espérer que je lui revienne... vaudou ou pas vaudou, je ne lui reviendrais pas, j'suis plus forte que ces sorts de pacotilles... Et si c'est ton ex, apparemment elle a réussi à t'atteindre... 'fin, j'crois pas à tout ça de toute façon... Peut-être qu'il faut juste qu'il se repose quelques temps... Puis arrête, ton nez va très bien avec la forme de ton visage ! Il m'plait bien moi. » Murmurais-je en soufflant doucement de loin sur Codynosaure, laissant un vent tiède parvenir jusqu'à lui et le caresser. Cela l'apaisera peut-être.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Cody était quelqu'un de très ouvert d'esprit, surtout au niveau cinéma. C'est vrai, il était bien resté une heure et demi devant un film mettant en scène un pneu qui roulait, roulait, rouuuulait. Au fond, il se disait que ça pouvait être une performance artistique, les artistes sont des oufs. Mais son visage se décomposait au fur et à mesure que Dia évoquait un film hyper passionnant. Cody y chercha une représentation de l'amour, de la serrure qui ne peut être ouverte que par une clef, de la clef qui ne peut ouvrir qu'une serrure, la serrure du cœur … Mais en fait non. Il en tira donc une conclusion, et pas des moindres ; « Il était temps que j'arrive dans ta vie. Ça ne te réussit pas de passer tes soirées à regarder du porno. » Ben attendeeeez un film comme ça ne pouvait être qu'ohé ohéééé moussailloooooon. Ou peut-être que Diamantika venait de l'inventer, mais là je sais pas ce qui serait le plus inquiétant. Elle n'était pas très nette dans sa tête après tout. Elle cala sa tête contre son ventre et Cody caressa délicatement ses cheveux. Ça faisait bizarre de parler de son ex avec elle, comme ça devait faire bizarre à Dia d'évoquer le sien avec lui. Mais à un moment donné, il fallait que la parole se libère et, l'avantage avec Dia, c'est qu'ils n'étaient pas grand-chose l'un pour l'autre. Il se disait qu'elle ne jugerait pas, qu'elle ne critiquerait pas, surtout maintenant qu'elle lui avait fracturé la troisième jambe avec une prise de kung-fu unique en son genre. « Peut-être que tu devrais y croire, on sait jamais. Je prends une résolution importante à partir de maintenant ; j'arrête de te toucher les seins. Vaut mieux pas qu'on prenne de risques, surtout que mon inconscient pourrait avoir envie de se venger, tu sais Freud a prouvé l'existence d'un moi et d'un sur-moi. Le super-moi pourrait avoir envie de venger ce que tu as fait au mini-moi, et le moi réussira pas à l'en empêcher. » Que celui qui a compris ce que Cody racontait lève la maiiiiiin *lève la main* Oui moi j'ai compris ce que j'ai écrit, c'est un bon début. « Toi tu as des problèmes de vue, toi, ça ne compte pas. » s'esclaffa-t-il en quittant son siège avec peine. Boulalala, ça faisait maaaaal. Il chercha ses fringues qu'il enfila, ou plutôt qu'il galéra à enfiler, mais au moins il protégeait son Codynosaure des aléas climatiques et des moustiiiiques. Il protégeait encore le peu qu'il y avait à protéger. « T'es fatiguée ? » demanda-t-il machinalement en boutonnant sa chemise à quelques rangées de sièges d'elle.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


COKA ಇ  tu m'aimes bien Codybabouin, ça crève les yeux
