KENYA ♥ I'm depressed baby

Le réveil n'avait pas été si difficile que ça, j'étais fatigué mais pas autant que je ne l'aurais cru. 7h. Pile à l'heure, je devais aller bosser et sans faire de bruit en plus. Me découvrant, je décidais d'aller à la cuisine pour lancer la machine à café avant d'aller prendre une bonne douche. Une longue douche, l'eau chaude me détendait complètement, je fermais les yeux profitant de cet instant tout seul jusqu'à ce que je me décide sortir. Boxer, costume noir avec une chemise blanche, les cheveux parfaitement coiffé, la barbe de quelques jours, j'étais prêt à partir avant une bonne tasse de café, un bisou à ma princesse ainsi qu'un mot pour mon autre chérie qu'était ma femme. "Je suis parti plutôt comme ça on déjeunera ensemble. Je vous aime ! Pas trop de bêtises sans moi vous deux. Ton Kenny." Le mot déposé à coté d'une tasse propre ainsi qu'un biberon lui aussi parfaitement propre, je prenais les clés, mon ordinateur pour partir vraiment.

CREDIT TO KAIJI FROM ILH

J'avais bien dormi. C'est vers l'heure de 9heure que mon téléphone sonnait. L'assistant de Kenny qui me disait que nous ne pourrions pas déjeuner ensemble. Je fronçais les sourcils en apprenant la nouvelle, qui plus est, il venait de me réveiller en m'annonçant ça. Son nouvel assistant m'énervait. Ni une ni deux, j'envoyais un sms à Kenny pour lui faire part de ce changement d'emploie du temps, sans lui dire que j'avais trouvé une alternative. Entre deux sms, j'avais appelé son bureau en me faisant passer pour une cliente potentiel. Une future star en devenir qui voulait avoir un contrat dans ce label. A ma plus grande surprise, l'assistant me trouvait un rendez vous à l'heure du déjeuner. Il s'était foutue de ma gueule l'autre con, en me disant que je pouvais pas le voir et là, il me trouvait un rendez vous à l'heure ou nous devions nous voir au départ. Je rappelais Melinda pour qu'elle puisse garder Alessia. Oui j'avais mis ma fierté de côté juste pour le plaisir de voir la tête de l'assistant de mon mari quand je sortirais de son bureau à découvert. Je prévoyais tout de même le coup. J'avais préparé un petit pique nique dans l'un de ces panier en osier. Puis j'avais fait quelques courses assez spécial. C'est sur les coups de 12h30 que j'apparaissais dans la boite de mon mari, vêtu d'une perruque brune et d'un long manteau noir, je passais devant ce fameux assistant pour lui dire mon rendez vous en Russe. Il m'escortait jusqu'à l'ascenseur de Kenny et c'est une fois dedans que je retiras ma perruque et que j'ouvrais mon manteau pour laisser apparaître un body noir terriblement sexy ainsi que des longues bottes. Il était dos tourné, le regard tourné vers cette grande ville, je souriais et lui sortie un petit Je crois que vous avez rendez vous

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C'était difficile pour moi, venir ici et du jour en lendemain passer mes journées loin de ma famille. Je n'étais pas comme mon père, je n'étais pas le genre d'homme qui arrivait à oublier sa famille et qui se plongeait dans le travail, j'étais le genre de personne qui était capable d'arrêter de bosser si sa femme lui demandait. Je sais que je ne devrais pas passer mon temps à jurer que par Anya ou Alessia, que je devais penser à moi mais j'y arrivais pas surtout quand Anya me sermonnait par message. Dos tourné à la porte, je fermais les yeux dans l'espoir que mon téléphone sonne encore pour pouvoir répondre à cette confrontation interposé seulement mon assistant me disait que j'avais un rendez-vous, le cœur n'y était vraiment pas et le pire c'est que je ne pouvais pas me mettre à penser à autre chose surtout quand cette voix retentissait. J'ai cru avoir une hallucination auditive comme à l'époque de ma tumeur, je fermais les yeux, je ne voulais pas me retourner, ce n'était pas Anya. Mes yeux brillaient, mes mains tremblaient et finalement mon fauteuil pivotait. Elle était bien là dans sa tenue si sexy, je ne sais pas ce qui me faisait le plus plaisir voir qu'elle était dans un body en dentelle noir affreusement affriolant et aguicheur ou le fait de savoir que ce n'était pas une hallucination. "Qu'est-ce que tu fais là ? J'ai rendez-v… Ah c'est toi !" dis-je en souriant, me fallait du temps clairement. "Je vous prie de fermer la porte que l'on discute… affaire !" J'avalais ma salive face à sa tenue, je suis sur qu'on m'avait entendu jusqu'au bout de la terre. "Je vous en prie asseyez-vous !" Je ne disais pas ou, je lui laissais le choix, le fauteuil ou le bureau ou encore le canapé, elle était libre et mon cœur s'emballait encore plus.

