KENYA ♥ I miss the taste of a sweeter life

"Une blague Anya ! C'était une blague !" J'avais beau insisté, je sais que la blague avait été loin mais quand même elle abusait de m'en tenir autant rigueur. Je le prenais mal moi aussi, je voulais la voir mais non elle avait prit la notion de facilité après tout madame avait décidé de partir de là, elle n'avait même pas cherché à me voir en vrai sur le plateau. Elle retirait le t-shirt et mes yeux devenait un peu rond pendant quelques secondes. Je crois qu'en voyant Anya une écrevisse serait verte de rage tellement à coté elle ferait fade. "Mais ta rien compris en fait !" dis-je en la regardant. "Tu te casse la tête pour redevenir la reine des glaces, tu crois que j'allais dire la vérité ? Que tu es douce et gentille ? Tu crois pas qu'après les gens auraient continué à te craindre ? Franchement je sais pas t'es plus intelligente que ça mais là honnêtement ouais c'est pas facile de vivre avec toi !" Je soupirais, je fermais la valise pour partir dans la salle de bain prendre la brosse à dent, elle était au téléphone pour appeler un médecin, bah ouais elle avait gardée ce truc aussi, si elle était allergique pourquoi elle ne l'avait pas retiré une fois dans la chambre ? La connerie humaine. J'étais blasé et énervé par cette situation. Le médecin de l'hôtel ne tardait pas à venir, on était dans l'endroit le plus chic de New York, c'était pas surprenant qu'un médecin soit à la disposition des clients. "Bonsoir…" dis-je en le laissant rentré. "Elle dans la grande chambre !" J'allais pas aller avec lui, je lui indiquais alors que je continuais de ranger, c'est bon je crois que je n'avais pas fait de faux pas pour être autant engueulé.

CREDIT TO KAIJI FROM ILH

J'avais loupé un épisode ? Je le regardais en arquant un sourcil, totalement surprise. Je ne lui avais jamais parlé de ça. Je n'en avais parlé à personne d'ailleurs, je n'avais même pas commencer. Arrête de m'inventer une vie tu seras mignon je n'avais jamais mentionné ça, surtout pas à Kenny qui trouvait ça con, puéril . Il n'avait jamais apprécié toutes les manigances que je faisais. Non t'as juste préféré te foutre de moi devant l'Amérique entière, comme tous le plateau d'ailleurs, mais ça va Kenny, ton image à toi c'est le principal, elle est sauvegardé, que dieu te garde si la mienne est éclaboussé. Oui j'avais envie de faire ma reine des glaces à Harvard, mais je devais avoir une réputation un peu plus mature dans mon pays. J'allais surement entendre mon père me le dire à plusieurs reprise. Ce qu'il avait fait, ce n'était pas cool et si il ne s'en rendait pas compte, c'est que c'était un véritable idiot. J'appelais le médecin, je commençais à avoir des petits boutons. Ma peau ne supportais que les matière noble à croire, le polyester, le synthétique, c'était trop irritant. Il ne me parlait pas, ne venait même pas. J'étais en soutient gorge devant ce jeune docteur. A croire qu'il s'en fichait. Le médecin appliquait de la crème contre ma peau, ça me faisais fun bien fou, ça m'apaisait, un peu comme si on me mettait de la biafine après un énorme coup de soleil, tellement que j'en laissai échapper des petits soupirs. Oh mon dieu c'est tellement bon, ça fait du bien !

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"Oh arrête Anya pas à moi !" J'étais pas débile, je savais, je la connaissais, j'avais bien vu ses yeux satisfait sur son visage quand tout le monde était venue pour se plier en 4 devant elle, elle aimait avoir la puissance, elle aimait se faire craindre comme moi je pouvais aimé la musique, chacun son passe-temps. "Sérieux t'es lourde ! Je te dis que non mais bon tu vas resté sur tes positions, moi les miennes, on va encore plus se prendre la tête donc ça sert à rien de continuer !" Je coupais court à tout et elle aussi vu qu'elle appelait le médecin. Ce dernier qui ne tardait pas à venir, jeune, brun, les yeux vert, la barbe naissante, on aurait dit moi en plus jeune, je les laissais tous les deux. J'avais confiance en Anya même si les petits gémissements de plaisir que j'entendais ne me plaisait pas, je faisais mine de mettre des affaires dans mon sac rien que pour les regarder du coin de l'œil. "Je crois qu'elle est en mesure de le faire merci !" dis-je en voyant sa main se diriger vers ses seins. Fallait pas pousser le bouchon non plus, je pouvais accepter que quelqu'un comme lui pouvait lui toucher les bras, les épaules, le dos mais pas le buste certainement pas là. Le jeune homme se levait un peu déboussolé par le ton sec et autoritaire de ma voix chose inhabituel pour moi, il ne tardait pas à partir, j'étais jaloux, ça se sentait à 3 kilomètres.