« Il était temps que j'arrive dans ta vie. Ça ne te réussit pas de passer tes soirées à regarder du porno. » Voilà pourquoi j'aurais dû m'abstenir de parler de ce film, Cody avait encore tirer des conclusions hâtives et le pire de tout ça, c'est qu'il gardait tout dans un coin de sa tête chélou pour pouvoir les réutiliser, Cody aka le nouveau modèle de recyclage. J'arquais un sourcil avant de rétorquer. « N'importe quoi, je n'ai pas de temps à perdre à regarder du porno, puis ouai, fallait que t'arrives dans ma vie pour me traumatiser à vie des bijoux de familles !. » Non mais c'était vrai en plus. Je lui laissais me caresser les cheveux tant j'appréciais ce petit geste tendre. Cependant, le discours changea bien vite de direction et honnêtement, je préférais parler de porno plutôt que de nos exs, surtout que je n'en tenais pas de bons souvenirs avec le mien. Ouaich, ça faisait toujours mal d'être trompée et ce, peu importe si t'es un démon ou un ange. Je ne sais pas ce qui s'était passé avec son ex, mais peu-être que finalement en parler nous fera vraiment enterrer le passer et vraiment passer à autre chose. « Peut-être que tu devrais y croire, on sait jamais. Je prends une résolution importante à partir de maintenant ; j'arrête de te toucher les seins. Vaut mieux pas qu'on prenne de risques, surtout que mon inconscient pourrait avoir envie de se venger, tu sais Freud a prouvé l'existence d'un moi et d'un sur-moi. Le super-moi pourrait avoir envie de venger ce que tu as fait au mini-moi, et le moi réussira pas à l'en empêcher. » Je fronçais les sourcils totalement paumée. Est-ce qu'on pourrait rembobiner le film ? Parce que je n'ai absolument rien capiche. Nada de nada. Mais en même temps, Cody c'était l'homme incompris, pas étonnant. « C'est dans quelle langue que tu viens de t'exprimer là ? Nah sérieux, faut se promener avec un traducteur de langue quand on t'fréquente ! Mais peut-être que t'as raison sur ta résolution, moi aussi j'aurais peur de toucher ton Codynosaure de toute façon, je n'ai pas envie de le briser encore plus, j'ai eu ma dose j'crois. » Et je n'avais pas envie de retrouver Codynosaure enterrer sous terre par ma faute. Je venais tout de même de lui faire un compliment sur son nez, ça au moins c'était sans danger. « Toi tu as des problèmes de vue, toi, ça ne compte pas. » Je le suis du regard lorsqu'il se lève pour aller se revêtir. Puis, à mon tour je fis de même. « Et moi aussi j'ai deux trois petits trucs à t'apprendre !. Il faut que tu commences à accepter les compliments, ce sont les femmes qui ont si peu confiance en elles à ce niveau là. A moins que Codynosaure soit le résultat d'une chirurgie et d'où le fait qu'il vient de claquer. T'étais une femme avant c'est ça ?. » Bah ouai, Dia sait faire aussi des conclusions. « T'es fatiguée ? » Me demande-t-il alors que je venais de finir d'enfiler ma robe. « Un peu ouai... » Je me lève tout habillée, m'allonge sur la banquette et du côté droit de sorte à pouvoir voir le jeune homme. « Pourquoi t'es plus avec ton ex ?.... Le mien m'a trompé et pas qu'avec une seule fille.... » A croire que je ne suis pas assez bien finalement. L'un de mes bras se retrouve au sol et de mon index, je m'amusais à faire des cercles tout en suivant ces cercles du regard.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Des conclusions hâtiveeees ? Non non non. Les amateurs de porno ne sont pas ceux que l’on croit. Il voyait bien Dia avec sa collection, le genre de trucs qu’elle lèguerait à Dorian Junior quand il sera en âge de regarder ce genre de films (+18 ans, je le rappelle, bande de délinquants qui matent ça avant) parce que ça paraît évident qu’avec un prénom pareil, leur futur gosse partait avec un gros handicap dans la vie. Fin j’dis ça j’dis rien surtout, parce que Jess elle va râler. Et j’parle de Jess la joueuse de Dorian, pas Jess la fille de Cody, sinon on va s’emmêler les pinceaux, y a vraiment trop de Jess par ici. Après on critique la surpopulation ilhienne de Marie mais JE NE SUIS PAS D’ACCORD. « C’est moi le blessé et c’est toi la traumatisée. Cherche