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Je souriais au départ, lorsqu'il pensait que c'était réellement un rendez vous professionnel. Lorsqu'il se retournait, j'enlevais ma perruque brune, alors qu'il avait eu le temps de la voir et lorsqu'il me demandait d'approcher, j'attrapais le petit panier en osier que j'avais préparé pour nous faire un petit pique nique. J'avais commandé chez un traiteur , celui dont Kenny raffolait. Aujourd'hui, il allait surement manger au moins. Je faisais claquer mes talons contre le sol en avançant, sans oublier d'avoir fermer les rideaux de son bureau avant. et je suis censé m'asseoir où ? demandais-je avec ce petit sourire aux lèvres, faisant tomber le manteau le long de mon corps pour lui dévoiler ce nouveau sous vêtement. J'étais libre, je n'avais plus mes menstruation et quoi de mieux que ce body pour me mettre en avant. Je voulais lui faire une surprise, je voulais manger avec mon mari et pas me faire refouler comme une mal propre par son assistant. Ici ? demandais-je en désignant le fauteuil face à lui, puis je passais au coin du bureau Ou peut être là ? A moins qu'ici .. Je designais la place en face de lui sur le bureau avant de terminer par ses genoux que je montrais en dernier.
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Elle se jouait de moi. J'adorais. La manière dont elle avait de marcher, cette allure si féline, si désireuse, mes yeux ne voyaient qu'elle, ne jurait que par elle, tous les doutes que j'avais tout partait, j'étais amoureux et je crois que c'était surement le plus beau sentiment au monde, la plus belle raison qui nous pousse à agir. Anya n'était pas cette femme que j'avais connue au début, elle avait toujours eu un petit coquin certes mais avec le temps j'avais l'impression de l'avoir un peu perverti à mon plus grand plaisir. "Je pense que pour votre confort, vous seriez mieux ici !" dis-je en me poussant un peu pour lui laisser la place sur mes genoux, je tendais la main vers elle, mes doigts glissaient sur le haut lentement avec douceur, je trouvais même le moyen de pousser un soupir de plaisir bien discret, je savais pas ce qui me prenait, ce n'était pourtant pas ces 4 pauvres jours d'abstinence qui me rendait ainsi, peut être la dispute en fait. Oui surement. J'avais eu peur de la perdre comme bien souvent. "En quoi puis-je vous aidez ?" Je ressemblais à un patron clairement, le visage pas vraiment rasé mes cheveux plaqué sur le coté sans compter le costume qui faisait tout le temps mouche sur ma belle désormais poser sur mes genoux.

