Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityOUVRE DU BONHEUR ₪ COKA COLA - Page 2
-16%
Le deal à ne pas rater :
Friteuse sans huile NINJA Foodi Dual Zone 7,6 L 2400W à 135€
135.01 € 159.99 €
Voir le deal


OUVRE DU BONHEUR ₪ COKA COLA

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Pour Cody, la soirée se terminait là. Aussi mal qu’elle avait commencé. Il lui semblait qu’il n’y avait aucune bonne issue possible, même s’il y avait mis tout son cœur pour arranger les choses avec Dia. Non, là, clairement, il n’avait rien fait pour la comprendre, pas un gramme de compassion ne s’immisçait dans sa voix, même quand il désigna les loges pour qu’elle puisse passer son visage sous l’eau et effacer les résidus de peinture. Il parlait plus à une malpropre qu’à la nana avec qui il avait passé une nuit féérique quelques jours plus tôt. Il ne vit même pas qu’il fit couler sa première larme. Merde. Ils n’étaient même pas ensemble, en fait, ils ne représentaient rien l’un pour l’autre et déjà il la blessait … Cody devrait sérieusement remettre en question sa condition humaine. Est-il un homme ? Ou est-il un oignon ? That’s the question. Peut-être que Dia aurait dû boire de l’eau avant de rejoindre Cody, il paraît que ça évite de pleurer au contact de l’oignon. Conseil de mère-grand. « Rien Dia, t’en as assez dit, assez fait ! » répliqua-t-il froidement en disparaissant à l’extérieur des coulisses … Ou presque. Dès lors qu’il entendit un bruit métallique dans son dos, il se retourna, comme averti qu’une merde était en train de se préparer. A peine fit il volte-face, Dia avait disparu. Le bruit s’était déplacé et Cody leva la tête pour apercevoir l’Eliot qui se hissait – non sans difficulté – au sommet des poutres en acier qui surplombaient le plafond. « Qu’est-ce que tu fous Kova ?! Descends, merde ! Tu vas te blesser ! » Ou déchirer sa robe de princesse quoi … AHAAAAH, ben à en juger par le craaaaaac qui résonna, c’était fait. Et cette fooooois ce n’est pas la faute à Cody heiiiiin. De son discours, Cody retint deux choses ; elle flippait et … Elle flippait. Le vertige, sans conteste, la gravitation terrestre la poussait inexorablement vers le sol, elle craignait de s’effondrer, elle craignait de lâcher prise, sa voix en témoignait. Et elle flippait. Cody Bleeker la faisait flipper. Ce qu’elle ressentait pour Cody Bleeker la faisait flipper. Parce que ce n’était pas normal de virer aussi gaga pour Cody Bleeker. Il conserva une boule au fond de sa gorge qu’il peinait à avaler. Il ne savait pas quoi dire. Ce n’était qu’une nuit. Et ils étaient si différents l’un de l’autre. Et il ne le prenait pas comme une victoire, de la rendre vulnérable. Il refusait l’idée d’être celui qui rendait vulnérable qui que ce soit. Il refusait l’idée d’avoir le pouvoir de blesser quelqu’un en un claquement de doigt. Il n’aimait pas ce pouvoir. Il le refusait. « Danae, je … » Qu’est-ce qu’il racontait ?! « Diana … » MERDE. « KOVA. Bouge pas, je viens te chercher ! » Ouais, ça, se tromper de prénom allait vachement aider ses affaires. N’empêche qu’il se lança à sa poursuite et gravit l’échafaud. Il arriva à la poutre sur laquelle était bloquée Diamantika, enlacée à une autre poutre, verticale cette fois-ci. Il fit de grands pas pour arriver jusqu’à elle et compta sur son équilibre. Elle ne lui avait pas facilité la vie la donzelle ; au lieu d’emprunter la passerelle aménagée en hauteur comme le ferait tout bon technicien, elle s’était aventurée sur des sentiers impraticables. Mais il la sortirait de cette merde. Il se plaqua contre son dos, diffusant by the way sa chaleur naturelle dans chaque pore de la peau de Dia. Et il échangeait sa chaleur contre une groooosse trace de peinture violette mais ça vaaaa, Lowell powaaaah. Il avait attrapé une des cordes qui pendait et, de l’autre côté du poteau, posa ses mains sur les siennes avant d’entrecroiser ses doigts au sien. La corde, il la glissa dans la main droite de la jeune femme. Posant sa joue contre la sienne et regardant droit dans la même direction qu’elle, il lui souffla ; « On va arrêter cinq minutes de se disputer, OK ? Et tu vas m’écouter. Sur ta droite, tu as le vide. De l’autre côté du vide, tu as une passerelle bien plus large sur laquelle tu pourras te poser. Elle se trouve à … » Il tourna la tête, jaugea la distance. « Moins d'un mètre de toi. Il suffit d’enjamber le vide. Y a aucun risque que tu tombes si tu te tiens à la corde. Et j’serai là pour te tenir, quoiqu’il arrive. » Il serait bien resté en maman Koala contre Diamantika encore longteeeempsss. Son odeur, sa chaleur, ses palpitations, ses spasmes, son souffle coupé, ses murmures de terreur, ses mains moites. Et sa boule au ventre quand il se trouvait si près d’elle. Et, pour une fois, cette boule lui faisait du bien. Cody ne serait peut-être qu’un remède contre son vertige. Mais elle, ni l’un ni l’autre n’imaginait les plaies qu’elle était dotée de panser. Elle était son remède.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


COKA ಇ  tu m'aimes bien Codybabouin, ça crève les yeux
