Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityOUVRE DU BONHEUR ₪ COKA COLA - Page 4
-50%
Le deal à ne pas rater :
[Adhérents Fnac] -50% Casque Pro Gaming HyperX Cloud Alpha Noire et ...
49.99 € 99.99 €
Voir le deal


OUVRE DU BONHEUR ₪ COKA COLA

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Bien sûûûûrrrrr, Dia a cru qu'on désimmunisait quelqu'un aussi easily qu'on le déshabillait, qu'on le désamorçait, qu'on le désintégrait ? Wesh, je sais, ça ne veut rien dire désamorcer quelqu'un, sauf quand ce quelqu'un est un kamikaze et qu'il a des bombes partout sur son corps, et dans ce cas je m'amuserais pas à le désamorcer mais plutôt à courir loin loin looooooin et à acheter des boules Quiès parce que bobo les oreilles sinon. Bref, je m'égare. En fait, Cody grimaça ; il n'aimait pas beaucoup cette terminologie. Il prenait sa phrase comme un 'c'est moi qui t'ai construit donc je peux aussi te détruire'. Et si on part du principe qu'en présence de Dia, Cody oubliait peu à peu son cœur brisé par la rupture avec Danae, alors non, il n'aimait pas trop beaucoup ça. « Ne t'amuse pas à me désimmuniser car, après, j'pourrais te contaminer. » Et là, ce serait bali-balo dans son berceau quoi. Les paroles de Cody étaient tellement bourrées de sens et tellement intelligentes que Diamantika ne comprit rien. Pas étonnant. Elle avait de la bouillie dans la cervelle celle-là. T'façon, c'est pas nouveau qu'on ne recrute pas les Eliot pour leur QI, hein … Sinon, elle serait Dunster la Diablesse. « Ouuuch, tu me blesses profondément là, j'ai maaaaal. » se lamenta-t-il en pressant son pectoral gauche quand elle le traita de gamin. Il recula et s'affaissa légèrement, comme s'il venait de se prendre une balle en plein cœur. Quel jeu d'acteur, bravo ! 20/20 ! Oscar du meilleur acteur ! Couverture du Times et rôle titre dans le prochain X-Men ! Bravo ! Bravoooo ! Elle entra dans le bus et Cody la suivit. Évidemment, madame joua la diva et posa ses conditions ; maintenant, elle ne voulait plus que Cody l'embrasseeee, OKKKK. Il ne comprenait pas trop pourquoi mais de toute façon, il pigeait que dale à cette nana là. Il escalada les marches et répondit en haussant les épaules, avec un jemenfoutiste presque provocateur ; « D'accord. » Avantage ; moins de risque d'avoir les lèvres gercées ce soir. Inconvénient ; ça diminuait ses chances de coucher avec elle ce soir. Bon, il improviserait. Il la regarda s'installer, à la fois amusé et intrigué par le comportement soudain distant de Dia. « OK, j't'inviterais pas au mien non plus alors. » Il s'esclaffa, pour que ça passe sur le compte d'une plaisanterie. Lui, il allait vraiment se marier. Mais t'façon, ça ne concernait pas la Kovache et pas une seconde elle ne pourrait se douter qu'il allait en effet épouser une femme – une vraie hein – d'ici quelques semaines. « C'est moi ou j'ai fait quelque chose de mal ? » Il fronça les sourcils. Le cirque avait assez duré … Non, puis finalement, se rappelant que leur relation ne devait pas amener à ce genre de discussion, il se rattrapa ; « J'ai rien dit, oublie. J'vais conduire, mets ta ceinture. » Sur ce, il s'installa au volant et mit la clef sur le contact.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


COKA ಇ  tu m'aimes bien Codybabouin, ça crève les yeux
« Ne t'amuse pas à me désimmuniser car, après, j'pourrais te contaminer. » Je pourrais lui dire que j'ai de bons anti-corps et qu'il aurait beau cherché, il ne me contaminera pas, mais c'est sans issue, car Bleeker trouvera toujours quoi répondre et à vrai dire, plus il ouvrait sa bouche, plus il enfonçait le clou. « Ouuuch, tu me blesses profondément là, j'ai maaaaal. » Bon je n'allais pas juger son talent d'acteur parce qu'il ne faisait pas partie de la Lowell House pour rien, mais il avait encore besoin de pratique. Il me provoquait et je répondais, mais visiblement que je lui demande de ne plus toucher à mes lèvres le rendait plutôt....indifférent, style, je m'en fous il y a pleins d'autres nanas, je peux me servir ailleurs. Okey, le message est passé. Même que quand je lui avoue que mon mariage était pour janvier, il ne réagissait même pas, à la place, il avait préféré encore lâcher une connerie, car il était évident que je ne me doutais pas une seconde qu'il disait vrai, qu'il allait vraiment se marier. Le jour où je l'apprendrais, ce sera le jour où moi je l'enterrerai vivant. Mais de quel droit en fait ? Nous n'étions