KENYA ♥ I miss the taste of a sweeter life

Je la prenais dans mes bras, je caressais ses cheveux, depuis qu'on était dans le petit chalet tous les deux, depuis la dispute surtout on se retrouvait totalement comme au premier jour pour ma part ou je ne pouvais pas m'empêcher de la toucher encore et encore. Mes doigts glissaient dans son longue chevelure blonde, mes lèvres se posaient sur le sommet de son crâne à plusieurs reprises, je ne m'en lassais pas. "Bibounet, ça va me poursuivre toute ma vie ça !" dis-je en hochant négativement la tête. "Evite de dire ça devant notre fille, sinon niveau autorité j'en aurais jamais !" Je riais, déjà que j'en avais pas énormément alors qu'elle avait 7 mois, j'osais pas imaginer ce qui arriverait plus tard. "Je voulais pas te faire la moral juste… Non rien !" Autant pas se prendre la tête, elle avait l'air énervée pourtant ce n'était pas un ordre ou la moral que je lui faisais, je la mettais un peu en garde parce qu'égoïstement je voulais l'avoir en bonne santé pour toute ma vie, je voulais pas qu'elle souffre tout simplement. "Déjà je veux un bisou après… Je te dirais bien qu'on aille pécher tous les deux mais ça serait gâcher mon truc du coup je réfléchis !" dis-je en frottant mon nez contre le sien. "Mon bisou je l'attend !" Et mon téléphone sonnait. Igor. Je reconnaissais la musique, celle qu'on mettait dans les films pour prévenir qu'un meurtre aurait lieu bientôt, elle vous glaçait le sang. "Ah attention papa Dragon est au téléphone !" dis-je en décrochant, je gardais ANya bien contre moi. "Allo ! Oh bonjour !" Je mettais le haut parleur, Igor avait apprécié mon interwiew hier soir, il avait regardé je fus surpris. "Merci !" dis-je dérouté. "Oui Anya a des soucis avec son téléphone, il a tendance à s'éteindre ou plus répondre quand on tape dessus c'est ce qui est arrivé hier !" Cachons la vérité, cachons là bien au fond d'un tiroir.

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J'adorais lorsqu'il me caressait les cheveux, je ne l'avais jamais dis mais j'aimais ça, je trouve ça si tendre. Un beau geste. Bien sûr que ça va te poursuivre toute ta vie, je me rappelle de ce jour comme ci c'était hier je croissais même comme une grenouille avant de lui faire un petit clin d'oeil en zippant mes lèvres, comme ci ce secret ne sortirait jamais d'ici Oui mais, je suis certaine que ta mère me devancera sa mère, ou la femme qui n'avait honte de rien, qui m'avait parlé de mes seins pendant ma grossesse sans oublier des positions que nous pourrions éventuellement prendre au lit pour éviter que je ne souffre à cause de mon ventre de femme enceinte à l'époque. En pensant à cela, je secouais la tête comme pour effacer ce terrible souvenir, gênant de ma mémoire. VETO VETO VETO m'écriais-je en parlant de la pêche. Je l'avais déjà posé non ? En tout cas si ce n'est pas le cas, je le faisais maintenant. Je me penchais en arrière, posant mes mains contre l'arrière du crâne de Kenny afin de l'embrasser comme il me l'avait demander, un rapide baiser. Comme ça ? demandais-je avec un petit sourire en coin, bien que je savais que ce n'était pas ainsi qu'il aurait aimé que je l'embrasse. Mon père appelait Kenny. Mes yeux s'agrandissait vers la fin. What, je pinçais la jambe de Kenny afin qu'il ne dise pas de connerie, mais ça va, il gérait la situation, alors, je me décidais à me lever. J'étais toujours sur ma marche, debout devant Kenny et je baissais mon short en attrapant mon boxer au passage, puis dans la foulée je faisais tomber la brassière pour me retrouver complètement nue devant lui, puisque mes basket avait volés aussi. Je lui montrais mon tatouage, je posais même son index, à lui, dessus, avec un petit sourire aux lèvres, tandis que je le basculais sur le planché du porche avec un sourire aux lèvres. Mon pauvre père, s'il savait ce qu'il se passait à chaque fois. En tout cas j'espérais juste qu'il n'y ait aucun randonneurs dans le coin et que nous étions bien seuls.

