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Bien que j'avais cette drôle d'impression de tout bonnement le gêné, je me devais d'aller au moins le saluer, et dans le pire des cas mettre les voiles. Même si j'avais envie d’empiéter sur le temps de sa jolie compagnie. « Ah bah enfin te voila toi, tu ne perds pas les bon vieille habitude. Merci. » Ouais. Je me faisais gentiment engueuler dès le début, ça commence bien. « Désolé, je suis toujours lent, tu le sais très bien pourtant. » Dis-je comme si cela pouvait excuser mon retard. Le temps que je me réveille, que je fasse ma promenade matinale, que je fasse une sieste, que je me réveil, que je mange, que je prenne soin de moi.. Oui, ça met du temps tout ça, malgré moi. Mais alors que j'avais en tête d'amplement discuter avec Matt, une jolie brune l'embarqua afin de danser. Je me retrouvais alors comme un con avec mes cadeaux dans les mains, emballé, merci d'y avoir pensé afin de ne pas te payer la honte. Qui offre un collier pour chien de nos jours ? Personne. C'est bien ça le problème. Me retrouvant avec la jolie brune, Orlane, j'étais quelque peu gêné. « Je vais finir par croire que tu m'espionnes. » Rompant finalement le silence, je souriais à sa remarque. Un stalker ? Très peu pour moi. « C'est peut être le cas. » Dis-je brièvement en scrutant son beau regard. Sans mentir, j'étais toujours étonné de l'a voir. Ce genre de femme, en général, ne vous parle pas, et ne vous calcule pas. Elles sont bien trop haut placés pour vous adresser un regard ou un mot. Ouais, j'avais l'impression d'être face à une duchesse, ou un truc du genre. C'était plutôt déstabilisant. Vraiment. « Ou alors, c'est peut être toi qui me suis. Ma danse t'as éblouit, c'est ça ? » Dis-je en plaisantant, alors que mon ami Quincy ramenait de nous ses fesses. Aïe. Il se barre et se ramène pas quand il faut lui, décidément. Pardon. On en était ou? Je lui donnais mes deux cadeaux pourrit en ajoutant quelques mots. « Tu les ouvriras dans ta cabine. » Surtout pas devant elle, ou alors paye la honte et l'imagination à la con. Je lui souriais alors en me demandant de quoi pouvaient-ils parler avant mon arrivé. « Bon, on le fête cet anniversaire ou quoi ? Sort les bouteilles Matt ! » Regagnant mon excitation à faire la fête, je comptais bien en profiter.
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