absolument rien à part des gens qui passaient de bons moments au lit, alors il pouvait se marier avec qui il souhaitait, ce n'était pas mes affaires tout comme ce n'était pas ces affaires si je mariais à mon tour. La vie est belle, tout le monde sera heureux et les équipes de foot pourront se former. BLASPHÈMES !. Je ne répondis pas à sa blague stupide et préfère tourner la tête. « C'est moi ou j'ai fait quelque chose de mal ? » Je soupire longuement et il ne me laissa pas vraiment répliquer sur place, jugeant  qu'il n'avait pas besoin d'avoir ce genre de conversation avec moi. « J'ai rien dit, oublie. J'vais conduire, mets ta ceinture. » ce n'était pas nouveau, Cody Bleeker ne disait rien à part que des conneries encore et toujours des conneries et je commençais à me demander s'il savait être sérieux, si on ne l'avait jamais appris à l'être ou si vraiment il demeurait encore dans sa tête, dans le monde d'Alice au pays des merveilles. « Rien..je m'disais juste que les hommes ne pensaient qu'avec leur sexe... mais ça, ce n'est pas vraiment nouveau. » Disais-je en lâchant un rire assez glacial. Je ne sais même pas ce que je foutais encore ici. Au lieu de lui demander d'arrêter le bus et de me laisser partir, je restais assise, mon coude posé sur le bras du siège et ma main qui accueillait mon menton tandis que mon regard ancrait l'horizon à travers la fenêtre. Je préfère garder silence. Et d'ailleurs, un trèsssssssss long silence s'installa dans lequel j'avais fermé les yeux et fini par m'assoupir sans vraiment le vouloir. Mon corps était resté exactement dans la même position, mais mon âme s'était endormi surement de fatigue. Fighter avec Cody m'avait épuisé je dois l'avouer. Tant pis !. Au pire, une fois arrivé là où il voulait m'emmener, il n'aura qu'à me réveiller. Ouai, quand Dia dormait, elle était en mode silencieuse, le seul bruit qu'on entendait, c'était sa respiration qui lui sortait doucement par le nez.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Non mais voilà ce qu'il ne fallait pas entendre ; les hommes ne pensent vraiment qu'avec leur sexe. Intérieurement, ça fit sortir Cody de ses gongs. Qui avait proposé d'être le plan-cul de l'autre après qu'ils aient couché ensemble, l'autre soir ? Certainement pas Cody. Lui, il pensait que ce serait un one shot, l'histoire d'un soir, afin d'inhiber la tension entre eux. Et Dia lui avait proposé de remettre le couvert, encore et encore. Elle l'avait même défendu de laisser une autre fille s'approcher et il s'y était accommodé. Mais qu'elle le veuille ou non, eux deux, ce n'était que du cul et ça venait de son propre chef. Il resta la fixer, interdit, à la fois blessé et blasé par ce qu'il venait d'entendre. C'est qu'elle voulait le faire culpabiliser la petite. Mais Bleeker n'avait rien à se reprocher puisqu'ils ne représentaient rien l'un pour l'autre. Difficile à dire s'ils s'appréciaient réellement. En tout cas, la seule chose que Cody comprit, c'est qu'il devrait faire ceinture ce soir.
La route se déroula donc en silence. Cody ne parlait pas. Diamantika non plus. Il ne remarqua même pas qu'elle s'endormit. Pendant un temps, il songea à faire demi-tour, à la ramener chez elle et lui chez lui, puisque t'façon ses projets avec elle pour ce soir étaient comme les carottes ; râpés. Puis il se rattrapa, pendant que ça ferait du bien à Dia de se changer les idées, surtout qu'il avait une bonne idée de l'endroit où il comptait le mener. Il s'agissait d'un belvédère en dehors de Cambridge, en haut d'une colline, ce qui offrait un panorama magnifique sur leur ville qu'ils chérissaient tant. Ça s'annonçait parfait. Ça s'annonçait … Parce qu'évidemment, il y eut une couille dans le pâté. D'un coup, le moteur commença à grogner et le bus n'avançait plus que par à-coup … Jusqu'à ce qu'il s'arrête complètement au bord de la chaussée. Non, non, non, noooooooon. Ça ne pouvait pas arriver, pas maintenant, pas comme ça, paaaas … Avec elle. « Merdeeeee ... » soupira-t-il en donnant un coup de tête dans le volant, à bout de nerf. Il checka les compteurs et constata donc qu'il n'y avait plus d'essence. GENIAAAAAAL. Il se leva de son siège. C'est là qu'il constata que Dia pionçait carrément, tranquille Emile et cool Raoul la meuf. Il quitta le bus à en espérant que dans le coffre se trouve un bidon de secours, de quoi étancher la soif du bolide … En vain. En plus, Cody était sorti de Cambridge et ils se trouvaient à présent en pleine cambrousse, avec zéro station-service à l'horizon, vous pensez bien. Sinon, c'est pas drôle. Il regagna le véhicule et s'assit à côté de Dia pour fouiller dans les poches de sa veste qu'il portait à la recherche de son portable. Putain, il était où ? À contre-coeur – puisqu'elle allait forcément s'énerver – il la secoua légèrement pour la réveiller. « Kova, Kova, Kova, Kova. » répéta-t-il jusqu'à ce qu'elle entrouvre les paupières. « J'ai besoin de ton portable, dis-moi que tu l'as. » Sinon, ils étaient dans la mouuuuuuuuuise.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


