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OUVRE DU BONHEUR ₪ COKA COLA

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OKOKOKOKKKK, Cody se faisait p'tete (sûrement) des films. Peut-être qu'il extrapolait un peu beaucouuuuup les histoires de Dia … Mais … En même temps … Merde, fallait être dans le même bus qu'eux pour comprendre que le seul truc que Cody pouvait palper, c'était l'ambiance. Elle était lourde depuis qu'ils avaient quitté le campus. Et pire, elle reprochait à Cody de vouloir son corps ce soir STP c'était le deal entre eux à la base. Elle, elle voulait juste serrer Bleeker dans ses bras, lui parler, discuter, raconter sa journée … BOOOORING. Lui aussi il voulait la serrer, mais pas de la même façon quoi. Pourtant, il était plus proche de l'idée qu'on avait traditionnellement des sexfriends. Voyez, Natalie Portman dans le film éponyme. Quand elle réalise qu'elle a passé la nuit avec Ashton Kutcher et que, pendant cette nuit, ils n'ont fait que dormir, elle entre dans une panique moooonstre. Et Cody comprenait parfaitement ce vent de panique à présent. C'est le même qui lui tiraillait les entrailles, qui défrisait son cerveau. Il y a une barrière qu'il ne voulait pas franchir et là, Diamantika s'improvisait immigrée clandestine et l'enjambait dangereusement. Heureusement que Cody, police aux frontières, la menaçait par ses mots pour qu'elle s'éloigne. C'est alors que, pendant son discours, elle tourna et vira autour de lui comme un chien de faïence. Si bien qu'il ne fit même pas gaffe quand elle s'approcha et qu'elle plaqua finalement ses lèvres contre les siennes pour un long baiser. Direct, Cody comprit qu'il s'agissait là d'un 'baiser ferme-ta-gueule', inutile de préciser la définition. Il perdit les pédales pendant ce laps de temps, insinuant ses doigts dans la chevelure en bataille de la brunette, si bien que ses fesses quittèrent son siège pour se hisser à sa hauteur, ses sens étaient en émois. Non non non, stop. Son corps brûlait, les cellules de sa peau manifestaient pour le rapprochement de leur corps mais il ne pouvait pas, il ne pouvait plus. Il se sépara de ses lèvres et cette fois-ci, ce fut elle qui parlait. Elle se foutait clairement de sa gueule, comme si c'était lui qui délirait quoi. Mais PUTAIN. Il ne rêvait pas, il ne fabulait pas. « Ouais. » lâcha-t-il froidement en réponse à … Rien du tout. C'était un 'ouais ferme-ta-gueule', cousin du 'baiser ferme-ta-gueule', plus méchant, celui-là. « Alors c'est bon, on est cool ? » dit-il en fronçant les sourcils. La voilà qui insistait sur son rôle de lot de consolation. Cody retomba dans son siège et soupira, se demandant si ça servait vraiment à quelque chose qu'il rectifie ; « J't'ai jamais vu comme une échappatoire. T'es juste arrivée dans ma vie à ce moment-là … Fin … Ouais. Après, j'te cache pas que j'ai mieux vécu ma rupture grâce à notre rapprochement mais j'imagine que ça ne va pas faire grande différence pour toi. » Bornée comme elle était. Elle éternua et Cody profita de l'occasion pour se lever. « Il fait froid. J'vais allumer le chauffage. » Derechef, il regagna l'avant du van et se pencha sur le tableau de bord pour bidouiller les commandes du radiateur. « C'est mieux ? » s'écria-t-il de sa place. Honnêtement, ce n'était pas ça qui allait réchauffer l'ambiance. Wesh, parce que là, entre eux, c'était glaciaaaal. Ce soiiiir, le DJ MC Coka aux platiiiiines ! Ambiance congélateur ASSUREE ! Par la suite, il regagna la place qu'il occupait précédemment, celle qu'il occupait au départ. C'est-à-dire à l'opposée totale de Dia qui demeurait au fond, évidemment. Elle l'avait blasé pour la soirée. Et frustré. Il se voyait mal retourner la voir.
