KENYA ♥ I miss the taste of a sweeter life

"Me faire croire des choses !" Je riais, j'y croyais pas comment elle abusait cette là, elle voulait me faire croire des trucs. "Tu veux me faire croire quoi ?" riais-je encore avant de la serrer un peu plus dans mes bras. Je pensais pas que je pouvais rire ou même la faire rire surtout que sa petite tête était bien triste. "Je sais joué quand mademoiselle n'est pas entrain de me montrer ses seins pour que je perde !" Je lui mordais l'oreille amusé, attend je savais me débrouiller, bon je n'étais pas le meilleur joueur du monde, Anya était peut être un peu plus forte mais je savais jouer aux échecs tout comme à mon petit jeu rien qu'à moi le comment énervé Anya. Je l'appelais par tous les surnoms possibles et inimaginable histoire qu'elle se détende, qu'elle oublie ma maladie, là aussi ça marchait. "Ah bah tu dis ça maintenant ! Tout à l'heure je pouvais te toucher juste les bras et la tête alors que maintenant je te prend entière, ça me va !" Je posais ma main sur son sein. "Râle pas !" riais-je et elle s'endormait peu à peu, un baiser sur le sommet de son crâne, je baissais son siège doucement ainsi que le mien. Moi je ne m'assoupissais pas, je regardais mes mails, le début du film jusqu'à ce qu'on atterrisse. "Anya…" murmurais-je en lui déposant des bisous partout sur le visage. "On est arrivé…" Je continuais jusqu'à ce qu'elle ouvre les yeux. Attention dehors c'était la jungle.

CREDIT TO KAIJI FROM ILH

Oui comme te dire que tu préfères tous les bonbons orange parce que c'est ceux que je déteste. Te dire que t'aime pas quelque chose pour que je puisse l'avoir, que tu préfères dormir de tel côté alors que c'est pas vrai ... dis-je avec un large sourire. Dans le fond c'était mignon après tout. Parce que ça voulait dire que je me projetais aussi loin avec lui. Hey j'ai jamais fait ça. Je joue toujours à la loyale je le poussais un peu en riant lorsqu'il me mordait l'oreille Je préfère juste que tu m'appelle ma femme et pas mon petit bout de femme, c'est fou la tendance que t'as, t'essaye toujours de me diminuer en mettant l'adjectif petit quand tu me parles je lui pinçais le téton alors qu'il mettait sa main sur mon sein. Mais t'es pas croyable, va falloir que ça s'arrête je m'endormais, nous arrivions une heure et demi après. Je souriais, les yeux toujours fermés lorsqu'il déposait des baiser partout sur mon visage Si je fais mine de dormir encore tu vas continuer à m'embrasser ?

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J'avais fais des gros yeux, je pensais pas qu'elle était capable de faire ça… Enfin après réflexions personnelles pendant qu'elle dormait, je voyais bien Anya me mener en bateau mais je m'en moquais, j'étais heureux de savoir que dans 40 ans je serais encore avec elle, j'espérais que la vie ne nous séparaient pas, en tout cas je me battrais pour que ce ne soit pas le cas. Des baisers partout sur son visage, je me mis à genoux devant elle avant de l'embrasser doucement puis d'aller continuer vers son cou. "Non…" Menteur. Je continuais d'embrasser son cou, son petit buste qui s'offrait à moi avant de me redresser. "Allez je t'offre même ma main !" Je lui tendais pour qu'on puisse enfin sortir de l'appareil. Les hôtesses nous souriant, elles nous souhaitaient bonne vacance, ouais si c'était des vacances on serait pas ici mais sur notre île et à peine sortie de l'aéroport que deux photographes nous mitraillaient. Main dans la main tous les deux, le chauffeur s'occupait de nos valises à aller chercher alors que je faisais passer Anastasiya la première pour qu'elle rentre dans la voiture. "Voilà pourquoi j'aime la Russie !" dis-je en claquant la porte. "Regarde comment on nous mitraille, comme des bêtes alors que chez nous on est normaux…" Chez nous, première fois que je disais cette phrase, je m'en rendais même pas compte.

