KENYA ♥ I miss the taste of a sweeter life

"Ouais je sais c'est moche !" dis-je en essayant finalement de prononcer le prénom d'Anastasiya avec l'accent russe mais c'était devenu du yaourt, j'arrivais pas, je riais même en posant mon front contre son dos. L'orage était passé entre nous, c'était les montagnes russe et c'était le cas de le dire, un coup on se prendrait la tête, la seconde d'après limite on pouvait s'embrasser et parler futur. Sa main sur ma nuque, je redressais la tête posant mon menton contre son dos en la regardant, elle aimait mon accent, je pensais pas en fait si je le cachais c'était aussi en parti pour ça même si l'accent américain je ne le possédais pas vraiment c'était un mélange. "Bon d'accord, je parle comme ça sérieux parfois c'est dur de le cacher mais beaucoup de personne riait de mon accent quand j'étais au lycée, Apple ça l'a jamais dérangé parce qu'elle est belle et que les mecs la voulait quand même mais moi pour avoir une fille c'était dur du coup j'ai appris mais je peux laisser tomber sur celle que j'aime aime !" Et c'était le cas, je me sentais mieux, je parlais enfin comme je le voulais et ça me faisait un bien fou. Déposant un bisou sur son dos, je me penchais plus vers elle pour lui voler un baiser. "Remet toi, j'ai pas terminé…" murmurais-je avec ce fameux accent. Je reprenais là ou j'étais resté, faisant glisser un peu la serviette autour de sa taille pour qu'elle me dévoile le creux de ses reins et que je puisse masser l'entièreté de son corps et la naissance de ses fesses. L'odeur du monoi ne me déplaisait pas au contraire, je trouvais que ça sentait les vacances, le Brésil, notre lune de miel, de doux souvenirs.

CREDIT TO KAIJI FROM ILH

Il pensait que son accent était moche. Je le trouvais pour ma part, incroyablement sexy. Je tournais même le visage pour lui dire que je l'aimais et c'est à cet instant qu'il me faisait une confidence sur son enfance. Je suis certaine qu'elles s'en mordent les doigts maintenant ! c'est clair et net que toutes celles qui avaient déjà osés poser un lapin à Kenny ou bien lui dire tout simplement non, devait se ronger les sang en se disant finalement " et si ... si j'étais sorti avec lui à l'époque, peut être que nous saurions ensemble aujourd'hui, si je n'avais pas ri de lui, peut être que nous saurions ensemble aujourd'hui " Quant à moi, j'étais tout simplement heureuse, parce que je l'avais à moi et peut être que dans le cas contraire, si elles aussi avaient trouvés ça terriblement sexy, il ne serait pas là, en train de me masser. T'es largement mieux que ta soeur continuais-je. Bon peut être que j'étais pas la mieux placé, mais je pouvais décemment pas comparer une femme et un homme, le même sexe qui s'accouple, j'en avais horreur, alors je ne voyais pas vraiment les femmes comme elles étaient, parce que je ne les regardais pas. Comme on dit, il faut de tout pour faire un monde, j'aurais préféré que ce tout soit autrement. J'ai toujours eu un faible pour les hommes avec un accents .... suffisait de voir mes ex-rendez-vous, tous des italiens, des espagnols, des portugais, quand bien même il y avait des Russes dans le lot. Très bien .. dis-je en me remettant en place. Je fermais les yeux, alors qu'il descendait légèrement la serviette pour me masser sur les riens, à la naissance de mon fessier. T'es vraiment doué , je me sens toute ... reposé je n'étais plus nouée, j'étais divinement bien. Je me demande vraiment ou t'as appris ça c'est vrai c'était presque mieux qu'un professionnel. ça me rend toute chose