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COKA ಇ  tu m'aimes bien Codybabouin, ça crève les yeux
Sans savoir pourquoi, je me suis prise un râteau royal de la part de notre cher Lowell. Vu comment il avait réagi, cela me montre comment me comporter à l'avenir, surtout ne pas faire de gaffe en parlant de choses sérieuses, puisque tout ce qu'il voulait, c'était que du sexe et qu'il ne vienne pas me dire qu'il ne pensait pas qu'avec sa queue parce qu'imaginons que je sois réellement tombée amoureuse de lui et que je lui avais avoué mes sentiments, cela aurait été le même râteau et les mêmes paroles, alors bon, il n'y avait pas grande différence. Moi qu'est-ce que je voulais, j'en sais rien, mais il est certain que quelque chose ne tournait pas rond chez moi et plus il me touchait et m'embrassait, plus ça s'aggravait. Mais encore une fois, je préférais chasser tout cela de ma tête. Je flipperais à mort maintenant, j'aurais peur de dire ou faire quelque chose de travers et réveiller le Godzilla qui sommeillait dans le corps de Cody. Qu'est-ce que je disais ? Il à suffit que nos lèvres se touchent, qu'il laisse ses doigts se hisser dans ma cuire chevelure pour que mon corps tremble frénétiquement en parfait accord avec l'électricité qui se dégageait de moi. Une valse de sentiments m'envahissaient à chaque fois qu'il me touchait. C'était injuste. Vraiment injuste. Nos lèvres séparés, un soupir de bien-être s'échappa des miennes alors que je rouvre les yeux pour jouer la comédie. « Ouais. » Lâcha-t-il d'un ton glacial me laissant plus paumé que jamais. Ce n'était pas ce qu'il voulait entendre ? Qu'il n'y avait pas de sentiments, que je ne voulais pas d'un petit copain, alors pourquoi ce ton si froid ?. Faut savoir. C'est vrai, j'avais oublié que les hommes ne savaient jamais ce qu'ils voulaient. Nous ça prenait un peu de temps et on finissait par s'avouer vaincu, mais eux, je suis certaine que les poules auront le temps de pousser des dents avant qu'ils ouvrent les yeux. Je lui avais fait la remarque de la fille qui se s'était retrouvée sur son chemin au bon moment pour lui faire oublier sa peine d'amour, mais visiblement, il se laissa retomber sur le siège. « J't'ai jamais vu comme une échappatoire. T'es juste arrivée dans ma vie à ce moment-là ... Fin ... Ouais. Après, j'te cache pas que j'ai mieux vécu ma rupture grâce à notre rapprochement mais j'imagine que ça ne va pas faire grande différence pour toi. » Je ne sais pas, j'avais envie de le croire, mais avouez quand même que c'était difficile. Il avait rompu avec sa petite amie, il se consolait dans les bras d'une autre pour oublier. 'fin bref, je n'allais pas polémiquer sur ça. Éternuer en plein milieu de discussion etait un peu akward moment non ?. « Il fait froid. J'vais allumer le chauffage. » Je le laissais faire, mais cependant, je ne le quittais pas du regard. « C'est mieux ? » Un sourire s'étirait sur mes lèvres avant de lui répondre. « C'est mieux !. » Disais-je en regardant monsieur s'asseoir à une distance assez suffisante pour me laisser toute seule dans mon coin et grogner. Est-ce qu'il voulait me rendre folle et m'enfermer dans un asile de fou par la suite ? Parce que c'est qui allait arriver si je continuais à le fréquenter. Je soupire longuement me dirigeant finalement vers lui pour m'asseoir carrément sur lui. « T'es même pas beau en mode Godzilla !. » Je lui pinçais le nez en faisant bouger sa tête de gauche à droite pour le provoquer. Je le lâche et tapote mes deux index l'un contre l'autre en baissant la tête, levant les yeux, style, excès de bouilleeee tropppp mignonneeeee et craquante, TIC TAC TU CRAQUESSS. « Tu m'pardonnes ? Je sais, je suis invivable, casse pied, paranoïa, folle, têtue, bizarre, énervante, fatiguante, moche avec cette mine de ce soir... mais tu m'pardonnes quand même ?. » Je n'eusse même pas le temps de finir ma phrase que j'éternue de nouveau en mettant mes mains devant mon nez. Trois fois de suite. Great. Je fis semblant de nettoyer mes mains sur son chemisier, il n'y avait rien, mais il ne le savait pas, terminant par lui tirant la langue. Pourvu que je n'attrape pas de fièvre ce soir avec les cheveux mouillés et tout le temps que j'ai passé dehors au campus alors que j'avais le corps trempé. Mais là, j'avoue que je commençais à avoir froid et j'espérais que le ce chauffage m'aidera ou sinon, je serais obligée d'utiliser le corps de Cody pour me réchauffer.
