Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityOUVRE DU BONHEUR ₪ COKA COLA - Page 3
-28%
Le deal à ne pas rater :
-28% Machine à café avec broyeur à grain MELITTA Purista
229.99 € 318.99 €
Voir le deal


OUVRE DU BONHEUR ₪ COKA COLA

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Woooow. Leurs visions du mariage étaient totalement antagonistes. Voyez, Cody Bleeker, prêt à épouser Joan Lindley rien que pour la signature sur un vulgaire papier. Ensuite, regardez Diamantika Kovalevski, désireuse de rencontrer le prince charmant, fervente croyante en cette institution démodée qu'on appelait 'mariage'. Cody appartenait à l'école selon laquelle, quand on aime quelqu'un, on ne l'enferme pas à coups de bague au doigt, de lune de miel, de partage des biens et de divorce de vengeance. Parce que ouais, c'est la dure tragédie du mariage ; le mariage se termine inévitablement en divorce. On y goûte et, qu'on le veuille ou non, on se fait plumer comme un poulet. Un comble pour une Kovache. Bref, il préféra ne pas rebondir là-dessus. Ils ne partageaient pas ce point de vue, il fallait juste l'ajouter à la longuuuuue liste de ce qui les séparait l'un de l'autre. Cody marqua un nouveau point ; elle était sublime habillée en Cléopâtre. Aux antipodes de Cody qui se demandait ce qu'il avait à offrir à une fille comme ça. À part quelques nuits. Ouais, t'façon, il n'était que l'affaire de quelques nuits pour Dia, rien de plus. « Heyyy, touche pas à ma brioche ... » pouffa-t-il quand elle posa sa main sur son bide à bière. Et puis là, il ne comprit pas trop pourquoi … Elle s'envola. OK, c'est si honteux que ça d'être folle du corps de Cody ? C'est bon, Dia n'avait pas dit qu'elle était folle de lui ou carrément amoureuse. Non. Folle de son corps, folle du Codynosaure. Ça émoustillait le brunet, puis la douche froide. Elle le fuyait totalement. Mais là, il n'avait pas envie de lui courir après. Il avait assez joué à Georges de la Jungle pour la soirée. Du coup, sans rien préparer, il se dirigea vers le disjoncteur et abaissa la manette, de sorte à ce que toutes les coulisses – et la scène – se retrouvent dans le noir le plus complet. Il souhaitait que ça l'alerte, que ça l'arrête. Il demeura silencieux et bidouilla ensuite tous les boutons du coupe-circuit, jusqu'à ce que seulement un projecteur s'allume, dessinant un rond de lumière blanche sur la scène. Il toucha encore au bouton, la musique s'alluma. Il ne savait pas trop d'où ça provenait, mais le son de cette chanson se propagea dans toute l'enceinte. Parfait. Il n'était peut-être pas Dunster, il n'avait peut-être pas la science infuse, mais il avait réussi à allumer un projo et lancer une musique, weeeeesh. Il gravit la petite marche qui le menait sur la scène et s'avança vers le cercle lumineux, espérant toutefois ne pas se prendre un vent monumental par Dia. Ouais, peut-être qu'il jouait à l'électricien trop tard et que, minuit passée, Cendrillon s'en était allée très très loin. Il le vivrait mal. Il ne voulait pas terminer sa soirée sans elle. Il avait besoin d'un accident. Il n'en avait plus envie, il en avait besoin.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


COKA ಇ  tu m'aimes bien Codybabouin, ça crève les yeux
« Heyyy, touche pas à ma brioche ... » J'arquais un sourcil. Je savais que c'était encore pour me taquiner, ça l'amusait, tout comme il devait jubiler de savoir que sont corps ne me laissait pas indifférente. Mais je regrettais de l'avoir dit, car je savais qu'il en jouera à l'avenir. Fuir n'arrangeait jamais les choses, j'étais consciente, mais là, je voulais juste fuir CE moment, je ne comptais pas m'en aller, du moins, je n'allais pas partir sans lui souhaiter au moins une douche nuit. Disons que là, j'étais plutôt occupée à chercher mes talons, j'avais retrouvé une, mais la deuxième était introuvable, porté disparu, soooo, j'avais décidé de chercher un peu plus loin vers l'obscurité. Mon talon y était peut-être. Dia t'es trop forteeee. Sayezzzzzz, je l'ai trouvééééé. Sauf qu'en voulant le récupérer, je fus totalement plongée dans l'obscurité cette fois-ci et je laissais mon talon, pas le choix, je ne voulais pas me cogner contre quelque chose, je crois avoir eu ma dose de coups pour ce