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※ OPERATION NORAH

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'I waaaaant you to staaaay hey hey' chantait Cody en prenant sa douche. Il fallait croire que le soleil des Caraïbes lui faisait du bieeeen, la plage, la chaleur, la mer, l'amouuuur. Cody n'attendait que ça depuis des jours et des jours et enfin, le Summer Camp avait commencé. Techniquement, il avait commencé depuis une bonne dizaine de jours mais bref. C'était l'occasion pour lui de se faire dorer la pilule et chanter du Rihanna underwater. Pour l'occasion, il était passé du torse style fourrure de yéti au torse presque aussi lisse que le crâne de La Boule dans Fort Boyard, il était plutôt fier de son petit dégarni. Bref. Ils venaient tous de reprendre le large et Cody se faisait légèrement chier sur le bateau. Il s'était dit que s'il dormait beaucoup, il sentirait moins la frustration d'être coincé sur ce voilier plutôt que sur un certain autre voilier, mais il s'était totalement gourré. Il revint donc sur le pont et se dirigea vers le gaillard d'avant où, en solitaire assis à une table, se trouvait William. Il l'avait rencontré à la Lowell, il ne le connaissait pas plus que ça mais ils avaient, en revanche, une connaissance en commun. « William Ken. Où est Barbie ? Ahah, j'ai pris mon humour dans ma valise, comme tu as dû le sentir. » fit-il approchant ses doigts du nez de son interlocuteur pour le pincer légèrement. Mon dieu, il venait vraiment de faire ça ? Oui, il venait de faire ça. Allez, un peu plus de naturel Cody, ça ne va pas te tuer. Il prit place sur la chaise en face de Will et continua avant qu'il ne puisse prendre la parole « Alors ? Ce Summer Camp ? Bien ou bien ? Tu as fait des rencontres ? Tu as revu des gens de Harvard style … Moi … Ou Norah. Ah, Norah, un bon brin de femme celle-là. » soupira-t-il en s'affala sur sa chambre, étirant ses jambes pour les poser sur la chaise voisine. Il était aussi naturel que les seins de Pamela Anderson.  
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Opération Norah


L’escale des voiliers Harvardien était terminée, tous reprenaient maintenant le large. C’était le passage que le Kane redoutait, il n’avait jamais été malade depuis le début, mais il suffirait d’une fois, une seule petite fois pour tout plomber. Alors pour faire abstraction du roulis des vagues pourtant très doux en cet après-midi calme d’été, il s’était plongé dans un bouquin, le seul qu’il s’était autorisé à emmener sur ce bateau au risque de garder le nez plongé dans ses bouquins tout l’été. C’était un peu un doudou dans la mesure où il l’avait depuis ses sept ans et qu’il l’avait lu, relu et rerelu un nombre incalculable de fois, ça le transportait, un truc qui marche à coup sûr. Les jambes croisées négligemment, il poursuivait donc sa lecture depuis deux bonnes heures maintenant, jusqu’à ce que quelqu’un l’interrompe. Cette voix, il la connaissait, c’est pourquoi il releva les yeux à la recherche de la personne à laquelle elle appartenait. Oh, un Bleeker. Lui & William ne s’étaient que peu vus, mais il était sympa comme type. Il ne le casait nulle part, ni coincé ni déluré, ni frimeur ni ringard, juste un Cody Bleeker quoi. C’est d’ailleurs en Bleek’ pur jus qu’il le salua, lui demandant ou était sa Barbie. Oh non, pas le nom de famille, pas ça. Il décida de prendre ça avec légèreté parce qu’après tout, c’était Cody. Tout en terminant de lire sa phrase, il ne put s’empêcher de répondre avec un sourire en coin ; « Je te dirais bien que Barbie est dans ma valise, mais j’ai peur que tu comprennes ça de travers. » Refermant le livre, il lissa la couverture craquelée du plat de la main, le reposant sur la table. Alors comme ça, Cody venait en tout bien tout honneur ? Sympa, il l’appréciait de plus en plus le Bleeker. Et puis il se mit à parler de.. Norah. Boum, le parpaing dans la flaque d’eau, la barquette de fraise dans le fromage blanc. Était-il vraiment venu pour discuter innocemment ? Il allait lui laisser le bénéfice du doute. Reprenant son bouquin comme s’il pouvait le défendre contre Cody, il répondit ; « Eh bien.. Elle est sympa, ouais. » Ne pouvant s’empêcher de connaître le pourquoi du comment de sa question, il poursuivit ; « Vous vous entendez bien, non ? » Il lui avait déjà semblé entendre le nom de Cody dans la bouche de Norah. Il en était même sûr en fait, mais il pouvait bien jouer l’agneau innocent, non ?
