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OUVRE DU BONHEUR ₪ COKA COLA

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Quuuuuuand elle me prend dans ses braaaas, qu’elle me parle touuuut bas, je vois la vie en … BLEU. BLEU. BLEU. BLEU. L’enfer avait une couleur, et pas celle qu’on imaginait. Le BLEU. Pourtant Cody avait toujours adoré le bleu. Avant, dans sa plus tendre adolescence, il avait dans sa collection de caleçons toutes les teintes possibles et inimaginables de bleu. Bon, après, il a grandi, Codynosaure aussi et forcément, il n’entrait plus dedans. Il avait beaucoup pleuré d’ailleurs, il les aimait bien ces caleçons. Sauf qu’aujourd’hui, il voyait les choses différemment ; LE BLEU C’EST LE MAL.
Revenons au début de cette soirée ; un concert organisé entre les Dunster et les Lowell. En toute honnêteté, c’est un Cody au bout du rouleau qui s’était pointé à ce concert en plein air. Pourtant, quand le staff Dunster le lui proposa, il sauta de joie ! L’organisation débuta avant qu’il ne rompe avec sa petite amie, il faut le dire. Mine de rien, ce facteur était très important. Mais la soirée vira en pipi de chat, en caca de mouton, en vomi de serpent et en règle de vache. Traduction ; ça dégénéra. Les Eliots débarquèrent pour foutre un bordel pas possible, un vrai attentat. Le pire, c’est qu’à la tête de ce petit troupeau de moutons bleus, se trouvait Diamantika. Cette même Diamantika avec qui il passa une nuit passionnée quelques jours plus tôt. Et elle s’était permise de se pointer avec un meeeec, sûrement un de ses amants, et de repartir avec lui sous les yeux abasourdis de Cody. Vous l’aurez compris ; sa vengeance serait terrible.
Le concert se termina prématurément et tout le monde partit. La scène, les coulisses, les loges, rien ne fut démonté le soir-même. Tout le monde était éprouvé par la succession d’événements et choisir de rentrer calmement chez eux, préférant reporter le démontage au lendemain. Tous ? Non, Cody fut le dernier sur les lieux. Il prit quelques minutes pour constater le massacre ; des kilomètres de câbles en pagailles, coupés, noués, éviscérés. Et touuuute cette peinture bleue qui surplombait la scène et l’herbe du campus (en plus de la chevelure et des fringues de Cody qui n’avait pas pu se nettoyer correctement à cause des installations sanitaires assez rudimentaires, même dans les loges). Il soupira. Et il était vraiment énervé. Du coup, immédiatement, il sortit son portable et envoya un message à Dia, clair et concis, pour que son cerveau d’Eliot puisse comprendre chaque mot sans s’exploser des neurones ; ’Toi, moi, coulisses. MAINTENANT.’ Normalement, elle viendrait. Si elle voulait son Codynosaure, elle se pointerait, ooooh oui. Bien sûr, il se doutait qu’elle ne viendrait pas dans la minute qui suivrait. Elle était probablement rentrée chez Dorian, ou bien à l’Eliot House. Elle était probablement encore en compagnie de ce type, donc il lui faudrait du temps pour s’en débarrasser. Et en plus, si elle était à poil en train de baiser son pote Eliot, elle mettrait encoooore plus de temps. Cette pensée lui fila la nausée en même temps que ça le motiva. Elle allait prendre cher. Et pas de la façon la plus agréable.
Cody prépara donc l’arrivée de Diamantika. Il se faufila dans les coulisses installées de part et d’autres de la scène et escalada les poutres métalliques qui se trouvaient à quelques mètres du sol et qui permettaient à la base de fixer les projecteurs, en hauteur. Il avait pris avec lui un seau rempli de peinture violette, 100% Lowell. A présent, il restait à cheval sur sa poutre et fixa le sol en tenant fermement son seau, attendant patiemment l’arrivée de Dia. Il n’y avait pas de raison pour qu’elle ne prenne pas une BONNE DOUCHE elle aussi. Il se vengerait. Et la vengeance serait terrible.