COKA ಇ  tu m'aimes bien Codybabouin, ça crève les yeux
Okey je l'avais proposé un deal, j'en étais consciente, mais au moins moi je pouvais être sérieuse deux secondes avec lui, parler sans pour autant que ça se termine en plan cul. Lui tout ce qu'il avait dans la tête, c'était satisfaire son Codynosaure et puis basta. C'est bon quoi, la femme avait visiblement un plus gros cœur que l'homme. L'homme pensait avec la tête ou plutôt avec son sexe, mais la femme elle, elle pensait avec le cœur et je commence à croire que je devrais arrêter de penser avec mon cœur parce que c'est clairement en train de me guider sur un chemin dangereux où je finirais surement avec des ailes brûlées. ENFIN un silence, enfin Cody n'ouvrait plus sa bouche, enfin plus de connerie, le repos éternel. Ça faisait du bien d'avoir les paupières fermées, le corps assoupie et l'âme coupée du monde réel. J'étais si bien là, tellement bien que MONSIEUR trouva le moyen -encore une fois- de troubler cette tranquillité. Gosh mais qu'est-ce que j'ai fait pour mériter ça ?. De plus, il me secouait tellement fort que j'avais légèrement cogné l'arrière de ma tête contre la vitre. « Aïeuhhhhhh ! » M'exclamais-je en caressant ma tête. « Kova, Kova, Kova, Kova. » J'ouvrais enfin les paupières, mon sommeil fut plus court que je pensais. « J'ai besoin de ton portable, dis-moi que tu l'as. » Mais qu'est-ce qui le prenait soudainement et pourquoi on s'était arrêté ?. Rho ce mec. Je me penche vers lui, normal, mon sac se trouvait juste au coin du siège où il s'était assit. Je sentais d'ailleurs son souffle s'écraser contre le coin de mes lèvres et je fermais les yeux quelques secondes pour ne pas y penser. J'attrape enfin mon sac et je fouille à l'intérieur. Ouai, j'avais bien mon portable que je fis sortir, mais MALHEUR ! Plus de batterie. « Il est éteint, surement à cause de la batterie, mais qu'est-ce qu'il y a et pourquoi on s'est arrêté ? On est déjà arrivé ?. » Dia ne s'imaginait pas une seconde qu'elle se trouvait au milieu de nulle part. D'ailleurs, je regardais par la fenêtre et tout ce que je voyais c'était une route dans l'obscurité la plus parfaite. Les yeux écarquillés, je me lève pour aller voir de l'autre côté d'une vitre. MAMAMIA, là c'était le choc, une cambrousse parfaite pour les tueurs en série. « Bordel ! Ne me dis pas qu'on est bloqué ici, s'teuplait, s'teuplait !. » Mais à en juger par son regard, ouich, on était bien bloqué ici. Je passe ma main dans mes cheveux en faisant les cent pas devant le jeune homme. Je réfléchissais, réfléchissais, réfléchissais, mais j'avais surtout peur et la une crainte de me retrouver nez à nez avec un serial killer me faisait totalement flipper. Oui Dia paranoïait déjà, mais avouez que c'était l'endroit parfait, une nuit sombre parfaite, deux personnes bloquées dans un bus qui ne marchait plus. MON DIEU, on allait mourir. Je ne veux pas mourir. « Faut qu'on s'casse d'ici au plus vite !. » Portable en main, j'attrapais la main du Lowell et l'attira vers la sortie du bus. Une fois à l'extérieur, je lui attrape le bout de sa chemise marchant derrière lui et en gardant un œil autour de moi. « Il doit y avoir un petit motel dans le coin, une petite maison habitée ou peu importe, mais je n'reste pas dans ce bus, je n'ai pas envie de tomber sur un serial killer !. » Et puis on reviendra au petit matin récupérer le bus avec de l'aide, enfin ça c'est si on trouve de quoi s'abriter pour la nuit. Et comme-ci cela ne suffisait pas, j'entendis un bruit bizarre, surement le vent qui ventilait les quelques feuilles d'arbres, du coup, je me jetais immédiatement contre le dos de Cody y plaquant mon front et serrant sa chemise au niveau de son bide. Ouich Diamantika s'était transformée en femme Koala. Nous restions ainsi pour marcher et pourvu qu'on trouve quelque chose.