l’erreur. » C’est lui qui ne verrait plus sa boîte de Pandore de la même manière. Dans Once Upon A Time, la boîte de Pandore c’est le mal et, aujourd’hui, Cody comprenait parfaitement pourquoi. « Le touche plus, j’crois que de toute façon il ne sortira plus de son terrier pour toi. » Mytho mytho mythoooo. Rien que de penser à leur nuit … Ouille ouille ouille. Non, vaut mieux pas y penser en fait, ça faisait physiquement trop mal. Il partit s’habiller non sans peine de ses vêtements éparpillés partout quand Dia vient l’engueuler parce qu’il n’acceptait pas les compliments. En même temps, si on craquait pour Cody grâce à sa beauté, ça se saurait. Il se mit à rire bruyamment comme pour souligner l’irrationalité des paroles de Diamantika. « J’ai toujours été un homme en fait, depuis cinquante et une demi années tout de même, c’est pas rien. Codynosaure aussi. Il est un peu ridé, il fait bien son âge, non ? Mais tu vois, j’ai aussi appris qu’il fallait toujours se méfier de ce que racontent les jolies filles. Et tu es une jolie fille. Tu dis que je suis beau uniquement parce que tu me veux dans ton lit encore, encore, encore et encore. » Et ça lui allait très bien qu’elle lui fasse des compliments uniquement pour le pécho, pour une fois que ce n’était pas au mec de se démener quoi. Alors qu’elle s’allongea sur la banquette, ils échangèrent quelques secondes les rôles et ce fut au tour de Cody de s’asseoir par terre, au niveau de sa tête, adossé au siège de devant et les jambes glissées sous la banquette de Dia. Elle avouait être crevée mais ça ne l’empêcha pas de poser une question sur l’ex de Cody. Et d’annoncer quelque chose qui interloqua complètement le Lowell. « Comment on peut tromper une fille comme toi ? » Il fronça les sourcils. Il précisa un peu plus le fond de sa pensée. « J’peux parfaitement concevoir qu’on te quitte. Tu es énervante, chiante, frustrante, t’as une voix qui part dans les aigus parfois et ça me donne l’impression de parler à un cochon qu’on égorge. En plus de ça, t’es pas gâtée par la nature ; quand tu grognes, tu ressembles à s’y méprendre au teckel que ma mère avait à une époque. D’ailleurs, si tu m’entends depuis le paradis des chiens, Bichon, sache que j’aimerais récupérer la bille que tu as mangé l’année de mes quinze ans et qui est portée disparue depuis. En plus, t’arrêtes pas de râler, mais genre touuuut le temps. Et du coup, qu’on te largue comme une merde, je comprendrais totalement. Mais te tromper ? Sérieusement ? T’as tellement à offrir que je ne vois pas pourquoi un mec irait voir ailleurs. Ce type a un grain. » Comme vous pouvez le constater, les compliments étaient de sortiiiiie heiiiiing. « J’ai … eu une aventure avec sa sœur, quelques mois avant de sortir avec celle qui, aujourd’hui, est mon ex. Ca ne comptait pas, vraiment pas, j’suis pas le genre de mec à avoir des coups d'un soir. C’était un moment de faiblesse, j’étais célibataire depuis … Un mois, deux mois … Un an, en fait. Et un soir, j’ai craqué pour sa nympho de sœur. J’ai rien à me reprocher, c'était une coïncidence que je commence à sortir quelques mois après avec sa petite soeur, et j’comptais lui en parler un jour … Mais une fille, une soi-disant amie, a appris pour ma liaison d’un soir avec la sœur de ma copine. Elle m’a menacé de tout dire à ma petite amie, elle m’a fait un chantage, posé un ultimatum et … J’savais que savoir ça lui briserait le cœur, qu’elle ne s’en remettrait pas, même si y avait prescription, que ça ne comptait pas … » Il ravala une boule de salive au fond de sa gorge. Ça faisait mal d’en parler. Il baissa les yeux. « Donc je l’ai quitté. J’ai quitté Dan … Plutôt que d’assumer. J’me suis dit que comme ça, si elle l’apprenait après que je l’ai largué, ça passerait mieux. Elle me prendrait pour un gros connard et ça faciliterait le deuil de notre relation. Elle s’en remettrait plus facilement. » Il venait de faire une auto-introspection et mordit l’intérieur de la joue en fixant le vide. « J’me rends compte que c’est tellement ridicule d’agir comme ça mais … À elle, ça lui fait sûrement moins mal qu'à moi. » Et c’est tout ce qui comptait.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