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ça ne devait pas être facile d'être Norah. Elle avait vécu des choses atroces, horribleees, immooooondes et en plus de ça, elle était à moitié amoureuse de Cody. Juste à moitié. Techniquement, elle aimait le sosie de Cody mais ce mec était tellement chanceux qu'elle reportait son amour (et surtout sa haine) sur lui. Vous imaginez bien que William était arrivé dans la vie des deux pseudo tourtereaux comme le messie, THE man, celui qui réconcilierait Norah avec l'amour, afin qu'elle fiche la paix à Cody. En plus, ce serait cool pour William, il ne serait pas obligé de se contenter d'une Barbie en plastoc qu'il gardait au fond de sa valise. L'air un peu en mode Justin B. (Justin Bridou quoi, il avait le regard cochonou) il répondit à la remarque du Lowell ; « Une contorsionniste … Veinard. » Il espérait toutefois que la gymnaste enfermée dans sa valise ne fasse pas trop d'ombre à la future romance Norah / William. Sinon, le brunet avait bien peur de perdre son temps sur ce chantier là. Pourtant, il était l'homme parfait pour la Française. Il n'était pas spécialement beau, elle n'était pas spécialement belle, il lisait des livres tout le temps, elle lisait des livres tout le temps, il était bizarre, elle était bizarre. Faits l'un pour l'autre. Il se redressa sur sa chaise et entreprit l'opération Norah. « Oui oui, on s'entend bien, ça passe, il y a des hauts et des bas comme dans toutes les amitiés quoi. Tu sais, elle m'a beaucoup parlé de toi. » Ou pas. Cody ne se rappelait même pas de la dernière fois où il lui avait adressé la parole. Il voulait juste que les langues se délient. Enfin LA langue, celle de William. À moins qu'il en ait plusieurs. Cet homme est plein de surprises.  
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Opération Norah


William pensait que Cody était venu en ami, sans arrière-pensée, mais il avait visiblement fait fausse route. S’il marcha pour l’histoire de la poupée, il revint vite au sujet initial, à savoir Norah. Au début, William avait songé que Cody l’aimait bien, même plus que bien, et qu’il venait là pour lui pêcher des informations. Mais il devait se rendre à l’évidence, tout deux se connaissaient bien mieux que lui & Norah et l’inverse était surement la situation la plus plausible. Alors comme ça, Norah avait parlé de William à Cody ? Intéressant. Jouant le jeu, il lui demanda ; « Ah oui ? Que t’a-t-elle dit ? » Rien ne trahissait le Kane hormis la lueur de joie dans son regard. Il aurait peut-être pu faire du théâtre chez les Lolos, tiens. Maintenant, Cody & lui étaient partit dans un jeu qui déboucherait sur on ne sait quoi, mais c’était tellement tentant d’y prendre part que William n’avait pas hésité plus de trois secondes. Que risquait-il ? Au pire, se faire griller. Au mieux… En savoir plus sur Norah. Elle ne lui avait jamais parlé d’elle, ça n’intéressait pas William en temps normal, sauf lorsqu’on élude la question. Dans ces cas-là, c’est qu’il y avait anguille sous roche & alors le Kane se devait de fouiner. Une rédac Closer à lui tout seul ce petit. Comme Cody semblait être proche de Norah, du moins suffisamment pour qu’il vienne lui parler d’elle comme un entremetteur Tamagochi, il se mit à feindre un intérêt pour la brune, posant le livre sur la table, il insista ; « C’était plutôt en bien ou en mal ? En mal hein ? J’en étais sûr qu’elle me trouverait bizarre. Tout le monde me trouve bizarre. » Se renfrognant, il se mit à tripoter nerveusement ses mains, le regard porté sur celles-ci. Il était partit en mode Bisounours exclu de la société, type incompris qui n’aurait aucune chance avec la femme de sa vie.