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"Ta perdu ! Je décide !" Bon la pêche on oublie, je lui montrerai un poisson mort plus tard, je lui jetterai même dessus. Mes mains toujours dans sa chevelure, je fronçais les sourcils à son baiser. "C'est tout !" dis-je très sincèrement alors là il est clair qu'on voyait bien que j'avais pas du tout gérer mes sentiments que c'était très spontané. "T'es radine en bisous !" pestais-je avant de sortir mon téléphone. Oh Igor ! J'en revenais pas, je mettais le haut parleur alors que j'étouffais un crie de douleur quant elle me pinçait, je la fusillais même du regard. "Non nous ça va Anastasiya et moi on a prévu un petit week-end à deux, on avait besoin de se retrouver ensemble…" Igor comprenait, il cherchait pas à comprendre plus loin me parlant de la télévision, du fait que j'avais bien parlé du pays, qu'il était content enfin il le disait pas clairement mais j'en avais l'impression. J'aimais bien les Kataieva et encore plus quand celle que j'avais épousé faisait ça, elle se mettait nu devant moi, c'est fou ce qu'elle était capable de faire tomber ses vêtements très rapidement. Mes yeux étaient grands ouvert, j'avalais ma salive alors que je clignais à plusieurs reprises des yeux. "euh ouais bien sur…" dis-je perdu. J'avais chaud mon dieu, elle avait mit mon index sur elle et là j'avais une vague de chaleur énorme mais énorme que quant elle me poussait en arrière je me perdais complètement. Tout allait vite en moi, très vite, Kennytosaure était déjà au taquet pour tout vous dire et Igor bien je l'avais oublié presque. "Kenny vous m'écoutez ?" dit-il. "Oui désolé je suis assez d'accord avec vous !" Et il parlait encore. Dieu coupé le réseau !

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Il fallait bien que je me venge de ce qu'il m'avait fait à New York, alors pendant qu'il parlait à mon père, j'en profitais pour me déshabiller. J'attrapais l'index de Kenny pour le poser à l'endroit même du tatouage qu'il aimait bien effleurer, toucher, caresser et je le fis ensuite basculer en arrière. J'avais bien vu sa réaction, je sentais bien sa réaction et ça me faisait sourire. Il était perdu, il n'écoutait plus mon père alors que pour ma part, j'attrapais cette main dont il ne servait pas pour la poser contre mon fessier. Je lui enlevais son débardeur blanc en tirant dessus. Ce n'était pas très solide, tant pis, il en avait d'autre et c'était incroyablement sexy. Je déposais des baiser au creux de sa gorge puis je descendais le long de son torse. Arriver à son short de sport, je tirais dessus avec mes dents mais comment dire que ça ne venait pas. Alors je le retirais avec mes mains bien rapidement. Je remontais le long de ses jambes en faisant glisser mes lèvres vers un petit endroit particulier pour finalement remonter vers ses lèvres que j'embrassais langoureusement. Je me frottais contre lui sans ménagement, sans aucune gêne, puis finalement je me levais. Je lui faisais un clin d'oeil, j'attrapais ses vêtements, nos vêtement pour rentrer à l'intérieur et fermer la baie vitrée en le laissant ainsi, tout nu, en forme, dehors. Après avoir souffler contre la vitre afin de créer de la buée, je dessinais un coeur en y déposant ensuite un baiser dessus. Je restais là, face à lui, en tenue d'Eve et j'attendais juste qu'il fasse quelque chose, sauf que je n'avais pas penser à la porte de devant qui était ouverte , peut être que lui non plus, sinon que dieu me préserve (aa)