COKA ಇ  tu m'aimes bien Codybabouin, ça crève les yeux
Ce n'est pas parce que je viens de mentionner un film pour les +18 ans que sayez, j'étais une adepte du porno, si je l'étais, j'aurais carrément regardé le film et j'aurais assumé parce que voilà, qui n'a jamais regardé de films pornos ? Cody en était le premier je suis certaine, car pour apprendre à sa fille comment dessiner des pénis avec des dents, il fallait être un gros pervers vous voyez ?. Non mais Dorian Jr c'est trop mignon, mon fils aura le plus joli prénom et il ne sera pas pervers lui au moins. Dorian si tu passes par ici, regarde comment je me bats pour que mon futur gosse porte ton prénom. « C'est moi le blessé et c'est toi la traumatisée. Cherche l'erreur. » Lui il était peut-être habitué, mais moi ce n'était pas le cas. « C'est normal, c'est la première fois que j'assiste à l'agonie d'un bijou de famille ! C'est nouveau pour moi. Alors mon traumatise est justifié !. » Puis, faut qu'on arrête de parler de ça parce que ça me traumatise encore plus en me repassant la scène où il s'était mis à crier. S'il lui était arrivé quelque chose de plus grave, si Codynosaure était vraiment mourruuuu, je crois que je serais devenue bonne soeur sur-le-champ. « Le touche plus, j'crois que de toute façon il ne sortira plus de son terrier pour toi. » Autant c'était frustrant d'entendre ça, mais autant peut-être qu'il avait raison et qu'on ne devrait plus se toucher. Non vraiment, je ne plaisante pas, j'étais vraiment traumatisée. Et Pour la détraumatiser, va falloir lui convaincre vraiment qu'un bijou ne peut pas mourir parce que maintenant, il est clair qu'elle en doutait. Moi qui avais toujours cru que c'était ce qui faisait la force d'un homme, là, je crois que c'est carrément sa faiblesse. Pas de pénis, pas d'homme. « J'ne le ferais pas ! J'ai pas envie qu'on enterre Codynosaure à la fin... » Ou pas... Ca sera difficile de le résister, mais il faudra que je garde en tête que c'est pour le bien de Codynosaure et tout ira pour le mieux. « J'ai toujours été un homme en fait, depuis cinquante et une demi années tout de même, c'est pas rien. Codynosaure aussi. Il est un peu ridé, il fait bien son âge, non ? Mais tu vois, j'ai aussi appris qu'il fallait toujours se méfier de ce que racontent les jolies filles. Et tu es une jolie fille. Tu dis que je suis beau uniquement parce que tu me veux dans ton lit encore, encore, encore et encore. » Alors comme cela, il me trouvait jolie le Cody ein ? Il y a du progrès, oui oui. « J'avoue que la chirurgie fait pas mal de miracle de nos jours !. Owwww je suis démasquééééé ! T'as raison, j'te charrie uniquement pour te mettre dans mon lit ! Rien de plus !. » Je lui offre mon plus beau et large sourire avant de l'effacer rapidement et de reprendre mon sérieux. « Arrête de dire n'importe quoi, je ne t'aurais pas simplement demandé tes bras en début de soirée si je voulais te mettre uniquement dans mon lit !. » Oupsss. C'est sorti tout seul ça par contre. Du coup, je grimaçais légèrement en regardant ailleurs. Puis c'était vrai en plus, au départ je voulais juste avoir ses