soir. Celui qui trouvera ce talon épousera Dia aka Cendrillon. Puis soudainement, une musique retentie, elle s'empara automatiquement du lieu, mais aussi de mon coeur. Je connais le titre et les paroles sont vraiment sublimes. Je suivais le son de cette chanson jusqu'à me retrouver devant la scène, avec un Cody au centre sous un cercle lumineux. Je ne dis rien, je ne bouge pas, je plonge juste mon regard dans le sien en croisant mes doigts derrière mon dos. J'écoutais la musique, pourquoi cette musique ?. Voulait-il me faire passer un quelconque message ?. Non, je me faisais encore trop d'idées. C'est Cody, il avait dû certainement bidouiller maladroitement et ça aurait déclenché ça. Cela ne voulait rien dire. Absolument rien. Je chasse immédiatement ses pensées en secouant la tête et à mon tour je gravis les marches montant sur scène face à lui. Un sourire ne quitta cependant plus mes lèvres à cet instant précis. Je plie légèrement mon corps, incline avec grâce la tête, simule une robe que je serre entre mes doigts afin de lui faire une révérence, style, grands richards, princesses, comtesses et toute la clique. Je relève la tête et m'approche de lui toujours muette, laissant plutôt mon sourire parler. Je pose une main sur son épaule tandis que l'autre galope le long de son bras pour s'emparer de sa main que je serre contre la mienne en soulevant quelque peut. « Danse avec moi... » -avant les douze coups de minuit- Murmurais-je quittant nos mains du regard pour le poser sur ses iris. Je fis le premier pas entre ses jambes, entamant une valse rythmé, laissant maintenant un rire se mêler au son de la musique. Ils ne se sont peut-être pas rendu compte, mais minuit avait déjà passé. Dia n'avait plus tellement la notion du temps, c'était l'effet Cody en fait. Now, elle ne pouvait plus le quitter du regard et ce, malgré le nombre de fois qu'il la faisait tourner.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Cody Bleeker éteignait la lumière et refaisait le monde. Il plongea toute la scène dans une ambiance à la Dirty Dancing. Un public invisible avait à présent les yeux rivés sur sa silhouette qui se rapprochait du halo lumineux, paralysé par les bruits de pas qui se rapprochaient. Voilà. Il était maintenant au centre de l'intention, s'impatientant de voir sa partenaire d'un soir arriver. Les palpitations de son cœur se faisaient de plus en plus dense à mesure que le chanteur s'enfonçait dans son couplet. Il adorait cette chanson, il n'savait pas trop pourquoi mais ça lui procurait des frissons en cascade. À moins que ce soit l'attente, l'appréhension de voir – ou pas – débarquer Dia … Et elle apparut. Elle se déshabilla du velours de l'obscurité, faisant un contraste sidérant avec sa robe d'une blancheur virginale. Quand la Dia-blesse enlevait son masque, il restait ça. Et ça plaisait à Cody. Il ne put s'empêcher d'esquisser un sourire en la voyant arriver, sans talon, les cheveux trempés, le maquillage envolé, sa robe de Cléopâtre pour unique vêtement … Zéro artifice. Et il se surprenait d'avoir une affection profonde pour cette Dia qui n'était en rien celle qui l'avait menotté au lit chez les Eliot ou même qui l'avait aspergé de peinture quelques heures plus tôt. Elle attrapa sa main, il posa la sienne sur sa hanche puis dans le creux de ses reins, obligeant à réduire considérablement la distance entre leur corps. « Je danse avec toi. » murmura-t-il en guise de réponse. Mais ce n'était pas juste danser dans le sens danser cette valse. C'était danser dans le sens où il la suivait, où qu'importe où ses pas les mèneraient, il suivrait. Tant sur cette chanson de Sum 41 que dans leur relation toute entière. Il dansait avec elle. Emporté par cette valse, ils occupaient l'ensemble de la scène, se retrouvant tantôt dans la lumière, mais souvent dans l'obscurité. Pas étonnant ; Cody est le mec de l'ombre, celui que Dia n'affiche pas. À un moment, il tendit le bras pour permettre à Dia de faire un tour sur elle-même. La toupie faite, il profita de cet élan pour ramener l'Eliot contre lui et l'emprisonna en passant ses bras autour de sa taille. Il bomba le torse, le rythme ralentit quelques secondes, le temps pour lui d'effleurer le visage de sa Reine du bout du nez. Les paupières closes, il se languissait de ces sensations, de ce moment hors du temps. Puis, il captura ses lèvres au moment d'un 'I want you to knoooooooow' et ne les délivra qu'à la fin du refrain. Il ignorait pourquoi il donnait autant de fièvre à Dia, pourquoi il s'attachait. Au fond, il ne voyait en elle que la transposition de son histoire avortée trop tôt avec Danae. Mais ça faisait du bien de lâcher prise, un peu. Pas trop. Parce que parfois, quand on lâche prise … On tombe.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