[/b][/color]
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Le sort s'acharnait sur eux. À la loterie du pas d'bol, ils avaient le ticket gagnant. Il fallait qu'ils trouvent une solution et vite, car passer la nuit dans ce trou à rat n'enchantait guère Cody, bien qu'il se doutait qu'ils ne devraient pas faire de rencontres indésirables, normalement. Ils n'étaient pas dans le film d'horreur 'la colline à des yeux', proies de dangereux chasseurs. En fait, ce qui dérangeait le plus Cody, c'était de rester cloîtré dans un bus avec Dia, quoi. Pour une raison totalement inexplicable, elle se comportait bizarrement avec lui, ce n'était pas la fille naturelle et spontanée qu'il s'était surpris à apprécier. Là, il retrouvait la garce qui l'insupportait, à faire la gueule pour un rien. Pourtant, il n'avait pas le choix, il dut la réveiller. Par chance, elle avait son portable. Malchance ; zéro batterie. Putain. Cody passa sa main sur son front et soupira, tentant de rassembler le peu de neurones encore viables pour trouver une solution. Mais voilà que Diamantika s'ancrait dans une profonde panique et Cody n'avait pas le cœur de la maîtriser. Toujours assis sur son siège, il levait la tête et la fixait faire les cent pas, à s'en donner le tournis. « On est bloqué ici. » dut-il se résoudre à dire. Traîné par Dia, il se retrouva contre son gré à l'extérieur. Pourquoi ? Ça n'servait à rien ! À l'horizon, il n'y avait que du noir, du noir, du noir. Pas le moindre point lumineux et surtout, pas la moindre source de lumière. Il avançait, vacillant, dans la campagne, uniquement parce qu'il se sentait comme poussé par Dia derrière lui. Il poussa un soupir d'exaspération ; « Juste UNE question ; est-ce que tu sais où on va, là ? Parce que moi non ! » Et voilàààà, il suffisait d'un courant d'air pour qu'elle s'agrippe à lui comme un koala sur son arbre. Il grogna, là, il en avait marre. Il attrapa ses mains et les força à se détacher de sa chemise et fit volte-face, lançant un regard des plus noirs à Dia. S'il avait eu une AK-47 à la place des yeux, elle serait fusillée sur place. « Merde, Dia, regarde autour de toi ! Il fait NOIR ! On t'a greffé une fonction GPS dans le crâne et t'es capable de nous trouver un motel ? PAR-FAIT ! Alors JE T'EN PRIE, emboîte le paaaaas, mais ne t'attends pas à ce que je fasse des miracles. Là, tu me fatigues Dia, TU-ME-FATIGUES ! J'ai même pas envie de trouver une solution, j'préfère me terrer dans ce bus de mes deux plutôt que de chercher une solution avec toi. T'façon, c'est bien connu, j'réfléchis pas moi, c'est mon pénis qui réfléchit et là, il est fatigué, il fait sa sieste, désolééééééé Dia, vraiment désolé ! Mon sexe a le cerveau aussi mort que la batterie de TON téléphone qui aurait supposément pu nous sortir d'affaire. » Ouais, ça volait hauuuut l'engueulade. Il fit de grands geeeestes bien théâtraux pour montrer à quel point elle le foutait au bout du rouleau. Excusez-le, mais au bout d'un moment, fallait que ça sorte. « Tu sais quoi ? Va te chercher un hôtel, motel, maison, cabane, terrier … Moi j'retourne au bus. Je te souhaite une BONNE NUIT. Et BON COURAGE. » Il se mit en marche vers le bus mais se retourne aussitôt, détachant de son trousseau de clefs un petit porte-clef qui faisait de la lumière. Il revint vers elle et lui attrapa brusquement la main dans laquelle il posa l'objet. « Tiens ! Comme je suis gentil, je te donne même de quoi t'éclairer. Re-bonne nuit Kovache ! » Sur ce, il tourna les talons, amorçant un pas décidé vers le bus. Brrr, ils avaient laissé la porte ouverte et la lumière allumée, ça allait attirer les moustiques cette affaire.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


COKA ಇ  tu m'aimes bien Codybabouin, ça crève les yeux
« Juste UNE question ; est-ce que tu sais où on va, là ? Parce que moi non ! » Non mais c'était quel genre de question ça. Si je savais où on allait je lui aurais rapidement guidé le chemin. « Je ne sais pas où on va ! Mais on va point ! » C'est à ce moment-là qu'un vent glacial à suffit à me faire peur et réveiller ma petite paranoïa. Mais, apparemment il n'y avait pas que ma paranoïa qui s'était réveillée. Cody c'était transformé en Godzilla. Il retira mes mains et se retourna pour me crier dessus comme un chien enragé. « Merde, Dia, regarde autour de toi ! Il fait NOIR ! On t'a greffé une fonction GPS dans le crâne et t'es capable de nous trouver un motel ? PAR-FAIT ! Alors JE T'EN PRIE, emboîte le paaaaas, mais ne t'attends pas à ce que je fasse des miracles. Là, tu me fatigues Dia, TU-ME-FATIGUES ! J'ai même pas envie de trouver une solution, j'préfère me terrer dans ce bus de mes deux plutôt que de chercher une solution avec toi. T'façon, c'est bien connu, j'réfléchis pas moi, c'est mon pénis qui réfléchit et là, il est fatigué, il fait sa sieste, désolééééééé Dia, vraiment désolé ! Mon sexe a le cerveau aussi mort que la batterie de TON téléphone qui aurait supposément pu nous sortir d'affaire. » Je baissais la tête, fermais très fort les paupières, serrais mes poignets de mains, l'un contre mon portable et j'encaissais tous