Parfois, lorsque je parlais trop vite, il était assez difficile de me suivre et c'est ce que j'étais en train de faire accroché à ce fer. Je ne sais même pas si Cody avait tout capiche, mais j'avais parlé tellement vite, qu'il était possible pour ses oreilles d'avoir entendu une langue étrangère. « KOVA. Bouge pas, je viens te chercher ! » Je n'avais pas entendu les prénoms qu'il avait prononcés et c'était mieux d'ailleurs. Et puis de toute façon, s'il avait quelque chose à me dire, il me le dira parce que j'attendais qu'il soit honnête tout comme moi je l'étais malgré ce qu'il pouvait croire. S'il fallait que je fasse n'importe quoi pour qu'il cherche à me comprendre et à m'écouter, je ferais. La preuve, jamais je n'aurais atterri sur ces poutres en fer. MAMAN JE VEUX DESCENDREEEEEEE ! Et croyez-le j'avais envie de crier ces mots, mais je n'avais pas le courage de le faire. La peur m'envahissait de plus en plus et soudainement, je sentis le torse du lowell se blottir contre mon dos, l'une de ses mains se poser sur la mienne et entrelacer nos doigts. J'apprécie sentir ses doigts sur les miens, je serre les siens puissance mille. C'était comme-ci une vague réconfortante et chaleureuse s'était écrasée contre moi. Et je déteste ressentir de telles choses pour cet homme, me sentir étrangement en confiance, me sentir tellement bien, mais tellement mal en même temps parce que je ne supporte pas que ses yeux me traître de menteuse, parce que je ne supporte pas l'idée qu'il puisse tripoter d'autres nanas et je déteste surtout, tout le boucan que fait mon cœur actuellement. Dans ma tête c'était confus. Je me demande simplement comment est-ce possible ?. Il y avait à peine quelques semaines que nous nous connaissions officiellement, à peine quelques jours que nous avons partagés une nuit magique, mais alors pourquoi ? Et comment me suis-je attachée aussi vite à lui ?. « On va arrêter cinq minutes de se disputer, OK ? Et tu vas m'écouter. Sur ta droite, tu as le vide. De l'autre côté du vide, tu as une passerelle bien plus large sur laquelle tu pourras te poser. Elle se trouve à ... Moins d'un mètre de toi. Il suffit d'enjamber le vide. Y a aucun risque que tu tombes si tu te tiens à la corde. Et j'serai là pour te tenir, quoiqu'il arrive. » Me rendant compte une nouvelle fois que je me suis laissée emporter par son souffle chaud contre ma peau, par le son de sa voix si confiant et par toutes les sensations qu'il éveillait doucement et naturellement en moi, je me secoue intérieurement. « Si jamais je n'y arrive pas, si jamais c'est la fin, tu diras à mes parents que j'ai été fière d'être leur fille, tu leur diras que j'aurais souhaité épouser un homme que j'aurais moi-même choisi et non, un homme de leur choix et ce, même si c'est le fils du meilleur ami à papa, tu diras à mes frères Alexander et Walter qu'ils demeureront les hommes de ma vie. Tu diras à ma famille que je désire que ma part d'héritage revienne à une association, tu diras à tout mon entourage que j'ai été heureuse de les rencontrer... et toi Cody... Sache qu'il n'y a rien avec Phoenix, que tu es le seul homme à qui je demande de remettre le couverclet et le seul avec qui j'ai envie de faire crac crac boum boum... et sache que je n'y suis pour rien dans ce qui s'est passé ce soir... je te l'promets... » Dis-je d'une voix extrêmement douce. Ouai, c'était le TESTAMENT de Diamantika. Je respire un bon coup avant d'attraper cette corde aussi tremblante que tout à l'heure. Puis, je m'élançais dans les airs en mode JANE. Je vais lui botter le cul à cet homme, non mais c'est horribleeeeeeeeeee. Je rêvais que d'une chose, arriver à cette foutue passerelle. Maiiiisssssss, tropppp presséééé arrive troppppp tard. En voulant sauter avant, je lâchais la corde et malheureusement je n'atteignis pas la passerelle. Je heurtais une poutre qui m'entailla légèrement le bras en dessous de l'épaule, terminant par m'écraser dans un balaise carton de petits morceaux de mousses styrol. Et tout ce trajet en criant bien-sûre. Pour une fois, je devais remercier les Dunsters et les Lowells d'avoir placés ce carton de mousses ici. Je me lève rapidement en sortant et en me touchant pour voir si j'étais vivante. Le choc me fit perdre l'équilibre et je me laissais tomber fesses contre le sol, genoux plier également contre le sol, bras retombés le long de mon corps. Un petit rire nerveux s'échappa de mes lèvres. J'avais vu ma fin défiler sous mes yeux, pas le temps de m'inquiéter sur l'entaille que j'avais au bras et les petits morceaux de mousses collées un peu partout sur mon corps et mes cheveux à cause de la peinture.