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Kenny se mettait au dessus de moi pour m'embrasser je me laissais faire en riant un peu avant de baisser la tête et le regarder faire. Ben voyons je pensais que t'allais pas continuer je me redressais moi aussi en attrapant sa main afin de me lever. Nous sortions de l'appareil, les photographes étaient déjà là. Je soupirais en regardant Kenny un peu exaspéré alors qu'il me poussait vers la voiture pour que je sois plus rapidement a l'abris des flash. Cependant les mots qu'il eu ensuite eurent le don de me faire sourire, de me faire plaisir. Il parlait de la Russie comme son pays, comme notre chez nous. T'as dis chez nous dis-je avec un large sourire alors que j'allongeais mes jambes sur celle de Kenny. J'enlaçais son cou pour déposer un baiser contre son cou On va être bien murmurais-je dans le creux de son oreille avant de la lui tirer doucement C'est à quel heure l'émission ? On a le temps de se poser un peu ?

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"Hein?" dis-je en regardant dehors. Je réalisais après mes paroles, elle avait l'air bien heureuse de voir que je considérais son pays aussi comme chez moi désormais. "On va être très bien là-bas…" J'avais rêvé de normalité, je voulais être un couple qui peux se balader dehors main dans la main en sa compagnie et non pas des personnes traquées encore et encore. Je regardais Anya, mes bras glissaient autour d'elle alors qu'elle me mordait l'oreille. "Hum…" poussais-je en fermant les yeux une fraction de seconde. "On peut se poser un peu… j'ai un petit truc à voir avec toi…" chuchotais-je en la basculant sur la banquette, une limousine, l'émission avait mit tout en œuvre pour que je livre ma première télévision chez eux, j'étais jamais bien aussi servis d'habitude on prenait un taxi mais pas là. Moi au dessus d'Anya, je l'embrassais langoureusement, je n'y allais pas par quatre chemins commençant à lui faire des avances bien prononcés, ma main sous son haut pour touché sa poitrine, mes lèvres qui se livraient à un balet des plus sensuels avec les siennes et moi qui commençait à sentir la chaleur monté en moi, j'avais hâte d'avoir notre suite.

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Je disais que ça me faisait plaisir que tu parles comme ça de la Russie, parce que j'aurais jamais pensé ça de ta part. Oui lui avait toujours voulu retourner à Londres ou aller à New York, sauf que moi, ma vie était en Russie. Il me disait qu'on allait être bien, je n'ajoutais rien parce que je le savais tout ça. Les bras de mon mari se serraient autour de moi, je riais en lui mordillant l'oreille avant de me remettre convenablement et de lui demander la suite du programme. J'espérais qu'on aurait un temps mort, qu'on pourrait se poser un peu. On a un truc à voir ? Que voulait-il qu'on fasse encore ? Sauf que la scinde d'après, il me basculait en arrière. Je regardais Kenny avec ce petit sourire aux lèvres, satisfaite. Il posait ses lèvres contre les miennes, j'enroulais mes bras autour de sa nuque tandis que nos lèvres se cherchaient . Hey riais-je alors que monsieur prenait ses aises à nouveau.
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"Ouais un truc urgent !" Je la basculais sur le long de la banquette, j'avais une folle envie de l'embrasser, de la toucher, je voulais profiter de ce petit week-end en amoureux en quelque sorte et même si ce soir j'avais une obligation professionnelle, que je stressais, rien ne gâcherait nos instants. Nos lèvres se cherchaient et se trouvaient bien rapidement après l'objection de la russe, je souriais à travers le baiser alors que ma main était posée sur son sein, que mes lèvres abandonnaient les siennes pour trouver son cou. On avait un peu de temps devant nous pour quelques petits câlins qui annoncerait la couleur de nos retrouvailles dans la suite. Je baissais les brettelles de sa robe dévoilant son soutien-gorge que je fis glisser un peu pour avoir accès à cette petite zone rose qui me faisait tant envie. Je l'embrassais, le mordillait, je perdais haleine contre son sein poussant même un petit gémissement de plaisir pour ma part jusqu'à ce que la voiture s'arrête. Je me raclais un peu la gorge, passant ma main dans mes cheveux bruns pour me recoiffer en ajustant ma chemise.