COKA ಇ  tu m'aimes bien Codybabouin, ça crève les yeux
« Je danse avec toi. » L'astre lunaire semblant flamboyer majestueusement dans le ciel étoilé, se montrait particulièrement timide en cette belle soirée, nous avions ce seul paysage pour public et nous n'avions pas besoin de plus. Des rires égayés se faisaient entendre au son de ma voix alors que nous dansions sans vraiment nous soucier de ce qui nous entourait ou de ce qui pourrait nous entourer. La main de Cody s'aventura sur ma chute de reins me volant pour ainsi dire, une douce caresse qui réveillait en moi, des frissons me parcourant l'échine. Mon coeur battait à une vitesse lumière et j'ignorais pourquoi je me sentais aussi bien dans ses bras. De mon vivant, je n'ai jamais ressenti ce bien-être pour un homme que je connaissais à peine. Cody ? Qu'avait-il de si différent que les autres pour m'apprivoiser aussi facilement ?. J'étais comme un oiseau qui prenait son envole à chaque fois que ses mains me touchaient. C'était réellement indescriptible et...flippant. Nous nous laissons emporter par le son de la musique et les pas de cette valse guidée tantôt par moi et tantôt par lui me faisant de temps à autre tournoyer. Je poussais mon rire habituel et qui était dans certain cas, glacial, mais qui avait de quoi réchauffer le coeur. Ce monde était d'une telle barbarie. Pour les hommes, les femmes n'étaient que filles de joies, dansant et répondant à leurs désirs et pour les femmes, les hommes dégageaient pour la plupart une odeur à peine supportable, la débauche, la luxure, le vice... absolument tout ça, sauf chez Bleeker, mais pourquoi ?. Je répète encore, qu'est-ce qu'il avait de si différent ?. Mystère que je me devais dès à présent découvrir, parce que plus j'avançais dans sa direction, plus j'en devenais accro et la dernière chose que je désirais, c'était me brûler les ailes. Et puis....vient le moment où il me plaqua contre lui et où son nez effleure à peine mon visage. Contempler le Lowell les yeux emplie de ce désir immense, donnait l'impression que des étoiles ornaient mes pupilles en une rivière de diamants. Je voulais également ses lèvres, maintenant et tout de suite. Et quand il les pressaient naturellement sur les miennes, je déglutis. Une mélodie stridente se propagea dans mon corps, était-ce le rythme d'un tambour répétitif que faisait mon cœur ? Probablement qu'il faisait tout ce boucan pour ce simple petit baiser. Je profitais alors pour passer mes mains sur sa nuque les glissant doucement vers le bas du dos. Tout ça durait quelques minutes jusqu'à ce que nous n'entendions plus aucun son. Et, étant à bout de souffle chacun, nous avons rompu ce baiser, mais cependant, je gardais mon front collé contre le sien tandis que mes mains remontaient à son cou. « Cendrillon n'a pas envie de rentrer... puis-je...puis-je dormir dans tes bras ce soir ?. » Murmurais-je entre quelques souffles quittant son visage pour plonger avec douceur absolue, mes pupilles dans les siennes. Un hic, un petit obstacle se trouvait cependant sur notre chemin, obstacle sûrement créée par ma faute, on ne pouvait pas aller à la Lowell House, on ne pouvait pas aller à l'Eliot House, on ne pouvait pas aller à mon appartement, Dorian m'attendait surement. Mais alors où ? Un hôtel ? Une maison sur la plage, avait-il un appartement ?. De toute façon, peut importe où l'on va, du moment qu'on est tous les deux à l'abri des regards malveillants, je le suivrais.