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Cody secourait Dia et elle, elle parlait parlait parlait parlaiiiiit ... Mais faites-la taiiiiire PLEAAAAASE. Le pire, c’est qu’elle ne laissait même pas à Cody d’assimiler complètement ce qu’elle bavassait, elle ne lui laissait même pas le temps de répondre puisqu’elle s’élança et … Oh putaaaain, cette meuf elle ne peut pas s’empêcher de faire des caisses, vraimeeeent. Cody lui avait juste demandé de faire un pas, un SEUL pas. La corde faisait office de sécurité, pour la rassurer, genre qu’elle ne pourrait pas tomber puisqu’elle était hanarché … MAIS NOOOOON, fallait que Dia fasse sa cascadeuse et résultat ; elle se vianda dans un carton au sol. Et encore, HEUREUSEMENT qu’il y avait ce carton. Dans un cri désespéré, Cody s’époumona ; « DIAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA. » Et boum. Pas terre. Bon bon boooooon. Elle s’était levée, elle avait l’air vivante, avant de perdre l’équilibre sans que personne ne puisse l’expliquer. Peut-être le veeeeentttt, who knows. Et là, Cody éclata de rire, ahah, à quand le One Woman Show ? Il descendit tranquillement des poutres en hauteur, en glissant le long de la corde. Amusé, il s’avança jusqu’au chantier laissé par la cascadeuse du dimanche et sortit son portable sur le chemin. Il écarta avec son pied un carton qui recouvrait à moitié Diamantika et éternisa ce moment par un cliché que Cambridge Secret envierait. « Souris … Un peu pluuuus … Voilà ! C’est dans la boîte ! » Imaginez le tableau ; Diamantika Kovalevski, allongée au milieu de carton, couverte de peinture et de morceaux de polystyrène, la robe déchirée et le regard vitreux ? LE CLICHE DU SIECLE. Il était heureuuuux, il affichait un sourire béat et, s’assurant que Dia le regardait bien, il glissa ostensiblement son portable dans son caleçon, en référence bien sûr à la carte mémoire dans la culotte de l’autre nuit. Il garderait évidemment la photo pour lui. Considérez qu’ils étaient à un partout.  « Pourquoi tu te sens obligée d’exagérer tout ce que tu fais ? » soupira-t-il en s’accroupissant, constatant l’étendue des dégâts. Non mais … C’est vraiment lui qui disait ça ? Cody Bleeker, lui qui avait une tendance maladive à vivre à fond tout ce qu’il entreprenait ? À balancer des logorrhées dès qu’il est paniqué ? À réagir démesurément en toute circonstance ? Il donna un coup de pied dans sa cheville – Dia était tellement cassée qu’elle ne devait plus rien sentir de toute façon – pour qu’elle bouge sa jambe et qu’il puisse se glisser sur elle, contre elle. Il continuait de rire, elle était encore plus sonnée que la fois où ils avaient couché ensemble et franchement, sans vanter les pouvoirs exceptionnels du Codynosaure, il l’avait mis dans tous ses états ce soir-là. Il caressa délicatement sa joue avec son pouce pour dégager quelques grains de mousses qui s’étaient collés à la peinture. « T’es vraiment moche Kovache. Toutefois, y a du progrès. J’crois que t’as trouvé ton style. Demain, pointe-toi à Harvard comme ça et là je serais assuré que ton pote le piaf, enfin le Dracaufeu, ne me fera plus du tout d’ombre, et … » Brrrr, brrrrr, brrrrrrrr. Ça, c’était son portable qui vibra en direct de vous-savez-où. Histoire de rendre la situation encore plus ridicule. En plaisantant, il ajouta ; « Ajoute-moi à la liste des prétendants de ton père pour ton mariage. Franchement, un mec qui a un Codynosaure vibrant intégré, ça ne court pas les rues. J’suis un super parti. » Il espérait que ça détende l’atmosphère tout ça. Surtout, valait mieux qu’elle rit un peu, elle avait l’esprit tellement en vrac.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


COKA ಇ  tu m'aimes bien Codybabouin, ça crève les yeux
« DIAAAAAAAAAA[..]AAAAAAAA. » On se croirait dans The Amazing Spider-man 2, lorsque Gwen fait sa chute et que Peter crit son prénom en essayant de la sauver, sauf que celle de Cody avait plutôt réussi à me casser les tympans même dans ma chute. Mais dieu soit loué, je n'avais pas subi le même sort que Gwen. J'étais bel et bien vivante pour le malheur de notre cher lowell. Il faut dire que le choc avait eu sur place, raison de moi. Je regardais Cody s'approcher sans vraiment le regarder. « Souris ... Un peu pluuuus ... Voilà ! C'est dans la boîte ! » Je souriais sans vraiment sourire. J'obéissais, mais je n'étais clairement pas moi-même. Disons que j'étais encore sous le choc. Même que mes yeux suivaient son portable qu'il fit entrer dans son boxeur m'imitant quelques jours plus tôt. Je connais chaque partie de son corps à présent, alors je n'aurais aucun mal à retirer son tel de son boxeur. Mais on va dire que pour l'instant, mon état ne me le permettait pas. Finalement, il s'accroupit juste à ma hauteur. « Pourquoi tu te sens obligée d'exagérer tout ce que tu fais ? » Ce n'est que lorsque mon regard plongea dans l'océan brun de ses yeux que je revins rapidement à moi. Sentant maintenant à peu près, tous les coups que j'avais reçus à cause de cette chute. Si Cody brillerait dans un cirque, ce ne sera jamais mon cas. « Parce que je suis ainsi... mais tu ne crois pas être mal placé pour faire ce genre de remarques ? » Le chameau ne voit-il pas sa bosse ?. Et comme-ci les coups que j'avais reçus ne suffisaient pas, il en rajouta une couche en me donnant un coup de pied à la cheville. Maiiiiissssss, il savait se rattraper, puisqu'il se glissa contre moi et dieu que j'aimais le sentir ainsi sur chaque parcelle de ma peau. Je le laissais retirer les petits morceaux de mousses sur mon visage ne l'écoutant même pas. « T'es vraiment moche Kovache. Toutefois, y a du progrès. J'crois que t'as trouvé ton style. Demain, pointe-toi à Harvard comme ça et là je serais assuré que ton pote le piaf, enfin