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JPeut être que oui j'avais envie de retrouver ma réputation, de sentir la crainte chez les gens, qu'on m'appelle la reine des glaces de nouveau, mais je n'avais rien dit, alors je n'aimais pas qu'il me le balance en pleine tête Chéri, il me semble pas que tu sois dans ma tête, le jour où je le dirais à voix haute, tu pourras me le balancer en pleine tête, mais d'ici là, tu cesses d'inventer des choses ! je claquais la porte pour aller dans le grand salon, alors qu'il était dans la chambre. J'allais ouvrir au médecin qui arrivait rapidement, un beau brun aux yeux verts, la barbe naissante. Un Kenny 2.0 il me passait de la crème sur ma peau irrité, ça me faisait du bien. Tellement de bien, que je laissais échapper des petits soupirs, soupirs qui firent venir Kenny. Je voyais bien qu'il nous regardait mais je m'en fichais bien, il s'en fichait, il ne m'avait même pas proposé de le faire lui même. et moi je crois que j'arriverais pas à m'en mettre dans le dos, alors restez ! dis-je en regardant le médecin qui ne savait pas quoi faire, je fronçais les sourcils, avant de papillonner des yeux et le médecin se reposait sur le matelas pour continuer. Je m'allongeais sur le lit, sur le ventre. Vous devriez enlever votre soutient je l'enlevais, alors qu'il me massait avec la crème pour m'apaiser.

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Clairement quand je la voyais jouer à ce petit jeu, je trouvais ça dégueulasse, c'était un manque de respect total vis-à-vis de moi. Le médecin ne faisait qu'obéir aux règles, bizarrement je ne lui en voulais pas à lui mais plutôt à elle. Anya jouait souvent avec mes nerfs, elle était méchante sur ce coup c'est comme si moi je me laissais toucher sans rien dire, je sais pas elle aurait pu me demander. Oui on était en froid mais j'étais son mari, c'était à moi de le faire et non pas au médecin mais encore ce n'est pas forcément ça c'est plutôt le regard limite satisfait que j'avais vu sur son visage comme si elle cherchait à me piquer. Je les regardais sans complexes, sans gêne avant de prendre ma valise et de me tirer en fait, ouais elle m'en voulait et moi aussi finalement j'avais eu raison tout à l'heure, la dispute dégénérait et là clairement c'était pas sa faute. Je posais la valise face à l'entrée de la chambre revenant, pas pour prendre la sienne mais pour prendre mon téléphone et appeler la réception. "Oui une voiture c'est ça, la Mercedes que je vous ai demandé dans 5 minutes… Et quelqu'un pour prendre ma valise, merci !" Je raccrochais, je prenais ma veste en cuir que j'enfilais, elle pourrait se faire masser avec cette pâle copie de moi si elle voulait mais ça ne serait pas sous mon regard.

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Peut être bien que j'abusais, peut être bien que je faisais exprès pour l'énerver pour qu'il vire le médecin de grès ou de force, qu'il prenne sa place, mais non, il venait à côté de moi pour prendre le téléphone et appeler une voiture. Je ne le regardais même pas, alors qu'il sortait de la chambre ensuite. Je virais le médecin après, en faisant des gestes de main et en le mettant limite à la porte. Je soupirais en mettant une robe blanche à grande brettelle. ( celle de la fashion week ** ) Je prenais mes affaires, vu que Kenny ne l'avait pas fait à croire qu'il ne voulait pas que je vienne encore une fois. Je mettais une ceinture autour de ma taille, ma peau était dénudé, je n'étais plus rouge, mon " allergie " c'était dissipée. J'ouvrais la porte de la chambre en trainant ma valise comme je pouvais en tombant nez à nez avec Kenny. Je levais le regard vers lui en soupirant. T'allais encore partir sans moi en me laissant ici comme une vulgaire chose ?! j'avais l'impression d'être une plaie qu'il laissait derrière lui. C'était usant.