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Expliquez-moi comment Cody pouvait passer d'un stade de haine intense, d'envie de destruction sur la petite personne de Dia Kovache et, quelques minutes après, éprouver un désir incommensurable à son égard ? Il ne savait pas trop pourquoi, il ne savait pas trop comment. Peut-être cette proximité, peut-être cette tenue, peut-être son attitude, peut-être un … Tout ? Suscitait son intérêt. Quand il la voyait, il se remémorait la chaude nuit à ses côtés, sa promesse de rechute, ou de remettre le couvercle comme elle le disait si bien. Il s'éprit de ses lèvres pour la vraie première fois depuis le début de la soirée, depuis des jouuuurs en fait. Et ça dura, dura, duraaaaaaa, à côté de ça, les détenteurs du record du monde du baiser le plus long (58 heureeees à se pisser dessus pour récolter des crampes buccales et son nom dans le Guinness ça claqueeeeeee) pouvaient se rhabiller quoi. À bout de souffle, à bout de nerf sans doute aussi, elle réclama de Cody de passer la nuit dans ses bras. Il pouffa de rire. « T'sais, Cendrillon a beau être Cendrillon, quand elle s'aventure dans le Codyland, il y a un droit de passage. » Et monsieur le douanier exigeait son dû, sa dose. Inutile de préciser le fond de sa pensée heeeein, ils avaient passé un contrat et Cody souhaitait que toutes les clauses de ce contrat soient respectées. Il desserra son étreinte et s'éloigna d'elle. Il se surprit à ressentir un manque sitôt leurs corps se détachaient. Mais ce fut de courte durée ; la nuit leur appartenait. « Si Cendrillon veut bien se donner la peine de récupérer ses affaires et bouger son cul le temps que je lui trouve un carrosse. » À quelques kilomètres de la scène, il y avait l'Eliot House et la Lowell House. Supeeeeeerrrr, il suffisait de choisir l'une des deux maisons et rouuuule ma poule. Sauf que le contrat, dont je parlais il y a cinq minutes, évoquait clairement la totale discrétion quant à leur relation. Certes, il était tard, mais pas assez tard pour que les maisons soient totalement désertes, surtout que connaissant les mauves, ils devaient être en plein brainstorming pour élaborer un plan de vengeance contre les bleus. Et il était hors de question que Cody amène Dia chez lui, pas dans la maison où vivaient à la fois sa mère et sa fille. Vous imaginez le lendemain matin ? Cody n'avait jamais présenté de filles à sa famille en dehors de Maggie et Joan. Donc non, Dia n'était pas la bienvenue chez lui. Heureusement, monsieur avait une idée. « J'espère que tu n'as rien prévu jusqu'à demain matin, parce que cette nuit on prend le large. » fit-il en attrapant sa veste sportswear qu'il posa machinalement sur les épaules de Dia. « T'aurais un bel avenir dans le métier de porte-manteau. » pouffa-t-il avant de poser brièvement ses lèvres dans son cou. Il agita un trousseau de clefs sous le nez de l'Eliot, histoire de la faire languir un peu au sujet de ce qu'il avait derrière la tête, la fois quant à la destination que sur le moyen de locomotion. « T'es prête ? » Qu'elle ne l'oblige pas à jouer Cendrillon jusqu'au bout et à lui enfiler ses escarpins aux pieds, STP. Il était prêt à parier qu'elle avait des champignons entre les orteils et qu'ils puaient. Glamour toujours.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


COKA ಇ  tu m'aimes bien Codybabouin, ça crève les yeux
Nos lèvres à peine séparés, que les siennes me manquaient déjà. Ce n'est pas bon du tout, c'est même très mauvais. J'allais finir accro et bonne pour un centre de désintoxication. Non non non, je m'interdisais cela avec un homme, car tôt ou tard, ils finissaient par nous décevoir et nous briser le cœur. Là, maintenant et tout de suite, j'aimerais qu'un vampire se pointe et me contraint à l'oublier. OH vampires des ténèbres, réveillez vous de vos cercueils et venez donc me désensorceler de cet homme si...si... unique et si beau...sayez je recommence ! cruelle la vieeee. Il y a peut-être de l'espoir, Halloween approche alors peut-être que je tomberais sur un vrai vampire et je lui demanderai de me faire oublier Cody, comme Elena l'a fait pour oublier Damon et s'empêcher de souffrir. Bon okey, je zieutais beaucoup trop la télé, mais pas ma faute, je suis une petite geek cachée. Quoi qu'il en soit, revenons à cendrillon et son... Codybabouin puisque c'est tellement ce qui lui allait le mieux. « T'sais, Cendrillon a beau être Cendrillon, quand elle s'aventure dans le Codyland, il y a un droit de passage. » Je vous jure ce