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Par précaution, Cody demeurait à une distance suffisamment respectable de Diamantika pour ne pas se laisser transcender par ses envies de l'égorger. Ou de l'embrasser. Généralement, ça allait de paire. Sinon, il pouvait la tuer en l'étouffant avec sa langue pendant un baiser passionné, ça marchait aussi. Il s'était réinstallé alone sur son siège, là où il n'avait plus qu'à attendre que le temps passe, que la nuit s'écoule, que le jour se lève … En gros, il avait au moins sept heures devant lui à rien foutre. Le temps allait être looooooong, looooong, loooong. Mais sans le savoir, l'espace-temps se modifia considérablement, si bien qu'en une fraction de seconde il se retrouva en plein milieu d'un zoo … AH NOOOOON, je me trompe. Il faut dire que se faire écraser par Dia la baleine donnait l'impression d'avoir atterri dans la cage des hippopotames ! Comme un pantin, il se laissa faire et tripoter le visage par Dia – puisque t'façon elle ne lui tripotera pas autre chose ce soir heiiiing – tout en émettant quelques grognements et donnant quelques coups de tête sur le côté pour qu'elle abandonne son malaxage jugulaire. « Kovacheee ... » grommela-t-il en plissant le visage. Il ne voulait pas rire, il voulait rester totalement impassible, genre une armoire à glace à la place de la figure mais force est de constater qu'elle était plus forte que lui. Et il se mit à rigoler en voyant son enchaînement de bouilles trop craquante. « Tu fais chier. » s'esclaffa-t-il en plaquant sa main sur le visage de la belle et en la poussant légèrement vers l'arrière pour l'emmerder. Sa main dériva dans ses cheveux, il plaça une mèche derrière son oreille. « Arrête, t'es pas moche. » déclara-t-il en esquissant un petit sourire, les yeux pétillants de sincérité. Puis elle éternua, encore. Et uuuuun. ET DEUUUUX. ET TROIS ZEROOOS BUUUUUUUUUUUUUUT. Dommage qu'en l'occurrence, le but, elle le marqua en étalant ses mains pleines de morve sur la chemise de Cody. Il apprécia ce gesteeee, le partage des microbes c'est bieeeen, surtout de nos jours où Ebola sévit, où Ebola est partout, mouahaha. « Tu m'as pris pour un kleenex ? » fit-il en frottant les pans de sa chemise l'un contre l'autre, réalisant qu'il n'y avait finalement rien. Ahahaha, c'était une blagounetteee. Décidément, l'humour et Diamantika, ça faisait 41616527468. Il jeta un coup d'oeil par terre et constata que sa veste avait glissé. Il se pencha sur le côté pour l'attraper et la posa de nouveau sur les épaules de Dia et l'aida à l'enfiler, avant de remonter la fermeture éclair pour être sûr que ça la réchauffe un petit peu, le temps que la chaleur du chauffage se diffuse dans tout l'habitacle. « Tu serais mignonne si tu évitais de te moucher dedans par contre. » fit-il remarquer, sa grognon attitude toujours présente. Il posa ses mains brûlantes sur les cuisses fraîches de Dia, cherchant à répandre un peu de sa chaleur. Faut dire que cette robe était magnifique, mais elle couvrait fichtre rien. Il pouffa de rire ; « T'aurais dû garder l'armure que je t'avais proposé, t'aurais peut-être pas chopé un rhume. » À moins qu'elle faisait semblaaaant, c'est sûr que comme çaaa, Cody n'avait plus du tout envie de la pécho cette nuit.
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COKA ಇ  tu m'aimes bien Codybabouin, ça crève les yeux
Elle en avait assez de se disputer ce soir, en fait, Coka c'était un enchainement de disputes et de câlins intimes, ouaiich en sommes, Norah et Allie quoi. Mais ce qu'elle aimait par-dessus tout, c'était les câlins, les baisers de réconciliation et tout ça faisait qu'elle oubliait en une seconde, le pourquoi de leur disputes stupides. Là, j'étais assise sur lui et je profitais de cette pose pour le taquiner un peu avec son nez, terminant par lui demander des excuses. Je me suis laissée emporter, mais c'est parce que je flippais grave, je flippais vraiment sur ce qui était en train de naître dans mon corps. Non rassurez-vous, ce n'était pas un bébé. Je ne portais pas de mini Cody dans le ventre et fort heureusement, sinon là, je crois qu'il m'aurait assassiné et laissé mon corps couler au fond d'un lac avec son mini gosse dans mon ventre. Hum, ne parlons pas de malheur s'il vous plait. Monsieur posa ses mains sur mon visage pour me pousser, mais à ma plus grande surprise, il les glissa dans mes cheveux et passa une mèche derrière mon oreille avec des yeux....sincères. Gosh. Là encore, mon cœur démarra au quart de tour et... « Arrête, t'es pas moche. » Je sentais le rouge me monter au nez suite à ce compliment, oui oui moi le rouge me montait au nez comme un clown et non aux joues. WHAT ? Depuis quand je savais rougir moi ? Je baissais rapidement la tête en essayant de