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C'était donc ça son truc urgent ? Décidément, je voulais être en urgence à longueur de temps alors. Je riais contre ses lèvres lorsque je sentais sa main contre ma poitrine. C'est pas possible. Aujourd'hui il allait vraiment me les user. Je laissais ma tête s'abattre contre le cuir de la voiture, lorsqu'il embrassait mon cou. J'adorais ça. Ca me faisait un effet boeuf surtout lorsqu'il avait sa petite barbe. Cependant, il n'en restait pas là. Il fit glisser les bretelles de ma robe, je n'avais toujours pas mis de soutient gorge, en ce moment je me sentais femme libéré, je n'avais juste pas envie, puis surtout qu'avec ma robe noire à petite bretelle, ça ne faisait pas bien, surtout que le dos étaient ouvert. Lorsqu'il laissait ses lèvres aller contre ma poitrine par contre, ma tête se levait pour le regarder faire. , ma tête contre l'arrière de sa tête, je le poussais un peu à continuer en me mordillant la lèvre assez fortement, cependant la voiture s'arrêtait. Je me laissais tomber en arrière en soupirant de lassitude. Vie cruel ! Je suis censé être frustré à vie c'est ça ? dis-je en riant. Je voulais pas que la voiture ne s'arrête.

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Anya et moi on avait pas de chance, tous les couples pouvaient se faire des câlins sauf nous y avait toujours un truc. Je soupirais aussi avant de rire en la regardant. "Dépêche de sortir !" Je sortais le premier, les photographes n'étaient pas la pour la simple et bonne raison que nous étions passé par l'arrière. "Allez !!!" J'étais pressé de la prendre contre moi de nouveau, je trépignais d'impatience, mon cœur et mon corps l'a voulait et quant elle était devant moi, son dos face à mes yeux, j'eu une sueur froide et je ne pouvais pas ne pas me coller contre elle. "Bonjour Monsieur et Madame Kovalevski-Kataieva !" déclara une femme. "Bonjour ! Notre chambre est prête on est un peu pressé !" dis-je en déposant un bisou sur la tête d'Anya. La jeune femme hochait la tête, elle nous indiquait l'ascenseur et nous donnait la clé. "369… Hum…" dis-je en regardant les derniers chiffres alors qu'on montait dans l'ascenseur avec l'employé qui s'occupait de nos bagages. "Ta vu les derniers chiffres…" chuchotais-je à son oreille alors que je restais collé contre son dos.

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Je crois que j'avais atteint le summum de la frustration. Je remettais les bretelles de ma robe en sortant de la voiture rapidement. Arrêtes je vais perdre une chaussure dis-je en riant alors que je m'appuyais sur son épaule pour remettre correctement ma chaussure. Nous étions à l'accueil de l'hôtel, Kenny se posait derrière moi, je me laissais aller contre lui en attendant qu'on s'occupe de nous, je faisais claquer mes ongles d'impatience contre le comptoir, à croire que ce son les avait tous interpellé , parce que rapidement, une armada de personnel se retrouvait à notre service. Je donnais un coup à Kenny quand il disait que nous étions pressé. Enfin moi je savais de quoi nous étions pressé, mais peut être qu'elle ne comprendrait pas et apparemment elle n'avait pas compris. Je levais les yeux vers Kenny en l'entendant, il était pas possible Je suis pas certaine de comprendre dis-je en sifflotant un peu alors que les portes de l'ascenseur s'ouvraient , j'attendais que le major d'homme sorte pour mettre nos valises dans notre chambre, alors que je prenais la main de Kenny pour l'entrainer avec moi.

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