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COKA ಇ  tu m'aimes bien Codybabouin, ça crève les yeux
Quelle soirée, mais quelle soirée !. Ce soir, il y avait eu ce fameux concert organisé par les Dunsters et les Lowells et avec les bleus, nous avons pensé débarquer pour faire une petite retouche aux violets, on ne comptait même pas s'en prendre aux jaunes, seulement au cas où ils décidèrent de se mêler. Nous n'avions même pas débarqué pour jouer aux tyrans bien que cela nous avait quand même un petit peu tenté. Malheureusement, la situation nous avait échappée. Quelqu'un ou plusieurs personnes s'étaient amusées à saboter entièrement la soirée en faisant porter le chapeau aux Eliots. Nous-même, nous y attendions pas, nous avons même été les premiers surpris. Finalement, en remarquant que pas mal de monde s'étaient rassemblés autour de nous pour en arriver à un jeu de mains jeu de vilains, nous avons préféré nous casser avant qu'une bouteille en verre ne se casse sur l'un de nous. Et je n'avais pas envie de me retrouver à l'hôpital pour de petites farces. Comme ont dit, lorsqu'on attaque on y prend plaisir, mais lorsqu'on se fait attaquer l'envie de rire disparaît. Ce sont bien les lowells qui nous avaient aspergé d'eau avec le sourire béa n'est pas ? Alors pourquoi ne riaient-ils pas à notre petite blaguounette ? Et je ne parlais pas de l'eau, ni des comptines pour enfants qui avaient suivi. Simplement parce que quand c'est eux qui se font attaquer, c'est moins drôle. Sooooooo maintenant, ils pouvaient comprendre notre état lors de la HD. Bref, avec Phoenix, nous avons décidé de continuer la soirée chez un ami en commun qui organisait une soirée chic lui aussi. C'est pourquoi, j'étais rapidement montée dans ma chambre à l'Eliot House, pas le temps d'aller à l'appartement. Je me rinçais et enlevais la peinture bleue sur mes joues. Une fois propre avec une peau qui sentait le miel et la vanille, je me vêtis d'une longue robe noir à fente ouverte jusqu'à la cuisse, très plongeant au niveau de la poitrine et je n'avais pas mis de soutif parce qu'il n'en fallait pas à la robe puisqu'elle était exactement comme ça. Je bouclais légèrement mes cheveux et me refis un joli maquillage. Sauf qu'en rejoignant Phoe à sa voiture, mon tel sonna et un message de Cody s'affichait à l'écran. « Toi, moi, coulisses. MAINTENANT. » Je soupirais, partagée entre l'envie de le rejoindre et celle de partir avec mon ami. Et puis j'étais en rogne contre lui depuis qu'il avait serré la demoiselle dans ses bras ayant eu l'impression qu'il faisait exprès. Mais qu'importe, il m'avait quand même fait bouillonner de l'intérieur. Faut croire qu'il avait une trop grande emprise sur moi ce crétin !. « Phoe, j'suis désolé, vas-y sans moi parce que je viens de recevoir une petite urgence !. » Et l'eliot devait rapidement savoir de qui il s'agissait. Je laisse le jeune homme quitter le campus et quant à moi, je range mon tel dans ma petit pochette noir avant de me rendre sur le lieu du rendez-vous. Et... il n'y avait plus personne, mais par contre, tout avait été presque peint de bleu ici....WHAT ? Mais qu'est-ce qui s'était passé bon sang ?. Ne me dites pas que les conneries ont continués d'exister même après notre départ ? P'tain, on allait s'en prendre plein la gueule à l'avenir à cause d'un ou plusieurs crétins. Je soulève ma robe pour ne pas qu'elle se tâche et me dirige vers les coulisses où je cris le prénom de « Cody ?! » Mais toujours personne, c'était pourtant lui qui m'avait donné rendez-vous ici non ?. En parlant de ça, son message laissait à désirer. J'avais sentie comme un mécontentement, presque une grosse tension émaner du message.
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Cody avait une revanche à prendre et il la prendrait … MAINTENANT. Vous ne pouvez concevoir Ô combien il avait été blessé dans son égo en voyant Dia débarquer avec son gigolo de bas étage au concert, et en plus, comment elle ne l’avait carrément pas calculé. C’est vrai quoi, il comprenait qu’elle n’ait pas envie de s’afficher en public avec Cody, mais là, elle s’était vraiment foutu de sa gueule. Puis il était jaloux. Ouais, jaloux. Y avait de quoi, non ? Et après le cirque qu’elle lui avait fait pour trois gouttes d’eau au cours de leur Housing Day, Bleeker trouvait parfaitement normal qu’il se rebelle pour une douche de peinture bleue. Bref, Diamantika allait en chier des bulles carrées. Et BLEUES, les bulles.