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Attendez … Cody jaugea William … Petite lueur dans les yeux, sourire discret mais sincère, tripotage nerveux des articulations des mains, grattage des cuticules … Oh, William ne serait-il pas amoureux là ? S'ils se trouvaient dans une bande dessinée, Cody était prêt à parier qu'il verrait plein de petits cœurs au-dessus de la tête du Lowell. Wonderful pistache. Vraiment, Bleeker était l'entremetteur parfait, un envoyé de Cupidon. Il avait vu directement ce qui se tramait derrière ses collègues Lowell et il était prêt à faire naître cet amour au grand jour, si telle était la condition pour que lui, il n'ait plus à se payer Norah sur le dos. Non parce que Norah = Charlie sur le dos (le meilleur ami de la demoiselle) et étant donné que le Dieu des pirates avait décidé de les foutre dans la même piaule pour toute la durée du séjour, Cody essayait de réduire ses chances de se faire étrangler dans la nuit par mister Wilcox. S'il pouvait étrangler William, ça l'arrangerait. « En bien, évidemment. » répondit simplement le jeune homme avec un grand sourire. Il essayait de gagner du temps pour trouver quoi ajouter qui prouverait bien que la Française était totalement de son petit Anglais. Enfin petit … Façon de parler. On aurait dit un géant vert, une endive de l'espace. « Tu es pas bizarre, tu es ... » Il chercha ses mots, pédala quelques secondes dans la semoule et termina ; « … Différent. Elle a besoin de quelqu'un de différent, un homme qui lui ouvrira les portes sur un autre monde, qui lui fera découvrir de nouvelles choses, un homme qui saura la surprendre ! » Il était à deux doigts de crier tout l'amour de Norah pour William. Mais il se calma, mettant fin à ce crescendo d'émotions.
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Cody & William


Opération Norah


Que Norah parle de William en bien à Cody ? Ok, c’est bon, William en était persuadé maintenant, les intentions du Bleeker à son sujet n’étaient pas innocentes. Il n’avait vu Norah que peu de fois & leur rencontre était des plus.. Atypiques. Il avait réveillé Norah, armé d’un coupe-papier, pensant qu’elle était une intruse, ils avaient ensuite bombardé des étudiants avant d’aller se planquer dans la chambre de Silver, le tout en pyjama, pour la classe. Une rencontre des plus banales, en somme. Il refreina un sourire, même s’il commençait à s’amuser, il se devait de rester sérieux. Concentration, concentration. Ne quittant pas ses mains des yeux, il demanda ; « En bien.. En bien comment ? Genre le Lowell qui range toujours les bouquins ou alors.. Je sais pas moi.. » Il haussa les épaules, l’air de rien. Et puis vint le moment ou Cody lui dit qu’il n’était pas bizarre, qu’il n’était seulement.. Cherchage de mots intensif pendant un moment. Il détestait ça, le Kane. Autant dire franchement ce qu’il pensait, chercher ses mots ne faisait qu’empirer le péjoratif du mot qu’il allait sortir. Selon monsieur Bleeker, William était différent. Il devrait faire une liste des meilleures qualifications dont on le gratifiait, il y en aurait des belles. Ignorant cependant cette réplique pour rester dans le droit chemin, chemin dont Cody s’éloignait comme il montait dans les aigus. Il avait de l’enthousiasme à revendre ce petit, c’était charmant à voir. Si seulement il savait qu’il se faisait mener en bateau. Jouant les effarouchés, il lança ; « Je pense que tu perds ton temps… Qu’en aurait-elle à faire un Lowell de trente-trois balais ?  T’es gentil Cody, mais.. Je vais rester seul, je pense. » Peut-être était-ce à force de fréquenter Devyn, mais il ne devenait pas mauvais en théâtre. Heureusement, parce que maintenant, tout reposait là-dessus.