calmer mon coeur le temps de faire disparaitre ce rouge incognito. J'espérais ne pas attraper un grave rhume parce que je n'avais pas envie de rester clouer au lit. Cependant, ça m'amusait de voir le jeune homme mordre à l'hameçon et penser que je venais d'essuyer de la morve sur sa chemise. « Tu m'as pris pour un kleenex ? » Je fis mine de réfléchir avant de rétorquer. « Bah c'est-à-dire que....Oui c'est tout à fait ça ! Et puis je n'pouvais pas tâcher la jolie robe t'vois ?. » Il se rendit bien vite compte que c'était de l'arnaque et qu'il n'y avait pas de morve. Bah ouai, je sais faire aussi des blagues. Cody s'empara de sa veste et me la fit porter comme une petite fifille. Je le regardais faire sans le quitter des yeux. « Tu serais mignonne si tu évitais de te moucher dedans par contre. T'aurais dû garder l'armure que je t'avais proposé, t'aurais peut-être pas chopé un rhume. » Il logea ses douces mains sur mes cuisses et un frisson me parcouru le corps à cause du contraste entre la chaleur de sa peau et ses doigts. Sauf que moi j'étais déconnecté à cet instant, je le regardais les yeux pétillants, le sourire colgate. Et je le regardais encore et encore et encoreeeeeee. Jusqu'à baisser mon regard sur son chemisier. « Ohhh regardeeee, t'as une araignée sur ton col ! » C'était une blague juste pour qu'il regarde son col de chemisier et que moi j'en profite pour donner un coup d'index sur son nez lui relevant la tête d'un coup sec vers le plafond. « Oupssss ! Je me suis trompé, y avait pas d'araignée, Oh minceeeeeeee. » Chipeur arrête de chiper. Mon expression vira immédiatement à celui du chat potté, doublement plus craquant. Et je pose en claque mes deux mains sur ses joues, je claquais une, puis deux et trois fois de suite, mais gentiment hein et d'un coup, j'attire son visage à un centimètre du mien. Nos souffles chauds se mélangèrent, nos nez s'effleurèrent et nos fronts se collèrent. « Cody, Cody...Cody... J'ai envie de partager mon virus avec toi ! Je n'veux pas choper un sale truc toute seule, si j'dois mourir, alors toi j'veux que tu meurs sur mes lèvres !. » Mon sourire se fait fin sous mes lèvres rosées et je me lèche du bout de la langue la supérieure en jetant mes cheveux sur mon épaule gauche, kidnappant enfin ses lèvres. Mes sens étaient de nouveau en éveil alors que je laissais glisser mes mains le long de son cou, puis son torse, son ventre et du bout des doigts, je remontais son chemisier que j’enlevais et balançais n'importe où derrière moi...et je re-kidnappe ses lèvres sans lui laisser l'occasion d'en placer une. J'explorais sa bouche avec envie, me laissant aller à toute la passion et le désir que je ressentais en ce moment même. Il y avait une chimie entre nous et c'était indéniable. Mes mains glissèrent dans son dos sous ses bras, l'obligeant ainsi à venir se serrer tout contre moi. Plus aucune distance nous séparait, nous étions collés avec de la colle forte, ouaich, tellement forte, que je me suis laissée tenter de lui mordiller légèrement sa lèvre inférieure.
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Bonjouuur, je suis en direct aujourd'hui pour interviewer une personnalité très en vogue à Harvard en ce moment, Cody Bleeker. Cody Bleeker, comment vivez-vous d'être devenu le toy boy, que dis-je, le souffre douleur, le bouc émissaire de Diamantika Kovalevskiiii ? Non parce que c'est vrai quoiii. Non seulement elle lui comprimait les cuisses avec ses 3,5 tonnes de graisse, elle étouffait le Codynosaure, mais en plus elle se servait de lui comme mouchoir et cobaye de ses blagues pas drôleeees. Qu'on le sorte de là, viiiite, sa santé mentale était en jeu. Et pas que mentale d'ailleurs, sa santé tout court, il craignait la propagation de son virus et la contagion de sa débilité. Ce bus scolaire, c'est comme Koh-Lanta ; à la fin de la nuit, il n'en restera QU'UN. « Tu pouvais pas non plus tâcher ma jolie chemise, mais maintenant que c'est fait. » Pas graaave, ça fera de la lessive en plus pour maman. Comme si elle n'avait pas assez à nettoyer avec le vomi de la petite Jess et les pénis à dents qu'elle dessinait sur les murs de la casbah. Comme un con, quand Dia indiqua qu'il y avait une araignée, il baissa la tête et boum, une saucisse knacki atterrit dans son nez. À moins que ce soit le gros doigt potelé de Dia … Ah oui, c'était bien ça. Il continua à remuer la tête de droite à gauche pour qu'elle arrête de lui triturer le visage mais en vain, il était coincé. « T'as fumé quoi ? Tu t'es shootée à la ventoline qu'un ado a laissé sous le siège ou comment ça se passe ? » À moins qu'elle soit dopée à l'amouuuuuur. En tout cas, Cody conserva son rôle de grognon-man et n'hésitait pas à ronchonner chaque fois que ses doigts se posaient sur son