Des bruits de talons se rapprochaient et claquaient sur le parquet improvisé des coulisses. Un parfum de femme émana et s’infiltra dans les narines de Cody qui reconnut immédiatement Dia. D’ailleurs, sa faculté à la reconnaître avec trois fois rien l’étonna quelque peu … Lui qui oubliait toujours tout, comment se faisait-il qu’il s’imprègne aussi vite de détails aussi infimes quand ils concernaient Diamantika ? Brrrrr, cette pensée lui fila des mauvais frissons. Non. Il ne craquait pas pour elle. Pas possible. Son nez de Yorkshire qui frétille chaque fois qu'elle lui envoie son sourire ne lui faisait absolument aucun effet, ohhhh non. Puis, elle entra dans son champ de vision. Cody commença à pencher en avant le seau de peinture qu’il tenait entre les doigts, petit bout par petit bouuut … Le moindre millimètre était important ; s’il lâchait trop tôt, ça ne la toucherait pas et elle reculerait aussi tôt donc pas moyen de rectifier le tir et s’il lâchait trop tard, pareil. Il eut le temps d’apercevoir sa tenue ; une longue robe de gala au décolleté gargantuesque et ses jambes finement mises en valeur grâce à la tenue fendue. Elle avait quitté sa tenue de supportrice Eliot pour se transformer en James Bond girl et ce n’était sûrement pas pour Cody qu’elle l’avait faite. Double jalousie. C’est donc sans la moindre compassion qu’il renversa le seau et toute la peinture mauve s’écoula sur Dia qui passait juste au-dessous au BON moment. « LOWELL FOR THE WIN ! » s’écria-t-il en levant le poing en guise de victoire, toujours à cheval sur sa poutre. En plus, de là, il avait une vue imprenable sur le spectacle, MOUAHAHAH. Bizarrement, il n’était pas pressé de descendre. Il ne souhaitait pas spécialement se prendre la TornaDia en pleine poire.

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COKA ಇ  tu m'aimes bien Codybabouin, ça crève les yeux
Pourquoi est-ce que j'avais un mauvais pressentiment tout à coup ? Et s'ils avaient utilisé le portable de Cody avec l'accord du lowell pour me faire venir ici et se venger en m'attaquant et en me refaisant le portrait ? Dire qu'on avait simplement voulu faire une petite vengeance aux Lowells, je ne m'attendais pas à ce qu'à la fin, nous nous retrouvions avec de fausses accusations. Bon, même si le, la ou les personnes avaient bien bossé je dois avouer. J'avais bien aimé leurs farces, c'était comme s'ils avaient fait tout le boulot à notre place, mais tout de même, personne n'avait le droit de faire porter le chapeau à la Eliot House, nous ne le tolérons pas. Quoi qu'il en soit, j'avançais aveuglément et me disait que peut-être, il fallait que je rebrousse chemin, que c'était surement une farce et que si je ne décampais pas d'ici quelques secondes, j'allais me retrouver à l'hôpital pour coups et blessures. La dunster et la lowell house étaient capables, vu les attaques et menaces de tout à l'heure. Non mais ce sont des dangers public je vous jure. Il n'y a que nous qui avons la tête sur les épaules. Mais alors que je me retournais afin de rebrousser chemin avec le coeur qui battait à mille à l'heure, BAM, je me retrouvais totalement peint en violet. BERKKKK. Un cri de surprise s'échappa de mes lèvres alors que rapidement, celui de monsieur JALOUX ! résonnait aussitôt dans mes oreilles. « LOWELL FOR THE WIN ! » Immédiatement, je levais la tête en direction de sa voix pour le retrouver percher sur je ne sais quoi avec un seau en main. Cependant, je ne disais rien. Même pas un mot. Je fis sortir de ma pochette, ma mini serviette afin de me nettoyer le visage d'abord. Maintenant, je voyais mieux le Lowell. Je me regardais avant de passer mon sac sous mon bras et d'applaudir. « BRAVO BRAVO BRAVO ! J'espère que là t'es satisfait !. » Comme-ci j'allais me laisser faire. Je retire prestement un talon de mes pieds et le balance de toutes mes forces vers le lowell, sauf qu'il réussit à esquiver, mais rapidement, je m'empare du second talon et le balance en visant mieux ma cible et BAM ! PRENDS ÇA DANS TA POIRE !. Cette fois-ci, je réussis mon coup parce que le talon heurta son crâne. DIEU EXISTEEEEEEEE AMENNNNN. « ESPÈCE DE CRÉTIN A CERVELLE D’ÂNE ! Non mais ça ne va pas ! T'as taché ma si belle robeeeee, je n'peux même plus me pointer à cette soirée avec Phoenix !. » Laissais-je sous-entendre en petite pique, du venin, ouai c'est ça, je crachais mon petit venin attendant maintenant qu'il se propage dans le corps du lowell. J'étais hyper jalouse, alors je voulais qu'il le soit également. Il n'avait qu'à pas tripoter l'espèce jaunâtre sous mon nez.