mec à un don pour foutre en l'air toutes les ambiances quelconques. Nous étions en train de passer un si bon moment presque romantique, nous lâchions un peu prise, mais voilà que monsieurjesuisleroidesgaffeurs gâche tout. Il était tellement....tellement...c'était l'homme le plus bizarre du monde. Comment une nana normalement constituée réussirait à cohabiter avec lui ?. Il n'y avait que Dia qui pouvait le faire, oui mais ça, c'est parce qu'elle est aussi irrécupérable, insupportable, aussi bornée que lui et presque invivable. En somme, pas la belle fille idéale, mais j'essayais de me soigner, du moins, de ralentir un peu quand il le faut, parce qu'il faut bien que je fasse des sacrifices si un jour je dois me marier, faut que je sois parfaite pour mon mari, même si moi et la perfection ça faisait deux. Toutefois, elle peut se venter niveau physique, elle est parfaite en tout haut point, dame nature l'avait beaucoup gâté. « Si Cendrillon veut bien se donner la peine de récupérer ses affaires et bouger son cul le temps que je lui trouve un carrosse. » Non mais vous avez vu comment j'obéissais ? Je me faisais presque peur et à cet instant, je me lance à la recherche de mes affaires, les récupérant une à une, même mon talon perdu que j'avais retrouvé avant d'être plongé dans l'obscurité. Une fois revenue vers lui, je plonge mes pieds dans les talons, on avait assez joué à cendrillon comme ça. Cependant, il ne manqua pas encore de faire sa Cody Bitch. « J'espère que tu n'as rien prévu jusqu'à demain matin, parce que cette nuit on prend le large. T'aurais un bel avenir dans le métier de porte-manteau. » Lâcha-t-il en passant sa veste autour de mes épaules et en déposant un bref baiser sur mon cou. J'aurais pu profiter pour lui tirer l'oreille histoire de me venger sur la remarque du porte-manteau, mais au lieu de ça, je le laissais faire en souriant et en humectant sa délicieuse odeur sur sa veste que je serrais un peu plus contre moi. « T'es prête ? » Prête pour aller où ? Il ne comptait pas m'emmener au cimetière et m'enterrer vivante n'est-ce pas ?. Il ne pouvait pas être aussi cruel non ?. « Mais où est-ce que tu m'emmènes ?. Je veux savoir, crache le morceau j'suis prêteeeeeeee !. » Ou alors il comptait m'emmener devant la chapelle du faux Elvis pour me passer la bague au doigt selon son pseudo plan. Tellement je n'y croyais pas, je laissais un rire m'échapper en me secouant la tête. Tout ce que je désirais là, c'était pouvoir dormir dans ses bras, mais j'étais bien curieuse de savoir ce qui lui passait par la tête. Si seulement je pouvais lire dans ses pensées, ce serait beaucoup plus facile pour moi de savoir réellement ce qu'il pense de moi. Un monde sans magie, c'était cruel. Je préfère aller à Poudlard wesshhh.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Cody voyait dans ses yeux que Dia se demandait où est-ce qu'il allait encore les fourrer … Il laissait durer le suspense, comme si la science avait fait des miracles à tel point que Stephen King, Mary Higgins Clark et David Fincher avaient eu un fils au cours d'un threesome brûlant, et que ce fils s'appelait Cody Bleeker. Et bizarrement, plus il traitait mal Dia, moins elle lui râlait après. Whyyyyy ? Comment cela se fesseeee ? Il venait quand même clairement de la traiter de porte-manteau. À moins que chez les Kovache, ce soit un compliment d'être un porte-manteau … Ouais, elles servent un peu à rien les Kovache, donc leur trouver ENFIN une utilité était bienvenu, je suppose. Diamantika geignaiiit, elle voulait savoir où Cody l'amènerait, et bien la réponse c'était le pays des rêêêêêveeees. Non j'déconne, point du touuut. Il avait d'autres projets pour elle, comme l'assommer avec une pelle et l'enterrer sous les rosiers de maman Bleeker pour qu'ils poussent vite et qu'il puisse offrir une magnifique rose rouge à sa future femme. Enfin non, ça, c'était le genre de projet qu'il aurait eu avant de commencer à apprécier Dia. Maintenant, c'était trop tard. Il se surprenait à avoir des projets romantico-romantique avec. Du romantisme à la Bleeker, je précise avec qu'une certaine personne se mette à crier à l'arnaque, au SCANDALE. « Kova, tu m'fais confiance oui ou merde ? » Pourquoi le sentait-il arriver le