ces mots blessants. « Tu sais quoi ? Va te chercher un hôtel, motel, maison, cabane, terrier ... Moi j'retourne au bus. Je te souhaite une BONNE NUIT. Et BON COURAGE. » Je ne disais rien, j'étais juste choqué et encore plus lorsqu'il me ramena un porte-clef. « Tiens ! Comme je suis gentil, je te donne même de quoi t'éclairer. Re-bonne nuit Kovache ! » Mais non, mais non, mais nonnnnnn, je pouvais aller nulle part sans lui, j'avais trop peurrrrrr. La preuve, je ne restais pas une minute de plus dehors retournant au bus. Mais...Personne n'avait le droit de lever la voix sur moi comme il l'avait fait ce soir et là, je l'avais au travers de la gorge. Montant dans le bus, je sentais mon sang bouillir et ne faire qu'un tour. J'allais dire une bêtise, mais je ne pouvais plus me retenir... Je m'approche de lui alors qu'il était assit et je lui balance le porte-clef contre son torse. « Tu n'auras plus à supporter ma présence, je ne te FATIGUERAI plus ! J'abandonne... Le deal est terminée ! Cody toi et moi sous les draps c'est terminé ! Je te désimunise. Bonne nuit, Crétin ! Homme des cavernes ! Babouin ! Chien enragé ! Godzilla ! Tête de mule ! AVEUGLE ! SANS CŒUR ! GO TO HELL !. » Je ne criais pas ou juste un peu et de toute façon, j'en avais pas la force. J'enlève sa veste que jette également sur lui, je ne pensais pas un mot de ce que je disais, enfin, sauf ceux de la fin, mais il m'avait énervé et c'est tout ce que j'avais trouvé à dire pour l’énerver. Avant que je ne cède à mon envie de déposer mes lèvres sur les siennes et l'embrasser fiévreusement, je prends mon sac et me rend à l'arrière du bus où je m'assoie et de nouveau je regarde à travers la vitre sans dire un mot de plus. Et si vraiment je le libérais ? Il n'aura plus à supporter mes crises de jalousies, mon caractère de cochon, plus rien, il sera libre d'aller se taper qui il voudra. Je ne pouvais pas avoir un semblant de discussion sérieuse avec lui, il était sans cœur, en fait, ce n'était pas moi le diable, c'était lui caché sous son visage d'ange et sexy en mode Godzilla. Grrrrrrr.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
À force de secouer la bouteille de Coka, elle vint leur péter entre les doigts. Cody n'en pouvait plus du comportement de Dia. Il avait fermé les yeux toute la soirée, quand elle s'était foutue de sa gueule au concert, quand elle joua au bonobo sur les poutres au plafond, quand elle s'enfuit de manière totalement inexplicable des loges, quand d'un coup elle changea d'humeur du tout au tout … Il pouvait prendre sur lui. Cody avait une capacité innée et folle à encaisser un maximum de choses. Même se faire traiter de queutard, il l'acceptait. Why not ? Freedom of speech, isn't it ? Mais là, la goutte de trop dans la bouteille et BOUM. Ça explosa. Il était rare que Bleeker s'énerve comme ça et qu'il lève autant la voix sur quelqu'un mais il contenait tellement de choses depuis le début de la soirée qu'il n'en pouvait juste plus. Après ça, il regagna le bus où il s'installa sur une banquette, adossé contre la vitre et les jambes tendues sur le siège. Il l'entendait venir de loin, la Dia, et à son tour elle explosa. Elle mettait fin à leur relation. Leur relation ? Cody n'savait même pas à quoi ça rimait. En gros, ils ne coucheraient plus ensemble. SANS RIRE. Comme s'il avait encore envie d'elle après tout ce cirque, de toute façon. Enfin siiiii, il avait encore envie d'elle, of course, mais pas lààààà tout de suite quoi. Puis il s'en passerait au pire. Des filles comme elle, il pouvait en avoir mille et cent. Dans ses rêves quoi ... Bon, Cody avait un pouvoir d'imagination très très très fort, peut-être que ça lui suffirait, peut-être qu'il n'avait pas besoin de Dia. Bref. Osef. Elle partit dans son coin, il resta dans son coin. Silencieux. Pendant cinq bonnes looooongues minutes. Puis il se leva et alla fermer et verrouiller à double-tour la porte du bus. Puis il éteignit la lumière pour pas attirer les psychopathes. Ni les moustiques. Bref, ils pouvaient à présent dormir jusqu'au petit matin lalalala la vie est belle. Sauf qu'au lieu de retourner sur son siège où il avait commencé à s'installer, il s'avança dans le fond et pris place sur la banquette juste derrière celle de Diamantika. Il se repositionna adossé contre la vitre, les jambes étendues et mis encore quelques secondes à parler. Il sentait que Dia attendait que ça, qu'il ouvre sa bouche, qu'il dise pourquoi il s'était aventuré sur son territoire, aka l'arrière du bus. Seuls leurs souffles coupaient cours à ce silence pesant. Et Cody le brisa enfin. « J'suis pas sans cœur. » affirma-t-il, la gorge serrée. « J'ai respecté chacune de tes règles, même quand ça impliquait que tu m'humilies devant ton pote bleu. J'me disais ; wow, enfin une fille qui sait ce qu'elle veut, qui m'donnera pas l'impression de marcher sur des œufs avec elle, avec qui j'peux être moi-même parce que t'façon, c'qu'elle cherche c'est pas le petit ami parfait. » Sa voix commençait à trembler, il la retint. Du coup, ses tremblements se diffusèrent dans tout son corps et il agita le pied dans le vide