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Son plan marchait comme sur des rouletteeees lalalalaaaaa. Dia, ainsi recouverte de peinture violette, ressemblait à un magnifique cupcake bien crémeux. Ou à un préservatif géant, c’est vrai que ça avait la couleur et limite la forme vu que ses cheveux étaient totalement imprégnés de cette texture gluante. Mmmmmmh, Cody ne s’appelait pas Picasso mais il avait la nette impression que ça faisait un moment qu’il demandait à être ouvert ce pot. En tout cas, Dia portait admirablement bien le violet, elle devrait demander cette pigmentation de peau quand elle ira voir son chirurgien esthétique, après que les Dunster et les Lowell lui aient refait le portrait. Et ce serait un mal pour un bien là ! Elle pourrait se faire refaire le nez, disparaître son double-menton, et grossir ses seins. Tssss, maintenant que Cody la voyait d’en haut, tous ses petits défauts apparaissaient, et TRES PETITS en parlant de ses seins. Wesh. Cody l’avait mauvaise. Quoique son petit cœur d’artichaut retrouvait de la vigueur en voyant Dia aussi ridicule. « NOOOOOOOOON, j’voulais t’envoyer du jaune aussi, mais j’ai pas réussi à ouvrir le pot, c’est vraiment dommage ! » s’écria-t-il pour la narguer. Il repoussait le moment où il descendrait puisqu’il sentait qu’il l’avait vraiment veneeeeer la princesse de ses fesses. La preuve, elle se mit à lui lancer ses missiles-talons – j’parlais de James Bond Girl toute à l’heure mais matez auto-correction ; NON MATEZ PAS C’EST LA PROPRIETE DE CODY un peu, elle a même les gadgets – et échoua au premier coup. Le deuxième, euuuuh … BAM. Le trou noir. Cody grimaça laidement et tout son visage se plissa à la vue du projectile qui atterrit sous ses yeux, comme s’il le narguait. Le pire, c’est qu’il s’était reçu la pointe dans le crâne et que, mine de rien, un talon aiguille reste un talon en forme d’aiguille. Il passa la main sur son crâne et nota qu’il était éraflé. Décidément ; la première fois, il avait quitté l’Eliot House avec un gros suçon dans le cou et des griffures plein le dos, maintenant il avait un bindi d’indienne au sommet du crâne. MERCIIIIIIII. Mais pire que ça ; il perdit son équilibre. Bon, ça va, il se rattrapa en tenant fermement la poutre entre ses cuisses. Mais quand elle évoqua Phoenix – il se doutait qu’il s’agissait du constipador de toute à l’heure – son sang ne fit qu’un tour et, prit d’un spasme, il glissa et put, au dernier moment, agripper l’une des cordes qui pendaient depuis le plafond. Cody en mode Tarzaaaan, mmmh, que calor. Et non, Dia n’est pas Jane, Dia c’est Cheetah. La femme babouin. Il s’empressa de lui répondre ; « Phoe-quuuuuuuuuuui ? Ooooooh tu parles de Dracula, ton pote de toute à l’heure ? J’me demande si l’ail est un des composants de cette peinture, faudra que je me renseigneeee … Mais à ta place, j’ferai gaffe, il avait l’air bien pâle ton copain, j’pense qu’il a des soucis digestifs. Enfin ça ne me regarde pas, c’est votre vie. Et en général, j'suis aussi pour le pet dans le monde. » Non à part ça, il n’était pas jalouux. Dans un élan désespéré, Cody tenta de se hisser sur la corde. Il ne voulait pas descendre. Il ne voulait pas voir Dia en face de lui, et pas uniquement parce qu’elle était couverte de peinture et qu’elle l’étalerait inévitablement sur lui. Il ne voulait pas simplement parce qu’il était faible face à elle.

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COKA ಇ  tu m'aimes bien Codybabouin, ça crève les yeux
Au lieu de rester percher sur son arbre sa poutre le petit singe, il ferait mieux de descendre avant que je ne le fasse moi-même de la plus vilaine manière qui puisse exister. « NOOOOOOOOON, j'voulais t'envoyer du jaune aussi, mais j'ai pas réussi à ouvrir le pot, c'est vraiment dommage ! » Encore heureux que le pot ne se soit pas ouvert, sinon le violet et le jaune ensemble, mais BERKKKKKK, c'était du caca à l'état pureeeeeee. Par contre, le bleu et le violet, hum, c'était plus joli un indigo. 'Fin bref, l'heure n'est pas à la comparaison des couleurs. NOW, tout ce que je voulais, c'était qu'il descende et que je puisse lui sauter dessus et pas comme vous le pensez...hum...quoi que... Il était sexy avec tout ce bleu. Je chasse rapidement ces pensées de ma tête préférant plutôt lui balancer mes talons, au moins maintenant il connaîtra la pointure de mes pieds. Je loupais du premier coup, mais me rattrapais du second. Et ce n'était rien comparé à ce que je lui aurais fait s'il avait les couilles de descendre face to face. « Phoe-quuuuuuuuuuui ? Ooooooh tu parles de Dracula, ton pote de tout à l'heure ? J'me demande si l'ail est un des composants de cette peinture, faudra que je me renseigneeee ... Mais à ta place, j'ferai gaffe, il avait l'air bien pâle ton copain, j'pense qu'il a des soucis digestifs. Enfin ça ne me regarde pas, c'est votre vie. Et en