bras, mais il m'a tellement provoqué et chauffé que cela avait fini en crac crac boum boum et un bijou de famille claqué. Mais là n'était pas vraiment le plus important, on était en train de laisser nos cœurs s'ouvrir et partager nos peines. Je n'avais d'ailleurs pas eu de mal à me confier à lui. « Comment on peut tromper une fille comme toi ? » Et il se lança ensuite dans un longgggg très longggg monologue sur mes défauts apparemment. Ce type n'avait pas de coeur, je vous jure. Plus je l'écoutais, plus je fronçais les sourcils. Je me voyais soudainement comme la fille ayant le plus de défauts au monde, ouaii battez mon record si vous le pouvez. Je fus surprise quand même par les derniers mots de son long discours. « Bleeker t'as donc pas de cœur ?. Me larguer comme une merde ? C'est vraiment sympa d'entendre ça. Anyway, tu te rattrapes plutôt bien sur la fin, tu m'aimes bien t'vois ! Ce n'est pas si difficile à avouer. Mais bon, il faut croire que les histoires d'amour ne me réussissent pas ou alors, je n'étais pas assez bien ou suffisante pour lui.. » Et ouiiii, même pour la diablesse que je suis, il m'arrivait de douter parfois de moi. Je n'aurais pas la prétention de dire que je suis invincible, après tout, j'avais un cœur et non une pierre. Il vint s'asseoir en face de moi et à son tour, il m'ouvra son cœur et... Je fus assez surprise par la tournure des choses et surtout de la fin un peu brutale de son histoire. « Ton histoire me trouble. J'veux dire... t'as carrément coupé tout court à cause des menaces d'une nana qui n'avait certainement pas le droit de fourrer son nez dans ce qui ne la regardait pas. Soit, elle est atteinte mentalement de la tête, soit c'est une nana avec un grand J de jalousie. T'aurais pas dû céder à ces caprices...Ta nana... ta nana aurait peut-être été assez intelligente pour comprendre que tout ce que t'as fait, c'était avant elle... elle aurait pu se montrer compréhensible, tu aurais dû lui laisser une chance de réagir et qui sait, si l'autre jalouse était venue le lui dire, elle l'aurait carrément envoyé balader en lui répondant clairement que vous n'étiez pas encore ensemble. Si ta nana t'aimait vraiment, elle aurait pu passer la pilule. Mais ce qui est fait est fait. Si vous n'êtes plus ensemble, c'est que cela devait arriver... Il faut aller de l'avant, se reconstruire, on a pas tellement le choix dans cette vie !. » Et j'espérais tout de même que dans une autre vie, on sera en paix. « S'il y a vraiment une vie après la mort, j'espère qu'elle est meilleure que celle-là !. » Disais-je en rigolant avant de lui donner une petite tape sur sa jambe. Je me tourne sur mon dos et ferme les yeux histoire de les reposer quelques secondes.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
C'était tellement étrange de s'ouvrir comme ça. Peut-être que c'était la fatigue qui faisait ça, mais il semblait que Cody et Diamantika laissaient s'échapper certaines pensées sans pouvoir les contrôler. Par exemple, voyez l'Eliot. Elle disait, en gros, que toute la soirée, elle n'avait pas JUSTE voulu le mettre dans son lit, comme si Bleeker était censé comprendre qu'elle avait voulu plus. Pourtant, leur relation, c'était ça ? Du cul, du cul et encore du cul ? À moins que Cody avait sauté le passage dans le contrat où ça racontait que parfois, ils pouvaient faire abstraction de la clause sexuelle pour une clause plus affective. Il ne pigeait pas trop, il préférait ne pas relever puisqu'il y voyait là une manifestation de sa fatigue évidente. Et il devait se défendre. « J'ai pas dit que je t'aimais bien, j'dis juste que t'es le genre de nana qu'on prend toute entière ou qu'on ne