le Dracaufeu, ne me fera plus du tout d'ombre, et ... » J'avais envie de mettre un doigt contre ses lèvres pour qu'il se taise cinq secondes. SHUT UUUUUUUP !. « Ajoute-moi à la liste des prétendants de ton père pour ton mariage. Franchement, un mec qui a un Codynosaure vibrant intégré, ça ne court pas les rues. J'suis un super parti. » Je mordillais ma lèvre inférieure, tentant de le suivre, mais en fait, la seule chose que je suivais, c'était ses lèvres qui s'ouvraient et se refermaient. Je ne pris même pas peine à répondre, n'entendant même pas son portable vibrer, tout ce que je voulais à cet instant, c'était..... lui foutre mon poing à la figue. NON !. Je plaque mes paumes au sol, me penche suffisamment vers lui pour que mes lèvres puissent cueillir les siennes. SHUT UP !. Je pressais mes lèvres comme-ci ma vie en dépendait, l'incitant à se taire ENFIN et à me laisser avoir ce que je voulais depuis... depuis je ne sais quelles minutes ou heures, en fait, je perdais la tête. "Oh, kiss me beneath the milky twilight. Lead me out on the moonlight floor lift up your open hand and strike up the band and make the fireflies dance, silver moons are sparkling. So kiss meeee." OUVRE DU BONHEUR ₪ COKA COLA - Page 2 1116103942 Mon cœur accélérait doucement sous l'effet de nos lèvres l'un contre l'autre. Il m'avait surpris tout à l'heure en m'embrassant, ce fut à mon tour de le faire sans qu'il ne s'y prépare. Je voulais déclencher moi aussi quelque chose chez lui et je n'avais rien à perdre, sooo je mettais tout ce que j'avais dans ce kisssss, quitte à me pencher davantage jusqu'à ce que le jeune homme pose son fessier au sol. Nous partagions nos salives, laissions nos langues danser et lorsque mon souffle manqua de s'éteindre, je me retirais à temps pour pouvoir le récupérer. Je traçais le contour de mes lèvres à l'aide de ma langue pour ne pas perdre une miette de son nectar. Une petite étincelle vint briller au fond de mes yeux durant une fraction de seconde lorsque je croisais son regard. « Je crains que tu ne puisses même pas avoir la possibilité de te présenter comme un potentiel prétendant, mon père a déjà fait son choix et crois-moi qu'il est quasiment impossible de lui faire changer d'avis. C'est l'homme le plus têtu que je connaisse... Je tiens ça de lui d'ailleurs... » Je sentais quelques picotements au niveau de mon entaille peu profonde, mais tout de même visible. Je laissais un petit souffle s'éterniser dessus avant de reposer mon regard sur Bleeker. « Mais je n'compte pas le laisser faire, quitte à me barrer le jour du mariage en laissant en plan mon futur mari entre guillemets. Et d'ailleurs, même Justin est contre ce mariage, lui aussi fait tout son possible pour l'annuler et ramener nos pères à la raison !. » Je me lève doucement en me relookant de la tête aux pieds, c'est vrai que je ne pouvais pas être plus moche que maintenant. « Bon... j'crois qu'il est temps que je m'débarbouille !. » J'enlève quelques mousses un peu partout de mon corps en me dirigeant vers la loge au fond des coulisses. Une fois à l'intérieur, je zieute ma sale tronche devant un long miroir posé dans un coin. Je cherchais du regard de quoi m'enlever tout ça sans y passer une heure. Un tuyau d'eau, EXCELLENT !. Je m'emparais de cet objet en tournant le petit levier et le positionnant au-dessus de ma tête. Wessh, tout allait être mouillé ici, mais osef, je ne pouvais pas rentrer comme ça. Sauf que maintenant, c'était pire, j'avais mon vêtement qui plaquait ma peau et bonjour la jolie vue sur mon corps à travers cette fine robe. Sans oublier que j'étais sans soutif. Goshhh, si je rentrais comme ça à la Eliot House, je risquerais de me faire violer du regard. Hum. Je n'aurais qu'à courir.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Et leurs lèvres se joignirent à en avoir le souffle coupé. Cody résista, pourtant, cherchant à formuler une phrase, à souffler quelques mots, marcher dans le sens inverse du courant d’air malgré la tornade qui l’emportant. On entendait des bouts de phrases, des bouts de mots, traverser les succions. Puis il lâcha totalement prise et fourragea de ses doigts la crinière de Diamantika, savourant ses lèvres pour – enfin – un beau et vrai baiser. Comment trouve-t-elle la force de résister de s'emparer de sa bouche en public ? Lui, il était faible. Il avait besoin de ça. Il la voyait, il voulait ça. Par la suite, elle balança son speech sur son mariage, son père, le meilleur ami du père et le fils. Alors c’est comme ça que ça fonctionne chez les gens riches et célèbres ? Pas de marge de manœuvre, une Dia cantonnée au bon vouloir de son papa, désireux que sa fille riche et célèbre épouse un fils riche et célèbre pour faire des beaux enfants riches et célèbres ? ça donnait envie à Cody de marier de force la Kovache et de lui pondre trois gosses à la suite. Il emmerdait les gens riches et célèbres, il n’avait jamais aimé ceux qui se pensaient au-dessus de tous, bien trop habitué à être regardé de haut. Et il les emmerdait bien profond et ne faisait plus attention à eux. Puis ça file des torticolis de regarder les gens qui se croient supérieurs. « Tu