général, j'suis aussi pour le pet dans le monde. » Mais putain ça crevait les yeux qu'il était jaloux. Seulement, ça serait blesser son égo de le montrer. Je m'en fiche et il m'énerve un point c'est tout. Je roulais des yeux en le regardant faire son numéro de corde. Cody serait parfait dans un cirque. Il préférait se hisser sur cette chose plutôt que venir à moi. Pourquoi est-ce que je n'avais pas d'arme ? J'aurais pu facilement couper la corde et voir cet homme des cavernes s'écraser comme une vulgaire mouche au sol. Bien que je n'aurais pas supporter le voir crier de douleur...ou pas en fait. QU'IL CREVEEEEEE JE M'EN FICHE !... Je dis ça, mais je suis certaine qu'au moment où il s'écrasera au sol en criant, j'oublierais bien vite que je m'appelle Diamantika et que je devais détester Cody. « Je parle de Phoenix, un homme galant qui n'oserait pas me faire de mal !. Et qu'est-ce qui te frustre le plus dans tout ça ? Le fait que votre soirée merdique ait tournée en comptines pour enfants par je ne sais qui ou le fait de m'voir débarquer avec lui ?. Non parce qu'il n'y a absolument rien entre en moi et Phoenix, c'est un ami et rien de plus... P'tain tu fais chier descends de là !. » Je ne sais même pas pourquoi je me justifiais en fait. Rhaaaa Dia t'es trop nulle, tu te fais griller plus rapidement qu'un steak. Et comme je voyais que monsieur aimait bien jouer les singes, je me dirigeais vers mes talons et les ramassaient. « Si t'as envie de t'prendre pour un singe, à moins que ce soit Tarzan, vas-y...'fin je m'en fiche, je te laisse à tes occupations et appelle la jaunâtre que t'as tripoté t'aleurs, elle sera ravie de jouer les Janettes !. » Lançais-je en tournant rapidement la tête, levant le menton et fermant les yeux tout en me dirigeant vers la sortie. Sauf que je n'allais pas partir, non, je montais sur la scène pour me cacher derrière une installation, le but étant qu'il descende enfin de son perchoir le CODYBABOUIN.
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Un groupe que j’affectionne particulièrement – je parle bien sûr de KYO – dit dans une de ses chansons ’quand on voit la Terre de l’espace on oublie ses problèmes’. Alors là, par expérience et VRAIMENT sans vouloir manquer de respect à ces génies de la musique qui ont juste tout compris à la vie, Cody pendouillait en haut d’une corde et il voyait mille et un problème. Problème numéro 1 ; le vertige. YOUHOUUU, il tournait sur lui-même comme un chaton pendu à un rideau, youhouuuu. Problème numéro 2 ; la capacité de ses bras à porter son poids semblable à la résistance d’une chaise de jardin en pleine tempête. Problème numéro 1001 (ouais, j’fais une ellipse des problèmes, parce que sinon on s’en sortira jamais et moi faut que j’aille dormir j’ai cours demain) ; le teckel violet enragé au sol qui attendait que ça que Cody lâche. D’ailleurs, Dia gueulait, genre comme si elle essayait de faire sortir les vers du nez de Cody. Sauf qu’il n’y a pas de vers dans le nez de Cody, donc elle risquait de bien galérer pendant LONGTEMPS ! Y a des tas de trucs bien dégueulasses mais pas de vers. « Le seul truc qui me fait chier, ce que vous vous soyez permis de saboter cette soirée. On n’était pas allé aussi loin à votre HD pourri. Tu me déçois. » fit-il en s’efforçant de rester dans le cadre strictement professionnel et ne pas déborder sur Phoenix … Mais la tentation était immense. « Et t’inquiète pas, il peut se passer ce que tu veux avec lui, j’m’en fous. » Après tout, Cody et Diamantika … Rien de sérieux. Il n’existait même pas de Cody et Diamantika. Cody et Diamantika vous dites ? Connais pas. Finalement, Dia tira sa révérence et décida de partir. Euuuuuuuh … NON J’CROIS PAS. Cody s’écria d’ailleurs, en tendant le bras dans le vide pour la retenir … Ouais, le mec il a cru qu’il s’appelait Spiderman et pfiouuuuut un fil d’araignée allait s’échapper de ses poignets pour attirer Diam jusqu’à lui. Mais dans la vraie vie, ça ne marchait pas, il avait surtout l’air d’un coup. « KOVACHE TU REVIENS ICI ! J’ai pas fini de t’engueuler, merde ! » C’est pas des manières ça. Elle la met où la politesse ? Dans son string ? Même pas sûr. Déjà qu’elle n’avait pas l’air de porter de soutif. Sans réfléchir aux conséquences, Cody se laissa juste tomber de la corde et s’écrasa par terre. Bonne nouvelle, il ne tomba pas sur le sol, mais dans un tas de cartons posés en bordel dans un coin, sûrement les emballages de toutes les installations techniques d’Alexia. Bleeker le clochard tenta de se dépatouiller du piège de carton dans lequel il venait de se fourrer et continua de crier ; « Ouais Dia, tu peux partir en courant mais sache que je te retrouverai ! » I will always find youuuuuuu. Cody devait passer pour un psychopathe. Non mais c’est Dia, elle le rendait complètement chèvre. Pour une Kovache, rendre un mec chèvre, c’est quand même un comble.