prend pas du tout. Mais on ne te partage pas avec une autre, c'est comme ça. » AHAHAH, on allait finir par croire qu'il craquait pour la DIAAAAA, mais non, vous chiez des bulles carrées ou quoi ? Par la suite, ils parlèrent de son ex. Cody n'avait pas envie d'épiloguer, personne ne comprenait pourquoi il avait choisi de fuir plutôt que d'assumer totalement. Lui, dans sa tête, ça lui paraissait tellement logique qu'il ne savait plus comment l'expliquer. Il baissa la tête, se désistant totalement quand il s'agissait de croiser le regard de Diamantika. « Le truc, c'est que pour une raison que je ne pourrais m'expliquer, ma petite amie n'a jamais eu confiance en moi et quand, à la base, toi-même tu n'as pas confiance en toi ... ça n'aide pas. Comment tu veux bâtir une relation sans confiance ? J'ai fait qu'abréger une histoire qui était déjà condamnée. » Quand Cody en parlait comme ça, il semblait sûrement distant, froid, comme s'il n'en avait rien à faire de cette rupture encore fraîche … Et pourtant, il l'aimait sa Danae. Elle l'avait sauvé dans un moment où il tombait d'un arbre de cinquante mètres de haut. Désespérément, il s'acharnait à attraper des branches, des brindilles, des feuilles ! Et, à seulement trois mètres du sol, une main l'avait retenu, l'avait empêché de s'écraser face contre Terre. Cette main appartenait à Danae. Aujourd'hui, il avait touché le sol. Mais forcément, tomber de trois mètres n'est pas tomber de cinquante mètres. Il relativisait. Et ses problèmes de visa, sa relation privilégiée avec Dia et autres conneries en tout genre prenaient suffisamment de place dans sa tête pour qu'il n'ait pas à s'apitoyer H24 sur son sort. « Elle n'est pas bien ta vie ? » demanda-t-il en se mordillant la lèvre inférieure, passant et repassant sa main là où Diamantika l'avait touché. Ses paupières closes, Cody esquissa un sourire attendri, affectueux face à ce spectacle. Comprenez, pour une fois qu'elle fermait sa gueule *siffle* Il se pencha en avant, bascula de ses talons à ses orteils, puis se mit à genoux près de son siège. Ses dernières phalanges se promenèrent au bord du siège en cuir tandis que Cody le Magnifique réfléchissait à ce qu'il était en train de foutre. Clairement, il se croyait comme le Prince Charmant face à la prison de glace de Blanche-Neige. Sans émettre de mouvements brusques, il fléchit ses épaules et doucement, son visage s'approcha de celui de Dia. Son nez effleura le sien, sa respiration chatouillait ses narines, des frissons parcouraient son corps jusqu'au fin fond de son échine et ses lèvres éraflèrent les siennes. Puis elles se firent plus pressantes et bien vite, l'effleurement se transforma en érosion et le baiser devint tendresse et passion. Dessinant le contour de son menton, ses doigts filaient de sa mâchoire à ses oreilles au fil de cet échange. Mais qu'est-ce qu'il foutait qu'est-ce qu'il foutait qu'est-ce qu'il foutait ? En plus, à se pencher comme ça, il mettait Codynosaure dans une position inconfortable et il avait mal. Mais embrasser Diamantika lui faisait du bien. Tellement de bien, putain de merde. En maths, – multiplié par + ça fait –. Sauf que Cody et Dia défiaient toutes les lois, qu'elles soient naturelles, mathématiques ou physiques. Chez eux, – par +, ça faisait +, +++++ et toujours plus. Eux deux, ce n'était que du positif, du fragile parfois, mais du positif. Toujours du positif.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


COKA ಇ  tu m'aimes bien Codybabouin, ça crève les yeux