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Je souriais, elles s'en mordraient les doigts et moi je fus bien content que des femmes ont pu m'éconduire dans ma vie parce que finalement peut être qu'avec Anastasiya je ne serais pas là, je ne serais pas son époux, je ne serais qu'un ami ou qu'on ne se connaitrait pas car qui me dit que je n'aurais pas arrêté les cours l'année ou elle faisait son entré pour prendre la relève de son père. "Merci !" dis-je en la regardant toujours, je lui demandais de reprendre sa place, je m'occupais de son massage. Il était long, lent, sensuel un peu parce que je trouvais que c'était agréable pour moi aussi de m'occuper de ma compagne, de la toucher ainsi jusqu'à son fessier. "C'est le but…" J'étais concentré, mes mains sur ses reins j'appuyais des endroits stratégique pour qu'elle se dénoue totalement, j'en profitais pour remonter vers ses épaules et faire la même chose. "Je connais des points… ça te détend et en plus ça libère des hormones du plaisir…" Je l'avoue ce massage n'était pas tout à fait anodin, j'entretenais son plaisir ainsi en quelque sorte. "Et voilà !" dis-je en déposant un baiser au milieu de son dos, c'est limite si Anya n'allait pas me quitter pour rejoindre les bras de Morphée alors que je sortais mes plus beaux atouts comme mon accent désormais, mais aussi le fait que je laisse mes bras à sa vue, tout pour lui plaire.

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Merci de quoi ? j'étais un peu surprise, me remerciait-il de dire la vérité ? Je me remettais cependant rapidement à ma place, il me massait comme jamais un homme ne m'avait massé, ni même dans les centre de détente. Quoique c'était peut être mieux ainsi parce que ses mains se voulaient tellement sensuelles contre mes épaules, on dos, le bas de mes reins ... Il me détendait complètement, il m'expliquait un peu ce qu'il était entrain de faire, mais le fait qu'il m'explique qu'il faisait ça pour libérer également mes hormones du plaisir me faisait rire. Je te vois venir de loin, de très loin, c'est ce que tu m'as fait dans ce salon de massage en Thaïlande avoues, t'es en train de me manipuler pour que je te saute dessus dis-je faussement offusquée. Son baiser contre mon dos en guise de réponse me faisait sourire. Je me retournais, il était là, au dessus de moi, les bras tendus de par et d'autre de mon visage tandis que je faisais remonter mes mains du bas de son dos, vers ses épaules, profitant pour sentir ses muscles sous mes doigts. Si je prends du chocolat, tu crois que ça comblera ces hormones que tu viens de libérer ? soufflais-je en levant mon regard dans le sien.

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Grillé ! J'haussais innocemment les épaules. Non bien sur que non je faisais pas le même coup qu'en Thaïlande, non je ne massais pas ses reins exprès, bien sur. J'avais un petit sourire dans le coin et pour ne pas me faire avoir, je préférais embrasser sa peau pour qu'elle puisse oublier ce qu'elle venait de penser. "Non je crois qu'il te faut quelque chose de plus important…" murmurais-je en me penchant vers elle. "Je peux toujours t'aider…" Je frôlais ses lèvres avant de l'embrasser langoureusement, très langoureusement, encore la technique de Thaïlande ça, fallait le détonateur puis paff Anya allait me sauter dessus. Rompant doucement le baiser, je retirais mon débardeur pour être torse nu, j'étais toujours en tenue de sport, j'avais eu envie d'en faire mais désormais je préférais largement bien cette activité qu'elle me proposait. "Je suis heureux d'avoir accepter cette vie que tu m'offres, je sais c'est pas le moment de le dire mais… la Russie, Alessia, toi, ça vaux vraiment tout ce que j'aurais pu imaginer, ça vaux bien plus que l'Angleterre et…" dis en anglais alors que là j'essayais de parler en russe et j'y arrivais parfaitement pour dire. "Je t'aime ma petite femme totalement chiante comme moi !'