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COKA ಇ  tu m'aimes bien Codybabouin, ça crève les yeux
Putain on croirait entendre Norah et Allie se disputer pour un rien, Coka était l'exemple même du "Ils n'étaient pas toujours d'accord, en fait ils n'étaient jamais d'accord sur rien, ils se bagarraient tout le temps et ils se testaient mutuellement; mais en dépit de leurs différences ils avaient une chose très importante en commun, ils étaient fous l'un de l'autre..." Et cet énergumène me rendait complètement folle. Oui c'était plutôt folle hystérique dans le sens où j'avais envie de lui mettre mon poing dans la figure vous voyez le truc ? Mais quand je me trouvais face à lui et que je plongeais mes iris dans les siens, une envie irrésistible me brulait le corps, celle de l'embrasser. Alors expliquez-moi ce que cela voulait dire parce que moi j'étais totalement paumé. Et en plus de ça, viens s'ajouter ma jalousie, cette envie de refaire le portrait de chaque nana qu'il tripote et pourtant il était libre de faire ce qu'il voulait. Quoi que non, les règles étaient et sont qu'ils ne touchent à aucune autre personne, voilà tout. Bon, il n'avait fait que tripoter la demoiselle, mais n'empêche qu'il pouvait éviter de le faire sous mon nez. « Le seul truc qui me fait chier, ce que vous vous soyez permis de saboter cette soirée. On n'était pas allé aussi loin à votre HD pourri. Tu me déçois. » Même lui ne m'avait pas cru, great, verry great. Je n'en disais rien, cela me dépassait si vous voulez tout savoir. « Et t'inquiète pas, il peut se passer ce que tu veux avec lui, j'm'en fous. » Bah oui c'est ça et moi je suis KATE MIDDLETON !. S'il croyait que j'allais gober ça et de toute façon, je m'attendais à ce qu'il me mente pour sauver son égo. Je me rendais compte que j'étais beaucoup trop honnête avec lui, alors que ce n'était pas le cas de son côté et il en jouait tout le temps. Je me demandais s'il n'était pas temps de l'imiter en ravalant mon honnêteté moi aussi ?. Mais bon, je crains l'emprise que monsieur a sur moi. « FINE ! » Criais-je pour que ça lui entre par les oreilles puisqu'il s'en foutait de me voir avec un autre mec apparemment. « KOVACHE TU REVIENS ICI ! J'ai pas fini de t'engueuler, merde ! » Et bien non, moi j'en avais terminé. Je ne voulais pas rester une minute de plus ici, monsieur avait eu ce qu'il voulait en me rendant la monnaie d'une pièce qui ne m'appartenait pas. Ce n'était pas nous l'auteur de toute cette merde et je suis peinée de voir qu'il n'avait même pas cherché à écouter. Certes, il y avait tous les ingrédients réunis pour nous incriminer, mais MERDE QUOI ! Ce n'était pas nous. « Ouais Dia, tu peux partir en courant mais sache que je te retrouverai ! » Dit-il alors que je venais de me cacher derrière une installation. Doucement, je regardais à travers le rideau pour voir s'il était enfin descendu de son perchoir et ce fut le cas. ENFIN !. Talons en mains, pochette sous le bras, je rejoignis le lowell qui menait un combat acharné avec des...cartons. Là, on aurait dit un petit chaton. 'Fin, je m'avance vers lui et lorsque je fus suffisamment près, je baisse le regard vers sa personne. « Nous ne sommes pas les auteurs de l'apocalypse qui a menacé votre soirée !. Nous avons débarqué juste pour vous faire de petites moustaches bleues, on ne voulait même pas toucher aux Dunsters ! Mais vous êtes tellement DÉBILES que vous avez gobé tout ce baratin et vous nous avez accusé. Je te croyais assez intelligent pour savoir que nous n'aurions pas eu peur d'avouer que nous en étions les auteurs si cela avait été le cas !. Bon sang ! C'est de la Eliot qu'on parle là, cette maison n'a jamais eu peur de personne et si c'était nous les auteurs, nous n'aurions même pas cherché à nous justifier, bien au contraire !. » Je marquais une courte pause avant de soupirer et de reprendre en fixant n'importe quoi, mais pas Cody. « Ce qui s'est passé ce soir suit exactement le même schéma qu'à la soirée des cabots et mathers, quelqu'un a essayé de nous faire porter le chapeau tout comme il a fait porter le chapeau à mon frère et à Alexys et j'sais que mon frère n'aurait jamais fait ça... Oh et puis t'sais quoi, je perds mon temps à nous innocenter puisque ton choix est déjà fait et c'est plutôt toi qui me déçois...rien ne se cache, tôt ou tard vous verrez que nous y sommes pour rien... Bref... Est-ce que t'as fini Cody ? Ou est-ce que tu comptes m'envoyer à l'hôpital, si c'est le cas, fais-le qu'on en finisse... » Je m'approche de lui, reste immobile et droite comme un piquet en fermant les yeux que je serre très fort d'ailleurs. Prête à recevoir coups et blessures du moment qu'on en finisse avec ça.