« J'ai pas dit que je t'aimais bien, j'dis juste que t'es le genre de nana qu'on prend toute entière ou qu'on ne prend pas du tout. Mais on ne te partage pas avec une autre, c'est comme ça. » Moi j'ai compris qu'il se contredisait tout seul. Il craque d'un côté j'en suis certaine. Okey je tire peut-être trop vite de conclusions parce que c'est Cody quoi et qu'il ne voudra jamais craquer pour une fille comme moi. Mais l'espoir fait vivre dirons nous. Et puis pourquoi voulais-je qu'il craque d'abord ?. Je chasse rapidement ses pensées. Dia, à trop réfléchir tu vas crever ton cerveau. En guise de réponse, je ne lui ai donné qu'un simple sourire, sourire plutôt satisfaisant, car mine de rien, il n'était pas si blessant dans ces propos. Cependant, il avait l'air blessé par sa relation avec son ex. Il ne le montrait pas, mais au son de sa voix, je pouvais le percevoir. Pourquoi les hommes pensent-ils ne pas avoir le droit d'évacuer eux aussi ? Ce n'est pas parce que ce sont des hommes qu'ils devraient garder tout au fond du coeur et n'en verser aucune larme. Je n'ai pas dit une rivière de larmes non plus hein, faut pas déclencher un tsunami. Mais moi ça m'attendrissait un homme qui se lâchait un peu et j'aurais envie de le serrer dans mes bras parce que ça me fondrait aussi le coeur de le voir pleurer, mais au moins, je sais qu'il évacuera un peu. « Sur ce coup, tu as totalement raison, une relation se doit d'être basée sur la confiance, sinon, faut s'attendre au pire. Et si elle n'avait pas confiance en toi, j'avoue que c'était dès le départ, voué à l'échec. Et à mon avis, si tu veux que tes prochaines relations marchent, il faut que t'aies un peu plus confiance en toi également !. Ce n'est pas parce que tu es la définition même de la connerie, que tu n'as pas tout pour plaire Bleeker !. » J'avoue qu'il était aussi bourré de défauts que moi, mais ce n'est pas pour autant qu'il ne ferait pas un petit-ami modèle. De plus, il ne donnait pas du tout l'air d'un homme infidèle, alors que peut-on rêver de mieux seriously ?. « Elle n'est pas bien ta vie ? » Me demanda-t-il suite à ma petite remarque. « Pour l'instant je n'ai pas à me plaindre, mais je dis ça en général, surtout lorsque je vois la misère dans laquelle passe certains enfants, sans compter de ceux qui sont malades et qui doivent chaque jour combattre la maladie... Ça m'fous les boules !..... Et d'ailleurs ! Si tu es d'accord, prochainement j'aimerais t'emmener quelque part. Je ne te dirais pas où, tu verras. » Dia adorait les enfants, c'est bien pour cela qu'elle rendait visite à des enfants atteints de différentes maladies mortelles lorsqu'elle avait un peu de temps libre au cours de sa journée. Et elle voulait montrer au Lowell, cette petite partie de sa vie. Je voulais qu'il voit que ce n'est pas parce que je suis une gosse de riche que je n'avais rien à faire du monde qui m'entourait. S'il y a bien une chose que je ne pouvais pas supporter, c'était la souffrance d'un enfant, je craquais rapidement devant leurs petites bouilles si innocentes. Suite à ces paroles, je me suis allongé sur le dos en fermant les yeux loin de me douter que Cody était en train de se mettre dans la peau d'un prince. Néanmoins, je sentis son nez effleurer le mien, son souffle s'écraser sur mes lèvres tandis que les siennes les effleuraient, mon coeur fut pris de palpitations incontrôlables, le sentant se déchainer pour briser les chaînes et sortir de sa cage thoracique. Et puis ses lèvres viennent s'écraser avec douceur et tendresse sur les miennes. Ce baiser, doux et passionnant à la fois, me rendait littéralement folle. De mes bras, je crochetais sa nuque et attirais encore son visage contre moi. Cependant, lorsqu'il interrompit notre baiser, j'avais mis toute ma force afin de le garder au plus près de moi