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J'arquais un sourcil, en le regardant, la mine interrogative. Me dis pas qu'il faut déjà que je passe au dessert ? C'est si efficace que ça ? je riais un peu, alors qu'il me proposais son aide Tu peux toujours m'aider oui mes mains se posaient contre l'arrière de sa tête, tandis qu'il venait m'embrasser, au début tendrement, avec que ce baiser ne soit d'une sensualité surprenante. Il ne m'avait jamais embrassé aussi langoureusement dans mes souvenirs. Je jouais un peu avec sa langue pour finalement déposer un rapide baiser contre ses lèvres en relevant vivement mon visage après qu'il l'ait rompu de la plus douce des manières qu'il soit. Je l'aidais à retirer son débardeur avant d'attraper la télécommande des rideaux pour les baiser ainsi que la lumière. J'étais déjà prête. Sauf que ce qu'il venait de me dire m'arrêtait complètement. C'était une belle déclaration. Tu veux pas plutôt dire , que tu es heureux que j'ai accepté la vie que tu m'offres ? Kenny tout ça, c'est grâce à toi. C'est lui qui m'avait fait ouvrir les yeux, qui m'avait appris à aimer, réellement. S'il ne m'avait pas, un peu forcé la main, je serais surement la femme la plus malheureuse au monde, mariée à Alekseï. Je te rappel que tu es celui qui m'a sauvé d'un mariage arrangé , si j'étais une princesse ... ah mais attend, j'en suis une... ça fait de toi mon preux chevalier lui dis-je en enroulant mes bras autour de son cou, pour lui caresser le dos du bout de mes ongles. Je t'aime aussi dis-je en essayant de refaire son accent anglais, mais c'était peine perdue. Je riais un peu en cachant mon visage contre son torse. Ce soir ... je te promet, la soirée la plus romantique qu'il soit, tu vas aller faire ton jogging avant le diner, le temps de me laisser tout préparer et je m'occupe de tout je n'étais pas celle qui faisait des surprises dans notre couple, bien au contraire. J'étais toujours celle qui vivait les surprises et ce soir, si je pouvais organiser un petit quelque chose pour lui, ça me plaisait bien comme idée. C'est pour ça que je vais garder toutes mes charmantes hormones pour plus tard ... puis j'ai vu un jeu de carte, tu serais prêt à jouer avec ta mauvaise perdante de femme ?
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Je m'allongeais contre elle, je parlais et mon dieu ce que je pouvais me maudire par moment de dire ça maintenant mais je ressentais le besoin et surtout l'envie de lui dire à tel point j'étais content. Je me voyais vivre en Angleterre, prendre le boulot de mon père et il est clair qu'être père à mon âge et surtout marié ne me serait jamais venu à l'esprit, pourtant je ne regrettais rien surtout pas la Russie, pays qui allait m'accueillir. "Je t'ai pas sauvé Anya…" dis-je en lui caressant le visage. "Tu as un caractère bien trempé, tu aurais dis non à un moment donné de ta vie, tu aurais tout claqué mais écoute si je peux avoir le bon rôle je vais arrêter de râler !" riais-je en déposant un baiser sur son nom. "Moi ça me va d'avoir le rôle du prince, j'espère juste que je suis pas le prince niait à souhait !" dis-je avant de faire des gros yeux. Elle faisait l'accent anglais, c'était tellement moche avec son accent russe ça faisait tout un mélange bizarre et c'était à la fois drôle et vexant. "Jamais Anya !" riais-je. "Plus jamais tu refais ça !" je continuais de rire tout en l'écoutant. Une soirée rien que pour moi et organisé pour moi, Anya faisait souvent des surprises mais dans la chambre, le diner ou le reste c'était souvent moi, tout le temps en fait, j'étais bien heureux de l'entendre dire ça limite excité. "Je dis pas non, je suis curieux en plus de voir tout ça même si ça me fait bizarre ! En plus, je suis prêt à jouer avec ma mauvaise joueuse de femme, je suis un peu sado maso et si ça se finit mal, je ferais jouer le fameux pacte que l'on a dit au Brésil ! Dispute= réconciliation sous la couette et deux fois là !" Je me levais finalement, m'étirant un peu. "Avoue que tu veux que j'aille courir soit pour que je me perde et que tu réussisses enfin à me tuer, soit pour tes besoins personnels !" dis-je très coquin.