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ALORS LÀ, il était totalement hors de question que Dia se barre comme ça. Piqué par la mouche de l’adrénaline, Cody lâcha purement et simplement la corde, quitte à se péter le coccyx en arrivant en bas. Par chance, il pouvait compter sur Alexia et son sens inné du rangement, qui s’était contenté de foutre dans un coin une pile de carton. Ça amortit sa chute, en plus de sa brioche Harrys (ou Pasquier ou la Brioche Dorée, mmmmh j’ai faim faut que je mange de la brioche) qui rembourrait pas mal son petit corps frêle. Peut-être que sa voix portait à des kilomètres et des kilomètres ou peut-être que sa voix agissait comme un ultrason chez Diamantika, toujours est-il qu’elle revint rapidement jusqu’à l’homme de sa vie (oui oui tu as bien lu) pour bien bien bieeeen l’engueuler. Elle mit au moins … PFFFFF, cent mots bout à bout ! Bon Cody ne les avait pas compté et il ne les avait écouté qu’à moitié. En fait, de là où il était (c’est-à-dire assis par terre vooooir le monde qui défile et n’avoir pour domicileeee qu’un bout de trottoir oooooh assis par terre OUVRE DU BONHEUR ₪ COKA COLA 1116103942 ), quand il levait la tête pour la regarder, il voyait surtout ses lèvres s’agiter. Or, ses lèvres, il les embrasserait bien. Bref, elle le perturbait et même pas à cause de son sermon quoi. Il fallait vraiment que Cody calme ses pulsions et dresse son Codynosaure qui frétille en l’unique présence de l’Eliot. Toutefois, même s’il n’écoutait qu’à moitié, il capta qu’appareeeemment les bleus n’étaient pas coupables de l’attentat au concert, blabla, elle racontait plein de conneries. Elle croyait vraiment que Cody était nez de la dernière pluie ? Que parce qu’elle avait un de la taille du Texas elle pouvait s’improviser shérif du dimanche ? Réponse ; NON. Quand il eut fini son combat acharné avec un carton sur lequel un ’FRAGILE’ énorme s’inscrivait en lettres rouges (fragile, comme son petit cœur à cet instant), il réussit à se lever. Entre temps, Dia avait fini son speech et fermait les yeux. Il ne comprenait pas très bien son délire, mais si les rides dessinées sur son front représentaient son âge mental, et bien Cody pouvait d’ores et déjà vous dire que dans sa tête elle avait 4 ans. ET DEMI. Wesh, chez Dia, même ses rides de vieillesse étaient chelous. « Et tu continues de me mentir ? C’est bon Dia, y a que toi et moi maintenant, tu pourrais au moins assumer, merde. » soupira-t-il, blasé de ces mensonges à répétition. Toutefois, il se reprit, pensant déceler le fond du problème ; « Je comprends, j’ai été con. J’pensais qu’avoir passé une nuit ensemble ferait que tu te comporterais moins comme une garce avec moi mais je me suis planté. T’inquiète, t’as pas à te justifier.  T’es ce que tu es, prédatrice, destructrice … J’vais pas perdre mon temps à te changer, ni à espérer. » Il baissait juste les bras. Toutefois, parce qu’il en avait et qu’il estimait l’avoir mérité après une soirée si catastrophique et parce qu’étant aveugle, il avait au moins une demi seconde de répit avant qu’elle réagisse, il s’approcha furtivement d’elle et pressa ses lèvres contre les siennes, caressant et se délectant de leur doux nectar. Puis il recula d’un pas et pointa du doigt la loge au fond des coulisses ; « Tu trouveras de quoi te débarbouiller là-bas. Bonne soirée Kova. » Il ne se voyait pas rester plus longtemps avec cette fille qui lui mentait et se foutait bien de lui.