m’inviteras au mariage, hein, dis ? J’serai le type à la sortie de l’église qui vous balancera des cailloux pendant que les autres balanceront du riz. » Ou alors, il balancera des petits vers bien dégueulasses, il hésitait encore, il espérait que le mariage n’était pas fixé pour bientôt. Elle décida d’aller se débarbouiller et Cody attendit pour la rejoindre. Après tout, elle ne l’avait pas invité. Puis trouvant le temps long, il s’aventura dans la loge où il la trouva avec un tuyau d’eau. Sa robe lui faisait à présent comme une seconde peau et franchement, elle aurait pu ne rien porter du tout ça aurait fait la même. Mais il joua au mec même pas émoustillé une seconde d’avoir une nana presque à poil à un mètre de lui. Non. Sans même adresser la parole à Dia, il la contourna et sortit un chauffage d’un petit placard. Il le brancha et, oooh magie, s’alluma. « T’as qu’à enlever ta robe et la mettre à sécher là-dessus, tu vas pas te promener dans tout le campus comme ça. Tu vas attraper un rhume quoi, ce serait dommage. » Il la défendait CORDIALEMENT de le faire, parce que la raison principale c’est qu’il ne voulait pas qu’ses seins pointent ailleurs que sur lui. Si sa poitrine était une boussole, il serait le Nord, wesh. « J’crois qu’il y a un dressing derrière … » Le problème de cette loge, c’est qu’elle faisait un peu office de débarras – et de piscine quand Dia passait par là. Cody poussa quelques cartons et ouvrit une grande armoire dans laquelle des vêtements pendaient, des déguisements surtout. « Ou sinon tu peux enfiler ça. » Il sortit une tenue de cow-girl, un truc qui lui donnait envie de chanter ’where did you come from. Where did you go ? Where did you come from cotton-eye Joe’ OUVRE DU BONHEUR ₪ COKA COLA - Page 2 1116103942
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


COKA ಇ  tu m'aimes bien Codybabouin, ça crève les yeux
J'avais lié nos lèvres dans un passionnant baiser où nos langues sont cherchées et trouvées. Mon muscle buccal allait chercher le sien pour jouer de manière presque érotique. En effet, un baiser sérieux peut avoir mille et une conséquence. La trahison de ses gestes le fit sombrer puisque dans l'immédiat, il est pris au piège, se laissant aller à partager ce petit moment de bien-être. Je ne sais pas comment j'arrivais à lui résister en public, mais je suis sûre d'une chose, c'est que si nous continuons sur ce chemin, je n'allais plus pouvoir garder ce secret bien longtemps. Plus on avançait, plus je sombrais. Ce n'était pas dans le néant que je plongeais, mais dans quelque de presque indescriptible dont moi-même j'y allais à corps perdu, quelque chose de plaisant, voir trop trop plaisant. Lorsque nos lèvres se sont séparées je fusse heureuse d'avoir eu ce que je voulais même si je n'en serai probablement jamais rassasier. « Tu m'inviteras au mariage, hein, dis ? J'serai le type à la sortie de l'église qui vous balancera des cailloux pendant que les autres balanceront du riz. » Oh combien ce serait tentant qu'il gâche tout, mais, je n'avais pas envie de me retrouver tâcher de bosses vous voyez. « Je t'inviterais ! Même que tu seras le témoin, celui qui me donnera la bague pour que je la passe au doigt de mon mari. Nah sérieusement, pourquoi tu ne kidnapperais pas le prêtre en te faisant passer pour lui et en criant à tout le monde que t'as eu une conversation avec Dieu et que ce mariage doit être annulé ou les deux familles finiront par s'entretuer !. T'vois un peu le genre ?. Ou même te faire carrément passer pour Jésus. Bizarrement, je t'vois mieux dans ce rôle. » Un rire s'échappa de mes lèvres, rire que je stoppais bien vite lorsqu'il alluma un chauffage. « T'as qu'à enlever ta robe et la mettre à sécher là-dessus, tu vas pas te promener dans tout le campus comme ça. Tu vas attraper un rhume quoi, ce serait dommage. » J'arquais un sourcil devant ce si grand mensonge juste pour ne pas avouer que cela le ferait chier que d'autres hommes me voient ainsi. « Rien que ça ? Un rhume ? Je n'vais pas en mourir. » Et puis ce n'était pas comme si un rhume était menaçant. Bref, je le suivis jusqu'au fameux dressing où il fit sortir un déguisement de Cowgirl. Pourquoi celui-là et pas un truc beaucoup plus fermé ?. « T'es certain que tu veux m'voir me trimbaler en Cowgirl ?. » Savait-il au moins que c'était un des accoutrements qui avaient le dont d'exciter un homme ?. Mais soit. J'attrapais le tout avant d'enlever ma robe et de toute façon elle était complètement déchirée et donc inutilisable à présent. J'enfilais ce fameux déguisement et ça donnait cette parfaite cowgirl. De toute façon, quoi que Dia revêtait, elle restait sexy. Quoi que là, j'aurais plutôt voulu porter le Sari indien que je zieute là avec le voile sur la tête comme une mariée. « Alors ? Suis-je mieux maintenant ?. » Concluais-je en posant quelques doigts sur le bout du chapeau me tapant la pose ultra sexy de la mort qui tue.