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Je lui demandais où est ce qu'il préférait que je m'assois même si au fond je savais pertinemment que c'était sur ses genoux que j'allais finir. Je prenais le petit panier entre mes mains pour me poser bien sagement à l'endroit qu'il m'avait conseillé. Mes jambes se pliaient de part et d'autre de son corps. Fort heureusement pour nous, son siège était large pour deux, à croire qu'il avait fait exprès de le choisir ainsi. Je posais le panier derrière moi pour attraper les mains de Kenny et les poser sur mon corps. Il se laissait vite prendre par la situation puisqu'il les faisait glisser le long du haut avec un certain désir. Il soupirait même. Je souriais tout en faisant un mouvement de tête pour ramener mes cheveux d'un seul côté. Je viens chercher un futur award et on m'a dit que vous étiez le meilleur dis-je au creux de son oreille. Mais avant ça j'ai pris de quoi nous nourrir, une entrée, un plat et deux desserts ... ça dépend par quoi vous voulez commencer mes dents attrapaient son lob d'oreille pour le tirer doucement avant que ma langue ne glisse contre cette dernière. Je me penchais en arrière pour prendre le panier et l'ouvrir devant ses yeux. Je prenais un petit sandwich, celui qu'il préférait, c'était des miniature et fort heureusement, puisque je le posais juste au dessus du body, contre la peau de mon buste découvert. il est plus de midi et demi je suis certain que vous mourrez de faim.
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A l'intérieur de moi, je vous explique même pas le bazar, je criais de joie, je dansais, j'étais heureux, très heureux pour ne pas dire… Bien en fait, je sais même pas s'il y avait un mot qui définitsait le sentiment plus qu'heureux. Anya était parfaite, je le savais mais là mon dieu ce qu'elle était bien chaude. Mes mains la caressaient sans complexe, chaque touché était un plaisir à mes yeux, je la déshabillais du regard, j'étais fébrile, mon envie se développait de plus en plus vite. Mon dieu ! "Un award ?" Là je m'y attendais pas vraiment, je sais pas c'était étrange mais je m'en moquais rapidement. "Je préfère commencer par le dessert…" murmurais-je en posant mes mains sur son fessier que je touchais, malaxais sans complexe. "Huum…" soupirais-je quant elle me prenait l'oreille. Je crois que ce moment valait toutes les fois ou j'avais osé penser qu'elle était bien trop prude pour se jeter sur moi. Adieu les doutes, bonjour le plaisir charnel. Elle se décalait un peu pour prendre un truc dans le panier en osier, mes yeux regardaient sa poitrine bombée par ce body transparent alors qu'elle posait un petit encas sur elle. Sympa. "Vous avez raison je meurs de faim ! Heureusement que vous êtes là, je devrais songer à vous remerciez…" J'approchais mes lèvres proche du sandwich pour le prendre dans ma bouche et croquer dedans, je m'aidais de ma main quand même, ne cassons pas cet instant. "Il est très bon vraiment… Je crois par contre que j'ai laissé des miettes sur le présentoir, je vais devoir…" Ma langue passait doucement sur son buste, aucunes miettes ne cherchez pas c'étaut un doux prétexte. "Nettoyer tout ceci…." Ma voix était affreusement sensuel, adapter à la situation tout comme ma main qui avait descendu une des bretelles de son body pour laisser échapper un sein afin que j'ai accès à l'une des zones bien rosé de son anatomie.

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Oui je viens chercher votre grand trophée dis-je en plongeant mon regard dans le sien comme pour lui faire comprendre ce que je voulais dire. Bien rapidement, je posais de quoi manger contre ma poitrine, il croquait dedans, ne laissant aucune miette sauf que bien entendu il voulu lécher l'assiette. Je sais bien qu'il est gourmand mon mari. Je bombais le buste pour lui laisser un total accès, je le regardais faire avant de poser une main contre sa nuque assez brute presque autoritaire. J'adorais tellement cette sensation que je ne voulais pas qu'il arrête encore moins lorsqu'il descendait une des bretelles. Je poussais des petits gémissement dans son oreille avant d'onduler sur lui sensuellement, des petits coups de bassins. J'espère que ton bureau est insonorisé parce que .. je lui relevais la tête d'une manière un peu sèche, cette fois ci, c'était moi qui menait la danse. J'écartais son costume, j'ouvrais sa chemise en tirant dessus. J'adorais le voir comme ça, ça me faisait toujours un effet boeuf. Mes lèvres allaient contre les siennes d'une manière brute. Je tirais dessus avant de faire glisser ma langue, en forçant le passage. Mes mains longeaient son torse, jusqu'à arriver vers son pantalon. Je défaisais la ceinture, le bouton et la fermeture éclaire Le dessert c'est toujours la meilleure partie du repas

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Ma bouche suçotait, attrapait la moindre parcelle de cette petite zone, Anya réagissait tellement que continuer était encore plus plaisant. Mes yeux fermés, mes mains sur son dos, je lui mordais un peu jusqu'à ce qu'elle m'écarte ? Quoi ? Je faisais des gros yeux, jamais elle ne c'était montré si autoritaire, c'était surprenant mais très agréable après une mâtiné ou j'avais fais que donner des ordres, en recevoir d'elle me plaisait, m'excitait disons les choses clairement. "Oui il est insonorisé !" Je pensais qu'elle avait été si sèche parce que je n'avais pas répondu mais madame explosait les boutons de ma chemise, carrément, mes yeux étaient remplit de surprise alors que mes lèvres répondaient aux siennes. Exigeante, brulante, dévorante, je me livrais corps et âme dans cette douce étreinte qui me consumait sur place. "Je suis bien d'accord…" Elle avait ouvert mon pantalon, j'étais pas gêné de montrer ma réaction, j'étais vraiment à point comme une viande en fait. Mauvaise comparaison. Ma main sur son sein, je fis quelques mouvements de bassin, si moi ça me plaisait peut être qu'elle aussi finalement.

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