visage. Par contre, quand ce fut son front ... « … Le problème, c'est qu'on ne sait pas quand tu vas mourir … Imagine que ce soit demain au petit matin ? Ça va être emmerdant. Va falloir que je reste sur tes lèvres des heures, encore plus si la période d'incubation est longue ... » souffla-t-il à demi-mots. Et quand ce fut ses lèvres … Tout se bouscula. À la douceur se substitua une certaine hargne, un besoin vital d'explorer l'autre, d'entrer dans son âme. Et avant même qu'il ne calcule ce qui se passait, Dia s'empara des pans de la chemise de Cody qu'elle glissa sur son torse et, obéissant, il leva les bras pour faciliter ce pas de danse. Il se détacha de la vitre glaciale derrière et se redressa pour se coller contre Diamantika et … MERDEEEEEE. Pourquoi il l'avait rhabillé ce con ? En même temps, elle est relou Dia ; un coup elle ne veut pas de Cody et la minute d'après, elle lui saute dessus et découvre son torse poilu. Qu'à cela ne tienne, il glissa ses bras dans le dos de Dia, sous sa veste et même sous sa robe (parce qu'elle était découpée chelou sa robe Cléopâtre, le styliste s'était fait zizir). Il dessina sur sa peau des formes aléatoires tandis qu'il fourra son visage dans son cou, humant son parfum naturel. Parfum naturel avec arrière-goût de peinture chimique, on va pas se mentirrrr. Mais comme il s'agissait là de peinture violette, la pilule passait mieux – ouais Cody c'est un œnologue de la peinture, un autre de ses incroyables talents. « Et merdeeee, j'ai froid ! » s'écria Cody en exagérant un frisson. « T'as foutu où ma chemise ? Non parce que je vais pas pouvoir rester comme çaaaa, j'ai froiiiid, j'vais mourir ! » Oh, puis sa chemise était tellement loin maintenant … Fallait que Diamantika trouve une solution pour le chauffer … Oups. Le chauffeeeeeeer hein, vite, sinon il allait mourir d'hypothermie le pauvre loulou.
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COKA ಇ  tu m'aimes bien Codybabouin, ça crève les yeux
« Tu pouvais pas non plus tâcher ma jolie chemise, mais maintenant que c'est fait. » C'est vrai, je ne pouvais pas, mais je m'en fichais, Dia fait ce qu'elle veut. « T'as fumé quoi ? Tu t'es shootée à la ventoline qu'un ado a laissé sous le siège ou comment ça se passe ? » Bah rien, je n'ai même pas quitté son regard quelques minutes et de toute façon, j'étais une non fumeuse, ouai aucune drogue, aucune hachiché, aucune cigarette, riennnnnn, mes poumons étaient clean. Même l'alcool j'en abusais qu'en soirée. Par contre, un jour si Cody me voyait saoul, je crois qu'il fera pipi de rire. Non parce que je me prenais tantôt pour un avion à courir partout les bras tendus de chaque côté, où même que je chantais n'importe quoi et avec une voix capable de casser des tympans, ou encore danser en mode gamine de cinq ans, les mains posées sur mes hanches bougeant mon corps de gauche à droite, faisant danser mon popotin. Ouaichhh, voir une Dia alcoolique, c'est comme mater un film de comédie à la Mr Bean ou Charlie Chaplin. Manque plus que le popcorn. « ... Le problème, c'est qu'on ne sait pas quand tu vas mourir ... Imagine que ce soit demain au petit matin ? Ça va être emmerdant. Va falloir que je reste sur tes lèvres des heures, encore plus si la période d'incubation est longue ... » Dit-il contre mes lèvres alors que je venais de l'attirer contre mon visage. « Ummmmmm, dans ce cas ! Tu n'as qu'à y rester jusqu'à ce que la mort nous sépare... et chutt.... » Oui, le chut était pour pas qu'il réplique parce que tel que je le connaissais, il l'aurait fait. Et même qu'il ne pouvait plus, vu que je venais de kidnapper ses lèvres, scellant sa voix à jamais. Quant à moi, je profitais de tout ce bien-être d'avoir sa bouche contre la mienne et ses mains qui se faufilaient comme des voleurs sous la veste, dans mon dos, sur ma peau... J'ai sa voix dans la mienne, sa soul dans mes veines, mon vibe coule dans les siennes, Donne moi ton cœur baby, ton corps baby [...] Chante avec moi, je veux un homme like youuuu [...] Deux vies, deux voix qui se rencontrent, deux histoires qui se racontent, une chanson pour le dire, il y a les mots, les images pour le décrire, une belle rencontre à l'ancienne. Prends un flash, il y a de la magie sur scène... OUVRE DU BONHEUR ₪ COKA COLA - Page 5 1116103942 ou dans un bus appelé GUS. Après notre étreinte langoureuse, il fourra sa tête dans mon cou et je sentais ses narines s'enivrer de mon odeur en espérant que celui-ci soit à son goût. Pendant ce temps, mes lèvres logeaient sa joue et mes mains caressaient son dos. « Et merdeeee, j'ai froid ! » Et merdeeee il avait froid, moi qui comptais sur lui pour me réchauffer. « T'as foutu où ma chemise ? Non parce que je vais pas pouvoir rester comme çaaaa, j'ai froiiiid, j'vais mourir ! » Je