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T'as pas compris l'enjeux que c'était pour moi n'est ce pas ... je fronçais un peu les sourcils, je regardais mes doigts caresser sa peau, les cheveux sur sa nuque. Ce mariage, avec Alekseï, c'était pour garder la couronne. La famille d'Alekseï revendiquait le trône, parce qu'ils sont parents lointain de mes ancêtres aussi .. alors la seule solution pour qu'il n'y est pas d'histoire et que je puisse prendre la place qui m'était dû c'était de faire ça. Sauf que je suis tombée amoureuse de toi. J'ai dû trouver un stratagème pour le déshériter. C'est pour ça que j'ai engagé deux prostitués pour le piéger, le filmer et envoyer tout ça à son père ... j'aurais pu, ne pas être fière de ce que j'avais fait, mais à vrai dire je l'étais. C'était pour lui, pour nous. Son père l'a reçu, c'est pour ça qu'il est parti un petit moment, puis finalement, miraculeusement, il a décidé de renoncer au trône et de vivre de sa passion pour la cuisine dis-je en haussant une épaule. Je me fichais bien ce qu'il pouvait faire, parce que pour ma part, j'étais heureuse, avec l'homme que j'aime et j'allais faire ce pour quoi j'étais destinée. Ce trône, c'est ce pourquoi je suis faite. Tu penses que mon père me pousses, m'a façonné pour ça. Oui c'est vrai, depuis que je suis petite, depuis que je suis née c'est comme ça, mais je le veux. C'est important pour moi, alors j'aurais tout fait pour protéger mon patrimoine, quitte à me marier avec Alekseï si mes plans n'avaient pas marchés et je me serais pas permise de me laisser t'aimer, alors oui Kenny, tu m'as sauvé après mon long monologue sur ce qu'était ma vie, notre histoire, je marquais une pause pour reprendre ma respiration avec un petit sourire sur le visage. Hum ça dépend des moments dis-je en riant, tandis que je fermais les paupières comme pour ne pas voir ce qu'il allait me faire. Très bien, je le ferais plus dis-je en levant mes mains, comme pour plaider coupable Comment ça deux fois ? demandais-je en faisant courir mon index sur son épaule, puis sur son bras pour remonter automatiquement. C'est pas dans mon intérêt tout ça.. sinon j'aurais organisé un diner pour rien

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J'étais pas conscient de ce que j'avais pu faire, de ce qu'elle avait du faire pour que notre couple se forme. Je l'écoutais attentivement, je prenais note que le trône pour elle était important mais pas important parce qu'elle avait été façonné ainsi mais parce qu'elle le voulait. Je souriais un peu, baissant la tête, mon dieu ce que finalement c'était dérangeant d'entendre tout ceci, je me sentais gêné. Je ne savais pas quoi répondre, mes mains emprisonnaient son visage pour l'embrasser tendrement, c'était la seule et unique réponse que je pouvais lui donner ainsi que celle que j'avais pu lui dire lors de notre mariage, je la rendrais heureuse. "tu me dois deux fois, deux réconciliations !" dis-je en la laissant me toucher, je passais ma main dans ses cheveux moi aussi, je la regardais comme on voyait une œuvre d'art avec attention et intérêt. "Pour la crise de jalousie d'hier et aussi pour là tout à l'heure quand tu as dis que j'étais chiant !" Je me levais, n'oubliant pas de l'embrasser rapidement pour mettre mon débardeur, j'avais besoin de me défouler, le stresse de mon examen se faisait ressentir et tout ceci, nous, notre dispute me mettait un peu les nerfs, j'avais peur de la perdre. "Je te laisse faire tout ça alors… Fais quelque chose de simple et rapide, je sais pas si je pourrais me retenir de t'embrasser !" dis-je après avoir emprisonné de nouveau son visage entre mes mains, je lui volais un baiser puis un autre avant de soupirer. "Je m'en vais !" J'essayais de m'en convaincre oui oui car je partais pas du tout. "J'aimerais bien qu'on discute en plus ce soir de plusieurs trucs, bon cette fois, je m'en vais vraiment !" riais-je en mettant mon iphone autour de mon bras.

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Oui mais t'es vraiment chiant dis-je avec un large sourire. Je me laissais tomber sur le lit, en le regardant s'habiller. Je remontais le drap contre mon moi, c'est que j'avais un peu froid ainsi et que mes muscles se refroidissaient rapidement après le massage. Kenny .... il est juste midi et le repas c'est ce soir ... je compte pas m'y mettre de suite tu sais dis-je un peu surprise tout de même, fallait-il que je commence maintenant ? Ca prenait autant de temps ? mais on devait jouer aux cartes dis-je en laissant retomber mes mains contre mes jambes, alors que je les avais posé contre ses joues lors de notre baiser. Pourquoi diable voulait-il partir maintenant ? J'attrapais la chemise de Kenny que j'avais porté ce matin pour l'enfiler et enfin sortir du lit. Il pleuvait dehors, à croire que nous allions devoir rester enfermer. J'espérais tout de même qu'il allait faire beau ce soir, que Kenny puisse sortir, qu'il puisse s'échapper afin que je prépare ma surprise. Je n'avais aucune idée de comment j'allais faire tout ça, de ce que j'allais faire à manger. Je pensais plus à commander chez un traiteur, parce que c'était censé être quelque chose d'élaborer un diner romantique non ? Mise à part des salades et quelques petites choses que Kenny m'avait apprise, je n'étais pas un cordon bleu.

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