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COKA ಇ  tu m'aimes bien Codybabouin, ça crève les yeux
Je voulais qu'on en finisse maintenant et qu'on en parle plus, parce que jamais pour personne, mais alors personne, je ne m'étais autant justifié, il était la première personne pour qui je tentais d'éclaircir les choses, de m'innocenter parce que justement, je ne voulais pas que ses yeux me regardent de cette manière. Le pire dans tout ça, c'est qu'il ne me croyait même pas, j'avais l'impression qu'il balançait tous mes mots à la poubelle sans même prendre le temps de m'écouter. Ça me foutait encore plus les boules, je n'aurais pas pensé qu'il serait ainsi CON CON CON, les petites concombrettes OUVRE DU BONHEUR ₪ COKA COLA 1116103942 « Je comprends, j'ai été con. J'pensais qu'avoir passé une nuit ensemble ferait que tu te comporterais moins comme une garce avec moi mais je me suis planté. T'inquiète, t'as pas à te justifier. T'es ce que tu es, prédatrice, destructrice ... J'vais pas perdre mon temps à te changer, ni à espérer. » Dans tout ce qu'il disait, il y avait au moins une chose de très véridique, il était con !. Mais pas pour les mêmes raisons, juste parce qu'il était tout simplement aveugle. Non pire que ça, parce que même un aveugle pourrait y voir plus clair dans mes gestes et dans mon regard, mais surtout, il n'aurait même pas eu besoin de voir tout ça, le son de ma voix aurait suffi à lui prouver. J'étais sur le point de lui marquer la joue d'une claque pour essayer de le réveiller de tous ses films qu'il se faisait seul dans la tête, mais il me prit de court en posant ses lèvres sur les miennes. Là, j'ouvrais grand les yeux, lâchant rapidement mes talons et ma pochette au sol. Je le déteste. Il n'avait pas le droit de faire cela après tout ce qu'il venait de dire. Mais putain ce que j'aimais sentir ses lèvres sur les miennes. Mon coeur démarra au quart de tour, cognant beaucoup trop fort ma poitrine et c'était la première fois que cela se faisait en sa présence. Peut-être que c'était le fameux "élément déclencheur" comme beaucoup le disait. Il quitta bien trop rapidement mes lèvres et pour cause, j'avais encore les lèvres légèrement tendu, le regard perdu dans le vide, comme si mon corps était là et mon âme, ailleurs. « Tu trouveras de quoi te débarbouiller là-bas. Bonne soirée Kova. » Je reviens rapidement à moi en baissant immédiatement la tête et lorsque je la relevais, je sentais une larme se hisser sur ma joue sans mon autorisation. Mais WTF ? Je posais quelques doigts sur ma joue pour enlever ce truc et la caresser du bout des doigts, oui, c'était bien une larme et ce n'était pas possible. Faut croire que j'étais blessée au plus profond de moi. « Qu'est-ce qu'il faut que je fasse pour que tu m'crois merde ! » Ce n'était pas moi là, ce n'était pas Dia, la Dia complètement sûre d'elle qui n'avait que faire des mecs dans son genre. Sauf que j'étais plus vulnérable qu'un moustique à cet instant précis. Je regardais la poutre d'où se tenait tout précédemment monsieur le singe. Je marchais a pas pressé dans le but de grimper à mon tour. Je ne supportais pas la hauteur, mais je n'avais pas tellement le choix. C'est tout ce que j'avais trouvé pour l'obliger à réfléchir cinq secondes. Avant d'arriver tout en haut, ma robe se coinça à un bout de fer et se chérira tout le long de mes cuisses. Je m'en fiche. Une fois là-haut, j'essayais de marcher équilibré, mais non, je fus bien vite rattrapée par un vertige. Je m'agrippe immédiatement à un autre fer, plaquant également mon front sur ce dernier et fermant les yeux. « J'ai été honnête avec toi la nuit où nous avons couché ensemble, j'suis quelqu'un de directe qui n'a pas peur de dire tout haut tout fort ce que je pense, alors si j'avais saboté votre soirée, je te l'aurais dit Cody, je n'aurais pas eu peur parce que je suis comme ça... Je ne vais pas mentir et encore moins te mentir... toi... P'tain arrête de faire ta tête de mule... Je m'suis ouverte à toi par rapport à mon ex...t'crois que je l'aurais fait si je n'avais pas sentie que j'pouvais te faire confiance, ou si, je ne voulais pas être honnête ?. Qu'est-ce qu'il faut que je fasse pour que tu m'crois ?. J'ai pas l'habitude de faire ça, pas l'habitude de me justifier autant... Pas l'habitude d'être aussi vulnérable... Mais qu'est-ce que tu m'as fait !. » Pour cause, j'étais perchée à mon tour comme un singe, ou plutôt comme un Koala accroché à sa branche. Je tremblais comme une feuille et cela se voyait au son de ma voix. Moi qui comptais le menacer de sauter s'il n'arrêtait pas de faire sa tête de mule et qu'il prenait le temps de considérer au moins mes mots en me laissant le bénéfice du doute, c'était raté. Me voilà prise au piège de mon vertige et ma phobie des hauteurs.
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