regarde autour de moi et de nouveau Bleeker. Je retire mes bras de son dos et les ouvrent devant lui, style j'en sais riennnn du touuut, grimaçant innocemment. « Tu vas mourirrrrrrr, c'est dommageeee ! » J'éclatais de rire avant de me lever, de lui prendre la main et de nous guider jusqu'à l'arrière du bus, là où le siège était plus long, plus large, on sera moins coincé et on évitera les crampes et les coups par ici et par là. « Enlève tous tes vêtements, je vais te montrer comment on s'réchauffe au 21ème siècle !. » Sourire malicieux, je commence par enlever la veste qu'il m'avait fait habillée plus tôt, retire mes talons et je jette un coup d’œil à Cody. « Eumm, dit donc tes rapides au dessapage toi ! » Le mec n'avait même pas pris cinq secondes pour se retrouver à poil, Codynosaure en liberté. « Allonge toi. » Dia ou comment donner des ordres. A mon tour, je retire ma robe, me tourne de dos, penche légèrement ma tête sur le côté vers l'arrière pour pouvoir laisser mes doigts dégrafer mon soutien-gorge, entre temps, mes yeux se posent sur le Lowell et dans un regard de braise, je retire mon soufif et le balance plus loin. Je fais également glisser ma petite culotte le long de mes longues jambes et la laisse retrouver mes autres vêtements. Aucune honte, on connaissait nos corps à présent, mais c'était toujours jouissif de les redécouvrir. Je grimpe à genoux sur le siège, avance plus haut et m'allonge complètement sur lui. « Maintenant, serre moi fort... Il paraît q'la chaleur corporelle est l'meilleur moyen de s'réchauffer... » Mes lèvres se pressent aux siennes dans un petit et tendre smack avant de passer une mèche rebelle derrière mon oreille et de lui sourire.
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Actor studioooo Cody prétexta se les cailler. Il s'attendait bien évidemment à un rapprochement olé-oléééé, puisque, de toute façon, en le déshabillant, il se disait que Dia n'était plus aussi frileuse à l'idée de ne pas juste le câliner. Il acquiesça une fausse mine boudeuse quand elle se moqua de lui, genre qu'il allait mourir. OOKKK, même pas elle faisait semblant d'être triste. Elle risquait d'embrasser Mister Freeze dans les secondes à venir mais elle se marrait quand même ; YOLOOO. D'ailleurs, Cody se demandait quel goût il aurait s'il était un Mister Freeze. Son parfum préféré était coca by the way. Coïncidence ? JE NE CROIS PAS. Puis elle le tira hors du siège et le guida jusqu'à l'arrière du bus où, au fond, s'étendait une plus longue banquette qui n'impliquerait pas qu'ils se transforment en contorsionniste. Quoique ça lui plaisait que Dia soit un peu souple. « J'ai encore plus froid ici, on s'est éloigné du chauffage. » geignit le jeune homme en remuant ses épaules comme pour souligner ses propos. Suite aux exigences de maîtresse Diamantika, Cody se déshabilla en deux temps trois mouvements, à la fois pris par l'excitation et parce qu'il ne portait déjà plus grand-chose sur lui. Quoiqu'il venait de battre le record du monde du retirage de chaussette, applaudissons-le merci merciiii. Il écarta les bras quand Dia se retourna, fier d'être à oilpé. « J'attends ma médaille maintenant. » Ou sa friandise. Du coup, elle l'ordonna de s'allonger et l'élève modèle qu'il était s'exécuta. Bien qu'allongé sur le dos, il se tint sur ses coudes en arrière, légèrement recourbé, admirant sa belle qui se déshabillait rien que pour ses beaux yeux. Sa manière de le regarder le rendait fou, tellement fou. Elle allumait un feu de joie dans sa tête en un regard, une vraie X-Men cette nana j'en ai marre de cette nana lààà marre de cette nana lààà j'étais bien mieux avant OUVRE DU BONHEUR ₪ COKA COLA - Page 5 1116103942. Puis elle était vachement jolie. Et naturelle. Faut le souligner. Les Eliot avaient une tendance innée au consumérisme et à l'affichage de leur richesse et de leur supériorité, souvent par des attitudes qualifiées de gosses de riches, des montres hors de prix et des cheveux aussi bien peignés que ceux de Ken et Barbie. Alors que Dia, pas du tout. OK, elle était odieuse. Mais à côté de ça, elle débordait d'énergie et de spontanéité, pas toujours là à tout calculer. Tant mieux, parce que si Cody avait voulu d'une fille comme ça, il se serait reproduit avec sa calculatrice, plus supportable que Diamantika et avec au moins autant de poitrine. La bête ne quitta pas les yeux de sa belle, la provoqua avec ses pupilles tandis qu'elle s'avançait et se posa finalement sur lui. Autant, quand elle se déshabillait, Cody revisita tout le kamasutra dans son esprit, et c'était même plus +18, c'était carrément +77 ans oulalalaaaa. Mais là, maintenant qu'elle était sur lui, il se surprenait à avoir envie de douceur, juste de douceur. Il encercla son corps de ses bras et pas