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Est-ce que, traditionnellement, le témoin était autorisé à coucher avec la mariée ? Cody l’ignorait, au Canada on ne faisait pas trop ça, et dans les films non plus. A part dans les comédies romantiques. Ou les pornos. Est-ce que Coka avait plus la teneur d’une comédie romantique ou d’un film porno, d’ailleurs ? Si on part du principe qu’il n’y a pas de sentiments et que Dia n’assume pas leurs ébats, alors ouais, c’est plus porno que romantique. Déduction faite ; Cody et Diamantika tournaient un porno dans lequel Cody pouvait coucher avec la mariée. Et sans le marié. Sinon c’est un threesome et Cody n’aime pas beaucoup ça. Sauf si les demoiselles d’honneur se ramènent, dans ce cas il dit oui oui oui et encore oui. Puis j’ai envie de dire qu’il fallait changer les coutumes dès maintenant ; la mariée envoie le bouquet, le témoin s’envoie la mariée … C’est la suite logique des choses. Pendant mille ans, on n’a pas arrêté de l’envoyer, ce fichu bouquet, il est temps de s’envoyer la mariée. C’est la revanche du bouquet, l’Ice Bouquet Challenge.  Bref, maggle. « Qu’est-ce que foutrait Jésus à ton mariage ? Ce serait un peu comme Elvis à Las Vegas, c’est ça ? J’suis pas trop barbu, j’aime pas la barbe. J’ai peur de choper des poux de barbe. Non, le mieux ce serait encore que je prenne la place du marié. Si tu veux énerver ton père, y a pas mieux que de lui donner un magnifique gendre comme moi. » Ce sera son incroyable fiancé, comme une célèbre émission française. Donc revenons maintenant à la tenuuuuue. Cody, médecin à ses heures perdues, s’inquiéta. Il ne faudrait pas que Dia couvre une rhinopharyngite et qu’elle perde sa voix à cause d’un pot de peinture, ce serait trop bête. « Un rhume oui, morve, toux, mucus, kleenex paradise. » lâcha-t-il systématiquement en prenant un air de gros intello de la vie, genre il s’y connait. C’est alors qu’il dégaina un costume à la Jessie de Toy Story, mais vraiment sans imaginer une seule seconde que c’était coquin. ET OUIIIII. Il pensait que les gens à Harvard étaient prudes et qu’on ne mettait pas de tenue coquine parmi les déguisements. Dia l’enfila et Cody en profita pour mater, en biais, genre en mode incognito mais pas trop. Puis elle se retourna et il vit l’étendue du désastre. OH. MY. GOD. Il ne pensait pas qu’elle avait d’aussi gros seins avant qu’il soit compressé dans son … Truc. Il se jeta à corps perdu sur sa poitrine et se mit à nouer les franges entre elles pour recouvrir son décolleté. Entre nous, ça n’servait à rien, mais c’est Cody. « On voit trop ta peau, je suis pas d’accord ! Tu vas tomber malade, va y avoir un choc thermique entre tes seins qui ont chaud à l’intérieur et le froid de l’extérieur. » Machinalement, il posa ses deux mains sur ses boobs et observa minutieusement son environnement. « Laisse-moi réfléchir … » Oui, Cody réfléchissait en tripotant Dia, c’est bien connu. Il lâcha ses bébés et attrapa une cuirasse de chevalier, un truc qui lui recouvrirait bien la poitrine. « Enfile ça par-dessus. Tu seras PAR-FAITE. » Alors que tout homme normalement constitué déshabillerait Dia sur le champ en la voyant en pareille tenue, il s’évertuait à ajouter des couches et des couches de vêtements sur la jeune femme. Unique jusqu’au bout des doigts. Il n’se prenait pas au sérieux.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


COKA ಇ  tu m'aimes bien Codybabouin, ça crève les yeux
« Qu'est-ce que foutrait Jésus à ton mariage ? Ce serait un peu comme Elvis à Las Vegas, c'est ça ? J'suis pas trop barbu, j'aime pas la barbe. J'ai peur de choper des poux de barbe. Non, le mieux ce serait encore que je prenne la place du marié. Si tu veux énerver ton père, y a pas mieux que de lui donner un magnifique gendre comme moi. » Sans vraiment considérer qu'il prenait peut-être son idée au sérieux, je pouffais de rire en imaginant Cody prendre la place du marié. Non pas qu'il n'avait pas tous les atouts nécessaires, mais c'était Cody quoi, en mari ça donnerait une catastrophe...ou pas. Mais lorsque je perçus une once de sérieux dans ses yeux, je cessais de rire avant de froncer les sourcils. « T'étais sérieux là ? Enfin je veux dire prendre la place de Justin ? Enfin... je veux dire m'épouser.... non non non, j'veux dire devenir mon mari quoi !. » Ouaaaaaaaaaaa, je te félicite Dia, tu dois avoir la palme d'or de la fille incomprise, style, mais qu'est-ce qu'elle raconteeeeeee. « Ce n'est pas que tu n'ferais pas un bon mari... ça je n'en sais absolument rien, mais vaut mieux pas, je n'ai pas envie que tu te mettes mon père à dos... Ou encore que tu sacrifies un possible futur mariage avec une fille moins rageuse et bizarre que moi... » Je ne pourrais jamais dire oui en sachant tout ça, en sachant aussi qu'il le ferait juste pour m'aider et rien de plus. J'ai peut-être l'air d'une sorcière sans cœur, mais je reste une fille et le mariage c'est vraiment symbolique. Il ne peut pas y avoir de mariage sans amour. Pour que je dise oui dans ce genre de circonstance, faudra qu'on me drogue ou qu'on me fasse boire parce que là, j'étais incapable de considérer son idée sachant aussi les conséquences qu'aura cet acte auprès de mon père. « Un rhume oui, morve, toux, mucus, kleenex paradise. » Comme s'il fallait devenir médecin pour connaître tout ça. Ce n'est pas possible, lui et son égo démesuré je vous jure. Ça