gros MERDEEEEEE ? Hein, hein, hein ? Comme il ne voulait pas enflammer la facture d'électricité de Harvard, Cody coupa le courant. Écolo un jour, écolo toujouuurs. C'est ce qu'on appelle le développement durable, c'est bon à savoir je sais. Il passa devant elle et se dirigea vers la sortie du campus. Il fallait marcher un peu pour arriver à destination – qui n'était pas vraiment la destination, plutôt le moyen de transport pour arriver à destination. Il en profita pour balancer tout un tas de ses préjugés à la figure de Dia ; « Pendant quelques mois, j'ai fait un truc que tu ne dois pas connaître … J'ai travaillé. Tu sais ce que c'est, travailler ? » Il tourna la tête vers elle, jaugeant son regard de merlan frit. « C'est quand tu es payé pour faire quelques choses, parce que t'as pas papa et maman derrière toi pour subvenir à tes besoins. Et les gens de ma classe font souvent ça. Avant d'entrer à Harvard, j'ai enchaîné les petits boulots et un consistait à déposer les enfants à l'école. » Et c'est alors que la station de bus apparut dans leur champ de vision. « J'ai été viré. J'arrivais en retard et du coup les élèves arrivaient en retard … Mais j'y pouvais rien si j'prenais mon temps, le stress c'est pas bon pour la santé. Bref, j'ai été viré et … J'ai gardé les clefs. » D'où le trousseau de clefs qu'il fit de nouveau claquer dans l'air. Cody se faufila dans une allée de bus scolaire d'un jaune éclatant même dans l'obscurité, et chercha celui qu'il avait conduit pendant plusieurs mois. Il le trouva et s'exclama en courant vers lui, les bras grands ouverts ; « GUUUUUS te voilà. » Gus le Bus, what else ?
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


COKA ಇ  tu m'aimes bien Codybabouin, ça crève les yeux
Marcher derrière Cody était beaucoup plus sûre, au moins là, j'étais prête à prendre mes jambes à mon cou si jamais il se transformait en serial killer. Je tenais trop à ma jeunesse pour laisser cet homme m'enterrer vivante au fond de son jardin et ce, même si je m'attachais à lui plus qu'il ne le faut. C'est vrai, si je devais porter un sentiment, ce serait le masque d'une anxiété ou d'une peur inexplicable, une goutte de sueur venant perler mon doux visage. Plus j'avançais et serrais cette veste contre moi, plus j'avais cette peur au ventre de ressentir tout ça. Rejeter à chaque fois les explications pour me dire qu'il n'y en avait absolument pas, que je ne pouvais pas ressentir autant de choses pour lui en si peu de temps, mais j'avais beau chasser tout ça tantôt, ça revenait toujours au galop. Marchant tête baissée, yeux rivés vers le sol, Cody me fit sortir de mes pensées. « Kova, tu m'fais confiance oui ou merde ? » Si je lui faisais confiance ? J'en avais très envie, mais peut-on réellement faire confiance à un homme ? Je veux dire, aveuglément ? Je n'en étais pas certaine parce qu'à chaque fois que je le faisais, mon coeur se brisait. Et...c'était vraiment douloureux pour revivre ça mainte et mainte fois. « MERDEEEEUHHH. » Disais-je en me cachant derrière un faux sourire aguicheur. Quelque part, je voulais également qu'il chasse tous ces doutes de ma tête. Et puis pourquoi le ferait-il ? Ce n'était pas comme-ci c'était mon petit-ami et je suis même certaine que jamais l'idée de le devenir ne lui effleurera l'esprit. Mais pourquoi je me retrouvais à penser ça d'ailleurs ?. Rhooooo ressaisis-toi Kova. Je secoue la tête de nouveau pour regarder le Lowell. « Pendant quelques mois, j'ai fait un truc que tu ne dois pas connaître ... J'ai travaillé. Tu sais ce que c'est, travailler ? » Non j'en savais rien, j'étais encore à la maternelle. « C'est quand tu es payé pour faire quelques choses, parce que t'as pas papa et maman derrière toi pour subvenir à tes besoins. Et les gens de ma classe font souvent ça. Avant d'entrer à Harvard, j'ai enchaîné les petits boulots et un consistait à déposer les enfants à l'école. J'ai été viré. J'arrivais en retard et du coup les élèves arrivaient en retard ... Mais j'y pouvais rien si j'prenais mon temps, le stress c'est pas bon pour la santé. Bref, j'ai été viré et ... J'ai gardé les clefs. » Non mais c'est quoi tous ces sous-entendus, tous ces préjugés ?. Qu'une gosse de riche, c'est ainsi qu'il me voyait ?. Là, j'étais