parce qu'elle lui balançait un énième ordre. Vraiment. Il en avait juste envie. Il mêla ses jambes aux siennes, ses orteils montaient et descendaient délicatement le long du mollet de la belle. « Il paraît, mais j'suis pas encore pleinement convaincu encore … Et arrête de me regarder comme ça. »  Ses doigts remontèrent lentement et consciencieusement le long de son échine, terminant leur course dans la chevelure de Dia. Mais au lieu de lui caresser, voire de lui peigner les fougères qui lui servaient de perruque, il les rabattit devant les yeux, et même devant son visage comme ça elle ne pouvait plus du touuut le regarder. « J't'avais dit d'arrêteeer. En plus tu me gâchais mon paysage. » Toujours aussi aimable le Cody Bleeker. En même temps, c'était sa manière de communiquer et, en général, plus il était désagréable, plus il fondait pour la personne. En l'occurrence, Diamantika.  
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« J'ai encore plus froid ici, on s'est éloigné du chauffage. » Si Cody était un nain de blanche neige, il serait GRINCHEUX. Non je crois même qu'il bat le record du plus grincheux de la terre. C'est fou, mais malgré ça, je ne pouvais pas m'empêcher de l'apprécier. C'était mon grincheux à moi et je ne comptais pas le partager. (Ouai sauf que monsieur va se marier OUVRE DU BONHEUR ₪ COKA COLA - Page 5 3861440630) Terminant à mon tour de me déshabiller, le lowell demandait sa médaille. La médaille du plus rapide à se dessaper. Hum, pas de médaille en revanche, mon corps sera sa récompense. C'est vrai, il n'avait pas besoin de plus, alors que j'aurais très bien lui offrir mon coeur sur un plateau d'or. Alalalalala, faut que je cesse de dire des bêtises moi, ce n'est pas comme si je suis réellement tombé amoureuse de lui. Mais il vrai que tout chez lui me rendait folle. Folle de quoi ? J'en savais rien, mais folle tout de même. Avec légèreté, je m'échouais sur son corps brûlant, OH, le mec il avait dit qu'il avait froid. GROS mensonge. Sentir ses bras m'enlacer, c'est tout ce que j'avais demandé et il a fallu qu'on en arrive à tout ce cirque de disputes pour avoir mon premier vrai câlin. Gros boulet CODYBABOUIN. Là, j'avais l'impression que c'est lui qui avait ce besoin de me serrer dans ses bras et de m'enlacer. Aller Dia, fait lui perdre la tête et dans peu de temps, il ne jurera que par toi, il oubliera son ex, il oubliera toutes les autres, il ne sera qu'à toi et tu auras son coeur et même que si un jour on ouvrait sa poitrine, nous verrons ton prénom écrit sur son coeur, weshhh, nah, mais laissez-moi rêver. Aha !. Ses orteils firent des aller-retours sur mon mollet, est-ce qu'il cherchait à m'exciter ? Parce qu'il y arrivait très bien. Je sentais petit à petit, les papillons de mon bas ventre se réveiller de leur trop long sommeil. J'aimais profiter des plaisirs de la chair avec lui et uniquement lui. Sa peau de loup m'enivrait, réveillant même mes plus bas instincts. Je le caressais comme si je devais indéniablement couvrir sa peau nue de mes douces mains. Je le désirais à un point fou. Mais à cet instant, mes pupilles ne le quittaient plus, elles s'étaient même dilatées et je le regardais avec cette envie de le dévorer, mais aussi avec tendresse. Qu'il est beau ! Pensais-je au fond de mon cerveau. « Il paraît, mais j'suis pas encore pleinement convaincu encore ... Et arrête de me regarder comme ça. » Je laisse échapper un petit rire presque étouffé dans ma gorge. « Mais nonnn, je n'te regarde pas !. » du tout, la meuf pas crédible là, parce qu'elle le regardait avec une intensité incroyable sans même le lâcher une seconde. Soudainement, les doigts du jeune homme remontaient le long de mon corps pour venir se hisser dans mes cheveux et...recouvrir mon visage avec. Nooooonn, comment osait-il me cacher ma belle vue d'abord !. « J't'avais dit d'arrêteeer. En plus tu me gâchais mon paysage. » Dit-il alors que mes cheveux retombaient petit à petit dans mon dos laissant place à mon visage clowntiser. Oui, j'avais ouvert grand les yeux et j'avais fait exprès de loucher en regardant le bout de mon nez. Cette scène ne dura que quelque seconde avant que je n'éclate de rire. Heureusement qu'il n'avait pas son tel pour me prendre en photo, cela aurait fait une belle grimace en souvenir. « Et toi t'avais pas l'droit de me gâcher la belle vue que j'avais sur ton visage, namého ! » Je riais de nouveau, glissant une main le long de son bras gauche jusqu'à attraper sa main et déposer mes lèvres au creux de sa paume pour un doux baiser. Baiser qui refait le parcourt de son bras jusqu'à ce que mes lèvres se retrouve à quelques centimètres des siennes. « Et là ? T'es convaincu monsieur grincheux ?. » Concluais-je en lui mordillant doucement la joue. VENGEANCEEEEEEE.