me donne encore plus envie d'y mettre fin et qu'il vire plutôt vers l'honnêteté. « T'es tellement intelligent, je t'admireeee !. » Dis-je en étouffant quelques rires malgré moi tandis que je me retournais en mode cowgirl. Et là, je vois un Cody qui me saute littéralement dessus pour essayer de cacher mon trop plein de peau, j'arquais un sourcil en le regardant faire. « On voit trop ta peau, je suis pas d’accord ! Tu vas tomber malade, va y avoir un choc thermique entre tes seins qui ont chaud à l’intérieur et le froid de l’extérieur. Laisse-moi réfléchir ... » Je m'attends au pire. Et j'avais raison, car le voilà à présent qui tripotait mes boobs. Comment dire... L'effet que cela produisait à mon corps était assez rapide et étrange. Comme s'il suffisait qu'il me touche pour que mon corps réagisse automatiquement. « Enfile ça par-dessus. Tu seras PAR-FAITE. » Me fit-il en me tendant une... cuirasse de chevalier ?. Je baisse légèrement la tête, pose une main contre mon front et secoue la tête. Il n'y avait rien à faire, il était irrécupérable, totalement barge, comme moi en fin de compte. MAIS JAMAIS !. J'énumère ensuite sur les doigts de ma main gauche. « Tu n'es pas mon père, tu n'es pas mon frère, tu n'es pas mon petit-ami, tu n'es pas mon fiancé, tu n'es pas mon mari, alors pourquoi t'obstines-tu à vouloir que ma peau soit totalement recouverte ? Tu ne serais pas... JALOUX ? Que des mecs puissent mater mon si joli corps ?.... Mets ton égo de côté cinq secondes et sois honnête parce que tes gestes ne s'accordent jamais avec ce que tu m'dis !. » Dia ou comment pêcher un Codypoisson dans l'eau. « De toute façon, j'suis pas à l'aise, ça me serre trop niveau poitrine !. » Je me désape de nouveau avant de me rendre jusqu'aux autres déguisements. Je laissais mes doigts fouiller histoire de trouver quelque chose de potable et pas trop serré. J'opte finalement pour le déguisement de Cléopâtre. J'enfile le tout et je dois avouer que c'est mieux que le cowgirl. « Je l'garde celui-là, en plus il est magnifique !. » Dis-je en me relookant devant le miroir.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Cette histoire de mariage, Cody en parlait sans en parler, y pensait sans y penser. Comment pouvait-il y penser ? Déjà que Dia n’assumait même pas d’avoir une relation avec Cody, comment pourrait-elle ne serait-ce qu’assumer un mariage ? Mais c’est vrai que si son objectif était d’emmerder son père, ce serait la bonne solution. Et Cody emmerdait tellement profondément les richards qu’il lui rendrait service avec GRAAAAND plaisir. Mais bon, il était promis à Joan, et puis Joan représentait la sécurité et son mariage avait pour finalité la sécurité, justement. « T’emballe pas, hein, j’t’ai pas demandé en mariage. Mais si tu veux faire rager ton père, j’ai la solution. Ou plutôt, je suis la solution. » Cody se voyait bien jouer le rôle du gendre le plus détestable de tous les temps, le genre de mec à se ronger les ongles de pieds à table (sisisi, Cody avait une souplesse infinie, on ne dirait pas comme çaaaa), à roter et à péter pendant les dîners de famille, à se ramener un weekend avec une colonie de furets qui mangeront tous les tapis de la villa Kovaaaa. Aaaaha, ce serait si drôle. Par contre, le père de Dia risquerait de foutre sa fille en liberté surveillée, gardée H24 par Terminator, l’armoire à glace qui lui servira de garde du corps. « Et j’m’en fiche de ton père, c’est pas comme si toi et moi c’était sérieux. Ça me ferait justement bien rire de l’avoir à dos. » pouffa-t-il fièrement de rire. Vint le moment où elle se déguise en cow-girl et où Cody fit tout pour recouvrir sa poitrine bien trop mis en public. Y a du monde au balcon, OK, mais ce n’était pas une raison pour que tout le monde regarde. On n’est pas au Vatican où le Pape fait son discours depuis le balcon, oooh. Et heureusement que Dia n’a pas le Pape dans son décolleté, vues les pensées pas très catholiques qu’elle suscitait chez Cody Bleeker. « Je ne suis pas JALOUX. Je pense juste que tu ne peux pas sortir comme ça, j’ai pas envie. Et j’dis ça pour ton bien à toi, conseil de grand-mère. Il faut recouvrir ta gorge pour pas choper une rhino, et recouvrir aussi … Toute la zone là. » fit-il en pointant du doigt son décolleté. « Je ne suis pas jaloux, j’m’en fous qu'on voit tes seins, tu fais ce que tu veux, t’es une grande fille. » Il croisa les bras en levant les yeux au ciel, presque boudeur. Ouais non, à part ça, il n’était pas jaloux DU TOUT. Elle s’absenta pour se changer et Cody s’attendait cette fois à la voir débarquer en Xena Princesse Guerrière, ou tout autre tenue qui se constituait d’une robe ras-la-moule ou d’un décolleté en V très très très plongeant. Mais là, grosse surprise. Elle débarqua en Cléopâtre. Et canon la Cléopâtre. Elle défila à peine dix secondes, mais dix secondes suffirent à Cody. En dix secondes, il eut envie de la serrer dans ses bras, de l’embrasser, de la présenter à sa mère, à sa fille, de l’épouser, de passer la lune de miel à Bora-Bora en s’engueuler pour un tube de crème solaire mal refermé, d’acheter une voiture neuve, d’adopter un chien (qui s’appellera Bleekovache), de lui pondre un, deux, trois gosses, de faire de la rumba à Danse avec les Stars, de prendre un ticket pour la lune et de mourir dans les étoiles à ses côtés. « Pas mal. » fut la seule remarque qu’il fut en capacité de sortir, subjugué par la déesse face à lui. « Et j’me rends compte que j’aurais jamais la carrure de Jules César. Si on était au temps des Pharaons, j’serais le serviteur aux petits soins pour sa Reine, celui qui s’plie, qui obéit, qui s’dit que c’est même pas la peine d’espérer rentrer un jour dans son arène. » Elle était magnifique. Et Cody … Ils n’étaient clairement pas du même monde.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