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Perdu le mot prenait tout son sens. Anya se comportait comme une lionne, elle se frottait à moi, elle arrachait mes vêtements, elle m'embrassait, je me laissais faire comme une marionnette, je me laissais faire en aimant totalement cet acte si surprenant. J'avais des grands yeux vous savez les grands yeux qu'un enfant pourrait avoir le matin de noël et moi mon cadeau c'était Anya et moi je n'allais pas la déballé mais bien l'emballer en répondant langoureusement à son baiser, en glissant ma main derrière sa nuque en lui faisant sentir toute mon anatomie contre et en la voulant ici et maintenant. Igor parlait, je faisais des petits bruits mais pas pour lui seulement j'avais l'impression qu'il pensait que si. Mon cœur s'emballait quant je la sentais si proche, son bassin contre le mien, la manière d'onduler, mon dieu, je… J'étais paumé, j'avais envie de la retourner, de prendre le dessus, de m'introduire en elle seulement ce qui arrivait ensuite me laissait sans voix. Elle se levait prenait les vêtements, elle partait carrément en me laissant nu avec un débardeur déchiré, je… Quoi ! J'en revenais pas, quand je prenais mon téléphone je la voyais me faire un cœur sur la vitre. Je détestais quant elle faisait ça, ce n'était pas la première fois, elle avait fait y a même pas un mois et je lui avais bien dis que je n'aimais pas être sa marionnette. "Oui je comprends d'ailleurs je pense que je viendrais vous voir pour le projet vous connaissez bien le terrain…" Je la regardais plus, j'étais frustré déjà et puis courir derrière elle non, j'avais envie aussi parfois de sentir qu'elle me désirait, oui j'avais eu un aperçu mais je la voulais totalement. Je raccrochais le téléphone quelques secondes plus tard avant de faire le tour de la maison pour rentrer. Tout était au grade à vous, je regardais Anya et je montais pour aller prendre ma douche sans même me cacher que je me toucher un peu (Oui un tout petit peu ./. ) en montant les marches avec une démarche incertaine.

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Je voulais l'embêter un peu, je voulais le voir me supplier de le faire entrer, je voulais, juste qu'on s'amuse un peu sauf que Kenny avait l'air de le prendre mal. Je le regardais partir à droite, j'ouvrais un peu la baie vitrée pour y passer ma tête et voir ou est-ce qu'il avait disparu mais rapidement j'entendais la porte de l'entrée. DAMN IT, je l'avais oubliée celle-la. Pourquoi fallait-il qu'il y est deux portes sérieusement. Je me tournais pour le regarder, en laissant glisser mon index le long du canapé, en sifflotant un peu comme si de rien était, comme si j'étais innocente dans l'histoire, sauf qu'il ne me parlait pas. Je le regardais avancer , difficilement, je voyais même sa main. Dear Lord. Hey arrêtes de faire ça c'était pas vraiment plaisant de le voir sans arrêt. Enfin quand je dis sans arrêt j'exagère un peu, mais tout de même. Je le rattrapais dans l'escalier pour le retourner face à moi en levant les yeux au ciel. Allée Babe c'était juste pour rire le prend pas comme ça, je voulais juste te mettre en difficulté parce que t'étais au téléphone avec mon père ... parce que tu m'as fait la même chose ... puis pourquoi tu parles pas, pourquoi tu ris pas pourquoi ... je parlais trop n'est ce pas ?

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Je faisais ce que je veux. Si j'avais envie je le faisais mais par respect, j'arrêtais. Je commençais à monter les escaliers faut dire que se faire planter comme ça personne n'aimerait, elle la première, j'avais bien vu sa tête la première fois quand elle disait qu'elle était frustrée, j'avais bien vu qu'elle avait mal prit bien moi aussi. Montant les marches, Anya m'arrêtait. Comment ça je ne devais pas le prendre comme ça ? Je ne répondais pas, elle posait des questions et des questions et tout ce que je voyais c'étaient des lèvres divines que j'allais embrasser. La seconde d'après je me jetais dessus, je la mangeais presque sur place, son visage emprisonné dans mes mains, je l'attrapais par les hanches pour qu'elle noue ses longues jambes fuselés autour de ma taille. Je perdais haleine durant le baiser alors que je la déposais sur la longueur du canapé avant de m'arrêter. Mes lèvres étaient en feu, je la regardais et je partais, j'avais passé mes mains sur sa poitrine, jouant de mes pouces en faisant roulé la pointe. "J'ai envie d'aller dans le jacuzzi…" Je parlais sensuellement, ma voix était remplit de gros sous-entendus, coquine et mes yeux je la dévorais sur place, j'avais envie limite de la prendre sur la table et en fait c'est ce que je faisais quant elle se levait, je ne pu m'empêcher de l'allonger sur la table pour la faire mienne.