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Bon, William allait donner du fil à retordre à Cody. Du fil ? Non, des câbles électriques sous tension oui ! Mais le Lowell ne se décourageait pas. Il avait peut-être mal jugé l’étendue du projet mais ce n’était pas grave, il allait improviser. C’était ce qu’il savait faire de mieux dans la vie. Oui, toute sa vie n’avait été qu’improvisation sur improvisation et peut-être qu’au vu de sa situation actuelle, il aurait mieux fait d’élaborer certains plans mais bref, nous n’étions pas là pour une introspection Bleekerienne. « En bien … En bien, cherche pas, qu’est-ce qu’il y a de mieux que le bien ? » Attentioooon, ils risquaient de virer soit dans un débat philosophique, soit ils allaient commencer à se taper dessus. Avec un peu de chance, William ne savait pas se battre. Cody non plus d’ailleurs, mais en général il comptait sur sa prise de ninja pour effrayer son adversaire – ou pour le faire mourir de rire – et donc, éviter le combat. « Trente-trois balais ? Mon dieu, tu es le papy de la Lowell House en fait ! » fit Cody en le fixant de ses yeux exorbités. Youhouuuuu, il n’était plus le gros paumé de Harvard, il y avait pire que lui ! Bon, reprenons nos esprits. Cody craignait que William le laisse en plan. Or, il n’avait aucun intérêt à le voir partir, si ce n’est gagner une bonne place au soleil puisque la table du papy était relativement bien placée. Mais le jeune père n’en avait que faire de parfaire son bronzage. Il posa ses mains sur celles de William, ignorant les répercussions de ce geste sur les personnes qui les surprendraient, et lui souffla ; « Je pense qu’elle t’aime, vraiment. Elle aime … Tes yeux qui scintillent sous les rayons du soleil ou quand une idée lumineuse te traverse, ta lèvre supérieure légèrement retroussée quand tu souris dès que tu la vois, tes petites bouclettes qui ressemblent à une assiette de fusilli qu’on aurait posé au sommet de ton crâne et recouvert d’un filet de caramel … Elle aime … Toi. Toi. C’est un ensemble, c’est tout c’est toi. » Il termina sa phrase en dessinant un cadre dans le vide, avec ses mains. C’est Norah qui aimait William hein, pas Cody.
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Cody avait-il une âme de philosophe ? Parce que détourner un sujet pour que William n’insiste pas sur ce que Cody voulait dire par bien, c’était une chose. Qu’il sorte une phrase philosophique, s’en était une autre. William ne voulait pas s’embarquer là dedans, converser sur le pourquoi du comment des choses de la sorte ne l’intéressait pas. Avec ce genre de types, il pourrait apprendre demain que les oiseaux sont en fait des insectes ou que sais-je encore. Se contentant d’inspirer profondément comme pour écraser d’oxygène les paroles du Bleeker, il n’ajouta rien. Mais lorsque Cody insinua, non, que dis-je, déclara que William était le papy de la Lowell House, il du l'ouvrir. Retour du parpaing & de la barquette de fraises. Oui, il était bien plus vieux que la majorité des étudiants d’Harvard, il le savait, il avait presque l’âge d’un prof. Mais de là à ce qu’on lui sorte qu’il était un papy, il y avait encore de la marge. Que serait-il à cinquante ans alors ? Mort et enterré, probablement. Ne pouvant laisser passer ça, il rétorqua ; « Je suis plus vieux que la plupart des étudiants, c’est vrai. Mais je ne suis pas un papy pour autant. » Il aurait pu partir, mais il en fallait plus pour arrêter ce petit jeu. A la clé, il n’oubliait pas qu’il aurait des infos sur Norah. Tiens bon, mon petit. Quoique, cela allait être dur. Voilà que l’énergumène jouait les tactiles. Oh. Mon. Dieu. William eut un haut-le-cœur, pas tactile du tout. Le regard bloqué sur leurs mains, il ne réussit même pas à les ôter avant la fin du laïus de Cody tant la situation devenait… Étrange. Le regard, le toucher, les paroles, le ton, les mots employés, tout était propice à ce que William dégage. Ce type était en fait un grand malade ! Déglutissant péniblement, William bredouilla ; « Je… » Il retira ses mains, les frottant lentement sur son jean comme si cela pouvait les laver de ce contact. Si le Kane doutait fortement que Norah ai dit à Cody qu’elle aimait bien William, il était en revanche impossible qu’elle ai pu parler de lui de la sorte. Primo parce qu’elle n'était pas amoureuse de lui & secondo parce qu’elle n’avait jamais pu autant le détailler. C’était impossible, la description du Bleeker sonnait comme… Les paroles d’un amant. Alerte rouge, et si William s’était trompé depuis le début, et que Norah n’avait été qu’un prétexte pour lui déclarer sa flamme ? Prit de cours, il dit, se levant de sa chaise ; « Je suis désolé, je dois aller faire un truc sur l’île, je dois filer. » Abruti, vous venez de prendre le large, l’île n’est plus qu’une grossière tâche verte au loin. Tourné vers l’océan, il se rendit compte de sa boulette, fermant les yeux comme s’il pouvait ainsi disparaitre. Mais évidemment, cela ne fonctionna pas, et lorsqu’il les rouvrit, Cody était toujours là, il pouvait le voir du coin de l’œil. Bien bien bien.