tandis que mon regard se fondit dans le sien et cette fois-ci, c'était un regard troublant, doux, tendre, presqu'amoureux. « Dors près de moi, promis je me ferais toute petite !. » Et d'ailleurs, je me poussais difficilement pour lui faire une place, on sera bien serré et ce n'est pas moi qui vais m'en plaindre. Lui attrapant la main, je l'aidais doucement à s'installer, on se retrouvait face à face, nos fronts et nez collés. « Je sens que je n'vais pas tenir longtemps, mes paupières sont lourdes, je crois que Morphée est en route !.... » Murmurais-je doucement les yeux fermés, sourire aux lèvres. Et quelques minutes plutard, j'avais fini par m'endormir de fatigue sans m'en rendre compte. Et malgré les petits bas que nous avons traversés ce soir, je restais heureuse d'avoir partagé cette soirée avec lui, comme toutes les autres soirées et comme toutes celles qui viendront.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Comme c'est bon de se faire entendre raison comme çaaa. Même si tout le monde sait très bien que Cody a toujours raison, of couuuurse. Il avait énormément souffert du manque de confiance en lui qu'avait Danae. Il n'avait pas jamais compris pourquoi, il lui ne lui semblait pas avoir un jour agi de telle sorte à ce qu'elle dispose d'une raison de douter de lui … Et pourtant, si. Et, fatigué de se battre pour un combat perdu d'avance, il ne s'était pas acharné pour leur histoire même s'il était purement innocent. Il avait confiance elle, lui, et il savait qu'elle se serait montré intransigeante dans le cas où il aurait choisi d'assumer pleinement ses responsabilités. Comme à son habitude, il choisit la solution la moins fatigante. « La définition même de la connerie ? Hinhiiin, merci. » On va dire que c'est un compliment. En tout cas, force est de constater que derrière son goût incomparable pour les films pornos et certaines pratiques pas très très très catholiques, se cachait une sœur Thérésa oeuvrant pour la santé des enfants. Il était étonné, réellement surpris. Il ignorait où elle voulait l'amener mais whyyyy nooooot, tant qu'elle ne le découpait pas en morceau il pouvait tout accepter.   « J'irai où tu iras. » lâcha-t-il à demi-mot. J'irais où tu iraaaas, mon pays sera tooooi, j'irais où tu iras qu'importe la place qu'importe l'endroit ouhouhouh. MAGGGLEEEEE. On pouvait qualifier ce qui suivit de moment de perdition où, d'un coup, ses lèvres se joignirent aux siennes pour une étreinte qui n'avait plus rien de l'expression de leur désir incommensurable. Ce baiser, bourré d'affection, refusait d'arrêter. Ce n'était même pas confortable comme position, puis azzzzi, avoir son visage perpendiculaire à celui de Diamantika ne facilitait pas l'échange, franchement. NE JAMAIS SOUS-ESTIMER l'importance de la géométrie dans une galoche. Ça n'empêchait pas les jeunes gens de perdurer leur étreinte et Dia, d'insuffler à Cody de la rejoindre sur la banquette. C'est qu'il n'y avait pas vraiment de placeeee … Heureusement que l'Eliot serra ses grosses fesses de Nicki Ménage pour permettre au garçon de se lover contre son corps. Toujours aussi sympathique et maîtrisant parfaitement l'art du bonne nuit, le jeune homme pouffa de rire. « Ouais c'est ça, pars avec lui, dégage. » souffla-t-il en roulant ses bras autour de ses épaules et coinçant une de ses jambes entre les siennes afin de gagner un peu de place. C'est comme les casseroles IKEA, on les range les unes dans les autres pour gagner de la place Richard Oui, je sais très bien casser le romantisme d'une situation en deux secondes top chrono.



TO. BE. CONTINUED. :trollface:
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)