pour atténuer cette sensation de perte de contrôle. Ça devait être la première fois qu'il parlait de Danae depuis sa rupture, même s'il ne la citait pas, même s'il n'avouait pas clairement sa situation. Il toussota pour s'éclaircir la voix et se pencha sur le dossier du siège de Dia sur lequel il posa ses bras en croix ; « Tu peux me reprocher tout ce que tu veux, mais pas d'être un gars qui ne pense qu'avec sa queue, ni un chien enragé, ni un sans cœur. T'as ouvert le plateau de jeu, t'as dicté les règles, t'as lancé les dés. C'est pas parce qu'on les lance chacun notre tour que ton jeu a changé, Diamantika. Si tu veux qu'on arrête maintenant, très bien, on arrête. Mais avant de jouer une nouvelle partie avec moi ou quelqu'un d'autre, vérifie bien que les règles correspondent à ce que tu veux vraiment. » Phrase terminée, il s'enfonça de nouveau dans son siège. Il ne pouvait être plus clair.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


COKA ಇ  tu m'aimes bien Codybabouin, ça crève les yeux
Assise dans mon coin, je soupirais en me posant pleins de questions. A force, j'allais me choper un mal de crâne incroyable. Tout ceci et surtout cette dispute m'avait épuisée, je n'étais pas habituée à me prendre autant le choux avec un mec. Et là, je dois dire qu'il y a vraiment excès. C'était aussi la première fois que je laissais quelqu'un me crier dessus sans riposter, baissant la tête comme une enfant qui se faisait gronder. Ça aussi c'était nouveau et ça me faisait flipper. Je pouvais être moi avec lui, mais je pouvais aussi me découvrir avec lui et c'est assez flippant. J'ai l'impression d'être en face d'un homme, un vrai et qui savait me tenir tête. C'est troublant. C'est pourquoi, assise dans mon coin, je préfère garder le silence et laisser la nuit se terminer sans meurtre et ou autres accident. Je ne voyais pas Cody se lever éteindre la lumière et verrouiller le tout, mais j'entendais ses pas et au fur et à mesure qu'ils approchaient, mon coeur battait. On ne pouvait pas comprendre Dia, on ne la comprendra jamais, alors ne perdez pas votre temps à essayer parce que vous n'y arriverez jamais. Il pris place derrière moi et je me demandais pourquoi, parce qu'aux dernières nouvelles, je le fatiguais. « J'suis pas sans coeur. » Et pourtant ce soir, il m'avait prouvé le contraire. « J'ai respecté chacune de tes règles, même quand ça impliquait que tu m'humilies devant ton pote bleu. J'me disais ; wow, enfin une fille qui sait ce qu'elle veut, qui m'donnera pas l'impression de marcher sur des oeufs avec elle, avec qui j'peux être moi-même parce que t'façon, c'qu'elle cherche c'est pas le petit ami parfait. » Non mais imaginez-vous que la Dia qui l'avait menacé le soir de leur Housing Day, viendrait à leur soirée pour papoter avec lui et l'embrasser etc... ?. « Je ne t'ai pas humilié, j'essayais juste d'être crédible pour ne pas éveiller les soupçons... Ce n'était pas l'envie qui me manquait de t'embrasser ce soir devant tout le monde, mais voilà, y avait trop de bleu, y avait trop de monde... Et les règles n'impliquaient pas la disparition des discussions sérieuses et que pour une fois, on puisse se parler avec les lèvres, plutôt qu'avec les sexes... Tout ce que je demandais ce soir, c'était dormir dans tes bras, est-ce un crime ? Peut-on pas mettre le jeu de côté le temps d'une nuit ?. Ne peux-tu pas t'imaginer me serrer dans tes bras sans passer par Codynosaure ?. Je n'ai rien demandé, je n'ai pas demandé la lune, elle m'intéresse pas, j'ai juste demandé tes bras, uniquement tes bras... » On pouvait parler comme deux êtres normalement constitués sans pour autant passer par la clé qui entre dans la serrure si vous voyez ce que je veux dire. Et là, au moins, ils se parlaient sérieusement et ça ne faisait pas de mal n'est-ce pas ?. « Tu peux me reprocher tout ce que tu veux, mais pas d'être un gars qui ne pense qu'avec sa queue, ni un chien enragé, ni un sans coeur. T'as ouvert le plateau de jeu, t'as dicté les règles, t'as lancé les dés. C'est pas parce qu'on les lance chacun notre tour que ton jeu a changé, Diamantika. Si tu veux qu'on arrête maintenant, très bien, on arrête. Mais avant de jouer une nouvelle partie avec moi ou quelqu'un d'autre, vérifie bien que les règles correspondent à ce que tu veux vraiment. » Je soupire une nouvelle fois, mais je vous jure en plus d'être une tête de mule, il était borné et pourtant je l'avais répété mainte et mainte fois qu'il était l'exception, avec aucun autre homme je m'étais hasardée à faire cela, de plus, Dia n'était pas le genre de fille à coucher à droite et à gauche, elle n'était pas le genre de fille à laisser n'importe qui se hisser sous ses draps. Pourquoi n'arrivait-il pas à se le mettre dans le crâne. Là, j'avais juste l'impression qu'il me prenait pour ce genre de fille et je détestais ça. « Quand est-ce que tu vas te mettre dans le crâne que je ne joue pas avec n'importe qui... Je ne suis pas ce genre de fille qui couche à droite et à gauche... Je te le dis, t'es le seul que j'ai laissé entrer dans mon lit depuis.... mon ex et t'es le seul que j'ai envie de voir