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Peut être bien que j'avais exagéré. Bon ok, j'avais exagéré, mais j'avais envie de le voir dans cette situation, le voir se cacher de peur qu'il y est quelqu'un, le voir essayer de m'amadouer pour que je fasse entrée. Une crise de pouvoir ? Certainement, j'aimais bien me sentir puissante et autant dire que dans ce cas là. J'aurais été puissante si je n'avais pas oublier cette fichue porte déverrouillée de l'autre côté. Kenny faisait la tête il montait alors rapidement j'allais vers lui pour " m'excuser " à ma manière. C'est à ce moment là, alors que j'étais au beau milieu d'une phrase qu'il venait m'embrasser. J'étais coincée par ses mains sur mes joues. Il m'attrapait les jambes pour que je les noues autour de sa taille avant de redescendre pour m'allonger sur le canapé. J'avais les lèvres en feu, elles étaient limites brulante. Jouer a ce jeu avec Kenny était dangereux parce que je me faisais toujours avoir. Je manquais clairement de souffle, il fallait absolument que je respirer. Alors quand il détachais ses lèvres des miennes, je reprenais mon souffle. DEAR LORD, remembre, never play with Kovalevski. je crois bien que j'en ai envie aussi ... dis-je en me levant à mon tour pour aller dans le jacuzzi qui était à l'étage mais se fut sans compter la fougue de mon mari. Il poussait tout ce qu'il y avait sur la table pour m'y poser et passer au chose sérieuse je pensais que tu voulais prendre un .. je faisais les gros yeux en le sentant.

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Sur le coup ça me semblait une bonne idée, la prendre comme ça après un baiser qui m'avait brulé, consumé sur place, Anya poussait même un gémissement de plaisir, elle se taisait sous mon sourire éclatant jusqu'à ce que je m'arrête. "Non…" dis-je dans un souffle. J'étais déjà haletant, je penchais ma tête en arrière en prenant une aspiration et lâcher mon emprise sur elle. "Non… On peux pas…" murmurais-je en me détachant d'elle, je ne cherchais pas à me venger, pas du tout au contraire, Anya était une princesse et ça faisait de moi son prince, un prince qui faisait ce genre de chose si sauvagement, brutalement, limite très peu d'amour juste quelque chose de physique. "Tu mérites pas ça, je peux pas… te prendre sur la table comme ça, ça doit être… romantique !" J'étais à bout de souffle, les escaliers ou je l'avais porté puis le canapé, puis la table sans compter le désir très fort que j'avais pour elle. "On est pas un couple comme ça d'habitude…" je passais mes mains dans ses cheveux, mes yeux dans les siens, moi toujours en elle, mon envie plus que présente. "On va aller se le faire ce jacuzzi…" Quelque part ce geste c'était ma manière de lui montrer le respect que j'avais pour elle, l'envie de la rendre heureuse, qu'elle ne pense pas une seule et unique seconde que je la prenais juste pour son physique, je voulais plus, je voulais un moment qu'un couple amoureux pourrait passer.

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WHAT ?! Pourquoi ne pouvait-il pas. Je le regardais un instant sans vraiment comprendre ce qu'il venait de dire. Non, je ne voulais pas comprendre. De quoi non ? Je te suis pas ... Allez dis-je en le rapprochant de moi à nouveau avec mes jambes. Je tentais de le faire basculer, mais il y mettait de la résistance. Oh je t'en pris on a passer ce cap que se soit toujours romantique, non sérieusement ça me dérange pas , continus ! dis-je en bougeant un peu, sauf qu'il avait l'air perturbé par ce qu'il venait de faire. Je le regardais, un instant avant de me défaire complètement de mon cher et tendre et de me lever de cette maudite table. J'attrapais le plaid pour le mettre autour de moi cherchant mes vêtements du regard. Okay, t'es en train de te venger, je comprend, je comprend dis-je en haussant une épaule pour remettre ma brassière et mon bas de sous vêtement. Mais me dis pas que t'as eu envie de tout arrêter d'un coup parce que tu as une envie subite de faire un jacuzzi lui dis-je le ton accusateur, les deux mains sur les hanches, en le regardant de haut en bas pour m'arrêter au milieu Clairement, t'avais pas envie de t'arrêter

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