vexé, bravo Cody. Je le regardais agiter les clés tandis que je tournais la tête sur le côté pour regarder ailleurs. « Je n'suis qu'une gosse de riche, tu ne devrais pas me fréquenter... » Me murmurais-je à moi-même -mais suffisamment pour qu'il entende- en laissant un goût amer paraître au son de ma voix. Il y a des moments comme celui-ci où j'ai envie de lui mettre mon poing dans la figure. Je serre d'ailleurs un peu plus sa veste. Là je ne disais plus un mot, laissant le silence planer en me demandant si je ne ferais pas mieux de rentrer finalement et de le laisser tranquille, ou même de lui épargner ma présence et lui épargner tout court que sa réputation d'homme modèle s'entâche en fréquentant une fille comme moi, car je sais qu'on ne pourra pas éternellement cacher ce secret qui nous liait. Je m'arrêtais avec la ferme intention de rebrousser chemin, lui dire à contrecoeur que je veux m'en aller et le libérer de ma présence à tout jamais, mais j'en étais incapable, je n'arrivais pas à imaginer une suite sans qu'il ne soit pas là. Je relève la tête et qu'est-ce que je vois ? Cody qui se précipitait sur un bus en criant... « GUUUUUS te voilà. » Un rire s'échappa de mes lèvres sans que je ne puisse avoir le contrôle. Il était vraiment spécial cet homme. Je m'approche de lui en posant une main sur mes lèvres pour essayer d'étouffer mes rires. « Tu es indéniablement et officiellement l'homme le plus bizarre du monde, Bleeker !. » Donner un nom à un véhicule. D'ailleurs, Gus me donnait envie de chanter, c'est Gugusse avec son violon qui fait danser les filles, qui fait danser les filles. C'est Gugusse avec son violon, qui fait danser les filles et les garçons. OUVRE DU BONHEUR ₪ COKA COLA - Page 3 1116103942 Là, je n'arrivais plus à stopper mon rire.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Cody parlait, parlaiiiit, parlaiiiiiiit, il ne se rendait pas compte qu'il vexait Dia derrière lui. Puis franchement, il s'en foutait pas mal de la vexer, j'veux dire, n'était-ce pas l'essence-même de leur relation ? Ils s'en foutaient mutuellement plein la tronche et à ce jeu-là, Cody n'était pas prêt de laisser Miss Gosse de Riches 2014 gagner. Toute leur histoire était basée sur une succession de rapport de force, à savoir qui l'emporterait sur l'autre. À sa grande surprise, ce soir, Diamantika ne devait pas être au mieux de sa forme car elle n'avait rien de l'adversaire redoutable qui le menottait au lit et lui pinçait le Codynosaure pour qu'il arrête de l'emmerder. Du coup, elle déclara qu'il ne devrait pas la fréquenter. Il tourna la tête et l'observa par-dessus son épaule avant de vivement les hausser. « Coucher avec toi m'a immunisé. Maintenant, je peux te fréquenter sans crainte. » Sympathiqueeee, toujours très sympathique. Il ne voyait pas qu'elle était à deux doigts de rebrousser chemin. En même temps, puisqu'ils arrivaient au bus que Cody convoitait tant, elle n'avait pas grand intérêt à partir. Les choses intéressantes allaient pouvoir commencer. Puis les tensions semblaient disparaître petit à petit puisqu'elle le complimenta. Parfaitement, elle le complimenta. Depuis sa plus tendre enfance, Cody avait l'habitude d'être ce gars toujours à la marge. Des critiques, il en avait reçu à la pelle – que dis-je – à la pelleteuse ! Aujourd'hui, que Dia le traite de mec le plus bizarre au monde le faisait pas mal sourire. Et le connaissant, il avait réponse à tout. « C'est là que tu te trompes, Dia. » Il déverrouilla la porte et l'ouvrit en grand pour qu'ils puissent y entrer d'ici quelques secondes. Il s'approcha et captura ses lèvres brièvement, comme un apnéiste remonte à la surface pour prendre une bouffée d'oxygène. « Je dirais même que je suis le gars le plus intelligent du monde. » Modestie, modestiiiie. « Dans Cendrillon, une des souris s'appelle Gus – Gusgus pour les intimes. Or, cette souris est transformée en cheval par Marraine la Bonne Fée quand elle apprête Cendrillon pour le bal et qu'elle transforme la citrouille en carrosse. Si ce bus est ton carrosse, alors Gus est ton cheval. CQFD. J'suis pas bizarre, j'ai le souci du détail. » C'est ça d'élever une fille, il se payait Cendrillon cinq fois par mois. Qu'est-ce que c'était jouissif de casser la jeune femme. Il fit une légère révérence et invita Dia à y entrer, un sourire enjôleur aux lèvres ; « Princesse. » Bizarrement, de sa bouche, ça sonnait presque comme une insulte.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