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Je préférais attendre dehors. Ça me faisait mal de voir qu'elle pouvait me piquer comme ça, elle savait que je le prendrais mal, que j'allais m'énerver, que je pouvais perdre mon sang froid aussi mais Anya le faisait. Quelque part c'était juste son coté méchant, elle était comme ça, elle était froide et elle cherchait à faire le mal par moment aux gens et parfois sans se rendre compte ou totalement compte elle me le faisait. Je regardais mon alliance quand j'attendais l'homme d'étage dans ma chambre pour qu'il prenne ma valise, je jouais avec, je regrettais rien de ma vie mais quand même elle pourrait s'abstenir de faire une telle chose. Le médecin partait, il baissait la tête, c'est comme si je n'existais pas même pas un au revoir, je lui avais fait peur ? Possible, c'est vrai que j'avais été très sec et mauvais sur ce coup là mais mes nerfs me lâchaient totalement. Anya sortait d'ailleurs, affubler d'une magnifique robe blanche, les cheveux libre, je la regardais du coin de l'œil, je la trouvais tellement belle dedans, plus que d'habitude, elle avait quelque chose qui m'envoutait totalement. "Ah bah je sais pas on te massait et tu prenais du plaisir à moitié nu sur le lit, j'allais pas te déranger attend !" Je la regardais jusqu'à ce que l'homme arrivait pour prendre nos valise, il les posaient sur le chariot alors qu'on avançait jusqu'à l'ascenseur pour ma part je ne disais rien, j'étais un peu ailleurs repensant aux mains de cet homme sur le corps de ma femme, sur la manière dont elle m'avait regardée aussi limite contente. "Mettez les dans le coffre !" déclarais-je à l'homme une fois face à la grosse voiture que j'allais conduire jusqu'à notre petit chalet perdu dans les bois.

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A la place de Kenny j'aurais arraché les mains de cet homme posait sur mon corps, je l'aurais mis dehors en le bousculant en l'incendiant ... mais lui non. Oui j'avoue que je l'aurais pris mal mais il n'avait même pas proposé de le faire lui même après tout c'était de sa faute. Ou pas. Je sortais de la chambre, je regardais Kenny en lui demandant s'il allait me laisser ici comme tout à l'heure dans la voiture, quand bien même la situation dans laquelle il m'avait mise tout à l'heure était pire. Fallait bien que quelqu'un le fasse étant donné que mon cher mari à jeté min chemisier par la fenêtre et que j'ai dû demander au chauffeur d'aller me prendre ce minable tee-shirt en polyester auquel j'ai fais une réaction allergique ! Mais ça tu t'en fou, au fait je vais mieux ! lui dis-je en fronçant le nez. Il demandait au maître d'hôtel de prendre nos valise et de les mettre dans la voiture. Une voiture que je ne connaissais pas. J'ai le droit d'entrer dedans ou tu vas me laisser sur le bord de la route ou sans balancer ma robe par la fenêtre ? j'avais du mal à passer sur ce qu'il avait fait. Je m'étais tellement retrouvé donne alors qu'on s'amusait bien tous les deux sur la route pour son émission, alors que j'essayais de lui changer les idées pour qu'il oublis son stress.

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Je levais les yeux au ciel, les bras croisés sur mon torse je ne disais rien de plus. "Bah ouais je suis affreux je sais !" C'est juste ça qui sortait de ma bouche, en même temps, elle attendait des excuses ? non parce que je comptais pas en faire, surtout pas après cet épisode. Elle me manquait de respect et elle avait le culot de me balancer encore cette histoire. Ok. J'avançais vers la voiture, une voiture que je louais, je l'avais pas acheté bien que je la trouve très belle et classe, ça faisait assez homme d'affaire et l'intérieur était très confortable. "Je sais pas ça dépend si tu m'emmerdes !" Je la cherchais pas du tout, je disais les choses clairement bien que je n'allais pas l'abandonner au bord de la route. Je montais à l'intérieur, prenant mon téléphone pour le brancher sur sa base et attendant que l'homme mette les valises dans le coffre.

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Je faisais les gros yeux, la bouche en O lorsqu'il me disait que ça dépendait si je l'emmerdait. Je restais là un instant, les bras ballant, alors qu'il montait dans la voiture pour commencer son installation. Je n'avais pas envie de monter dans la voiture si c'est pour l'entendre me parler de la sorte. Il pourrait enfin avouer qu'il était aller trop loin, je savais que pour ma part je l'avais fait, mais tout avait commencé avec cette histoire de chemisier. Alors c'était à lui de commencer. Crois pas que toi , tu ne m'emmerdes pas ! dis-je en entrant dans la voiture alors que je claquais la porte. Je regardais les petites viennoiserie que l'hôtel nous avait fait déposer dans la voiture. Une gaufres avec plein de chantilly. C'était assez étrange d'ailleurs. Sauf que j'allais m'en servir autrement. Je prenais la gaufre entre mes doigts avant de l'écraser sur la joue de Kenny en éclatant de rire. J'avais peur qu'il le prenne mal, je voulais pas, c'était ma façon à moi de relancer le dialogue.

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