dans mon lit alors arrête. Mais toi Cody, qu'est-ce qui te retient ? Pourquoi tu ne vas pas te trouver une autre fille ? A ce que je sache, je ne t'ai pas mise le couteau sous la gorge pour t'obliger à faire quoi que ce soit... » Je pivote, genoux sur mon siège, face to face avec le Lowell et là je plonge mon regard dans le sien en posant mes mains sur ses bras. Je penche légèrement mon front pour lui donner un léger coup de front contre le sien en reprenant « Avoue que tu m'aimes bien, ça crève les yeux... t'aimes bien la casse pied que j'suis !. » Je reculais en me mordillant la lèvre inférieure. J'en avais assez d'être la seule honnête, j'avais besoin qu'il le soit aussi, besoin de savoir que mon corps ne l'intéressait pas uniquement. J'avais besoin de poser mes lèvres sur les siennes, c'est vrai, je ne pourrais plus me passer de lui, mais je refusais que nos corps soient les seuls à s'exprimer dans un langage sexuel, je voulais que de temps à autre, on se parle, mais vraiment. Je ne sais pas si j'étais en train de tomber amoureuse de lui, mais une chose est certaine, mon coeur battait à chaque fois qu'il était près de moi.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Sans mot. Cody demeura sans mot face aux discours de Diamantika. Que pouvait-il répondre ? Lui qui pensait avoir signé pour un plan-cul régulier avec l'Eliot, il se retrouvait face à une nana qui rêvait de longues discussions, enlacés l'un contre l'autre. Après avoir brisé le cœur de Danae – et le sien, par ricochet – il s'était terré dans son silence et en était venu à une conclusion rapide mais importante ; il ne méritait pas cette fille. Elle était juste … Trop bien pour lui. Lui qui enchaînait les gaffes, les conneries, qui multipliait les erreurs et qui n'était finalement pas assez mature pour se montrer un minimum responsable et assumer ses fautes. Du coup, il était tombé dans les bras de Dia. Elle était la garce intransigeante, la méchante Eliot qui pétait bien plus haut que son trou de balle. Loin d'être la fille parfaite qu'on présenterait à sa mère. Et Cody s'était dit qu'il ne méritait pas mieux qu'elle. Que finalement, ils se complétaient plutôt bien. Et là, il l'écoutait et il réalisait qu'il se trompait du tout au tout ; elle aussi elle était trop bien pour lui. Elle rêvait d'un homme, d'un substitut de petit ami, là où Cody pensait seulement partager quelques nuits avec elle. Il demeura interdit, la bouche entrouverte. Et quand elle s'approcha et lui donna un tendre mini coup de boule, il esquissa un sourire et étouffa un rire, plus gêné qu'autre chose. Dans quoi venait-il de se fourrer ? Il n'était pas prêt. Passer de Miss Perfection à une nouvelle Miss Perfection  … Il ne s'en sentait pas capable. Il n'avait pas suffisamment confiance en lui pour y replonger. En elle, si. En lui, pas du tout. « Je ... » hoqueta-t-il en détournant son regard vers l'extérieur, marquant d'un rond de buée la vitre glacée qui le séparait de ce monde. Ça le rendait d'autant plus nerveux qu'il sentait le regard de Dia braqué sur lui. « … étais en couple avec une fille il y a encore deux semaines. J'ai merdé, j'ai paniqué, j'ai rompu, j'ai … Je … J'ai … J'sais pas ce que je pensais. Ce que je pense, je ... » Il bégaya. Ne parle pas de Danae, ne parle pas de Danae, ne parle pas de Danae ... Il changea de sujet. La chaussée était glissante par ici.  Il n'avait pas envie d'être jugé sans arrêt, il avait assez donné avec Dan qui trouvait moyen de critiquer le moindre de ses faits et gestes. « Pourquoi tu veux tout compliquer ? On n'était pas bien ? J'avais enfin l'impression d'être moi. Ce soir, j'étais moi, justement, et j'avais l'indécence de croire que ça te suffisait, que ça te convenait, qu'on s'amusait. Et là, tu veux quoi, qu'on se pose, qu'on parle sérieusement ? Et de quoi tu veux qu'on parle ? De la pluie, du beau temps ? De l'économie du Zimbabwe ? Oh, j'ai vu un magnifique reportage sur la reproduction des oursins, l'autre jour. » termina-t-il avec ironie. Ta gueule Cody, ta gueule. Il grimaça, ferma les yeux, prit une bonne bouffée d'oxygène avant de murmurer ; « Oui, je t'aime bien Diamantika. J'pensais que toi aussi, que tu me voulais, que t'avais découvert une facette de ma personnalité que tu appréciais. Sauf que ... Tu peux m'endormir avec tes paroles, avec ton ex, me dire que tu me veux moi et uniquement moi … Mais c'est faux. Tu veux d'une histoire cachée, OK, moi aussi, vivons heureux vivons cachés. Parce que je pensais que ça resterait du sexe, uniquement du sexe, un peu d'affection, tout ce qu'il faut pour qu'on se sente bien. C'était le deal, c'est ce que tu m'avais proposé. Et là, je réalise – et je suis même pas sûr que toi-même tu te rendes bien compte de ce que tu dis – que ce que tu veux c'est un copain. Un copain que tu garderais égoïstement pour toi, que tu modèlerais à ta guise, qui se plierait à ton bon vouloir … Et ce gars-là, c'est pas moi. » Le ton de sa voix n'avait pas monté d'un décibel, il parlait calmement. Ils avaient peut-être besoin de cette mise au point parce que, visiblement, ils ne partaient pas tous les deux sur les mêmes bases.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