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Mais quel clown celle-là. À peine eut-il son visage de Kovachàlaideron (ça c'est du surnom à rallonge OUVRE DU BONHEUR ₪ COKA COLA - Page 5 1616978029) de ses cheveux, elle en profita pour faire une grimace quand le rideau tomba. À moins que ce soit son strabisme qui pointe enfin le bout de son nez dis dooooonc. Il essayait d'imaginer Dia en secrétaire sexy, avec les lunettes à monture épaisse et tout … Aïe, ouille, noooon, il ne valait mieux pas qu'il se mette à penser des trucs comme ça, il suffirait de pas grand-chose pour réveiller la bête, l'ogre, le dragoooon. « La belle vue, non mais ... » Il soupira et leva les yeux au ciel, enfin … Vu qu'il est allongé c'est pas trop le ciel mais ça sonne moins bien de dire qu'il levait les yeux vers la paroi du bus quoi. Zéro poésie sinon. « De là où tu es, le seul truc que tu peux faire c'est compter mes crottes de nez. Quoique si tu n'arrives pas à dormir cette nuit, ça peut-être une occupation. » Après compter les moutons, compter les crottes de nez youhouuuuu. Les enfants s'endormiraient tellement plus facilement s'ils avaient un Cody à la maison. Enfin, pour le coup, Cody espérait que Diamantika n'était pas trop fatiguée par cette soirée éprouvante parce qu'il n'en avait pas fini avec elle. Il la laissa parcourir le fil d'Ariane de sa main à ses lèvres à pas de bouche, penchant la tête sur le côté pour ne pas la quitter une seule seconde des yeux. Il se tordu d'ailleurs limite à moitié le coup pour qu'elle arrête de mordiller sa joue comme un teckel sur sa baballe. Non pas parce qu'il n'appréciait pas, au contraire. Elle pourrait lui faire une prise de kung-fu, lui tordre un bras, lui découper trois orteils, il trouverait le moyen de s'émoustiller à partir du moment où elle le faisait elle-même. « Ouais, c'est déjà mieux. » répondit-il dans un souffle à peine audible. Leurs visages étant proches, il en profita pour le détailler, sans cligner une seule fois des yeux, sans sourciller, sans baisser sa garde. Il reprit possession de sa main pour balayer les mèches un peu rebelles qui se permettaient de s'incruster sur le front de Dia sans sa permission. OH. Le maître des lieux ici c'est Cody Bleeker, les mèches. Donc faites pas iech le maître de l'univers. Ouais ouais, il a monté d'un échelon en deux secondes, bientôt ce sera Dieu. Il dessina quelques formes sur la tempe de Dia avec son pouce, imprégna de quelques mouvements circulaires les cernes de la jeune femme avant de finir sa course au coin de sa lèvres. Et là, il resta figé, le regard ancré sur sa bouche pendant quelques secondes. Il n'savait pas ce qu'il foutait, sûrement un moment d'absence. Ou peut-être bien que ça entrait dans son projet pour l'opération 'conquête du Diamantikaland', périple au cours duquel il avait la ferme intention de connaître chaque contrée, chaque plaine, chaque mont (même si les sommets sur Dia ne montaient pas bien haut OUVRE DU BONHEUR ₪ COKA COLA - Page 5 927261665), chaque cavité, chaque sillon, chaque grain de beauté … Il voulait être le premier homme à savoir dessiner visuellement une carte d'elle et à la connaître sur les doigts de la main. Puis, il riva de nouveau ses yeux dans ceux de l'Eliot et, sitôt, l'embrassa fougueusement en plantant sa main dans sa nuque. Il devrait se calmer. Elle n'était qu'un mirage. Et lui, il risquait de s'attacher. Il était faible d'un point de vue émotionnel, alors qu'elle … Solide comme un roc. Puis zut. Il s'en foutait, ils verraient bien demain. Ce soir, il avait tellement à lui donner.
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