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Papy William s'enflamma quand Cody le traita … De Papy. Ohlalala, il va pas nous en faire tout un cassoulet non plus ! William Saurin ※ OPERATION NORAH 1116103942 Maggle. Non mais Cody avait été tellement habitué à ce qu'on le traite de papy dans sa promo – n'oublions pas qu'il est également en première année – que son petit cœur se réchauffait en voyant William, plus vieux que lui et au même niveau d'étude. C'est si beau, il avait l'impression d'être dans un musée à observer un dinosaure ou un homo erectus. L'émotion était à son comble. « Tu sais, le papy est l'incarnation de la sagesse. En gros, t'es un peu le Bouddha de Harvard. » Il n'était pas convaincu que ces arguments suffiraient à changer l'humeur de William mais Cody tentait le tout pour le tout. D'ailleurs, il lui fit même une belle déclaration improvisée, cherchant ce qui pourrait plaire à une femme chez William. Ses cheveux, sans nul doute. Cody, c'était son nez. Certains aiment, certains aiment pas, mais ça allait dans les extrêmes. Donc naturellement, le brunet compara la coupe de Cassoulet Man à une assiette de pâtes. Jusqu'ici, tout allait bien, sauf que William s'enflamma mais pas trop dans le sens que Cody aurait voulu. Quoique, ça prouvait qu'il ressentait des choses ! Il s'embrouillait même dans ses mots. « Qu'est-ce qu'il y a de plus important sur terre que l'amour ? Ce petit point vert tout là-bas ? William, enfin … » Cody parlait d'une petite voix qui se voulait rassurante. Il souhaitait raisonner son compatriote. Il s'approcha de lui avec la prudence d'un dresseur de lion et posa délicatement la main sur son épaule avant de murmurer ; « Tu ne peux pas fuir éternellement tes sentiments, Kane ... »
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Lourd, lourd, lourd comme un parpaing, comme une barquette de… Oh là, j’ai l’étrange impression de me répéter. Bref, l’explication de Cody sur la sagesse n’était pas convaincante. Je veux dire, il avait bien choisit ses mots, mais après avoir été si enthousiaste après qu’il ait appris qu’il n’était pas le plus vieux des Lowell, il ne pouvait plus se rattraper. C’était un peu comme proposer à un enfant une plâtrée de choux de Bruxelles après des bonbons ; on n’y croyait pas. Et puis, de toute façon, avec toute la sagesse qu’incarnait Bouddha, il n’était pas croyant, ni en Bouddha ou tout autre représentation divine. Là, c’était un beau flop. William ne dit rien, Cody allait s’enfoncer si cela continuait. Quoique, il aurait peut-être du l’ouvrir, ils auraient débattu là-dessus un bon moment et cela aurait évité à William de se retrouver dans cette inconfortable position. Voilà que Cody déclarait sa flamme au Kane, il espérait que personne ne soit autour d’eux pour l’entendre, comme il ne sentait pas de regard sur lui hormis celui du Bleeker, il en déduit que non, fort heureusement. Il s’était bien sûr éloigné de lui, prétextant qu’il avait un truc à faire sur l’île. Île qu’ils venaient, bien sûr, de tout juste quitter. Dans quel pétrin s’était-il fourré ? Ca lui apprendrait, tiens. Quoique, William était William. Il n’avait pourtant jamais côtoyé Cody, il n’avait jamais rien fait de provoquant pour attiser cette flamme en lui, si ? Était-ce ses chemises qui étaient trop moulantes ? Ses jeans trop près du corps ? Son parfum ? Ses cheveux ? Sa voix ? Qu’était-ce, bon sang ? Il s’était rapproché lentement de lui, posant même sa main sur son épaule. Un frisson lui parcourut l’épchine, mon dieu que c’était désagréable. Comme si ça ne suffisait pas, il lui murmura d’une voix suave qu’il ne devait pas fuir ses sentiments. Mais quels sentiments ? Ne comprenait-il pas, en le fuyant, qu’il n’en éprouvait aucun ? Il recula archaïquement, il devait se protéger pour survivre, survivre à Cody. Il heurta l’un des mat, il jugea cependant être à distance relativement respectable du brun. Il avait du mal à réfléchir, il n’y avait plus aucune connexion, là-haut. Il lui intima ; « Ne m’approche pas, ok ? Tu fais fausse route. Tu as tort, complètement tort. Tu ne pourrais pas avoir plus tort que maintenant. » Pitié, qu’il ne l’approche plus et surtout, qu’il ne le touche plus.
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