COKA ಇ  tu m'aimes bien Codybabouin, ça crève les yeux
Je ne crois pas mes yeux. Un Cody si sûr de lui était en train de bégayer comme pas possible, encore un peu et j'allais voir de la sueur couler le long de son front tellement il était en train de virer à la panique totale. « ... étais en couple avec une fille il y a encore deux semaines. J'ai merdé, j'ai paniqué, j'ai rompu, j'ai ... Je ... J'ai ... J'sais pas ce que je pensais. Ce que je pense, je ... » Alors comme cela, il y a deux semaines, il était encore en couple ?. Et si je comprends bien, cela voulait dire que je ne suis juste qu'un vulgaire échappatoire pour oublier sa peine d'amour. Great, de mieux en mieux. Voilà pourquoi je me refusais de m'attacher à un Lowell ou un homme en fait. En fin de compte, tous les hommes sont pareils. C'est même une évidence. Il n'y a pas un pour rattraper l'autre. « Pourquoi tu veux tout compliquer ? On n'était pas bien ? J'avais enfin l'impression d'être moi. Ce soir, j'étais moi, justement, et j'avais l'indécence de croire que ça te suffisait, que ça te convenait, qu'on s'amusait. Et là, tu veux quoi, qu'on se pose, qu'on parle sérieusement ? Et de quoi tu veux qu'on parle ? De la pluie, du beau temps ? De l'économie du Zimbabwe ? Oh, j'ai vu un magnifique reportage sur la reproduction des oursins, l'autre jour. » Qu'on parle de lui, qu'on parle de moi, que je sache quelques points importants sur lui. Savoir qui je mettais dans mon lit. N'avais-je pas le droit de connaître au moins ça ?. Non, monsieur était en train de divaguer et d'entrer dans des conclusions que moi-même je n'y étais pas préparée. « Oui, je t'aime bien Diamantika. J'pensais que toi aussi, que tu me voulais, que t'avais découvert une facette de ma personnalité que tu appréciais. Sauf que ... Tu peux m'endormir avec tes paroles, avec ton ex, me dire que tu me veux moi et uniquement moi ... Mais c'est faux. Tu veux d'une histoire cachée, OK, moi aussi, vivons heureux vivons cachés. Parce que je pensais que ça resterait du sexe, uniquement du sexe, un peu d'affection, tout ce qu'il faut pour qu'on se sente bien. C'était le deal, c'est ce que tu m'avais proposé. Et là, je réalise - et je suis même pas sûr que toi-même tu te rendes bien compte de ce que tu dis - que ce que tu veux c'est un copain. Un copain que tu garderais égoïstement pour toi, que tu modèlerais à ta guise, qui se plierait à ton bon vouloir ... Et ce gars-là, c'est pas moi. » Putain, le mec s'est fait tout seul un film en même pas quelques minutes. C'était quoi ? Le nouveau Roméo et Juliette 2015 ?. Je crois que j'en avais assez entendu. Mes oreilles me faisaient mal vous voyez et Cody s'était transformé en réalisateur de film dramatique. Non, mais il pouvait bien me juger, il n'était pas mieux. Je me lève, fais le tour et pendant qu'il parlait encore et encore et encore et encoreeeeeeee.... BZZZZZZ.... Je pose mes doigts sous son menton et je lui redresse la tête, me penchant assez pour poser mes lèvres sur les siennes. Je l'embrasse tellement fort pour l'obliger à ce taire. TAIS-TOI CODY !. Mais aussi tellement passionnément. Au bout de quelques petites minutes avant de perdre mon souffle, je retire mes lèvres en me redressant. « Goshhh t'es pas croyable !. Qui t'as parlé de copain, de sentiments et de tout ce tralala ?. Ce que je veux, c'est savoir avec qui je partage mon lit, j'ai bien le droit non ? Et si t'étais un psychopathe et que moi j'couchais avec un psychopathe sans le savoir hein ?. Tu voisssssss la choseee maintenant ? Quoi que t'as vraiment une tête de psychopathe. » Je fronçais les sourcils en faisant semblant de prendre un siège pour bouclier. Il avait tiré des conclusions plus rapides que son ombre le mec. Mais j'avoue que moi-même je ne sais plus où je vais avec lui, non, disons que je sais, mais je ne sais plus de quel façon j'y vais... et pour l'instant je n'avais pas envie de le savoir, ni de l'effrayer avec ça. Si un jour, si un jour je venais à tomber dans le piège de mon propre jeu, je crois que je n'oserais jamais le lui dire, il prendrait ses jambes à son cou et ce n'est clairement pas ce que je voulais. « Tu t'es bien moqué de moi t'aleurs quand tu disais que j'exagérais tout, mais tu t'es vu ? On aurait dit que tu venais de prendre la place de Shakespeare !. T'avise même plus de t'moquer de moi, t'es pas mieuxxxx ! Codybabouinnn !. » Et là, je lâche un semblant de rire pour désamorcer l'atmosphère, oui, oui vous avez bien lu. « Et tu aurais dû dire depuis le début que t'as été en couple et que tu voulais oublier... je n'allais pas le prendre mal, c'est bon, t'as trouvé une échappatoire à ton goût Monsieur le psychopathe ?. » Là encore je faisais passer ça sur le ton de la plaisanterie, mais au fond, j'étais quand même blessée. Soooooooo, je vais apprendre maintenant à garder tout ça pour moi, je peux vraiment plus rien lui dire. Et là, en plein milieu de discussion, j’éternuais. Oulaaaaaaa, on dirait que je vais choper un rhume moi.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)