COKA ಇ  tu m'aimes bien Codybabouin, ça crève les yeux
C'était assez difficile pour moi d'être celle qui l'avait menotté au lit et qui n'hésiterait pas à lui mettre un coup de pied au cul, maiiiiisssss, ces derniers temps et depuis notre nuit, je ne cesse de penser à lui et je me surprenais à penser ça. Disons que j'étais, faut l'avouer, perdue. Perdue au beau milieu d'un amasse de sentiments que je refusais de déchiffrer au risque d'avoir un choc. OUI je préférais me voiler la face plutôt qu'en venir à une conclusion qui me bouleverserait davantage et dont je n'étais pas certaine de la suite. « Coucher avec toi m'a immunisé. Maintenant, je peux te fréquenter sans crainte. » Ah non mais s'il continue, je jure sur ma mère que ce n'est pas à un lit qu'il sera menotté. Je roulais des yeux avant de répondre immédiatement. « Je suis celle qui t'a immunisé, je suis celle qui peut te désimunsiser . » Okey ce mot n'existait pas, mais il avait capiche. En clair, c'était moi qui avais décidé de la suite et c'était moi aussi qui pouvais décider de la fin. En même temps, ce n'est pas comme s'il avait en quelque chose à cirer de la fin, avec ou sans moi sa vie continuerait, ce n'était pas comme s'il avait besoin de moi, je suis simplement celle qui passe dans son lit pour assouvir les désirs de Codynosaure et rien de plus, c'est évident. Mais je dois avouer qu'il ferait un super beau clown au cirque, car il réussissait quand même à me voler des rires malgré mon humeur vexée. « C'est là que tu te trompes, Dia. » Me dit-il en ouvrant la portière et en me volant un baiser. Faut qu'il arrête de faire ça, ça complique encore plus les choses. Des sex-friends ça s'embrassait que dans la chambre lorsqu'ils se retrouvent le soir pour passer un moment, ils ne s'embrassaient pas comme ça, à tout bout de champ en dehors de la chambre, la jalousie n'avait même pas sa place, sans compter que monsieur n'aimait visiblement pas que je montre trop ma peau. Là, on aurait dit deux amoureux et ça me perturbait. « Je dirais même que je suis le gars le plus intelligent du monde. Dans Cendrillon, une des souris s'appelle Gus - Gusgus pour les intimes. Or, cette souris est transformée en cheval par Marraine la Bonne Fée quand elle apprête Cendrillon pour le bal et qu'elle transforme la citrouille en carrosse. Si ce bus est ton carrosse, alors Gus est ton cheval. CQFD. J'suis pas bizarre, j'ai le souci du détail. » STOOOOOOOPPPP, j'ai rien pigé tellement il parlait vite le mec. Quoi qu'il en soit, il parlait encore de Cendrillon. Cet homme aimait bien me casser, mais il oubliait que moi aussi j'aimais bien le casser. « Ouuuuu, je dirais que tu es le plus gamin de tous !. » Je lui fis un large sourire en mode Cheshire, le chat d'Alice au pays des merveilles. Il me fait une petite révérence en me tendant la main et en me traitant de « Princesse. » et venant de sa part, c'était une insulte. Je fronçais les sourcils avant de monter toute seule sans lui prendre la main et une fois à ces côtés, d'un geste rapide je tourne la tête en dégageant d'un coup quelques mèches de cheveux mouillés dans mon dos, échappant un bruit au fond de ma gorge, style vrai princesse. Il me traitait de princesse, alors j'allais faire ma princesse. Et tout en marchant, je lançais. « Et vous êtes prié de ne plus toucher les lèvres de la princesse ou sinon le roi en sera informé !. » Je pris place sur un siège en croisant une jambe sur l'autre, mais malheureusement la fente a fait que touteeee ma jambe se voyait, je décroise et croise l'autre jambe, c'est pareil. NORMAL ! Il y avait deux fentes. Great. Je décroise mes jambes, replace bien ma robe et croise mes mains sous ma poitrine. « Pour la peine, vous ne serez pas invité à mon mariage dans exactement....Trois mois. » Et bien-sûre, là je plaisantais et dieu soit loué que mon père n'avait pas encore décidé de la date, parce que trois mois ce serait beaucoup trop tôt, le temps court tellement vite de nos jours.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)