COKA ಇ  tu m'aimes bien Codybabouin, ça crève les yeux
« T'emballe pas, hein, j't'ai pas demandé en mariage. Mais si tu veux faire rager ton père, j'ai la solution. Ou plutôt, je suis la solution. Et j'm'en fiche de ton père, c'est pas comme si toi et moi c'était sérieux. Ça me ferait justement bien rire de l'avoir à dos. » Et le mec il continuait d'insister. Non mais qu'est-ce qu'il lui prenait d'être sérieux à propos de ça ? Un mariage ce n'est pas un jeu, lorsque tu t'engages, c'est pour la vie, c'est pour l'amour, c'est à la mort. Je ne suis même pas certaine d'être son genre de fille, d'être une femme avec qui il s'imagine passer le reste de sa vie, certes on avait passé une nuit assez magique, mais rien ne prouvait que j'étais son style, ou bien même, une fille faite pour lui. Il méritait quelqu'un qui ne lui balancerait pas à longueur de journée des horreurs. Il lui fallait une fille simple d'esprit, moi j'étais un sac à problème, un casse pied, une rageuse, une rebelle... je ne suis pas la belle fille idéale et je pense que j'allais finalement finir seule en bonne sœur, enfin, si j'arrivais à arrêter ce foutu mariage. Je ferme les yeux et souffle un coup avant de les rouvrir et de plonger sérieusement mes iris dans ceux du Lowell. « Qu'est-ce qui t'prend à vouloir m'aider ?. T'as surement un peu de fièvre là !. » Je pose ma main contre son front histoire de vérifier cela. « Oublie cette conversation tu veux ?. J'suis peut-être un démon sans coeur, mais je reste une fille et le mariage c'est assez important pour une fille... Si j'veux mettre fin à mon mariage arrangé, c'est justement parce que je veux épouser quelqu'un que j'aurais moi-même choisi, quelqu'un qui m'aimera et me chérira malgré mon sale caractère... Alors n'dit pas ce genre de choses comme si ce n'était qu'une vulgaire signature sur un bout de papier... Quand tu comprendras mieux la signification d'un mariage, tu verras que la signature et le morceau de papier est aussi important que la vie que tu mèneras près de celle qui deviendra ta femme... Ce ne sont pas des trucs à prendre à la légère... en tout cas, pour moi c'est important. » Je roulais des yeux en regardant ailleurs. Peut-être que je restais encore vieux jeux, mais bon, pour moi c'était important voilà. « Je ne suis pas JALOUX. Je pense juste que tu ne peux pas sortir comme ça, j'ai pas envie. Et j'dis ça pour ton bien à toi, conseil de grand-mère. Il faut recouvrir ta gorge pour pas choper une rhino, et recouvrir aussi ... Toute la zone là. Je ne suis pas jaloux, j'm'en fous qu'on voit tes seins, tu fais ce que tu veux, t'es une grande fille. » Et voilà que monsieur recommençait avec sa tête de mule puissance mille. EGO SORS DE CE CORPS !. Sauf qu'il n'était même pas crédible, c'est un truc de ouf comment ses gestes et ses expressions le trahissaient. Mais quoi que je dise, ça ne changera pas. Du coup, je préfère aller me changer et revêtir le déguisement de Cléopâtre. Je me trouvais nettement mieux ainsi, on aurait dit une déesse, un petit ange, mais ce n'était clairement pas ce que j'étais, j'étais beaucoup trop rebelle pour un ange, par contre, ouai je pourrais m'identifier à un démon plutôt. « Pas mal. Et j'me rends compte que j'aurais jamais la carrure de Jules César. Si on était au temps des Pharaons, j'serais le serviteur aux petits soins pour sa Reine, celui qui s'plie, qui obéit, qui s'dit que c'est même pas la peine d'espérer rentrer un jour dans son arène. » Me fit-il savoir pendant que madame la déesse se mirait devant le miroir. Miroir mon beau miroir, dis-moi qui est la plus belle. Ouai bon c'était moi et pas blanche neige soyons clair. Finalement, je m'avance vers lui et avant de le dépasser, je m'arrête à ses côtés et je pose une main contre son ventre que je tapote doucement. « Arrête de te sous-estimer Bleeker... la carrure n'est pas le plus important. Tu serais surpris de savoir qu'un prince ou même un mannequin avec une tonne d'bados ou même un gosse de riche ne m'intéresse pas. Tout ça, le plus important c'est le coeur et l'intérieur de la tête... Et puis, t'as bien réussi à rendre Diamantika folle de ce corps... » Je lui lance un clin d’œil sur le coup, mais je me suis rendue compte de ce que je venais de dire...Du coup, je grimaçais avant de fuir rapidement la loge direction mon sac et mes talons. Faut que j'arrête d'être aussi honnête et laisser ma bouche s'exprimer sans mon autorisation.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)